Un an, déjà. A Rome. Des gauffres défrayaient la chronique sanitaire, sujet contaminé qui éclaboussa le staff technique tricolore, lequel s'en remit vite pour propulser en Australie, quelques mois plus tard, un groupe France renouvelé vers ce qui aurait dû être un succès en série de tests si davantage de maturité s'était invitée aux débats. On découvrit néanmoins à cette occasion que l'arrière perpignanais Melvyn Jaminet était un buteur de classe internationale, ce qui n'est pas peu de chose par les temps qui courent. Ce coup-ci, on conseillera des crèpes, sur le parvis de la basilique.
Jaminet a été titulairisé contre l'Italie, dimanche, pour la première journée d'un Tournoi des Six Nations toujours sous menace du Covid-19, dans une équipe de France à peine remaniée après son gros succès sur les All Blacks (40-25) à l'automne. Forcément, cette continuité nous place d'ors et déjà dans la perspective de la Coupe du monde à venir même si, en dix-huit mois, il est à craindre qu'il ne reste pas la moitié de cette composition en ouverture du Mondial face à laNouvelle-Zélande démythifiée.
Pour commencer, il faudra en terminer avec le chantier de la troisième-ligne tricolore, assemblage qui n'en finit pas d'être démonté et remonté en changeant de pièces, ce qui est tout de même assez symptomatique d'une profonde interrogation à la fois sur le jeu pratiqué et sur les hommes pour le conduire. En effet, si j'en crois Jean Liénard, feu maître tacticien de Grenoble et mentor du regretté Jacques Fouroux, le système de jeu d'une équipe peut se lire, comme l'avenir dans le marc de café, à l'annonce de la composition d'une troisième-ligne.
Qui est le gratteur ? Qui est le coureur ? Le joueur de rupture, le preneur de balle en touche, le lien entre l'avant et l'arrière ? Le plaqueur ? Tout est dit en trois noms, trois profils. Et les grandes équipe de France - celles qui marquèrent les esprits en générèrant des exploits - disposaient d'un bel équilibre dans cette ligne essentielle. En architecture, par exemple, comme le carré et le cercle, le triangle est une des formes géométriques fondamentales puisque mécaniquement indéformable, et toutes les structures qui s'élèvent sont triangulées.
Par quoi attaquer ? Il y a plus d'un siècle, dans le Tournoi 1912, s'alignaient Forgues-Communeau-Boyau, premier triptyque de belle allure. Lorsque la France s'imposa pour la première fois à Twickenham en 1951, René Biènes, Guy Basquet et Jean Prat composaient la troisième-ligne. Et quand pour l'histoire les Tricolores terminèrent seuls en tête du Tournoi, année de ma naissance, François Moncla, Jean Barthe et Michel Crauste formaient un trio indestructible. Nous avons tous en tête notre troisième-ligne idéale, celle qui reste gravée.
La mienne est ainsi racontée : Jean-Claude Skrela, Jean-Pierre Bastiat et Jean-Pierre Rives. C'était à Twickenham, le 10 septembre 1978, très exactement, sous le maillot des Barbarians britanniques face aux Lions britanniques et irlandais pour le jubilé d'argent de la reine Elisabeth II. J'étais placé juste à la sortie des vestiaires avec mon ami bassiste Joël Ferron (nous venions de former un groupe de hard-rock et quoi de mieux que Londres pour cela), entourés de gentlemen anglais en vestes de tweed qui n'hésitaient pas à brandir une flasque de whisky à chaque action lumineuse, et il y en eut, ce jour-là...
C'est donc face à l'Italie que le XV de France de tous les espoirs va ouvrir son Tournoi. L'Italie, que les Tricolores furent tout heureux d'affronter officellement le 17 octobre 1937 au Parc des Princes pour l'emporter sans péril (43-5), neuf essais à un, dont quatre pour le seul Maurice Celhay, ailier de l'Aviron Bayonnais, dans le cadre du Tournoi de l'Exposition qui réunissait l'Allemagne, la Roumanie, la Hollande et la Belgique, deux ans avant la Deuxième Guerre mondiale, comme quoi le sport, contrairement à la musique, n'adoucit pas forcément les moeurs.
