dimanche 4 octobre 2020
Bien aborder l'écart
L'écrivain Dino Buzzati, qui s'y connaissait en déserts et en cavaliers, l'avait remarqué ainsi : "Quelqu'un qui est allé en prison, quelqu'un qui a fait la guerre, quelqu'un qui a eu de graves maladies, porte en lui quelque chose qui diffère d'autrui." L'être marqué dans sa chair l'est d'une façon qui lui est propre, en un lieu secret dont il ne partage pas la topographie intime. On peut néanmoins sentir en approche, si l'on y est disposé à dessiner les contours d'un alter-ego, une vibration sourdre derrière les mots, mais plus souvent dans un regard, un silence qui prend la forme de réponse.
Blessé, Bernard Laporte l'a été. Touché, très certainement, d'avoir été gardé à vue. Il en portera les stigmates. Ad augusta per angusta. Une très étroite majorité des 1 800 clubs français lui a conservé sa confiance : reconduit par la porte basse qui oblige à faire preuve d'humilité, le voici intronisé premier fils de la démocratie représentative indirecte. Grâce à lui, la FFR est passée de la dictature plus ou moins éclairée à une nouvelle ère où chaque président, voire chaque comité directeur de club amateur, peut exprimer son choix. Il s'est porté samedi dernier sur l'homme et ses conjurés qui surent briser le moule ferrassien duquel Bernard Lapasset puis Pierre Camou étaient sortis.
Il est difficile de juger un président sur un mandat de quatre ans, constatait un édile fédéral. Ce n'est pas faux. Je ne suis pas persuadé que les clubs amateurs et les associations de clubs professionnels ont voté en faveur de la liste Laporte pour valider l'action, ou les actions, du président sortant : ils lui ont d'abord rendu ce qu'il leur avait donné, à savoir la liberté d'opinion et le choix de l'expression. Et il aurait été de la plus mordante ironie que "Keyzer Söze" - son surnom au Stade Français - périsse dans les fers dont il a sorti les clubs.
Il faut au moins lui reconnaître un triple mérite : avoir remporté la course à la candidature pour l'organisation de la Coupe du monde 2023, option délaissée par Pierre Camou et ses vice-présidents, tous autant qu'ils étaient ; et proposer le vote électronique décentralisé, idée de ce même Camou refusée par ses colistiers au motif que la démocratie les privait de leurs prérogatives. Ainsi va l'histoire des institutions : les effets récoltés ne sont pas toujours à mettre au crédit de ceux qui en plantent les graines.
Le troisième mérite dont il est possible de décorer Bernard Laporte, c'est bien d'avoir réveillé la notion d'opposition. Mais il sera nécessaire, à l'avenir, que les adversaires refusent d'utiliser l'humiliation comme argument de campagne, le rugby en général n'en est pas sorti grandi, c'est à rappeler. Il faut remonter à 1991 et la candidature du Toulousain Jean Fabre face au mur du pouvoir agenais pour trouver trace d'un authentique combat d'idées, mais cela-là fut malheureusement terni par des trahisons. En 2016, Laporte a électrisé la machine fédérale trop huilée qui ronronnait et finissait par endormir le rugby français, lequel avait perdu sa position dans les instances internationales. Sur le terrain aussi, la France était devenue une nation de deuxième ordre et un pathétique match nul que le Japon aurait pu remporter à La Défense Arena exprimait cette chute de la maison bleue.
Il faut aussi remarquer la force d'attraction de Florian Grill, sorti de presque nulle part - si ce n'est connu de sa seule mère, n'est-ce pas - pour ralier la moitié, peu s'en faut, du monde amateur en un an amputé de six mois de Covid-19. Il a fourni quatre cents propositions et fédéré autant de bénévoles pour mener campagne, et sa nouvelle génération de colisiters lui restera fidèle, à quelques exceptions près, jusqu'à la prochaine élection dans quatre ans, une fois la Coupe du monde passée. Plus rien ne sera désormais comme avant, quand la Fédé semblait une citadelle imprenable. Puisque moins de deux pour cent séparent le gain de la perte, toute victoire désormais semble possible. Après l'apogée de Laporte, celle de Grill, ou d'un autre ? Oui, à condition que la démocratie ovale permette aux idées de l'emporter sur les hommes, et non l'inverse.
Monde professionnel opposé au monde amateur, fédération qui cherche à faire plier la Ligue, qui elle-même attaque l'instance mondiale... Heureusement, le ballon ovale ne peut rebondir jusqu'aux confins de l'univers, sinon il y a fort à parier que les avides de pouvoir, les déformés du vice, vainqueurs ou battus, auraient déjà affronté d'autres formes de vie. Nous cherchions, non sans espoir, à construire le monde d'après à la lueur, faible, de nos expériences durant le Covid. Il semble que cette tâche - imaginer l'avenir - est plus difficile à accomplir que prévu. Pis, il s'avère encore plus ardu de conjuguer nos efforts au présent. Pourtant, ce serait toujours ça de gagné.
