Alors que la Coupe d'Europe est censée nous apporter un brin d'exotisme, certes tout relatif, en nous offrant un effet de Manche, ces huitièmes de finale en deux sets croupissent dans l'eau des derbys entre régionaux de l'épate et autres rencontres en chien de fusil. Leinster-Connacht, Bristol-Sale, La Rochelle-Bordeaux et Racing 92-Stade Français : quel est l'intérêt de cette première étape de phase finale sinon d'écrémer les représentants irlandais, anglais et français ?
Où sont passés les Gallois et les Ecossais ? C'est bien la limite de cette compétition tronquée dès son entame avec deux poules et des affrontements parcellaires. Mais il faut bien que le spectacle continue, n'est-ce pas, même si l'équité sportive doit en souffrir. A l'heure où le calendrier marque les organismes, il aurait été de bon ton de limiter la phase finale - comme le fait notre Top 14 - à quelques matches de barrages avant de se rendre directement en demi-finales.
Le poussif derby d'Île-de-France en trois manches vire au chemin de croix d'un Stade Français incapable de se réinventer, même fort d'une centaine de millions d'euros. L'argent, et c'est heureux, n'achète pas tout et certainement pas l'esprit rugby. Mais cette implosion pose questions. Qu'est-ce qu'un club ? Qu'est-ce qu'une équipe ? Pourquoi un milliardaire a-t-il soudain envie d'être champion de France ? Quel parallèle tracer avec le Paris Qatar Saint-Germain ?
On constate aussi le coup d'arrêt bordelais. Mauvais récolte ? C'est pourtant la même équipe, ou presque, si l'on retranche une paire de deuxième-lignes et un ouvreur international, deux postes qui racontent le rugby, à savoir le devoir et l'orchestration, l'ombre et la lumière, deux façons d'attaquer la ligne d'avantage : dans l'affrontement et dans l'intervalle. Il y aurait beaucoup à écrire sur cette dichotomie qui est finalement un complément, et toute la richesse de ce jeu.
On suivra néanmoins avec intérêt la remontée de handicap des Toulousains à Belfast et des Clermontois à Leicester, ainsi que la façon dont Montpellier - la petite phalange qui monte, qui monte - va s'y prendre pour faire fructifier son bonus magnifiquement acquis pendant une heure à domicile et malencontreusement dépensé en fin de rencontre... Car si certaines oppositions manquent du charme que procure le mélange de genres, ce n'est pas le cas de ces trois-là, suspense à la clé.
J'ai lu une partie du buzz provoqué par la sortie dans les salles de cinéma du film sur le Stade Toulousain humblement titré Le Stade, comme s'il n'y en avait qu'un, ce que le Stade Rochelais et le Stade Français doivent apprécier, j'en suis persuadé. Historiquement, le stade, soit la distance d'environ 180 mètres, variait d'une cité l'autre. Ce documentaire en noir et rouge vaut surtout, semble-t-il, pour la présence "jeandujardinesque" du coach Mola, et j'offre un exemplaire de mon prochain ouvrage - De Pétrarque à Kerouac sur les pentes du mont Ventoux (éditions les défricheurs) - à celle ou celui qui livrera le décompte exact du nombre de fois où l'expression "putaing" est prononcée...
Cette apologie filmée des doubles champions - d'Europe et de France - en titre n'est pas la première tentative de rendre compte du rugby par un crochet intérieur. Au début de ma carrière de journaliste, en 1985, sortit Le cuir dans la peau, qui était une visite de Graulhet - là-aussi du rouge et du noir, mais en plus abrasif. Le battage médiatique de cette première immersion ovale resta très mesuré. Depuis, les docus filmés plongeant dans la psyché ovale n'ont pas manqué (on en compte 67). De Score (1980) à Ocean Apart (2020) en passant par Beau Joueur (2019) et le corpus de Christophe Vindis, je n'en tiens pas liste exhaustive. Alors je vous invite à déposer votre contribution afin de nourrir de cette chronique la fin.
Pas suivi le buzz et émissions diverses préparant la sortie de ce film.
RépondreSupprimerJ'espère Ritchie que tu avais vu en son temps cet excellent film de cinéma :
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=258207.html
Oui
SupprimerJe ne suis pas un bon lecteur😱. Tu citais Beau Joueur et ça m'a échappé. Quelle truffe 🤗 Désolé...
SupprimerNon, non, tu n'es pas truffé. J'ai juste immédiatement changé la fin de ma chronique à la lumière de ton commentaire...
SupprimerTu es éclairant.
Et c'est bien dommage en effet que tu n'aies pas été consulté pour proposer un titre dont tu as le secret. D'ailleurs puisque tu l'as vu, quel titre aurais-tu donné ?
RépondreSupprimerWallon et Flament...
SupprimerA plus d'un titre
SupprimerÔ, Toulouse !
SupprimerHaut, Toulouse !
SupprimerDupont et ses frères
SupprimerLa gloire de l'empire Romain
SupprimerJeux de mains
SupprimerJeu de Toulousains
SupprimerDans l'intimité du bestiaire
SupprimerBon allerz, j'arrête. J'ai par ailleurs un livre à terminer...
RépondreSupprimerMoi, pas vu. Mais je viens de voir la bande annonce et j'ai cru, au départ, voir Mathieu Madénian. C'était, bien sûr, Vincent Etcheto et j'ai compris que ce n'était pas un film mais un documentaire.
RépondreSupprimerPar ailleurs, d'accord avec Richard sur l'ensemble de son texte: on tourne en rond et on tire sur la corde pourrait en résumer l'esprit.
Bravo à mon ami Johnny Coiffard (supporteur inconditionnel du Stade Rochelais) pour avoir trouvé l'hommage à Antoine Blondin, dont on commémore cette année les 100 ans...
RépondreSupprimerSans revenir sur l'habit qui fait le moine et ou ce qui sort du comptoir du coin, effet sera de ne pas être manche pour la gagner cette coupe. Juste ce qu'il faut d'écrémage de matières grasses, genre effet de mains toulousaines ou vaincre le mauvais sort pour La Rochelle. Le reste relevant de ce qu'il pourrait y avoir de démocrate dans ce sport... La pente sera celle d'un mont Ventoux et faudra avoir le cuir dans le coeur, être beau joueur mais quand même plutôt franchouillard style "Allez France", mais pas trop blonde, non plus, hein Antoine...
RépondreSupprimerMathieu Madénian pour Vincent Etchéto, pas la même gouaille mais elle est bonne celle là.
Pour le titre du docu du Stade, j'aurais donné "Toulouse or not to loose".
Allez le rugby, ou un coup de semelle de l'ombre à la lumière... De la bonne come on sion.
Excellent, Sergio...En veine en ce début de chronique.
RépondreSupprimerPour Antoine Blondin, j'ai revu, par je ne sais plus quel enchaînement, son passage chez Bernard Pivot (source I.N.A.; environ 20 minutes). Superbe.
RépondreSupprimerEt bien entre les propositions de Ritchie ("Wallon et Flament" ça c'est un titre authentiquement Escotesque 🤗 et celle de Sergio) je pense que les producteurs du film peuvent "aller se rhabiller".
RépondreSupprimerSans rien savoir du contenu de ce film, je trouvais bizarre ce titre. Content de voir que je ne suis pas seul à le penser. Je viens de regarder la bande annonce. A minima "Jeu de Toulousains" aurait été plus approprié et aurait "servi" l'identité de ce club et le propos du film. Je viens de tester ces deux titres auprès d'une personne qui n'y connait rien. "Le stade" lui évoque le sport, "Jeu de toulousains" elle pense à foot ou rugby.
Est-ce que Delphine Gleize et ses producteurs auraient choisi la facilité ou la polysémie en appelant son film "L'aviron"?
Je m'en arrête là car je discute sur le choix du titre. Or il y a beaucoup à dire sur d'autres aspects.
Je ne suis pas très objectif car vous connaissez mon intérêt "bon public" sur la mise en images du rugby et mon goût pour le cinéma. Et je suis relativement peu critique sauf quand Fred Godard cherche trop à faire du cinéma justement dans un direct et que je n'arrive pas, par exemple, à voir (espérer/désespérer) de manière immédiate si la transformation va passer entre les poteaux ou pas (plan large derrière le buteur).
Il y a donc des films de cinéma qui utilisent le genre documentaire. Ce dernier opus tout en noir et blanc semble une réussite.
