Cette chronique, rédigée sur le départ, est surtout l'occasion de resserrer nos attaches qui, parfois, se distendent comme se délie une mêlée sous la poussée contraire. Avant de m'envoler m'est donc ici donnée l'opportunité de souligner à quel point j'ai savouré nos rencontres, certaines fortuites mais souvent, et c'est heureux, provoquées, échanges fructueux dont certains vont déboucher sur de nouveaux projets, autant de perspectives propres à rassembler ce que les vicissitudes - et elles ne sont pas toutes virales - tendent à éclater.
Le temps efface sur le sable les tas des avants désunis. Oh, j'aimerais tant que l'on se souvienne des jours heureux, quand nous étions rugby et, même si les matches se ramassent à l'appel, le bon rebond qui nous a fait passer de la poésie à la prose, de la plume au cuir et de Stendhal au Synthol, n'est pas prêt d'arrêter sa course imprévisible. Nous avons tellement à explorer qu'à l'heure de servir le tee, j'imagine notre club-house résonner de chants et de rires, ce Côté Ouvert dont je vous laisse la clé pendant une quinzaine de jours.
Cette année passée, pour ma part, a vu transformer des essais que vous avez été nombreux à accompagner, en témoignent Sur un pont de lumière et Jeux de lignes. Je considère comme un pur bonheur d'être à vos côtés grâce à l'anthologie des poèmes de Michel Sitjar et le trait d'union tracée à quatre mains entre littérature et rugby. Puisqu'un virus nous a contraint à redécouvrir l'otium, à nourrir ce temps que nous avons pour nous et malgré nous, autant lui donner sens et contenu. Et le partager.
A l'image du rugby gallois inventé au mitan des années soixante du siècle dernier, le mouvement pendulaire file la métaphore d'une touche de l'azerty à l'autre, action continue qui nous mènera sans doute à Uzerche, peut-être à Saint-Pierre-de-Trivisy, mais sans aucun doute à Saint-Paul-lès-Dax pour une rencontre culturelle ovale dont le titre - Le Grand Maul - est à lui seul tout un roman. Nous y reviendrons.
En attendant, je me glisse dans le maillot d'un chercheur de silence, destination Costa Rica, là où s'arrête la route et serpente la lagune, lieu sauvage préservé, épargné, isolé. J'en termine avec le brouhaha constant, le buzz polluant. Rappelez-vous, en mars 2020, lors du premier confinement, la station Curie de l'Institut de Physique du Globe de Paris enregistra une diminution de l'ordre de 40 % du "bruit sismique", c'est-à-dire des vibrations du sol... C'étaient les nôtres.
Pour les plus chanceux d'entre nous, le confinement a été une chance. Nous avons atténué les sons parasites, écarté les relations toxiques, regardé en nous, redécouvert le plaisir des petits rituels quotidiens constitués d'attentions, repensé notre propre histoire à l'aune de la rareté. Tout un loisir studieux mis à profit. Car les mois qui s'annoncent ne promettent rien d'autre que ce que nous avons déjà subi. Le monde de demain n'est encore qu'une esquisse, et il ne servira à rien d'y amarrer nos convictions.
Toutes et tous, de la façon la moins conventionnelle possible, je vous souhaite de créer une année 2022 dans laquelle vous aimerez vous plonger. Enchantez chaque jour qui se lève, chaque nuit qui vous enveloppe. Profitez du temps offert pour effectuer un bout de chemin avec les personnages de roman de votre choix, Robinson ou Cyrano, Bartleby ou Bardamu, Dorian, Clarissa, Molly, Edmond... Consentez à vous perdre. Et, afin d'être certains que nous nous retrouverons - Pura Vida, mes ami(e)s, corona et solera -, ne demandez sous aucun prétexte votre chemin à quelqu'un qui aurait l'illusion de le connaître. Et surtout la sotte idée de vous l'indiquer.
Bon vent, mon ami....Tu pars à voile, comme la petite Greta?
RépondreSupprimerDe mon côté je suis sorti d'un certain otium pour replonger avec délice dans le simple chronos.
bonnes fêtes à tous.
