samedi 6 février 2021
La route de Rome
A l'heure où le flot de concurrents du Vendée Globe ne cesse de couler entre les bouées des Sables-d'Olonne derrière Jérôme Beyou, remarquable treizième après être parti dix jours et 3 000 miles nautiques derrière tout le monde à cause d'un safran brisé par un OFNI pour finir par gagner un jour et 400 nautiques, forte performance au milieu de multiples exploits maritimes ; aussi où un groupe de quatre - Kojiro Shiraishi, Arnaud Boissières, Alain Roura et Stéphane Le Diraison - a décidé depuis la sortie du Cap Horn jusqu'au coeur des Açores de se départager par une régate géante, le XV de France de son côté nous a régalé sur cette belle route de Rome, samedi, en ouverture du Tournoi des Six Nations.
Il me faut et c'est un plaisir rendre hommage à Frédéric, aka Lulure, contributeur régulier depuis Toulouse de ce blog dont il est devenu, à force de saillies et de relances, une figure incontournable. L'idée de ce titre lui appartient que je fais mienne, comme on capte avec volupté une belle passe à hauteur, dans la corbeille, comme aimait à le répéter mon entraîneur des juniors rochelais, Loulou Courthès. Puisque les internationaux français rendent hommage à leur premier éducateur, je ne peux m'empêcher de signaler à quel point ce trois-quarts centre des années soixante m'a inspiré.
Il insistait sur la technique individuelle, la qualité de la passe, cette transmission inégalée de main en main, le regard précédant le geste. Je m'en souviens comme hier, il pleuvait sur le terrain d'honneur de La Grenouillère, cette plaine des jeux située en contrebas du stade Marcel-Deflandre, mais les ballons ne tombaient pas, ou peu, appliqués que nous étions à ouvrir les mains et tendre les bras dans un mouvement de balancier. Ce bonheur du mercredi soir, récurrent, attendu, est gravé en moi, y compris au moment où je frappe sur mon clavier.
Cette qualité de passe a été la clé de la performance française au stadio olimpico, quand les Italiens aux doigts fébriles gâchaient leurs occasions par excès de précipitation. La patte de Fabien Galthié et de son staff technique est bien d'avoir fait comprendre à leurs sélectionnés que le but du jeu n'est pas de tenir le ballon durant de longues séquences - avec le risque qui augmente de le perdre à mesure que les passes se multiplient - mais bien de marquer le plus rapidement possible, c'est-à-dire en utilisant le tranchant du couteau par effets de surprise et de précision.
Pendant de nombreuses saisons, les techniciens ont cru qu'il était décisif, donc nécessaire, de conserver la balle. D'ailleurs, les statistiques continuent d'enregistrer ce paramètre. Mais pour constater que les équipes les plus offensives ne sont pas obligatoirement celles qui privent l'adversaire de munitions. Pour preuve, samedi à Rome, les sept essais tricolores sont nés soit en première main derrière une phase de conquête, soit sur relance. Combinaison millimétrée pour bloquer l'adversaire ou lecture de la défense sur contre-attaque : le XV de France a été clinique et inspiré. Tout ce qu'on demande à un favori au titre de champion du monde dans deux ans.
Autre sujet de satisfaction, la capacité qu'eurent les Tricolores, pourtant en états disparates de forme à leur arrivée en Essonne, à maintenir leur niveau d'engagement dans le jeu de la 6e à la 74e minute, là où d'habitude les chutes d'intensité leur étaient préjudiciables. Cette qualité physique, elle aussi passée par le tamis des nouvelles normes d'entraînement à Marcoussis, sera très utile en Irlande. Pour la suite de cette édition 2021, Dublin s'annonce comme un tremplin qui pourrait permettre à cette équipe de France de viser un Grand Chelem, attendu depuis 2010.
Ne rêvons pas ? Et pourquoi pas ! Pour avoir échangé le mois dernier avec certains des acteurs de ces neuf sacres, dont l'immense Jean-Pierre Bastiat qui nous a quitté jeudi dernier à 71 ans - c'est jeune - victime des suites d'un AVC, ces équipes se sont construites en imaginant le meilleur et si, pour paraphraser le grand Will, nous sommes faits de l'étoffe de nos songes, alors d'Erin viendra la confirmation que cette équipe modèle Ollivon est bien faite pour marquer les esprits ou, plutôt, inscrire le XV de France dans son temps.
Pour preuve le succès rafraîchissant des Ecossais à Twickenham. Ils ont fait malt aux joueurs de Monsieur Eddie, ces Calédoniens, dans le sillage de leur épatant capitaine, Stuart Hogg, et malgré un Finn Russell triste comme un chien mouillé perdu sans lacets qui faillit tout gâcher dans les derniers instants. Du coup, une voie que personne ne soupçonnait s'ouvre avec cette défaite anglaise, chemin que les Tricolores seraient bien inspirés de baliser jusqu'au 20 mars en clôture. Quelle fête ce serait, quand on y pense...
On mesurera un jour, quand les instruments idoines seront mis à disposition, ce qu'il fallut de passion à tous ces jeunes gens en culottes courtes pour disputer des rencontres internationales dans des stades vides, de coeur pour vivre comme si de rien n'était dans une bulle sanitaire stricte, de mental pour ne pas céder à la crainte d'être positif par la faute de coéquipiers ou d'adversaires. Pour tout cela, ce Tournoi entrera peut-être dans l'Histoire. Un Grand Chelem français le rendrait inoubliable.
Entièrement d'accord avec ce constat et ton analyse.
RépondreSupprimerJ'ai tellement vu de grandes équipes de France s'enterrer en Roumanie, en Italie,..., contre toutes sortes d'équipes plus faibles qu'elle, que je ne peux qu'apprécier ce match que j'ai trouvé remarquable par son sérieux constant et sa concentration jusqu'au bout et quoi qu'il arrive. A la manière des All Blacks: pas de quartier...Respect.
Pendant que j'écris, je surveille d'un œil Angleterre/Écosse et suis époustouflé par les Écossais. Par contre, il me semble que les Anglais ne font que plonger doucement vers un jeu triste et désespérant. J'ai toujours pensé qu'Eddy Jones était bien surfait. Ce n'est qu'une intuition, un sentiment qu'il a pu me donner, mais je trouve que son équipe ne s'améliore pas.
Eddy fait du Eddy, et sa ritournelle ne passe plus.
SupprimerEddie n'est pas surfait. C'est juste qu'il ne fonctionne qu'avec des contrats courts de 3 ans. Après, il lasse. Car il ne délasse pas. Il met une pression permanente. Ca use à la longue.
SupprimerChez moi on dit que tous les chemins mènent au rhum, et quelle que soit la route, l essentiel est d avoir la bonne charrette.
RépondreSupprimerAlors Lance toi à l eau, Chevalier et voyons de quel métal tu es fait.
Nos bleus, fils du Brennus, se sont affranchi le rugby, con, sans coup férir.
Et aller à Dublin en passant par comme des grands, en attendant la chaussée des Geants, pourquoi pas !
En tous cas beau match
Bel envolée
Et Fabien tel Pygmalion comble sa muse de son investissement, donnant vie à un corps de fantasme hein; une Légion de Gaulois, méthodiques, précis comme un chasseur de bécassines. Et nos cousins latins ont payé pour voir.