Il y en a d'autres qui utilisent une narration fictionnelle pour raconter avec plus ou moins de liberté, des évènements possibles ou s'étant produits : Les Survivants, Invictus (un film que doit détester Pierre B.), Mercenaire, etc.
Il existe enfin des films "avec du rugby dedans" expression utilisée par ce site
https://www.senscritique.com/liste/films_avec_du_rugby_dedans/2769112
Et puisque récemment nous avons vécu un drame atroce dont a été victime un joueur de rugby argentin ayant décidé de rester en France après sa carrière, je ne manquerai pas de signaler à mon ami Patrick, blogueur, amoureux de l'Argentine et supporter à la fois de l'UBB et de La Rochelle (nul n'est parfait 🤗) l'existence du film non moins atroce, argentino-espagnol El Clan.
Je n'ai aucun souvenir de l'existence ou sortie de ce film qui a reçu des prix et dont je vous encourage à découvrir la bande annonce qui permet de comprendre l'histoire et les choix de construction du film.
https://youtu.be/RRr7QgOlnpY
Le film est d'autant plus dérangeant qu'il raconte des faits criminels réels s'étant produits et ayant impliqué, entre autre, un joueur de rugby ayant semble-t-il été sélectionné dans l'équipe de Los Pumas.
Je vous laisse faire vos propres recherches.
J'imagine que peut être Richard, indépendamment du film, avait eu connaissance de l'existence de ce "scandale du clan Puccio".
Le pire c'était Les survivants où toute une équipe de rugby doit survivre après le crash de leur avion . Genre le radeau de la Méduse ...
SupprimerIl me semble que El Clan est passé sur Canal (2020 ou 21 ??). Invictus, j'avais pas vraiment accroché. Les scènes rugbystiques me semblaient pas vraiment crédibles. Ce qui est le plus compliqué à faire passer au cinéma. Par contre, pour ceux qui ont Canal, je vous invite à regarder le film 5e set (sur le tennis) avec Alex Lutz. Ce mec est juste incroyable. A le voir dans le film, je pensais qu'il avait pratiqué le tennis à un niveau classé moyen. Pas du tout, mais pour se mettre dans la peau d'un tennisman il n'a pas hésité à prendre 5 h de cours par jour pendant 6 mois. A 44 ans ça donne quelque chose de bluffant. Et le réalisateur Quentin Reynaud a pratiqué ce sport, classé ancien 4/6 (le même niveau que PSA) ce qui l'a aidé à rendre son film crédible sur les images tennistiques, au-delà de certains trucages bien sur.
SupprimerJ'abonde: le film avec Lutz est particulièrement bien filmé et crédible. Cadrage rapproché au moment des frappes de balle qui permet de "gommer" les déplacements, ou placé juste derrière le receveur à hauteur de court, ce qui "rend" bien la réalité du jeu (en plus de la performance de l'acteur qui donne vraiment l'impression que c'est un pratiquant de bon niveau depuis longtemps).
Supprimerj'ai d'ailleurs toujours pensé que les réalisations de rugby gagneraient à être comme ça plus au niveau du terrain pour mieux voir la vitesse du jeu (entre autres choses).
j'avoue que la coupe d’Europe m’intéresse peu , donc pas trop d'avis là dessus ...le top 14 malgré ses défauts est bien plus intéressant
RépondreSupprimerDu Manche à Dimanche,
RépondreSupprimerLe rugby est il en train de vivre l'apocalypse de la cupidité ? Comme dans le cochon, tout est bon dit-on. De la danseuse parce que l'on a des fortunes diverses et variées aux matchs aller retour pour alimenter caisses des clubs, diffuseurs, ERPC et Cies, l'effet escompté ressemble au soufflé mal cuisiné. Des Présidents qui n'ont d'yeux que sur les réseaux occultes de l'ovale pour continuer à étendre leurs empires, les exemples pullulent jusqu'au Parquet Financier 🙈. Une ERPC passée du produit de Lux au toast sans saveur, les membres constitutifs des VI Nations et des clubs Pro sont devenus au fil du temps des hommes de paille où il fait bon de faire la manche. Quoi de mieux pour une bonne sauce que de multiplier les diffuseurs tel la scène des pains en cette période de Pâques. Belle lucidité de notre contributeur bien aimé que de souligner la perte d'identité de nos clubs, de nos compétitions, de nos entraîneurs, de nos présidents au détriment des supporters, des joueurs et de l'histoire des clubs pour en faire un soi disant film aussi lumineux qu'il alterne le noir et le blanc. A se retrousser les manches tous les dimanches, on finit par un appel aux supporters pour combler l'abysse des salles obscures. Alors, un match, sans manches, ni boissons, avec un fond de jeu pour ne pas dire de tarte insipide, le Dimanche transforme la sortie champêtre en odeur de bouse et de mouches ou le jeu s'englue dans la mélasse inconsistante du profit. Chacun a un fou dans sa manche dixit le proverbe.
Bien entendu si chelemard fait penser à flemmard, j'ai conscience que escotesque rime avec grostesque. C'est fortuit et non intentionnel. Mais il faut bien trouver un adjectif pour qualifier les titres si particuliers des chroniques de Richard (et autres productions écrites si affinités 🤗)
RépondreSupprimerEt puisqu'on parle cinéma (vu 5eme set qui est porté par la prestation xxl d'Alex Lutz), voilà un réalisateur qui aime jouer avec ses titres comme le fait Richard.
Ce qui nous lie (thématique famille + vin)
Deux moi
Et enfin son dernier que je viens de voir "En corps", un titre authentiquement escotesque et un film qui donne envie de voir La Bayadère ou "the art if not looking back" et autres spectacles de Hofesh Shechter.
Que dire du premier rôle de cette sublime danseuse qu'est Marion Barbeau.
Décidément certaines phases de rugby ressemblent étrangement (avec beaucoup d'imagination peut être ?) à des tableaux de danse contemporaine 🤗
Obscénité ovale ça vous irait comme titre ?
RépondreSupprimerParce qu'une caméra dans un vestiaire c'est pareil que dans votre chambre à coucher, ça n'a rien à y faire.
Allez,excusez moi, c'est épidermique !
Certes, mais les joueurs ne semblent pas trouver à y redire. Alors, qui sommes-nous pour interdire cette caméra ?
SupprimerTout est filmé, aujourd'hui, même les émissions de radio.
Quand j'étais invité à RTL le lundi soir pour "on refait le sport", je faisais le con en studio jusqu'à ce que je m'aperçoive que tout était filmé et difussé en direct ah ah.
Cela dit et constaté, ça ne m'a pas empéché de faire ce que j'avais envie.
Je crois que lorsqu'on est clair avec soi et qu'on ne joue pas un personnage, avoir ou pas une caméra ne pose aucun problème.
Sauf dans la chambre à coucher et dans les toilettes.
Mais ça c'est un autre genre de sport...
Même plus, c'est un viol absolu, t'imagine la prépa dans les vestiaires en regardant à la télé ce qui se passe sur les bancs de l'autre côté, juste derrière la cloison qui nous sépare de ces empafés de visiteurs !!!!!!
RépondreSupprimer" ... On les connait les demeurés d'ici, les gars, d'entrée on les pigne et on leur montre qu'on en a, hein ... " " ... Au coup d'envoi regardez pas la balle, on s'en fout, vous délimitez les zones à pas venir, Jo rappelle toi le 8 et le 2 au match aller, ils ont semé, et bien aujourd'hui vont récolter ... " ................. ETC !!!!
Bon, après, la caméra dans la chambre à coucher, y'a des adeptes, hein, épidermique certes !!!!!
Mais la zobscénité ovale oui ça me va bien.
Et les sportifs qui s'engagent dans la campagne électorale, ça vous inspire pas ????
La notoriété n'a jamais donné la science infuse, même si certains en sont persuadés, mais c'est pas interdit !
SupprimerEt je reste persuadé que tu n'as pas besoin des conseils de Dupont ou ta crémière pour tes convictions, donc on s' en fout , non ?
Allez, le 2,t'es sur ?
oui, oui, je plussoie, tout ça surtout pour alimenter les conversations, et oui on s'en fout, m'enfin bon, hein, mais si Dupont m'en tape certes, ma crémière pas pareil, plus terre à terre et au courant des difficultés de la vie, mon bon monsieur.
SupprimerLe 2 et comment, depuis l'début m'sieur l'arbitre !!!!!!!!!!!!!!!!