Hola, pure cette session. Écoutant "I believe" de Tears For Fears, pure voix aussi, ces quelques lignes de ce dernier matin de l'année...
RépondreSupprimer"A l'abordage, aux abords d'âges
Oui au pire, c'est le dernier jour de l'année...
On n'a pas déclenché l'alerte
Mais on sera en noeud...pap
Au pire on reporte à demain,
Demain n'étant pas si loin,
Ce qu'on n'a pas pu
Semer, cueillir, chiader
Comme on l'aurait voulu
Comme on l'aurait entendu
Parce qu'un machin
Un je ne sais quoi
T'as pas mis la gaule,
S'est mis en travers de nos courses
Déjà qu'il y avait un raidillon
On dégoupillera dès demain
Brume, embrumé ou pas
Rentrer dans les rangs
Ou mêlée ouverte
Mais éviter les mauvais choix,
Les mauvais coups, les mauvais sangs
Qui te mettent à la bourre..."
Juste ces mots de Camus : "Je voudrais bien l'an prochain réduire ma vie à l'essentiel(...) Et vous êtes dans cet essentiel (lettre à René Char).
Et comme dit Gulluck, restons positifs même si ça fout le bordel...
Continuons à rester ovale pour tourner rond vers 2022. Viva la vida
Richard, profite bien de ton séjour sous ces cieux qui j'espère seront plus clément que les nôtres pour les 2 prochaines semaines....l'année, le rugby, les amis , les livres , tout cela fut intense et parfois compliqué, mais peut être que la sagesse va toucher certains et la santé sans covid pour tous les autres, qu'on nous donne des livres , des joies , de l'amour et tout sera meilleur en 2022
RépondreSupprimerComme la vague qui illustre cette chronique, il me semble que la vague des blancs-becs - celle qui a maté les blancs-blacks un certain soir de novembre- à lavé pour un certain temps nos frustrations (parfois nos humiliations...) de supporters inconditionnels de l'équipe de France chère à nos cœurs 💕. Et le retour au rugby de tous les jours, celui du Top14 et de Prod2, ou du club d'à côté, et même celui de la Coupe d'Europe, à un goût assez fadasse... mais peut-être est-ce un symptôme du Covid?
RépondreSupprimerEn attendant le Tournoi, savourons encore ce souvenir !
Merci à toi Richard, bonnes vacances et meilleurs vœux, oh oui, meilleurs vœux aux Bloggers de Côté Ouvert, yeepiii!
Yes, le goût et la couleur de la fierté.
SupprimerComme les planches, quand tu y es monté dessus, t'as qu'une envie d'y remonter.
Bonne année à tous.
RépondreSupprimerAllez, l'otium du peuple, quoi!
Bonjour à tous, non pas "Bonne année", mais tout simplement et du fond du coeur "Bonne santé" pour tout le reste on verra, avec un souhait, se revoir encore une fois à Uzerche ou ailleurs...
RépondreSupprimerRichie, surfeur de lignes de crête de la vague 2021, tu m'emportes dans le rouleau des plus beaux souvenirs de cette année rugbystique sous toutes ses formes. L'éclair Dupont précurseur d'une équipe de France du tonnerre. Sitjar, de réputation "percutant" à
RépondreSupprimerrépercussions poétiques. Stendal, maître du Rouge et Noir, qui aurait dû naître à Toulouse dans une atmosphère de vestiaire de champions syntholisés. Et ces rencontres surprises de ces avants spontanément ré-unis d'amitiés pour avoir vécu depuis si longtemps désenmélés. Adieux grands anciens qui ne meurent pas, comme disait Brel en parlant des vieux mais qui s'éteignent lentement, sans faire de bruit, tout en laissant traces sur le sable que la vague de Ritchie percute par son jeux de lignes sans effacer. De la crête au sable, ce surfeur de l'improbable mais réelle union de la balle et de la plume, a droit à un repos temporaire bien mérité...histoire de trouver une nouvelle vague...de bonheur. Bonne année
Bonne année à tous ! Que le coeur d'Ovalie se remette à battre à la bonne cadence . Amitiés 🍾🥂🌺
RépondreSupprimerLe Canal rugby club et quelques nullités avec par exemple, lors du sujet sur le match ASM/ST, la non évocation de l'absence de Dupont remplacé par Balès que tout le monde a vu mauvais ce soir là.Bien sur je suis abonné et donc payeur et je me demande quel est au fond la qualité journalistique des deux de Canal et si les trois autres dits "consultant" on bien vu le match dans son entier.
