Il y a toujours une première fois. Professionnellement, ce fut à l'automne 1988 pour Angleterre-Australie et les débuts de capitaine d'un dénommé Will Carling, diplômé de psychologie. Les sièges de Twickenham n'étaient plus en bois mais il en restait des vestiges, tout en haut, dans l'ancienne tribune télé et radio collée au toit, dans l'axe de la ligne médiane. Mais le cadre était nettement moins émouvant que l'Arms Park de Cardiff, même rebaptisé à cette époque-là National stadium, nappé de chœurs d'hommes descendus des vallées de la Rhonda.
Située plus en amont, ma première visite, adolescent, dans ce lieu habité par l'esprit des origines garde le goût du single malt par un samedi de septembre 1977. Mon copain Joël, bassiste du groupe de rock que nous avions fondé avec Eric et Freddie, m'avait entraîné à Londres - London calling - et nous logions, lycéens, chez sa cousine, chanteuse d'opéra qui nous réveillait tôt le matin au son de ses vocalises.
En lisant The Times, j'avais découvert que se disputerait une rencontre de rugby annoncée exceptionnelle entre les Lions britanniques et les Barbarians. Nous étions parvenus à acheter deux tickets - pas bon marché - à la dernière minute, et nous voici dans le train en direction de la banlieue ouest. La foule nous avait embarqués jusqu'aux portes du stade dont les tribunes, couleur kaki, se détachaient sous un soleil radieux.
Entourés de gentlemen d'Epsom en Barbour, nous nous sommes retrouvés juste à l'entrée du couloir qui mène les joueurs vers la pelouse. Nos distingués voisins avaient apporté de rutilantes victuailles dans leurs valises en osier - couverts en porcelaine inclus - et des flasques gorgées de whisky dans la poche intérieure de leurs vestes en tweed. Pendant le protocole qui n'en finissait pas, ils partagèrent avec nous leur festin d'autant mieux que la troisième-ligne magique du XV de France Skrela-Bastiat-Rives sertissait les Barbarians que nos nouveaux amis étaient venus encourager à pleine voix.
Je n'ai aucun souvenir du score et visiblement, il importait peu. Mais j'ai encore devant les yeux et presque à portée de mains, au ras de la pelouse, les passes de Gareth Edwards, les crochets de Gerald Davis, les fulgurances du Blond, les tampons de JPR Williams, les pas de danseur de Phil Bennett dans cet après-midi strié de rouge, de blanc et de noir durant lequel nous restâmes debout. Pas vraiment disposé durant cette période à envisager une carrière de journaliste à L'Equipe, étant plus enclin à suivre des études d'économie, je n'imaginais pas revenir dix ans plus tard à Twickenham pour y rédiger, assis, un reportage.
Les journalistes français des années cinquante surnommèrent cet endroit "Le Temple". Pour quelles raisons ? Il n'est pas le premier des lieux officiels dédiés au rugby. Sans doute parce qu'il symbolise dans son dépouillement originel cette terre promise au jeu de balle ovale qu'est l'Angleterre au début du XIXe siècle. Un lieu sacré au sens ésotérique du terme, un lieu dont il faut pénétrer avec humilité les secrets, un lieu peuplé d'initiés - pratiquants et dirigeants - dont les cravates racontent le parcours. Old school ties : l'attribut qui relie les anciens élèves. Un signe de reconnaissance comme on parle du mot de passe.
Il y a peu Pierre Albaladejo, qui n'a jamais gagné en Angleterre mais garde le sens de la formule, m'a avoué : "Twickenham, c’est la Monumental de Madrid pour le matador, le maestro. C’est là où tu vas chercher la consécration. Remporter un match à Twickenham, c’est le must du Tournoi. Tu te motives pour Murrayfield, Lansdowne Road, et même pour l’Arm’s Park. Mais à Twickenham, tu n’en as pas besoin : c’est la grande différence. Le silence règne dans le vestiaire." Le coup d'envoi ne saurait tarder.
Du fait de mon grand âge, j'ai le souvenir d'un excellent journaliste, Jacques Sallebert, qui commentait les premiers matches du Tournoi dans les années 60. Il fut, par la suite, correspondant de presse aux Etats Unis. Il était parfaitement "British" et collait totalement à l'esprit du jeu de cette époque.
RépondreSupprimerBizarrement, quasiment pas de souvenir de cette tournée 77 des Lions chez les All Blacks perdue -de peu- 3 à1. Ni de ce match contre les Babaa's. Je viens d'en regarder quelques extraits: fameux! Que des pointures en forme semble-t-il....Je ne me souvenait pas que Gareth Davies était si crocheteur et imprévisible à l'image d'un Jack Cantoni. Et le nombre de Gallois dans les deux équipes! Incroyable. Je comprends que les supporters d'aujourd'hui puissent être nostalgiques.
https://youtu.be/EOTgFdz4yJw
SupprimerMerci Christophe. Emotion grande.
SupprimerSéjour à Dorking fin du siècle dernier pour accompagner les petits, et paf, sous notre assiette du breakfast , avec mon complice Gégé, une enveloppe!
RépondreSupprimerPlaces pour la finale de leur Cup, un beau cadeau vu l'importance de cette compétition à l'époque.
Plus de Rolls dans le parking, pique nique compris, que de frenchies en tribune ce jour la, pouvez m'en croire!
Les Harlequins avaient perdu, et nous on avait rajouté une page à l'entente cordiale, version Lager!
Seule incursion dans cette banlieue paumée de Londres ,un sacré souvenir.
Come on Rodger, old boy! (private joke)
Cher André, MERCI d'avoir évoqué le nom de Jacques Sallebert , éminent journaliste et cela me ramène moi aussi à mon adolescence, je ne sais pas quand j'ai vu à la télé mon premier match du tournoi , mais sûrement en 65 puisque je jouais cadet a Chartres, avant de passer junior et faire mes armes en première , nous etions en 3 division de l'époque avec le scuf, le casg et autres clubs parisiens...o tempora o mores, et gagner à twinckenham relevait de l'exploit...demain, c'est du 50 / 50 car les anglais même s'ils ne sont pas bons rêvent toujours de nous mettre la pâtée 😂😂😂😂
RépondreSupprimerNostalgie, nostalgie. La mienne est pour les années 20-21 de l'équipe de France; pas 1720-1721, non, mais bien 2020-2021. Quand les sélectionneurs envoyaient une équipe bis voire ter et que celle-ci faisait tourner en bourrique l'adversaire normalement largement favori. Ce furent les deux années où la France a vraiment angoissé le monde ovale. Elle faisait surgir à foison des talents, certains venant même parfois de deuxième division. Nos adversaires ne savaient plus à quel coin de bois nous attendre. Ils voyaient le trophée mondial 2023 définitivement s'éloigner d'eux.
RépondreSupprimerPuis les sélectionneurs ont pu se rassurer en construisant une équipe type. S'ils l'avaient pu, ils auraient gardé les 23 même joueurs pour le Tournoi 2023, comme Jean Desclaux gagnant le Grand chelem en 1977 avec seulement 15 joueurs sur le terrain. Jelonch se blesse, on est catastrophé pour cet automne; en 2020, on aurait dit: "Pas grave, on en a dix aussi bon en réserve."
Du coup, à présent, les adversaires nous connaissent par coeur. Même les Italiens peuvent trouver des astuces pour nous faire produire un jeu médiocre. Maintenant que la victoire dans ce Tournoi nous échappe forcément et que la deuxième place n'est même pas certaine, au lieu de refaire tourner la tête de l'ovalie mondiale en sortant une équipe improbable mais finalement enthousiasmante, on a comme seul objectif d'aller dans le stade de Twickenham - avec ou non des sièges en bois - pour, avec un jeu de subission - ou subition puisque Galthié aimant les néologismes l'orthographe est libre - au mieux gagner petitement.
Maintenant que j'ai versé ma petite larme, je me retire.
Olivier 1979 ?
SupprimerSans parler de commémoration comme dit Pipiou en terme de rappel d'histoire, nous voilà dans le temple de Twicken'âme. Un stade à la campagne, à l'époque. On n'aperçoit même pas sweet chariot garé au parking.
RépondreSupprimerBarbarians/lions britanniques, en voilà de l'offense ivre (malt) à l'insapidité ovale ambiante actuelle. Et dans ces larges mouvements, un JPR 3e ligne toujours en relais de l'action pour faire vivre ce ballon jusqu'au dépôt en en-but adverse.