Jolie parenthèse hier soir, une petite Ukrainienne réfugiée par ici avec sa maman, sur un bateau d'apprentissage d'aviron, du bonheur et des sourires, c'était bien, les échanges pataquès dans un dialecte francoAngloUkrainien pas faciles mais une fois les rames dans l'eau vogue le bateau comme il peut/veut et des rires et du bonheur pour tout le monde.
RépondreSupprimerJe l'aime vraiment bien ce Finn Russel, viens de lire un petit entretien sur rugbyrama, quand il dit, entre autres : ".. En salle de muscu, je fais ce que j’ai à faire pour être prêt le week-end, pas davantage. Moi, je suis un demi d’ouverture, pas un body-builder, mon job n’est pas de pousser fort en mêlée ou de prendre l’adversaire de vitesse, sur l’aile. L’important, pour moi, c’est le côté psychologique, rester heureux sur et en dehors du terrain, je me fous de pas avoir des tablettes de chocolat. J’aime trop les burgers et les pizzas, de toute façon ..", c'est rassurant pour notre jeu.
RépondreSupprimerCe gars qui au début de sa vie d'adulte, exerçait le métier de maçon en parallèle du rugby me semble avoir de bonnes valeurs, après avoir monté des murs aujourd'hui il les contourne et c'est bien.
Effectivement....Et sur l'ensemble de tout ce qui vient d'être dit ci-dessus. Je dis çà juste pour participer et parce que je le pense vraiment; personne ici n'a besoin de ma bénédiction ou d'un quelconque jugement.
RépondreSupprimerJe pense que cette histoire de vestiaires dévoilés est hélas une question de génération.
RépondreSupprimerJe ne sais plus qui a commencé en premier : les caméras dans les vestiaires ou le loft.
Mais les réseaux sociaux, les divers comptes Instagram, etc. C'est ça désormais la "nouvelle vie".
Quand à l'époque de Loft story j'ai découvert que ma jeune voisine de 17 ans, réservée, timide et pas du tout extravertie rêvait de participer à une telle émission et ne voyait pas de problèmes à être filmée et vue par des inconnu.es, j'ai compris que le choc générationnel était bien là. C'est celui que vous exprimez quand vous parlez de "zobscénité ovale".
Pour ma part j'irai chercher des tentatives de compréhension du côté du concept d'extimité au sens où l'entend le psychiatre Serge Tisseron
Cf: https://sites.google.com/view/de-tout-et-de-rien/extimite
Mais je confirme avoir pour ma part vécu une période où tout ce qui se passait au coeur d'un vestiaire était farouchement "protégé". Et comme je n'en faisais pas partie, tant pis pour moi. Mon meilleur ami ne me partageait jamais ce qui pouvait s'y passer malgré ma curiosité.
Tiens, petite supplique au rédac-chef d'ici, un peu avant l'envoi de sa nouvelle rubrique peut-être prévenir les abonnés, souvent quelques commentaires relançant débat et discussions tombent au fond du précédent sujet quand tout le monde se précipite sur la toute nouvelle édition, cela prive les uns de lire et commenter et peut donner la sensation aux autres d'avoir causé dans le vide, c'est ballot !!!!!
RépondreSupprimerExtémité, oui, merci de m'avoir fait découvrir ce mot et son contenu, je suis malheureusement bien d'accord avec le fait que le «Je pense donc je suis» a été remplacé par le «Je vois et suis vu donc je suis» !!!!!!!!!!
Pas sûr que ça ait fait progresser notre monde, pas sûr .........................
Pas de pb, quand il ya un nouvel article je vais, naturellement, voir la fin du précedent au niveau des contributions
Supprimer"Ballot"
SupprimerCe n'est pas très plaisant, Nini. Toi qui est si précis dans tes commentaires tu aurais pu facilement trouve autre chose pour évoquer la fin de chaque temps de chronique et le début d'un autre
Je t'en propose quelques-uns : dommage, frustrant, abrupt, surprenant, déstabilisant...
SupprimerParfois, quand j'ai le temps j'annonce u e parution prochaine.
SupprimerMais jai un métier, une famille, des activités annexes, des engagements associatifs, des ouvrages en rédaction, des lectures, et l'envie d'otuim aussi.
Et je n'interdis à personne de prolonger une discussion dans le sillage de la chronique passée.
Perso je m'y rends parfois
SupprimerEt ça n'empêche non plus personne de relancer du fond du terrain sur une discussion qui a débuté dans la précédente chronique. Après tout, notamment selon l'actualité, les échanges s'éloignent souvent du thème initial (malgré les efforts de Ritchie pour nous y ramener, mais au Club-house, si on peut en dire, des conneries, faut jamais énerver le gars derrière le bar, c'est bien connu).
SupprimerAh non, Pipiou, c'est très bien de s'éloigner du sujet. Ce blog n'est pas un club de rétheurs et de sophistes. La chronique m'appartient, le reste est du jeu libre. Même si parfois, je l'avoue, je suis un peu déçu par le fait que personne ne reprenne les trois ou quatres pistes légérement tracées dans ma chronique. Mais bon, c'est comme ça, hein ? Parfois ça relance de partout en restant sur le plan de jeu, parfois, j'ai l'impression que tout le monde joue sur le terrain annexe et que je suis seul sur le terrain d'honneur, ou l'inverse. Mais comme il n'y a pas de loi.
SupprimerCe qui parfois m'incite à ne pas écrire toutes les semaines, comprennant que ça fonctionne bien sans moi, ce qui est aussi un plaisir collectif.
Jusqu'au jour où, le départ étant programmé pour après la Coupe du monde 2023, ce blog s'arrête lui aussi.
Ce qui est arrivé à mon autre blog, Comme Fou, qui était un formidable creuset d'idées et d'amitié, et qui peu à peu à perdu son sens puisque un à un les bloggeurs sont partis vers d'autres cieux. Comme Fou a une particularité, c'est d'avoir été le camp de base d'un magnifique magazine - Flair Play - imaginé par Christophe Schaeffer et dont la rédaction était composée de Benoit Jeantet, Léon Mazzella, Antoine Aymond, Sébastien Boully, Nemer Habib... Une dream team. Et ça ne l'a pas empéché de pérécliter doucement. C'est peut-être même une des raisons de son extinction. Mais qu'importe, rien de dure, tout se tranforme.
J'oubliais : Eric Blondeau...
Supprimerles hirondelles sont là depuis ce matin.....
RépondreSupprimerMoi aussi, Georges.
RépondreSupprimerLe voyeurisme et le voit ailleurisme...
RépondreSupprimerUne dérive de la télé. Du coup tu balaies plus devant ta porte. T'attends de voir comment ça se passe ailleurs.
Après, c'est à prendre pour ce qu'on veut bien le prendre...
Je rappelle que l'Aviron Bayonnais avait aussi fait le sien lors de sa remontée à la lumière et que ça n'a pas foncièrement choqué les ceusses (nininesques😉) qui contribuent ici, à ce que je m'en rappelle.
Sur le principe, Toulouse n'a pas attendu de voir pour être, enfin ils ont pu copier des trucs à droite à gauche.
Il faut le voir du coin intéressant de l'oeil, côté intérêt cinématographique technique. Déjà en noir et blanc, ombres et lumières donc. Le reste, c'est forcément la vie d'un club et donc il y aura forcément un côté intrusif, sans pour autant enquêter et découvrir qui couche avec qui. A priori, personne aurait couché avec ligues ou arbitres pour être champions... Je vais essayer d'aller y jeter un œil. Ce qui est plus gênant, ce sont les caméras régulières en championnat, coupes d'Europe, tournois... avant, après match et à la mi-temps, comme souvent dit ici.
Allez Russel, finira peut être par plus être fin, enfin sais pas. Mais un peu d'atypisme que diable dans ce monde en séries. L'aime bien buzzer aussi.
l acteur principal du dereglement de l environnement du monde rugby se nomme canal
RépondreSupprimerbientot on aura droit a l interview du buteur avant son tir des impressions des piliers au moment de la premiere melee canal c est un peu ici paris on raccole de rien on fait un evenement exceptionel bientot les cameras se glisseront lors du conseil des ministres
quant aux appels a voter on ne le demande qu a certains comme si leurs avis etaient essentielquel joueur osera un ralliement a la marine celui ci sera voue aux gemonies par contre se reallier au petit prince de la finance ouvre plus de portes
bravo a RUSSELL le cuir vaut plus que la fonte
Cher Allan
SupprimerCanal na fait que reprendre ce qui existe en Super Rugby (sud) et Premiership (nord).
