jeudi 17 octobre 2024

V.

Ainsi donc, V est une piste à suivre jusqu'à Stockholm ? Un dédale de suppositions décalées transportant le real deal madrilène dans les froidures suédoises et les dorures d'un poulailler de luxe ? Le séducteur a plaidé la défense de ses adducteurs et profité d'un répit accordé pour jet setter dans le froid gras tandis que ses copains les coqs poussaient péniblement le rond de cuir sans lui... Trouvera-t-on plus pathétique que cette escapade en bonnet enfoncé jusqu'au nez, volée à l'âge adulte par un millionnaire du short, enfant prodige sans but aux lacets lassés ?

J'aime V., son univers déjanté, foisonnant, extravagant, tribulant, déconcertant, pétaradant, débordant, ambitieux, intriguant ; cette quête aux confins de la folie épistolaire, quand l'imagination copule avec l'énigme. Mais qui est V ? Un pays, un femme ? Un homme ? Un secret, à coup sûr. Une interrogation qui grossit à mesure qu'elle défile. Une parodie, plus certainement, comme si Louis-Ferdinand Céline, James Joyce et John Kennedy Toole avaient décidé de s'en jeter un derrière la cravate chaque fois qu'ils accostaient dans un port ou croisaient un alligator dans les égouts.

Allez, jetez-vous sur vos étagères. Qui connait V. ? Ce roman de Thomas Pynchon large comme un fleuve, furieux comme un dégel, bardé de mille écueils, riche de références, rédigé à la dynamite quand elle pulvérise les cloisons. Ceci n'est pas une discothèque. Et personne n'a tracé de trait d'union entre une incartade pour réseaux sociaux et cet authentique chef d'œuvre. Triste époque. Franchement, qu'avons-nous à faire d'un capitaine dégradé quand la littérature nous offre en miroir l'un des romans les plus kaléidoscopiques du genre, qui ne manque pourtant pas d'étrangetés dans le genre ?

Pas un jour sans une ligne, scandait le peintre. Puis l'écrivain. Chaque phrase est un dessein. Ou une ligne mélodique selon qui trace le chemin. Allons-nous évoquer l'urne ou la rune, le vote ou la magie, l'élection ou l'incantation ? Jamais campagne ne fut si tourmentée, comme si un mauvais génie avait tordu la lande sur laquelle nous jouons, ce terreau naguère propice aux bonnes graines sur lequel ne poussent désormais que fiel, amertume et ressentiment, crainte et rejet. 

Samedi à midi et demi, la FFR se sera dotée au forceps d'un président, ancien ou nouveau, sortant ou débutant. Il en sera de quelques voix, d'une poignée de clubs passés de l'un à l'autre au moment de choisir, ou d'éviter de le faire. Qui saura ? Le rugby amateur se meurt. Il crève de primes et de transports, de règlements et d'assurances. Dans dix ans, si n'est pas rendu au rugby des villages ce qu'il a offert au XV de France, ne survivront que les grandes usines ovales conçues pour préparer de la chair à rucks.

Ils iront vomir dans les couloirs, uriner dans leurs lits, croupir dans des geôles ; ils dépasseront la ligne, hurleront grossiers quand la nuit tombe, s'imagineront arrivés alors qu'ils ne sont pas encore partis; ils confondront s'enflammer et se consumer, la gloire et l'éclat, la transformation et l'essai. Ils entreront dans une discothèque sans savoir que ce qui scintille aux néons à l'entrée d'un bouge kitsch porte le nom d'une œuvre écrite au noir de l'encre mythique.

Il y a un an et quelques jours - je ne suis pas amateur d'anniversaires - le XV de France s'inclinait en quart de finale face aux Springboks, plus rusés. Quatre ans plus tôt, les Gallois nous avaient ramassés. Et avant eux les Néo-Zélandais nous avaient humiliés. Le Quart ! Ah, Nikos Kavvadias... Voilà trois fois consécutivement que nous passons à la trappe et, visiblement, personne ne s'en inquiète. Ce Top 14 cache la forêt et quand La Rochelle reçoit l'UBB, Marcel-Deflandre affiche complet pour la quatre-vingt-seizième fois d'affilée. Ainsi va notre rugby.

Nous disposons du meilleur joueur du monde, auréolé de sa médaille d'or. Du championnat le plus lucratif et aussi le plus indécis. Le plus chronophage. Exigeant. C'est notre force et, il faut le croire, notre limite. Avant de partir vers le Bharat la semaine prochaine, je vous livrerai les noms des sept nominés pour le prix La Bibliotèca du meilleur ouvrage de rugby pour l'année 2024. Qui succèdera à Didier Cavarot et à Benoit Jeantet ? Sans doute aurez-vous quelque idée. En attendant qu'elle jaillisse,  sachez que "la littérature, écrivait Alfred Capus, n'a pas été créée pour servir la vie, ni même la traduire, mais pour lui échapper." Courage, fuyons !

