Depuis dix ans que j'avais fait sa connaissance au hasard d'un repas entre anciens rugbymen à l'invitation de mon parrain, Lucien Piquet, l'ovale nous avait dans un premier temps réuni. Je me rendais deux fois par mois à son domicile, dans le cinquième arrondissement, déguster un cigare. C'était notre rituel. Nous devisions. Ou plutôt je l'écoutais. Car il avait connu, enfant, de la bouche de son père, ancien combattant de la Grand guerre et Croix-de-feu, les émeutes du 6 février 1934 de sinistre mémoire, quand l'extrême-droite faillit se rendre maître de la Chambre des Députés - on ne disait pas encore Assemblée nationale - au prix d'un bain de sang.
Il avait été adolescent pendant l'Occupation, puis jeune adulte à la Libération. Je regardais défiler ses souvenirs, ses petits moments d'échanges avec Pablo Picasso, Max Ernst, Jacques Prévert, Alexandre Calder, Jean Cocteau, au fil des mots choisis qu'il me confiait entre deux bouffés de robusto. Athlète prometteur sur 1500 m - junior, on lui prêtait la foulée de Jules Ladoumègue et affichait deux minutes sur huit cents mètres -, il fut happé par le rugby à Charléty, et cette drôle de balle au rebond imprévisible, qu'il tenta de maîtriser en bout d'aile à la façon d'un Adolphe Jauréguy titularisé sur le tard, devint une passion.
Ailier, puis éducateur, il emmena en 1974 ses cadets du PUC en finale du Championnat de France. Leur capitaine était un certain Guy Carcassonne, élu démocratiquement par ses partenaires, qui deviendra plus tard l'un des grands constitutionnalistes de la Cinquième République. Puis Pierre devint arbitre "pour continuer à courir sur le terrain", rejoignit le Comité d'Île-de-France, puis la FFR, en charge de la Commission de discipline. Il y côtoya quelques grandes figures, comme François Varenne, André Haget ou bien encore l'ancien capitaine tricolore Louis Junquas.
Mon ami Pierre Quillardet, au-delà d'être un observateur avisé des choses du rugby depuis presque soixante-dix ans, lisait Sophocle dans le texte et Albert Camus chaque jour. Je ne me lassais d'écouter, par le menu, sa rencontre en 1958 - je n'étais pas né - avec le prix Nobel de littérature dans la galerie d'art où il avait ses habitudes, rue Bonaparte. Dans l'ouvrage que nous avons consacré au rugby et à la littérature, Benoit Jeantet et moi, publié sous le titre Jeux de Lignes (Privat, 2021), la partie consacrée à la politique - aujourd'hui encore d'actualité - pour tenter de savoir si le rugby pousse à droite ou à gauche, Pierre y tient une part non-négligeable. Relisez la fin de ce chapitre : il nous a tenu la main pour tracer le parallèle entre l'ovale et Camus, ancien gardien de but qui aimait prendre le ballon dans ses mains...
Savoir que certains membres du XV parlementaire ne souhaitent plus - suivant en cela le mauvais exemple de leurs cousins du football - porter le même maillot sous prétexte qu'ils ne partagent pas les mêmes aspirations politiques aurait fait de lui un homme révolté. En humaniste convaincu, il pensait que les hommes de rugby sont faits pour se réunir et non s'éparpiller ; lui qui m'assurait que l'esprit du jeu souffle dans le ballon, que c'est cet air, ce souffle, cet esprit, que les joueurs se transmettent quand ils s'associent.
Beaucoup d'entre vous connaissent autour d'eux un de ces hommes subtils et discrets, grand lecteur, amoureux du rugby et amateur de cigares - l'inverse fonctionne aussi -, de ces humanistes dont nous apprécions la lumière des pensées, l'ombre des souvenirs et le clair-obscur des confidences. Ces hommes-là font de nous de meilleures personnes. L'ami Jean-Georges, ancien demi de mêlée de l'Ecole Centrale, précise : "Les Grecs signalaient qu'il y a deux sortes de mort. La mort noire, celle de l'oubli, où les noms s'effacent au passage du Styx, et celle des héros dont on perpétue la mémoire, qui ne meurent pas tant qu'on les célèbre et tant qu'ils restent dans nos mémoires." Pierre s'en est allé - "la mort heureuse", m'assurait-il, reprenant en cela le titre d'un ouvrage de Camus - et je suis certain qu'avant de partir, il a demandé qu'on lui approche sa boîte de robusto.
Merci Richard de ce très beau texte qui me touche car j'ai eu la chance de rencontrer Pierre deux fois et si sa modestie était grande et son abord très facile , je me sentais malgré mes 65 ans passés comme un petit garçon devant le maitre; parce qu'il en imposait par sa gentillesse et surtout son savoir ; et puis ce qui m'impressionnait c'est qu'il avait côtoyé tellement d'intellectuels et que cela paraissait naturel.
RépondreSupprimerJe ne fumais pas mais j'ai eu quand même la chance de partager le whisky .
Les jours passent , les années passent et si on se retourne on se dit que parfois on a de la chance de rencontrer des êtres d'exceptions.
Oui, Marc, le rugby est un magnifique lien. Et parfois des êtres d'exception croisent notre chemin. Tu étais de ceux qui savaient prendre de leur temps. Imagine qu'elle est ma chance d'avoir pu passer autant de moments privilégiés avec lui...
SupprimerMes bons amis, je crains que les temps à venir ne soient bien difficiles ! Je m'étonne même que nos néo-féministes n'aient pas déjà remis en cause ce jeu forme ultime du patriarcat, et ses moeurs étranges de 3e mi-temps !
RépondreSupprimerBon je plaisante car je sens une immense tristesse et dans ta chronique et dans le témoignage de Marco . Je ne connaissais pas ce Pierre sur laquelle tu bâtis ton église . Humaniste dis-tu ? Alors que nous allons vers les Barbares, les durs de coeur et d'âme .