Avant les buteurs discutaient avec les supporteurs de la main courante avant de taper la transformation
En F1 ça fait 15 ans que les pilotes sont interviewés sur la grille 15 mn avant le départ d'une course ou ils jouent leur vie.1
SupprimerEt ça ne leur pose aucune probleme
SupprimerC'est assez juste...
RépondreSupprimerPersonnellement quand j'écris ou que Cardiff écrit (et d'autres), c'est pour être lu par au moins une personne. Certes on dévoile peu mais un peu quand même. Je pense que toutes proportions gardées si on applique un coefficient multiplicateur lié à l'âge, nous sommes bien plus proches de ceux qu'on dénonce (canal+, les voyeurs, les exhibs etc.) que de ceux qui viennent lire les chroniques de RE et les commentaires de certain.es et se garderaient bien d'y laisser le moindre commentaire, la moindre opinion personnelle.
RépondreSupprimerNous avons donc de quoi être "choqués" du comportement d'autres mais il faut aussi imaginer que nos seuls commentaires sur un blog accessible à tous peuvent déjà être jugés comme "extimes". N'est ce pas grand frère ?🤗
Et pour ma part je n'estime pas que les personnes qui regardent les reportages de Canal+ ou viennent lire ici certaines "passes d'armes", ou témoignages sans y participer sont des voyeurs.
Si on est libres de ne pas apprécier ces diverses manières de communiquer et de le dire, j'espère qu'on n'en est pas à vouloir les interdire si on se retrouvait par malheur avec beaucoup de pouvoir.
Très récemment j'ai redécouvert les avantages d'une faux qui me rend plus vertueux et moins dépendant des énergies fossiles 🤗 Mais je ne suis pas/plus prêt à me faire 2000m2 avec.
Alors si ici quelqu'un.e peut m'expliquer en quoi le film "Le stade" n'a rien à voir avec cette série documentaire de Canal+
https://www.canalplus.com/sport/xv/h/16479029_50001
Je suis preneur.
Est ce que c'est une "consécration" pour un documentaire qui aurait pu se contenter de passer sur Canal+, ou bien c'est un authentique film de cinéma, comme Beau Joueur avec son parti pris "gonflé" de ne jamais montrer une seule action de jeu.
https://actu.fr/sports/rugby/amateurs/cinema-beau-joueur-oubliez-joueurs-vivez-hommes_24812940.html
Ce film là je l'ai vu deux fois, les deux fois en présence de Delphine Gleize.
Alors Etcheto ou Mola pour le César du meilleur entraîneur au cinéma ?🤗
Ben techniquement il a été conçu comme un film à voir en salle, à preuve du contraire, comme celui de Bayonne. Je vois pas où est ton problème. Et il raconte une histoire d'hommes au cours d'une saison pour le gain d'un doublé Brennus et coupe d'Europe. Et pas qu'un reportage comme ça sur un club pour faire humer l'air ovale. Sachant qu'il dure 1h30, et je te vois déjà arriver qu'il aurait pu être découpé en tranches de 5 épisodes par exemple pour passer sur Canal ou autre. Pourquoi veux tu te mettre systématiquement à leur place pour gérer le truc. C'est leur projet et leur choix. Ya plein de critiques cinéma qui n'adhèrent pas forcément à une réalisation cinématographique. Ils l'écrivent et basta. Ya rien de plus à décortiquer, encore moins à revoir au ralenti pour une erreur d'arbitrage...!!!
SupprimerJ'ai posé une question (oublié le ?) tu y as répondu(il a été conçu comme un film de cinéma à voir en salle)...Merci👍
SupprimerIl ne s'agit pas d'interdire la diffusion de quoi que ce soit des l'instant ou c'est légal!
RépondreSupprimerMais juste d'espérer qu'en matière de sport, d'Art, d'amitié ,sûrement de toutes les relations humaines finalement,il existe des instants non négociables .
Serais plutôt progressiste perso, tant j'ai peur de marcher dans une flaque de vieux-connisme, mais suis pas sur que la fuite en avant des médias, non contrôlée, soit profitable à l'humanité.
Allez, l'humanité, pas moins, voir les alentours.
En réaction à cette réponse de Richard Escot, http://coteouvert.blogspot.com/2022/03/un-ange-passe.html?showComment=1648028170872#c2278773842641606074
RépondreSupprimerje me suis dit "en effet pourquoi pas".
Si des gens veulent se réunir, passer un bon moment, rencontrer à l'occasion Richard Escot, mais pas que, pourquoi ne pas imaginer une forme différente, plus légère au gré des envies et possibilités de chacun.
Je me suis donc intéressé à cette manifestation dont je n'avais jamais entendu parler et dont la première édition a eu lieu en 2021.
Vous me connaissez désormais, je vous en ai fait une page de liens et d'un article pour vous faire une idée précise.
C'est ici https://sites.google.com/view/de-tout-et-de-rien/grandmaul21
Je me suis aussi renseigné pour l'édition à venir. Hélas cela correspond à un week end où je suis indisponible.
Ci joint coordonnées et programme
https://sites.google.com/view/de-tout-et-de-rien/grandmaul2022
"Je me suis aussi renseigné pour l'édition à venir. Hélas cela correspond à un week end où je suis indisponible"....
SupprimerAh, ben voilà.😉
de tout de rien
RépondreSupprimerAu début d'un commentaire, ou d'un propos, je ne sais pas toujours vraiment comment commencer le texte, parfois le silence seul donne dans son recueillement le tempo, parfois la musique qui résonne en sourdine donne le rythme, les bruits du dehors, cui cui pinsonnants des volatiles ou vroum vroum vrillants des véhicules, jouent également leurs partitions, et tout ceci s'imbrique plus ou moins de guingois et la plume -le clavier- qui s'anime improvise à son tour, et toujours en filigrane penser à ce monde de plus en plus inconnu, incompris, peur ….
Tout entier immergé dans les arcanes de l'ovale, que j'aime au-dela de tout, plutôt optimiste sur les valeurs de ce sport et le tissu humain dans lequel il est tricoté, et ce malgré les détricoteurs incongrus de notre époque, lorsque le doigt hésitant tremblote sur le choix d'un mot, pourtant alors s'installe le doute, l'affreux doute sur l'inanité -entre autres choses- de nos échanges, quand la réalité du monde s'impose, ce monde qui besogneusement mais très patiemment et avec grande application fait disparaître une à une les espèces animales et végétales, dont la moitié gavée de bien-être, de confort, de couverture médicale et de nourriture regarde l'autre moitié qui manque de tout doucement décliner, mourir, disparaître !!!!!!!!!!!!!!!!!
Oui, je vois bien que vous vous alertez et pensez à mettre en œuvre un protocole commotion, un protocole dépression, d'expression, mais quel protocole peut combattre le monde dans lequel tout est à vendre et tout s'achète -suffit d'y mettre les pépètes-, où il faut consommer, tout, tout se consomme (et même le rugby, tiens, nouveau genre de cinéma), on va au boulot ou on touche nos retraites pour consommer, spirale infernale, et donc quand le doigt s'arrête, suspendu sur l'alphabet, alors, en boucle, refrain, lancinante complainte, éclate comme une fusée de 14 juillet la question de savoir quelle place l'humain occupe encore, dans ce vestiaire tout chamboulé de notre rugby.
N'a t'on pas manqué, loupé, occulté, ignoré, pas voulu voir quelque chose, à travers les constats sur le jeu de rugby d'aujourd'hui, dans notre évolution sociétale, n'est on pas passé à côté des évidences, attirés par les collisions et affrontements de toutes sortes sans jamais pratiquer l'évitement et le rassemblement, peut-être l'humanité toute entière n'a rien compris, rien du tout !!!!!!!!
Bon, pas là non plus pour vous emmerder avec mes pensées à 2 balles (si vous êtes encore là de toute façon c'est fait ….), ces propos sans doute partis tout en travers vont finir en touche, alors que le côté ouvert là-bas grand large piaffait d'impatience, oui, allez un tour aux vestiaires pour le protocole mais tous ceux qui ressortent de ces protocoles et repartent comme en 14 sont-ils bien guéris ???
Les hirondelles sont là et bien là, ça gazouille aux prémices de l'aube et c'est bon.
Les morilles aussi ont pointé leurs drôles d'alvéoles dans les bois et c'est bon.
Le soleil s'est encore levé ce matin, et c'est vraiment bon.