Il y a un an, donc, le Covid-19 rattrapait Fabien Galthié. Il faut croire que le sélectionneur en chef ne court plus aussi vite qu'avant puisqu'il vient de nouveau d'être plaqué par ce fléau, lequel, il faut l'avouer, touche tout le monde, que l'on soit vacciné ou pas, trois fois ou même quatre. Il nous faut vivre avec, malheureusement. Paradoxalement, ce Tournoi débute sans fièvre, du moins à Saint-Denis : visiblement, seule une victoire bonifiée parait acceptable, si l'on écoute les Bleus qui ne craignent pas de se gauffrer. L'excès de confiance n'étant jamais bon conseil, c'est peut-être du côté de Dublin et d'Edimbourg que viendront, ce samedi, les éclats.
Du coup, le trio Cretin - Alldritt - Jelonch me parait bien équilibré; en fonction des caractéristiques de chacun que tu as bien décrites.
RépondreSupprimerMême troisième ligne idéale que toi Riveskrela ( jamais pu les séparer ces deux-là ) et Bastiat ! Comme quoic'était mieux avant - hein Janlou ! 🤣🤣-
RépondreSupprimerSinon je ne pense pas que la face du blog en sera changée mais il me semble qu'on avait parlé de gaufres et non de crêpes .
Bon Tournoi !
Exact. Mais pour le triangle, c'est moins facile.
SupprimerMais je vais reformuler ça. Merci.
SupprimerDone... Tu me diras ah ah
SupprimerFûté ! 🥳
SupprimerRives et Skrela mythiques, avec Bastiat en 8 (qui savait aussi botter...). Notre troisième ligne actuelle avec Cros aussi et Woki quand il ne joue pas en seconde ligne n'est pas mal !
RépondreSupprimerJe ne sais si on peut comparer , Moncla Barthe Crauste à Skréla Rives Bastiat et celle d’aujourd’hui; ce n'est pas le même jeu , ce n'est pas le même rugby , ce ne sont pas les mêmes joueurs , de joueurs de rugby ils sont devenus athlètes de rugby ...mais il est sur que chacun a dans sa mémoire ( et pour cela il faut avoir quelques décennies derrière soi pour avoir une mémoire ) sa 3 ème ligne rêvée !
RépondreSupprimerJ'ai revu il y a quelques temps le France Af sud de 61 , que dire , vraiment une autre époque , un autre jeu ... de tout temps nous avons eu de grands 3ème ligne , difficile de comparer , comme a voulu le faire le figaro avec les meilleurs N9 et plaçant dupont en n°1 ...en quoi Dupont serait meilleur que Gallion ? Gallion s'entrainait 3 fois maxi en semaine , allait au comptoir avec les copains surement quelque fois et faisait des études ...tout est dit ..en ce qui me concerne mais je peux me tromper ...bon WE de tournoi a tous
Tout est dit Marco....
SupprimerA part la fille du gardien, p'têt, qu'était vraiment mieux avant!
Allez, surtout que nous on a pas bougé, les cheveux , et encore.
Cette 3ème ligne "changeante" ne m'inquiète absolument pas.
RépondreSupprimerElle est plutôt un signe d'abondance, et de polyvalence aussi; l'équilibre, tu l'as toujours quand dans le petit groupe des probables et des possibles, on trouve des profils complets, aussi bien gratteurs que coureurs et batailleurs comme joueurs. Cros, Cretin, Jelonch peuvent jouer dans ces registres, et au meilleur niveau. Si tu rajoutes en plus la valeur ajoutée d'un Woki capable de passer de la 3ème ligne dans l'attelage, sans baisse de volume et d'activité, ça fait beaucoup en plus, et donc d'inquiétude en moins.
Ce que je trouve le plus intéressant, c'est la stabilité de la charnière, problème récurrent du rugby français international depuis... aussi longtemps qu'il existe !
Ce qui nous autorise les meilleurs espoirs pour l'avenir.
Il semble que nous ayons des jeunes avec un talent de qualité et un travail sérieux qui pourrait bien leur et nous passer une belle réussite
RépondreSupprimerGauffre ou crêpe, qu'importe. Il faut éviter de se gauffrer pour ne pas passer pour des crêpes. L'EDF doit continuer à exploiter avec brio son potentiel (comme une mine), jalousé par ses adversaires des 6 nations. La 3e ligne ne pose pas de problème pour l'instant car il y a de quoi faire et en fonction de l'adversaire. La charnière doit également retrouver son niveau. Au total une certaine homogénéité sur laquelle compter mais avec sérieux, réalisme et humilité.
