De tous les êtres vivants sur cette planète, l'humain est le seul capable de transformer - belle universalité de ce mot ovale - l'environnement qui, à son tour, le façonne. Avec ses sons et ses bruits, ses attitudes, son décorum, ses offrandes et les sensations qu'il développe, soit un ensemble de codes qui nous place dans le jeu et dans le stade désormais vide et pour quelque temps encore, il faut concevoir le rugby telle une langage qui n'aurait pas besoin de verbe pour nous toucher profondément. Ce que Boris Cyrulnik appelle "un bénéfice social".
Ancien joueur de rugby dans cette longue liste de chercheurs et d'artistes qui mouillèrent le maillot - citons juste René Char, Pierre Soulages, Michel Serres, Julien Gracq et Charles Juliet - le neuropsychiatre et éthologue Boris Cyrulnik dans son court essai en forme d'entretiens, J'aime le sport de petit niveau, paru en février dernier, raconte à quel point à travers ce prisme il est question de socialisation, d'éthique, de production d'échanges et d'épopée, tout ce dont nous avons besoin en ces temps de confinement imposé.
Un passage de ce minuscule opuscule m'a particulièrement interrogé. Il s'agit de celui où le Bordelais assure que la pratique sportive "sculpte" le cerveau, mais que cette action n'est que peu de chose sans le lien relationnel qu'il faut ensuite tisser. En poussant plus loin, on peut considérer à la lumière de récentes rencontres - celles du XV de France de France dans la Coupe d'automne des nations et celles de Clermont en Coupe d'Europe, par exemple - que les interactions entre les joueurs sont plus essentielles à la bonne marche d'une équipe que la pure dimension athlétique. Ce qui fait sens.
"On ne peut savoir qui on est que si l'on participe ou l'on assiste à des événements... D'où le goût que l'on a de se mettre à l'épreuve, ou d'assister à des épreuves pour en faire des mythes. Le sport a une fonction de tragédie sociale, comme le théâtre grec. Le théâtre grec mettait en scène les problèmes de la cité, et les citoyens devaient y assister. Je crois même qu'ils n'avaient pas le droit de sortir du théâtre sans avoir parlé de la pièce. Ils devaient rester sur place pour commenter entre eux - fonction démocratique - les problèmes de la cité que les comédiens avaient représentés, au sens théâtral du terme", écrit Cyrulnik. Et c'est bien de sport dont il nous parle.
De la manifestation in situ de l'activité physique réduite au degré zéro, pan de tissu social oublié dans les discours politiques de grande audience, sport interdit pour un temps trop long de visite sinon masqué, tristement confiné entre des tribunes vides, recalibré à l'état de représentation dévitalisée; et de nous devant nos écrans avec pour seul levier d'amplification notre imagination, ce qui demeure malgré tout une consolation en soi pour qui dispose d'une vie intérieure riche.
Puisque nous ne disposons que de cette aune orwellienne, éloignons-nous du salon pour entrer en forêt, ou trotter en rase campagne. Pratiquer le sport de petit niveau en prolongement de la quête du mythe passé au tamis cathodique qui occupe nos week-end, c'est aussi, encourage l'ancien rugbyman, rechercher dans les villages "des matches de très mauvais niveau", mais où "la fête est immense".
Comme pour "les gens de peu" de Pierre Sansot, si je comprends bien. Encore un autre amateur de rugby.
RépondreSupprimerCe texte me "parle" bien. J'y reviendrais avec, certainement, un détour vers les "médias" -terme que je déteste, mais existant- et dont les dernières interventions à ce sujet dans la dernière chronique m'ont laissé, disons, perplexe. .
Plus qu'un amateur, un ex-pratiquant.
SupprimerOu l on parle du lien d attachement.
RépondreSupprimerQue sommes nous sans les autres?
Rien.
Bouddhiquement parlant, nous ne sommes, notre moi, que par ce que relativement, les autres sont. Sans le regard extérieur y a t il une perception de soi?
Neurologiquement, le petit de l homme ne survit que parce qu il y a qqn... qui lui donne ! C est l essence de l Homme.
Notre énergie n est pas que chimique, elle est psychique. Ce que les autres nous donnent galvanise ou met à bas.