Hello Nini
SupprimerPour faire court et loin de moi l'idée de détricoter ton beau "comme en terre" mais je relisais il y a peu un livre de portraits rédigé par Denis Lalanne et certains anciens de la tournée de 1958 ne se reconnaissaient déjà plus dans le rugby de 1970 ah ah
Alors oui tout change. Et peut-être que certains restent là ou ils se sentent le mieux.
SupprimerPerso, pour être au contact des générations qui se suivent depuis 1984, je regarde les vagues qui se succèdent. On ne peut en arrêter aucune puisqu'elles s'enchaînent et se fondent
SupprimerDeux vraies question : qu'est-ce qui me plaisait avant et que je ne retrouve plus ? Quest-ce qu'il y a de formidable aujourd'hui à côté duquel je passe ?
SupprimerJe lis ce message -ce beau et triste message- et me dis que je suis bien d'accord et qu'il faut, au minimum, y répondre pour le dire. C'est vrai que nos passions et nos visions du monde, disons "d'anciens", apparaissent bien surannées au regard des évènements et des prédictions qui nous entourent. Il est, très certainement, réaliste. Mais, et heureusement, nous ne connaissons pas tout le "réel" et, pour les prédictions, prudence. Je me dis, en pensant à mes enfants et, surtout, à mes petits enfants, que la vie humaine -pour la vie en général pas d'inquiétude- pourra nous réserver des surprises intelligentes et heureuses. Comme pour le moment je n'en vois pas beaucoup, d'intelligence, je suis obligé -avec enthousiasme, confiance et plaisir- de m'appuyer sur cette jeunesse qui veut vivre et qui rejette avec beaucoup de raisons le vieux monde. Et les femmes, évidemment, si elles arrivent
RépondreSupprimerà nous montrer ce qu'elles feraient et feront en lieu et place des hommes qui, depuis plus de 2000 ans à la barre, n'ont pu que nous montrer conquêtes, guerres, dominations, tortures, destructions et j'en passe. Car, il est évident que, malgré de superbes découvertes, c'est le côté du mal qui, au final, l'emporte. J'essaye, par ailleurs, d'étayer mes rêves, désirs, intuitions sur un homme, Teilhard de Chardin, qui m'avait beaucoup plu quand, bien plus jeune -il y a donc très longtemps (du moins à notre échelle humaine) je l'avais lu. Sa théorie du "retournement des consciences" m'avait fortement intéressée et, au fond, aujourd'hui, elle continue à m'inspirer et à me donner un semblant d'espoir dans le futur.
Oui, les vagues se succèdent et rien ne peut les arrêter, peut-être aussi qu'au début de la bnouvelle vague on surfe sur les rouleaux et on croit les dompter puis ils deviennent bouillonnants on est emporté sans recours, peut-être bien.
RépondreSupprimerMais rester où l'on se sent le mieux pas possible, la force de la vague, la réalité de cette force, que tu l'acceptes ou non, comme le rythme du temps, l'horloge de la vie, elle est irrésistible et tu peux nager à contre-courant peine perdue.
Qu'est-ce que j'ai perdu et pourquoi, qu'est-ce qui reste encore formidable et que je n'aperçois pas/plus, belles questions, introspection nécessaire, c'est le regard de chacun qui répond à cela, donc s'intéresser à son regard, peser la lourdeur de la nostalgie, des regrets, de l'avant, et savourer la joie que donne encore une partie de ballon de 80 minutes, sans tracer des parallèles qui jamais de toute façon ne se rejoindront, et puis établir le fait de n'être plus acteur mais seulement observateur, peut-être ça le truc ????
Y'a quequ' chose qui cloche là-d'dans, j'y retourn' immédiatement !!!!!!!!!!!!
Comme disait Boris Vian, une belle âme.
RépondreSupprimerAmusons-nous :
RépondreSupprimerMon père un fameux bon joueur
Faisait en amateur
Dantesques arabesques
Sans avoir jamais rien appris
C'était un vrai génie
Question feintes et biscouettes
Il s'l'ibérait tous les dimanches
Sur tous ces prés bien verts
Pour fair' des expériences
Et le soir il rentrait chez nous
Et nous mettait en trans'
En nous racontant tout
Pour percer les défenses
Mes enfants croyez-moi
Y'a pas besoin de chance
La question de l'intervalle
S'passe sur la prise de balle
Suffit d'faire le bon pas
En c'qui concerne la croisée
C'est pas bien compliqué
Mais un' chos' me tracasse
C'est qu'au départ de l'action
Si les types sont à la ramasse
Tout au bout alors ça se plante
Y a quéqu'chos' qui cloch' là-d'dans
J'y retourne immédiat'ment
Il s'est entrainé n'comptant pas les séances
Tâchant avec persévérance
D'perfectionner son jeu
Quand il s'arrêtait en feu
L'analysait ses courses
Ca nous foutait la frousse
On voyait passer sur sa face
L'ombre des Boniface
Mais on n'osait rien dire
Et pis un soir au moment du garbure
Tout au bout d'un soupir
V'là soudain qu'il susurre
Au fur et 'à mesure
Je m'en aperçois mieux
Qu'ils changent les règles du jeu
Soyons sérieux si si je vous l'assure
Qu'ils font les zigogos
Dans les instances là-haut
Séance après séance
Je m'échine à trouver
L'meilleur moyen d'marquer
Et je m'suis pas rendu compt'
Que la seul' chos' qui compt'
C'est d'mettre un coup de saton
Y a quéqu'chose qui cloch' là-d'dans,
J'y retourne immédiat'ment
Sachant son entêtement
A lui faire entendre raison
Un dimanche à la maison
On l'installa sur l'banc
Mais un blessé qui sort
L'v'là rentré comme un ressort
Et sitôt sur le pré
Premier ballon touché
Tchic-tchac inter exter
La ligne adverse trouée
De tous ses adversaires
Ce malin s'est joué
Papa devant tous ses vivats
Ne s'y trompa pas
Et joua les modestes
Au siège et la partie gagnée
Devant les girouettes
Le voilà tout dressé
Messieurs le rugby n'est qu'un jeu
Et je jure devant Dieu
Partie gagnée partie perdue
En s'y donnant chaque dimanche
Je suis bien convaincu
qu'on y trouve sa chance
On était dans l'embarras ...
Alors on le laissa …...
Et puis l'dimanche suivant
Les entraineurs dans la dèche
Voulurent l'fair' capitaine
… Mais l'était parti à la pèche !!!!!!
bien execute a quand la meme avec monsieur le president
SupprimerGénial !
SupprimerQuel bonheur, ce blog...
SupprimerDe compter sur des vrais artistes, et je ne vais pas les nommer ici car leur modestie en souffrira mais nous avons à chaque fois (presque) des morcedaux d'anthologie de ce niveau...
Je me suis pris à lire l'histoire en la chantonnant sur l'air de la chanson.
RépondreSupprimerj ai eu le meme comportement de suite mon cerveau m a insufle l air
RépondreSupprimerIci, on se fait parfois des petits paris un seul enjeu pas de vainqueur pas de va
RépondreSupprimerMerde !!!! L'est parti le truc, un index impétueux, bon, je reprends .......
RépondreSupprimerpas de vaincu, juste s'amuser et amuser la galerie, fournie la galerie pas croire, peut-être pas le bambou bar ici mais ça ambiance pas mal !!!!!
Donc, on pérore et on discoure sur le rugby, ses clubs, surtout on tape gaiement sur les qu'on aime pas plus que ça, une seule règle, on tape pas sur le CAB épicétou !!!!
On monte des procès en intention, des jugements à l'emporte-pièce, on aime bien causer, et comme sur le commentaire précédent inviter un auteur compositeur pour lui triturer un peu sa création et s'en délecter.
Ce soir, coupe d'Europe et tout le tintouin, du rouge et du noir plein le comptoir, ça m'a un chouïa énervé et je te les ai cloué en invitant le grand Bobby Lapointe, je vous laisse juge et de mon parti pris ci-dessous, mais ne vous méprenez pas, c'est bien pour la beauté de s'amuser que tout ceci existe, et puis je vais vous dire le bar l'était en rouge et noir pac'que les footeux du coin sont en demi-finales de la coupe des communes du territoire, ça m'a scotché du coup ça m'a aussi coûté la tournée !!!!!!!!!!!
Avant de courir plus avant, bien s'imprégner du rythme du Bobby et de sa Katiekilakité.
Ce soir au bal
De canal
Ugo hagard est noir
Il n'arrête guère de boire
Car sa coupe, sa jolie coupe vient de le quitter
Sa coupe l'a quitté
Il va faire banquette
Ce grand coach avec ses trucs, ses astuces, son ciné sa casquette
"Ma tactique était toc" dit Ugo qui s'endort, ivre mort au plateau télé
Un grand coach tout fêlé
Ca lui f'ra bien les pieds, se marrent
Les fêtards qualifiés près du bar.
