"C'est l'heure où les adeptes du strapping se pressent autour de la boîte à pharmacie tandis que notre soigneur, hilare, muni d'une paire de ciseaux, tente de répartir les bandes d'Elastoplast entre tous les rapaces, joyeuse pagaille dans ce vestiaire où tous déballent leur équipement. Mais on sent que ça monte ; là, il y en a encore qui crânent, balancent quelques vannes chuchotées, mais chacun sait au fond de lui que c'est parti, le match arrive, il est là, palpable, et la boule de stress qui nous prépare au combat n'a plus à être cachée. On l'a tous et on la partage désormais. Pas de pudeur, on va y aller ensemble.
Nous connaissons la valeur de l'équipe que nous allons affronter, nous savons qu'elle développe un jeu plus complet que le nôtre, mais putain, y'a pas que ça, ooh non ! On ne va pas les laisser gagner chez nous... Oh ça non ! Oh que non ! Notre capitaine distribue les maillots dans l'ordre de la feuille de match. Les rituels se mettent en place dans un mysticisme qu'aucun ne songe à commenter ; l'un enfile le même vieux tee-shirt qu'il porte sous son maillot depuis son première match en première, il y a bien des années ; l'autre sort sa paire de crampons dégueulasses - il ne les nettoie jamais - et les chausse en respectant soigneusement une chronologie qui nous échappe ; tous massent vigoureusement leurs mollets et leurs cuisses avec un cocktail à base d'Algipan ; et celui-là se gargarise avec du Synthol qu'il recrache bruyamment dans les douches en poussant des rugissements ; et celui-ci balance des coups de boule dans tout ce qui passe à sa portée.
Ouais, ça vient, ça monte doucement dans le bruissement de l'Elasto qu'on détache de la bande plastifiée pour enserrer la tête de ceux qui jouent en tronche, dans les éclaboussures d'huile camphrée, dans l'odeur médicamenteuse des baumes chauffants. Et puis parfois, une interjection, de type sommaire, résonne : "Ils vont pas nous baiser, merde !", ou de type consigne impérative : "Et toi, tu t'appliques sur les lancers de pizzas, d'accord ?" Le vieux masseur distribue des chewing-gums en faisant le tour du vestiaire, prenant le temps d'ajuster une virgule de vaseline sur les arêtes nasales avant qu'on entre sur le terrain.
L'équipe au complet est maintenant réunie dans les douches, épaules contre épaules. Notre capitaine annonce les modalités sur un ton péremptoire dans le vacarme des crampons sur le carrelage : "Echauffement sans ballon, on s'en branle du ballon ! Aujourd'hui les gars, on va remuer de la viande pendant quatre-vingt minutes... Ne vous attendez pas à autre chose, je me fous de la manière, je veux des copains... On s'engueule pas, quand y'en a un qui fait une connerie, on s'y met deux fois plus... On sort en bloc, on regarde personne, on ne dit pas bonjour à maman, direction l'en-but du côté du tennis, on parle à personne, on est de vrais cons, on reste concentrés sur ce qu'on a à faire... Bordel, vous êtes prêts les gars ?"
L'équipe se concentre en piétinant devant la porte du vestiaire. Le bruissement de ce magma humain est ponctué de profondes expirations ; les regards se croisent et se verrouillent sur un clin d'oeil complice, parfois on se prend mutuellement la tête à deux mains pour un petit coup de boule d'encouragement, et ça renâcle, et ça trépigne, et ça se tape les épaules et les pectoraux du plat de la main... Il est temps ; le capitaine hoche la tête vers l'entraîneur qui s'efface, la porte s'ouvre. Meute compacte, nous sortons."
C'est la lutte finale. Moment singulier au terme de vingt-six journées à classer et déclasser, vingt-six matches, d'aout à juin, faits pour suer, saigner, se souder et se lier. Des brèves défaites évacuées aux longues nuits de victoires arrosées, et inversement, instants de communion cosmiques, d'entraînements foireux, de passes aveugles, de remplacements précipités, d'efforts inexorables et de confusions épiques. C'est l'heure où les statistiques n'ont plus aucun sens, où l'équipe n'est pas composée des meilleurs joueurs de l'effectif mais des plus fiables, des plus solides, des plus hermétiques au stress. C'est l'heure où tombe le couperet, sans match retour.
Les Girondins reçoivent les Montagnards tandis que l'Ile-de-France se découpe en clans irréconciliables à l'heure de monter sur Seine : noeuds papillons roses contre éclairs fuchsia. Les porteurs de croix catelan affrontent vendredi soir les hérauts de Blanche de Castille, ce qui est plus viscéral que d'être pro ou anti Fickou qui, de toute façon, est natif de La Seyne. Dans quelques instants, ne resteront que des souvenirs qui, floutés, finiront par s'estomper, émotions nébuleuses entre amertume et dérision. Le vainqueur, parce qu'il y en aura forcément un, et même deux ce week-end, tapera sur l'épaule du perdant, encore accroupi sur le gazon, le regard dans le vague ; "Allez, relève-toi mec, relève-toi..." Il lui donnera l'accolade et ajoutera dans un souffle : "Vous avez une fameuse équipe... C'était un sacré match ! On se retrouve après, pour la bière ?"
Les yeux humides dans les vestiaires, les remerciements chuchotés en de furtives étreintes, quelques grossièretés vociférées en signe de dérision, des bourrades complices quand il n'y a plus de mot. Il ne restera de ces duels qu'une ligne de résultat et elle ne sera pas dans les palmarès car il y a encore long à vivre pour soulever le Bouclier de Brennus. Cette phase finale est le chemin d'une croix lourde à porter, trois stations crescendo situées en altitude où désormais seuls six clubs ont accès. Toulon, Castres, Lyon et Montpellier sont restés dans la vallée de larmes mais deux d'entre eux, le Racing 92 ou le Stade Français, Bordeaux ou Clermont, déchanteront à leur tour. Faites vos jeux !
Merci à Charette, aka Bruno Sarraude, pour cette passe à hauteur d'auteur et cinq paragraphes de son succulent roman ovale, Epopée (Edilivre, 2018), dont je ne saurais trop vous conseiller la lecture.
C'est vrai que c'est bien écrit.
RépondreSupprimerRéjouissant ce texte ! On dirait le rugby d'avant, j'aime bien "ceux qui jouent en tronche" et "on parle à personne, on est de vrais cons " . Du Audiard qui serait venu au XV . Mais pas travaillé dans la férocité, oh non ! De la dentelle et du sentiment . Presque de l'ouvrage pour dames ( enfin du temps où les dames étaient de vraies dames et pas des succédanés de mecs ) . On sent le vécu, l'auteur qui ne s'est pas remis d'avoir vieilli sans ses copains sur le pré . Putain de vie ! Ah l'odeur du camphre de l'Algipan et du Synthol, toute une pharmacopée en forme de madeleine de Proust . Ouais .... putain de vie !