L homme est mouvement, pour s intégrer, et altruisme pour se développer... le karatéka qui fait son kata s imagine un adversaire pour mettre toute l intensite de son Q(u)i.
Ou le marathonien ou le sprinteur, seul, puise t il son énergie ?
Philipidès aurait il accompli son exploit sans la volonté de créer du lien entre les uns et les autres ?
Le sport, quel qu en soit le niveau, comme lien et comme synthèse.
Très interessant, belles ouvertures...
SupprimerMerci mais les ouvertures elles m ont été proposées.
SupprimerOn va dire que je propose des pistes afin de poursuivre le mouvement.
Idéalement il faudrait le convertir en essai.
J'ai l'impression que BC reste dans la résilience, son sujet de prédilection, et donc la résilience par le sport . C'est vrai que le sport permet de se reconstruire en cas de gros souci, réparation narcissique dira le psychologue, être mieux dans sa peau malmenée dis-je . "J'aime le sport de «petit niveau» parce qu'il socialise, il moralise, il produit une relation humaine, et fait naître une épopée." Et donc pratiquer petitement mais pratiquer, bordel ! Revenir aux sources du sport c'est peut être ce que le Covid nous aura apporté de mieux ...de toute façon, nous n'avons pas eu le choix . BC fait bien de nous indiquer le chemin, nous y sommes parvenus sans lui certes, mais avions nous mesuré la portée du geste ?
RépondreSupprimerDans ce livre, publié avant le Covid, il y a aussi toute une partie passionnante sur le rôle du jeu chez les animaux. BC est aussi éthologue.
SupprimerA la question: "nous émanciper du verbe et de sa surenchère?", la réponse est non.
RépondreSupprimerPeut-être de la surenchère, mais pas du verbe. A la phrase biblique: "Au début était le Verbe", Louis-Ferdinand Céline répondait: "Non, non, au début était l’Émotion". Bon.
Au delà de ces divergences, de ces points de vues, points de détails, peut-être, reste l'essentiel. La transformation du réel par le symbolique des mots, des notes -ou de la symbolique tout court- nous est tout autant indispensable, sinon vital, que notre imaginaire. D'aucuns pourraient penser que je plagie...Mais non. J'ai toujours ressenti ces trois pulsions que je nommais, sans connaître le "grand Autre": la réalité, l'imagination et la communication. Ou quelque chose comme çà...!
Quoiqu'il en soit, le ou la Covid-19 nous fait, effectivement, ressortir les points d'ancrage disparus ou presque aujourd'hui: le langue, la langage, les contacts, la présence vivante, l'entourage des autres comme les nourrissons dans le bain amniotique. Sans cet entourage nous nous desséchons.
Et ce n'est pas un sport scientifisé, numérisé et télévisé qui va nous réchauffer la couenne.
Il me semble que ce que veux dire Cyrulnik (il faut lire le livre en entier pour mieux saisir cela), c'est que le cri n'est pas le verbe. Du sport sortent des sons, des bruits, des cris, et pas obligatoirement du verbe.
SupprimerEt l'essai sidérant de Teddy Thomas à la façon du meilleur Campese version Dublin 1991. Du pire au meilleur en une semaine...
RépondreSupprimerIl a sculpté son cerveau .
SupprimerIl a plutôt laissé parler ses jambes à sa place...
SupprimerPour le reste, pas vraiment de présence sous les ballons hauts, une défense sans vrai engagement, soit son standard habituel.
Dans un match à sens unique (et pour une fois la formule reflète vraiment ce qu'a été la partie), on ne retiendra que l'essai.
A tout prendre, je préfère (et de loin) le match à l'autre aile (et partout sur le terrain !) de Donovan Taofifenua.
Pas faux, Pipiou. TT est un joueur de déséquilibre. Mais inconstant. Visiblement, le staff du Racing 92 (que je sais très exigeant) le prend pour ses qualités et pas ses défauts. C'est un choix qui paye souvent mais parfois (il suffit d'une finale) peut s'avérer catastrophique.
SupprimerThomas a fait la toile et non une toile pour une fois ! Rien d'exceptionnel quand on voit son niveau en EDF.
SupprimerPlutôt que de déséquilibre, c'est un joueur d'éclairs.
SupprimerMais quand il n'y a pas d'éclair, il redevient non seulement un joueur lambda, mais pas vraiment fiable.