63 commentaires:

  1. Quand même un bout de temps que nous crions au fou, ici et ailleurs sur le fossé toujours plus large entre l'élite, né des étreintes coupables de la NFL et des jeux de Rome, et le monde des modestes pratiquants .
    Ce ne sera pas la première fois qu'un altruiste concept sera dévoyé sur l'autel des profits.
    Ils peuvent bien garder leur timbale aux grandes oreilles si d'aventure la FFR produisait deux ou trois millions de jeunes ( comme Tintin, jusqu'à 77 )s'écharpant joyeusement sur tous les prés du pays.
    Allez, courage, il est des braves types dans tous nos clubs qui ne fuient pas!

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    1. Jau Lou, c'est en lisant ton commentaire en fin de précédente chronique que la lumière s'est allumée au fond de mon esprit, hier soir, après un belle dégustation de whisky, Laphroaig et Bowmore.

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  2. "Sur la vie, on ne peut écrire qu'avec une plume trempée dans les larmes" Emil Cioran.

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  3. Jan lou... Quand même un bout de temps aussi que Richard Escot n'avait pas replongé au goût de la chronique.
    Nul doute que si les éditions Passiflore voulaient faire une réédition, ils rajouteraient cette chronique.
    Escot c'est comme Dupont, si on le met à l'herbage, il revient encore plus affûté, plus maître de son art.
    Je suis bien peu qualifié pour juger des points de vue de Richard sur tant de sujets différents (sa marque de fabrique) au sein d'une chronique unique.
    Mais je crois Richard que tu peux partir tranquille, on a de la matière à réfléchir.
    Comme toujours maintenant, j'attends aussi la réaction de notre aventurier des mers😉
    J'espère juste que tu arriveras à faire le deuil de ce graal inaccessible aux Français et Irlandais.
    Il y a quelque chose d'inexplicable. Ou dexplicable c'est selon.
    A partir du moment où tu parles "Du championnat le plus lucratif et aussi le plus indécis. Le plus chronophage. Exigeant. C'est notre force et, il faut le croire, notre limite. " tu dois en tirer les conclusions qui s'imposent.
    Notre championnat domestique, son économie, son spectacle n'a que faire du rugby amateur qui sert de prétexte à ne pas louper un Dupont dans un trou paumé d'un village, ou même espérons le d'une "cité sensible".
    Notre top 14 consent à faire des efforts pour le XV de France car c'est devenu du gagnant-gagnant, même s'il reste de bon ton de pleurer sur le nombre d'internationaux absents lors de matchs doublons.
    Kolisi explique les choses autrement et nous fait comprendre que résultats en top 14 et excellence en équipe nationale sont incompatibles. Cf lien ci-dessous :

    Kolisi l'explique bien

    Seul un Dupont peut se permettre de montrer la voie même si ça a causé beaucoup de contrariété chez toi (comme le cas Aldritt d'ailleurs) et chez Mola sans doute.
    La blessure l'a probablement empêché d'être à son meilleur lors du quart. Il a dû repartir sur le champ de bataille un peu trop tôt.
    Désormais tout le monde connait et parle d'Antoine Dupont, même mon épouse qui se désintéresse pourtant d'une telle force au rugby que après en avoir été désolé, j'ai fini par m'en amuser.

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  4. Personnellement j'ai fait mon choix. C'est désormais clair que le top 14 me procure plus d'émotions et de spectacles de manière régulière. Comme une série dont les saisons se succèdent sans que j'en sois lassé. Jacques Verdier parlait de ce plaisir feuilletonnesque de notre championnat d'élite.
    Le XV de France, bizarrement, j'ai l'impression qu'il passera au second plan d'un Toulouse UBB équilibré ou d'un Vannes La Rochelle, ou d'un Bayonne Pau et pourquoi pas Biarritz, puisque la pro D2 n'est pas en reste question suspens et aussi beaux matchs.
    Le manque de renouvellement à la tête du staff, les discours identiques, l'objectif renouvelé de gagner la prochaine coupe du monde, encore et encore, me dégoûtent presque.
    Le pire c'est que j'ai apprécié la fraîcheur de cette jeune équipe lors du premier test en Argentine. Ça nous montrait la richesse de notre vivier, la capacité d'une équipe à se transcender et à surprendre. Et puis patratas, pas bien malins du sol au plafond et certains bien bas du plafond à qui il faudrait donner comme pénitence, lors d'une troisième mi temps à l'eau gazeuse, de parcourir le blog de Richard Escot pour s'aérer les neurones et expérimenter par la même, la sublimation chère à Freud qui nous éviterait des excès et débordements fâcheux.
    Est-ce que Richard arrivera à me redonner goût au XV de France, au cœur de l'hiver lors de notre tournoi ancestral?
    Dire qu'on ne pourra plus jamais espérer une tournée d'été en Afrique du Sud avec deux tests matchs et deux matchs contre des provinces avec les 42 meilleurs joueurs français au pic de leur forme.
    Il nous reste les tournées des Lions britanniques tous les quatre ans (pour combien de temps encore?) pour trouver la saveur et l'exigence de ces tournées ou une triple confrontation à une semaine d'intervalle n'a rien à envier à un match couperet de coupe du Monde.