Sinon, le Times d'un crunch de plus à Twi(x)ck, le doigt coupe faim. Quelle appétence aura l'english samedi ?
Quel rebondissement du coq hors de son poulailler ? De l'abondance d'un jeu clairvoyant et mature ou encore dans la redondance erratique ?
Allez, pas de fin en soi mais en vue d'une continuité de la belle histoire qui cherche encore ses mots...
Alléluia Ladies and Gentlemen ! Je viens de remporter (partiellement) mon crunch personnel avec l'informatique! 6 mois d'un long silence imposé sur ce blog. J'suis resté bien trop longtemps confiné au vestiaire; ça tombe finalement plutôt bien : j'suis d'humeur à bouffer du rosbif, sweet chariot inclus.
RépondreSupprimerWelcome back... tu penses pouvoir te passer de peusdo ?
SupprimerJe pense que tu peux lui faire un résumé du changement de stratégie 😉 J'imagine qu'il va ni rattraper les 6 mois, ni lire les échanges fournis des trois dernières chroniques.
SupprimerHeureux qui, comme Pom', est sorti d'un long cauchemar,
SupprimerOu comme celui-là, qui conquit l'onglet processus,
Et puis est retourné, vide d'usages et consensus,
Vivre entre ses Quinconces, les nouveaux standards !
Quand reverrai-je, hélas ! de nos petits chicayages
Fulminer le Tautor, et en quelle saison
Reverrai-je éclose la fraise, délice de notre panthéon,
Qui me sont une province, et beaucoup davantage ?...
Ah il est là le Pom... merci amigo de rejoindre ainsi notre blog
SupprimerEn fait si je saisie bien il n'y a vraiment que Alain aka Tautor que ça gène de publier sous son vrai nom. Peut être aussi Lulure et Allan, pour des raisons que j'ignore.
SupprimerCar enfin que risque-t-on à apparaître sans masque ni pseudo sur le blog de Ritchie ? Sauf à ne pas assumer ses diatribes
SupprimerPour moi comme pour vous j'imagine on ne peut pas être dehors et dedans.
SupprimerCher Pom, Fruit Juice franchisé en JM F !
SupprimerMerci pour Du Bellay, ça fait du bien de lire de la littérature et ça change du journal de comptoir. Donc juste cette parenthèse pour te remercier, Gariguette se joignant à moi, de cette fulminante pensée. Tu as compris que Tautor avait clôturé laissant la place aux académiciens et au think tank pour ne faire qu'une pige pour te saluer amicalement. Souvenir intact de notre rencontre aux Quinconces de Bordeaux qui a permis par la suite de croiser les mots et les maux, ceux de la pensée, ceux de la Rade, ceux des envols et de l'imaginaire, ceux de notre passion pour l'ovale à tel point que le "Fruit Juice" restera un délice jamais égalé et gravé en moi et que ta verve hellénistique deviendra un "Pur" souvenir. Il est possible que tu ne puisses lire cet écrit car ici on ne badine pas avec les erzasts et les moutons l'ont bien compris. Que le hasard soit guide de notre destin et que nous puissions un jour croiser nos regards. La Bise "Pom, Fruit Juice".
Ah ah Alain, je me demandais combien de temps tu allais tenir sans venir écrire sur le blog... u fais comme les Frères Jacques qui ont fait une tournée de concert pendant un an pour annoncer leur départ... ;-)
SupprimerCela dit tu peux rester bienveillant avec ceux du blog et ne pas les traiter de moutons. C'est moche. Et si tu reviens pour balancer des saloperies, ce n'est pas très utile.
SupprimerA Olivier...
RépondreSupprimerQuel commentaire intéressant, à la hauteur d'un think tank du rugby😉. Si j'osais, soyons fous, sans réaction de Richard sur ce pseudo-prénom , j'en viendrais à imaginer-espérer qu'il le connaît et que ce pourrait être Charly.
En tout cas je n'ai aucune légitimité pour dire que ce commentaire est plein de bon sens. Pour ceux qui aiment l'histoire ici, il fait rappeler ce qui se disait sur Jelonch au début de son "mandat". Ça disait peu ou prou: "quand les titulaires seront remis sur pied, il ne sera peut être même pas parmi les finisseurs"
Un de perdu, dix de (re)trouvé devrait être la consigne du staff. Dupont on finit par s'y habituer mais si on montre qu'on a 4 ou 5 numéros 9 capables de faire la pige, il va falloir qu'ils en fassent de la vidéo, les adversaires.
J'ai choisi sciemment le joueur incontestable évidemment. Mais c'est pour dire aussi que je ne comprends pas bien le concept d'accumuler du temps et de l'expérience de jeu ensemble. S'il y a des joueurs qui ont l'habitude de jouer ensemble c'est bien Dupont et Ntmack, non?
Alors pourquoi ne pas donner d'autres "habitudes".
Ou bien le scénario Dupont se blesse en début de match ou début de CdM n'est pas envisageable?
Et sinon, trêve de plaisanterie, ou plutôt plaisanterie :
"Olivier vous pouvez vous présenter?"😉
Je ne suis qu'un anonyme du rugby comme beaucoup d'autres. Aucun titre de gloire à présenter. Juste sous la pluie et dans la gadoue ce soir pour palper un peu l'ovale.
SupprimerBonjour Olivier
SupprimerL'idée de e blig c'est de ne pas être un forum mais un lieu d'échange à visage decouvert
C'est pourquoi chacun écrit sous son vrai nom, comme s'il envoyait une lettre. C'est une sorte de courrier des lecteurs. D'où mon refus des pseudos.
SupprimerJ'aime que les membres de mon blog échange comme dans la vraie vie, pas comme sur les réseaux sociaux.
Si cela ne vous pose pas problème vous êtes le bienvenu sous votre nom et prenom,
Cordialement
Alors les Old's, on verse une larmichette sur sa jeunesse enfuie ?
RépondreSupprimerRichard le rappelle souvent, le rugby est un éternel recommencement.
Même les joueurs de ce fameux test de 1977, ivres de jeu, ont eu des successeurs; et si le Quinze de la Rose du moment semble se rabougrir sur un jeu basique et restreint (Steve Borthwick était plus un (grand) joueur de petit périmètre que d'espaces au large), on a les moyens et les ambitions de s'y opposer et même d'allumer des mèches, cheveux au vent comme Rives ou JPR Williams en 77.
Victoire ou pas (on s'en fout un peu, non, maintenant que le Grand Chelem -et c'est peut-être pas plus mal dans l'optique de la CDM- n'est plus d'actualité), ce qui importe c'est de montrer ce qu'on peut faire, et la confiance qui va avec.
Commémorer, non (on n'est pas là pour se confire dans un passé glorieux pour mieux faire avaler un présent indigeste), mais on peut se rappeler que Twickenham nous a souvent réussi (sans doute comme le rappelle le grand Albaladejo la motivation n'a pas ici besoin de grands discours), avec à la clé quelques-uns des plus beaux matchs (ah, cette décennie 90, on s'en souvient bien ici, certains peut-être plus -et mieux !- que d'autres...) que l'équipe de France ait joués.
God Save the Game, folks !
Il a la nostalgie rapide, Olivier!
RépondreSupprimerLes débuts de l'histoire Galthier,les bourdes historiques mais aussi la découverte du si décrié jeu de dépossession.
Nécessaire pour recréer une équipe, mais condamné à évoluer, pas suffisant pour ramasser la timbale, comme ne le sera pas, j'en prends le risque, le jeu programmé des Irlandais.
Alors au milieu du gué, les Bleus, entre un jeu a étoffer et un patron qui, j'en jurerais,trafique un peu dans la cachoterie ?
Après tout , sauf a considérer qu'on allait tout gagner ( ben voyons) , vaut mieux que ça arrive maintenant le petit coup de moins bien,non ?
Pour ce qui est des effectifs par contre c'est bouclé, même si les 42 permettent de travailler l'avenir , de faire goûter au gâteau cinq ou six Marie Louise.
Et c'est très bien comme ça.
Allez Chevreuse
Christophe Galtier
SupprimerFabien Galthié
Je me disais bien qu'il y avait un mix des deux qui pourrait avoir des conséquences fâcheuses à terme...
Ouf, sortir en 8eme c'est pas possible, ou plutôt en rugby ça veut dire qu'on sort pas de la poule.
Petit détour par le top 14. Amusant de découvrir un journaliste plus barjot que moi dans des calculs et hypothèses farfelues.