Force d'attraction de l'un à mettre en opposition aux forces de répulsions contre l'autre, mais est ce que cela donne de bons résultats, ici comme ailleurs en Politique notamment.
RépondreSupprimerJe pense ici que les deux forces étaient présentes des deux côtés.
SupprimerA l'unisson, telle était une de tes chroniques dans les top 10. On ne peut pas dire que les 1800 clubs sont à l'unisson quant au président élu. Mais il est passé par un gagne petit au cours d'un déroulement pas top pour le rugby. Va t'il y avoir un moule Laportien ? On est plutôt, je dirais même pas entre verre à demi rempli ou à demi vide, mais plutôt entre la peste et le choléra, "come on" dit. Rappel de cette phrase de Richard Astre (repêchée tjrs dans la même chronique) qu'on pourrait adapter à sa majesté renouvelée : "Quelle action, quelle maîtrise, quel comportement, quelle intelligence mettre au service de la stratégie, tout en faisant abstraction de son propre ego ? Conjuguez le verbe s'efforcer serait déjà pas mal. Juste que ce ballon continue à rebondir dans nos coeurs.
RépondreSupprimerLe poids de la FFR va devenir de plus en plus important à mesure que la crise économique va prendre le pas sur la crise sanitaire. Il faudrait, dans l'idéal, que l'institution s'efface (comme un bon arbitre) pour laisse place au jeu.
SupprimerMoi qui suis loin d'être un amateur de ces phases politico-admministratives, je trouve, dans le texte de Richard, de quoi m'intéresser. Cette sorte de neutralité devant les faits -les faits, rien que les faits", comme je ne sais plus qui l'a dit- me plait particulièrement. Loin des passions, le déroulé de l'historique de la Fédération me plait beaucoup. Le reste, les débats style américain type "Trump/Biden" par exemple, est juste suggéré et cela me va.
RépondreSupprimerPour revenir aux faits, après quelques recherches, deux phrases m'ont beaucoup plu:
- "Les faits sont têtus. Il est plus facile de s'arranger avec les statistiques" de Mark Twain.
- "Si les faits ne correspondent pas à la théorie, changer les faits" d'Albert Einstein.
Faîtes vos jeux, rien ne va plusl
Merci pour la "neutralité", André. C'est aussi ce qu'ont remarqué certains de mes confrères, y compris d'autres médias. Pas facile de rester un peu au-dessus quand tout nous tire vers le bas. C'est aussi pour cela que je suis fier d'exercer ce métier de journaliste tant décrié. Car c'est un métier. Qu'on nous autorise (commission de la carte de presse) d'exercer chaque année, carte à l'appui.
SupprimerC'est certainement la profession la plus réglementée. Et pour cause : elle exige autant de devoirs qu'elle offre de droits.
Chaque année, une commission valide la poursuite de notre métier, ou pas. Nous exerçons sous un numéro (comme les clubs de rugby) qui peut nous être retiré en cas de manquement déontologique.
Beaucoup de gens se disent "journalistes" et ils confondent ça avec le fait d'écrire sur tel ou tel supports. Mais c'est un abus de langage.
d'autant plus qu'il y a les 30%........
SupprimerAh Ah...
SupprimerAd augusta per angusta. Me vient alors la question : Les chemins étroits sont-ils forcément des chemins de traverses ?
RépondreSupprimerOn peut renverser la question : tous les chemins de traverse sont des chemins étroits ?
SupprimerLe buzz, il y en a eu. Et rapport à Dino (on cherche Shirley... 🤔, mais non pas eux☺️), le désert façon Buzzatti se parallélise bien à celui des tartares, question FFR. Sachant que Grill s'est pas fait bouffé non plus tout cru à l'huile d'olive et petits oignons.
RépondreSupprimerEt question chemins étroits, on est plutôt sous les fourches caudines de la chanson de noir désir, à l'envers à l'endroit...
Bien sur que le vote électronique c'est mieux qu'avant. C'est désormais un système de démocratie représentative indirecte (car seuls les présidents votent, rien ne les oblige à consulter ses licenciés majeurs) sans fraude (à priori). Mais les mots ont un sens ce n'est pas de la démocratie directe. La démocratie directe c'est dzs citoyens.nes constituant.e.s qui légifèrent et des mandataires qui appliquent ces lois. Des mandataires qui sont tirés au sort (parmi ces citoyen.ne.s volontaires ou non pour une durée déterminée. D'ailleurs on n'est pas obligé d'être pour cette forme de démocratie
RépondreSupprimerMerci la précision. Je corrige.
Supprimerpas de pb. D'ailleurs c'est M.Laporte qui lui même dévoie la notion de démocratie directe pour faire plus "peuple". Faussement donc. Un argument publicitaire.