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    1. Je note, cher Christophe, que tu ne choisis pas de mentionner un USAP/MHR, dont certes la rivalité toute récente n'existe qu'entre supporters et accouche rarement de joutes rugbystiques fécondes.
      A l'inverse de Richard je ne vois pas de lumière au bout du tunnel de l'argent-roi, mon naturel mélancolique ne me portant pas à l'optimisme. Il me porte par contre vers des volutes d'alcool tourbé (loin de la tourbe, de l'iode et du fumé, point de salut), ce sera là mon point de concorde. Pour une quarantaine d'euros il n'y a pas meilleur choix qu'un Laphroaig, fut-il la cuvée de base de 10 ans d'âge. Leur quarter cask n'est pas beaucoup plus onéreux et apporte un petit supplément de rondeur fruitée glanée au contact des fûts de Sherry. Tout un programme.

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    2. Intéressant mais certain d'aimer les retours de vanille et de noix de coco du quarter cask. Je reste pour l'instant sur la basique. Pour le bizarre, j'ai dégoté du Zagat.

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  5. V. ou l'occasion de convoquer de beaux souvenirs quand Benoit et moi partagions nos lectures toutes les semaines pour construire ce qui allait devenir "Le désir de lire - cent romans contemporains", édité par notre désormais ami Jean Pruvost chez Honoré Champion.
    Ah, les cafés prolongés boulevard Saint-Michel et Saint-Germain jusqu'à ce que la lumière du jour tombe. D'où Thomas Pynchon et Nikos Kavvadias...
    Mais aussi Kazuo Ishiguro et Mario Vargas Llosa...

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    1. Pas réussi à entrer dans V.
      J'en avais entendu monts et merveilles, mais ça m'a cassé les pieds au bout d'un moment, ce type de roman à clés avec références ésotériques pour initiés finit par passer pour un truc d'ado attardé; même la langue (en traduction, déjà) ne m'a pas accroché.
      Dans la longue histoire de la littérature américaine et de cette idée du roman ultime de l'"Americana", il y en d'autres qui m'ont bien plus marqué (Harrison avec "Dalva", tiens par exemple, lu grâce à toi et Benoît).
      Bon, comme je suis têtu et que j'aime faire les choses jusqu'au bout, je lirai quand même "Vente à la criée du lot 49", des fois que au cas où...

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    2. Du coup, je me suis replongé dans ce "Dictionnaire du désir de lire" et j'ai eu grand plaisir à naviguer dans tous ces noms, ces auteurs et ces œuvres. Parfaitement pensé et réalisé et permettant de voyager agréablement comme dans un bon roman. Donc, oui, Pynchon et Kavvadias, ces auteurs inconnus -pour moi- au bataillon....! Et pas les seuls, bien entendu....Mes lacunes sont largement plus béantes que mes maigres connaissances. Cependant, et parce que j'ai un peu de mémoire, j'ai immédiatement pensé à un autre auteur, non présent dans ce recueil, Alvaro Mutis et son "Alcyon", le Steamer de son roman: "La dernière escale du Tramp Steamer", en lisant cette phrase du "désir de lire":
      "Le Pythéas: rien qu'un vieux rafiot vendu à la ferraille avant d'être réarmé in extremis par des armateurs grecs." Et, un peu plus loin:
      "Les navires, finira-t-on par comprendre, , phrase qui m'a renvoyé à celle de Nicolas Bouvier à propos des voyages.
      Voilà. C'est tout.

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  6. Une complainte qui dépote, et aussi déVote à ce grâaaaal, ce summun premium VVebb Ellisien. Et qui fait que la plume Escotienne reste trempée d'éternels regrets à défaut de larmes, mais trump aussi dans le Beau more, l'affreux aig(re) ou un de ces vieux rhum des tropics.
    Bref un truc gaulois à la V ercingétorix, mais pour la V ictoire Finale la potion magique n'existe que dans la plume BD de Goscinny et Uderzo.
    L'amateurisme grillera t'il sur l'hôtel Code or new ? Allez, la FFR c'est "rien qu'un cirque de puces"... excitées plus par le pouvoir que par la raison. Et peut-être un doublé Benoit Jeantet à la Biblioteca.
    Sinon, "Pour qu'on ne puisse abuser du pouvoir, il faut que, par la disposition des choses, le pouvoir arrête le pouvoir" (Montesquieu).