RépondreSupprimerJe plussoye la Nini attitude, c'est toujours comme ça ou presque au chaud des modestes vestiaires écaillés et frisquet.
SupprimerUn peu moins teston, un peu plus policé p'têt, le pragmatisme y gagne ce que le folklore y laisse, pas grave, l'esprit qui pue l'Algipan et l'embrocation siamoise , pourquoi siamoise, bande encore.
Allez, ça pue l'Algipan, hein,et ça me manque,mais alors !
Merci un régal pour aider à passer la semaine. Martine
RépondreSupprimerMerci Martine. Allez l'Aviron, donc ?
SupprimerJoli, mais pas le rugby d'avant, si on oublie les pro c'est tout pareil en-dessous, émotions toujours aiguës et odeurs de baumes qui piquent les yeux.
RépondreSupprimerEn fait le seul souci de notre sport ovalien, cest d'en avoir fait pour quelques intérêts gourmands et mercantiles un job et un métier ordinaires, alors qu'il est resté pour tous les autres un jeu de ballon au pied et à la main prétexte à passer une belle jeunesse puis la prolonger.
un rendu des vestiaires sans le cote voyeur de canal
RépondreSupprimercette attente cette preparation veritable alchimie
joindre ses forces a l equipe et ne pas se decevoir
nostalgie
un rappel au dolpic et a l alcool de menthe
AH le dolpic, aussi chauffant avant -le match- que brulant après -la douche-, jeune au milieu des grands il y a longtemps, souvenirs de quelques dimanches soirs chauds-brulants dans le bus du retour vers Noisy le sec après avoir ferraillé l'après-midi contre les sauvages de Chevreuse, du Massif-Central, de Savigny ou des Finances
RépondreSupprimerEt du P.U.C., non?
RépondreSupprimerNon !
SupprimerEntre cadets et vétérans une éclipse de vingt ans avec les violets.
Leur nef était plus hauturière que notre esquif.
Mais une constante quand-même,z'avaient toujours un peu des têtes a claque.
Allez ( les vieux boucs de ) Chevreuse .
A Noisy (Le Sec hein, pas confondre avec le Grand), c'était qd-même plusieurs niveaux en-dessous de la ligne de flottaison des gros tonnages de là-haut des violets, un 3ème ligne de chez nous l'était parti chez les pensionnaires de Charléty, dans le jeu bon en partant meilleur en revenant, pour tous les à-côtés du rugby, moyen en partant l'était revenu avec un bagage impressionnant et un répertoire d'enfer, du haut niveau !!!!!!!!!!!!!!
SupprimerJ'avais côtoyé R.Antonin dans des formations d'éducateur, m'avait captivé, mais plus jeune pouvait pas les piffer les P.....ucistes, nous mettaient leurs cadets.3 ou 4 en chpt de poules IDF puis leurs cadets.1 dès les phases finales, et au concours du jeune rugbyman, entre eux et les rayés du RCF y'avait pas de place pour les bouseux du comité.
Après, j'ai eu un bon copain qui a fait quelques saisons chez eux, ça l'a bien marqué.
Sont en féd.2 je crois, plus de Charléty la belle huitre pleine mais une cipale déserte, quelques minots marchent-ils encore dans les traces de crampons de R.Blachon et G.Mourie ???
Allez Brive, et les vieux boucs d'ici et d'ailleurs !!!!!!!!!!!!!!
Chronique d’une saison perturbée …( à l’heure où l’on regrettera amèrement le retour en tribune agrémenté de son inimitable combo bière tiède/sandwich merguez )
RépondreSupprimer“ Le matin de son échec en effet, le RCT n’avait pas eu un instant de certitude lui qui n’ignorait pas ce que pouvait coûter l’outrage qu’on lui imputait. Il connaissait son monde et le naturel chafouin de ses supporters, et il devait savoir que la rusticité de Coco-le-drôle-d’oiseau n’admettrait pas la dérision.
Le Maître de céans ne se livrait guère mais le Radeau de la Rade ne pouvait pas ne pas pressentir que, sous ses airs de futur ex-grand de ce monde, il était, comme tout un chacun, prisonnier des réalités du jeu et de ses aléas saisonniers. Dans ces conditions, une insouciance délibérée eût correspondu à un suicide. Et puis, en découvrant au dernier moment que les frères castrais l’attendaient pour l’éliminer, il n’avait ( même ) pas été pris de panique, comme on l’a si souvent répété, mais avait plutôt fait preuve du désarroi d’une coupable innocence.
Je crois quant à moi qu’il disparut en comprenant un peu trop sa déchéance.”
Hé Pom,il marcherait pas un peu à côté de son déambulateur le prez de chez vous, là?
SupprimerAllez les minots
Disons qu’après des années d’une usante communication tous azimuts, la nouvelle parole présidentielle nous a semblé bien reposante.
SupprimerReposante mais alors tellement reposante qu’à ce niveau aujourd’hui, on frôle le létal.
M’enfin bon; sans entrer dans le détail du pourquoi du comment du complet foirage de cette pénible saison, on sait que les joueurs vont être auditionnés individuellement. Ok. On a pu constater qu’en cours de match, ils étaient effectivement souvent pris de cet état qui “les laisse parfois, pendant quelques instants dans un état d'hébétude et de torpeur qui confine à l'immobilité.”
Mais du coup, le supporter retors se pose cette question : la faute à qui, hein ?
Allez le sabordage
Jules a des difficultés : la route est semée d’embûches et le camion de pompiers ne roule pas comme il le voudrait ; Cela fait déjà trois fois qu’une main bienveillance ramasse les chaussures de la poupée de Victoire. Pas facile de mettre des chaussures à une poupée lorsque l’on est assise en équilibre. Louis qui vient de se lancer dans une carrière artistique à aussi une problématique : le capuchon de son feutre est en train de dévaler les escaliers.
RépondreSupprimer80 minutes c’est long même lorsque l’on a pas vraiment la notion du temps ; celui qui les mènera sur les épaules de ceux qui des le coup final leur tendront les bras
Un tchic d'un côté
RépondreSupprimerUn tchac de l'autre
Un geste pour placer ses coéquipiers
Un autre pour annoncer.
Une feinte sur le défenseur et ce drop qui fuse.
Le ballon s'élève vers ces poteaux célestes en vrillant sur lui-même pour mettre son nez dans la victoire, celle du Brennus attendant les bons bras qui allaient le ramener dans sa nouvelle maison.
Un radeau médusé, l'autre en rade. Un jeu s'est fait, l'autre s'est défait.
Ses adversaires étaient assis.
Lui l'était sur les épaules des autres.
Good game auraient dit certains...
Une épopée, que dis je une odyssée méritant bien son iliade. Les élastos volaient en l³air, l'eau ruisselait d'or et déjà sur les corps fatigués, fédérant l'ivresse du moment.
Des vestiaires, le bruit et l'odeur... Mais rien à voir avec les paroles d'un certain de la Corrèze...