Comme tu dis, vivement dimanche prochain !!!
La chaussée des géants, oui, Olivier, oui. Bien vu.
SupprimerPendant que le ciel français était malade d'une jaunisse saharienne, du moins dans le couloir rhodanien, loin de s'enrhummer, des français dans le vent et toutes voiles dehors, positifs et toujours porteurs d'une bonne contamination pour leur avenir. Le cap se maintient depuis l'automne, en espérant qu'aucun vaccin ne se dévoile...
RépondreSupprimerOn lit le poète. Belle concentration.
SupprimerA 5 mns de la fin je ne sais qui va gagner des rosbisfs ou des vaillants écossais, mais ceux ci sont vaincoeur dans mon coeur ..quel beau match
RépondreSupprimerMagnifiques ecossais , quel pied !,,,,
RépondreSupprimerSingle malt, marc. Ca s'arrose.
SupprimerBravo l’Écosse ! Succès amplement mérité. Dominante tout le match, elle a pourtant l’art et la manière pour se faire des sueurs froides jusqu’au dernier moment.
RépondreSupprimerLà, c'était Russell qui n'a pas été très Finn
SupprimerBonne nouvelle : les Rosbeefs pas au top, nouvelle à considérer : les Ecossais ont la grinta !
RépondreSupprimerOn les reçoit, les Chardonnets. Ca tombe bien.
SupprimerDéplacement en Irlande, réception de l'Ecosse, déplacement à Twickenham ! Whaou, du coup, je reprends goût au Tournoi...
RépondreSupprimerOn passe vite de l’amour à l’indifférence.
SupprimerEt vice-versa :-)
“Du Rome, du jeu et des scots, nom de dieu
Que l'diable nous emporte, on n'a rien trouvé d'mieux”
Soldat,
Supprimer1 Louis d or pour ta chanson
J'avais besoin d'une petite piqure de rappel (c'est à la mode) : c'est le Chardon qui me l'a donnée.
SupprimerPiqué par le Chardon en même temps ....
SupprimerDespite all his good Will, Eddy ne vend plus du rêve. Les vapeurs du scotch vont lui donner a songer
RépondreSupprimerEt ce nest pas la part des anges
SupprimerUne Ecosse qui confirme, des Anglais qui doutent dans un Twickenham vide, où l'absence de ce supplément d'âmes lors a été préjudiciable
RépondreSupprimerOuais, des anglais twick sans âme...
SupprimerLe chardon pique plus fort que la rose, enfin.
Twick sans âme
SupprimerJ'adore
merci aux italiens de faire de ROME ville ouverte en n ayant jamais fermer le jeu le payant de contres asdsassins j ai bien aime leurs retours interieur et l explosivite des joueurs sollicites apres un regroupement par contre le jeu Francais assez insipide baillonne sauve par le talent les jambes de Dupont Dullin Vincent et Thomas une entree
RépondreSupprimerEn somme(ni fer) un antipasti sans saveur l hote se contentant d un role de sparing partner
Par contre les valeureux pics ont terrasse de mornes Anglais quelle belle prestation de ces scots enfin recompenses de leurs vaillance mais que le final fut epique
Russel par moment a joue comme un cadet
Rome ville ouverte en défense, oui.
Supprimerj'ai surtout apprecié Gabin Villières! pour l'ensemble de sa prestation, et au moins je ne doute pas sur ses capacités défensives!suivez mon regard de l'autre coté de l'aile....
RépondreSupprimerUn changement de paradigme durant le match? C'est une première.
RépondreSupprimerQuel peut en être le sens? Après la carte du lieu à atteindre, la représentation de la déferlante. C'est bien.
"Vae Victis"
RépondreSupprimerl'histoire est un éternel recommencement. "Rome salé ou Rome sué" qu'importe pourvu que l'ivresse y soit, semblent dire les contributeurs du blog. Je suis loin de partager vos avis à ceci prêt que nous avons un rugby bien léché, infantile à souhait devant un sparring partner aussi naïf qu'appliqué. N'oubliez pas que Brennus a envahi Rome, vide de cohortes et que les oies du Capitole ont sonné le glas d'une victoire inachevée. Hormis Dupont, toujours lunaire depuis ses 18 ans ou je l'ai découvert à Castres, bien meilleur que Kockott, le reste de l'équipe est un condensé de bons crus voir de très bons crus qui auront besoin de maturité pour côtoyer les sommets mondiaux ou le millésimé attendu pour 2023. Deux fois vainqueurs de la Coupe du Monde des moins de 20 ans n'est pas non plus le fruit du hasard pour les avoir vus en terre languedocienne. Soyons donc optimiste mais mesuré et attendons de voir si la maturation reste exemplaire. " Rum Caroni, 18 ans d'âge" le green label écossais commence à produire tous ses effets subtils car peu connus. Et "les froggies" ont pu humer hier le contenu à sa juste valeur. Townsend récolte les fruits de la semence Cotter et donne une touche "Cadenhead's" notable et indiscutablement savoureuse. Un régal absolu hier à Twickenham, malgré "Cadet Russel", toujours aussi facétieux qu'improbable mais toujours scottish quand il faut aller brouter les épines. La Calcutta Cup, pour le 150e anniversaire, revient aux calédoniens sans coup férir, me rappelant 1977, Jean Pierre Bastiat, Skréla, Rives et "les 12 salopards", un XV inchangé de bout en bout qui ont construit un Grand Chelem de légende à la hauteur des prétendants. Alors "la route de Rome ou du Rum", selon que l'on soit navigateur averti, devin guignolesque ou sachant néophyte, pourra t- elle en soi et en elle même donner les faveurs aux aficions du XV ici présents ou révéler au passionné d'œnologie que je suis que la bouteille se déguste toujours de la même façon par le cul!
"Alea jacta est".
Un rugby infantile ? Bon ben là, j'ai arrêté de te lire, Tautor, toutes mes excuses mais si tu commences comme ça, je ne vais pas aller plus loin. Ce n'est pas de l'analyse ni du commentaire mais de la mauvaise foi ou de la mauvaise humeur. Je respecte ton point de vue mais je ne le partage pas. Pas du tout.
Supprimer;-)
SupprimerRitchie
Supprimeraucun problème pour moi. Infantile synonyme de rugby de cadets qui passent 100 points à l'adversaire. J'aurais dû dire un rugby "d'école" mais bon je croyais que la pensée était libre pas tant que ça finalement, la faute au Covid surement 🙈😉😂.
Bien à toi
Ben pareil pour moi, mes yeux ont sursauté sur infantile. Effectivement, je préfère un rugby de jeunes premiers...
SupprimerLe poète est de sortie 😂😂🙈
SupprimerQue dis je le barde gaulois 😛🏈🥂
SupprimerEn attendant, fut un.temps on se serait emmêlés les pinceaux.
SupprimerSi je reconnais l adversaire plutôt tendre à la base, il faut quand mele reconnaître que quelques coups de couteaux bien placés en on fait de la chair à salami
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerPour le XV de France, on pourrait dire ceci :
RépondreSupprimer"il faut collectionner les pierres qu'on vous jette. C'est le début d'un piédestal".
Hector Berlioz
Excellent. Et lui, Berlioz, il en a pris quelques unes, de caillasses, dans sa carrière.