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  7. Richard , je ne connais pas les auteurs dont tu parles , seul Vargas Llosa est dans ma bibliothèque , la Tante Julia est à coté du Bouc ...et c'est ainsi , on ne peut tout connaitre et c'est très bien car on peut découvrir ....
    le XV de France , le top 14 , parfois c'est loin de moi et parfois il y a des pépites comme l'UBB qui gagne à Toulouse...
    Ce qui est très pénible dans ce top 14 c'est que sur 7 matchs par journée , il y a souvent 4 finales potentielles , et quand arrive la finale , bof bof car on a déjà vu ....où est le temps ou arrivaient en finale , des Bagnères , des Colomiers, des Montauban, Dax, etc etc ...
    Le XV ne peut pas gagner car les joueurs ne vibrent pas pour la maillot , ils ne sont plus près à mourir comme ils l'étaient en AF sud en 58 ou 61, seuls quelques joueurs surnagent mais l'ensemble qui fiat le groupe portent des casquent aux oreilles et sont devenus autistes aux vrais valeurs de ce sport ...la différence avec les autres nations , c'est qu'eux donnent tout pour la fougère , l'antilope ou le trèfle à qui il manque quelques millions d'habitants pour être champions tous les 4 ans ...c''est simple nous sommes 70 millions d'habitants ; plus de 300 000 licenciés , ils sont 5 millions d'habitants avec 95 000 licenciés ; pourquoi sont ils meilleurs que nous ?
    si quelqu'un à la réponse alors la France pourra espérer un jour le titre ...
    La dessus , tout le monde se tu .....

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  8. Bon allez, c'est le moment de se jeter à l'eau.
    Les élections seront closes samedi à midi.
    Qui voyez-vous l'emporter ? Florian Grill ou Didier Codorniou ? Et avec quelle marge ?

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    1. Se jeter à l'eau, pas la peine en ce moment.
      Suffit de sortir un peu le nez dehors, on est douchés.
      Allez, je tente: Grill= 1 Codorniou = 0 (les élections à la FFR, c'est comme la boxe pour le copain de Coluche: il a jamais gagné, mais une fois il a fait 2ème...)
      En fait je m'en fous un peu, tout ce qui compte c'est de savoir si enfin, un candidat va faire (un peu) ce qu'il a promis; soit oublier le rugby du Top14 et donner des pépètes au rugby amateur qu'en a ben besoin.

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  9. J’suis inquiet , on aurait vu Ritchie sortir du Macumba avec un bonnet sur la tête alors que ses coéquipiers du journal faisaient un tiercé au PMU des Copains.

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    1. A mon âge, un tiercé, Pierrot - pour ceux qui ne savent pas, Pierre-Marie Martinay est l'instigateur, l'orchestrateur et la légende vivante de "Comme Fous", voyage à l'intérieur de la Terre du Grand Canyon en 2002. Une odyssée qu'auraient aimé Jack Kerouac, Charles Bukowski, Henry Miller et Hunter S. Thompson.
      Boss, juste une précision : ici il n'y a plus de pseudo.
      Essaye, stp, de voir comment tu peux faire pour apparaitre dans toute la splendeur de ton magnifique patronyme... .-)

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  10. je suis un peu comme jacques , peu me chaut , la seule chose qui pourrait me dire que je préfèrerai grill est que Codor, s'il est élu se serve de la FFR pour faire de la politique , virer Delga et prendre sa place

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  11. Richqrd n ayant pu jouer en premiere deuxieme ou troisieme ligne a choisi de composer et de jouer avec les lignes pour que tout s aligne
    pour les elections peu m importe mais deja le fait de ne pas s entendre sur le montant de la dette un bel heritage du pernicieux Laporte digne eleve de Macron on ne compte pas d accord qu en on est riche et non quand on doit gerer des sous publics
    Couilloud ne devrait pas etre retenu par son altesse Galtier une injustice de plus
    en fin de compte de grimm un benevole president j adhere

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  12. Entre rugbys pro et amateur, c'est un peu comme Le Monde, l'Equipe et la PQR. Codor est-il de ce monde à faire équipe avec l'amateurisme ? Grill ne l'a pas vraiment fait. Ca devrait jouer serré à une longueur de crampon près. Grill est plutôt translucide. Codor essaie de la jouer transparent mais on a encore rien vu et on ne connait rien vraiment de lui en politique. Allez le meilleur benne et vole... dans l'utopie😂

