C'était le moment de se faire de nouveaux amis, Léon, Pauline, Boladé, Auriane, Désiré, Jefferson-Lee, Félix, Siréna, Guerschon, de s'ouvrir - ou pas - à de nouvelles activités mais s'interroger sur la présence du breakdance et l'absence du karaté, remarquer aussi les six médailles - un record - de la Chinoise Zhang Yufei, restée de bronze. Espérer que la médaille d'or des septistes tricolores - que nous n'attendions pas, il faut l'avouer - brille longtemps encore car le rugby français d'élite, plongé dans la tourmente entre Le Cap et Mendoza, en a vraiment bien besoin.
Depuis 1987 et le premier Mondial, le XV de France, on ne le sait ici que trop bien, n'a pas été capable de soulever le trophée Webb-Ellis tant convoité. A chaque édition s'égrènent comme une litanie les raisons de l'échec. Mais ces Jeux Olympiques nous rappellent que la quête de l'or est un long chemin au bout duquel la force mentale, la précision technique, l'esprit d'équipe - même en sport individuel - et la capacité à se sublimer sous la pression, sont autant de piliers indiscutables et de pistes à creuser.
A quoi tient le métal d'une médaille ? A presque rien, quand l'épaisseur d'un front, soit un centième de seconde, sépare l'or de l'argent sur le fil du 110 mètres haies féminin. A la hargne du tenace Joan-Benjamin Gaba accroché cinq minutes durant au kimono de son adversaire japonais pour relancer son équipe avant qu'elle ne truste le plus haut du podium. Si la France, avec 64 médailles, se hisse à la quatrième place - un cran en dessous si l'on considère les critères olympiques privilégiant l'or - est-elle pour autant devenue une nation sportive ? Attendons la rentrée scolaire : la maigre place occupée par le sport à l'école témoignerait plutôt du contraire.
Les meilleurs Jeux Olympiques de l'histoire, cérémonie d'ouverture comprise ? Peut-être. Sûrement, diront certains. Pourquoi pas. En tout cas, ils ont bien occupé l'esprit des citoyens que nous sommes au point d'en oublier que nous n'avions toujours pas de gouvernement, si ce n'est démissionnaire. Aucune trêve - comme c'était pourtant la coutume et le sens premier donné à cette compétition - sur le front des guerres, des combats et des embrasements. A ce titre, je ne vous conseillerai jamais assez de relire le court pamphlet du jeune Etienne de la Boétie, piochant dans le terreau lydien pour remonter à la racine des jeux.
Dans deux semaines, les Jeux Paralympiques seront lancés. D'ici là, peut-être aurais-je oublié Dionysos en bleu Klein, Aya Nakamura trémoussante au rythme de la Garde Républicaine et Antoine Dupont porte-drapeau - mon pronostic n'était pas si mauvais. Entre éloge de la diversité et culte de la tradition, sera-t-il encore question de syncrétisme et de roman national, de céphalophores et d'iconoclastes, de chromosome X et de piano debout sur lequel jouer la mélodie du bonheur ?
Avant de refermer cette chronique, que nos pensées enveloppent la famille de Mehdi Narjissi, ses parents et sa soeur. Notre peine n'est rien face à leur douleur et leur colère. Au-delà des circonstances, qui nous échappent, et des responsabilités que la justice se chargera d'établir, aucune fatalité n'explique la disparition d'un enfant. Puisque nous sommes impuissants devant ce drame, cette plaie béante qui jamais ne se refermera, que nos cœurs se rapprochent.
Et la médaille d'or est décernée à Richard Escot pour son pronostic improbable.
RépondreSupprimerChapeau bas. J'écrivais il y a peu
Alors Richard Escot dans un élan d'optimisme voyait Dupont porte drapeau (lire ici pour rappel) mais pour le reste, il ne s'était pas trompé. Son apport a pour le moins eu un effet booster.
l'optimisme de Richard Escot
Qui aurait imaginé Dupont en porte drapeau à la cérémonie de clôture ?