SupprimerTautor,après ta diatribe dans la chronique précédente, je te vois toujours circonspect....Disons, prudent, voire très prudent. Nous savons tous que la prudence est mère de sureté, mais, en l’occurrence, à bas la sécurité. Et, sans tomber dans une euphorie aveugle, il me semble que nombre de signes sont des indicateurs d'un mieux être réellement sérieux. Il serait trop long ici de les énumérer tous -les objectifs et les subjectifs- mais le tableau qui se dessine depuis l'année dernière devrait produire une œuvre de qualité.
RépondreSupprimerAndré,
SupprimerPoint de diatribe, une ligne et une interjection c'est tout pour hier.
Disons que la prestation d'hier ne montre rien de nouveau, juste un galop d'essais à mon sens.
Un galop qui tient la route, même sur les haies. l'esquisse ne fait que se confirmer.
SupprimerEst-ce le galop d'Orphée aux Enfers ?
SupprimerIl faut aussi mesurer le chemin parcouru.
RépondreSupprimerIl y a encore peu, on venait gagner à Rome sans convaincre et en espérant ne pas faire un faux-pas. Hier, il s'agissait de savoir combien de temps on allait mettre pour obtenir le bonus offensif.
Ce qui m'embête, c'est de parler immédiatement de Grand Chelem; cette équipe perdra forcément des matchs, mais ce qui importe, c'est de garder cette fraîcheur de jeu et le sens du collectif montré dans l'adversité par l'équipe de "réservistes" contre les anglais en automne. Avec le talent naturel de certains des joueurs de cette équipe, qui plus est prenant de la bouteille, on ne va pas tarder à redevenir cette équipe qui auparavant faisait peur à tout le monde parce que capable de tous les éclairs de jeu.
(Message perso à Ritchie: belle équipe de La Rochelle cet après-midi, joueuse et tenant très bien le ballon. Elle aurait mérité mieux)
Hello Pipiou,
SupprimerJe parlais de Grand Chelem pour faire le lien avec le Hors Série sur lequel j'ai beaucoup bossé et l'interview de feu Bastiat qui raconte ce qu'est de l'intérieur une équipe.
Concernant les Rochelais, ils ont trop manqué de précision et de lucidité pour bonifier leurs temps forts.
Je ne pensais pas spécialement à ton billet (le lien entre Grand Chelem et le décès du grand Bastiat était évident).
SupprimerMais partout ailleurs aussi (comme à chaque belle victoire) on en parle à tort et à travers.
Dès le week-end prochain, les analyses pourraient être nuancées (que dira-t-on si les Anglais étrillent les Italiens, les Gallois aller vendre très chèrement leur peau à Edimbourg et nos jeunes français perdre face au réalisme irlandais dans une pluvieuse après-midi dublinoise ?
Scénario tout à fait plausible, non ?
Ce scenario me parait tout à fait plausible... Surtout en ce moment où tout est volatil, sans que l'on sache si c'est de l'humeur ou du virus
SupprimerNous nous interrogeons sur le niveau de L'EDF mais quel est le niveau actuel du rugby de l'hémisphère Nord ?
RépondreSupprimerComme d'hab... Un peu moyennasse...
SupprimerLe niveau européen est juste relevé par l'EDF, voir les écossais dont on attendra de voir jusqu'où ils peuvent surprendre cette année. Quant aux français, rien n'est encore déjà vendu, que ce soit en Irlande où un gros combat physique les attend, qu'il faudra contourner pour rebondir à Twick, où l'english va essayer de se reforger une âme contre son meilleur ennemi, et des écossais en pochette surprise. Donc, de l'eau à passer sous le pont...
SupprimerMême niveau, suffit de voir le match de gladiateurs vieillissants au jeu stéréotypé. Donc rien de neuf à l'Ouest. Seuls les Calédoniens seraient en mesure de prétendre au Grand Chelem.
RépondreSupprimerBeaucoup de blessés aujourd'hui ...
SupprimerGladiateurs vieillissants certes pour la Grande Bretagne. Seuls les français semblent en mesure d'apporter un peu d'artifices, dans la mesure où ils font la maille physiquement...
SupprimerOn a l'impression de voir 15 verts contre 14 gallois incroyable ... Et un jeu dur, très dur, avec le retour des commotions cérébrales et des blessures graves. Et si le Trèfle gagne, le Pan sera Tintat.
RépondreSupprimerDur, oui, très dur, d'autant que les Celtes apprécient particulièrement le frontal...
SupprimerLa route du rhum arrangé c'est chez moi, Oliv, et la charrette était bien pleine , comme celle des transalpins.
RépondreSupprimerPour faire bon poids elle débouchait place Talisker, rude soirée !
Une équipe tout en contrôle, inexorable, tant pis pour les romantiques mais deux trois ans plus avant on aurait couru à Lourdes sur les mains pour moins que ça , souvenez-vous, ou demandez a Guirado si la mémoire patine un peu.
Quitte a rester dans le passé récent elle ne vous souvient rien cette équipe italienne, cherchez bien, un bleu plus soutenu mais les mêmes interminables séquences qui finissaient par un en avant, au mieux, un contre assassin souvent, une victoire jamais.
Alors savourons sans réserve cet apéro maîtrisé en attendant la suite sereinement, en sachant que c'est seulement a la fin de la foire qu'on compte les chelems, même les grands.
Allez Chevreuse
Suis de ton avis, Jan Lou, savourons... On ne sait pas de quoi demain sera fait...
SupprimerOn peut savourer benoîtement vu le nombre de miracles à Lourdes et vu le nombre d'essais comptabilisés depuis 1 an, autant qu'en 10 ans de disette. Tout ça n'est que littérature, rendez vous pour la finale en 2023 si Bernadette le veut.
SupprimerAinsi soit-il.
Bernadette, elle est très chouette
SupprimerEt le miracle il est divin
Mais son cousin, il est malsain
Je dirais même plus c'est un bon à rien...
Sergio
SupprimerLe poète permanent
Excellent le barde
SupprimerTautor, Ben du coup, j’vais miser une petite pièce jaune pour 2023 😬
SupprimerMerci Brigitte 🙈😛😂😂👍
SupprimerChouette Super Bowl. Brady et Gronkowski au top. Les vieux sont en forme... TB 14 vs KC 3...
RépondreSupprimerEn revanche le show de la MT ? Nul. Avec une sorte de sous-Prince vilain comme un pou. Aussi nul que la défense des Chiefs
RépondreSupprimer21-6 pour les Boucaniers à la MT
SupprimerBrady : on n'enterre pas une légende
RépondreSupprimerÉnormes boucaniers, super Brady. Quel Super Bowl !!!
RépondreSupprimerComplètement, c est clouer le bec à plus d un détracteur. Refaire dans une nouvelle équipe ce qu il a fait a new england, c est juste sublime. Et un match de haute volée en plus.
SupprimerLe successeur n a qu a en prendre de la graine.
Ah ben non, Tautor, pas que !
RépondreSupprimerIl reste trois tournois, des tournées ( p'tét), tout ceci m'intéresse fort et clair.
Allez Chevreuse
Tu n'as pas tort, JanLou, y'a pas qu'une longue parenthèse entre Ialie-France et le titre de champion du monde 2023. Il faut déjà se rendre à Dublin. On fera les comptes après.