RépondreSupprimerLe temps s'est refroidi, les langues se mettent à l'abri. Même pas besoin de faire du café, vu la fréquentation du club house.
RépondreSupprimerEt pis avec ces histoires d'emmerdeurs, d'emmerdés, ça fait tâche, ça détache, rien d'attachant.
Guère plus sur cette journée de top 14 omicronisée. T'as pas un vin chaud ?
Pas encore au delta de la situation, on se teste, on se vaccine, on cherche toujours ces bouées de sauvetage qui permettraient de récupérer aux vestiaires, de tenter autre chose en seconde mi-temps sans subir une remontée uriosienne.
Pura vida, on a tous envie de changer de ces jeux de lignes imposés, de méridien, de latitude, d'une nouvelle vague à la go d'art.
En fait, pas sortir sur blessure et finir le match, même sur hold-up.
Bref, garder le temps de notre côté et rester hold the line.
Bon après, le canal rugby club🤔...
de beaux mouvements des liberations avant percussions
RépondreSupprimerune reprise reconfortante BEGLES malmene parvient a juguler de vaillants Brivistes
le covid tres regulier a encore terrasse 4 equipes on ne le domine pas il survole la competition
Je profite d'une connexion sur la plage caraïbe du Costa Rica pour vous signaler que je suis en train de remplir les papiers de changement de nationalité...
RépondreSupprimerTu as pris la bonne vague pour accoster à Rica ?
RépondreSupprimerDe la connexion sur la plage !
RépondreSupprimerSi en plus y a une pompe à bière dites moi ou il faut signer .
Allez, des blondes a forte poitrine aussi ?
Et voilà-t'y pas que mon Jan Lou, lui, il a chopé le syndrome de Stockholm...
RépondreSupprimerAh bon !
SupprimerJ'essaye pourtant depuis toujours de développer le Peter Pan !
Allez, tant pis....
Par les temps qui courent, faut faire gaffe à tous ces variants syndromiques, viraux, qui font perdre la boule, pas forcément les ... (pardon), tous ces mirages quand tu t'approches de trop près de la tireuse à bière, qui te feraient voir une vie plus pure. Tout le monde ne voit pas sa faiblesse devant sa porte.😁 Attention à la licence rouge qui pourrait faire son retour en cas de mutation...
RépondreSupprimerPour la licence rouge, c'est pour Richard bien sûr au cas où il muterait de nationalité. Bébert s'est retourné dans sa tombe...🤣
SupprimerY a des Danoises mais peu moulées...
RépondreSupprimerSinon comment va Djokovid ?
Il circule, il circule. Ca pass où ça casse. Vague ciné...Une autorité australienne pas si open que ça, sans faille visa vie de lui.
RépondreSupprimerStassen,Wardi, le nul qui l'emporte en Coupe d'Europe...
RépondreSupprimerVu du Costa Rica le rugby va bien, non... ?
Heureusement on a découvert la planète Ovale nommée Brennus.
A combien d'années lumieres ?
Ah les z'enfants !
RépondreSupprimerEn complément de la chronique précédente une vidéo impérissable du Grand sur Rugbyrama.
Brut de décoffrage,drôle, émouvant même, un témoignage sans filtre, indispensable.