SupprimerSerment du jeu de paume
RépondreSupprimerde sacraliser l'homme dans sa victoire ne rend pas pour autant le rugby français vainqueur de cette élection loin s'en faut. Si redonner la liberté de vote au peuple du rugby est une bonne chose en soi, elle masque toute l'incohérence d'un système dit fédérateur. En cela la dichotomie monde amateur monde professionnel est prégnante et l'on comprend bien ou vont les intérêts des uns et des autres. Ne soyons ni dupe ni hypocrite de la situation ! Quand il y a de l'argent à gagner sur le dos de la communauté, les rapaces sont là. La politique en est une symbolique qui se décline partout. Les chemins ne sont pas si étroits. Le vote d'hier montre que quasi la moitié du rugby français ne partage pas la vision de Laporte. A lui et son équipe de changer cette équation. Assis confortablement sur son royaume, l'homme, touché voir meurtri, continue sa folle destinée vers la royauté absolue celle de World Rugby. Il avait donc besoin de cette légitimité pour être accepté par la meute de loups. Il est bien compréhensible que la quête du Graal ne se situe pas à Marcoussis et que d'avoir un Cardinal, omnipotent, tout aussi ambitieux, alors même que son titre de Docteur n'est qu'honorifique, montre à quel point nous sommes loin du serment du jeu de paume. La révolution attendue du rugby français n'est pas au rendez vous et elle sonne comme un coquille vide ou creuse selon. La souveraineté et la sacralité de notre rugby va encore attendre longtemps qu'une constitution soit état et que la déclaration des droits et du rugby devienne l'acte fondateur de notre avenir ovale. Laporte n'est point Mirabeau malgré la gouaille qu'on lui connait ni "l'Orateur du peuple". "Allez dire à ceux qui vous envoient que nous sommes ici par la volonté du peuple et que nous ne quitterons nos places que par la force des baïonnettes!". L'Assemblée Nationale naissait le 20 juin 1789 de ce dogme unique alliant, noblesse, clergé et tiers état. Mais de quoi peut venir la genèse quand on est deux et qu'on ne partage rien ? Dans ce no man's land géopolitique, de faire référence à ce sobriquet "Keyzer Söze" n'est pas flatteur puisqu'il s'agit d'un personnage fictif, criminel dont la cruauté et l'influence sont devenues mythiques parmi les forces de l'ordre et les criminels eux-mêmes (film Usual suspects, 1995).Une des phrases célèbres du Keyzer a été empruntée à Charles Baudelaire "La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu’il n’existe pas !". Tout est dit ou presque au travers du parcours sulfureux de Bernard Laporte. Mais n'oublions pas que le "Keyser, Keyzer ou Kaiser" n'est autre que la traduction "d'Empereur" plus flatteuse pour revenir à la réalité. Nôtre rugby des champs et des villes peut-il se nourrir encore longtemps de cet aphorisme alors même que la constitution n'existe pas et que les états généraux sont une utopie. En quoi un Président de club est-il l'unique mandataire pour légiférer et voter pour le choix d'un Président ou d'un Empereur ? C'est un déni total de démocratie ou le tiers état n'est pas représenté. La souveraineté est cruellement absente. Je conclurai par deux phrases, celle du Général de Gaulle "La démocratie, c’est le gouvernement du peuple exerçant la souveraineté sans entrave" et celle de Victor Hugo "Au point de vue politique, il n'y a qu'un seul principe, la souveraineté de l'homme sur lui-même. Cette souveraineté de moi sur moi s'appelle Liberté".
Et c'est tout ! Voilà. Il y a du Danton en toi, Tautor...
SupprimerBon maintenant je bascule sur le bouchon de Liège
RépondreSupprimerTu as raison ritchie , magnifique final de cette belle course plus lumineuse que l'élection
RépondreSupprimerQuelle erreur de juniors signée Alaphilippe !!!
SupprimerTrop sûr de lui... tellement heureux de savourer son succès... incroyable
SupprimerIl faut attendre car il peut être déclassé..dommage il fait le plus il loupé le moins
SupprimerComme quoi hein ?!?!
SupprimerMais quand même une fin de course superbe
SupprimerMais entachée de cet écart qui prive Hirschi d'un succès mérité (non pas que celui de Roglic ne le soit pas).
SupprimerJe préférais, et de loin, le tracé de l'ancienne arrivée, le passage à côté du stade du Standard, la traversée du Liège ouvrier (contournement de l'usine, montée de la côte de Saint Nicolas des immigrés italiens), et puis cet interminable faux-plat bien montant à Ans où la course se gagnait vraiment au mental.
Maintenant, la course ressemble un peu à ce qu'est devenu San Remo avec l'arrivée repoussée à 3 Km du bas de la descente du Poggio: l'important est de passer la dernière bosse, et de plus en plus d'arrivées se font au sprint. J'ai peur que ce soit le cas à Liège dans les prochaines années.
Déclassé ou pas qu'importe, une erreur de débutant ou d'excès de confiance qui ne pardonne pas à ce niveau. Le Coq se voyait trop beau dommage pour lui.