Supprimerj'avoue que je ne resterai debout pour voir un sport auquel je n'y comprends rien , mais je me doute que si on le comprends on se passionne comme tous les sports ...j'ai regardé le résumé et mon incompréhension est toujours totale ... mais je sais que Brady est une légende de ce sport
RépondreSupprimerBon, d'abord j'étais confortablement assis dans mon canapé, et non debout ;-) Comme le rugby montré à un profane - c'est compliqué - le foot US demande qu'on connaisse certaines règles et surtout quelques coups stratégiques et tactiques. J'ai été initié à ce sport en janvier 1986 par un joueur lourdais, Pierre Casteran, et j'ai suivi mon premier Super Bowl chez lui après un match de Championnat. Ayant ainsi saisi l'essentiel de ce que je devais savoir pour apprécier ce sport de balle ovale, je n'ai cessé depuis de le suivre et j'avoue que ça me plait.
SupprimerEt t'as pas un conseil pour s'initier à ces règles ? (un bouquin, un site, un blog...)
SupprimerSans entrer dans les subtilités du règlement, le foot américain c’est, en gros, un jeu de gagne-terrain.
SupprimerÀ partir du coup d’envoi, l’équipe attaquante doit couvrir au moins 10 yards en quatre tentatives. Si ce contrat est rempli, l´attaque dispose d´une nouvelle série de 4 tentatives pour parcourir à nouveau au moins 10 yards et ainsi de suite jusqu´à l´en-but.
Bon match ��
il y a des tutos NFL pour expliquer les règles sont bien faits je m'en servais en cours avec mes gars ... Et la série cultissime "Ballers" qui dévoile les dessous de ce sport c'est drôle et grinçant saisons 1 et 2 surtout ...
SupprimerJ'ai commencé à me poser la question quand je me suis rendu compte qu'en fait, on pouvait aussi faire des passes à ce jeu; jusqu'alors je croyais qu'une fois le ballon lancé par le quarterback c'était ensuite interdit. Mais apparemment comme c'est un jeu suprêmement tactique c'est plus compliqué.
SupprimerOn va creuser ça.
Oui on peut faire des passes, mais le gagne terrain est d un compliqué et les chocs tellement violents qu on évite de perdre la gonfle (fumble).
SupprimerAh ce match Galles/Irlande, quel niveau, à part des actions nombreuses de plus de 10 phases, pour endormir le public,et oui même pas un niveau de top14 du bas de tableau, c'est ma perception. Avec ce qu'on a vu ce WE, je n'ai même pas rêver à un grand chelem français à 25 points et donc à environ 100 points au goal average. Cependant faudrait pas que ça perturbe les futures préparations
RépondreSupprimerGalles-Irlande, typiquement le match entre Celtes qui échappe à notre entendement. C'est un truc à eux depuis la fin du XIXe siècle.
SupprimerJe me souviens de ton coach, Loulou Courthes. A l'époque je travaillais pour un marchand de café, jeune retraité du rugby local et futur président bien connu du même club. Nous étions 3 dans la boutique, Vincent (c'est lui), un torréfacteur et moi, qui allait de bars en restos pour livrer le café fraichement torréfié rue Gambetta. Loulou tenait un bistrot, comme beaucoup d'anciens joueurs. Je ne sais pas pourquoi, les anciens joueurs tiennent souvent des bistros. Je voyais donc Loulou très régulièrement. Un jour il me demande de venir jouer au rugby, il organisait un match entre les anciens joueurs, les nouveaux , les jeunes les moins jeunes. Enfin une histoire de famille du rugby local.
RépondreSupprimer- J'y connais rien au rugby Loulou, moi je suis foot plutôt
- Pas grave, t'as 20 ans , t'es sportif, tout ira bien. Et de toutes façons il me faut du monde. Si tu viens pas je ne t’achète plus de café.
Pas tellement le choix.
Le samedi venu je suis sur le pré. Celui de La Grenouillère, le même ou Loulou t'apprenait à visser tes passes mon Ritchie.
- Je fais quoi maintenant Loulou ?
- Tu restes le long de la ligne de touche, si un gars arrive en face tu l’arrêtes, si tu as le ballon tu l’emmènes le plus vite possible derrière les poteaux la bas. Ok?
On joue. Il ne se passe pas grand chose pour moi, je ne vois jamais le ballon à moins de 10 mètres. Faut dire que je suis les consignes à la lettre, collé le long de la ligne de touche. Soudain, d'un amas de joueurs qui se jettent les uns sur les autres, sort la balle, la, à mes pieds, à 10 cm de la touche. Je ne peux plus me cacher, je suis bien obligé de la récupérer. C'était la première fois de ma vie que je touchais un ballon de rugby. Autant dire qu'il me manquait quelques automatismes. Je lève les yeux, je les vois, comme au ralenti, qui se lancent vers moi pour m'abattre, me piétiner, me punir... Alors je cours, vite, loin, longtemps, en zig-zag de peur qu'ils ne me rattrapent. Je fais surement le double du chemin pour aller jusqu'aux poteaux. Je pose le ballon à leurs pieds. Je me retourne, ils sont tous à 5 mètres. Je suis content, les autres aussi, tout le monde se marre. Mais moi je suis juste content d’être encore vivant, d'avoir échappé à la meute.
Ça recommence, mais c'est plus tout à fait pareil, je vois bien que mes copains veulent absolument me donner le ballon. Ils y parviennent 2 fois. Même topo, je le mets au chaud et je cours, Forest Gump avant l'heure. 3 essais, qui ont provoqué plus l'hilarité que l'admiration.
Fin du match, quel soulagement.
- Tu devrais passer au rugby, me dit Loulou, tu cours vite et tu es plutôt...imprévisible!
- Mais non Loulou , jamais de la vie! C'était juste de la peur!!
Excellent Boss... tu ne.mavais jamais raconté ça. Pourtant dans le Grand Canyon, nous aurions eu loccasion. En tout cas tu as un talent de conteur, amigo. La biz
SupprimerExcellent forest gump ...Belle histoire
Supprimertrès marrant on voudrait voir le film !
Supprimerdes instants de vie, magnifiquerévélation
SupprimerBonjour Richard,
RépondreSupprimerRavi d'avoir en mains tes multiples entretiens avec les anciens des Grands Chelems. L'occasion de voir ce que pensent les vieux. Désolé d'en avoir vu partir quelques uns parce que nous manquons de clés pour aller mieux chaque année. Le dernier, Jean Pierre Bastiat avait beaucoup changé après avoir fini de jouer.
En ce moment j'ai l'impression qu'enfin le monde change, Les jeunes joueurs montrent qu'ils pensent autrement que les anciens. Leurs entraîneurs et éducateurs ont appris ailleurs que beaucoup d'autres éducateurs de notre rugby. J'adore constater combien le monde offre de nouvelles connaissances dans de multiples domaines. Le rugby évolue, le golf aussi, bien moins le tennis mes sports favoris.
Je suis enchanté de noter que Galthié, comme Ibanez et Giroud ont appris l'enseignement du jeu ailleurs que dans notre pays. L'impression que les All Blacks donnent des leçons en Afrique du Sud ou Australie de même que chez nous en plus de chez eux. Entraîneurs et joueurs changent l'esprit du jeu et demandent à chacun d'être responsable de son jeu pour avoir tous les liens nécessaire à l'unité de son équipe. Les jeunes français me semblent mieux éduqués que dans le passé.