RépondreSupprimerhttps://www.rugbyrama.fr/2023/03/08/top-14-brive-dans-les-6-toulouse-neuvieme-clermont-relegue-tout-est-possible-a-six-journees-de-la-fin-11042055.php
Donc je peux me lâcher.
4 matchs contre l'Ecosse dont le 4ème en finale de coupe du monde, c'est possible😉
Hollywood lui tend les bras, au journaliste de Rugbyrama.
SupprimerAvec une imagination aussi débordante, devrait faire un carton.
Au fait, entre happy few, que vous le sachiez (même à Rugbyrama ils le savent pas encore): je serai dans le groupe pour la Coupe du Monde.
Si si. .
Porteur d'eau pendant les matchs.
Avec un solide entraînement en montagne cet été, si je me blesse pas, ça devrait le faire.
Faut juste que je m'emmêle pas les pinceaux dans les consignes et les tees. Et que je me gourre pas d'équipe.
On y croit !!
Dans le couloirs du temps nous séparant de la joute, Jacquouille aura pour seule devise : "Que je trépasse si je fayblis" :-)
SupprimerSi Dieu le veut, la France sera en finale au Stade de France, et je m'écrierai donc: "Montjoie ! Saint Denis !!"
SupprimerOh!
RépondreSupprimerPour ma plus grande peine je vais recopier cent fois le nom du fabuleux Fab sur le sable du Bambou Bar !
Trouvé sympa aussi l'accroche de Rugbyrama, qui salue la compacité du Top 14.
Allez, Brive ( et Nini) au SDF, bordel !
A priori, la prochaine finale de ProD2 ne devrait pas se disputer à) Saint-Denis. Mais on peut prier pour les Corréziens.
Supprimer😂 oh non! mais à mon avis, il y en a 2 qui se dopent dans ce blog: Sergio et Pipiou, juste pour - par exemple - " on n'apercoit même pas un sweet charriot sur le parking"...
RépondreSupprimerC'est bon, on a compris !
Charette, nom de plume. Je respecte. Comme Colette ou Céline ou Stendhal
SupprimerCeux d'entre vous qui n'ont pas lu son "Épopée" sont priés de s'exécuter illico 😉
SupprimerMais bon tu pourrais aussi venir sous ton vrai non, Bruno...
SupprimerCharrette, surtout tu as dopé chariot (in english) avec 2 r.😁
SupprimerEt voilà, suffit qu'y'en ait un qui le dise, et dorénavant, toutes les remarquables performances que je pourrai faire seront entachées d'une irrémédiable suspicion.
SupprimerBon, vu qu'il n'y aura rien à remarquer, y'aura rien non plus à suspicionner...
L'honneur est sauf !
Soit c'est un hommage à la fameuse boite de nuit corrézienne qui a vu s'endiabler des générations de joueurs de tous les clubs de France ; soit au combattant vendéen dont quelqu'un vient de tourner le biopic.. Où alors Charrette a quelque chose à voir avec Victor Hugo ("La charrette fut enlevée par vingt bras. Le vieux Fauchelevent était sauvé. Madeleine se releva. Il était blême, quoique ruisselant de sueur. Ses habits étaient déchirés et couverts de boue. Tous pleuraient. Le vieillard lui baisait les genoux et l'appelait le bon Dieu. Lui, il avait sur le visage je ne sais quelle expression de souffrance heureuse et céleste, et il fixait son œil tranquille sur Javert qui le regardait toujours." (extrait)
SupprimerIl n'y a que toi qui peux nous le dire, Bruno !
SupprimerBruno, je ne sais pas trop, mais question ruby, elle a beau être sweet la charrette, faudrait pas qu'elle colle de trop au cul de nos pioupious (pas Pipiou...lui, il s'entraîne à l'air pur des montagnes) cette colonne infernale; y'a qu'à reluquer le destin de François Athanase 'cause que le regret était dans ses gènes : Contrie et finalement contraint.
SupprimerLe problème des lois et des règlements c'est, qu'à un moment, on s'occupe plus à construire, surveiller, réprimander...qu'à vivre. Et, en règle générale, on ne revient plus jamais en arrière.
RépondreSupprimerBen oui, ne joue pas en Solo, Bruno !
RépondreSupprimerBon, à la satisfaction générale on va passer à autre chose, c'est le mieux.
Tiens, Smith,normal on a bien un Dupont!
(zut, ça me reprend )
Un message des Rosbifs qui chercheraient à jouer un peu?
Allez, il faut s'en réjouir!
Toutafé.
SupprimerJe retire tout ce que j'ai dit précédemment sur Borthwick et son petit périmètre: en choisissant le p'tit Marcus, il l'agrandit.
Bon, tant qu'il ne nous fait pas de misères, la tête à claques...
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerPour un crunch, des anglishes pas très rebelles. Bortwick fait l'humble, Wilkinson encense Dupont/Tamack et les autres aussi, un p'tit Smith au coin du bois et ça fait 18 ans qu'on les a pas remballés dans leur chariot chez eux. Donc gaffe pour une sweet french émotion. Un samedi à la campagne où l'expressionisme EDF devra s'affirmer...
RépondreSupprimerTout a fait d'accord avec toi, Sergio. Ça sent le piège. A priori, si j'en crois mes collègues, la France est favorite. Je voudrais bien savoir pourquoi et comment...
SupprimerSteve Borthwick qui titularise Marcus Smith en 10 contre la France, je ne l'avais pas vue venir, celle-là
RépondreSupprimerEn même temps l'autre Fare-away il enquille tellement qu'il pourrait joueur au PSG, alors....
SupprimerAllez,comme les Bleuets ?
Des p'tits zanglais bien cabossés dans Bath room par des ch'tis français fringants. Correcte correction pour un jeu bien orchestré, bien lié dans ses lignes. Très bons en défense à part sur l'essai anglais et belle attaque emmenée par Gailleton. Quelques bonnes bières bien méritées.
SupprimerSinon, fair play contre french flair qui démarre avec aucune escorte de prévue par l'hôte anglais pour le bus français. Allez, ça sera "Magic bus" quand même...
Ah ah ah, j'adore. Oui, le PSG, on n'en a pas parlé ici et c'est tant mieux tant il n'y a rien à tirer et tellement à en dire. Ce n'est plus un club c'est un cheval de Troie. Ce n'est pas une équipe, c'est un amalgame. Très peu incisif.
Supprimer7 - 42, c'est déjà lourd. Mais que penser du 7 - 82 d'Ecosse - Irlande?
RépondreSupprimerPour être tout à fait transparent ici, puisque ce sont les nouvelles règles.
RépondreSupprimerJ'ai rendu destinataire en privé
https://www.blogger.com/profile/09582899030122269095
d'extraits de courriels que j'ai envoyé d'une part
à https://www.blogger.com/profile/03670563507691067729
nouveau profil de
https://www.blogger.com/profile/17741936524860222542
Et d'autre part à https://www.blogger.com/profile/07688391187704378657
Sans réponses de l'un ou l'autre je suis tout de même heureux de me savoir classé dans le rang des "journalistes de comptoir" version mouton.
Mais écrire dans un commentaire qui sera publié et lu "Il est possible que tu ne puisses lire cet écrit car ici on ne badine pas avec les erzasts et les moutons l'ont bien compris." c'est absolument surréaliste.
Soit il ne sera pas publié et il sera remplacé par un
"Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog."
Soit il est publié et nous assistons à des "pratiques sado-masochistes plumitives d'un nouveau genre".
Je n'ai ni le talent de Pom ou de Ridan (https://sylviesaliceti.com/heureux-qui-comme-ulysse-joachim-du-bellay-par-ridan/) pour l'adaptation, sinon je me serais bien emparé de la chanson "Je t'aime moi non plus" de Serge Gainsbourg pour illustrer ce mano à mano, ou les rôles entre matador et toro s'inversent tour à tour. Ils posent eux même les banderilles d'ailleurs et moi j'attends la mise à mort, mais elle ne vient jamais.
Une triste mise à mort, puisque Richard a le privilège de tenir l'épée de ce blog, serait la disparition de tous les posts du pseudo Tautor. Avouons que ce serait moche...Mais n'est-ce pas le toro qui semble réclamer la mise à mort à moins que ce soit le matador qui l'attend?
"En espagnol l’expression « être le taureau qui a tué Manolete » («ser el toro que mató a Manolete») indique que de façon exagérée on accuse quelqu’un de tous les malheurs qui arrivent" (Wikipedia).