Rien que l'Odyssée
RépondreSupprimer"Epopée va de pair avec la tragédie en tant qu'elle est une imitation, à l'aide du mètre, d'hommes de haute valeur morale, mais elle en diffère en tant qu'elle emploie un mètre uniforme et qu'elle est un récit" Aristote
en lisant ce récit me revient Ulysse, l'Iliade et l'Odyssée, la candeur et la sagesse de la tragédie grecque. Rien n'est plus pareil à l'entrée ou à la sortie du vestiaire si vous êtes vainqueur ou vaincu. Pire comme certains de nos anciens ici et là, la saveur n'a pas le même gout selon que l'on joue une bataille ou une guerre. Ceux du "D Day" auraient pu nous l'expliquer, l'enjeu tuant le jeu et noie l'innocence de la défaite dans un crédo de la victoire. A chacun sa sensibilité, son émotion, son abnégation, sa préparation pour convenir d'un match qui va rester la signature d'un groupe gagnant ou défait. A chacun ses habitudes, son Dolpic, ses mots, ses marottes, le joueur devient habité au champ des sirènes de la victoire ne croyant en rien qu'il peut perdre crucifié sur le pré. Et pourtant, chaque année, cette adrénaline revient pour notre plus grand bonheur, et la peinture faite par Richard n'est rien d'autre que notre madeleine de Proust. Le vestiaire est comme un confessionnal, un lieu de pèlerinage, d'alchimie et de reclus ou tout est pensé, tout est dit et tout est fait pour ne croire qu'en une seule vérité celle de la gagne et non celle du crucifix. Tout le monde n'est pas Ulysse pour revenir à Ithaque retrouver, victorieux, Pénélope et conquérir son âme. Seul Argos et Eumée savent que dix ans c'est long, que la patience est la première des ruses, que le stupre et les prétendants finissent toujours par perdre. Alors, oui, l'épopée peut s'écrire, s'apprivoiser, se raconter, être vécue, dans la mystique que nous offre l'ovale avec ses rebonds capricieux, injustes et purificateurs d'un jeu de mains, de corps et d'esprit ou chacun se construit dans cette atmosphère sulfurée aussi dense que furtive. Le pèlerinage peut commencer avec au bout du chemin l'épopée de la sueur et des saveurs. Tout ça n'est que poème, poésie et rares sont les héros homériques qui peuvent en parler.
Tres beau texte, Tautor
SupprimerUne belle histoire du rugby que l'on avait il y a longtemps même en juniors. Les mots et les actes ont changé aujourd'hui mais l'esprit de son club et de sa région est je crois encore dans cette manière de construire son jeu pour gagner. Nous pourrons regarder les matchs des semaines qui viennent en relisant ce vieux souvenir.
RépondreSupprimerMerci Richard
Que de blessés ce weekend, fracture avant bras, luxation épaule, rupture du LCA, trauma des chevilles et genou, fracture du visage, fracture de la mâchoire, .... Alors quelle épopée désastreuse sur un match, quid des prochains?
RépondreSupprimerOui, chaque journée de compét' amène son lot de blessés, souvent pas anodins.
SupprimerMais qui s'en soucie vraiment ??? Les clubs pro ??? S'en foutent complétement, l'ont de la main d'oeuvre à disposition et à foison !!! Les joueurs ??? Les gladiateurs font la queue, prêts à se faire casser la gueule, voire à finir en fauteuil ou en unité spécialisée, peu importe pourvu qu'ils aient le job !!! Les partenaires, sponsors, diffuseurs ??? The show must go on, le reste mon bon monsieur on s'en tape le coquillard tant que les subsides, bonne pioche, rentrent dans les bonnes poches.
La violence de ce rugby d'aujourd'hui est dramatique, à chaque journée son lot d'estropiés, mais qui s'en soucie vraiment ??? Les mamans horrifiées n'amènent plus leurs petits dans les EDR mais qui s'en préoccupe vraiment ??? Les mains courantes prennent la rouille et les buvettes ne moussent plus mais qui s'en inquiète vraiment ???
Tout en bas, existe encore le rugby JEU de ballon, avec ses dirigeants bénévoles qui tracent les lignes, nettoient les vestiaires, gonflent les ballons, lavent les maillots, ses éducateurs qui trouvent encore dans ce jeu un lien social et un bon moyen d'entretenir et leur amour du jeu et leur passion des êtres, ses joueurs qui parfois loupent un entrainement pour un apéro un peu trapu, parfois sont en retard au moment du rendez-vous, mais au final sont toujours présents au moment de se colleter avec les autres là !!!!!
P..... Faut-il l'aimer ce jeu pour encore en parler alors que sa vitrine fait tout pour que l'on s'en désintéresse.
Finalement, ici comme autour de moi, je ne fais que parler d'un rugby qui n'existe plus, comme si s'intéresser à l'ersatz de ce jeu qu'il est devenu entretenait, à mon corps défendant, l'intérêt à y porter.
Et si, vraiment " ... Tout ça n'est que poème, poésie et rares sont les héros homériques qui peuvent en parler ...", où sont ces jours derniers les poètes de ce jeu et les héros dont demain pourraient s'inspirer les minots -et, en même temps, faire retrouver aux anciens les plus simples émotions ovales- ???
https://www.youtube.com/watch?v=2khoMUvSz_4
Supprimeril faut lancer une souscription pour construire le tombeau du rugby inconnu
RépondreSupprimerla flamme nous l aviverons avec notre nostalgie et avec la conviction que notre RUGBY ATLANTIDE disparu suite au tsunami de l ere percussion
qu importe si le regne de ce rugby moderne impose des pertes importantes des corps casses il y a toujours des NAPOLEON pour declarer peu me chaut les pertes pourvu que j ai l ivresse du combat
Napoléon se souciait énormément de ses soldats ! J'ai pas mal bossé le sujet et tu serais étonné ... Quant à l'ivresse du combat ... non il a suffisamment combattu lui même pour en être revenu .
SupprimerEtonnant oui. 600 000 soldats morts en 15 années de guerres napoléoniennes. Aimé de ses troupes. Rien à voir avec les généraux bouchers de la 1ere guerre mondiale
SupprimerOu la terrible tuerie que fût la guerre de Trente Ans, par exemple
SupprimerReste que la relation entre les blessures et le jeu pratiqué en rugby aujourdhui pose question. Dès la fin des années 90 du siècle dernier, Jacky Adole m'avait alerté sur ce sujet. Relisez "Mon sac de rugby". Prémonitoire
SupprimerLe "Petit Napoléon" d'à nous, du café "le centre" et du "Moulias", une campagne ovale de 1977 avec ses 15 grognards, un grand chelem à la fin, les anglo-saxons défaits malaxés digérés concassés, pas un soldat mort tous debout prêts à y repartir si l'envie reprenait au grand Jacques.