Et il me semble qu'en EDF, soit la crème de la crème, il faut être plus complet. Défense, collectif, présence sous les ballons hauts (si tant est que c'est maintenant devenu un impératif tactique), sur ces plans non seulement il n'apporte pas de garantie mais il a déjà montré ses lacunes, que l'on peut trouver rédhibitoires.
Mais quand il a de l'espace et qu'il met les cannes, il est clairement irrésistible pour n'importe quelle défense.
je confirme Pipiou, c'est un sprinter, pas un rugbyman ! ...mais quand il y a de l'espace, évidemment... c'est un choix pour ses entraîneurs, entre qualités et faiblesses, pour le mettre sur la feuille de match (bénéfice / risque , comme pour le vaccin du covid )
SupprimerChristian, que pensais-tu de Sébastien Carrat, grand sprinter et champion d'Europe avec Brive en 1997? Pour ma part, je le trouvais réellement impressionnant. Disons une sorte d'absolu inverse (et complémentaire) de Jonah Lomu.
Supprimeroui André, un sprinter seulement (10,3) mais impressionnant quand il avait de l'espace, il évitait plus qu'il affrontait évidemment, quitte même à reculer et faire du travers pour déborder !... et des problèmes en défense comme TT . Mais il a joué avec des partenaires qui savait "le mettre sur orbite"( Penaud, Viars, Venditti, Lamaison, Carbonneau, etc.... pas mal non? )
SupprimerC'est tout-à-fait çà.
SupprimerComme, à l'inverse, pour Lomu, dans un registre plus physique, que ses partenaires essayaient de mettre sur les bons rails. Puisque tu parles de Lamaison, quel match au pied en 1999, pour faire reculer Lomu et l'épuiser; car il n'avait pas un fond terrible et des placements défensifs hasardeux. Comme quoi, ces qualités extrêmes ne sont pas la panacée et peuvent, même, être des handicaps. Dans ce registre je me souviens de l'ailier anglais Young qui avait été bluffé par Domenech, replacé à l'aile, par une feinte de passe à l'arbitre de touche. Et, pourtant, lui aussi avait été un grand sprinter. Et je me souviens aussi d'une "terreur" chez les Australiens, lui aussi grand sprinter, Cleary je crois, qui avis été inexistant contre les Français à Colombes..Contrairement à la charnière Catchpole(m) - Hawthorne(o), une véritable perfection un peu avant la charnière Galloise Edwards/John ou Bennett...Pour l'anecdote...
Çà, c'est vrai...
RépondreSupprimer"Se mettre a l'épreuve ou d'assister a des épreuves "
RépondreSupprimerS' etalonner, se mesurer directement ou par procuration?
Ben oui,nos modestes talenqueres , nos prairies bosselées, d'évidence!
Allez jouer, d'aucuns ( unes) ajouteraient " bordel"....
🥰
SupprimerBon ben je vais devoir vous laisser. Je pars demain pour La Rochelle visiter mon vieux père en compagnie d'une de mes filles avant qu'elle ne reparte au Costa Rica. Transmission. Non un devoir mais un plaisir. Ciao.
RépondreSupprimerPapa, puisque tu nous lis, on arrive !
Supprimerle covid en tournee europeenne terrasse tous ses adversaires
RépondreSupprimeril fait si peur que certains refusent les joutes
ce XV ALL VIRUS en pleine mutation deregle toute organisation
seul un messie pourvu de remedes miracles peut lui faire front
un messager des laboratoires celestes est annonce en fin de semaine
il faut foi(gras)garde
Et la série noire continue: l'Equipe annonce la disparition conjointe de JL Azarete et Ugartemendia.
RépondreSupprimerLa force basque...
Quel souvenir que cette première ligne Azarette, Benesis, Iracabal , indestructibles..vraiment une année de merde
SupprimerAh oui, la première ligne de notre adolescence ,a tout jamais la plus belle!
SupprimerEt Tito, une pile atomique, devait pas faire 80 kg, autre époque.
Allez les Basques
Tout le monde disait Iratesaballe !
