mardi 30 novembre 2021

Poivre et sel

 

Danser pour être libre, oui, d'un pied l'autre, l'appui léger, les épaules tournées ailleurs, le bassin décalé et le regard déjà porté vers la ligne. Il faut se méfier des joueurs qui dansent, et des femmes aussi, parait-il. Surtout lorsqu'ils ou elles se regroupent le dimanche pour s'adonner à ce rituel. Evoquer Joséphine Baker au moment où elle entre ici, au Panthéon - du moins son esprit puisqu'elle est inhumée ailleurs, plus au sud, sur un rocher et qui n'est pas des Basques - c'est rendre hommage au château de cette mère situé au coeur de la Dordogne, elle qui fut la marraine du club de rugby local, accueillant Jean Dauger, Alban Moga, Jean Prat et princes consorts pour des rencontres de gala qui firent du trésorier de Saint-Cyprien le bonheur.
Tous les stades, toutes les scènes tombèrent sous le charme de l'exotisme. Serge Blanco, c'était la foulée chaloupée la plus célèbre du monde, la plus crainte et la plus tranchante aussi au point qu'elle aurait pu faire l'objet d'un culte. C'est la fidélité au seul diamant d'une côte qui n'en manque pas, ce Biarritz plus gros que le Ritz, aurait écrit Hemingway, a titré Lalanne. C'est l'envie de redonner à ce sport qui l'a fait roi et qu'il a rendu beau, en accompagnant aujourd'hui les cadets du B.O. dans l'anonymat du championnat régional comme on éduque une famille, une tribu arc-en-ciel. Mais après avoir enchanté le monde d'un tour de rein dans le chaudron du Parc des Princes ou celui de Harlem, rien n'évite aux abondantes comètes de finir ruinées.  
A dix-neuf ans naquit au monde un arrière enchanteur à la coupe afro et il traversa plusieurs fois le terrain, électrisant le public gallois venu assister à un match de l'équipe de France B. Dans la tribune un jeune journaliste, John Taylor, allait en rédiger le compte-rendu et surtout faire de Serge Blanco le Pelé du rugby. A l'heure où l'on sacre Lionel Messi pour la septième fois, signalant par là qu'il est vraiment très difficile de se renouveler, Joséphine multi-facette (chanteuse, danseuse, espionne, icone, etc.) entre au Panthéon. Jupiter, qui aime aussi le football, a tranché.
Personne n'a jamais remarqué que Serge Blanco avait la peau sombre et le cheveu crépu, aujourd'hui poivre et sel. On ne voyait que son sourire et des percées. Après Roger Bourgarel et Dominique Harize, il a ouvert une voie dans laquelle, naturellement, d'autres se sont engouffrés sans jamais se revendiquer d'un héritage particulier. Ainsi Emile et Romain Ntamack, Jimmy Marlu, Wesley Fofana, Teddy Thomas, Gaël Fickou, Virimi Vakatawa, j'en oublie, n'ont de signe distinctif que leur talent, preuve que le rugby, qui a bon goût, n'a pas de couleur.
Evoquer aujourd'hui Serge Blanco - en effet miroir d'une société qui communautarise sans frein et dans le même temps stigmatise toute aspérité ou différence - à l'heure où la République honore un destin, une personnalité exceptionnelle, un combat mené durant toute une vie pour la liberté et l'émancipation, mais aussi la renommée, l'engagement, l'incarnation de l'esprit français, c'est rappeler que le passé récent continue de forger le présent. Car rien ne m'a plus fait mal que d'écouter collègues et amis m'avouer ne jamais avoir entendu parler de François Moncla, grand militant, comme Joséphine, de la cause humaine, inlassable défenseur de l'antiracisme.
François "les bas-bleus" nous a quitté dimanche matin. Et c'est toujours une tristesse de voir partir les uns après les autres les héros de 1958. C'est pourquoi je considère comme une chance d'avoir pu échanger régulièrement avec lui ces années passées, et la dernière fois il y a moins d'un mois. Comment oublier ce grand capitaine d'un XV de France, si inspiré dans son sillage que le journaliste anglais Pat Marshall, inventa deux mots - French Flair - pour définir le style d'attaque, impensable, inattendu, spontané, précis, communicatif, inventif - qui était son trait d'union.
Je ne peux considérer qu'avec beaucoup de recul, voire même une distance impossible à combler, le buzz construit de toutes pièces autour de l'inconstant Teddy Thomas, coupable aux yeux des chastes et des chantres d'avoir voulu s'amuser en jouant. Revers de fortune, son vis-à-vis lui a rappelé que la meilleure façon de répondre n'est pas de plaquer des mots mais de conclure par des essais. "Le temps use l'erreur et polit la vérité", écrit Charles Eugène de Lévis. Ainsi les grands marquent-t-ils leur passage, trace laissée dans l'en-but mémoriel qu'il est de notre devoir - devoir librement choisi - de laisser toujours ouvert et d'alimenter.
Ancien ailier, éducateur du PUC et arbitre, aujourd'hui retiré à une portée de drop du Panthéon, Pierre Quillardet, l'oeil vif et le havane disposé, n'a de cesse de me rendre Albert Camus vivant, excellent gardien de but par ailleurs. Alors que mon vieil ami me lit un passage des Carnets - "Ce qui compte est d'être vrai. Et alors tout s'y inscrit : l'humanité et la simplicité" - j'entends remonter ce mardi au coin de sa rue cortège et défilé. Sur la table du salon trônent quelques reliefs de son repas. Cette phrase incantatoire de Joséphine Baker, prononcée à Washington le 28 août 1963 sur les marches du Lincoln Memorial me revient alors : "Poivre et sel. C'est ainsi que ça doit être."