Amusant de voir que le plus fort joueur de golf français dans le classement du monde est le fils d'un ami de Tarbes, ancien demi de mêlée du Stado, ancien professeur de sport, amateur de vélo et de bateau.
Il a suivi comme nous le rugby, le golf et le Vendée Globe ces derniers jours, Victor (prénom majeur) ne jouait que le matin à Abu Dhabi. Près de la victoire par sa régularité depuis 3 ou 4 années.
Les jeunes d'aujourd'hui mieux éduqués et entraînés que dans le passé vont avoir l'occasion de s'imposer non seulement au 6 Nations de cette année, mais aussi en 2023 au Championnat du Monde.
Plus pros sans aucun doute, mieux éduqués, a voir.
SupprimerLe jeune Victor,lui , il cumule, très pro et charmant jeune homme.
Son passage chez nous pour un championnat de double fût un plaisir.
Allez Vic, la Run y pousss pou ou.
Hello Michel
SupprimerIntervention très intéressante sur la tienne sur notre releve.1
Pour Pipiou, même s'il faut quand même maîtriser un minimum
RépondreSupprimer"Foot US : comment suivre le Super Bowl pour les nuls ? - L'Équipe" https://www.lequipe.fr/Football-americain/Actualites/Foot-us-comment-suivre-le-super-bowl-pour-les-nuls/1220871
Comme ça pipiou tu as un an pour te preparet
SupprimerHoulà, le coach il me met la pression...
RépondreSupprimerPar contre j'aime bien la visualisation des lignes, à étudier au rugby ?
RépondreSupprimerDopage institutionnel + commotions cérébrales à répétition = espérance de vie inférieure au demi-siècle en NFL!
RépondreSupprimerIl aura fallu je crois une menace de class action ( + de 4000 joueurs quand même!)pour que des mesures efficaces soient prises.
Et pendant ce temps la, Sexton qui doit en être à sa vingtième, bon poids, nous déclare qu'il se sent bien, et que de toute façon il est capitaine, alors....!
Allez comprendre!
Plus dramatique encore ; des joueurs se sont suicidés en léguant leur cerveau pour examen à la science ... très mauvaise image pour la NFL qui a dû oeuvrer en catastrophe pour trouver des soluces .
SupprimerEt avant lui, nous avions déjà connu le cas Brian O'Driscoll
RépondreSupprimerUn film est sorti sur le sujet
RépondreSupprimer"Seul contre tous"
Édifiant
A partir de l'histoire vraie d'un médecin qui a mis les pieds dans le plat
La league a en plus du verser 1milliard de dollar de compensant ( pour répondre au sujet class action) ils n ont pas attendu d etre cloué au pilori par un juge.
SupprimerLe hors série des autres Grands Chelems nous montre comment celui de cette année sera mieux préparé du point de vue des entraîneurs de cette équipe de jeunes. Marrant de retrouver les joueurs qui se trouvaient au restaurant pour se lier en équipe. Le plaisir de jouer est être bon individuellement mais avec l'amour pour les autres afin d'être forts ensembles. Les jeunes mangent moins mais parlent ensemble et courent bien plus vite qu'avant. Sexton aura avec son coup à la tête aura du mal même chez lui dimanche. Il va avoir une retraite proche avec beaucoup de mal. Comme les Rouges de Galles.
RépondreSupprimerC'est un grand joueur, Michel, ne l'oublie pas.
RépondreSupprimerFaut toujours se méfier des grands joueurs.
En 2018, on s'est retrouvés chocolat parce qu'il a claqué un drop de 45 m. alors qu'il restait autant de secondes à jouer...
je lis vos saillies et malgré une absence prolongée due à divers évènements (déménagement, changement de boulot, changement de région, emménagement, rupture des tendons du quadriceps, hopital, rééducation, reprise du nouveau boulot à Bayonne), je suis avec assiduité vos échanges.
RépondreSupprimertout d'abord, je me joins à l'hommage de Ritchie en l'honneur de Lulure, l'esprit du blog et du rugby réunis.
quant à l'EDF, jeu infantile... Si l'on considère qu'après le respect des consignes, on ne s'interdit rien et que la cavalerie peut s'envoyer, je vote pour un jeu infantilisé. Si on peut faire visiter le stade aux Irlandais et autres britanniques, je vote pour l'envol de l'imagination. si on peut voir des gestes à la Dupont pour offrir un trésor à Vincent, un peu comme Codorniou qui, sur une course rentrante, fixe 3 anglais pour offrir un caviar à Pardo (?), je suis heureux comme un gosse.
on a connu une dizaine d'années de rugby tellement pensé qu'il n'y avait pas de fonds de jeu ni d'espace, et la tristesse puis la lassitude nous envahissaient inlassablement, match après match. Alors, vibrer, transpirer, se lever, se réjouir, et se dire que "putain, ça fait du bien !", je vote pour.
alors, certes, les italiens sont tendres et celtes, les prochains matches seront d'une toute autre mayonnaise, mais on y va en se demandant comment on va les prendre et non comment on va perdre.
les grands de 1977 commencent à s'éteindre ici bas pour en allumer de nouvelles dans la voute étoilée, et la transmission de l'esprit s'anime.
petite anecdote avec le grand Jean Pierre : ma soeur ainée le connaissait bien dans un cadre professionnel et j'avais été opéré des ligaments du genou (eh oui, déjà) et je cherchais un kiné sur Dax pour ma rééducation pendant mes vacances. ma soeur en vient à parler avec Jean Pierre, qui me propose de venir le voir à son agence, et il s'est mis en 4 pour me trouver les meilleures conditions possibles pour ma rééducation. Il a pris des nouvelles régulièrement, on est allé au Bala club prendre un verre ensemble. voilà, un grand capitaine de l'équipe de France s'est occupé d'un jeune blaireau essayant de pratiquer le rugby dans un petit club de deuxième division, juste par amitié.
Après, dans le boulot, ce n'était pas un comique mais c'était Jean Pierre, l'esprit rugby
Ben dis donc Philippe cest un vrai changement d'existence ça...
SupprimerTe voilà devenu un enfant du paradigme.
Et belle anecdote sur le Grand. un chouette mec. Tu ne fais que me le confirmerais cest beau a lire.
Amitiés
D'accord avec toi Philippe. Pour l'instant, il y a pas véto sur l'EDF et la part des anges évaporée du tonneau vient d'être remplie à nouveau pour une belle cuvée à venir, si l'élevage reste aussi précis et sain.
SupprimerSinon, à ton époque, il y avait pas JP Bérot comme Kiné dans le coin ?
Sinon Michel, l'esprit épicuro sportif n'est plus de mise avec le pro, bien sûr. Maintenant, rencard direct aux vestiaires et stade/salle muscu, picétou...
jean Louis Bérot avait déjà son centre thermal mais c'est un Monsieur Dubaquié qui m'a remis sur pied avec une petite aide de l'océan pour raffermir tout cela.
Supprimermais c'était l'époque où la ville de Dax regorgeait de noms prestigieux, tu sortais de chez Bastiat, il y avait le cabinet dentaire Dourthe Lux, tu passais devant le magasin de sport Lasaosa et tu retrouvais Bérot, le café Lebonifieur avec JP Lescarboura et tout le monde se retrouvait au Bala Club autour d'une bonne bière ou d'un bon café.