J'ai relu le chapitre de "Jeux de lignes" et j'ai trouvé que la conclusion sur Camus qui m'avait amusée lors de ma 1ère lecture, cette conclusion ferait plutôt réfléchir aujourd'hui . " Camus s'il avait joué au rugby aurait sans doute pris les Hussards à contrepied ". Je suis persuadée du contraire : c'était le même message, la même puissance, celle de l'Homme . Et les petits messieurs ( et dames ) actuels sont à des lieues de pouvoir rivaliser . Bonne soirée .
Tristesse, certes, comme y échapper, mais le sentiment d'avir été nourri par cet homme que j'appelais mon ami et qui aurait pu être mon grand-père. Ces trois heures autour d'un havane, du rugby, de Camus et autres. Juste l'échange tout en douceur, la qualité de l'écoute. Un bonheur.
SupprimerLR - R 92, une épreuve de force qui vire au jaune en 2e mi-temps après une 1e mi-temps bleu poussif. Un bonus défensif inespéré et une nouvelle défaite. A noter le fair play du public envers les buteurs.
RépondreSupprimer"Je n'ai connu que le sport d'équipe au temps de ma jeunesse, cette sensation puissante d'espoir et de solidarité qui accompagnent les longues journées d'entraînement jusqu'au jour du match victorieux ou perdu. Vraiment, le peu de morale que je sais, je l'ai appris sur les terrains de football et les scènes de théâtre qui resteront mes vraies universités." Mon ami Pierre aimait cette phrase d'Albert Camus. Ce soir, elle me parle encore davantage.
RépondreSupprimerEt pour Camus, d'autant plus que la morale -en tous cas celle qu'il faisait sienne- est la colonne vertébrale de sa réflexion. De ses premiers articles de jeune journaliste sur l'Algérie d'avant-guerre à ses positions sur l'Algérie en guerre de 1960.
SupprimerPierre avait dans sa bibliothèque l'intégrale de Camus. Que j'ai donc relue, mais en partie seulement. Et ses reportages oui sur l'Algérie... il n'a pas été assez entendu.
Supprimerqu il est dur de perdre un ami
RépondreSupprimerles cigares n auront plus la meme senteur
demeure la memoire pour entretenir l absence
Ah les cigares... durant les 2 dernières annees je l'alimentais. Lui qui ne jurait que par les Cubains, il s'est mis petit à petit aux nicaragayens. Au contraire, maintenant qu'il n'est plus là physiquement je penserai à lui fortement quand je degusterai quelques modules exotiques.
SupprimerC'est la force et la beauté de la mémoire
Supprimercette annee pas d equipe larguee des l entame
RépondreSupprimerun sacre resserement un haletant suspens nous attend
"Hommage à l’humaniste Henri Laugier (1888-1973) de Pierre Quillardet, ouvrage humaniste où il conclut : "Chaque homme porte en lui la forme entière de l’humaine condition". Ceci explique cela, toute cette amitié portée par Richard à l'homme de rugby anonyme qu'il fût. Bien sûr se nourrir de Sophocle et de Camus au quotidien est anachronique de nos jours et demeure une richesse inestimable. Mais j'espère avoir un jour le temps de les lire pour mieux comprendre en quoi l'humanisme et la philosophie sont synonymes de l'humaine condition. Pour conclure, “Le paradoxe de la condition humaine, c'est qu'on ne peut devenir soi-même que sous l'influence des autres.” Boris Cyrulnik.
RépondreSupprimerMagnifique, Tautor. C'est exactement ça. Tu me tires les larmes...
Supprimer"Monsieur Pierre a dit non !"
RépondreSupprimerAh zut, changement de ton avenue de Saint Mandé, si on peut plus discuter.....
La pourtant affable secrétaire de la ligue rajoute en rigolant que les petits arrangements derrière le rideau c'est fini , que notre abruti de Talon ( exemple choisi au hazard ) et son crétin de deuxième ligne peuvent aller manger chez leur mémé quatre dimanches de suite !
Sans éclats le Monsieur avait remis de l'ordre dans la maison, et il y avait matière!
Il nous a peut être dirigé un jour, je ne sais plus, mais ses arbitres l'adoraient, j'en garde le souvenir .
Allez Chevreuse
Je ne savais pas que tu connaissais le dirigeant qu'il était.
SupprimerUn match XXL du ST malgré un rouge sévère signé Mr Raynald again. J'ai discuté cette semaine avec Hugo Mola, il était optimiste sur cette pépinière de jeunes qui pour certains vont éclore avec l'EDF. Car ce soir, on a vu de nouveaux joueurs mais surtout un jeu toulousain à la main de plus en plus affiné. Un buteur high level cela suffit pour faire la différence en pareille circonstance. Meafu crève l'écran, Roumat au top, les Retières font oublier les titulaires, une équipe B ou C qui m'a fait rugir de plaisir. Et dire que chez les Espoirs, certains pourraient déjà jouer en équipe 1ère selon Hugo. Pour dire, le réservoir fera la différence avec ce match référence. Et le 1er essai une merveille d'efficacité et de simplicité. Côté MHRC, Bouthier et par moment Coly ont été au dessus du lot. Quant à Carbonel, égal à lui même, jamais là dans les moments cruciaux.
RépondreSupprimertres impressione par le jeu toulousain des passes rapides sur les renvois une volonte de fer pour transmettre le ballon que se soit avant de tomber ou avant le contact des gestes de grande technicite sur le premier essai
RépondreSupprimerfini le concept d equipe type avec tous ces joyaux que de belles promesses
montpelier pas a la hauteur pas de problemes ALDRAT rajoutera un module a l echafaudage
Certes les toulousains ont été présents alors-même qu'avec cette équipe rajeunie et inexpérimentée (la charnière) on leur promettait l'avalanche (moi le premier). Mais les cadres sur le pré ont fait un gros match, Jaminet en premier lieu, arrière-ouvreur-buteur, Marchand à lui tout seul a grippé la machine du MHR (avec une 2ème ligne omniprésente), et Fouyssac-Delibes ont verrouillé au centre.