SupprimerJ'ai, devant moi, une superbe photo (septembre 1969) de l’Équipe magazine du samedi (que j'achetais encore à l'époque) sur laquelle on voit, dans une petite salle style buvette d'une amicale, sans doute attenante à un terrain de pelote, Jean-Louis Azarète et Jean Iraçabal, au premier plan et de profil, en position de bras de fer. Tous les hommes, en bérets, devant les verres et les bouteilles d'apéritifs -et la patronne à demi cachée discrètement dans l’entrebâillement de la porte- en profondeur et rigolards devant ce simili duel rappelant les plus belles heures d’Inter-villes.
RépondreSupprimerOn est en plein et immédiatement au Pays Basque.
Quand on voit leur gabarits et qu'on pense qu'ils ont été parmi les meilleurs piliers français, on en reste pantois!
Et, question gabarit, se rappeler que Jean-Louis Ugartemendia, faisait 1,75m pour 75 kg à peu près comme André Abadie (le Lourdais) et Norbert Dargelès (du Stado), si je le souviens bien. Mais quel joueur frénétique. Et se rappeler aussi que 4 équipes basquaises jouaient en première division: toutes avec leurs caractéristiques. Bayonne, Biarritz, Le Boucau et Saint-Jean-de-Luz!
RépondreSupprimerEt à côté tu avais oloron, mauleon.etc....le rugby basque est un des vrais pilier de notre jeu
SupprimerEt un peu plus haut, Dax, Mont-de-Marsan et Tyrosse...On peu imaginer le niveau de la Province "Landes-Côte Basque" quand elle rencontrait, tous les ans, celle de "Paris" (Racing, P.U.C., plus C.A.S.G., Stade Français...-en 3 ième division à cette époque).
RépondreSupprimerEt tu oublie le scuf, Paris metro
SupprimerEt certainement beaucoup d'autres comme Brétigny-sur-Orge, par exemple. Un repaire de militaires en provenance du Sud-Ouest! Avec des variations de niveaux en fonction des "arrivages"...
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerEt pourquoi, Tautor?
RépondreSupprimerNo stress André
SupprimerLis
De Bonnes Fêtes de Noël et de fin d'année
Un vélo électrique de la part du Papa Noël 🙈🥳🍾
"Question de cerveau"
RépondreSupprimerSelon Cyrulnik
"l'ignorance provoque un tel état de confusion qu'on s'accroche à n'importe quelle explication afin de se sentir un peu moins embarrassé. C'est pourquoi moins on a des connaissances, plus on a de certitudes. Il faut avoir beaucoup de connaissances et se sentir assez bien dans son âme pour oser envisager plusieurs hypothèses".
Ce qui renvoie à Saint Augustin :
"Le meilleur de vos serviteurs est celui qui ne cherche pas à entendre de vous ce qu'il souhaite, mais à souhaiter ce qu'il a entendu".
Ne vous ayant pas lu(e)s par manque de temps actuel, il est agréable de savoir que le prince de la résilience se tourne vers le social, l'éthique, l'échange et l'épopée pour donner un visage plus que philosophique au rugby amateur. Nous sommes donc aujourd'hui bien loin de cette fameuse résilience alors même que la Covid nous enseigne et nous apprend combien un choc traumatique et psychique à bien des égards nous rend perfectible devant la mort mais aussi dans la gestion de l'humain. Le rugby garde cette dimension sociale indéniable que nous aimons bien loin de celle de son cousin le ballon rond grand fédérateur planétaire sans conteste. Mais avec quelle éthique aujourd'hui pouvons nous dualiser notre cher ovale présenté comme un lien social par Boris quand on sait toutes les manigances de notre fédération, quand on voit qu'un gps formate plus un muscle dopé qu'un cerveau et que le rugby professionnel n'a de soif que pour l'argent? Mieux vaut rester amateur avec sa raison de vivre et de croire en cette éthique ancestrale gardienne du temple des campagnes. Quantà l'épopée, je ne connais que celle de la Lomagne des années 70 partie en désuétude très rapidement comme bon nombre de clubs provinciaux de cette époque. En effet, le lien social était le moteur de tous, sous toutes ses formes, sans aucune certitude mais avec une envie intacte. Le XV actuel aurait-il puisé ses ressources dans le passé altruiste qui a conduit notre ovale à fleurter avec les hauts sommets ? Peut être ou pas, qu'importe, gardons le souvenir de l'ivresse d'antan, celle de la sueur, du partage, de l'engouement, de la 3e mi-temps pour poser l'hypothèse suivante " de sculpter son cerveau sans résilience fait-il de notre cher ovale un puit de connaissances avec des certitudes ou des doutes ? Réponse en 2023 !