RépondreSupprimerEt prendre la trace des bleuets.
Une mi-temps d'Irlande et déjà je suis moins sûre des nôtres .
RépondreSupprimerFaudrait arrêter les gaufres ?
Les irlandais vraiment excellent, on a intérêt à les prendre très très au sérieux, ils sont bons devant et derrière et c'est un beau match
RépondreSupprimerC'est la ou l'on voit que nous n'avons pas été les seuls à battre les blacks, quel match nous sortent les irlandais
RépondreSupprimerMême si le poireaux ne sont bons là que pour la soupe, les Irlandais ont bien monté le curseur et une autre ambition dans un jeu plus aéré. Faudra les égaler...
RépondreSupprimerTout-à-fait exact. Des Irlandais à leur niveau, tranquilles, sans forcer exagérément et des Gallois -comme dans les coupes d'Europe- à le rue. Le maladie = des absents en pagaille, pas de matches, pas d'entraînement, pas de forme. Un match à sens unique et sans grand intérêt. Une démonstration pour l'école...Deux jeux identiques, assez classiques, mais une équipe deux fois plus forte que l'autre, c'est simple et c'est tout.
RépondreSupprimerJe suis certain que le match à venir, à Murrayfield, sera beaucoup plus engagé, intéressant, amusant et plein d'originalité.
Bien vu André cet Ecosse England est passionnant ! Même l'arbitre est bon .
SupprimerAh ben non alors il faut rien changer. Quand tout est pensé ainsi jusque dans la photo qui illustre une crêpe pliée en triangle. Je préfère malgré tout les crêpes roulées de mon enfance. Et j'espère que l'EDF va rouler sur l'équipe d'Italie car c'est vraiment dans ce type de confrontation qu'on distingue les grandes équipes des très grandes équipes. Les blacks en grande forme ne se font jamais e....der par les petites équipes.Il les respectent vraiment en leur mettant au moins 50 points.
RépondreSupprimerEnsuite ce qui est important désormais c'est d'être réguliers dans l'effort et dans la performance de haut niveau.
Par exemple en première division des podcasts rugby on a le crunch de l'équipe et arrêt buffet du midol. Quand le crunch joue, c'est du très bon niveau... Mais souvent absent ou blessé..Arrêt buffet, c'est tous les jeudis et pas de match annulé ou reporté.
Et qu'on ne me parle pas de moyens. 100% UBB sur France Bleu Gironde avec un demi journaliste rugby (j'exagère à peine) ils font un billet de 2 min quotidien et une émission de 20 minutes quotidienne quelles que soit les circonstances. Ils jouent par tous les temps.
A l'équipe on a l'impression qu'ils jouent que quand il fait beau et que le terrain est nickel. Heureusement qu'il y a "l'ancien" qui lui nous gratifie de ses chroniques hors champ professionnel.
Et question débat sur la troisième ligne, sa complémentarité supposée, écoutez https://podcasts.eurosport.fr/eurosport-arret-buffet/202201201654-les-choix-de-galthie-decryptes-ntamack-numero-un-louverture
À partir de 29min22s
Neil Back, Lièvremont, Betsen, bien d'autres; Des joueurs indispensables pour le bon équilibre d'une troisième ligne.
RépondreSupprimerMais ça c'était avant, coquine Dauphinoise!
C'est beaucoup moins vrai avec ces pros super préparés et hyper affûtés.
On le sentait venir avec les deux couteaux suisses Hopper et Pocock, des mutants.
Bien sur la morphologie demeure mais n'est plus décisive.
Qui peut me dire si Jelongh est un gratteur ou un coureur, pensez-vous que Cretin se tiendra prudemment hors des regroupements.
Allez, savent tout faire !
Je sais : faut pas se réjouir du malheur des autres. Mais quand c’est l’Angleterre, ça compte ? :-)
RépondreSupprimerÇa compte double malt
SupprimerHé ho ! Quand même Marcus Smith c'est pas mal ...
SupprimerEn attendant, les épines de la rose piquent moins que celle du chardon. Et ça, ça fait mon week-end.