Un peu de baume au cœur pour le rugby français, dont les épisodes plus ou moins dramatiques de ces dernières semaines m'ont ramené beaucoup d'années en arrière quand le poids des responsabilités sur les épaules des encadrants de camps de vacances d'ados était très important. Il fallait imaginer le pire, prévenir le pire et "surveiller" autant les jeunes que les encadrants pas beaucoup plus vieux ou mâtures. Alcool, sexe, sun, et baignade...et quelques autres risques.
Merci Jan Lou pour ton commentaire. C'est toujours un drame de mourir en mer, j'ai d'ailleurs écrit ici ce qui avait pu me chagriner il y a peu en termes de drame de la mer.
Et si cette noyage est un nouveau drame, j'aimerais que notre éminent membre de la https://www.ffss.fr/, Philippe Glatigny apporte son grain de sel sans jouer au procureur et/ou balancer une pique à Jakadi....
Car nous connaissons bien de près ou de loin sur nos côtes océanes d'Aquitaine, ses dangers sournois et ces imprudences et insouciances qui se répétent chaque année.
Cf par exemple
ce message de la préfecture du 64
Comme toujours les prestations des athlètes nous enchantent nous emerveillent nous font découvrir des disciplines moins cotées que ce football ce qui me gêne l excès de grandiose quand on a 3200 milliards de dettes on fait pas le riche de plus une cérémonie mettant en valeur plus une allégeance à la gaypride qu un hymne à la gloire des competiteurs toute trêve est illusoire les problèmes comme le chiendent refont surface un grand bravo aux competiteurs
RépondreSupprimerCes jeux furent un moment de grâce sportive et humaine ; la communion entre athlètes , le respect ( a part le foot évidemment , ils sont trop cons ) ; le dépassement de soi , les joies , les pleurs ...oui 15 jours de sport et de bonheur qui valent toutes les coupes du monde de chaque sport ...l'universalité des JO dépasse totalement les autres sports quand ils sont seuls ....et que dire de cette délégation des réfugiés qui a eu une médaille ?
RépondreSupprimerEn ce qui me concerne deux moments très forts , Marchand qui remonte son adversaire pour gagner sur le fil et sa seconde médaille d'or en suivant et surtout Duplantis et les autres sauteurs dans une fête sportive magnifique ; un record du monde qui a éclaboussé tous les participants heureux comme si c'étaient eux ....
Je retiens cette joie du public , "Paris est une fête" écrivait Ernest , la course cycliste incroyable dans cette capitale si belle ; l'arrivée du marathon , les épreuves équestres dans cet écrin royal ; enfin vous avez compris que j'ai tout aimé car j'ai vibré comme cela faisait très longtemps que cela ne m'était arrivé ...
la première fois quand Michel Jazy rate son 5000 a tokyo en 64 , j'écoutais à la radio pas de télé a cette époque , colette besson en 68 , j'ai sauté sur mon lit pour accompagner guy drut et le pousser en 76 et évidemment la grande Marie JO ; en 60 ans ça ne fait pas beaucoup et là j'ai eu une dose maxi de bonheur ...
mais j'aurais toutes ces joies pour que notre jeune rugbyman soit de retour chez lui entre ses parents...
Un joli bocal entre parenthèses ayant bien été agité pour faire de la neige sur la tour Eiffel.
RépondreSupprimerY aura-t-il, expression devenue maintenant courante après COVID utilisée dans tous les sens, un avant et un après ? Bien sûr que non. Ça reviendra à l'avant sans neige où il faudra faire face après ces parenthèses retombées. Et une petite canicule à poursuivre.
L'après sera dans 4 ans en US pour encore plus d'effets à preuve du contraire puisque la compète est aussi là.
Un intérêt sportif certes.
Mais ce qui était antiquement une trève des conflits devient aujourd'hui une spéculation sur le dos des sportifs faisant le beau jeu des profits financiers, voire d'intérêts politiques collatéraux.
Plus facile de rassembler pour faire la fête que pour travailler véritablement ensemble et avancer vers plus de respect écologique, de paix, d'égalité, et d'humanité.