RépondreSupprimerMais ce sont plutôt les Montpelliérains qui ont été en-dessous de leur niveau de début de saison: manque de puissance, de liant, fautes et ballons perdus, et manque de réussite au pied.
Bref, impasse ou pas, quand on va jouer à l'extérieur, on n'y va pas toujours avec la ferme intention de gagner, mais on n'y va jamais pour perdre; partant de là, si l'occasion se présente, il faut être un peu larron, et s'entendre comme à la foire...
Sur le carton rouge de Méafou (qui n'a rien de scandaleux), il faudra quand même un jour se poser la question: il y a des actions où le choc à la tête vient plus de l'intention de l'attaquant que du défenseur. Dans un souci de protection, on privilégie toujours celui qui porte la balle et c'est toujours le défenseur dont on analyse la gestuelle à la vidéo; quelquefois, il serait bon de regarder aussi celle du porteur de balle... (outre le fait que quelle que soit sa "gestuelle", il n'est jamais recommandé, vu le gabarit du bonhomme, de venir cogner dans Méafou...).
D'abord avec toi, Raynal et Bonhoure: rouge et puis c'est tout. Meafou se redresse à l'impact et vise la tête.
SupprimerJe vais au congrès médical de la FFR ou sera traité entres autres choses les commotions cérébrales. Pour faire une commotion il faut être deux c'est la base. Dans le cas précis de Meafu, au ralenti on voit bien que le montpelliérain met la tête le premier et que Meafu met l'épaule. Le vidéo arbitrage n'est jamais partial selon les angles de vues et selon la vitesse d'impact. En l'occurrence, il fallait sortir les deux pour suspicion de commotion et c'est au médecin de match dans les tribunes à faire sa part de travail. Il est payé pour ça. Mr Raynal a la biscotte facile et cherche toujours l'angle de vue qui va créditer sa décision afin d'être irréprochable. Idem pour Arnold ou le rouge était loin d'être mérité. Hier, pas de conséquence, c'était la 80e minute. Pipiou, tu aurais pu souligner le grand match de ces jeunes toulousains dans son ensemble, rappelant que Jaminet est arrière uniquement et buteur, que les frères Retières ont su faire oublier les demis habituels, que Meafu, Roumat , Elstad, Brennan, la 1ere ligne ont été au top devant des titulaires du MHRC. Qu'Elissalde ramène sa fraise comme au ST et que Saint André s'empate dans ses commentaires.
RépondreSupprimerOui les jeunes ont assuré (même si faire "oublier" la paire Dupont-Ntamack me semble exagéré...), et les joueurs que tu cites aussi (notamment Brennan).
SupprimerMais je trouve qu'hier Jaminet a joué niveau international (et justifié la pertinence de son recrutement), avec son coup de pied long, ses relances (le premier essai, c'est lui qui l'initie), sa présence en défense, sa solidité au but.
Pour ce qui est du staff de l'EDF dont tu causes en-dessous, les intéressés prévoyaient jusqu'à présent l'après-Coupe du Monde, maintenant vu l'actualité ils prévoient en plus l'après-Bernard Laporte éventuel, et les dégâts collatéraux sur Galthié...
Quant au rouge de Raynal, il applique la règle (et comme disait Ritchie, ce faisant marque des points pour sa carrière internationale en donnant match après match l'image d'un référé solide et sans états d'âme). D'autant plus qu'après le carton, Montpellier avait encore une touche à jouer à 8 contre 7, la gagne éventuelle au bout d'un beau groupé-pénétrant, sauf que le double-vitrage a été trop voyant... (et là-aussi, Raynal a sanctionné le MHR chez lui à la dernière minute sans états d'âme...). Après, sang-froid arbitral ou... compensation, le débat est ouvert !
L'éducation nationale regorge de gens qui ont toujours la bonne ligne de conduite et ont besoin de se justifier comme Mr Raynal. Je le mesure avec ma fille en fauteuil roulant au lycée où elle doit se débrouiller avec ses copines pour aller chercher la clé de l'ascenseur au 1e étage pour accéder aux différents étages et de la rapporter au 1e étage bien entendu à 17h pétante car il n'est pas question d'attendre. Bien sûr, comme fait du Prince, nous n'avons pas le droit de nous garer devant l'entrée du lycée pour l'installer dans le fauteuil, comme nous l'ont signifiés le SG et la Directrice, nous n'avons qu'à occuper une place handicapée c'est fait pour ça. Donc, ces gens sont dans les clous sans une once de clairvoyance encore moins de compassion. La reconversion de Mr Raynal est assurée et tu l'accueilleras à bras ouverts tellement il est parfait jusqu'à dire le gendre rêvé !
SupprimerQuel rapport ?
SupprimerL'esprit rugby, l'esprit de ce blog, ce serait plutôt d'appeler Pipiou et de lui demander s'il ne peut pas t'aider à régler ce gros souci avec le lycée de ta fille, cette histoire de clé et de place de parking. J'avoue que c'est moche de la part des responsables de cet établissement., de son secrétaire général et de sa directrice. De quel établissement s'agit-il ? Si on peut aider...
SupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerEDF
RépondreSupprimerMauvaise nouvelle, le staff de Galthié quitte le navire et assure ses arrières pour l'après coupe du monde. Ce qui voudrait dire que l'osmose n'est pas certaine, qu'ils vont assurer les affaires courantes en pensant à leur avenir. Comment créer une émulation dans le staff quand dans sa tête on est déjà parti ? Certes, ce sont des pros mais aussi des humains voyant là les stigmates du PNF en filigrane. A mon avis, la façade se lézarde et les rats commencent à quitter le navire avant la noyade.
Je n'en pense pas que le staff quitte le navire. Les mecs préparent l'après CM. Au moins c'est transparent. Seul Galthié est sûr de rester. Dans le rugby pro, joueurs et staff savent dix mois à l'avance leur prochaine destination.