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  13. Hello, des braves types dans tous nos clubs il en est effectivement une palanquée, et il faut avoir la foi ovale bien ancrée et sans penser à une quelconque reconnaissance pour se peler une partie des mercredis, les samedis, à éducationner au rugby des jeunes pousses , lesquels pour la plupart souffrent déjà d'un manque d'éducation tout court, ce n'est pas propre à notre sport d'ailleurs, il faut se rendre compte de la hauteur et des exigences de l'investissement dans ces tâches d'éducateur, entraineurs, laveurs de maillots, tenanciers de buvette, tondeurs de pelouses, bon ça ne manque pas, mais gaffe quand-même qu'à force de tirer sur les mêmes cordes elles ne se défassent et finissent par casser.
    Plutôt Codor que Grill, aucune raison particulière, en politique le petit prince s'est mué en sérial-killer, c'est juste les émotions qu'il m'a donné sur les terrains qui me font choisir, après l'un ou l'autre sera tellement prisonnier du système .....
    AH, les penseurs de notre ovale ont encore trouvé le moyen d'écarter des stades et écrans quelques amateurs à l'ovale pourtant bien chevillé aux crampons, avec ce carton rouge de 20 minutes tout en conservant le définitif, on a pas fini de visionner er revisionner des phases de jeu, et puis ce truc pour que les arbitres expliquent maintenant leurs décisions aux spectateurs du stade comme aux téléspectateurs, nous vivons une époque formidable, je vous épargne le ressenti de mon pote Marcel.
    Le CAB quelle déception hier soir, tenir ainsi un match sans trop de souci et laisser filer en 4 minutes M..... Bon, Broncan à l'extérieur a choisi 2 fois de donner du temps de jeu à quelques en manque, pas concluant, la PRO.D2 c'est sauvage et tueur se passer de ses meilleurs artificiers en pensant ménager pour plus tard pas glop.
    Et not' Dupont d'à nous qui publicite maintenant pour accueillir dans son home du Magnoac quelques hôtes qui pourront avec lui passer une soirée au coin du feu, le cochon noir de Bigorre tournant sur la broche, en affaires comme sur le pré l'a tout compris de son époque le gars.
    Bonne soirée à vous,

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  14. Grill favori semble t-il, et c'est heureux.
    Un homme intègre et irréprochable jusqu'ici, classieux même quand il proposait à ses opposants de les associer aux décisions impactant l'avenir.
    La victoire de Codorniou serait vraiment amère pour moi,comme un sentiment d'injustice.
    Sans perler de son attitude plus que limite elle signifierait surtout le retour des cloportes.
    Ces vieux barons opportunistes et indeboulonables des précédentes mandatures, icônes de l'immobilisme, jamais à court d'une bysantinerie, d'un retour de veste.
    Allez, épargnez nous une "Jean Fabre" bis!

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  15. 67,22%, ouf, vraiment !
    Allez, passons à autre chose.

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  16. Salut "Les aventuriers de la V"
    "Saint Bonaventure" que nous sommes préférons l'Ave Maria de Schubert que le déguisé "V" de Johnson, thriller politique, retraçant la montée d'un mouvement fasciste aux USA, allégorie à la 2e guerre mondiale. Heureusement, les embruns et l'écume nous font voyager autrement ! Voilà Cricri, le piaf du blog qui attendait la réaction salée d'outre mer ! Entre le prix La Bibliotèca, l'anniversaire de la coupe du monde ratée et l'élection à la FFR tout est pipoté avec le fil à plomb et le compas ! Ici, point d'estime, de goniomètre, de sextant, nous naviguons comme les frères de la côte, à l'ancienne, à la méthode des flibustiers loin des radars programmés ! Cordoniù, mieux vaut le boire car il a une histoire à raconter en bouche celle de la tradition de la terre espagnole ! de beaux souvenirs ! Hé, les gars, on vous suit mais l'électroencéphalogramme est plat et on rit pas beaucoup ! Vous avez pas envie de vous poiler, de déconner, de rire, contrairement à la buse suédoise qui fout les pieds dans la glue et qui se fait croquer par une merlette ! Aussi cons que les deux idiots de la pampa ! Pour les détracteurs, vous allez bouffer du Grill, saignant ou à point ! Miam miam !! Allez, comme dit, le Maître de cérémonie, "courage, fuyons". Allez, Bon "V"ent les écrivains et bravo au pied nickelé de la diagonale des fous , le roi du grill et des épices !!!

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    1. Juste une précision, pour l'apprenti complotiste de la barre franche.
      Ici les copains peuvent bien m'appeler Croquignol, Filochard et Ribouldingue s'ils en ont envie.
      Allez,juste pour toi ,un rappel de notre regretté pirate du rire Pierrot
      " On peut rire de tout, mais pas avec n'importe qui ».