Allez, le nez dans les étoiles, c'est fini, même si les jeux para prennent la relève.
On revient bouffer la poussière et plonger dans l'eau pour se rafraîchir.
Et une pensée aussi pour Mehdi, et sa famille.
hé bé , tu n'es pas optimiste ce matin ? j'ai du prendre un prozac après t'avoir lu ..merci !!!!
SupprimerCela n'empêche pas les beaux moments de sports en eux-mêmes.
SupprimerMais c'est l'exploitation qui en est faite autour qui ne me va pas.
Du pain des jeux, c'est pas nouveau,Sergio, à Rome déjà.
SupprimerMais l'image du pays à travers le monde, la ferveur populaire qu'on croyait perdue, l'enthousiasme au coin de chaque rue, et surtout le silence assourdissant, réjouissant de tous les oracles du désespoir, c'est bon à prendre non ?
Allez, la Pauline de demain, le futur Teddy était devant leur télé, c'est sur, c'est bien.
Merci Marc pour ce beau témoignage dans lequel l'idée de fête et de partage va toujours plus haut, plus vite et plus fort, un moment rare qu'il faut savoir apprécier, et arrêtons d'être tellement franchouillard râleurs jamais contents et ne relever que le petit truc sur le côté, et les discours sur les grands principes et les grands sentiments dont on serait dépourvu ou mal équipé, à un moment il faut savoir être heureux, simplement heureux, moi je suis intensément heureux de ces JO et de leur teneur, de la cérémonie d'ouverture à celle de fermeture, que de belles épreuves, de belles gens, et la plus belle ce marathon des amateurs, une merveille.
RépondreSupprimerAlors oui les affaires courantes reprennent, la vie continue, pas besoin de faire la gueule avant d'en avoir de bons et vrais motifs, on est vivants nom de d'leu.
Longtemps que je n'avais pas vibré autant, j'espère que les paras qui arrivent susciteront la même athmosphère de fête et de partage.
Par les temps qui courent, la réussite de ces jeux me donne à moi aussi beaucoup de joie et de fierté .La suite ? on verra mais nous avions oublié que l'on peut parfaitement réussir avec un bon projet et du travail. C'est tres réconfortant.
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerFatalité donc, sûrement pas le bon mot en effet sauf a croire que tout est régi par une implacable mécanique céleste.
RépondreSupprimerDifficile à comprendre pour un cartésien pur sucre.
Alors quoi, malchance, mauvais moment au mauvais endroit, ou erreur humaine, manque de discernement et faute professionnelle?
Sûrement un peu des deux, dans quelles proportions, les investigations le détermineront, la justice passera.
Mais loin des colères, légitimes ou posturales , des coups de menton, des doigts tendus vers les boucs émissaires désignés d'office ,des vengeances expéditives, fussent elles épistolaires.
Allez, de quel droit ?
une question Jan Lou: y a t il sur ces cotes sudaf ou du moins a cet endroit des baïnes comme sur notre cote atlantique du 17 au 64 ? Nuk besoin de baïnes pour avoir une mer dangereuse c est evident mais juste cette question
RépondreSupprimerNon pas vraiment le même phénomène.
RépondreSupprimerÇa ressemblerait plutôt à une petite crique de Bretagne mais sans les grandes amplitudes de marées qui créent ( je crois, tu confirmera )les baïnes.
La houle de l'atlantique Sud qui vient de loin se brise sur les rochers affleurant et crée un ressac quasi permanent avec un fort retour vers le large.
Même les grands blancs se tiennent prudemment à l'ecart, selon les guides de la réserve.
Quelques surfeurs parfois paraît il, je n'en ai jamais vu.
Le coin incite au pic nic ( quand les baboons se reposent ), mais pas vraiment à la baignade qui n'estque déconseillée, une connerie!