SupprimerEt ça ne les empêche pas de tout donner là où ils sont avant de changer de crémerie
SupprimerJe pense qu'il ne faut pas noircir le tableau. Un staff sportif, c'est comme une équipe, c'est pas une famille de bisounours. Pas certains que tous aient envie de partir en vacances ensemble, mais ensemble, ils font du bon boulot (cf. Grand Chelem 2022). Quant à l'après-Coupe du monde, ils ont raison de s'en occuper maintenant. Contrairement à toi, Tautor, j'y vois plutôt un aspect positif : chacun sait où il va. Sécuriser l'avenir permet d'avoir l'esprit libéré pour gérer le présent.
SupprimerBah tu sais Ritchie, le Rugby francilien , première ligue de France en terme de clubs quand même, c'était un petit monde, on finissait par tous se connaitre.
RépondreSupprimerNous avons vu passer des hommes de grande valeur, quelques opportunistes, deux ou trois pantouflards, avalé quelques couleuvres aussi!
Ajoutons pour faire bon poids que la ligue IDF aurait bien besoin d'un nouveau " Monsieur Pierre", et le sémillant Grill suscitait bien des espoirs.
Malheureusement les hautes aspirations de l'impétrant semblent incompatibles avec la plèbe, dommage!
Les années de brassage, de transition, les expériences se succèdent et personne n'y comprends plus rien.
Mon vieux CAC vient de passer 108 points en deux journées , St Maur idem, ils n'en retireront rien d'utile, et les pauvres équipes qui ramassent encore moins!
Allez, n'importe quoi!
Je pense que Florian Grill, qui a échoué la dernière fois pour une toute petite poignée de voix - on parle de 8 à 15 clubs d'écart sur 1800 - va récolter la majorité des suffrages aux prochaines élections, qui ne seront peut-être pas après, mais avant la prochaine Coupe du monde.
SupprimerEn tout cas, merci pour l'anecdote : je ne savais pas que mon vieil ami était appellé "Monsieur Pierre". Cela dit, vu la stature et l'éthique de l'homme, ça ne m'étonne pas un instant.
Allez, tout le monde !
SupprimerYa beau, ya bon être robusto, ya un moment où la mémoire du chemin de la vie se brouille, s'embrume, pour partir dans la nébuleuse.
RépondreSupprimerSa discrétion a fait que je n'ai pas connu cet humaniste à l'esprit ovale. Ma contribution là-dessus s'arrête là. Encore un sage qui disparaît, comme un carré de sucre qui se dissout dans une tasse de café pendant que d'autres s'emmêlent dans leurs draps pour se réveiller en sursaut devant des doigts accusateurs
Sinon vu que Montpellier/Toulouse. Match correct ou les méditerranéens ont mal échaffaudé leur assaut sur des garonnais qui en attendaient pas tant et qui ont livré une opposition intéressante pour la suite
des ébats.
Quant au staff EDF, tout va si vite en ce monde, où la subtilité (humaniste ?) reste de savoir s'il vaut mieux anticiper pour mieux rebondir ou avoir le recul nécessaire afin d'être bien assis. Tout dépend du côté de l'intérêt où on se place...
Départ des collaborateurs de FG après la CDM et voilà que Mignoni et Mola sont déjà approchés. Mais FG et le ST, la porte a toujours été fermée en tant que joueur. Ne nous voilons pas la face, une partie d'échec est engagée. D'un côté, BL et ses acolytes, en difficulté avec la justice, une crédibilité vascillante, de l'autre la LNR avec Bouscatel et Lacroix qui vise le poste de Président de la FFR. Mola aura donc le tremplin attendu et aura mûri. Il a signé jusqu'en 2027 ! Coincidence ou non, être fou est risqué, se cantonner dans sa tour sera mortel, jouer au cavalier ne rimera pas à grand chose, avancer ses pions sera machiavélique et la Reine ne donnera pas sa part au chat ! Pourvu que le Roi ne soit pas cocu dans cette affaire.
RépondreSupprimerPour Jan Lou, le CAC , tu veux parler de Castelsarrasin???
RépondreSupprimerNon, Georges, je parle de l'ainé, celui de 1911!!!!
RépondreSupprimerAllez les CAC
« En somme, je vais parler de ceux que j'aime »
RépondreSupprimerRitchie, comme le petit Jacques découvrira cette forme de bonheur : la chaleur d'être " entre hommes " et aura appris que « la compagnie des hommes était bonne et pouvait nourrir le cœur. "
Et sinon, « Je ne puis me rappeler exactement le jour où je décidai qu’il fallait que Conrad devînt mon ami, mais je ne doutais pas qu’il le deviendrait. »
So long, Premier Homme. Love you Joseph.
Pour le "sinon" c'est
Supprimer"l 'ami retrouvé" de Fred Uhlman ; un vieux compagnon de route que je faisais étudier à mes élèves .
Et pour mettre sur la voie nos amis le 1er c'est AC .
SupprimerTautor 1 octobre 2022 à 19:20
SupprimerPom, Pur Juice
Ah L'ami retrouvé. Magnifique. A lire jusqu'au bout. Fait partie de nos 100 romans du "Désir de lire", avec Benoît. Émotion grande.
SupprimerDis-donc…avec moins d’une minute aux 800, le Premier Homme…il ne serait pas les 100 premiers à lui tout seul ? :-)
Supprimer2, pardon
Supprimer
SupprimerMoins de 2 minutes aux 800….
Dans la préface du si bien intitulé « La tête et les jambes » d’Henri Desgrange, Ernest Mousset, dans l’éloge du sportsman que fut l’auteur, évoque la « distinction » de « la bête et l’autre » de Guillaume de Maistre.
M’est avis que le Premier Homme fit le plus rapide des voyages autour de sa chambre.
HAC, plutôt , comme le foot d'ailleurs!
RépondreSupprimerAllez, Normandie à jamais la première.
Puisqu'on parlait de franciliens remarquables, une pensée pour Aïda Ba, un exemple de ce que le sport peut apporter , un phare à Bobigny dans un secteur à priori pas vraiment favorable au Rugby féminin.
RépondreSupprimerAllez, 39 ans, merde!
J'apprends que le staff des Espoirs du RCT encourage une stage de cohésion sur le thème : terreur dans la ville... cagoules et armes factices pour terroriser les automobilistes du centre ville...