RépondreSupprimerLes grognards tous Maréchaux, galons gagnés au feu rugby, la bataille du poireau âprement disputée, la guerre de Twickenham tranchée-frontal-violence crachats insultes des sujets de sa Majesté, la balade écossaise au parc des princes, aérienne et virevoltante, apothéose en faisant bouffer le trèfle de Lansdowne-road à des Irlandais à ce moment-là pas encore trop indigestes.
Des Maréchaux, je vous dis, de Paco tenant la 1ère ligne en pleine crise d'appendicite et Cholley allongeant une belle droite en pleine poire et pas de vidéo-machin-chose, en passant par JP.Romeu au flegme so british jusqu'au 15 de Bagnères Aguirre la colère des dieux.
Et pas une victime donc, les lignes jamais franchies, pas un ennemi dans notre en-but à nous, sont restés en lisière avant de se faire culbuter par la phalange à 16 pattes dont on parle encore, ici, quand les enfants sont un peu agités, pour les calmer !!!!
Allez Brive
Allez bonne journée, le soleil vient de se lever comme sur Austerlitz il y a quelque temps.
Bien sûr il y avait du lourd sur les contacts. On était au niveau international. Et en Afsud et en NZ fallait y aller... mMais ils n'étaient pas bodybuildés, couraient moins vite pour 1 certain nombre, moins de placage à 2 en haut et en bas, 2/3 fois d'entrainements dans la semaine..Donc on répète, pas pareil qu'avant. Et encore que selon l'importance d'entrainement et la s matchs joués, ils faisaient de gros écarts en 3e mt...
SupprimerT'as parfaitement raison sur toute la ligne, Sergio.
Supprimer(mais valait quand même mieux pas venir se mettre hors-jeu ou tomber dans les regroupements...)
Oui, les crampons veillaient...
SupprimerEH les potos, ça existe encore, si si, écoutez l'Argentin en chef du SF : " ... J’ai été ému de faire l’équipe pour ce week-end. J’ai convoqué les joueurs un par un pour leur expliquer. Je crois beaucoup au rugby mais je crois davantage à ce lien, à la cohésion, à l’état d’esprit du groupe ..." !!!
RépondreSupprimerAvec un original comme ça, va savoir si les soldats rose vont pas nous faire un truc ......
Allez les Quinconces ............ un chouïa sommeillant n'est-il pas, sans doute le soleil, qu'il soit d'Austerlitz de Lomagne de Grenoble ou d'ailleurs.
En attendant Austerlitz,
RépondreSupprimeravant hier est venu me voir un vieux dirigeant de l'US Montréjeau qui s'est occupé de faire une chronique avec photos de l'équipe première maintes fois Championne régionale jusqu'aux portes de la Pro D2 pour les cents ans du club. Alors même qu'il me parlait du "club house" je pensais à Nini toujours dithyrambique à ce propos, lieu de rencontre pour la mousse et le pâté. il me parla des conséquences de cela. Depuis la construction de la tireuse de bière, "le Central" sur la place du village est devenu un café désert d'après match. Fort justement, il me souligne le fait que ces clubs house ont tué la vie du village et que le café avait perdu de son prestige de la 3e mi-temps ou jeunes et plus anciens échangeaient sur le match ou sur les épopées vécues. La conséquence, c'est que le rugby s'est anonymisé au profit d'autres sports qui ont su garder ce lien social avec le village. Pire encore, le fait de ne plus être informé fait que les écoles de rugby s'amenuisent et que depuis peu Montréjeau s'est rapproché de Lannemezan, terre de rugby ("des rugueux et des vaillants" dit-il) pour permettre au club de continuer à exister. C'est le cas en Lomagne ou les bistrots de la halle (monument classé XIIe) sont déserts le jour des matchs. Finalement, insidieusement, l'épopée se ternit et se dilue dans un enchevêtrement de contingences économiques qui gomment le social et le culturel à tous les étages. J'ai trouvé sa réflexion fort intéressante, pleine d'humanisme et de bon sens, et quelque peu affligeante. Si Napoléon a conquis l'Europe de l'Est avec avec des maréchaux et des généraux d'empire mais aussi avec une "Grande Armée" constituée d'athlètes ou ces génies militaires vivaient avec leurs hommes, jour et nuit, contrairement à nos managers et staffs actuels, la reconquête du Sud Ouest, terre natale du rugby français, va prendre sans compter plusieurs lunes. Le génie de Napoléon, tacticien hors pair, était d'être debout avant l'aube, d'avoir pris place sur le terrain, d'en connaître le relief et les vicissitudes, d'être observateur né, d'avoir eu à côté de lui des hommes de confiance comme Davout, Lannes, Soult, Murat pour construire ses victoires. Possiblement, le rugby aurait besoin de prendre de la hauteur pour reconquérir les territoires perdus. Belle consultation avec cet homme issu des rangs du rugby de campagne, patrimoine national, vivant loin des strasses, paillettes, buvettes et loges entrepreneuriales de nos vaisseaux du top 14 et de Pro D2. Quand le tissu vient à manquer, ne reste plus que de beaux livres empreints de mots et d'images qui n'ont de sens que pour ceux qui ont connu cela. Je ne reviendrais pas sur le catalogue qui s'amplifie des blessures graves de ce week end dans l'indifférence la plus totale. Je pense à Galan, parti au LOU qui va peut être arrêter sa carrière pour troubles neurologiques. La fenaison pointe son nez et la faucheuse risque de sévir encore plus chaleur faisant. Peut-on légitimement se réjouir de ces phases finales sachant les drames humains engendrés et tus derrière le mot "blessure" ? A propos, je n'irai pas à Lille signé Saint Jean !! Ma foi, une chance pour aller au bistrot boire à la soif du pendu et imbiber le coton dans la corgnole locale !!!
Belle épopée Tautor, en plus avec la Grande Armée ! Navée pour Galan et pour tous ceux qui ont souffert . Un petit goût amer dans l'apéro ce soir ... trop de Picon dans la bière ?
SupprimerPour Galan, retour à Bouloc près de Fronton (pour les pinardiers du blog !) ou il va entamer une reconversion comme fromager ! Réussite avec la Négrette
SupprimerIl y viendra avec la négrette...😉(joli cépage)
SupprimerOn va pas être nostalgiques des générales, des cravates et des coups de pompe non plus.
RépondreSupprimerPerso je serais indulgent quand le mec qui passe sa vie chez toi prends la punition, on gagne du temps, mais c'est tout.
Par contre et pour avoir vu deux/trois matchs de Super Rugby, dont un près de la pelouse dans un stade couvert, la violence, le son de l'impact aussi m'ont littéralement effrayé.
On a pas inventé le Rugby pour ça, malgré des matchs superbes, mais quelle maman va envoyer ses marmailles participer à ces équarrissages?
Vite un cordon sanitaire, du Rugby éducatif pour les jeunes, expliquer à leurs familles qu'ils ne seront pas Kolbé ou Bamba, juste plombier ou médecin de campagne, mais qu'ils passeront une belle jeunesse.
Allez Chevreuse
Epopée !