RépondreSupprimerSi ce n est que demain, c est pas une.operation tourisme, mais le bleubd3 chauffe qu'on attend, parce que l'Irlande dans une semaine, cela va être sportif.
Comme prévu un match plutôt équilibré malgré une grosse domination stérile anglaise. Match inventif et aéré; avec pas mal de fautes quand même. Pour suivre le conseil de Sergio, je vais pouvoir manger ma soupe et boire un bon verre de blanc....Bien frais, le blanc.
RépondreSupprimerEt pour revenir au poste de Richard, c est peut-être en 2eme ligne le problème ? Personne pour remplacer le Leroux de 2020, pas même Leroux V.2022. On fait do c du Wokisme
RépondreSupprimerJe viens de lire les deux commentaires de Richard dans l'équipe internet: un seul mot: d'accord!
RépondreSupprimeren aucun cas la belle victoire sur les blacks engendrera une conquete certaine du tournoi
RépondreSupprimerverite d un jour nest daucune garantie du futur et surtout au rugby et tant mieux
Il faudra se les coltiner les Irishs
Eeux seuls sont capables de maintenir un siege durant 80 mn ils deferlent conservent et disposent eux aussi de fleches tonitruandes
Et ces vaillants Ecossais malmenes bouscules mais retrouvant une folle energie un esprit de sacrifices pour nous nous offrir de merveilleux mouvements quand RUssel retrouve son genie alors la le spectacle est eloquent
Donc les coqs affuter vos ergots (egos) l heure des conquetes est venue
Les Amis de la botte nous compliquerons la tache seulement un petit moment de petites escarmouches
on attend de belles envolees mes mains sont pretes pour applaudir
Sinon le fait d'aller jouer en Ecosse, l'équipe est à prendre au sérieux car comme nous (souvent) dans le jeu on ne sait jamais ce qu'elle nous réserve, à l'image de Russell, et de Hoggs plus irrégulier qu'avant. Pour autant, un danger mais qui se maîtrise à mon sens. l'Irlande reste tjrs redoutable dans le combat et mettra la barre encore haute à preuve du contraire. Les anglais, pas à poil mais à voile et à vapeur plutôt. Et des gallois déjà à la recherche d'un 2e souffle. Bon,les italiens... Une bonne bouchée de pâtes, picétou. Mais le tournoi reste le tournoi. Seul avantage, recevoir 3 fois, le cas cette année. Ça devrait être plus compliqué l'année prochaine. Au pire on aura pas le statut de favori pour la CDM...
SupprimerBon,c'est acquis, les talons sont très mauvais au volley, pas un scoop !
RépondreSupprimerIl n'empêche qu'avec la rose sur le cœur tu aspires à mieux face aux Scots.
Parce qu'on les aime bien, surtout nous, Russel, tonton Stuart, le modèle Hamish, les couill..oh pardon, sur la table,les guerriers romantiques, tout ça, éternels outsiders quand même.
Alors en vérité je vous le dis, il y a quelque chose de pourri au royaume du demi jap !
Allez,en plein jubilé, ça fait riche !
Depuis 1950 il y a 2 douzaines de 3éme lignes qui peuvent prétendre à être dans les 3 à retenir comme meilleurs, ça va de " Matabiau" dont je ne retrouve plus le nom, à Lansaman, et autres iconoclastes...
RépondreSupprimerAlbert Cigagna et autres comme Biémouret et les Dauga, Spanghero, Herrero, Lira, Sitjar, Salut, Rupert....
RépondreSupprimer... Pétrissans🤗
SupprimerEt les Carrère, Cabannes, Magne...
RépondreSupprimerIl y a ceux qui pratiquent le rugby et le vivent de l'intérieur.
RépondreSupprimerIl y a ceux qui le regardent de plus ou moins haut dans un stade avec une vision complète du terrain.
Il y a ceux qui le regardent sous l'influence d'un réalisateur TV qui le filme comme un spectacle à grand renforts de moyens techniques plus innovants les uns que les autres. J'appréhende cet après midi les points de vue caméra au moment des tirs au but, entre autres choix qui me sont imposés.
Et puis il y a moi qui pratique encore une autre activité nouvelle aussi proche et éloignée d'un visionnage ordinaire que peut l'être le rugby à 7 par rapport au rugby à 15.