RépondreSupprimerNous sommes vraiment devenus fous...
a force de faire des stages commandos de mettre au meme niveau d engagement soldats et joueurs les derives arrivent les bourreurs de crane avec le refrain disputer une partie est synonyme d aller en guerre nous conduiront a disputer les prochains sur le terrain ukrainien ou mieux en Afganistan
RépondreSupprimerbientot le GIGN selectionnera et le general Laporte dirigera les operations
d ailleurs le vocabulaire des commentateurs
on bombarde le camp adverse
on monte a l assaut marcel
on dresse les barricades
la poesie fous le camp VILLON
Ça s'arrête plutôt à cette pseudo culture médiatico faux l'eau where inter pas très nette de tous les jours qui booste ,, bien l'assaut de la connerie. Une belle foutrasie tictocquienne brumissant bien les cervelles encore juvéniles...
RépondreSupprimerVillon, Hugo, Camus, Kerouac € Co, les écrits restent, mais l'image...
Allez petits hommes, vos bottes de 7 lieux sont trop grandes, Gainsbarre c'était autre chose.
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RépondreSupprimerUn peu tristounet pour nos petites copines, la bas dans le Limpopo,un pays pas facile.
RépondreSupprimerDes vaillantes, joyeuses et déterminées, qui prennent le ballon et leur avenir à pleine main.
Pas sur que la SARU mesure leur potentiel, l'envie de s' en sortir surtout et c'est dommage , elle a tout à gagner .
J'aurais bien aimé voir le match avec elles, dans la cabane qui sert de vestiaire.
La douche est toujours froide, fô pas rêver, mais devait faire chaud devant la télé !
Allez les filles
Pom,
RépondreSupprimerPur Juice puissance 7 avec le retour des vedettes. Bon un rouge et une Fanny en face, beaucoup moins drôle. Le plus dur est à venir et là nous verrons si la cuvée tient ses promesses. En attendant, mousse et rosé azuréen.
Les petits coulent. Un peu moins les palois le Racing a été loin d'être excellent. Mais Brive attend Toulouse la prochaine journée. Et sauf Bayonne qui se tape LR jamais dans le coup (avec des absents certes mais champion d'Europe..). Match rude surtout en 1re entre Castres costaud mais très imprécis et Montpellier aussi et souvent privé de de ballon.
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SupprimerMagistrale victoire du Stade, complet dans tous les domaines, avec un jeu de mains bien huilé, un collectif savoureux et des individualités au service du collectif Dupont, Ramos magistral individuellement, Capuozzo, Jaminet et mon chouchou bientôt en EDF Roumat efficace, discret et plus que performant qui remplacera Aldritt sous peu. Avec une équipe de ce niveau, pas besoin pour Mola d'être l'adjoint de Galthié, Columérin avant toute chose mais jamais Stadiste.
RépondreSupprimerToulouse tres performant realisant de super mouvements Ramos tres efficace etune rampe de lancements une victoire imposante et pourtant l ASM a bien lutte
RépondreSupprimerROUMAT a la difference Aldritt fait vivre le ballon
ST beaucoup plus réaliste qu'ASM qui ne joue pas trop de dans le turn over, à part un Penaud, un jour toulousain peut être ?, qui a surnagé puis coulé avec l'équipe.
RépondreSupprimerRamos le premier homme du match...
Roumat, entre 2e et 3e barre, un peu comme un Dauga, doit faire partie du groupe EDF derrière Ollivon/Aldritt. Donc progression à suivre.
Et Galthié columérin, heureusement qu'en ayant joué essentiellement à Colomiers ça soit son club de coeur. C'est comme si on demandait à Spanghero de ne pas être narbonnais, à Bernie de ne pas être Gaillacois.
Bon après l'argent arrive à arrondir les angles 🤣
Profil différent pour Roumat, entre 3ème ligne coureur et 3ème ligne centre. Manque de densité pour monter devant (au contraire d'un Camara à Montpellier, qui semble en prendre le chemin). En plus je ne suis pas certain que ça l'emballerait vraiment.
RépondreSupprimerJ'ai bien aimé la maîtrise de son rugby par le Stade hier soir. Même sous pression, pas d'affolement, pas de n'importe quoi, pas de dégagement au pied, on ne surjoue pas. Jaminet a été encore une fois excellent dans ses couvertures, ses relances justes et incisives, son jeu au pied long. Capuozzo a eu peu à faire, mais l'a fait proprement, avec en prime un essai opportuniste bien qu'un peu chanceux. Il attend son heure.
Pertinence du recrutement toulousain ?: les 3 principales recrues ont marqué ce soir. En dehors de l'opportunisme de Ramos (qui devient plus qu'une alternative crédible à Ntamack à l'ouverture) et de l'essai-Dupont du soir (quels appuis ! Lavanini est encore en train de partir intérieur que Dupont est déjà passé à son niveau extérieur).
Oui, un Roumat ne fait pas le printemps!
RépondreSupprimerPour autant il frappe à la porte du wagon déjà bien rempli des possibles.
Des " finisseurs" aptes à transformer le jeu en fonction des besoins, un peu couteau suisse , quoi !
J'ai quand-même l'impression que plus l'échéance va se rapprocher, plus les packs des enfoirés qui veulent nous piquer la timbale vont s'épaissir.
Donc un 4 qui peut jouer 6 une demi-heure plutôt que le contraire, pas le profil de Roumat le jeune pour l'instant.
Allez Chevreuse
La mode est plutôt de monter dans la cage, non, Jan Lou ?
RépondreSupprimerRegarde Jelonch hier soir (selon Mola, son papa n'est pas content, et le lui a fait savoir !)
Sinon, je me désole de voir les filles de la CDM en NZ adopter des styles en puissance comme leurs homologues masculins il y a quelques années; ça va se terminer par une finale Angleterre-Blacks Ferns à coup de groupés-pénétrants à bailler d'ennui. Après tout, c'est comme ça -plus un buteur exceptionnel- que les Anglais ont gagné la CDM y'a 20 ans.