RépondreSupprimerIl y a l'épaisseur d'une roue entre le Capitole et la roche tarpeienne
SupprimerBien aborder l'écart
SupprimerIl faut avouer que le cyclisme nous a plus gâté ces derniers temps que le rugby , espérons un ST RCT de bonne facture
RépondreSupprimeret tu soutiens les pirates et boucaniers de la Rade je suppose ?
SupprimerLe plus inquiétant après cette élection c' est l' éventuelle accession au trône de Simon...
RépondreSupprimerTotalement d'accord , il porte sur lui le côté sombre de la force
SupprimerC"est écrit à moins que le PNF sorte du bois 🤔🏈
SupprimerGaston avec énergie et tenacité renverse Thiem, le 5e set va être palpitant. Cocorico, 20 ans, vient de Blagnac et issu des qualifs ... sobre, efficace, solide physiquement et mentalement, varié dans le jeu, il devrait se qualifier
RépondreSupprimerSortie avec panache, Bravo Hugo👍🏽👏🏽
RépondreSupprimerLes infos de la catastrophe dans le Var me sont arrivées ensemble, quelle tristesse, alors Laporte et consorts, hein.......
RépondreSupprimerEt puis qu'ils se démerdent après tout, et qu'ils ne viennent pas pleurer quand il faudra fermer les écoles de Rugby, fusionner les clubs et continuer à bricoler avec des bouts de ficelle.
Mais c'est pas grave, on va être champions, sur de sur, au pire on préparera 2027, comme d'hab .
Ca vous bouscule pas un peu le coco, vous, que partout, de plus en plus, c'est l'invective, la corruption, le populisme qui l'emporte?
Allez, quatre ans de ce sourire méprisant, je signe au twirling bâton !
Pateil pour tout ! Euh ...peut être pas le twirling baton 😉
Supprimerpareil
SupprimerJan Lou
RépondreSupprimerSûr que le Var est plus important que le reste pour l'avoir connu il y a quelques années de ça à Pierrefitte Nestalas et à Saint Beat. Une vie détruite sous la boue ou tout est effacé. Le twirling avec la serveuse du Bambour bar, sois prudent 😉🥂
Il est clair que l'élection de BL ne rassure pas , car s'il avait gagné largement il aurait eu les mains libres pour son programme , là il est quand même devant une moitié du rugby qui ne lui fait pas confiance ( surtout a son entourage ) , il est devant une décision de justice dont personne ne peut parler car on ne connait pas dossier dans son ensemble , il est devant une ligue qui défend ses clubs exsangues financièrement et même si Goze n'est pas non plus ma tasse de thé , il a raison sur le nombre de matchs internationaux car a mon sens c'est une hérésie de faire jouer une EDF dans ces conditions ...et surtout d'affaiblir les clubs qui n'ont pas besoin de ça aujourd'hui.
RépondreSupprimerA mon sens son élection ne va rien résoudre et surtout pas apaiser une situation délicate.
"Heureusement qu'il y a findus" , avec le cyclisme et la fraicheur de Roland Garros et de ce jeunot, le manque de lucidité de Julian A et le culot de Gaston ont remis le sport au centre du village.
Bonne semaine a tous
Findus ! 🤣🤣🤣 sinon constat lucide Marco, hélas ...
Supprimer
RépondreSupprimerNous avons donc devant nous 4 années de plus, et si on les mesure à l'aune des 4 dernières, c'est dur ! A moins de s'amuser (!) à deviner où le bât blessera, ou quand la limite du supportable sera atteinte . En principe pas de purge ; c'est déjà fait . Peut être même quelques récompenses? Dame ! Certains le méritent sûrement, non ?
Alors la vie quotidienne fédérale reprendra son cours, avec sa cohorte d'éructations, mais aussi de décisions chuchotées entre bons amis, quelques soucis avec la Justice sans doute, mais quoi ? Elle est si lente !
Non décidément le Temps joue pour lui et sa bande ; il a toujours été son allié d'ailleurs . "Cela semblait hier, et pourtant le temps avait tout de même passé, à son rythme immuable, identique pour tous les hommes, ni plus lent pour ceux qui sont heureux, ni plus rapide pour les malchanceux." A voir ...
Le désert des barbares étend devant nous sa morne plaine et la torpeur des habitudes, " A présent, quelle vie ennuyeuse attendait Drogo ! ... Et puis toujours le même service de garde, les éternelles parties de cartes, les éternelles escapades jusqu’à la localité la plus proche pour y boire un peu ou avoir une piètre aventure amoureuse. Quelle misère se disait Drogo. Et pourtant un reste d’enchantement errait le long des murailles des jaunes redoutes, un mystère persistait obstinément là-haut, dans les recoins des fossés, à l’ombre des casemates, l’inexorable sentiment de choses à venir." Mouais ...
Putain ! 4 ANS !