J'ai donc récupéré les matchs du tournoi d'hier. Je les ai regardés sur ma TV avec VLC réglé à la vitesse x 1,5 voire 1,7. Puis j'avais la possibilité avec des touches du clavier de faire des sauts de 10s. Je concentre donc le temps sur les entrées en mêlées et introduction et lancers en touche, le moment où le buteur commence sa routine avant de taper par exemple, et les phases de jeu actif.
Le temps nécessaire pour visionner l'ensemble d'un match dans ces conditions qui frisent l'absurde pour 100% des lecteurs contributeurs de ce blog est compris entre 15 et 20min. Certains jaugent leurs performances sur le temps pour boucler un marathon ou un livre de 500 pages. Pourquoi ce ne serait pas plus agréable de faire 42,195kms en 10 heures? Ou "vivre avec un livre" pendant plusieurs jours?
Par contre c'est bien une activité différente à laquelle le cerveau s'habitue très rapidement. Pour moi c'est aussi facile à regarder qu'un match de basket à haut niveau où tout va très vite. Bien sûr il ne faut pas regarder en suivant les images à vitesse normale, car on a une impression de lenteur quasi insupportable le temps que le cerveau reprenne "ses marques" et comprenne que c'est ça la réalité.
Il est évident que tout à l'heure ce sera a minima dans les conditions du direct, à vitesse normale.
Je ne vous encouragerai pas à tester sauf si vous voulez comprendre combien on peut modifier la perception de la vitesse du jeu par un clic de souris. On peut jouer à monter la vitesse, comme pour un entraînement physique, et se rendre compte que nos sens (ouïe pour les commentaires, vue pour les images) ont aussi un extraordinaire potentiel de performances.
et il ya ceux qui ont la boite noire de C+ qui ne permet plus rien, ni ralenti, ni suivi de l'image en acceléré, pout tout dire une mer..
RépondreSupprimerAllez, bon match. Si on ne gagne pas en marquant 50 points et le bonus offensif au début de la seconde période, c'est qu'on a du chemin à effectuer, non ?
RépondreSupprimerParce que cette Italie, très gamine, n'est pas un adversaire de très haut niveau.
Il faut impérativement que le XV de France élève tout seul son jeu.
Il faudra être plus patient pour le bonus offensif: il pleut des cordes sur Paris.
RépondreSupprimerIl faut d'abord aborder ce match contre les italiens avec ... humidité.
18-10 à la mi-temps.
RépondreSupprimerLes italiens sont présents en défense et opportunistes.
L'EDF aussi (qui peut dire que Jelonch n'est pas aussi un 3ème ligne coureur ?), mais quand elle accélère, ça va à 300.
Ce ne sont plus des italiens traditionnels; un peu tout fous. Ils ont manifestement changé d'entraîneur. Entraîneur qui n'a pas envie de prendre des risques et de prendre des valises. A mon avis il faudrait élargir le jeu pour dénouer leur défense bien en place dans un jeu classique.
RépondreSupprimerBel essai pour terminer. Contrat rempli même si comme d’hab, on a eu du mal à rentrer dans ce tournoi. Message personnel : Gabin, si tu pouvais faire les mêmes à Mayol, on ne serait pas contre :-)
RépondreSupprimerBon ben pas Al denté le match. La bolo craquait un peu sous les dents. Difficulté à mettre du rythme devant une défense italienne bien en place. Du mal à les bouger même s'il y a 5 essais à la clé. Du mal au sol aussi à libérer les ballons et au grattage, moyen. Le niveau de jeu n'était pas suffisamment élevé et juste pour mettre 50 pts. Au final, un bonus quand même et la satisfaction d'un contrat quand même rempli, du coup. Difficile d'effeuiller le tréfle samedi prochain. Un gros combat et un autre rythme seront proposés au menu par des Irlandais qui viendront pour une suprématie bien sur.
RépondreSupprimerWoki a confirmé son potentiel en 2e l. par son volume de jeu. Indispensable en touche tout comme Crétin qui en a un peu moins (de volume de jeu). Bon match de Jelonch, Aldritt en 1re mt, Willemse, Baille, Villières. Atonio m'a surpris aussi. Tamack très discret, Dupont encore sur l'alternatif mais ça revient. Garbisi est en train de faire sa place à Montpellier comme dans l'équipe Italienne.