RépondreSupprimertiens après les villages de France et de Navarre, au tour de "Rencontres à XV" de disparaître du petit écran ! Fin du rugby amateur, Jean Abeilhou passe dans les ténèbres grâce au soutien de la FFR. Pas de renouvellement de contrat avec France Télévisions. Maintenant place au Comité des VI Nations avec le fond d'investissement CVC Capital Partners qui rachète 1/7e des parts du Tournoi !
Qui va tondre la pelouse au village ? SOS ANE RIE !
"Allez ! Patron un dernier pour imbiber le coton dans la corgnole" svp !!!
Tout çà est bien beau.
RépondreSupprimerAh je suis pas foncièrement d'accord avec toi, Tautor. Certes, la tirailleuse à bière en a mis quelques uns dans les choux, après match à St-Péray au pied du château, où il fallait pas perdre. Le jaune coulait à flot aussi et Ricard passait à la caisse. On évitait les gendarmes au rond point pas loin... Par contre, le jeudi après l'entrainement et vu qu'on approchait la fin de semaine, on allait chez la Miche, rapport à sa paire de lolos, boire quelques bières. Certes, c'était la belle sœur de l'entraîneur. Et on mangeait la caillette chaude avec les pommes de terre, ça épongeait un peu.
RépondreSupprimerIdem quand je jouais accessoirement au foot, gardien de but avec l'équipe du Conseil Général. Il y avait de quoi aller tard dans la nuit en mangeaille et boissons. Puis, est arrivé Nicolas 1er, l'Empereur des casseroles qui le rattrapent. Certes, il a eu eu de la concurrence avant lui... "Casse toi pov con" qu'il a dit. Et tous ses éthilotests grognards dans les boîtes à gants, et contrôle renforcés...
Ça a fini par calmer, après la politique Raffarin sur le sujet.
Les bistrots on nettement moins tournés à l'apéro. Pas qu'à cause de la tireuse à mousse en club house. C'était y mieux avant ? Et allez c'est reparti...🤣🤣
Oui pis on va pas pleurer sur le sort des bistrots, non plus !
SupprimerOn est jamais si bien bourrés que par soi même, alors !
Allez Chevreuse
Quand est ce qu'il ferme le "Bambou Bar" ? On va pas pleurer là non plus 😂😂💉
SupprimerJe vous Sancho...
RépondreSupprimerAu fait ya derby demain soir. Perso, après une longue saison de journées- 26 - un peu de couperet me va bien au teint.
RépondreSupprimerOui, coule l'encre des calamars basques, pour une ancre en top 14...
SupprimerEn plus, on lève les voiles demain pour Bidart. Pas pour voir la guerre civile. Plutôt se peloter l'esprit d'un autre paysage, voire le teint aussi...
Je pensais d'abord à Racing - Stade Français
SupprimerPour "Barry John", et au hasard de la vie, mon neveu rentre du Canada, il cherche une location(maison+ jardin"sur l'axe Brive-Périgueux. Parfaitement solvable et garanties de cautionnaires.
RépondreSupprimerBrive-Périgueux 80 kms, de la campagne verte ça reste bien plat, Périgord noir et vert, à peu près au milieu petite ville THENON 1000 hab, près de Brive TERRASSON 6000, entre tout ça des petits bleds, pas mal colonisés par les Anglo-Saxons qui ont profité des guerres diverses et variées pour faire la s'install' !!!!!!
SupprimerSur Brive et alentour (48000 hab) et Périgueux (30000) tout l'immobilier est placé en agence, pas évident de trouver de part à part.
Perso, mais un peu partial sur le coup, je trouve bien plus joli et agréable vers Terrasson-La-Villedieu et ses alentours.
Si plus de concret, je manquerai pas de prévenir, si besoin de plus de détails pas hésiter.
Allez Montauban
Hello,
RépondreSupprimercleubouze, AH LE cleubouze, objet de nos sentiments ressentiments, Objet de Variables Noctambulisations -très- Identifiables, et donc après avoir été le creuset dans lequel se fortifaient les collectifs, se prolongeaient les rencontres, se nouaient de profondes complicités, se créaient de plus tendres et proches relations, et où l'on goûtait le meilleur des confinements sans aucune barrière, la seule mesure étant le trop-plein, trop-plein de chansons, de plaisirs, de partage, de pintes aussi. Et donc serait devenu en ces jours le destructeur du tissu humain de notre sport, après en avoir été le principal acteur -com'y disent !!!!
Au cours de mes périgrinations ovales, tout jeune le lieu était un bistrot, ouvert accueillant chaleureux pour tous les licenciés du club et tous les autres, les casse-croûte des minots dans l'arrière-salle, les après-entraînements des plus grands idem, les 3èmes mi-temps des tout-grands là-encore, le dimanche soir le bistrot devenait vestiaires/Terrain de rugby. Lieu de vie où l'ovale se mélangeait avec tout ce qui fréquentait le lieu et ça créait, mes amis, du mouvement !!!!
Un peu plus tard, le Président, restaurateur et Auvergnat (what else??), un cœur ovale grand comme ça, en plein centre ville, où tout se mélangeait, les clients, les joueurs, les réunions, les avant et après-match, on faisait partie de la ville, chanter ne dérangeait personne, le dimanche soir toute la jeunesse du coin passait prendre le pouls du truc, et ça durait …........
Encore après, dans la ville un tour était établi en début de saison pour partager les déjeuners des dimanches à domicile entre tous les restaurants, ainsi que pour les réceptions après les rencontres et les prolongations bien sûr, c'était bien fait, tout le monde content et ça fonctionnait super.
Bien plus après, dans les Hautes-Pyrénées, l'hotel Dupont (les parents du p'tit gars que vous connaissez bien maintenant) fournissait les repas après entraînements pris au club-house (se méfiaient des suites parfois alambiquées d'un simple repas, z'avaient bienr raison !!!), par contre les 3èmes mi-temps pas glop, j'ai d'ailleurs trouvé que plus on descendait vers le sud plus ce jeu devenait un peu trop sérieux, je me suis bien plus éclaté sur et en-dehos du pré en IDF, dans le nord puis l'est de la France question ambiance et convivialité.
Bref, tout ça pour en fin d'activité ovale, dernier club un cleubouze d'enfer, lieu de vie du club, sous la tribune, mais …......... Al'écart de tout, de tous, de belles fêtes, de bons repas, de ludiques réceptions, mais lieu unique qui devient forcément restrictif à la fin, certes les évasions de fin de nuit, mais plus la magie de la fête.
Aujourd'hui, ici, petit village de Corrèze, dans mon enfance et adolescence 3 bistrot des joueurs de boules et quilles sur les terrains des bistrots, de foot et rugby sur les prés (on enlevait les vaches pour la saison) tout à-côté, ça jouait dans le village ça buvait idem ça rigolait d'autant, tout le monde se voyait, se croisait se mélangeait.