BL n'est pas ma tasse de thé mais bon, il a fait preuve d'une sacré ténacité pour arriver au terme d'une campagne digne des générales les plus crasses. So what ? est-il assez fin politique pour mettre une dose de Grill dans son programme sans faire de démagogie ? Serge Simon, son homme-lige, va certainement prendre les rênes du rugby français pendant que le patron va batailler sur la scène internationale.
RépondreSupprimerla filière gaillacoise a aussi apporter son efficacité avec la sortie de Galthié, qui jouit d'une popularité dans le monde du rugby et ailleurs en redonnant à l'équipe de France une aura certaine sur la scène européenne.
A suivre, le tout est de savoir si les clubs qui avaient voté pour BL en 2016 sont heureux de leur choix et s'ils l'ont renouvelé avec enthousiasme ou par peur de l'inconnu.
concernant Alaphilippe, bon, il est amoureux, il est normal qu'il soit un peu distrait à 5 m de la ligne, peut-être savait-il qu'il avait commis une bévue sur Hirschi et cela l'a -t-il coupé dans son élan.
enfin, une lueur ensoleillé à Roland Garros. quel contraste entre le jeune Gaston et les blasés français qui viennent ici juste pour apporter leur linge sale à leur maman avant de repartir chercher des contrats juteux qui leur permettent de vivre correctement leur tennis.
Philippe , si simon prends les rênes , quelle tristesse ....quand a Galthié le rugby lui colle a la peau comme les euros ahahah
RépondreSupprimerc'est pour ça qu'on l'appelle "Galette" !
SupprimerRitchie a toujours accordé à Laporte le crédit d'avoir permis aux clubs de faire entendre leur voix.
RépondreSupprimerDont acte.
Mais s'il s'agit de (bien) voter tous les 4 ans et de le laisser faire un peu ce qu'il veut dans l'intervalle, ça va nous rappeler un cadre qui déborde amplement celui du rugby, et relancer un débat que Ritchie lui-même, avec arguments, avait lancé lors de la dernière présidentielle: voter, oui, mais à quoi bon ?
Surtout qu'en tombant dans ce système, on verse dans la démagogie, et le triste spectacle auquel nous avons eu droit lors de cette campagne pour la présidence de la FFR. Entendre Laporte, qui a fait toute sa carrière de club dans le rugby le plus professionnel qui soit (le SF remonté par Guazzini à coups de mercenaires français et de paillettes, le RCT de Boudjellal qui a donné un gros coup d'accélérateur à l'économie du rugby pro en France à grands renforts de stars mondiales du jeu), venir se présenter comme le gentil président du rugby amateur contre ces méchants capitalistes de la LNR, ça me fait doucement marrer (C'est un peu comme si Macron, qui sitôt sorti de l'ENA et de l'IGF est allé grassement pantoufler chez Rothschild avant d'intégrer le secrétariat général de l'Elysée et le Ministère des Finances, venait en 2022 expliquer à la "France périphérique" des gilets jaunes que toute sa politique a toujours été tournée vers eux...)
Mais quoiqu'on dise, cette élection marque une continuité; s'il s'agit ensuite de retomber dans des travers judiciaires liés à l'obtention de la CDM 2023, on a pas le cul sorti des ronces. Sinon, il faut espérer que Laporte va réellement travailler à redresser les comptes, soutenir vraiment le rugby amateur en aidant notamment à ramener au rugby les jeunes licenciés qui s'en détournent, par exemple en jouant à plein de l'effet accélérateur de la Coupe du Monde en France.
La Coupe du Monde polarise maintenant tout, dans le rugby, et vraiment dans tous les sens, le bon comme le mauvais...
La réforme du scrutin elle était inévitable à terme et fortement encouragée par le ministère.
SupprimerDe plus à l'époque Laporte était certain de l'emporter avec un score soviétique, il ne pensait prendre aucun risque a l'enclancher, plutôt à en tirer un avantage médiatique non négligeable.
Après, on regrette un débat d'idée, ça ne risquait pas, il a refusé le débat !
Bien sur que Richie de par sa profession, son employeur et son éthique doit prendre de la hauteur, mais nous autres pauvres blogueurs n'y sommes pas tenus.
Allez, encore heureux, on pourrait plus écrire des conneries!
..... démocratie, oui, ..... si chaque licencié avait le droit de voter !
RépondreSupprimermais pour l'instant ,le vote de samedi , ce n'est que la parole des présidents des asso de chaque club qui s'est exprimée, souvent sans concertation avec les autres membres du club...
.... et donc, pas sûr que la majorité des licenciés de chaque club était favorable au choix de leur président ! .... pour l'une comme pour l'autre liste !
Je partage totalement Christian, un déni total de démocratie de la part des Présidents qui ne s'embarassent que peu des licenciés du club comme s'ils étaient des servidés.
SupprimerC'est quand même un progrès par rapport au système précédent, Christian.
SupprimerLe résultat serré de cette élection en est la preuve.