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  17. Oui 67 % un sacré coup dans le Bas-rein, enfin dans le c.., pour Codor.
    Faut-il en rire ou en pleurer.
    Enfin ça fait plus d'un crampon tout ça.
    L'adhésion n'a pas fonctionné pour lui. L'ombre de Laporte ?
    Des huissiers demandés par le clan Codor pour contrôler l'élection ont semblent il été refusés. Aaahhh, la transparence...
    Saignant ou à point c'est bien sûr la gestion qu'il faudra faire saigner, des amateurs aussi, mais pas en amateur.
    Le rebond dans l'action aussi et gagnante c'est à dire les bons choix enfin, comme sur le terrain. Allez, un coup d'intelligence situationnelle...
    Sinon, quand je vois le Racing de Lancaster
    et son conseiller F. Michalak, ben les miches à l'air mais aucun effet. Ça fait pas b..... sur les plages.
    Le focus était surtout bien saucissonné par les bayonnais

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  19. Encore une tentative d'écran de fumée de la plus belle eau politico/politicienne qui a fait pshitt, comme disait l'autre agité.
    La fédération avait déjà mandaté des huissiers, c'est son rôle et ils sont par définition neutres pourquoi en rajouter, on parle pas d'avocats la !
    Et le tout organisé par l'ordre des experts comptables.
    Allez,faut quoi de plus ?

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    1. Peut être juste qu'il soit choisi collatéralement par les 2 parties. C'est pas ça la démocratie ?

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  20. N’ayant pas lu le -ni fréquenté d’ailleurs le cosy et intimiste- V., je ne devrais pas la ramener…mais vu que depuis bien avant les réseaux asociaux on sait que ce n’est pas parce qu’on a rien à dire qu’il faut fermer sa gueule, je dirais qu’aux pittoresques récits inventant un monde magique où tous les éléments répondent à notre imagination, ce dont nous nous délectons, ceux-ci finissent malheureusement par s’y répandre.

    Le Prez donc, n’est pas mort sur le grill pour des crimes qu’il n’aurait pas commis. Tout est bien qui finit bien; il pourra déclarer à nouveau sa flamme un poil vacillante aux valeurs du rugby©️. Bon courage.

    Il sera pourtant bien avisé de se méfier si, cérémonie de nouvelle investiture il y a, sachant que lors de la remise de son prix du “National book award” à laquelle Pinchon n’assista pas, un streaker s'est élancé à travers la salle, lointain préquel (?) d’une année calamiteuse, où nos hédonistes Dieux du stade, Kiki à l’air (qui a dit que le foot n’adhérait pas à nos valeurs?) seraient encore bien capables d’ajouter de jolies couleurs à l’Arc-en-ciel de la Gravité sur le thème : C’est rigolo, c’est les copaings!

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    1. Notons que le Kiki a l'air a Stockholm en plein Octobre, fô avoir faim, hein!
      Allez, j'en tremble déja!

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  21. Jean Fabre, oui, André, grand joueur, grand dirigent et accessoirement docteur en mathématiques.
    Successeur quasi désigné de Ferrasse dans les années 90, et battu par Lapasset au terme d'un tripatouillage dont le Rugby a le secret, ou comment se tirer une balle dans le pied.
    Allez, pas ce coup ci, tant mieux.

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  22. La suspension de Mignoni devient une affaire d'état !
    Ces pauvres chéris, tous professionnels, la plupart internationaux ou expérimentés sont perdus, orphelins, quelle tristesse.
    A quand les staffs le plus loin possible, dans une cage tout en haut des tribunes ou leur comportement hystérique n'emmerdera plus personne.
    Allez,qu'on les laisse enfin se démerder 80mn par semaine .

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  23. De voir ces entraineurs avec leus talkyes donnant des ordres ou consignes tout cela me fait marrer aquoi bon ďesig
    Ner un capitaine s i il faut sans cesse intervenir cette cohorte de staff rives à leurs écrans quel piètre spectacle à quoi cela sert il vraiment
    Bien content que les échanges ping pong aient cesses j ai bien peur que Galtie en soit encore friand







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  24. La LNR ouvre une enquête sur le comportement de Samuel Marques lors de la Nuit du Rugby...article de l'équipe !