Ugo voudrait encor' y croire
Toujours gagner d'l'oseille
Mais sera dur le réveil ,
Les experts leurs conseils
Pendant son sommeil:
Tic tac tic tac
Ta coupe t'a quitté
Tic tac tic tac
Ta coupe t'a quitté
Tic tac tic tac
T'es knock-out, qu'attends-tu ?
Cuite-toi, t'es battu
T'as qu'à, t'as qu'à t'cuiter
Et quitter les travées
Ta coupe t'a quitté
Ta tactique était toc
Ta tactique était toc
Ta coupe t'a quitté
Ote ton froc et troque
Ton maillot tout crotté
Tes schémas au tableau
Qu'on t'a tant attaqué
Contre un nouveau projet
Quatre deniers tout compté
Et quitte tes travées
Ta coupe t'a quitté
Ta coupe t'a quitté
Ta coupe t'a quitté
Ta coupe t'a quitté
Tout à côté, tes rivaux touts coquets réjouis taquinaient
Coquins
Et les coquettes cathodiques tout en sirotant caquetaient
Discutaient et critiquaient
Les experts paltoquets, commentaient en tiquant, en quêtant les tickets
Du prochain grand buffet.
Quand tout à coup...
Tic tac tic...
Brrrrrr...
"Ooooh demain quel réveil
Mâtin quelle gueule de bois"
S'écrie l'Ugo, son CV à la main
"Pour une fin de règne
C'est une sacrée belle beigne!"
AH voulais vous dire, cet après-midi mis la télé pour LR/UBB, là aussi ça m'a scotché, du coup à la mi-temps ai tout éteint et suis parti faire des courses, P..... quelle tristesse, y'a quand-même tromperie sur la marchandise, ils annonçaient du rugby et ont changé le programme sans rien dire !!!!!!!!!!!!!
RépondreSupprimerBien d'accord avec toi sur ce match vu, obligatoirement, d'un œil distrait: mais une merveille par rapport au suivant qui était globalement du jeu à XIII. Bizarre comme les équipes Nationales, et la France en particulier, jouent un rugby qui ressemble à son nom et comme les matches de clubs retombent dans le "boum-boum". Un premier boum, une talonnade, un second idem, un troisième éventuellement et un coup de pied par dessus...Et çà recommence...Et je fais comme notre ami Cardiff. Je vais voir ailleurs si c'est mieux.
RépondreSupprimerBravo le Stade. On est d'accord, j'ai pas besoin de préciser lequel
RépondreSupprimerBen si le stade Rochelais s'est aussi qualifié...👍et ne jouera certainement pas contre le Stade français en quart.
SupprimerLe Stade a fini par gagner, c'est une belle entreprise. Son film 2021 vu hier à Valence m'a montré que l'an dernier c'était une entreprise dont j'ai dit qu'elle allait gagner. Cela pourrait recommencer cette année. La formation de cette entreprise n'est pas menée comme l'EDF. A revoir pour gagner cette année, cela va arriver , je vais écrire à Didier Lacroix suite à son film attentionné et attentif Aymé Jaquet et Arsène Wenger ont dû le guider. Le film est vraiment celui d'une entreprise. Bien menée par Didier Lacroix.Son directeur de production Ugo Mola est remarquable dans ce qu'il dirige et dit pour diriger son équipe. J'ai forgé mes entreprises ainsi. J'ai tout appris à Toulouse dans ma vie. J'en ai conscience illimitée. Chaque capitaine de son club y est opérationnel pour l'équipe de production. Ce qui est remarquable est l'efficacité de Marchand, talonneur international de grande qualité. Il oriente l'efficacité de son équipe dans chaque compétition. un conseil de stratégie industrielle. Encore une fois je souhaite que change le Top 14 . Quoi qu'il se passe pas de championnat quand les internationaux ne sont pas là.
RépondreSupprimerPas normal ce qui existe dans ce pays. Puisqu'il n'y a pas de rencontre à Uzerche, j'irai à la pêche à la mouche à la Dordogne. Le plaisir d'échanger rugby à Brive avec des amis de Côté Ouvert.
Bonne Pâques à chacun de vous.
Le ST était vraiment dans le dur, la qualif en poche en CE et en TOP.14, il va falloir les prendre !!!!
RépondreSupprimerLe talon hier soir monumental, et ce n'était pas Marchand, ça pose d'ailleurs problème tout ça, pas pour Molla mais pour le rugby, si un club peut s'acheter à plusieurs postes ce qui se fait de mieux dans le pays, tous aptes à être titulaires, n'est-ce pas inquiétant ???
NTK grandit, grandit !!!!! Dupont, fort, ça suffit en 9 je te mets en 10, et tout s'accélère, le jour où il manquera un talon ou un ailier ou ..... L'a du pot le Molla.
Les discours "entreprise" pour parler d'une équipe de rugby, comment dire, pas glop, si ????
Allez, moins de cinéma et plus de terrain.
En parlant d'entreprise avez vous remarqué que les clubs s'appellent stade, association sportive, club sportif, rugby club, club olympique, club Athlétique union sportive machin,... Et je parle pas des tigers, wariors, chiefs et cie.
RépondreSupprimerÇa fait pas très entreprise. On trouve pas ça en foot, en cyclisme, ou en basket...
Sinon, sortie prochaine d'un nouveau amgazine trimestriel 160 p. rugbystique, intitulé raffût. Accrocheur non, traitera de la culture rugby, de parcours sportif, d'amitiés,...
Pas trop s'accrocher non plus au libellé de l'assoc, souvent historique et peu en rapport avec ce que les structures sont vraiment devenues, et puis dans les appellations maintenant on a rajouté à l'histoire les départements, et puis les régions, bientôt (et dans pas longtemps) LE partenaire ASM.Michelin, CO.Fabre, LR.Merling ....... etc.
SupprimerLe rugby n'est pas dans la marge, juste en plein dans la mire.
160 pages ?????? p..... !!!!!! Je vois bien dans ce flot de papier moult et moult pages de pub pour des trucs qu'on ne soupçonne même pas d'exister à ce jour !!!!!
Un magazine rugby de l'épaisseur d'un dico, ça fout la trouille, non ????????
Indécrottable, c'est vrai que depuis quelques temps tu emmanches à la marge quand même. Jadorousselopoutouiste le gadgeot...ah, ah.
SupprimerHeu ????????????????????????
Supprimer???
RépondreSupprimerLes clubs qui ne créent par leur équipe comme un entreprise efficace n'ont aucun résultat. Lourdes ou Béziers ont montré dans le temps ce qui donnerait de meilleures situations de jeu...
RépondreSupprimerJ'avoue que cette obsession de lier le monde de l'entreprise au monde du sport et du rugby en particulier m'insupporte au plus haut point. Si j'en ai le courage, j'essaierais de développer un peu ce sentiment? Certainement déjà fait, si je me souviens bien. Mais comme nous radotons tous à qui mieux mieux, pourquoi pas, n'est-ce pas?
RépondreSupprimerpourquoi le langage d entreprise s est empare du monde du rugby simple de genereux sponsors (argent cache au fisc) ces mecenes(de menage) ont phagocytes les directions de club ey ont promulgues leurs gestions aux memes niveau que leurs entreprises
RépondreSupprimerau mot d engagement ils ont decretes investissement
a celui de camarade partenaire
a lesprit celui de valeur
a carriere celui de contrat
a mutation transfert(de fonds)
a buvette espace VIP
a supporter celui de partenaire
a benevolat celui de management
d un loisir ils en ont faient une denree
le monde economique engendre le crash
voila cher Andre mon requisitoire
Oui niveau pro aujourd'hui, on est bien loin du denier du culte d'antan... 😁
SupprimerMichel, tu demanderas leur avis aux supporters du Munster ou du Racing avec la perspective de devoir se déplacer pour les quarts de finale parce que leur club (et leur stade...) a été bien géré en "entreprise" en y programmant, moyennant substantielles finances, des concerts pop ou rap; sauf à ce qu'il s'avère que les contrats ont été passés avant que le calendrier de la Coupe d'Europe soit officiel (c'est très possible), ça signifie(rait) que la certitude de remplir le stade avec un concert l'emporte sur l'éventualité sportive d'une qualification de sa propre équipe. Que le Racing le fasse, qui a opté pour du "sport-spectacle" avec l'Arena et sa pelouse synthétique et tout à l'avenant, ça se comprend, mais le Munster, le mythique Thomond Park et sa Red Army, y'a quand même là le symbole d'une perte culturelle à laquelle un amateur de rugby devrait être sensible (bon, sauf peur-être ceux qui aiment Ed Sheeran !...)