Mais je suis d'accord avec toi: les présidents de clubs qui ont consulté leurs licenciés avant de voter ne doivent pas être légion (s'il y en a eu)...
"Bien aborder l'écart"...?
RépondreSupprimerJe reviens sur ce titre que je trouve sinon énigmatique, du moins sibyllin. Et que personne, jusqu'à présent, n'a relevé et abordé; moi-même, d'ailleurs, bien qu'interpellé dès la première lecture.
De quel écart parle Richard?
Des 3% entre les deux candidats? De leur personnalité propre? Des deux camps, donc, à tenter de rapprocher afin d'établir une certaine discussion? Réussir à établir un dialogue entre les clubs pro et le monde amateur?
Autre chose moins apparente...?
qqpart je suis d'accord avec toi, mais je n'ai pas osé....
SupprimerMoins de 2% .
SupprimerUn écart qui était censé être faible et l'a été, pouvant faire basculer l'un comme l'autre candidat. L'élection même si elle s'est améliorée, s'est elle déroulée correctement (ce dont Grill doute) ? Et le résultat final de l'élu, qui pour les 2, avait ses différences qui en faisaient des points forts ou faibles, selon. Laporte, on savait vers quoi on continuait. Grill, le pare-brise pouvait être un peu embué. La ventilation l'aurait elle dissipée ? A tout regarder, partialité ou impartialité ? L'atout restait dans la manche à Bernie qui fait 10 de der et ferme la porte à Grill. A revoir d'ici 4 ans, peut-être, pour mener le petit au bout...
SupprimerLes présidents sont eux même élus, il s' agit donc d'un scrutin indirect.
SupprimerCa existe dans de nombreux pays et ne me choque pas, j'imagine le taux d'abstention si on faisait voter tout le monde.
La fameuse prime au sortant à sûrement bien fonctionné,ce qui rajoute a la frustration bien sur !
Le coup est passé si près, à des années lumières de ce que Grill pensait quant il était connu de sa seule maman,c'est déjà une victoire , mais ça rajoute à la frustration bien sur !
Allez, j'ai la frustration très rajoutée sur ce coup, bien sur !
Jan Loulou
SupprimerTu as passé l'âge des frustrations quoique 🤔🙈😉 faut poser la question à la serveuse du Bambour bar 😂😂💅🥂
A-t-il enfin trouvé la joie la liberté ?
SupprimerParlez-moi de lui
Comment va sa vie ?
Dans ces pays lointains
Est-il heureux enfin ?
Des fois elle nous les brise un peu
Allez, mais qu'est ce qui m'a pris de lui parler de toi....
Des fois, quand t'arranges trop le rhum... 🤔
SupprimerQuels beaux conteurs
SupprimerLe LOU qui veut manger l'UBB = Urios Furioso ...
RépondreSupprimerJan Lou, je ne connais (ou je ne connaissais,... mais çà a peut-être changé depuis) pas beaucoup de clubs où le président est élu ???
RépondreSupprimerBen si quand même!
SupprimerLa loi 1901 n'oblige rien ou presque mais l'immense majorité des associations organise une assemblée générale , élit ses dirigeants qui nomment un président.
Souvent symbolique, je te rejoins et c'est dommage.
Mais de plus en plus les collectivités exigent un PV d'AG avant de délivrer les subventions.
Allez, franchement, le mec pas capable de s' intéresser à la vie de son club, tu vas pas lui demander d'élire le prez de le fédé non plus !
Oui d'accord , vu comme çà ,...vraiment symbolique, c'est peu dire !!!!... mais alors, au moins consulter le Comité Directeur de l'Asso, débattre et voter, pourquoi pas ?
SupprimerAllez, ...un autre monde !!!
Bien aborder l'écart, je dirais même plus, BL à bien su border l'écart...
RépondreSupprimerLe monde devient fou ...Onesta est accusé de racisme pour avoir fait une dédicace personnelle sur le livre qu'il a offert a Dinard , il a fait un clin d'oeil dans sa dédicace et se retrouve au ban de l'humanité ...ou est la mesure ? ou est le bon sens ? ou est passé l'humour ?
RépondreSupprimerje suis atterré ...
D Dinard qu'il a entrainé des années et a qui il a passé le flambeau ...je vous le dis le monde devient fou ...ça n'a rien a voir avec le rugby mais je suis choqué d'avoir lu cela
Règlements de comptes, Dinard n'a pas su transformer l'essai et devenir le sélectionneur qu'il rêvait être ... le contexte s'y prête, il a saisi l'occasion . L'aigreur est humaine . Dommage ....
SupprimerOops c'est DinarT ...comme les Dupond/ Dupont mais on n'est pas dans Tintin ... hélas
SupprimerJe dirais pas rëglements de comptes, plutôt coups bas à l'approche de l'élection FFH en octobre aussi. Bana est l'homme fort du hand. Et a eu Onesta sous sa coupe lorsqu'il était DTN, je crois. Et Girault qui se présente aussi est comme Dinart... Gadeloupéen. Encore des écarts d'agissements d'un drôle de paroissien, à savoir qui ? À moins qu'il y ait eu depuis une embrouille entre Onesta et Dinart et que ce dernier soutienne Girault... Pas beau de copier l'ovale.