Aujourd'hui tout nouveau tout beau terrain de foot à 2 kms à l'ouest, plus de rugby, plus de bistrot, le club de boules tout nouveau tout beau local et terrain 2 kms à l'est, un local-bar-resto dans chaque club, le village calme plat, vie sociale privative, même les chasseurs ont leur repaire et ne se mélangent pas.
On construit autour de nous des structures que les architectes du monde imaginent les meilleures pour notre vie, on s'aperçoit ensuite que nous créons des isoloirs sociaux sans aucune communication entre eux, chacun meurt doucement dans son coin, dans son cleubouze ….....
Allez le mélange, les bouillonnements, les frémissements et les débordements (sic), mort à l'ennui et au repli sur soi.
Ici aussi, c'est club-house. On entre, on sort, on part, on reviens, on paye sa tournée, on remet la sienne. On se cale dans un fauteuil, on s'endort dans la canapé, on regarde les trophées. C'est Côté Ouvert.
SupprimerJe suis à un congrès sur Santé, Sécurité en situation de crise avec le juge Bruguière, le journaliste écrivain M. Sifaoui, M. Douste Blazy et quelques autres intervenants de qualité dans leurs disciplines. Terrorisme, catastrophe, Cellule de gestion de crise, assurances, courtiers, pandémie virale. Quels sont les profils pour être opérationnels à ces avatars de la vie ? Par similitude, je pense au rugby avec ses épopées, ses tragédies, son avenir, sa communication à tel point que pour combattre la catastrophe, il faut de l'humain, de la culture, de la conviction, mais aussi de la pratique. Il faut une connaissance géopolitique parfaite, une culture religieuse mais aussi il faut savoir lire entre les lignes et comprendre les réseaux, les filières. Ce qui est certain, c'est le besoin d'une société soudée et non fracturée pour arriver à la liberté.
RépondreSupprimerLa connaissance du terrain en somme... Après, le lien social c'est souvent après la société de consommation. C'est l'instruction civique qu'il faudrait remettre en place, voire un service militaire...
SupprimerSi tu es en congrés, Tautor, moi je surveille d'un oeil (le gauche) la probable victoire de Villeurbanne à Gravelines, et je savour de l'autre la demi-finale de Roland-Garros Nadal-Djokovic. En attendant le derby d'Ile de France (Racing pour moi favori). Il y a des journées de bureau plus pénibles...
RépondreSupprimerGauche, je m'en doutais 😉, mal à droit selon le score😂😂, belle journée ou le juge nous a dévoilé quelques secrets d'état dont l'attentat avec le crash d'un avion sur la Tour Eiffel ..... Maintenant, piscine, rotteuse, et match, SF favori ne serait ce que pour Mr Fickou, troubadour et mercenaire, qui a besoin d'une petite fessée pour comprendre que le rugby c'est une équipe et qu'on va au bout avec.
RépondreSupprimeril ne fit quou des conneries
RépondreSupprimerle rat signe sa capture
SEGONDS en premiere ligne
Allez Racing
RépondreSupprimerSigné Fickou; essai 5e avec raffut sur Danty. Ca, c'est fait...
SupprimerRéponse, et claire, sur le terrain...
SupprimerPasse de Fickou pour Teddy Thomas : essai (12e)... La réponse est bien soulignée
SupprimerAvec un accélération sidérante de Vakatawa sur la prise de balle...
SupprimerJ'arrive ça sent la fessée
RépondreSupprimer3e essai Ciel et Blanc avec un 2 vs 1 de Palu pour Machenaud. D'école...
SupprimerBarrabas le moins bon, pas de trauma crânien, pas de commotion. Le médecin de match pas bon
RépondreSupprimerJouer avec un masque sur fracture de la face est une hérésie. Les chocs sont violents.
RépondreSupprimerEn tribune Maestri bien abîmé avec aussi une fracture de la face ...
SupprimerEn même temps, y aurait pas eu la face il prenait en pleine gueule, aussi!
SupprimerAllez Chevreuse
Match dévoyé sans intérêt
RépondreSupprimer"Capri c'est fini"
RépondreSupprimerLe Racing joue trop fort, vite et précis pour le SF, y compris en défense.
RépondreSupprimerGare à l'euphorie s'ils gagnent aussi facilement; La Rochelle proposera autre chose dans la vitesse et l'affrontement physique.
Nadal Djoko le tennis sous toutes ses coutures, magnifique
RépondreSupprimerle stade fit tout dr travers
RépondreSupprimerEt le Racinge fikou dans l'ordre!
SupprimerAllez Chevreuse
Avec un peu de chance .....
RépondreSupprimerL'Aviron Bayonnais.....
Fera la fête dimanche ....
Si Biarritz le permet !!!!
Pena baiona ou ????????
Allez le double french à Roland
BAYONNE rayonne
RépondreSupprimerBIARRITZ bien triste
BAYONNE rayonne
RépondreSupprimerBIARRITZ bien triste
AB/BO, La guéguerre de nos 2 clubs basques, première bataille ubuesque en 1908 (ça date pas d'hier, hein !!!!) match où AB terrasse BO 9-3, mais mais mais .... le "Biarritz Stade" (nom de l'époque) pose réclamation, plusieurs Bayonnais n'ayant pas de licences en règle.
RépondreSupprimerLe comité "Guyenne et Gascogne" (ça date vraiment, hein !!!!) ne transige pas, match gagné pour Biarritz.
Cependant on s'aperçoit alors, en creusant un peu, que du côté des Biarrots un certain nombre de joueurs ne sont pas plus en règle !!!!!
Bayonne claironne alors à son tour réclamation, le comité décide alors ... match perdu pour les 2 équipes !!!!
Ultime recours, et voilà les Biarrots déclarés vainqueurs (au nom de quoi, les raisons se sont perdues dans les rouleaux de l'atlantique ...), ce qui ne leur portera pas vraiment chance, puisqu'éliminés au tour suivant.
Allez, je mets une pièce sur les Basques !!!! AH AH ........
Et pour le barrage je vote ASM pour l'ensemble de leur oeuvre, pour Azéma, pour Parra, et puis tiens, tant que les Bougnats/Bibendum viennent pas faire des misères au CAB mais s'en prennent à d'autres, le Coujou devient vite irrationnel, n'est-ce pas !!!
RépondreSupprimerAllez ASM (pas y revenir non plus trop souvent ....)
Allo, Docteur ???? Regardé le résumé de la bagarre des 2 monstres hier soir à Roland-Garros, kékun peut m'expliquer comment on peut jouer à une telle intensité (de frappes, courses, torsions, blocages, services, retours ....), disputer 4 parties en 6 jours puis une demi de 4 heures et une finale demain, le tout sous le soleil à 30°, parce-que si recette je veux bien la cuisiner !!!!!!!!!!!!!!!!
RépondreSupprimerRegardé idem les demis féminines, OUH ça fout la trouille, je remarque également que tout comme le cousin fouteballe -remarquable modèle de ce qu'il faut éviter de faire-, les joueuses/joueurs de la petite balle jaune ont de plus en plus des attitudes de batteurs de foires, en imposant au public des attitudes suggestives emplies d'agressivité et de violence, auxquelles malheureusement le public répond de la même manière.