A moins que l'EDF ne mette le feu au terrain et fasse courir ce beau monde.
Et pour la tournée d'automne, les Blacks arrivent avec un bien beau groupe.
Ben oui, c'est juste un pronostic, un sentiment, que ce mouvement a la mode de chez nous ne sera pas forcément partagé par tout le monde.
RépondreSupprimerL'impression que du côté de Dublin, de London aussi, sans même parler des sudistes, on regarde de près ces bleus vont arriver avec un statut de favori.
Et qu'avant de les laisser faire leur cirque a grand coups de dépossession ou autres Duponneries, pour anticiper quelques sataniques turpitudes gardées bien au frais dans son cartable par le démoniaque Fabinou aussi, on devrait p'têt les retravailler en férocité, façon puzzle. ....
Allez Chevreuse
Pour ce qui est de la juste remise en perspective, il suffit d'attendre la tournée d'automne: on va s'apercevoir qu'on n'est pas les seuls au sommet de l'Olympe, et que si nous on a des Duponneries, les autres ont aussi un magasin bien achalandé.
SupprimerAh oui, cette tournée devrait être intéressante.
SupprimerOu pas.....
Ceux qui fourbissent la stratégie révolutionnaire qui les tirera vers la gloire éternelle n'ont pas intérêt à trop se dévoiler.
D'autres penseront qu'il faut gagner, encore cet toujours, marquer les chairs et les esprits.
Malgré un flottement certain dans leur jeu qui inquiète beaucoup les vieilles gloires locales, et pas que, les Bocks sont dans cette posture, par atavisme, parce que les Bleus les agacent un peu, aussi!
Ca tombe bien , ces derniers n'ont pas envie de baisser les yeux, semble-t-il.
Allez, ce match est p'têt le dernier tournant avant le grand raout.
Ben façon puzzle, le LOU cherchait ses mots (maux?), puis les lettres de la victoire apparurent. UBB trop court pour couper la ligne en tête et s'entête dans la défaite à l'extérieur, et là sans bonus. Le bon banc (bombant) était lyonnais. Urios tjrs dans le doute sur sa vinification 2022...
RépondreSupprimerpourquoi Garbajosa n aligne pas sa meilleure formation des l entame drole de strategie
RépondreSupprimerle LOU malmene en premier lieu s est metamorphose apres
si ca continue Laurent Blanc va entrainer l OL et le LOU
LOU / UBB, petite cuvée rugbystique ou les 2 entraîneurs doivent se remettre très vite en question sous peine de fleurter dans le bas du tableau tellement le jeu est stéréotypé, prévisible avec un abus tacticotactique de coups de pieds. Ni Aladin, ni le génie ne furent au rendez vous, seul l'arbitre fut potable (Rhône - Gironde).
RépondreSupprimerOuais, les scores-fleuve, c'est valable que pour la Garonne, et plutôt en amont !
SupprimerUn film sort qui raconte une expérience pédagogique unique . Je connais bien Antoine Gentil ( oui c'est son nom !) J'ai bossé avec lui . Très grande écoute et disponibilité, beaucoup d'exigence ... un vrai coach ! Je ne sais pas si cela suffira pour sortir l'Education Nationale de l'ornière mais ça a le mérite d'exister .
RépondreSupprimerJe me souviens d'un livre lu dans les années 70, "Guérir la vie", de Roger Gentil (un psychiatre)...Y aurait-il un lien? Et non. Je viens de vérifier l'orthographe, c'est Roger Gentis!
RépondreSupprimerBelle interview d'Antoine Gentil par Tulip Santene, ce matin dans le 6h20 de France Inter.
Merci André je viens d'écouter . Je le retrouve tel qu'en lui même . On avait sympathisé sur nos approches identiques de la fonction, notamment sur la culture comme lien unique avec les mômes .
SupprimerJe mets le lien vers ce podcast ça dure 6mn https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/l-invite-de-6h20/l-invite-de-6h20-du-mercredi-12-octobre-2022-1886171
RépondreSupprimerIls font l'amour le samedi ,les gentils
RépondreSupprimerIls font ça n'importe quand ,les méchants
Ils crèveront le cul béni ,les gentils
Ils crèveront le cœur content ,les méchants
Les gentils méchants......
Allez au Big Bazar
Et ils croient en Dieu
SupprimerLorsqu'ils lancent des SOS
Un dieu pas trop pointilleux
Sur leurs histoires de fesses...
(Kent, ex Starshooter)
Suis cas Covid... je ferme le rideau jusqu'à mon rétablissement
RépondreSupprimerCa arrive donc même aux gens bien!
RépondreSupprimerEt pas trop dur, quand même? Bon rétablissement.
RépondreSupprimerSuis cassé de partout mais c'est endurable.
SupprimerPour le Covid, un cigare, un whisky, quelques plantes médicinales, et des prières, ça marche. Mets le masque et reposé toi.
RépondreSupprimerDoliprane, Vitamines et siestes
SupprimerDopé...!
RépondreSupprimerJe regarde d'un œil distrait le match France - Angleterre féminin de Coupe du Monde et je suis surpris par les commentaires calmement récités comme si les françaises étaient dominatrices alors que ce que je vois me semble bien être l'inverse. Je vais couper le son.
RépondreSupprimerLes Bleues sont salement dominées. 10-0 à la MT : c'est pas cher payé
RépondreSupprimerUne rugby de bourrins, y compris dans les algarades. Decevant
SupprimerEt je ne comprends pas la scapulaire,associée au XIII
SupprimerLes Françaises ne sont pas structurées en touche et n'ont pas de jeu au pied tactique.
Supprimer13-0, les Bleues devront marquer deux essais transformés pour l'emporter et je ne vois pas comment
SupprimerEt j'aime quand les femmes me font mentir.. ah ah. Merci Gaëlle !
Supprimer13-7, l'espoir renaît
SupprimerFinalement, pas si mal...