Et hormis les belles plages de False Bay c'est pareil voir pire jusqu'au Cap des Aiguilles, 150km plus au Sud Est, ou Atlantique et Indien se retrouvent " brutalement "
Allez y quand même, la région du Cap est magnifique.
c'est la disposition de deux bancs de sable entourant une zone d eau tres agréable a marée basse qui definit la baïne . A Marée montante (avec effectivement des marées fortes) la cuve se remplit avec de puissants courants entrants puis sortants pouvant entrainer vers le large et ce d' autant que les bancs sont recouverts: ne pas lutter et se laisser entrainer vers le large :le courant habituel nord-sud de nos cotes ramene ensuite vers la plage certes assez loin du point de départ mais sauf.
RépondreSupprimerPhilou expliquerait bien mieux que moi !
RépondreSupprimerEn effet pas du tout la même configuration.
RépondreSupprimerIci ou c'est assez semblable à la région du Cap,plutôt en mode lessiveuse, 27 morts en 12 ans!
Allez Chevreuse
Hello les Olympiens !
RépondreSupprimerNous vous disons MERCI Mr Escot d'avoir souligné que la mort n'est point une fatalité comme d'autres pensent. Merci d'avoir su lire entre les lignes. Baïne, Bâche ou courants de plages, il n'est plus là. Mr Grill a demandé une enquête interne, nous dirons que c'est la moindre des choses. Par contre, en Argentine ou l'encadrement fût autant défaillant que les joueurs, il absout par son silence Mr Galtié et tout le staff ce qui ne semble pas normal. D'autant plus que pour le dernier test match, peu de joueurs ont respecté les consignes d'après match montrant par là la faiblesse de tous. Sinon, ces JO furent l'ode de ce qui se fait de mieux sur notre pauvre planète sur le plan sportif pur exceptions faites de certaines disciplines nous laissant bien perplexes comme le football, le tennis, le breakdance ... Quelqu'un ici parlait de "Panem et Circenses", vu du Bambou Bar c'est tout à fait ça ! Plaisanterie aquatique mise à part, c'était bon de voir des athlètes heureux de concourir pour leurs pays respectifs autour desquel(le)s le public s'est joint en nombre et avec allégresse. Certains n'ont pas cédé au champ du cygne de la politique et c'est bien comme ça. Une pensée émue aux marins des Baléares et d'Ibiza qui ont essuyé une tempête hors norme. Sinon ici, bal des raies mantas extraordinaire et punch lines à gogo.
On largue les amarres, les bouteilles sont rechargées et vogue l'aventure ! Ah n'oubliez pas, l'Assomption des pensées ! A plus la 7e !
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerOh pis si, finalement:
RépondreSupprimerBen oui, l'enfer c'est les autres comme disait Jean Paul II ( ou Sartre, je les confonds toujours), dans le Huis clos du carré p'têt, va savoir?
Tu auras noté Bernard que nos digressions amico/géographiques ne feront revenir personne, nous aurions du y penser!
Tiens, a propos , une pensée aussi pour ce pauvre marin solitaire assassiné la semaine dernière du coté de Port Moresby, si vous avez des photos souvenir du coin, il faudra les bruler, question d'amour propre.
Du coup j'ai changé la mienne tiens, on rigole pas avec ça!
Allez les uns avec les autres
RépondreSupprimerComment faire face à l’énigme de la disparition d’un être aimé? Que se passe-t-il après?…me dis-je, revoyant le visage de Ch. Rampling dans le film d’Ozon tentant de répondre avec cette insoluble question : “comment ça va avec la douleur?”
Nos septistes, “Hé-ho, hé-ho, on rentre du boulot”, qu’ont pas été des nains dans la performance sauraient-ils être, jeunes Martin Eden, “ces navigateurs à la dérive, sur une mer inconnue, sans carte ni boussole qu’auraient, sur les bibliothèques du jeu et de la joie, vu un monde surgir à l’horizon”, la première des strates d’une possible catabase sotériologique ?
Je sais, j’vous la fais tordue mais c’est histoire de détendre l’atmosphère et rappeler que depuis le fameux “immarcescible”, j’ai l’âme apyre et la plume amphigourique.