En lisant cela, j'en viens à t'envier...
SupprimerUn grand joueur, assurément, mais comme (presque)tous les ouvreurs du monde surtout derrière un pack souverain.
RépondreSupprimerLe jeu certes puissant et bien huilé des verts est maintenant daté et prévisible, si les bleus les agressent devant, la fameuse demi-seconde d'avance, il devrait prendre un gros coup de vieux l'ami Sexty!
Allez les Bleus
bien peur que le match a Dublin se resume en de longue series de possession irlandaises transformant l ample landsstone road en un petit ring sur lequel O COMMOTION SEXTON sonne -vacillant refusera de jeter l eponge de plus les consignes restrictives de l entreprise FICHET GALTIE ne preludent guere a un beau spectacle mais heureusement le genie de super Dupond et les jambes de feu de certains releveront ce plat
RépondreSupprimerL'équipe de France à maintenant une doctrine, un plan de jeu basé sur l'occupation et la relance, c'est la tendance bien que les Blacks le pratiquent depuis longtemps.
SupprimerDans le respect de ce cadre j'ai plutôt l'impression que les garçons ont beaucoup de liberté, et comme ils sont bons!
Allez Chevreuse ( quand ?)
«Sexton’s doin' a brand new dance now
SupprimerC'mon Johnny do the low-commotion
I know you'll get to like it if you give it a chance now
C'mon Johnny do the low-commotion... »
Joli.
RépondreSupprimerÀ Dublin, sans Sexton le jeu au pied sera moins précis et efficace pour l'Irlande . Jelonch aime le jeu dur. Il s'adapte face au combat physique . Nos deux ailiers aiment et contrôlent les balles hautes en plus de jouer même hors de leur zone. Bonne composition de debut et dans les remplacements de fin de match.
RépondreSupprimerSi j'étais Irlandais j'aurais dû stress pour dimanche. Bon match à tous
Quand ça peut tiquer pour le trèfle...
SupprimerD'accord avec toi, Michel, mais les Irlandais ont des ressources hors du commun. Capables de se resserrer encore plus fort dans l'adversité. Le seul point noir, c'est leur ouvreur Burns, une belle burne verte...
Supprimer4 absents dont la char nière chez un trèfle voulant être à 4 feuilles porte bonheur. Reste le coeur... Attention quand même à ce qu'ils auront à nous sortir de leurs tripes.
RépondreSupprimerBla bla bla, le Trèfle reste le Trèfle sur ses terres. Ne faisons pas le Coq comme d'habitude malgré la doctrine de jeu actuelle. Le meilleur gagnera.
RépondreSupprimerbla bla bla toi même ;-) Le meilleur gagnera : tu parles d'un commentaire éclairant, toi... Je t'ai connu plus inspiré le samedi matin au petit déjeuner. La semaine a été dure ?
SupprimerBon allez, on passera aux choses sérieuses un peu avant dix-huit heures ! Mais franchement, ça fait chier que le Top 14 fasse doublon pendant le Tournoi. S'il y a une chose qui me hérisse bien, c'est ce manque de respect pour une compétition qui a nourri notre enfance, tout ça au nom du dieu télé.
RépondreSupprimerLe Tournoi, ça seOn se dorlote. On déjeune en pensant au match, même si c'est Angleterre-Italie. Et on sait que derrière, il y a Ecosse-Galles, et que ça va envoyer, sans calcul ! On se cale en famille dans le salon devant le petit écran en fermant les volets ou en tirant les rideaux. Et plus tard, les amis viennent avec une bonne bouteille pour refaire le match et parler rugby, pour le plaisir.
SupprimerAlors que là, il y a Championnat en même temps. On voit un ballon porté girondin tandis que Benjamin Kayser lance Angleterre-Italie. Nul. C'est nul. Trop de rugby tue le rugby. Parfois, notre époque me fait chier. Vraiment.
Puting, les italiens ouvrent le score à la 3e minute à Twickenham... I drink to that, pourrais-je dire si j'étais chez moi. Rasade de Grappa !
RépondreSupprimerJolie passe anglaise directement en touche sur attaque classique. Oups...
SupprimerAmusant.
RépondreSupprimerBel essai de J.May.
RépondreSupprimerJ'ai regardé vite fait les sélectionnés Anglais pour la Coupe du Monde 2015. J'en ai compté 12, mais je suis sûr qu'en faisant un petit effort on arriverait à en trouver de quoi faire une équipe...!
Alors, combien de Français de cette triste époque sont encore présent aujourd'hui et quelles conclusions peut-on en tirer?
J'allume à l'instant et que vois je ! Que le meilleur gagne. La question qui se pose ne faut il pas revenir à l'emblématique tournoi des V Nations ? A quoi bon depuis 20 ans de maintenir une Nation qui n'a jamais côtoyé les sommets ? A contrario, les cousins argentins ont su tirer profit du Four Nations. Finalement, des victoires à la Pyrrhus sont elles propres à valoriser le rugby ?
RépondreSupprimerJ'ai trouvé les Italiens formidables. N'oublions pas que les Français, qui sont entrés dans le Tournoi en 1910 ont attendu 1948 (soit trente-huit ans) avant d'être à la hauteur.
SupprimerJe ne peux qu abonder dans ton sens
SupprimerBon, si on enlève les guerres et l'exclusion, ça fait seulement seize Tournois, ce qui abonde dans le sens de Tautor. Nous sommes en 2021 : ça fait vingt-et-un Tournois que les Italiens sont dans le Tournoi : il serait temps qu'ils s'imposent un peu plus.
Supprimer1910-1914, puis 1920-1931, puis 1947.
SupprimerEntre temps, quelques gros clubs français (Toulon, Agen, Montferrand, Vienne, Romans, Bayonne, Bègles, Lourdes) s'étaient développés pour offrir le meilleur au XV de France.
SupprimerMes cousins italiens sont heureux de jouer avec nous même s'ils prennent des tôles....alors s'ils heureux soyons nous même heureux ...,quand aux doublons , c'est une honte , dieu sait que le foot aime le fric mais eux ils respectent....bon match à venir
RépondreSupprimerCette Nazionale n'a pas à rougir de sa performance (je dis bien perfofmance et non prestation) à Twicks
SupprimerPas vu le match mais lu que plusieurs essais ont été refusés...
SupprimerBon intéressantes vos réponses.
RépondreSupprimerAu départ même position que toi, aucun intérêt ce tournoi à 6. Et puis l'enthousiasme des Italiens m'a gagné. Des Anglais pris au près eux aussi. Des jeunes qu'il me tarde de voir dans 2, 3 ans.
RépondreSupprimerTristouille, les Gallois. Faudrait pas qu'ils se réveillent contre nous au dernier match. Ils en sont capables; Mais là, à Edimbourg, ils sont en dessous de tout.
RépondreSupprimerVu des bouts ( bons les bouts) de Bordeaux CapriSun des petits bouts d'Angleterre Italie et là je me régale avec Ecosse Galles, bon on sent que la routourne a tourné et que les papys ont du mal ... mais c'est bien . Il fait froid on boit chaud on se met sous le plaid ... what else ?