RépondreSupprimerPâques et Pas Que,
RépondreSupprimerEn ce week end sacro-saint de la Résurrection, le Christ pardonne tous les péchés et conjure la mort pour donner un sens éternel et philosophique à la vie. Autant dire que celle-ci est l'augure menteur de réflexions, de délires et de visions qui appartiennent à chacune et chacun d'entre nous. Après la Passion, la Cène et la Rédemption, le rugby va t-il connaître une nouvelle vie? L'Omelette Pascale, point culturel de rencontres, de fêtes, de tournois et parfois de traditions demeure l'incontournable du club house le lundi de Pâques ou le plaisir de casser des œufs, de boire et de voir les enfants s'amuser sur le pré reste primordial. De l'Ancien ou du Nouveau testament ovalesque, que reste t-il aujourd'hui des apôtres du rugby et des évangiles de clochers, de territoires et de présidents ? A mon sens, rien. Pour moi la déconvenue est totale. Tout est factuel, entreprise, argent, gloire et orgueil, dictés par la vilénie du pouvoir. Le rugby n'est plus une affaire de maillot et de sueur mais un amalgame d'apparats lucratifs ou chacun puise dans la gamelle. Comme Théodule je reste incrédule à cette nébuleuse vision d'un monde d'apparatchiks servis par de fidèles gladiateurs. Pourquoi plébisciter aussi des joueurs sur leurs intentions de vote et de leurs souffler la réponse ? Parce que derrière cette image pleine de pertinence s'inscrit la mécanique relationnelle qui fait de vous un homme de lumière ou un homme de l'ombre. Le rugby s'est tellement politisé qu'il en perd sa crédibilité originelle. Foi de quoi on mange ou ou on vomit l'omelette ! Cette fête pascale, songe de biens d'interrogations sur la spiritualité de la vie après la mort, la renaissance de soi même, m'a permis de revenir vers Montesquieu et "de l'Esprit des Lois". Une œuvre pensée pendant 14 ans, sociologique sur les faits politiques confrontant religion, traditions aux causes naturelles. Il livre un regard millimétrique des mœurs politiques de son temps pour écrire les codes de la raison et de l'humanité fondateurs pour certains de la constitution française de 1791 avec la trilogie de l'exécutif, du législatif et du judiciaire. Donc pas que le fruit d'un regard mais celui d'une construction de la vertu, de l'honneur et de la crainte symboles de la république, de la monarchie et du despotisme. Il œuvre pour le bicamérisme et je cite "C'est une expérience éternelle que tout homme qui a du pouvoir est porté à en abuser ... Pour qu'on ne puisse abuser du pouvoir, il faut que, par la disposition des choses, le pouvoir arrête le pouvoir ". Au travers cette définition et de l'esprit général qui l'anime, le rugby pourrait en prendre de la graine après d'un peu plus de 15 ans de sport professionnel. Bien entendu, ne demandez pas à certains qui est Montesquieu, ils vous répondront du nom du village en Volvestre ! Enfin, pour faire digression à la Pâques, hier, j'ai regardé depuis une chambre d'hôpital, un reportage sur Lucas Tauzin, footballeur, émigré aux "Tigres" ou joue P.H Gignac. Quand je lis le blog, je pensais aux vestiaires de ces joueurs ou, après le prêche de l'entraineur, vient "le Notre Père" collectif comme à la messe, hilarant ! Mais aussi une diatribe féroce du gardien envers ces coéquipiers après la défaite des demi finales ou Dedé Gignac ne faisait plus le cador. Bref un regard sur les coulisses, sur le club, sur le suivi médical, sur la foi délirante des supporters, bien loin de nos tribunes à moitié pleine d'afficionados.
Comme dirait Sergio, il ne faut "Pâques" tu t'égares, Tautor: c'est Florian Thauvin qui est parti jouer au Mexique, pas Lucas Tauzin, qui lui joue centre ou ailier au Stade...
SupprimerBen Sergio y dirait que les grands esprits se rencontrent. Ce matin, juste cette toute petite réflexion sur Pâques, oh rien de philosophique du tout, pas plus que philanthropique, encore moins mercantile, mais du même titre que Tautor, et ouais...
SupprimerPâques, mais pas que...
Il était une fois
Bonne foi, bon œil
Mais la vie aurait fait chocolat
Celui un peu trop mouton
Qui se disait berger
A se mettre en croix
Agnus Dei
Il en fallait des agneaux
Pour tous ces gigots de Pâques
De grande surfaces
A l'ombre des rameaux
De la vie
Sans parler
De cette chasse aux œufs
Dans le jardin au trésor
Et de cette pêche
Miraculeuse de fritures
D'hypermarchés de mer
Les enfants avaient encore une fois
Bon dos contre bonne fortune
Et ça arrangeait tout le monde
De rester grand enfant...
Théodule le Crédule
Voilà, là aussi même problème entre symbolique ici philosophique, de la foi, et celle des pépettes entreprenariales...
PS : gros soucis dans les tribunes à Bourg en Bresse ayant à priori hypothéqué ses chances de maintien en pro D2, insultes de supporters bressans sur leurs joueurs, crachats,...
Pipiou,
Supprimerje savais que tu serais à la retombée du ballon pour un placage sans ballon ! c'est fait. Oui Florian Thauvin bien sûr, avec sa chondropathie de la cheville qui va guérir; Le temps nous dira s'il a raison.
ça existe, ça, la chondropathie de la cheville ?
SupprimerJe sais que chez beaucoup, y'a un syndrome de gonflement récurrent (sic...), mais la chondropathie, je pensais que c'était réservé au genou (et j'en sais quelque chose... mais à mon âge, y'a plus d'espoir !
La maladie du cartilage du grec pathos pathologie et chondros le cartilage
SupprimerOui, une dégénérescence, ces garçons auraient la dégénérescence précoce ?
SupprimerAllez le secret.
Genou = souvent les croisés, arthrose courante 10 ans après.
SupprimerCheville = ?
Chambre d'hôpital? En tant que médecin, ou comme patient?
RépondreSupprimerSecret médical
SupprimerJos Houben, comique belge sur ARTE et 28' pour un livre écrit avec Christophe Schaeffer que nous connaissons ici.
RépondreSupprimerOuvrage sur le rire.
SupprimerQue j'ai commandé.
Bonjour à toutes et tous
RépondreSupprimerEn pleine écriture de mon Anthologie du XV de France.
Retour du blog dimanche, je pense.
Petite pensée pour Uzerche, qui disparait de notre horizon. Treignac, Uzerche, de bons moments d'échanges. Mais toutes les bonnes histoires ont une fin. La Covid nous a soigné. Deux ans de pandémie : même les meilleures équipes ne peuvent pas y survivre.
RépondreSupprimerPour celles et ceux qui voudraient prolonger ou retrouver l'esprit de Treignac-Uzerche, nous sommes, Benoit et moi, invités au Grand Maul, salon multi-arts ovales (théatre, poèsie, peinture, sculpture, littérature) qui se tiendra à Saint-Paul-les-Dax du 20 au 22 mai prochain.
Nous espérons vous y retrouver.
Tu es sur de la date ? Voila ce que j ai vu
SupprimerBernard Landais
https://www.sudouest.fr/landes/saint-paul-les-dax-une-ode-a-l-ovalie-au-festival-le-grand-maul-3747321.php
Mieux vaut sue je sois certain puisque je m'y rends
SupprimerSerai sur La Richelle le 17 sans doute
C'est l'article de l'année dernière...
SupprimerJe crains que cette édition ils aient fait de moi leur invité d'honneur...
Oui, mais non, sans parler d'effet de manche, plutôt une autre paire de manches. Faut vraiment être dans le coin...
RépondreSupprimerBernard, c'est un article de l'an dernier.
RépondreSupprimerJ'y fais référence dans les liens que j'avais mis:
"https://sites.google.com/view/de-tout-et-de-rien/grandmaul21
Je me suis aussi renseigné pour l'édition à venir. Hélas cela correspond à un week end où je suis indisponible.
Ci joint coordonnées et programme
https://sites.google.com/view/de-tout-et-de-rien/grandmaul2022
Ok toutes mes excuses !