Puisse notre ovale rester à l'abri de tout ceci, même si l'on constate quand-même une grave dérive des us et coutumes, à commencer par les attitudes des entraineurs et encadrements, des bancs de remplaçants, qui forcément vont essaimer vers les tribunes.
Et Madame me dit que, quand fini de faire mumuse avec le clavier, la tondeuse isolée au beau milieu de la pelouse m'attend impatiemment .......
RépondreSupprimerAllez, vive les cours en bitume !!!!!!!!!
ah bon, elle ne sait pas se servir de la tondeuse?
SupprimerLe tennis est bien gentillet en comparaison de l'ovale. Juste des routines planifiées jusqu'à lassitude pour les gestes et attitudes en passant par les récup habituelles d'après match. Bon, certains se la jouent un peu pour mettre le public dans la poche. Je n'y vois que motivation supplémentaire mais pas de violence. L'agressivité est sur le court, où ils ne lâche rien et ne se font pas de cadeaux pour la plupart. Mais peut être que comme d'autres ils prennent quelques graines pour tenir le coup...du moins des compléments alimentaires. Après, c'est pas un exemple de solidarité, à part pour l'argent. Ce qui est par contre beaucoup plus négatif, c'est que certains visent des tournois pour en préparer d'autres et lâchent des matchs. Les organisateurs le savent et jouent sur l'image pour faire venir le public qui n'assiste qu'à un entraînement pour certains en fait. Pas très respectueux du public sur ce fond là...
RépondreSupprimerPlus facile de tondre son gazon, sauf d'avoir 5000 M2 et pas de tracteur tondeuse...😧🤣🤣🤣
RépondreSupprimeril ya aussi les bonnes tractées!
SupprimerNini,
RépondreSupprimerFinale Dames, élongation de la cuisse G avec soins sur le central à la vue de toutes et tous, ahurissant. On arrête plus le progrès et le voyeurisme. Et quand tu vois que pendant les soins, elle mange des bonbons Haribo, tous les critères de la diététique tombent à l'eau. Il faut dire que Madame est charpentée et que moins de sucres ne nuirait pas à son physique d'athlète mais aussi à la performance neuromusculaire. Chez les hommes, ils ont une préparation non seulement sur la gestuelle, le mental mais sur le foncier avec une hygiène de vie à faire pâlir nos rugbymans. Ce sont des marathoniens de l'effort, préparés à celà sur une quinzaine sans compter.Le seul que j'ai connu fêtard, fantasque sur un terrain et grand joueur était Vitas Gerulaitis, une exception. Il a sombré dans l'alcool, la drogue et a fini ruiné. Alors Nini, va courir 1h30 par jour, régime méditerranéen voir végétarien, pas de tondeuse à gazon, une mentalisation comme chez les bérets verts ou à la légion et tu vas pulvériser Côté Ouvert
Si c'est des fraises Tagada il y aura dérogation .
SupprimerC'est déjà le cas...Alors mollo sur les compléments alimentaires!
RépondreSupprimerBon André
RépondreSupprimerViens dans le Lavedan, camp d'entraînement, tu vas carboniser Nini, oublie le gazon, change de braquet et pas besoin de compléments alimentaires, l'apeline suffira et un 51 après l'effort
Cà commence à m'intéresser ton alépine....tu peux en dire en peu plus? Le Ricard, je connais.
SupprimerComment limiter la diminution liée à l’âge des capacités musculaires (ou sarcopénie), une des causes majeures de perte d’autonomie des séniors ? Des chercheurs de l’Inserm, de l’Université Toulouse III – Paul Sabatier et du Gérontopôle du CHU de Toulouse pourraient avoir trouvé, au sein même des muscles, un allié de taille dans la lutte contre cette maladie : l’apeline. Cette hormone, dont la production diminue avec l’âge, est sécrétée lors de l’exercice physique et permet une amélioration de la capacité musculaire. Ces travaux publiés dans Nature Medicine permettent d’envisager l’apeline à la fois comme un outil diagnostique de la sarcopénie et comme une solution pour son traitement.
SupprimerEn 2016, l’OMS reconnaissait enfin la diminution des capacités musculaires – aussi appelée sarcopénie ou dystrophie musculaire liée à l’âge – comme une maladie. Or, le maintien des capacités fonctionnelles des séniors est essentiel afin de préserver leur indépendance et leur qualité de vie. Associée à une limitation de la mobilité, la sarcopénie apparaît comme une des premières causes de la perte progressive d’autonomie et du développement de pathologies liées à l’âge (ostéoporose, altérations cardiaques et/ou cognitives) et par conséquent comme une des raisons principales de placement en institut médicalisé.
La sarcopénie se caractérise par une dégénérescence de la masse, de la qualité et de la force musculaire. Les stratégies développées aujourd’hui pour lutter contre cette pathologie se heurtent à l’absence d’outils de diagnostic précoce et affichent des efficacités variables, souvent associées à des effets secondaires. L’exercice physique, bien que présentant l’inconvénient majeur d’être souvent impraticable ou infructueux chez les individus dont les capacités motrices sont réduites, est souvent considéré comme l’approche la plus efficace.
Dans de précédentes études, il a été mis en évidence qu’en stimulant l’activation des cellules souches à l’origine des cellules musculaires, la contraction musculaire générée par l’exercice physique participait au renouvellement des fibres musculaires (myofibres), ainsi qu’à l’amélioration de leur métabolisme
L’équipe de recherche Inserm de l’Institut des maladies métaboliques et cardiovasculaires, I2MC (U1048 Inserm/Université Toulouse III – Paul Sabatier) en collaboration avec les équipes du Gérontopôle du CHU de Toulouse s’est intéressée à la relation entre ces mécanismes et le développement de la sarcopénie.
Ces travaux ont permis aux chercheurs d’identifier une hormone, l’apeline, produite par la contraction du muscle au cours de l’exercice, et qui semble capable de maintenir voire même de restaurer les capacités musculaires.
En effet, en administrant de l’apeline à des souris âgées, les chercheurs ont notamment pu observer une amélioration de leurs capacités musculaires ainsi qu’un retour à la normale de leurs myofibres. Cette amélioration serait due à la capacité de l’apeline à stimuler à la fois le métabolisme cellulaire dans le muscle et la régénération des myofibres à partir des cellules souches.