RépondreSupprimerDes françaises dominées une fois deplus. Et encore trop de ballons tombés à priori sur ce qu'elles ont pu avoir. Ça arrange pas Ménager pas ménagée et sortie pas aménagée non plus, comme aussi Laure Sensus qui ne s'en mord pas les doigts, mais faudra vraiment se les sucer de plaisir un de ces quatre contre les anglaises. 214 plaquages français contre 74 anglais, il est où le plaisir ? Faut dire qu'il y a quelques buffles en face... qui vont pas vers l'évitement.
RépondreSupprimerBon, on connaissait le 50-22, mais voilà-t-y pas que dans la démonstration toulousaine de l'après-midi à Brive, la nouvelle Duponnerie c'est le 22-22...
RépondreSupprimerLes Coujoux vont avoir mal à la tête ce soir, leur seul mérite est d'avoir évité la fanny à la 78ème.
Allez hop, on passe à autre chose (et Jaminet à l'infirmerie, au mauvais moment)
Cela fait quelques matchs que je suis fatigué par "l'intime conviction" de nos arbitres. il n'est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. Il n'est pire sourd que celui qui ne veut entendre son assistant vidéo
RépondreSupprimerVu une belle équipe ST cet après-midi, accrochée une mi-temps mais trop de choses à faire pour le CAB dans un rythme bien trop élevé pour eux, alors au final, on rend les quelques ballons au pied (mais quelle connerie que ce concept d'occupation/pression) à des types comme Jaminet, Ramos, Dupont et les autres, pas s'étonner que ça te revienne en plein poire dans l'instant.
RépondreSupprimerJe voulais voir Dupont "en vrai", bin mon ami pas déçu le Nini, sur son essai il part avec un handicap de plusieurs mètres et c'est réellement impressionnant comment il avale tout le monde et les mètres, de plus comme dit Pipiou un jeu aux pieds phénoménal. Ramos très très bon, animateur buteur et je pense l'élément turbo du ST, d'autant que tout le monde focalisé sur le 9 ça laisse de la marge au 10.
Pour nos Coujou(s/x au choix) 40 minutes de résistance, quelques éclairs sans réel danger pour le ST sinon une grosse séquence de pilonnage mal terminée, la saison serra longue !!!!
Petite remarque dénué de tout chauvinisme, on est immensément joyeux à Brive de recevoir des hôtes prestigieux, mais on est aussi très fatigué dans le stadium de voir comment sont arbitrés différemment les locaux et leurs hôtes, le ST aujourd'hui n'avait pas besoin des yeux de chimène du préposé au sifflet pour gagner, par contre le CAB aurait été bien aise que le sus-dit arbitre les deux équipes avec des yeux d'équité. Qu'en tribune, comme moi on supporte le CAB et applaudisse Dupont je trouve ça plutôt bien, sur le terrain, chargé d'arbitrer les débats -arbitrer dans tous les sens du terme-, que l'on favorise celui-ci pour des raisons n'ayant rien à voir avec le match présent, ce n'est pas correct et je l'entends fort ici, où très franchement les supporters du CAB comprennent très bien que comparé aux gros budgets leur petite entreprise ne pèse pas lourd sur le marché, mais traitons chacun de la même façon.
Vu la 1° mi-tps des filles ce matin, surpris de la place prise par la dimension physique, je remarque que pour les nôtres la prise de muscles et de poids leur a fait perdre le mouvement et l'ambition d'un jeu déployé fait d'intervalles et de courses, qui était, si je ne m'abuse, plutôt leur marque de fabrique jusqu'ici, non ??
Et le club vire son coach ? C'est moche... exit davidson. Pas de pitié cez les pros, petit budget ou pas...
SupprimerOui, tout à fait, moche de moche, pas de sentiment là-dedans, les fameuses valeurs de l'ovale s'envolent comme les ballons dans le ciel de Corrèze. Dommage, il a fait un sacré boulot avec cet effectif de bons travailleurs de l'ovale sans plus, la présence dans le staff des anciens-jeunes joueurs comme Péjoine et Méla, gérant leurs intérêts avant ceux du groupe, n'a pas fait avancer le schmilblick non plus.
SupprimerC'est ainsi, le seul fusible en cas de mauvais résultats de toute façon reste le manager, on ne s'attaque jamais vraiment au vestiaire et c'est ballot car c'est là que ça se passe, entre cris et chuchotements.
Pour répondre à Lulure, je fais pas de fixette, je répète le ST très au-dessus et pas photo et j'ai aimé leur jeu et leur volume d'animations. J'exposais le ressenti depuis de nombreux matchs et leur contenu dans son ensemble, après le grand Toulousain à la tête de chérubin là il prend du lourd, mais le préposé aux écrans et le central ils ont eu 3 minutes de jeu vidéo avec tous les ralentis possibles j'espère que la décision prise a des arguments ou alors quelle utilité de nous ennuyer de la sorte ?? Par ailleurs, sur la phase de jeu, on ne voit pas un joueur protester ou s'indigner, le jeu continue jusqu'au prochain arrêt, il faut le dépôt d'une plainte pas Marchand pour que l'on se farcisse ce film des vidéos dorénavant feuilleton dans nos matchs.
la preuve quand ils font passer Samsus devant Bourdon!
Supprimerrépnse à nini, la preuve quand ils preferent Samsus à Bourdon!
SupprimerHarley c'est plus ce que c'était. Ça fait du bruit dans les champignons, et des franges pour la frime🤣Davidson paraissait bien esseulé au milieu de ce staff de Brivistes.
SupprimerOn verra si la nouvelle technologie est au point et si le staff provisoire reste en place...
Comme quoi, côté arbitrage, on voit pas la même chose, le tampon sur Flamant par exemple
RépondreSupprimerL'arbitrage reste secondaire quand on prend 45 points somme toute et qu'on ne voit guère de jeu. L'UBB sort du gouffre grâce au combat et une solidarité sans faille. Côté R 92, encore une défaite logique ou les individualités ne font plus la différence. Une mise à pied ne serait pas un luxe tellement le fond de jeu est de plus en plus pauvre. Laurent devrait rendre son tablier pour ne pas faire la saison de trop. Lancaster ne va pas boire que du thé.