Qui prendra donc le pseudo Islero?
En tout cas, de toutes les façons je préfère le côté café du commerce du blog que son côté café philo ou café poétique.
Ou plus précisément je me proclame avec tautorité représentant de ceux qui n'ont rien à dire et ne disent rien mais n'en pensent pas moins, et de ceux qui ont des choses à dire et qui feraient mieux de la fermer selon la "police intellectuelle" de ce blog.
Désolé , mais je n'ai rien compris a ton intervention sur Tautor et charette , c'est leur décision d'écrire sous pseudo , je la respecte et je m'en fout à la fois , seul le "boss" peut décider du fonctionnement de son blog , nous on fait comme on veut , on vient ou on ne vient pas si cela nous plait ou non !
SupprimerCher Marc, Christophe décryptait, et plutôt finement, le retour du compte de Tautor, précédé de ses initiales (comme un regret de ne pas aller plus loin) signalant qu'il est parti plus contrit que contraint - encore que - et la perspective que Charrette (véritable nom d'auteur à la façon de Stendhal, Céline, Ferrante et d'autres) envisage de rester dans ce blog sans avoir besoin de tomber le masque, puisque lui c'est la plume.
SupprimerSi j'ai donc bien compris, Charette est l'auteur de ce livre
RépondreSupprimerhttps://www.edilivre.com/epopee-charrette.html/
Lire cet interview de Richard Escot où il en parle à la fin.
https://ecrirelesport.wixsite.com/ecrire-le-sport/single-post/entretien-richard-escot-pour-une-m%C3%AAl%C3%A9e-litt%C3%A9raire
Donc puisque le sujet du pseudo a provoqué une poussée d'hormones variées sur ce blog, je serais très honoré que Charette puisse expliquer pourquoi il a choisi un pseudo, pourquoi celui là et en quoi il se sentirait mieux ou plus mal sur ce blog s'il était obligé de publier sous son vrai nom.
Bruno donc, le nom devrait nous être dévoilé bientôt si Bruno ne le fait pas rapidement, car l'arbitre ici est impitoyable, cf article 49-3 du règlement du club house😉
Cela a dû t'échapper, Christophe, mais il y a même une chronique entièrement consacrée à "Épopée", de Charrette, aka Bruno S.
Supprimerhttps://www.blogger.com/blog/post/edit/2402373547570339549/646079548006561685
Elle a longtemps été l'une des plus lues de Côte Ouvert. Bruno m'avait informé que les ventes de son ouvrage avaient grimpées. J'attends toujours une bouteille de grand cru de Bordeaux pour fêter ça... ;-)
SupprimerD'ailleurs, son nom est cité à la fin de ma chronique, preuve que les pseudos sont des masques assez transparents.
SupprimerHello les blagueurs,
RépondreSupprimerAppétissant crunch tout à l'heure, hein, on en attend beaucoup d'un côté du terrain comme de l'autre, j'espère qu'ils ne vont pas nous le jouer dépossession à grands coups de tatane pour ensuite, las du ping-pong, recentrer tout le jeu au milieu en collisions petits tas gros tas et enterrement en grandes pompes du jeu donc promis.
Suis un peu perdu tout dans ces jets de maux, de mots, entre pro-pseudos et anti-pseudo, parsemés de jugements qu'on dirait un article du critique cinéma de Libération, à la fin de la lecture on ne sait plus trop de quoi donc s'agissait-il.
Au final, si l'on se manifeste ici avec chacun ses différences et si le cap'tain de la barquasse dans laquelle on est monté sans contrainte plussoie aux commentaires, c'est bien que l'on y trouve son compte, après tout on est libre aussi de passer par dessus bord, un bon trempage plutôt que le mal de mer si certains préfèrent, go go go !!!!!!
Un p'tit prono pour c't'après'm, EDF devant, quand je vois le ciel d'ici, sais pas celui sur le Temple, il pourrait bien tenir un rôle majeur dans le contenu du match et refermer un jeu qui au tâmis du rugby pro n'est déjà jamais bien aéré, à voir.
Sur les conseils de JL ça y est 2 billets pour la finale TOP.14 dans la poche, si CAB pas là, et bien pas glop, protocole commotion carton rouge et citation, manquerai pas de faire des commentaires désobligeants devant ce mercantilisme outrancier, quitte à utiliser un pseudo, sur les bords de l'Yvette ça va gronder.
Allez la FRANCE, c'est beau ce nom quand-même LA FRANCE, j'aime.
prono ; 45 a 31 pour les anglais ; ils ne sont pas très bons mais aiment surtout nous emmerder !!!
SupprimerL'important c'est qu'il n'y ait pas de dépôt session française dans le sweet chariot anglishe...
SupprimerJe ne serais pas aussi enthousiaste que toi, Marc, sur le nombre de points inscrits (76) puisque les coaches mettent l'accent sur la défense, mais un bon 25-21 bien frustrant pour la Rose, avec une fin de match à suspense, les Coqs allant chercher mais sans y parvenir l'essai de la victoire dans un Twickenham qui hurle Swing Low Sweet Chariot...
SupprimerTiens, pour ajouter au débat de ces jours derniers, ne résiste pas à appeler à la rescousse l'ami Blondin, qui suavement nous distille toujours la bonne parole et invite à remettre une tournée et fissa :" ... Il avait officiellement cessé de boire, ne s’autorisant que quelques vermouths sous un pseudonyme ..."
RépondreSupprimerExcellent - tout comme ton commentaire plus haut...Chacun est libre de s'embarquer ou pas dans ce blog.
SupprimerMais en suivant le règlement de bord.
SupprimerMais pas d’inquiétude, tout cela va se calmer. Ce blog existe depuis août 2011 et il en a vu d'autres. Des premiers commentateurs, il ne reste personne. Les blogueurs vont et viennent - c'est ce qui est enrichissant en terme de ton et de contenu - mais le cap reste le même.
SupprimerCher Christophe, j'ai oublié de te remercier, je le fais donc deux fois ce jour, pour la vidéo de 1977. TOut est revenu encore plus clair dans ma mémoire. JPR Williams, Gerald, le Blond, Fenwick, Bennett, Edwards, Davis... Quel bonheur ! Et ces relances, ces gestes techniques... Magnifique... Merci encore.
RépondreSupprimerLions britanniques et irlandais : Irvine - P. Squires, Fenwick, McGeechan, G. Evans - (o) Bennett, (m) D. Morgan - Duggan, Neary, D. Quinnell - Brown, Beaumont - Price, Wheeler, Cotton.
SupprimerBarbarians : JPR Williams - G. Davies, Gravell, C. Kent, McKay - (o) D. Richards, (m) G. Edwards - Skrela, Bastiat, Rives - Wheel, B. Wilkinson - Knill, Madsen, Nelmes.
Victoire des Lions, 23-14.
Ah, ce numéro douze des Barbarians, Charles Kent, chaussettes baissées comme un Fouroux des centres... Médecin de son état, capitaine d'Oxford, international anglais quelques mois plus tôt. Décédé à 51 ans lors d'une sortie à vélo avec des potes. Le sport ne conserve pas aussi bien qu'on le dit.
SupprimerJ'ai cru dès les bancs de la communale que Charette c'était un chouan, façon image d'Epinal.
RépondreSupprimerMais je sais maintenant, sous les tropiques qu'il s' agit d'un liquide incolore mais pas inodore,vendu dans des "piles plates", et imbuvable pour le non natif en l'état!
Allez, ça s' arrange, heureusement.
Excellent. Charrette a plus d'une histoire... Pourquoi "charrette" ? Rhum paysan tiré au cul de la charrette ?
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RépondreSupprimerAllez Pépé qui es tu ? Une plume comme Charette, où tu finis plumes et goudron ?
SupprimerLa marche est là entre coqs et coquelicots et ne se franchit pas forcément comme ça. A part des Masters comme Dupont, Tamack, Jalibert, Baille,... Bamba hoquète. Un Nuchi excellent hier risque d'avoir des difficultés plus haut, comme le p'tit dernier Tuilagui, ,1,93 m pour un 2e latte et déjà 147 kg (trop lourd). C passe en U20, ça peut casser plus haut.
Je crois que PetP n'a pas très bien compris la règle du jeu.
SupprimerA m'en donner il faudrait cesser de déconner, et à me griller, autant aller jusqu'au bout
RépondreSupprimer"Mais en suivant le règlement de bord."