Et sinon, les Jeux. Tordu comme je suis, je me suis délecté qu’à l’aune d’une cérémonie béatement inclusive, un pays notoirement homophobe fusse devenu le porte-drapeau bien involontaire du mouvement LGBT par la grâce d’une boxeuse hyperandrogène (la pauvre n’en demandait certainement pas tant) accusée d’être un homme, soutenue mordicus comme une femme par un pays qui ne fait généralent pas grand cas, dirons-nous, du droit des femmes.
Et p’tit clin d’oeil à notre Gariguette qui sait qu’avec moi tout finit sous la ceinture, la perpétuation à défaut de médaille, de la tradition française du vert galant, “sacrés français!” toujours bien perché.
À bèn lèu.
Question du bas de la ceinture, toujours effectivement le gland galant et perché, voire immarscescible...
SupprimerSinon, des blacks pas très blacks, des argentins en avocats de la victoire (...), des Boks comme des... Boks (témoin le 3 contre 1 loupé par l'arrière) et des kangourous qu'ont les poches comme des valises.
SupprimerOuaip , Blackounets les Kiwis, doivent être un peu chafouin, l'entrée à l'Eden devrait être copieuse !
RépondreSupprimerVamos !
RépondreSupprimerJan Lou c'est quoi le problème? Encore une conséquence d'un peu trop d'alcool consommé qui fait que tu deviendrais un gars sans trop d'amour propre (qu'est ce que ça vient faire là) et un peu nounouille? Que Richard doit rester sobre, dans quel sens au juste 🤔😉?
Mais tu en as en bu combien toi au juste pour finir par "t'exécuter" pour expier de ton péché d'avoir osé parler de fatalité.
Il est où le Jan Lou qui écrit "je vais p'têt m'épargner une réponse au procureur auto-proclamé des mers du Sud, non?"
Et qui finit par écrire "Du coup j'ai changé la mienne tiens, on rigole pas avec ça!". Même si c'est du second degré, c'est pas top.
Si je te suis bien, dès qu'il y a un drame qui s'est produit dans un endroit qui a généré un souvenir sympa pour d'autres personnes au point qu'elles en ont utilisé une image pour leur photo de profil, ils faut qu'elles suppriment cette image "des réseaux"?
Ce n'est donc plus seulement interdiction à Jaminet de publier des propos orduriers sur son réseau amical ou à Auradou de publier une vidéo de ses "exploits en chambre" sur un réseau amical, mais à tout un chacun de vérifier quel sens peut prendre telle photo utilisée dans ses pratiques numériques plus ou moins confidentielles.
Sans trop titiller ton orgueil Jan Lou, je pense que cette minuscule vignette qui apparaît sur tes commentaires, dans un blog certes beaucoup consulté dans le milieu rugbystique, personne n'y prêtait vraiment attention.
Faut-il donc que des personnes suppriment de leurs divers comptes des images de la plage de Berk ou du plan d'eau d'Armentières?
Cf drames récents que je cite à la fin de
cet article de mon blog très confidentiel.
J'espère que je ne subirai pas les foudres de quelque "personne" qui trouverait déplacé que je passe du drapeau de Dupont aux drapeaux des plages. Et que je ne baisse pas pavillon (vert ou rouge?) en ces circonstances, que mes réflexions soient qualifiées de nounouille ou autre.
Oui, dans bien des cas, il y a des responsabilités engagées mais parfois, non.
Et on peut éventuellement parler de fatalité pour Emma, Léa et même Safwan ou le petit garçon de 6 ans. Cf les articles cités dans mon article.
Est ce que dans un grand moment de détresse pour ces femmes marins disparues lors de l'exercicede leur métier, j'ai demandé expressément à ceux qui ont fait des océans un terrain de "loisirs" et d'aventures humaines, de cesser ces activités que je pourrais considérer comme nounouilles ou futiles (de quel droit) et de demander par manque de sobriété au sens premier du terme de faire preuve de sobriété dans la narration de ces expériences vécues sur un bateau de "loisirs"?