Allez les Rouges et bleus
Stassen, "mais c'était de la fraise des bois bio pourtant"...🤔
RépondreSupprimerJ'ai oui dire par Nagui que Wardi était nul à "n'oubliez pas les paroles"😁
Quant à la coupe d'Europe, le nul n'apporterait pas la bonne heure dans le pré...🤔
L'eau va lie. Pura vida 😖
tres emouvant l interview d Esteve avouant sans biaiser qu il se faisait chier a l entrainement et que lui fidele soldat accomplissait tous les ordres recus le rugby pour lui de prime abord lui assurait le manger puis par la suite lui a permis de s elever socialement
RépondreSupprimeren parlant des violences d antan il lui a echapper le plaisir qu il y prenait a la loyale
son evocation de la blessure d Andre Herrero est nette et sans retenue ,en revelant que si on n aime pas la troisieme on ne peux aimer le rugby attachant le gars
Pour Wardi, O'Gara dit ce jour qu il ne faut pas s'arrêter au superficiel des informations. Il y a donc d'autres raisons qui dépassent le cadre du rugby et qui ne regardent que Wardi .
RépondreSupprimerBernard
D'ailleurs écoutons le dicton :
Supprimer"ce qu'on dit le wardi ne doit pas être déformé le wercredi"?
Allez, fô pas m'en vouloir, il pleut!
Belle époque pour le CAB à l'époque de Pierre Besson, de son frère Claude et de tous les autres....Richard, de retour dans ses fonctions?
RépondreSupprimerAgen change de manager et l'équipe change d'esprit et de vie dans son jeu.
RépondreSupprimerbien à vous.
Bonne rentrée de vacances Richard. Finalement on est mieux à l'étranger que dans notre pays.
En Europe les anglais d'EPCR ont décidé du championnat comme les anglais ont décidé qui n'apprécient pas que les français puissent jouer et vaincre les îliens
Une météo très diverse pour les clubs frenchies voire bien d'hiver pour certains, dont la ratatinée pour Montpellier ne sachant plus à quel saint se vouer. A Toulouse le discours du Mollah laisse un peu perplexe. Tandis qu'à Bordeaux Urios se les gratte de plaisir. Et Michelin se les regonfle laborieusement.
RépondreSupprimerQuant à la story Dupont et sa fameuse Dupond des pendances, toujours pas pura vida pour son club et l'EDF...
Après infiltration, on s'en remet à her doctor Giroud pour tout bien articuler.
Les glaçons sont là. Reste leur utilisation, ou pas, pour le champagne au frigo...
KO
RépondreSupprimerÇa ne retire rien à notre meilleur championnat du monde a nous qu'on a, mais le Champions-Cup n'est p'têt pas trop homogène non plus.
RépondreSupprimerVoir Llanelli dans cet état c'est attristant,et pas vu de lions aux Ospreys non plus !
Admettons que l'UBB sorte de révision mais ce Racing qui tourne plutôt carré n'était pas irrésistible, mon petit cœur toujours un peu rouge pleure !
Allez, Laporte et Altrad,par contre, au top !
Mon petit cœur de marmaille, toujours resté la bas, en principauté , saigne un peu.
RépondreSupprimerNous connûmes des petits gars de Llanelli plus gaillards, des lions a Swansea autrement mordants,non ?
Une promenade pour ce Racing qui tourne carré , des bordelais déjà mieux réglés,sans plus,en démonstration.
Ça nous interroge sur le niveau de la ligue Celte, ou plutôt sa densité, non ?
Affaire à suivre
Allez, Nanard et Mohed par contre, pleine forme !
Mon petit cœur de marmaille, toujours un peu resté resté la bas, en principauté , saigne un peu.
RépondreSupprimerNous connûmes des petits gars de Llanelli plus gaillards, des lions a Swansea autrement mordants,non ?
Allez Chevreuse
Mon petit cœur de marmaille, toujours un peu resté resté la bas, en principauté , saigne un peu.
RépondreSupprimerNous connûmes des petits gars de Llanelli plus gaillards, des lions a Swansea autrement mordants,non ?
Allez Chevreuse
De retour ce mercredi, en pleine tempête marcoussienne...
RépondreSupprimerÇa te manquait, hein ?
SupprimerJ'déconne...
Ça te manquait, hein, avoue...