Saint Augustin disait "Les miracles ne sont pas en contradiction avec les lois de la nature, mais avec ce que nous savons de ces lois" c'est somme toute une vérité.
En toute logique Tonton Boris ne fait que constater les bienfaits du sport "de masse", ce que nous défendons ici a longueur de blog !
SupprimerJp Lux pratiquait (certes mieux) la même discipline que nous, je ne suis pas sur qu'il en soit toujours ainsi entre Olivon et Bebert, flanker a l' Avenir Montclar de Quercy .
L'erreur n'est elle pas de comparer ces mondes toujours plus éloignés, aux aspirations devenues bien différentes?
Allez, Saint Augustin ne disait il pas , aussi et surtout " fô qu'un en r'cause a l'apéro "?
J'y pense à l'instant, le titre de cet épisode est: "sculpter son cerveau", mais peut être que l'auteur pensait à sculpter son cerveau en lieu et place de sculpter sa musculature, musculature bien enrobée par une alimentation douteuse, dont on ne connait pas les séquelles, à part les séquelles des commotions pour la plupart dues à ces sculptures musculeuse
RépondreSupprimerA l'instant, à 19h00, Alex Duthil, à fin d'"Open Jazz" sur France Musique, en parlant d'études et d'universités avec Nathalie Piolé ("Banzzaï"), vient de déclarer:
RépondreSupprimer-"Moi, mes universités, çà a été les vestiaires de l'Union Sportive Dacquoise".
Études, Jazz, Rugby, ...Tout cela le sculpte, le cerveau. Ce débat formation, Jazz/Rugby, nous l'avons déjà eu si je me souviens bien...
Exact, André
SupprimerVoyager, s’émerveiller, partager, sentir, écouter, rêver, regarder, lire, oser, penser : vivre : sculpter, jouer
RépondreSupprimerah ! oui Pimprenelle, ...tout est dit !... (me manque peut-être "créer"et... "aimer" évidemment)
RépondreSupprimerAllez, (comme Jan Lou), Noyeux Joël à tous !!!!
Ah voyager.....
RépondreSupprimerTu mets du sel sur la plaie Pimprenelle !
Allez, comme Christian, pas mieux.
Joyeux Noël à toutes et tous... La vie est un beau cadeau. Partageons-le et offrons les meilleurs ballons.
RépondreSupprimerC’est la grande nuit de Noël,
RépondreSupprimernuit d’ivresse,
La nuit où les enfants se vautrent dans les cadeaux,
La nuit où la lune est bleue,
La nuit où le mal ne doit pas entrer singée par cette nuit d'hiver,
Le bien et le mal, le yin et le yang. Pastel d’innocence, quelle est la croyance ?
Mais dit à Sion,
tissus de songes ou mensonge ?
Remontée dans le temps,
On sculte, ausculte le temps de la crèche.
Dis moi où tu crèches, je te dirai qui tu es, du moins le freudonner...
Nuit givrée patine sur la glace
Fait-il si frais ce soir dans les têtes ou le fait est-il glauque ?
Allez, la nuit se tait presque parfois, Histoire sans parole pour une nuitée divine, pas autrement…
Douce nuit à toutes et tous.
Et que vos voeux (les miens aussi par la même occasion !) soient exaucés.
🎅😴😴
Bon réveillon à tous, à 6 ça va être calme, vont faire comment les équipes de rugby ?
RépondreSupprimerJoyeuses Fêtes de Noël familiales, épicuriennes voir rugbystiques ...
RépondreSupprimerLibération à lire ... Comme quoi le mal à la tête n'est pas que viticole
Libération: Commotions cérébrales : le rugby complètement sonné. https://www.liberation.fr/sports/2020/12/24/commotions-cerebrales-le-rugby-completement-sonne_1809621
Bon Noel cest presque fait. Cette année nous en avons organisé trois. En fonction des présents...
RépondreSupprimerNoël a la carte
SupprimerAux blogueurs, RV sur la chronique suivante "2021 à pleines mains", Ritchie est en vacances, a pas eu le temps de nous alerter par sms ... à tout de suite !
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