Question: à la demande des Australiens, les mêlées sont simulées en 2ème mi-temps, au détriment bien sûr des Sud-Afs. Pourtant les Australiens vont continuer à jouer à 15 le reste du match. Pourquoi?
RépondreSupprimerAutre nouveauté, "pour accélérer le jeu" on ne peut plus redemander mêlée en cas de faute mineure de la mêlée adverse sanctionnée d'un bras cassé. Résultat, la mêlée la plus faible a intérêt à engager trop tôt, ça vaut mieux que de prendre une pénalité. Le remède est pire que le mal, non?
Si plus assez de piliers "de métier" pour cause de blessure, on simule en effet mais ça n'empêche pas de faire rentrer des remplaçants d'un autre poste pour être 15,il me semble .
SupprimerPour le reste, pas faux en effet, certaines nouveautés sont parfois introduites un peu vite, voir la "jurisprudence Dupont"
Allez, a suivre.
Normalement l'équipe qui ne peut plus fournir de première ligne est sanctionnée en cas de mêlée simulée, elle doit jouer à 14.
SupprimerPas tout compris, mon bon Tophe, surtout le début!
RépondreSupprimerPour le reste et cette lunaire histoire de photo, c'est simple:
Le Bambou Bar( on y boit surtout du café) comme toi donc et a peu prés tout le monde, a été plutôt surpris de l'interaction photo souvenir, drame et amour propre.
J'ai choisi d'y répondre par la dérision, et remplacé illico ma photo par une autre.....la même au même endroit, mais dix ans plus tard !( jour pour jour, je fête mes dizaines la bas).
Du coup l'amour est nettoyé.
Allez, pas une ride de plus!
Ah ah, sacré Jan Lou, toujours le trait, et sans ride.
SupprimerOui Jean Jack, les Australiens ont probablement bien joué à 14 mais ça n'a pas clairement été expliqué par les commentateurs français situés à distance à l'oral ou à l'écrit.
RépondreSupprimerCf règle de la carence:
https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A8gle_de_la_carence
C'est juste durant "le saignement" ou durant "le test protocole commotion" qu'il n'y a pas de sortie de joueur.
C'était génial comme match. J'ai adoré... ça m'a rappelé la tortue béglaise de 1991🤣
Même le 7 français a voulu faire un pied de nez à cette particularité du XV en faisant marquer Dupont derrière une cocotte...
Extrait itw Midol de Parez-Edo
"Celle-là on avait à cœur de la sortir (sourire). On a plein de combinaisons que l'on n'a jamais utilisées. Celle-là n'est pas facile à sortir car il faut être proche de l'em-but ; si tu pars des 40 ça peut être long... On ne voulait pas la griller non plus, c'était une fléchette qu'on avait sous le coude. Nous l'avions sorti qu'une fois face à l'Afrique du sud au cap. Juste avant la demie, on l'a revue pour étudier les liaisons. On a peu l'habitude de faire des mails, vous vous en doutez... C'était cool de pouvoir la réussir. En plus comme ça en finale avec Antoine qui marque. C'est à l'image de tout notre travail."
Et cerise sur le gâteau, ce week-end, comme l'an dernier, l'UBB se débrouille pour remporter le premier tournoi de l'inextenso seven de Mont de Marsan. Déjà qualifiés pour le tournoi final le 1er février à Paris La défense Arena...
Oui Jan Lou, je comprends ta détresse. D'un un autre côté de la planète un plumitif qui est capable de bien torcher ses textes, bons mots, piques et remontrances, même avec un ou deux verres dans le pif.
RépondreSupprimerEt de l'autre, moi, sobre comme un chameau, qui tente d'imaginer l'effet produit par l'ébriété du côté du blog. On peut avoir l'alcool triste, l'alcool gai... moi c'est la sobriété incompréhensible 🤣
Ah là là, les copains du blog, vous faites tomber les tournées au comptoir et lisez dans le marc de café. En tout cas, ça donne vie et envie.