RépondreSupprimerHoula ça risque d'être plus tordu encore, il y a 3 candidats Bana Girault et Feuillan qui est soutenu par Canayer grand pote de Dinart ... je ne sais pas où en sont les alliances mais Dinart est allé faire une pige à Montpel... alors ...
SupprimerJe ne savais qu'il y avait une élection... encore plus triste ...
RépondreSupprimeroui, ils se déchirent alors qu'ils ont emmené le hand très très haut ... c'est pitoyable d'entraîner en plus Onesta là dedans !
SupprimerEt il faut en faire des tonnes. Avec la ministre qui demande des comptes.
SupprimerOn parle d un lien personnel dont on ne sait pas les tenants et les aboutissant.
Ca y est La FFR c est dépassé. Il faut faire son beurre ailleurs ?
Ho ben ça alors il y avait donc une ministre des sports ?
SupprimerDaniel n’est pas du genre à rester sur son banc et attendre que ça passe. Mais il peut comme Alex ne pas choisir d’aller à la rencontre de sa convoitise ; l’aborder, même avec un discours des plus éloquents pourrait être contre productif. C’est alors que vient une idée à Albert en qui il a depuis toujours toute confiance. Élise s’attendrira au fil des jours devant un SDF avec lequel elle finira par créer le lien tant espéré. Daniel ne sera plus, néanmoins, tout à fait le même. Beaucoup de regards qui ont été portés sur lui pendant plusieurs semaines se sont avérés bien différents de ceux qu’il avait pour habitude de recueillir. La salle d’attente du médecin sans rendez qu’il s’est finalement décidé à consulter est bondée mais il a anticipé : un livre de 599 pages.
RépondreSupprimeroh la la c'est quoi tout ça???
SupprimerDaniel et les esclaves...
SupprimerMacalou et Raka indisponibles, rien d'incohérent dans la liste de Galtier, non?
RépondreSupprimerP'tet le gros pilard du Racing, suis pas fan de la Atonio-fashion, et s'il a 35mn dans les guibolles...
Allez, du rythme !
Colombe ? Je l'ai vu jouer une fois costaud ... pour rester hypocoristique comme y disent à l'Equipe .
SupprimerMacalou caressé dans le bon du poil (🤔?) mais blessé aux ischios, mais D. Crétin choisi ettjrs en soins sur même blessure...
SupprimerHypocoristique?
RépondreSupprimerOui c'est un mot surprenant utilisé ce matin ds l'Equipe ds article sur les 31 sélectionnés en EDF ... l'occasion pour moi d'apprendre un nouveau mot et fe partager !
SupprimerDe partager ... Colombe c'est le nom du nouveau pilier que j'ai trouvé costaud en dépit de son patronyme ...
SupprimerDécidément. Les derniers commentaires féminins -Pimprenelle dans son ensemble et Gariguette pour la relation entre "Colombe", "costaud" et "hypocoristique"- me sont totalement incompréhensibles. Laissons mûrir.
RépondreSupprimerAndré, pas prêt à faire le grand écart pour comprendre... 🤔 Pour Gariguette Colombe au nom hypicoristique mais antonyme dans le jeu, plutôt bourru de la colombe. Quant à Pimprenelle, un jeu de piste ? 🤔
SupprimerHipocoristique.
Supprimerça veut dire se montrer tendre en parlant de quelqu'un ...
SupprimerLa hipocoristique
RépondreSupprimerdu gendarme
C'est de bien observer
Sans se faire remarquer.
La hipocoristique
Du gendarme
C'est d'avoir avant tout
Les yeux en face des trous.
Allez, il se montrait tendre
Joli !
SupprimerSinon il y a l'hypocharistie, manque de communion dans les stades, because covide... 🤔
SupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
SupprimerMoi je connais l'hippocharistie.
RépondreSupprimerÇa se fait tous les dimanches, avec des canassons.
Je vois que le vocabulaire ça vous botte ! Dans le même article de Thomas Perotto il y avait aussi "vibrionnant" plus courant mais qui a également surpris ...
SupprimerDonc, vibrer du ion pourquoi pas... Ça fait un peu vibromasseur !!! 🤣 😂 😂
SupprimerVocable à bien aborder pour éviter le grand écart...
Un excellent journaliste alpin, ce Perotto.
SupprimerOh my God, il a osé
RépondreSupprimerVoilà ! On salue les efforts de l'Equipe pour hausser le niveau et ça part en cacahuète ! 🙄
SupprimerLa vibri vibrionnique du gendarme
SupprimerC'est de bien se placer
Et pouvoir tout remarquer
La vibri vibrionnique du gendarme
C'est de bien se démancher
pour pouvoir contraventionner
Pas d'hypocoristique tout ça...