RépondreSupprimerJe vais essayer de sortir de ma léthargie covidienne pour pondre une chronique. Mais ce n'est pas un promesse...
RépondreSupprimerOui sort ta lettre art gie....
Supprimerlettre-agit
SupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerOuais, le coach viré pas glop, d'autant que le Jérémy l'avait réalisé tellement de miracles avec les groupes qu'il manageait qu'un petit sursis aurait été honorable et bien séant, mais c'est comme ça le rugby et son esprit en ces jours. Mais pour le CAB, mal plus profond, les anciens joueurs dans le satff pas la pointure et je pense les principaux animateurs du climat des vestiaires assez délétère pour ce que l'on en connait, on a des états d'âme maintenant sur les bords de la Corrèze, feraient mieux d'apprendre à courir (vite), faire des passes (justes) et avoir de l'amour propre et de l'envie, ça ferait au moins plaisir aux cochons de payants que nous sommes.
RépondreSupprimerC'est la vie, bon le choc entre le grand Toulousain au visage de chérubin, pas d'avis, je remarque simplement que la séquence vidéo a durée 3 minutes, elle permet la décision de l'arbitre, bon, autre remarque sur l'action pas de protestation ou geste d'indignation, il faut que Marchand vienne déposer plainte auprès du central pour que l'enquête démarre, pas glop non plus.
Le Coujou pas idiot a inventé une nouvelle pause-boisson, dès que les séquences vidéos s'amorcent, rush vers les buvettes à ces moment-là tranquillou, le temps de verser le jus de houblon et retour à sa place, en général on en est au 5ème visionnage, c'est tout bénéf !!!!!!
Allez le ST, pac'que quand-même, hein, faut dire quoi !!!!!!!!!!!
moi qui pensait que brive jouait bien solide devant fort en touches et voila on se separe de l entraineur le mode gestion foot s impose
RépondreSupprimerque peut t on faire face a un SUPER DUPONT et a une reussite insolente des Toulousains
bien content pour QUESSADA lui que lon avite devalue et ejecte
le senior FURIOS un peu rassure une belle victoire face a d inconstants racingmen
le LOU ouf a echappe aux sursauts montpellierains
ALTRAD de faire mieux la prochaine fois
Lorsque la Caravelle a mis les voiles, la Rade a coulé sans se saborder pour autant. Pom, pas de Pur Juice ce soir, des regrets manifestes avec des fautes à gogo, un manque total de liant et de fond de jeu. Le cuirassé reste perfectible somme toute et les matelots ne sont pas habitués aux amplitudes de marées. Du travail en perspective pour que le muguet nous énivre.
RépondreSupprimerEncore bloqué
RépondreSupprimerManifestement, l'attente vous coupe le sifflet.
RépondreSupprimerManifestement; l'attente vous coupe le sifflet.
RépondreSupprimerPour cause de Covid, je ferme mon blog pour une courte durée.
RépondreSupprimerReprise fin octobre pour l'annonce du lauréat du prix La Biblioteca
Suis sorti de la Covid. Sept jours sur le flanc. Quand je lis l'actualité du sport, je suis abasourdi. Il prend tous les travers de notre société alors qu'on aurait aimé que la société s'inspire des valeurs du sport. Sommes-nous toujours des amateurs, c'est-à-dire, ceux qui aiment ?
SupprimerExcellente chronique de Olivier Villepreux. Comme d'habitude, j'oserais écrire.
SupprimerAB /USAP un match pour ne pas descendre, de bas de tableau hélas, ou Lopez a fait briller son expérience et son envie de gagner.
RépondreSupprimerR 92 / MHRC, match ouvert ou chaque manager jouait sa tête. A ce jeu, 4e défaite de Saint André et des essais de bonne facture de chaque côté sinon rien.
Pfff, toujours approbation.
RépondreSupprimerASM / UBB, grand match ou chaque équipe a eu sa mi-temps, le plus Madosh Tambwe et Bautista Delguy, un nul semble équitable pour les deux entraîneurs.
RépondreSupprimerLa covid se voulait mauvaise à ton égard.
RépondreSupprimerDu coup, t'as pas fait le voyage à vide comme on dit.
Sinon Olivier Villepreux distille dans sa chronique quelques contrepieds intéressants, à brûle pourpoint sur l'acuité de l'homme à lauréatiser les actions/comportements de ses pairs bienfaisants au genre humain.
Et comme pour le reste le sport se trouve malmené, car trop à l'image de la société de consommation.
Et on se retrouve avec des mêlées écroulées, des en-avants dans l'en-but, des pénalités sur le poteau, des touches prises à l'adversaire,...
Sinon, des française à se racheter contre l'Italie en quarts , pour une grosse demie contre les NZ...
La covid se voulait mauvaise à ton égard.
RépondreSupprimerDu coup, t'as pas fait le voyage à vide comme on dit.
Sinon Olivier Villepreux distille dans sa chronique quelques contrepieds intéressants, à brûle pourpoint sur l'acuité de l'homme à lauréatiser les actions/comportements de ses pairs bienfaisants au genre humain.
Et comme pour le reste le sport se trouve malmené, car trop à l'image de la société de consommation.
Et on se retrouve avec des mêlées écroulées, des en-avants dans l'en-but, des pénalités sur le poteau, des touches prises à l'adversaire,...
Sinon, des française à se racheter contre l'Italie en quarts , pour une grosse demie contre les NZ...
Ah l'ASM, avec un coach qui reste tranquille sur le bord. et un Iturria qu'on devrait reprendre en Sélection nationale, on pourrait aussi faire un effort pour faire revenir Vahamina sur sa décision....d'autant que lui, en plus, il tient bien les 80 minutes
RépondreSupprimerOuille !
RépondreSupprimerUne jolie quinzaine d'immersion dans le a monde enchanté des ultra-traileurs ,j'y ai rencontré une fée.
Et l'Oliv qui nous renvoie sans ménagement aux turpitudes ...., on voulait rêver encore un peu !
Allez, un coup à se recoucher, tiens!
essai!!
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