Quel règlement, celui que le capitaine fixe est change en cours de partie? Comme si en plein tournoi et à six mois de la coupe du monde on changeait la façon d'arbitrer les rucks.
Tu lances une vraie, fausse discussion, tu laisses entendre que nous avons jusqu'à la coupe du monde pour décider si à titre individuel on accepte la règle, et je n'en était pas à la fin de ma réflexion que tchic tchac balance ton post
Voilà le nom de Tautor en pâture , sans se poser la question de savoir si cela ne pourrait pas nuire à ses projets professionnels .
Mais Tautor est assez grand pour parler en son nom, si je puis dire
Perso, cela est sommes toute futile, mais en tant que fils de prof d'EPS, j'ai passé mon enfance à être balancé par ses collègues, dès que je faisais une cagade
Alors en écrivant sous un pseudo, je trouvais une forme de sérénité
Et puis à Toulouse, le monde est petit, et à une époque la frontière entre prof d'EPS et le rugby était mince. Alors que mon père, ancien instit se formait pour être professeur d'EPS en collège, une nouveauté à l'époque je crois, d'autres à quelques encablures, comme, Bru, Garuet et d'autres se consacraient corps et âmes au rugby
Bon match à tout(e)s
Frédéric BOY
Frédéric,
SupprimerAh ah, bien tourné. Tu n'es pas grillé, tu es rayonnant. Bon, ici, il n'y a pas de premier ou de deuxième mi-temps mais un continuum. Pas mal, l'analogie avec les rucks. Mais attendre le Mondial me paraissait un temps trop long. Et je vois que tout le monde s'est adapté sauf Tautor.
Quant à jeter son nom en pâture, faudrait pas non plus exagérer, "à m'en donné", Tautor c'est pas Saint Blandine ;-) Qu'il soit impliqué dans le rugby à titre professionnel - comme moi d'ailleurs - donne au contraire du poids à ses propos, ses opinions, ses avis, ses informations. Dont il savait nous faire profiter.
Cela dit, on ne va pas passer la nuit à évoquer son cas...
Te concernant, trouver de la sérénité sous pseudo peut se comprendre. Toulouse est un petit monde, mais le monde du rugby est tout petit, lui aussi. Et puis quand on reste bienveillant, on peut tout dire. écrire à visage découvert, avec son vrai nom, implique qu'on assume ses opinions. Le pseudo est une facilité que je n'apprécie plus. Nous ne sommes pas un forum de site, ici c'est Côte Ouvert, un blog un peu à part, où l'échange est roi, l'échange est riche.
Bon match, Frédéric
Je le répète, on ne peut pas être dans le système et le critiquer avec un masque en faisant croire qu'on est dehors et rebelle. Que je sache, ni Christian Badin, ni Philippe Mothe, ni André Buonomo, qui sont eux aussi impliqués dans le rugby, ne se sont cachés derrière un pseudo et c'est cela que j'aime. D'autres, comme Jacky Leterre, vont nous rejoindre...
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SupprimerJe confonds peut être Garuet et Gabernet
RépondreSupprimerOui, Garuche dans la ruche et Gabernet prof EPS à Muret.
SupprimerAprès, concernant ce blog, ca ne reste que de la contribution sur le sport. Vrai/fausse identité s'il faut se cacher pour ne pas se faire dézinguer par un cadre professionnel. Sauf à raconter un tas de stupidités, du tchic au tchac (en évitant le tchin...), ca devrait même être plutôt valorisant. Mais j'ai pas fait dans les hères haches...
Exactement ça, Sergio...
SupprimerHello Richard,
RépondreSupprimerPréambule :
Attention le bon lien à transmettre vers la chronique "rien que l'épopée" du 7 juin 2021 est celui là :
https://coteouvert.blogspot.com/2021/06/rien-que-lepopee.html
Sans prendre garde tu as transmis le lien que seul toi tu peux ouvrir, pour éditer ou modifier l'article.
Comme tu le dis si bien "ça va, ça vient" et donc certaines chroniques je ne les ai jamais lues.
Sur ton outil de gestion tu sembles avoir des données intéressantes. Le nombre de "connexions" à une chronique étant parfois plus révélateur que le nombre de commentaires publiés, parfois résultat d'une activité importante de quelques "joueurs" sur un sujet "brûlant" en rapport avec la chronique ou pas vraiment.
Mais sur cette chronique là qui fait donc partie de toutes celles que je n'ai pas lues mais que je viens de lire, je trouve des éléments "amusants" à recontextualiser aujourd'hui.
Après les 5 paragraphes (très beaux) on pouvait trouver déjà des discussions au sujet de Fickou:
"...ce qui est plus viscéral que d'être pro ou anti Fickou qui, de toute façon, est natif de La Seyne. "
"...SF favori ne serait ce que pour Mr Fickou, troubadour et mercenaire, qui a besoin d'une petite fessée pour comprendre que le rugby c'est une équipe et qu'on va au bout avec."
A cette époque Richard, tu pouvais y écrire
"Très beau texte, Tautor"
Et ne pas "bouger un cil" quand Anonyme commentait beaucoup.
Et oh surprise au lieu de lui rappeler les règles comme tu l'as si souvent fait ("bienvenue ici on se présente" ou un truc équivalent) tu lui répondais gentiment
"Ici aussi, c'est club-house. On entre, on sort, on part, on revient, on paye sa tournée, on remet la sienne. On se cale dans un fauteuil, on s'endort dans la canapé, on regarde les trophées. C'est Côté Ouvert."
C'est cool et bienveillant.
Depuis, comme tu en as parfaitement le droit, tu as durci le règlement. Et probablement que c'était quelqu'un que tu avais identifié et qui avait du mal à comprendre comment se créer un compte...
Mais dans ce cas là, il suffit de signer comme Lulure l'a fait au bas de son commentaire, au moment où je finissais ce texte et où je faisais référence aux rucks, plus bas, sans l'avoir lu.
Ah Lulure, ces connections dûes au hasard.
Si je devais "rechoisir" un pseudo pour ici ce serait , Hasjar. Clin d'œil à Romain.
C'est bien en tout cas que tu te sois expliqué clairement en marquant ta singularité.
Ça va, ça vient... Donc forcément soit les joueurs vont s'adapter aux nouveaux arbitrages des rucks, soit le jeu va évoluer, soit de nouveaux joueurs plus adaptés à ces règles vont apparaître sur le gazon. Ou un mix des trois solutions.
Au fait comme je n'ai pas tout suivi quelqu'un, l'intéressé peut-être , peut-il me dire sous quel pseudo écrivait Jacques Beaudry, ou bien si c'est justement un nouveau qui pratique un jeu qui ne nécessite pas de récupérer les ballons dans les rucks?
Et sinon promis Richard, je ne ferai plus jamais référence au sujet qui nous a "agité".
Pour éviter aussi que tu écrives bientôt
"Christophe je ne Tautor ise plus de revenir sans cesse sur ce sujet qui est définitivement réglé pour moi"😉
Merci d'arrêter, Christophe.
SupprimerRICHARD a créé un beau produit original varié mais pourquoi cet acharnement à réfuter les pseudo si on lui fait déguster de bonnes bouteilles de vin avec de fausses étiquettes va t il moins apprécié ces vins alors sur ce bloc seul intéressé la teneur des propos surtout que je n'aies jamais lu de propos malsains ou insultants voilà ma plaidoirie la débauche d envie des Italiens n est pas payee
RépondreSupprimerAllan, tu peux retirer ton pseudo stp ? Tu n'arrives pas à comprendre ou tu fais exprès ? Franchement, j'ai autre chose à faire que d'insister pour que vous compreniez que je ne veux plus de pseudos sur mon blog. C'est pas si compliqué, quand même. Si ?
SupprimerDernière touche italienne perdue tout le symbole d'une équipe qui n'y arrive malgré une flagrante bonne volonté. Dommage pour eux car ils me semblent dans la vérité. Ils jouent bien dans l'axe, ont réussi quelques combinaisons qui ont troué les gallois, mais erreurs de jugement, faute de mains ont enterré les affaires. Des choses très intéressantes dans l'axe, la prise d'intervalle qui ont fait des différences mais inabouties. Et laissent les italiens avec leurs pâtes mais sans la sauce tomate et le parmesan.
RépondreSupprimerJ'ai rarement vu une équipe s'autodétruire en moins de dix minutes en match international... Un manque de maîtrise récurrent. Bizarre quand on connait la rigueur des footeux italiens pour la défense et la structure tactique.