    Mais quand arrêteront ils de faire les cons ? Cet été ne leur a pas suffi ?
    Canal responsable , ils n'ont qu'à servir des jus de fruits car ils savent que certains ne tiennent pas l'alcool ; voila où nous en sommes réduits ...a bientôt supprimer la 3ème mi-temps ....ce rugby pro n'incarne plus en aucune façon les valeurs du jeu que nous avons connu ...je m'emporte peut être un peu , mais ça m'agace de lire cela pour un joueur que j'ai apprécié a la CDM

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  25. Mon pauvre Marc, tant qu'une atmosphère "festive" (prise dans un sens large) sera synonyme de consommation d'alcool, le problème subsistera... (et là tu sors du cadre du rugby pour déborder dans quelque chose de beaucoup plus large et culturel, qui nous concerne tous d'une manière ou d'une autre, et en particulier en France).

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    1. Je sais , j'ai le souvenir de soirée commencé au bout du cap corse et finir chez moi en nous arrêtant dans toutes boites et rentrer a 5 h du matin mais il me semble que c'était dans un autre monde ; j'ai aussi le souvenir de 3ème mi-temps alcoolisé mais bon enfant ...peut être que mes souvenirs sont embellis par l'âge ...

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    2. Il me semble que lors des quelques rencontres du blog, on a été largement côté ouvert. On peut même dire qu'on a évité le fermé.
      Ça n'est pas sorti d'entre nous et on a juste bien débordé. Et on était bien rodés semble t'il...

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  26. Ben dis donc, bad news, un coup a remonter dans l'avion direct .
    Figurez vous que l'Yvette, dans sa folie débordante a fracassé l'outil le plus utile du club house, un drame du réchauffement climatique, non des moindres.
    Heureusement le ciel bleu est venu de l'Ouest, comme d'hab.
    Pipiou nous avait vanté le 8 de Castres, un client c'est vrai, mais j'ai surtout vu Ruru, Vuni et consort , une machine à sortir des jolis ballons tout propres , pas ce qu'on m'avait dis, sont fous ces Bretons.
    Bref un joli match,juste une déception quand même, ce public qui sait pas siffler l'adversaire, qui traite personne de reculez, inimaginable.
    On rigole mais après la purge paulo/ bordelaise, le soleil avait bien choisi son match.
    Allez, on a prié St Marcel du CAB, ça marche une tireuse à Bière toute neuve.

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    1. Sur la Rade , ils écopent la pluie dans les rues et le RCT écope les points a Toulouse , c'est une honte de prendre 57 points ...où sont les fiers corsaires rouge et noirs d'antan ?

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    2. Ah ben dans le Var, y sont en temps péri(l) en ce moment, quand à Toulouse y font pêter le cassoulet

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  27. Plus de bière à la fin des matchs ?
    Et pourquoi pas supprimer la 3ème mi-temps, tant qu'on y est...

    Allez les gars, une camomille, et au lit !

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  28. Oui, ça tourne au ridicule cette histoire!
    D'un côté on va sur-jouer un zéro défauts de façade,histoire de faire bien propre sur soi, comprenez, ça pouvait pas durer comme ça, fô sévir, tout le monde a la Contrex !
    Et de l'autre on jette un voile pudique sur les performances toujours plus stupéfiantes de nos élites.
    Il serait temps de comprendre qu'un bestiau élevé toute la semaine pour renverser des montagnes pendant 80mn le week end a besoin de plus qu' une douche pour atterrir.
    Allez, Superman c'est vachement bien,t'as pas envie que ça s'arrête!

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  29. Bon ben désolé pour notre cou joue hisse te. 42 dans le panier à bolets contre mon Vrdr.
    P.H. va bronquer

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  30. Beaucoup d'indiscipline sur les terrains ovales ces derniers. Beaucoup de pénalités (souvent plus de 10/matchs/équipe), de cartons jaunes, rouges. A voir comment vont se comporter nos internationaux au cours des prochains matchs tests.
    Hier également beaucoup de recours à la vidéo, et pour le coup d'essais refusés... justement.
    De fait aussi, pas mal d'influence sur le rythme et l'intérêt des matchs.
    Certes, plus de justice en finalité mais pour un jeu beaucoup plus haché. L'impression aussi que les joueurs jouent beaucoup de cette alternative pour influencer le cours du jeu et donc pas mal de discussions entre capitaines et arbitres.
    On voit moins ça sur les matchs hémisphères sud.

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    1. ça m'a frappé aussi: le recours systématique à la vidéo après les essais (après quasiment tous ceux de Clermont-UBB, si je ne me trompe pas, mais aussi pour le match USAP-Vannes, et le soir également).
      On a l'impression d'être revenu aux touches d'il y a 40 ans: tu fermes les yeux, la touche se joue, ça siffle, et quand tu rouvres les yeux et que tu regardes la vidéo de la touche, y'a 2 ou 3 fautes...
      Albaladejo le disait: "le jeu appelle la faute", mais si on interrompt chaque partie pour vérifier toute action, ou parce que le préposé à la vidéo a cru voir quelque chose, on n'est pas sortis de l'auberge.
      On ne peut pas à la fois demander le respect de l'arbitre et utiliser la vidéo; c'est en même temps demander que l'on accepte qu'il se trompe et exiger de lui qu'il soit infaillible.