Enfin, les chercheurs ont observé qu’à mesure que l’âge progresse, la production d’apeline en réponse à l’exercice diminue. Selon Philippe Valet co-directeur de l’étude et professeur à l’université Toulouse III – Paul Sabatier, « dans les années à venir, l’apeline pourrait être utilisée à des fins thérapeutiques dans le domaine de la sarcopénie puisque les résultats de l’étude chez la souris montrent qu’un traitement par cette hormone permet d’améliorer significativement les facultés musculaires. Ces travaux permettent donc d’envisager l’apeline à la fois comme un outil diagnostique précoce de la sarcopénie et comme un traitement prometteur pour lutter contre la perte de fonction liée à l’âge. »
Des essais cliniques seront menés à partir de 2019 par le Gérontopôle du CHU de Toulouse dans le cadre du projet d’IHU-Inspire sur la prévention, le vieillissement en santé et la médecine régénératrice.
simplement MERCI, en effet passé les 60 ans j'avais cette impression et en fait réalité, de cette baisse de force musculaire
SupprimerBel hommage au personnel de santé pour cette finale Dame, "Voilà" ....
RépondreSupprimerJ'en pleure d'émotions
Qui sont les commentateurs du derby basque ? Sont bien allumés ...
RépondreSupprimerLe soleil et la tisane du gouter
Supprimerun vrai derby ....
RépondreSupprimerDéjà 3 blessés ...
RépondreSupprimerOuiap, Gerulatis,un être humain au milieu des sauvages.
RépondreSupprimerJ'ai toujours adoré ces champions capables de passer de quidam a combattant, et l'inverse en une seconde, le Blond était comme ça aussi.
Mais dans un autre genre l'adorable Gustavo,le plus parigo des brésiliens n'était pas mal !
Sinon les enfants, hygiène de vie et compléments alimentaires d'accord!
Allez, c'est tout,z'êtes sur ?
Loulou
RépondreSupprimerCompléments, bonne idée, je t'y vois déjà 😂
Blessés +2 soit 5
RépondreSupprimerShaun toujours là, grand 3e ligne qui a fait les beaux jours du ST, toujours bien placé, un sens aigu du jeu
RépondreSupprimerLe drop incroyable à ce niveau, péché d'orgueil qui va coûter cher
RépondreSupprimerQuel entêtement
RépondreSupprimerSos armitage
Carence de buteurs, carence d'initiatives, carence d'essais, du jamais vu à ce niveau, les deux méritent la Pro D2
RépondreSupprimerTout ça est surréaliste, seul le suspens nous tient
RépondreSupprimerAu moins les spectateurs en ont pour leur argent
RépondreSupprimerTrop long action
RépondreSupprimerA part le suspens rien a se mteytre sous la dent
J attendais mieux de la cuisine BASQUE
Bru pas assez autoritaire sur les coups francs paye cher la défaite, faudra revenir à l'école apprendre à faire des drops, avoir des buteurs en réserve et savoir jouer à la main Côté Ouvert.
RépondreSupprimerBravo au BO qui revient du diable veau vert ! Les Pyrénées sont là.
Bayonne n'a pas su trouver d'espace et concrétiser une épopée un peu plus pop pour l'année prochaine. Un derby reste un der bis. Les plus gros ont fait dans la culotte et ont manqué de jugeotte au final. C'était bien la peine que Toulouse se casse le derch à perdre contre eux.
RépondreSupprimerBiarritz qui n'est pourtant pas au niveau T14 y compris pour son stade. Et quant on voit le relationnel club/mairie à Biarritz, c'est totalement improbable. Et pourtant...
Ils grimp en top 14
SupprimerEnfin un vrai match, où l'on voit du bon et de l'approximation qui coûte cher aux jaunards. Autant de sympathie pour Urios avec sa gouaille que pour Azéma pour l'ensemble de sa prestation à l'ASM
RépondreSupprimerLamerat joue avec une fracture à la façon dont il se tient le poignet et l'avant bras ... Faire sortir à la 45e ????
RépondreSupprimerBayonne : faut pas insulter le jeu. Tu tentes la pénalité à 3-3 et tu gagnes. Tu tentes un drop sous les poteaux et tu gagnes. Et sinon, tu perds. L'Aviron aura toute une saison prochaine pour méditer là-dessus. Bravo à Biarritz qui, s'il ne se renforce pas, aura le même devenu qu'Agen cette saison passée.
RépondreSupprimerTout pareil.
SupprimerJe ne sais pas si le BO mérite de monter, mais quand ton adversaire ne veut pas gagner...
La course à l'armement est devenue telle dans le rugby de haut-niveau que la différence de niveau de jeu entre Top 14 et Pro D2 s'agrandit de plus en plus ? Une quinzaine d'en-avants, pas plus de 3 temps de jeu, des fautes, l'impression que les 2 équipes jouaient tout le temps à l'arrache, etc...
Au mieux, le BO se battra chaque dimanche pour sa survie; au pire, ça sera comme la saison désastreuse d'Agen cette année. Comme le disait un joueur agenais après leur ultime défaite: "L'an prochain, ça sera très très dur parce que tout le monde jouera contre nous pour nous taper et continuer l'humiliation de cette saison". Avec le risque que la chute ne s'arrête pas...
Ce soir, Clermont trop peu sûr de son jeu et courant après sa maîtrise, au contraire de l'UBB qui a dominé la fin de match.
Je pense que Bru va mettre longtemps à remonter au niveau que beaucoup lui prétaient, si tant est il qu'il ai un haut niveau, mais je ne saurai en juger
SupprimerClermont : il serait temps de se déciller. 16-10, il n'y a pas de break mais l'UBB fait son petit match sympa sans forcer. Le volcan va se réveiller ?
RépondreSupprimerLes michelins sous gonfles
RépondreSupprimerIl faudra bien un jour redefinr regle de l avantage1 temps de jeuet fini l avantage
RépondreSupprimeravantage une minute point
Supprimernon ceci constitue un avantage perpetuel
SupprimerPas de jaune pour l'ASM, une sortie en berne pour Azéma et Urios viticulteur qui a la "barrique" avec lui. Une paire de demis à Bordeaux en jambes avec de la robe.
RépondreSupprimerAh c est ma tournee la der de der
RépondreSupprimerHello dimanche matin au café "le drop" conversations: ASM pas de certitudes, choses bien apprises mais pas glop la maîtrise, le staff déjà parti les joueurs déjà en attente de l'après. AB/BO les 2 bien unis pour déserter un peu plus stades et écrans devant tant de pauvreté de jeu. UBB belle machine à voir devant plus trapu que le bibendum dégonflé. L'avantage ça devient du nimporte quoi, laisser 1 temps de jeu pour voir et dès le ballon reparti après ce 1er temps AVANTAGE TERMINÉ.
RépondreSupprimerAllez madame m'attend sur vos conseils apprentissage tondeuse ce matin le démarrage !!!!!! Pas gagné
Bon dimanche
grande performance du pilier mastodont Beglais auteur de nombreux gains de ballon au sol
RépondreSupprimerun disciple d Armitage
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerJe ne sais pas si le BO nous fera une Agen, mais ça marchera pas sur un quiproquo tous les dimanches, sur, et vu leurs structures, leur situation "municipale " aussi, it is not in ze pocket comme on dit en Euskara.
RépondreSupprimerUne pensée pour Vannes,ou on doit se dire que....merde...., en brezhoneg!
Allez, Urios, quand-même, hein !