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RépondreSupprimerEt si on parlait un peu du Crunch ? Parce que franchement, ce match porte en lui assez de ressources dramatiques pour nous occuper la journée, non ?
RépondreSupprimerEt quelle entame bleue ! Extraordinaire...
SupprimerJ'attends la réaction anglaise...
SupprimerEt elle ne vient pas. 17-0 à la demi-heure... Oups. Quelle impression de maîtrise et de puissance...
SupprimerUne mi-temps quasiment parfaite: un oubli de Baille dans les cinq premières minutes et une touche raté de Marchand dans les cinq dernières. C'est tout! Et dans un calme et une sérénité totale. Des Anglais complètement bloqués. Curieux.
SupprimerAttendons la seconde.
27-3 à Twickenham en une période, c'est inouï
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RépondreSupprimerDe anglais saisis passés à la poêle. Le temple est investi. Un peu dans le sens des U20. Insistance discutatoire de Jenge avec l'arbitre.
RépondreSupprimerA voir sur la 2e mt si l'EDF maintien k pression.
Elle est excellente en défense, cette equipe de France
SupprimerEssai de Steward et maintenant il faut tenir, avec un écart de 17 points...
SupprimerComment Ramos, après une telle action -qu'il s'est créé lui même- a pu oublier Dupont et Penaud sur sa droite pour taper au pied? Essai quand même; mais de raccroc!
RépondreSupprimerOui, incompréhensible. L'homme du match, c'est soit Flament soit Danty !
SupprimerSoit Ollivon.
SupprimerAussi.
SupprimerUn staff incrédule, des joueurs qui ne savent plus où ils en sont, les pétales de la Rose envolés, on perdu le sweet chariot, dis Eddy on fait comment, une EDF fringante à part le début de 2e mt et des anglais en grande faiblesse qui prennent 90 pts entre U20 et seniors. De quoi voir venir mais faudra redescendre de ce nuage. Flament aurait dû être nommé meilleur joueur. Tamack encore discret. Peu importe de gagner ce tournoi. L'important c'est d'avoir montré qu'ils étaient là. Car en Irlande il n'y a pas eu carton non plus.
RépondreSupprimerEt maintenant, nous allons encourager l'Ecosse demain dimanche à 16 heures avec quelques bonnes rasades de single malt.
Supprimerje vote Ledaig dix ans d'âge.
SupprimerSuis sous le choc : écrire quasiment en direct le compte-rendu d'un tel match, c'est exténuant. Les mots sont faibles, l'émotion trop grande. Bon, jamais trop quand on peut humilier le XV de la Rose. Du jamais vu. 43 points d'écart. Un monde. Je n'ai pas le souvenir, depuis 1984 que je suis journaliste, d'avoir assisté à un tel triomphe. Même 1999 à Twickers face aux All Blacks n'avait pas cet aspect inéluctable, totalement spectaculaire de bout en bout, ainsi dominé. Whaou...
RépondreSupprimerUn 51 à 0 à Wembley contre les Gallois avec un Thomas Castaignède exceptionnel...Et avec Ibanez, Galthié et tous les autres.
RépondreSupprimerVrai
SupprimerMais les Gallois jouaient à l'extérieur ah ah
SupprimerJ'attaque une bière.
RépondreSupprimerAprès un crunch délicieux, ça devrait le faire ! Mais toujours tributaire du trèfle. On peut parler d'un match abouti en défense, en 1ère main et en contre attaque y compris le coup de pied par dessus la défense ou en profondeur. Ramos, homme du match mais aussi Flament omniprésent sans parler de Dupont ovationné par Twickenham. Avec une telle équipe, gagner la coupe du Monde n'est plus un rêve mais une réalité qui se précise. Attendons patiemment le fruit des vendanges. Côté anglais, bien pire depuis le départ de Jones, comme un chant du cygne ou la rétrogradation de certains clubs doit avoir son feedback. Je n'ose en dire plus vu le contexte. Belle soirée.
RépondreSupprimerWelcome Philippe
SupprimerAllez la FRANCE, c'est beau ce nom quand-même LA FRANCE, vive LE RUGBY, c'est beau quand-même LE RUGBY, et alors si Rugby et EDF dansent et virevoltent au rythme de cet après-midi, j'aime, glop glop !!!!!!
RépondreSupprimerJ'ai tout bien aimé dans l'animation du jeu par les bleus, tout, y-compris les scories genre Baille qui coffre un ballon d'essai ou Ramos qui perd ses ping-pong, et même je vais vous dire j'ai encore trouvé que NTK ne rayonnait pas et puis à la réflexion autour de lui on s'illustre à son extérieur ou au ras, jeu au pied pertinent, ça coince pas à l'ouverture, belle volé en l'air pour le second essai de Flament, donc mea culpa, Flament pffffuuuiii que dire !!!!!!!!!!!
Il est vrai qu'on reste un peu sur le c.. quant à l'issue de ce crunch. Un pudding, mais lourd, indigeste. Une forêt noire légère aérienne. Des mecs agissant sans pseudos, Batmen à visage découvert (scusez, ça m'a échappé) pour tordre l'anglais dans son temple. On en redemande même si on en a encore au coin des lèvres. En fait, un peu la même trame que les U20. Bon le dernier essai, un dégagement a la sauvette de Fickou lobant un 3e ligne a priori, et Penaud (pas tant que ça) en renard embusqué pour récupérer la gonfle et enfler le score en cruelle désillusion anglaise.
RépondreSupprimerLaissons faire le désordre des choses. Preum's ou deuze, la manoeuvre c'est bien de gagner dans 6 mois, non ?
Très beau plateau sur France Info et analyses croisées résumant à peu près tout. Que des pointures pour une fois.
RépondreSupprimerMerci camarade
SupprimerCar le cow boy ne sait pas lire
RépondreSupprimerNe sait pas écrire
Oui mais il sait chanter
Veuillez m'excuser mais l'émotion me porte toujours vers mon Papa , qui adorait d'abord Yves Montant et après les Bleus quand ils battaient l'Angleterre.
Et puis vers mes vieux potes de Dorking ou Rosslyn Park, qui doivent être bien tristes.
Parce que l'Angleterre c'est le Rugby, merde, et le Rugby c'est pas fait pour en ramasser 50 a la maison, et quelle maison, Twick, un rien!
Passée l'émotion du Fabien, légitime ,réconfortante, humaine, quelle leçon a retenir pour ce match?
Allez,on verra ça demain.
Je ne voudrais pas jouer les rabats joies , mais j'aurais préféré un score de 53 a 48 qui aurait donné plus de gout a la victoire plutôt que 53 à 10 qui démontre une faiblesse réelle des anglais ...comment tirer des leçons de ce match ? je lis des commentaires a droite et a gauche , prêt pour la coupe du monde ...surement mais est ce que nos adversaires sauront aussi faibles ? A mes yeux la défaite contre l’Irlande donne plus d'enseignements que cette victoire historique...mais il ne faut pas bouder son plaisir car seule la vue des spectateurs quittant le stade a été jouissive , jamais vu avant hier ....Je garde en mémoire le 37 à 12 de 1972 qui fut pour moi le match le plus abouti jamais vu contre des anglais qui n'étaient pas là en victimes expiatoires mais bien conquérants mais ne pouvant rien devant une EDF magistrale qui avait joué un rugby merveilleux , le match contre Galles dira si cette victoire était celle d'une équipe invincible ou des anglais absents ...ce tournoi est de grande qualité car chaque match est une finale en soi ; Irlande Ecosse , Galles
RépondreSupprimerL'EDF a été bonne à l'impact et dans l'axe avec un jeu bien alterné, en se nourrissant de la faiblesse ou des erreurs anglaises. Ce match démontre juste que l'EDF est bien sur la bonne voie et en progression. Après, que l'adversaire n'ait pas été à la hauteur, c'est un autre problème à résoudre par qui vous savez. Il est bien aussi de constater que la succession est en cours d'habilitation. Des pousses qui doivent donner de quoi continuer à moudre le bon grain. L' important étant de maintenir le cap.
SupprimerSans prier pour une victoire écossaise reste à voir comment le chardon va se comporter contre l'ail riche. Bien tourbé ou pas ou s'ils vont se prendre un triple cask dans leur distillerie de Murayfield, et ça ça peut-être intéressant à la dégustation.