RépondreSupprimerLes écossais font plaisir à voir jouer .... il faudra se méfier d'eux et tu as ritchie, que les gallois ne se réveillent contre nous
RépondreSupprimerOui, Marc, si l'Ecosse perd, il ne restera plus que les Gallois et nous pour un possible Grand Chelem et si ça se joue au dernier match, ça va être grandiose.
SupprimerEt oui, j'ai eu tort de les enterrer trop tôt, ces Gallois ! En tout cas, quel match ! J'aime ces matches entre Celtes. Galles-Irlande était musclé, ce Ecosse-Galles est renversant (au sens du suspense). Ca me rappelle les après-midi avec mon père pour voir ces chocs-là, du rugby à l'état pur, comme il se jouait il y a un siècle...
RépondreSupprimerEt oui ... et le meilleur gagnera 🙈😉💉🏈
SupprimerEn infériorité numérique, le meilleur, c'est le moins handicapé...
SupprimerJe crois que le meilleur a perdu, ce soir, Tautor. Ne t'en déplaise ;-)
SupprimerDe la vidéo qui change du tout au tout l'âme, l'esprit d'un match mais bon en plus de l'arbitre de champ elle fait partie du jeu et devient de plus en plus chirurgicale
RépondreSupprimerLe courage écossais !!! Ca me donne envie de savourer un single malt ce soir...
RépondreSupprimerCette nation est extraordinaire... Comme l'écrit Jacky Adole, à ce jeu de rugby, il leur arrive de ne pas gagner mais ils ne peuvent pas perdre. Même s'ils s'inclinent 24-25 ce soir.
SupprimerDes Gallois en mode hold up, quand même...🤔
SupprimerSuper final, sont incroyables .... tous !
RépondreSupprimerRien à ajouter, du plaisir, rien que du plaisir
RépondreSupprimercomme toujours ces vaillants Ecossais echouent de peu frustrant non
RépondreSupprimerles Anglais par contre triomphent sans gloire ni panache depuis le brexit ils flanchent
la surabondance de matchs le meme jour devalue l evenement de gerer le top 14 et l equipe de france se revele aussi limpide que la lutte face au covid
certains aimeraient voir les clubs cotes en bourse et ainsi n etre plus qu une simple valeur financiere livree aux marches
maudite evolution a laquelle on devrait lui adjoindre un grand R en tete
En vue du rugby, plaisir de voir le tournoi de 6 nations , mais c'est pénible de voir le Top 14 et même le Pro D2 au même moment. Je crois que je vais lire, j'ai Le code de sagesse. J'ai juste passé un moment à voir The Irishman l'entraineur principal de La Rochelle. Content qu'il soit à ce poste , j'ai aimé Ronan O'Garan même avant.
RépondreSupprimerBonne soirée à Toulon.
Il y a un très chouette article sur le blog d'Olivier Villepreux qui parle de ces Ecossais imprévisibles puisque non-calculateurs par essence, et de la nécessité de conserver ces "petites" équipes dans le Tournoi (que sont actuellement les Italiens, qu'ont longtemps été les Ecossais jusqu'à ces dernières années), tant pour leur propre existence rugbystique que pour la vitalité du Tournoi; pour résumer: il faut les garder, c'est autant nécessaire pour leur propre rugby que pour conserver au Tournoi son imprévu, sa fraîcheur, tout ce qui fait son charme, voire son mystère.
RépondreSupprimerDimanche dernier, certains imaginaient déjà les Ecossais vainqueurs à Twickenham après 28 ans d'attente gagner le Tournoi sinon un Grand Chelem; 8 jours après les cartes sont rebattues, les Gallois difficiles vainqueurs d'Irlandais réduits à 14 gagnent leur 2ème match consécutif à Edimbourg après une longue disette, les Anglais battent nettement de fiers Italiens mais sans convaincre et nos jeunes français, demain, deviendront selon leur match, ou des cibles faciles ou des dieux vivants auxquels on prédira l'avenir le plus radieux.
le Tournoi restant pour notre plus grand bonheur cette compétition imprévisible toujours renouvelée, nous en sommes réduits à supputer sur des détails: que fera cette charnière irlandaise inédite, va-t-il pleuvoir demain sur Dublin, Dulin et Penaud répondront-ils présents sous les chandelles irlandaises, etc... ? Et aussi bien cette charnière nous surprendra comme Murray et Sexton ne le font plus depuis plusieurs années, et sous un franc soleil ce seront les Irlandais qui joueront tout à la main au rebours de tous nos entraînements de la semaine.
(Bon je déconne, en fait on va gagner à l'Aviva parce que devant on est costauds, et aussi sérieux en défense que prêts à mordre dans un intervalle quand il se présente)
Au fait, copains et copines, vous avez pu récupérer le Hors Serie Grand Chelem ? Si ce n'est pas le cas, dites-le moi, je peux essayer de vous en envoyer un. Premiers signalés premiers servis... Avec adresse postale, svp.
Supprimer"Le poireau plie mais ne rompt pas", l'amalgame d'un capitaine légendaire, de joueurs d'expériences et de jeunes pousses montre à quel point rien n'est écrit par avance ni gravé. Les Calédoniens payent chers le carton rouge et soulignent encore plus que la bravoure n'est hélas pas si payante que ça. "Braveheart" reste une anthologie et une caricature du chardon mais aujourd'hui il faut vaincre le signe indien de l'honorable défaite. A Greg de canaliser ses troupes vers l'essentiel la Victoire.
RépondreSupprimerCe qu'il a fait à Twickenham. Ne tkt pas pour lui ni pour eux. A 14 ils finissent à un point avec des remontées de 80 m. Ils n'ont pas dit leur dernier mot dans ce Tournoi et on peut craindre que nous en fassions les frais.
SupprimerOuais, z'ont pas été servis fondants... pourtant plutôt confondant pour les scottishs...
SupprimerBonjour,
RépondreSupprimerJ'ai bien le hors série Richard et ce que j'y ai lu montre bien la différence avec le jeu des jeunes joueurs et équipe d'entraîneur de maintenant. Le plaisir de revoir les copains et comment ils ont vécu leurs grandes victoires dans tes histoires.
Je pense que ceux d'aujourd'hui ont été choisis par l'équipe du président FFR que peu de gens aiment mais qui a gagné beaucoup de ses projets personnels. Joueur, champion de France à Bègles, meneur de victoires à Toulon en Championnat de France et d'Europe. En sélectionneur, finale de coupe du monde perdue parce que les relations avec les clubs étaient plus difficiles jadis.
Pour mener l'équipe de France d'aujourd'hui Ibanez a passé 3 mois en Nouvelle Zélande pour comprendre ce qui se passe dans le jeu moderne. Il peut assister Galthié et Giroud plus le roi de défense (Shaun Edwards) et d'attaque devant et derrière avec ce qu'ils ont en tête. Ce sera utile cet après midi, l'équipe est construite il me semble.
L'équipe de France d'aujourd'hui à Dublin est déjà en "forme" de jeu de cet après midi avec le timing de la semaine. Nous ne verrons pas le même match qu'à Rome. Dublin n'offre pas les même possibilités. Chacun ce matin marche doucement mais à son esprit dans le jeu et le poste qu'il a. Il pense de manière individuelle comment il doit jouer pour que son équipe gagne. Le management a changé avec l'arrivée de Laporte et tous ceux qui l'accompagnent.