Supprimer🤗
SupprimerTautor, tu pourras faire passer ce CV dans ton entourage ?
RépondreSupprimerhttps://www.linkedin.com/in/damien-monnot-70713110
Plus sérieusement quelqu'un a parlé ici, toi en particulier, de ce qui s'est passé à propos de cette personne?
J'ai parlé le week-end dernier avec une personne très proche d'un staff médical au sens large d'un club de top 14 (non pas l'UBB). En fait ils ont une pression constante et il y a un côté malsain dans les relations entre entraîneur, joueurs, staff médical. Chacun cherche des responsabilités.
Personne non plus pour porter un avis sur Jalibert et sa communication sur les erreurs médicales ?
J'espère que certains qui connaissent mon patronyme ont réalisé que j'étais son nouveau médecin... Oui je sais on orthographie toujours mal mon nom😂
"De Pétrarque à Kerouac sur les pentes du Mont Ventoux" et "Anthologie du XV de France". Ouvrage traité actuellement pour le rugby et celui à venir pour l'errance. Deux sujets qui me sont chers et sur lesquels j'ai, moi même, beaucoup réfléchi et écrit...Du moins, accumulé un certain nombre de notes depuis plus de cinquante ans.
RépondreSupprimerC'est drôle, comme il faut parfois un déclic, un claquement de doigts, un courant d'air, une rencontre entre mon vélo et un chevreuil démarrant sous mon nez pour éclabousser mon esprit et me faire dire:
-"Mais bien sûr. Pourquoi n'ai je pas réagi à ces perches tendues par Richard? Quel aveuglement! Quelle vanité!" Comme celle de Duluoz! Et comme lui, dans "Satori à Paris", l'illumination s'est faite dans mon esprit. Un pan entier de mon cerveau, de ma vie a jailli comme un torrent dans mon âme, dans mes veines. Et je me suis demandé:
-"Mais qu'est-ce qui le pousse, lui, Richard, à se lancer dans ces deux domaines? Et y a-t-il, au fond, une relation entre ces deux mondes? Et pourquoi, lui, a cette énergie de concrétiser ces désirs, ces intérêts, à travers une création littéraire alors que moi, non? Et que peut-il y avoir de commun entre nos deux approches? Une furieuse envie de savoir m'a subitement animé et l'adrénaline s'est répandue dans mon corps et m'a projeté comme une flèche vers chez moi, la pensée bouillonnante.
Ah ah sacré André
SupprimerEt donc jattends la suite...
Que vas tu pondre, créer, écrire... ?
J'ai répondu une immense lettre que je viens malheureusement d'effacer juste avant de la publier.
RépondreSupprimerC'est l'acte manqué par excellence. Relire "La Félure" de Francis Scott Fitzgerald.
SupprimerMoi, pendant ce temps-là, je mouline, je mouline.
J'ai terminé mes dix chapitres. il faut maintenant que je relise et corrige et affine.
André, essaye de te procurer "De Pétrarque à Kerouac". Tu me diras... C'est pas très vélo mais ça peut se concevoir aussi à bicyclette.
Impossible de recommencer. Absolument incapable de redévelopper un texte digne de ce nom après l'effort fourni pour le précédent effacé. Cerveau plat. Peut-être dans un moment.
RépondreSupprimerParfois, quand on recommence c'est meilleur. Ca m'est arrivé quelques fois.
SupprimerAndré, fais régulièrement un copier coller de ta production, ça peut aider
RépondreSupprimerMerci, Lulure. Mais ce n'est pas la première fois: j'oublie systématiquement pris dans l'action.
RépondreSupprimerA propos de copier-coller, ai eu le malheur hier de me pousser vers le stadium, affiche à enjeux LOU lorgnant vers le top.6 et CAB désireux d'assurer son maintien, et bien RIEN, RIEN, RIEN à vous raconter, bon la flotte d'abord mais plutôt partout hein, après un copier-coller de notre top truc machin chose, un Brive de gala 7 touches perdues 16 pénalités sanctionnées pas une attaque, les quelques ballons envoyés par l'adversaire illico rendus au pied, dans quel but mystère, et le LOU donc, bin les crocs pas vraiment affûtés, production du jeu encéphalogramme plat se nourrit des fautes des autres, par dessus le festin un arbitre au niveau du jeu des 2 protagonistes, approximation et hésitation, déjà que les 30 golgoths n'y étaient pas ça n'a rien arrangé.
RépondreSupprimerRésultat, avec ma mienne à moi on s'est carapaté 10 minutes avant la fin, avec beaucoup d'autres, au moins on aura évité les petits tas de voitures sur les boulevards, seul moment de la journée où le large-large aura été à l'honneur !!!!!!!!!!!!!.
Allez, autre match le vote, deux candidats à la victoire du jour, reste l'arbitre, càd nous et tous les autres citoyens, j'espère que tout le monde sera au niveau de l'enjeu et au diapason des enjeux.
Bon dimanche, vu le déluge ici, je pense les cueillettes de champignons en vue la semaine prochaine.
Sans ça, aperçu les résultats du chpt le meilleur plus mieux de la planète qu'est le notre, RCT ça grimpe ça grimpe, peut-être trop attendu pour attaquer le final, ST rien n'est fait, Perpignan est vraiment une belle équipe dont on n'a pas assez parlé je pense, au niveau du jeu produit sans doute les plus belles intentions de ce chpt, les résultats reflètent mal le contenu de leur saison.
Acte manqué? Certainement.
RépondreSupprimerD'ailleurs notre solide Cardiff m'a remis les pieds sur terre. Peut-être pas le lieu ici d'étaler mes souvenirs, mes essais et mes manques. Quand même, après une nuit passée, je l'ai encore en travers. Pas pour ce que je voulais dire, mais pour l'effort fourni et cette impression de n'avoir pas l'énergie de m'y replonger. Seul Malcolm Lowry et ses multiples "ratages" avant de réussir à publier "Au dessous du Volcan", me permet de penser que je vais quand même essayer de reprendre ce que je voulais dire en rapport avec tes deux bouquins.
Richard, je croyais que "De Pétrarque à Kerouac" devait être ton prochain ouvrage après avoir terminé ton "Anthologie du XV de France" et tu as l'air de dire qu'il est déjà écrit et publié...? O.K., je viens de voir ce livre, publié chez "Les Défricheurs". Manifestement une réflexion philosophique.
Pour le moment je pars à vélo voter. J'habite Chazelles-sur-Lyon, mais je suis toujours inscrit sur les listes de Saint-Médard-en-Forez à une dizaine de kilomètres. Ca me fera prendre l'air et me remettra les idées en place je l'espère.
Hello,
Supprimerje ne compte plus les longs textes que j'ai commis pour ici, et qui pour un doigt trop leste ou une main baladeuse sont partis rejoindre tous ces chefs-d'oeuvre -n'ayons pas peur des mots- à jamais inconnus qui peuplent les corbeilles de nos appareils.
Un temps j'ai sauvegardé très consciencieusement par étapes les textes, mais ça finit par ressembler à un boulot de pisseur de lignes, non merci, donc en général je saisis directement ici, et si pfffuuiiiitttttt le texte prend le trou, je m'avoue battu, parfois hein .... Et je ne recommence jamais l'idée du truc parti, ça fait réchauffé et de toute manière je pense qu'un premier jet est toujours le meilleur, un second juste un ersatz, comme ces films dont on veut absolument, box-office hein, faire une puis plusieurs suites, toujours en-dessous.
10 bornes pour déposer le bulletin, l'exploit reste de taille, surtout avec cette météo.
Si le Julian cet après-midi a la même envie je vois pas un seul bulletin contre pour l'empêcher de remporter le scrutin, à voir.
Un peu honte, devant le déluge je suis allé en voiture déposer mon bulletin au bureau de vote à ...................... 300 Mètres quand-même !!!!!!!!!!!
Oublié tout à l'heure, le CO a gagné, pas une bonne nouvelle pour se réconcilier avec le jeu, hein (AH AH,)!!!!! Par contre vu un entretien avec PH.Broncan très intéressant, je pense qu'il doit aller voir ailleurs pour mettre en adéquation ses réflexions sur le jeu de rugby et l'équipe à manager, la vaillance et les combats dominicaux de Goliath contre David, ça va un temps.
Juste pour info, une nouvelle chronique vient d'être publiée.
RépondreSupprimerAndré, je te retrouve de l'autre côté. Et n'oublie pas d'apporter ton texte, cette fois-ci...