Tu as raison et j'ai vu de belles attaques en première main , enfin ! est ce du a une défense absente ou a une volonté enfin de jouer
SupprimerJ'ai trouvé qu'il y avait la volonté de jouer tous les coups, de faire des passes et d'avancer très collectivement dès que le choix initial du partena
Supprimer...... ire était fait, le soutien n'a jamais manqué, se faire des passes dans les lignes adverses un crédo, sans occulter les soucis des autres, plutôt dire que pour les Anglais ça allait beaucoup beaucoup trop vite, trop fort, trop loin, sur le match pas invités à la table, et c'est dommage pac'que plus de répondant aurait sans doute mis des épices dans l'affaire.
RépondreSupprimerAlle, au souffle des kilts et cornemuses, bon vent à Russel and co
Après avoir revu le match au calme (hier soir avec les copains le pub était bien bruyant et l'écran pas assez grand pour mes vieux yeux), ce qui me frappe c'est qu'en plus tout n'a pas été parfait; des fautes de main, de jeu, un jeu au pied abusif parfois, bref, pas mal d'occasions de briser le rythme et de remettre les Anglais dans le match. Mais non, en face de la pauvreté du jeu anglais (qui n'ont marqué qu'au retour des vestiaires, pendant les 5 mn où ils ont eu la possibilité de mettre du rythme et d'enchaîner) l'efficacité française a été extraordinaire, que ce soit en défense ou offensivement, et explique l'écart au score.
RépondreSupprimer3ème ligne royale, Aldritt au plus haut, Flament immense, Danty dominant le centre du terrain (et mon pote Aldegheri calant bien la mêlée côté droit). Et qu'est-ce que ça aurait été sans pluie sur un terrain sec...
En tous cas, y'a message: voilà à quel niveau de rythme et d'intensité on peut monter. Pour la Coupe du Monde, tout le monde est averti...
En attendant, je sors le Caol Ila pour tout à l'heure, en espérant que le match d'hier soir ait donné des fourmis dans les jambes écossaises et irlandaises.
a chacun son waterloo les anglais ont perdu leur reine et leur rugby
RépondreSupprimerils n ont joue que 10 mn en2eme mitemps
apres le brexit le rugbyxit
quant au match un debut des tricolores tres surprenant attaque des 22m du rythme quelle belle entree puis soudain reprise du ping pong j etais en colere et apres enfin des combinaisons de 3/4 et ce Flament survolant les debats bien place adroit et finisseur
et qui prechait qu attaquer en premiere main etait revolu
et que dire de ces anglais effectuant tous les renvois au meme endroit et Olivon brillat et a laderniere minute l ailier anglais jouait encore au ping pong
dans les pubs ils ont du boire des pintes de larmes ces gentlemens
Le rugby français excite.
RépondreSupprimerQuant à Flament, LA perle internationale des avants. LE Vrai 2e ligne moderne qui peut jouer 3e l. aussi.
Né parisien, ses armes en Belgique puis affinage anglais...🤔, pour revenir in France. Merci à tous... Et là un dernier p'tit cask en fût toulousain histoire de dire que... pour être servi à l'international, sec, nature, besoin de rien, juste de la confiance pour fleurir au milieu du gazon. Itoje se revoit 5 plus tôt...
Flament, oui. Cros aussi.
SupprimerA-t-on vengé Jeanne d'Arc, Waterloo et Trafalgar d'un seul coup ?
RépondreSupprimerSurtout pas!
SupprimerJuste du sport, un truc qui réunit les gens.
Allez voir a trouver un autre head coatch, quand même, les blancs!
Je ne sais Richard ce que tu nous réserves ici suite à ce match.
RépondreSupprimerMoi en tout cas j'ai commis un article que je vous épargne en copie ici (trop de liens à ouvrir).
"Mars 2013, 10 ans déjà, chronique(s) de Richard Escot"
Je suis un fidèle historien des écrits de Richard Escot 😏 et c'est donc naturellement que j'ai cherché dans les archives de son blog, mais aussi dans son dernier opus et sur internet (Merci Marc Germain, un autre article en préparation).
https://lerugbyestunjeu.blogspot.com/2023/03/mars-2013-10-ans-deja-chroniques-de.html
Mon blog commence le 11 (pas certain de la date exacte) août 2011 à la demande de L'Equipe.
SupprimerEt coupez les têtes qui dépassent
Supprimer"C’est toujours comme ça avant les Coupes du monde. Parce qu’il faut choisir trente joueurs et s’y tenir durant toute la compétition. Parce qu’il faut trancher et qu’il n’y a que le coach, Marc Lièvremont en l’occurrence, pour savoir ce qui se passe dans la tête de John Malkowich. C’est toujours comme ça : avec trente noms, les choix et les absences, les chouchous et les exilés, se dégage le profil d’une équipe et d’un jeu. En coupant les têtes qui dépassent, celles de Florian Fritz et Yannick Jauzion au centre, Julien Dupuy à la mêlée, Clément Poitrenaud à l’arrière, Julien Malzieu à l’aile, Sébastien Chabal en deuxième ligne et maintenant Sylvain Marconnet en pilier, l’entraîneur national dessine en creux un quinze de France qui est tout sauf à son image. On connaît Lièvremont impulsif, bouillant, capable d’éruption épidermique, de coups de gueule et de coups de râpe, d’auto-critique abrasive et d’insatisfaction chronique, alors qu’on voit sur le terrain et en dehors une équipe sage, appliquée, souriante, décontractée, une équipe au jeu un peu lisse - trop -, sans relief particulier. Sans tempérament, pourrait-on même ajouter, pour forcer le trait. Les énormes claques collectionnées sous l’ère Lièvremont (Nouvelle-Zélande en novembre 2009, Afrique du sud et Argentine en juin 2010, Australie en novembre 2010 et Italie en mars 2011), en tendant à chaque fois la joie droite, ont fini par désespérer un grand nombre d’amoureux du quinze de France, aujourd’hui transis, et ce ne sont pas les deux courts succès obtenus en mois d’août face à une petite équipe d’Irlande qui vont réchauffer le cœur des aficionados. Il suffit d’aller visiter les sites et les blogs, de lire les twitts et les commentaires sur la toile pour se faire une idée de ce que les tribunes pense du coach bleu. On lui reproche de n’avoir pas su donner, en quatre ans, un début d’identité à son équipe. Le départ pour le moins inattendu de Sylvain Marconnet, irréprochable pilier polyvalent, caractère trempé et expérience en béton armé, au profit d’un pilier blessé de longue date qui n’offre aucune garantie de tenir deux mois sur les terrains gras au pays du long Nuage Blanc, ajoute au désamour."
16 août 2011
SupprimerRichard,
RépondreSupprimerUn peu "d'édition fiction". Janvier 2025, Solar et L'équipe te proposent de réfléchir à une réédition de l'Anthologie des bleus, actualisée. Ah, ces pages 218 à 255, à l'heure d'internet elles gardent pourtant tout leur intérêt.
Après ce match d'hier, les trois matchs clés qui ont permis de soulever la coupe du monde, le grand chelem qui a suivi en 2024 te voilà devant un choix compliqué.
Est ce que tu en restes à une partie "Dix matchs mythiques" ou est ce que tu négocies d'en rajouter deux ou trois?
Plus particulièrement, car là ce n'est pas de la fiction ; est-ce que celui d'hier viendra tenir compagnie à celui du 26 février 1972?
Ah, rééditer l'Anthologie, ce n'est malheureusement pas au programme. Après la Coupe du monde, peut-être, pour Noël 2023. Enlever un match du Top 10 ? Lequel ? Pour y mettre celui de Twickenham ? Et si nous sommes champions du monde ? On passe au Top 15 ? c'est la meilleure solution. je préfère ajouter que retrancher...
SupprimerJe vois mal comment les Ecossais pourraient gagner.
RépondreSupprimerSans doute comme çà....
RépondreSupprimerBon, et bien je suis assez surpris de ce match. Serré, beau, intense. Une impression d'Irlandais un peu "vieux". Il faut tenir compte du vent, assez fort paraît-il...Si c'est la cas, Sexton va arroser et les Irlandais vont dominer. Mais les Ecossais sont assez "fous" pour attaquer de loin. J'avoue être bien perplexe.
RépondreSupprimerL air refroidit l ardeur des kiltmans
RépondreSupprimerÇa va être compliqué de remporter ce Tournoi. Et plus compliqué pour les Anglais d'éviter une deuxième déroute de suite, à Dublin celle-là... Grand Chelem irlandais, donc...