Bayonne La Rochelle : excellent !
RépondreSupprimerExactement ça, un régal !
SupprimerLa Rochelle lâche les chevaux et jump Bayonne...
SupprimerLe dif errant LNR/FFR, ou comment bien aborder l'écart ? Régalien ou pas, plutôt une indigestion. Une situation hue buesque pour se saucissonner tout seul, et vers une mise à l'écart ? 🤔
RépondreSupprimerJe crois que j'ai le titre de ma prochaine chronique...
RépondreSupprimerBen oui, c'est chronique...
SupprimerBayonne, La Rochelle, saga des Elissalde ?
SupprimerAllez Chevreuse
Toulon/Montpellier, Bouthier continue de s'affirmer, Rebadj à voir quand même enfin, comme Gabin Villière. Et Etrillard plutôt que Mauvaka. Camara bof, Guirado faut qu'il arrête...
RépondreSupprimerJe trouve le RCT vibrionnant et le MHR ataraxique .
Supprimerha ben là ça devient turbide !
SupprimerC'est l'époque qui veut ça. Et ça rime avec Covid... 😉
SupprimerBien vu, Gariguette.
RépondreSupprimerDe la vibrionnance à la résilience pour Toulon
RépondreSupprimerLa thermodynamique stipule que le désordre d'un ensemble d'objets laissés à eux-mêmes (on dit isolés) ou entropie, ne peut qu'augmenter avec le temps ... j'ai comme l'impression qu'à Montpellier ils nous font une crise d'entropie ; autrement dit, quel bord.. bazar !
SupprimerOuais, enfin pas encore du Mozart...
SupprimerD'après le thermo stats
SupprimerViens de voir ST R95
RépondreSupprimerBeau match, convenu, ouvert, engagé, avec des internationaux affûtés, de beaux essais ... Pour gagner la coupe d'Europe, va falloir montrer autre chose que du stéréotypé, monter le niveau et éviter de trop nombreuses fautes au sol
Oui c'était tout bien joli, avec une pelouse qui salit pas les maillots, un générique qui ressemblait à l'arrivée de Trump en hélico ... bah c'est pour tromper l'adversaire on verra de vrai lions face à Exeter 😉
Supprimerouaih une équipe du R92 niveau B ou C vu les gardés en reserve
SupprimerBeau match avec une oreille pour Joseph
RépondreSupprimerLa semaine prochaine on verra s'ils sortent "a hombros"
Supprimerquand le ridicule ne tue plus ...cette FFR devient imbuvable
RépondreSupprimerhttps://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Calendrier-de-l-automne-la-ffr-met-en-garde-les-clubs-du-top-14-en-cas-de-non-liberation-des-internationaux/1182277
C'est ce qu'il appelle " tendre la main" ... pour coller des baffes en fait !
SupprimerLes arcs sont tendus, les flèches décochëes, pour l'instant dans des ballots de pailles... Y a t'il encore des sages dans l'avion ? 🤔
SupprimerEt sans baillons...
SupprimerWellington sans masques et le stade est plein ; on va prendre ça pour un message d'espoir . Sympa de revoir les Blacks et leur beau rugby .
RépondreSupprimerEt Benoit écrit ceci sur Fb "Une belle lumière, ce matin. Sans doute parce qu'hier soir, quelques beaux éclairs ont zébré le ciel. Le Stade Toulousain, sa belle jeunesse et ses cavaliers de l'orage, comme ça. Le Racing, ses jeunes pousses et des envies de montrer un peu les dents. Oui, tendre était la nuit..."
RépondreSupprimerLu "Au cœur des fougères". Superbes textes imagés comme je les aime, magnifiques photos clair/obscur, de la belle lumière. Des couleurs et paysages particuliers qui me rappellent parfois ceux dans L'Aveyron où l'Ariège (sans vaches). Une nature zélandaise pas toujours facile à vivre comme ses joueurs sur le gazon. A Eden Park, les mouettes surveillent de haut, à l'écart, le moment opportun pour se poser sans subir d'impact majeur. La raison du plus fort...
RépondreSupprimerQuant fera t'il vraiment jour, pour ses cocoricos qui s'épuisent dans la nuit ?
Oui vraiment idéal pour les rudes journées automnales à venir, en restant au chaud .
SupprimerFin de match superlative entre Blacks et Australiens, non pas tant pour le jeu que pour la volonté de gagner, avec tant d'avantages joués sur en-avant ou ballon perdu qu'on a arrêté de les compter. Le tout dans des conditions exécrables.
RépondreSupprimerLe jeu, au-delà de l'affrontement physique impressionnant, on l'a vu sur les essais de Barrett et d'Aaron Smith: du tableau noir.
J'étais curieuse de voir la remontada des Aussies - on m'avait spoilé le score final - et je n'ai pas été déçue .
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