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  31. Sinon, les blacks passent sur le fil. Heureusement que Steve Borthwick a eu la bonne idée de sortir Marcus Smith excellent autour de la 60e mn pour Ford, misérable. Mais les tous noirs ont quand même mieux finis, et les chariots se sont tus, après un haka brouillageux dans Twick.
    Gare au tournoi avec les bifs qui ramènent bien leur fraise et le trèfle toujours en fleurs, certainement fin prêts contre les blacks sans B. Barrett et Codie Taylor forfaits.

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  32. Un peu épiciers les Rosbifs, quand même, mais y a du pénible à défaut de génie, presque suffisant face à des Blacks palichons, faudra autre chose pour désespérer Temple Bar.
    Pour la vidéo, pas mieux, un rossignol qui doit être contrôleur de gestion dans le privé, exaspérant!
    Ils veulent quoi les intégristes du zéro défaut, rester au chaud avec maman et laisser un programme avec des gros bouts d'IA dedans pour gérer le match ?
    Pour mémoire, l'arbitre qui officiait à Vannes la semaine dernière a du la réveiller une fois la vidéo, et encore, c'est possible donc.
    Bon, notre vieux CAC, plutôt poussif ces derniers temps me dis t'on, tontaine et tonton, s'offre une belle victoire bonifiée .
    Allez, comme le vin chaud qui domine largement la mousse aujourd'hui, c'est rare!

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  33. Chaque essai donne lieu à une expertise d arbitres légistes abusée contrôles
    Bientôt suite à une plainte de mouvements féminin il sera interdit de chanter chansons paillardesdans l enceinte rugbystiques quelle décadence la troisième mi temps déclarée hors la loi fini les verres bonjour tristesse avec les verts
    Les blacks beaucoup entreprenants que ces combattifs anglais

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  34. Hello !
    suis de retour d'Inde, et j'apprends que la troisième mi-temps disparait du paysage tricolore... Après l'avènement de l'ère open en 1995 transformée en professionnalisme, voici qu'un univers disparait.
    Qui a dit : "s'il n'y a pas de troisième mi-temps, les deux premières ne méritent pas d'être disputées " ?
    France-Japon se profile samedi soir, tout comme ma chronique de retour, dès le coup de sifflet final.

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    1. Quant on a pas la réponse à ce genre de question, le mieux c'est de proposer Blondin, non ?
      Allez dans l'Inde, à Châteauroux ?

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    2. C'est le Blond. Jean-Pierre Rives. Qui ne buvait pas un goutte d'alcool. Ironie.

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  35. Enfin Galtie se soumet au reel lui qui perorait un an auparavant qu ilreconduirait son groupe jusqu a la prochaine coupe du mondele voila redevenu sensible a la logique ecarter les joueurs qui avaient une concession en EDF et impulser du tonus et de l enthousiasme portes par la jeunesse un grand ouf de soulagement et si il pouvait ecarte ALDRITT cet impenitent enterreur de ballons j en serai rejoui

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  36. Tiens, en parlant de troisième mi-temps, une anthropologue, pas moins ,à passé cinq ans, pas plus , dans les arcanes de l'UBB, pas que, nous révèle l'Equipe ce matin.
    Vous me voyez venir, de quoi ka s'melle celle là, va nous apprendre le Rugby, mamy,non mais j'te jure.....
    Et ben pour le coup pile poil, elle ne raconte pas de conneries non plus , pensez donc,une pologue, mais ne nous dit rien que nous ne connaissions déjà, des grands coups d'épaule dans des portes déjà ouvertes, quoi !
    Allez, cinq ans !

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    1. J'ai rencontré Mme Saouter lors du Grand Maul à St Paul les Dax. Très docte mais sans prétention. Échange intéressant. Je nainpas encore lu son interview mais je ne doute pas de la pertinence de son propos

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  37. Toujours pareil: y'en a qui comprennent vite, mais faut leur expliquer longtemps...

    L'anthropologue en question a écrit un bouquin (Anne Saouter, "Etre rugby") qui n'est pas inintéressant même s'il a un peu trop tendance à découvrir et donc expliquer avec beaucoup de mots savants des choses que tous ceux qui fréquentent les vestiaires savent déjà depuis longtemps, et sans forcément avoir besoin de mettre des mots dessus.

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    1. Mais ça a le mérite d'exister. Par ailleurs ub livre vient de sortir sur Beziers. C'est le condensé d'une thèse de doctorat sur le thème de l'ascension et de la chute du Grand Beziers. Dans le même genre

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