RépondreSupprimerMatch âpre en 1re mt où les écossais n'arrivent pas à tirer les marrons du feu. Et le feu qui s'éteint inexorablement en 2e période. Comme le Loch Ness, on les a cherché. Pas inspirés derrière à l'image de Van der verve aussi en difficulté en défense, et un petit Russel, l'Irlande joue à sa main en 2e mt malgré la casse subie (4 joueurs). l'Italie si elle maîtrise mieux son jeu peut venir chercher quelque chose en Écosse.
RépondreSupprimerDernière
RépondreSupprimerHier après-midi fut torride entre la maître des lieux et moi même au point de se détester ce qui peut arriver dans la vie. Effectivement, je ne partage pas cette autorité naturelle pour convenance personnelle sans demander aux contributeurs du blog s'ils souhaitaient évoluer vers une formule plus moderne, plus transparente, plus too much proche du think tank. Tout le monde sait qu'en club chacun a un sobriquet mais le monde du paraitre n'en a que faire. Ce qui manque dans cette façon de faire c'est de la courtoisie attendue, un esprit d'équipe revendiqué. Je suis là à écrire depuis septembre 2012 avec plus ou moins de bonheur ou de lumière. Qu'importe. Mais avant de clôturer, comme sur un terrain de rugby, je viens serrer la main de mes adversaires, leur souhaitant bonne route, bonne esprit et bonne plume. En attente de greffe comme pour la vigne, Richard, je te présente tout mon respect pour avoir su colliger les différences de caractère qui nous ont opposé parfois jusqu'à me détester. Je garde le meilleur la rencontre des Quinconces, Treignac, Uzerche, les puros, la corrida, le regard sur "El Levante" et ton déplacement à Grenoble. Le reste n'est que imbécilités, gamineries et fautes au sol dignes de mauvais joueurs. J'ai passé ici un peu plus de 10 ans à avoir un regard transversal sur le rugby, j'ai apprécié les plumes diverses et variées magnifiant aux heures torrides l'esprit de "Côté Ouvert". Certains savent que l'ail ça pique et que ça se ramasse à la main mais aussi qu'on le partage amicalement sur une aire d'autoroute avec un bon foie gras sans autre additif. Certains s'en vont dans les brumes de la vie, d'autres arrivent comme l'hirondelle pour faire un nid, moi je vous quitte comme le laboureur d'un geste auguste du semeur. Mes auteurs, vous en connaissez certains, de l'ovale vous en connaissez plus que moi, sachez le faire fructifier car l'encre se tarit et la plume a perdu son goût d'antan. J'ai devant moi un original de 1864, offert sur "un traité de diagnostic médical" ou l'auteur, Professeur de Médecine, se consacre à la Thérapeutique, but réel et fin utile du Diagnostic selon ses termes. Il résulte que la recherche et la création des signes demandent deux choses successives : l'une à recueillir un fait purement et simplement et l'autre à l'interpréter. Et si le rugby c'était celà. Je terminerai par Jean Bernard "Ajouter de la vie aux jours lorsqu'on ne peut plus ajouter de jours à la vie." Ne dites rien, n'écrivez rien, par respect et par Amour du rugby. Merci.
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SupprimerL'Ecosse s'est enfin extirpée du ventre mou et devient crédible.
RépondreSupprimerTant mieux, même si ça reste, et restera un peu court pour tutoyer les sommets.
L'Irlande fonce tout droit vers un chelem plus que mérité, presque facile , rien de plus logique.
Ils attendront les sudistes sereinement , peut-être trop tant ils semblent à leur apogée, un peu tôt.
Les surnommés d'en bas qui seront au niveau, n'en doutez pas.
Et nos petits Bleus dans tout ça ?
Tout va bien merci,ce tournoi devrait finalement être bien négocié, la confiance pas entamée, les axes de progression identifiés, on peut être raisonnablement optimiste, non ?
Ce n'est pas la balade londonienne qui devrait meubler le tableau noir ces prochaines semaines, mais l'important n'est pas la.
Un tel triomphe, au bon moment, au bon endroit et contre le bon adversaire c'est peut-être bien l'acte fondateur d'un groupe, non, déjà fait, d'une équipe alors, non plus, d'une confrérie plutôt , presque une fratrie.
Et c'est p'tet ce qui sépare une bonne équipe d'une grande équipe.
Allez Chevreuse
Il y a cependant le pb de l'adversaire. Une équipe anglaise en dessous de tout. J'ai regardé les placements défensifs : une catastrophe... les Anglais ont joué 7 mn en début de seconde période.
SupprimerL'acte fondateur me semble être davantage la victoire face aux NZ il y a 1 an et demi. Mais nous en parlerons demain autour de la nouvelle chronique...
SupprimerC'est curieux la juxtaposition de ces deux textes:..."un esprit d'équipe revendiqué....l'esprit Côté Ouvert"...face à ..."un groupe...une équipe....une confrérie...une fratrie...".
RépondreSupprimerCette lecture d'un certain parallélisme est peut-être due chez moi à un goût particulier pour les signes et les interprétations. Goût actuellement exacerbé par la vision de la seconde série de "Bi Tipul", le "En Thérapie" Israélien original, que je regarde en continu.
J'avoue ne pas pouvoir me détacher de cette contrainte imposée -bien qu'elle ne devrait pas me gêner a priori puisque les emplois de surnoms, alias, noms de scène, pseudos ne sont pas de mon fait- qui m'attriste absolument. A aucun moment sur ce site je ne peux plus me séparer de la sensation écrasante de me retrouver en prison. Souvent, sur mon vélo, un grand sentiment de tristesse surgit lié à cette transformation, absolument pas innocente, déterminant le passage d'un état semblable à une sorte de vie sauvage à la Jean-Jacques Rousseau, à une vie sociale réglementée, contrôlée et dirigée. De l'amateurisme bon enfant à la Jacques Tati à un professionnalisme implacable tel que le monde réel, dans son histoire et son présent à la "Play Time" nous le montre amèrement. Le square de quartier me suffit amplement. Il est à mon image et me satisfait pleinement. L'entrée dans un monde structuré ne m'intéresse pas vraiment. Il ne m'a d'ailleurs jamais vraiment intéressé et je l'ai toujours repoussé dans un premier temps, refusé par la suite. L'état de création, l'étincelle, l'esprit de liberté et de légèreté....tout cela m'attire. Les constructions sociales, les fédérations ne sont plus de mon fait;
Je souffre et je réfléchi.
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RépondreSupprimerAh que coucou à tous, blgblogueurs émérites et sans pareil, HOULA on se prend le chou pour pas grand chose, on cause on s'amuse on veut pas faire passer les commentaires dans la Pléïade, se sentir persécuté malmené b pour une peccadille, un fait de jeu anodin, peut-être un peu vexé, offensé ou tout penaud d'un rebond que l'on aurait voulu plus favorable, bousculé dans le déroulement d'une partie par la trame des éléments, la décision de l'arbitre que l'on aurait aimée plus mieux pour soi, la météo le vent la pluie, les partenaires pas au diapason du collectif que l'on prône, que l'on exige souvent des autres sans voir parfois le collectif de la partie, bref pas un champ de bataille ici, un terrain de jeu où certes on se frictionne, on donne et on reçoit, on assène durement quelques caramels et on s'ébouriffe un chouïa dans les rencontres, mais donc un terrain de jeu, pas de je, avec ses règles auxquelles on plussoie depuis le premier coup de sifflet -convivialité, respect, tolérance, mesure- cadre qu'il serait bien navrant de changer en cours de partie, quant aux évolutions des règles d'arbitrage du jeu elles ne dénaturent en rien la philosophie de l'affaire, alors les potos on se remet en mêlée, si pour se remettre dans le jeu ces petites échauffourées auront servi de de déclic tant mieux.
RépondreSupprimerJe trouve aussi l'arbitre bien gentil de ne pas siffler toutes les fautes, voire de ravaler son sifflet dans des commentaires supprimés, Gwyne Walters du blog en somme.
Allez, place aux Gallois maintenant !!!!!!!!!!
Vivi le rugby
Bah il y a une ligne basse en dessous de laquelle je ne veux pas descendre. Répondre c'est donner de l'importance à ce qui n'en a pas. Et puis si on siffle toutes les fautes il n'y z plus de jeu...
SupprimerC'est qui, Jacques Beaudry?
RépondreSupprimerNini, Cardiff...
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