SupprimerJ'déconne !!
ça te manquait, hein, avoue...
SupprimerJ'déconne...
essai!
SupprimerTransformé !
SupprimerÇa te manquait, hein ?
RépondreSupprimerHumour...
Oui oui
SupprimerJ'en raffole
Ca marche ?
RépondreSupprimerJ'arrive pas à poster, perso!!
RépondreSupprimerAllez , essai!
Pour une bonne rentrée, c'est une bonne rentrée...
RépondreSupprimerCa donne juste envie de repartir
Supprimerl'année ne commence pas bien pour tout le monde. Accident/suicide de Jordan Michalet, Gaspard Uriel qui aurait dû mettre un casque. Connaissant l'endroit où l'accident a eu lieu, absolument pas accidentogène, le destin nous attend là où on l'attend pas. Triste pour les proches et l'entourage de ces deux garçons en particulier mais pour tous ceux qui sont dans la douleur.
RépondreSupprimerbonne année positive puisque tel est le mot d'ordre autour de nous, au boulot, au sport, et ma femme et moi, rien, toujours négatifs, toujours cas multi contacts. est-ce que le fait de nager dans un océan à 10° est la meilleure défense glissée pour balancer Omicron en touche ?
bonne santé pour toutes et tous, parce que c'est le capital de base qu'il faut préserver ou reconstruire. Bonne santé rugbystique pour la saison et les vibrations prochaines du tournoi.
bon avenir à certains de mes amis qui partent vers d'autres horizons, Australie, Canada, Suède, parce que ras le bol de la France. Interrogatif...
bonnes résolutions à toutes et tous, tenues ou non, l'essentiel est de se soucier de soi.
et Richard, j'ai noté le passage à St Paul les Dax, on se tient au courant.
allez, je vais nager
10° t'es pas de Marseille, elle doit être à 14°... Bon à part ça bonne année et bonne santé et qu'on te lise aussi avec grand plaisir
SupprimerBlog à l'arrêt, pas de commentaire. Ca tombe bien, je n'ai pas d'inspiration. J'attends le week-end européen pour recommencer à embrayer.
RépondreSupprimerSorry, si il y avait des commentaires de "bon retour", mais ils étaient bloqués... Les mystères de la technique... Voilà, c'est réparé. A suivre donc...
SupprimerJe croise les doigts, mais j'aurai une belle nouvelle à vous annoncer dans peu de temps. J'espère. Mais oui, ça prend le bon chemin. Pour l'instant, je bosse comme un moine enlumineur. En attendant le feu vert.
SupprimerÇa marche?
SupprimerLe rugby passe du sanitaire au judiciaire ... ça promet ! En attendant peu de matches ou alors navrants : toujours ce problème de manque de vitesse de nos clubs face aux Brits . Bref ... je regarde le handball . Là encore le Covid fausse la compétition . Mais quel magnifique réservoir de joueurs !
RépondreSupprimerLa bonne nouvelle, Grenoble se réveille à Bayonne en pro D2. La mauvaise, Bayonne bouffe le béret à Dauger. Les vagues grenobloises n'étaient pas bonnes à prendre. Beau match à suspense.
RépondreSupprimerJe ne sais pas s'il y a tempête Marcoussissienne à part des 5 co vidés mais tempête EPCRienne il y a face à la gestion du nuage Covid infectant à son gré les uns et les autres.
RépondreSupprimerEt Toulouse bien affecté porte sa croix. Les anglais bricolent les cartes du Casino de la Champions cup avec Toulouse, et Castres à priori bien volé contre Harlequins même s'ils ont laissé des points en route.
Les britishs se graissent comme il peuvent pour faire avancer leurs pions.
Mais c'est pas nouveau.
Essai
RépondreSupprimerEssai
RépondreSupprimerJe ne pense pas que le "week-end européen", comme tu dis, soit une bonne pédale d'embrayage pour enclencher ta future chronique. Ou bien alors, à la périphérie du terrain.
RépondreSupprimerÇa marche ?
RépondreSupprimer