Marrant de constater ce matin que pour changer l'esprit du tennis (jamais gagné au plan mondial) et qui n'est toujours pas bon dans l'éducation en France, Moretton a été élu président hier. Il est de Lyon et ami de Jean Michel Aulas et Tony Parker, mais en colère dans ce qui est mené dans ce sport depuis longtemps (même avec mes copains des Pyrénées dont Jean Gachassin (meilleur au rugby). Bon avenir que pour le rugby dans le tennis prochainement. Quand fait on des choses nouvelles dans l'industrie que l'on a laissé partir en 1968?
Bon match
Les jeunes qui décident de piloter ce pays me font un grand plaisir tous les jours
Tu as raison, Michel. Dublin n'est pas Rome, pour l'instant. Vingt minutes horrible pour les Bleus...
Supprimercet apm , comment vont être nos 4 piliers?????
RépondreSupprimerpar ailleurs, au cas ou vous ne l'aviez pas remarqué depuis qq semaines, il y a à La Rochelle un ailier qui crève souvent l'écran, Raymond Rhule. Comment font ils dans ce club pour entrer une telle pépite?
RépondreSupprimerIls font leurs courses à Grenoble ... snif !
Supprimerla Rochelle a un meilleur arsenal que Toulon
RépondreSupprimerla plaisance navigue au large les puissants cuirassiers peinent a manoeuvrer
en baie de Dublin il faudra endurer les deferlantes subir de nombreux assauts et trefle de plaisanterie bouter le celte
🤣🤣🤣
SupprimerSans Sextant la flotte Irlandaise aura du mal à prendre le large
RépondreSupprimerPetit coup d'arrêt pour un Chardon pourtant vivace ces derniers temps, péché de jeunesse, coupable inattention?
RépondreSupprimerFace a ce poireau un peu fané qui ferait p'têt bien de repiquer quelques jeunes plan et pas qu'a l'aile , toujours pas compris comment ils ont pu bouffer la feuille à ce point!
Pour avoir tellement badé Alun Wyn et quelques uns de ses potes, on peut quand même penser que leur avenir est derrière eux, que 2023 c'est loin, ça va être long.
La Undeb Rygbi Cymru pour ceux qui ne pratiquent pas le Cymraeg ( oui, bon !)nous avait de tout temps habitué à plus d'audace!
Mais bon, les voila avec deux victoires et ici comme au Golf, on te demande combien, pas comment, s'pas?
Allez, c'est le Rugby , c'est ça qu'est bien!
Oh là là, quel vilain premier quart d'heure français ! Tout ce qu'il ne faut pas faire...
RépondreSupprimerCroque en jambe....après 3 touches perdues, et quelques pénalités. Y’a pas à dire, on commence bien
RépondreSupprimerOn a décidé de faire n’importe quoi ?
RépondreSupprimeroui, faut croire
SupprimerÇa change de l'Italie, ça flambe moins
RépondreSupprimerEt, pas si incroyable, première attaque combinée première main, et essai ! Ils ont quelque chose de particulier, ces Bleus.
SupprimerEn infériorité numérique, qui plus est...
SupprimerA la fois de la force mentale, de la confiance et du talent !
SupprimerIl a fallu 29mn pour sortir de la sieste...
SupprimerLe décalage horaire
SupprimerEspérons qu'ils se débrident un peu plus sinon ça va être long !
RépondreSupprimerNous sommes surtout forts en contre
RépondreSupprimerLà, il em semble que c'est une attaque en première main derrière touche, non ?
SupprimerMais c'est vrai que ces Bleus sont forts en contre
SupprimerCe n'est pas un ballon perdu par les Irlandais au départ
SupprimerNon, c'est une touche à 40 m
SupprimerPunaise à côté de Galles Ecosse c'est laborieux ...
RépondreSupprimerLes Irlandais sont chiants à jouer, la main sur le ballon dans les rucks, accrocheurs et surtout, là, dominateurs.
SupprimerEt encore il n'y a ni vent ni pluie froide ni 60 000 Irlandais qui poussent derrière leur équipe en hurlant...
SupprimerConsidérant la première demi-heure déplorable, virer en tête 10-3 à la pause est tout à fait inespéré, avouons-le. Même si l'essai doit tout au talent des Bleus.
RépondreSupprimerChirurgical
RépondreSupprimerTranchant, oui. Au scalpel.
SupprimerRien d une ballade irlandaise Aldritt meonsieur propre
RépondreSupprimerEt une passe de merde pour Dulin
RépondreSupprimerC'est nettement mieux
RépondreSupprimerAlors qu'on voyait le break via Penaud, un mauvais rebond change la donne : 15-10. Les Tricolores toujours en tête mais 20 mn à jouer et fighting spirit attendu.
RépondreSupprimerFaudrait pas finir par avoir des regrets
RépondreSupprimerOuf !
RépondreSupprimerEt de deux .... Et jamais deux sans trois non ? 🙈🙈💉💉💉
RépondreSupprimerPlein de choses à revoir mais à la fin une défense sans faute avec un Dupond qui assume. Une nouvelle facette de cette équipe
RépondreSupprimerSauf sur l'essai irlandais consécutif à une récup d'Ollivon sur touche adverse, très mauvais placement de Villieres partant sur l'intérieur (anticipation ?), mais tape récupérée au rebond en bord touche par Keleher et plus personne pour l'empêcher de marquer. Villieres trop loin pour revenir.
SupprimerOllivon en hausse, comme Aldritt, Penaud.
Savoir l'humilité avant d'humilier... Des irishs au potentiel habituel, avec des interventions ruckales chirurgicalement pas bancales. Quoique plus que limites parfois. Bref 1 score qui laisse un goût d'inachevé, à part la victoire, la cerise sous la chantilly qui n'a pas pris. Mais de la confiance qui devrait être engrangée quand même. Une EDF un ton en dessous devant une équipe un (gros ton) au dessus l'Italie, les vases ayant quand même communiqué pour la France. A venir, un match avec du chardon à couper au couteau en vue d'une 3e victoire. Faudra bien être aiguisé...
RépondreSupprimerBen le plus dur reste devant ! Pas plus rassurée que ça ...
RépondreSupprimerles irlandais gardent et conquierent le ballon mais pour un usage sterile
RépondreSupprimerdu cote francais on cree des situations propices a scorer
un rugby allechant apres tant d annees de disette
un prix d excellence a DULLIN ET ALDRITT
Ouais, c'est la différence, encore fallait il la scorer à leur avantage... De justesse mais réussi. Sauvé l'essentiel.
SupprimerLes Irlandais ont peut-être trouvé en intensité ce qu'ils ont perdu en précision,juste une impression mais la quasi certitude qu'ils ne gagneront plus souvent contre une grosse équipe sans remise en question de leur jeu.
RépondreSupprimerEt les Bleus en sont une maintenant, de grosse équipe!
Une grosse équipe qui maîtrise son début de match,pas plus impressionnée que ça par le quart d'heure dublinois
Quelques maladresses et autres pénalités, rien de plus normal,mais la maîtrise et surtout le planchot sont restés bleus.
Et c'est têtu un planchot !
Franchement sans ce ballon qui tombe entre les mains du Talon ( ah oui, majuscule a Talon, toujours,je sais pas pourquoi )et leur remet un peu d'essence , pardon de gas oil dans le gicleur, ils terminent les mains dans les poches, les coquelets, non ?
Allez Chevreuse