RépondreSupprimerPerso, je me remets au vert (et aux verres) quelques jours dans le Perche, sans doute pas si haut perché que vous. Quelle inspiration me viendra, quand au fond du jardin coule une rivière...?
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
SupprimerAu fond du jardin, les tournées restaient pas encore avares.
RépondreSupprimerLa rancune n'était plus tenace.
Le silence demandait le silence.
Laisser les imperfections en paix et le jour ne devrait plus rien à la nuit.
Pourtant perché ou pas, subsistait l'hypothèse d'être touché par la grâce et de décrocher la lune....
Jan Lou, j'ai un ami de passage en Bretagne, absolument pas au courant du drame survenu à l'occasion d'une tournée (encadrée?) de rugby moins de 18 ans en Afrique du Sud qui m'a envoyé cette photo d u panneau d'informations à l'entrée de la plage. Humour noir garanti de la part des MNS dans la case "Conseils".
RépondreSupprimerhttps://vrac.2cbl.fr/files/2024/08/baignadeBretagne.jpg
Gentillet, c'est juste en introduction pour l'info de rester dans la zone de surveillance
SupprimerMonsieur, la vague y pêt en fleur !
RépondreSupprimerC'est vrai, il a l'oeil le petit ,les fleurs du mal .
Hier soir le monstre immaculé, jamais si beau qu'en pleine nuit noire a encore faim, et nous le fait savoir.
Allez,Carlos Sarduy tire des larmes de sa trompette ,le jazz au bord de l'eau c'est gai d'habitude, pas toujours!
Ma réaction, mots clés: ouverture, fermeture, Sardou, Jolly, porte drapeau, Cadre
RépondreSupprimerLien ci-dessous.
Les goûts et les couleurs
Quand un record vieux de 28 ans tombe aux JO sur un arbitrage vidéo, il y a de quoi énerver Richard, non?
RépondreSupprimerA lire dans le lien ci-dessous.
Le video replay demandé par le coach
Hé ça démarre fort à Brive, c'est Marcel qui va être content !
RépondreSupprimerAllez CAB
Hello du blog
RépondreSupprimerj'étais en train de me demander comme je pouvais relier Delon et le rugby et je crois avoir trouvé. A se retrouver bientôt de l'autre côté pour une nouvelle chronique. Pas tout de suite, hein ? Mais bon, je suis sur l'azerty.
Delon Armitage p'têt ?
SupprimerAllez, je sors....
🤣🤣🤣
SupprimerHello à tous,
SupprimerCAB premiers galops hier soir à Sarlat, avec Madame on s'est encanaillé dans la cité de La Boétie, le stade local pas trop conçu pour la grosse affluence, bon c'était jour de fête pour le trésorier et les buvettes. Côté terrain, du jeu sans enjeu, beaucoup d'initiatives et l'envie de mouvement, de belles choses et promesses au soleil plombant, à suivre jusqu'au premiers frimas et les rencontres des épiciers et comptables de la pro;D2. En tout cas, le CAB semble mieux armé que la saison dernière, bien mieux préparé aussi, le recrutement sur le terrain paraissant du même niveau que celui sur papiers et contrats.
J'étais tout près de PHB, c'est un peu un sphinx le gars, savoir ce qu'il en pense de tout ça compliqué, je crois avoir aussi saisi sur le terrain l'influence de D.Darricarrère sur le jeu des attaquants, c'est plus le fouillis des saisons passées, il semble y avoir une idée directrice, tant mieux.
Marcel est reparti pour une saison, fidèle entre les fidèles, les avants qu'il a vu hier soir lui ont redonné de l'appétit et plus que jamais on repart pour une saison d'enfer .. (pour les autres) ..... Comme chaque fin de mois d'août !!!!!!!!!!!!!
Le premier test sérieux pour le club de supporters d'ici c'est ce soir, tournoi de pétanque de rentrée, faut reprendre le rythme, réchauffer le club-house, réviser ses classiques, claquer un ou 2 carreaux et se tenir comme il faut au comptoir !!!!!!!!
Bonne fin d'été à tous, allez CAB.