41 commentaires:

  1. Merci Ritchie pour ta prose de l'humanisme et de l'humilité et nos applaudissements à Madame Baker.

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  2. Richard , il est toujours bon d'évoquer les anciens car sans l'Histoire pas de compréhension du présent ; Joséphine Baker nous dit que s'engager c'est participer à la vie ; François Moncla nous dit que les époques ont besoin de héros ; Blanco en fut un ....nous attendons les Joséphine et François d'aujourd'hui
    Bonne journée

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    1. Aujourd'hui, il y a Julien Pierre, Jeff Tordo, Pierre Rabadan, Serge Betsen, d'autres encore... L'engagement n'est pas mort...

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  3. Oui, la came à Albert c'est de la bonne. La came à Baker aussi. Celle à Teddy doit être un peu coupée. Effet sociétal bien relayé cherchant toujours à faire délibérement du bizz tronqué, sur le dos des autres, s'éloignant ainsi de l'humanisme ou du communautarisme (du communisme aussi... mais ç'est autre chose). Grain de peau, graine de danse ou pas, chacun fait sa danse. Certains sont plus doués que d'autres, chaloupent ou en chaloupe de sauvetage.
    Certains portent les bas bleus, d'autres se contentent de regarder en bas de laine. En attendant de se faire plaquer par la vie... Sinon tant qu'il y a du french flair il y a de la vie, et si c'est au Ritz...

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    1. Parfait petit cocktail, Sergio, reprenant avec virtuosité les thèmes développés dans ma chronique; C'est toujours un plaisir de lire tes fugues.

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  4. Je ne sais pas si notre époque a besoin de héros (par contre son mode de consommation-communication oui), mais elle aurait bien besoin de morale, au sens où Camus l'entendait. Un sens moral, notamment dans l'engagement, qui était naturel à Moncla ou Joséphine Baker (et ce même si tant d'inconnus moins illustres ont mérité autant qu'elle les honneurs qui lui sont rendus aujourd'hui).
    Comme le pointe Ritchie, notre temps fait que l'on monte inconsciemment d'autant plus en épingle le dilettantisme de Teddy Thomas que sa peau est colorée; non pas que la société soit devenue raciste, mais plus les temps sont troublés, moins elle accepte la différence. Sauf pour les héros célébrés dans son culte commémoratif et consumériste.

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    1. Oui, Pipiou, les temps sont troublés. Troubles aussi.
      Des héros, sans doute non, encore qu'au sens classique, ça reste noble.
      Peut-être des références, des référents, des modèles... ?

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    1. Georges, tu es homme de mesure, alors ton "époustouflant" me touche d'autant.

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  6. A la lecture du début, j'ai fini par me laisser envoûter et embrumer et je ne sais pas pourquoi, mais avec l'évocation du Pays Basque un peu plus loin, j'ai fini par penser que le "...elles se regroupent le dimanche pour s'adonner à ce rituel" était une référence aux "sorcières d'Akelarre" (film qui retrace une histoire vraie).

    C'est l'effet Richard sur moi, je me sens tellement dépassé parfois par ses références que je finis moi même par dépasser le cadre de ses propos, mais surtout parfois je finis par poser des interprétations (procès d'intention) complètement délirants que je me garde bien d'exposer ici. Mais certaines personnes sont témoins de cette capacité à "délirer" dans des lieux plus discrets.
    Je vais donc enfin pouvoir "cracher ma valda" ici, faire acte de contrition car j'ai beaucoup pêché en pensées négatives🙂. Et ce billet de Richard est un véritable soulagement pour moi, une mise au point en réponse à mes "affreuses pensées".
    J'avais fini par "imaginer" que si ici il était fait "reproches et critiques" à (dans l'ordre chronologique) Sébastien V., Clarisse A., Mathieu B. (le pauvre soit dit en passant), Cameron W. c'était peut être pour une histoire de couleur.
    Et comme Pipiou (décidément au soutien pour me recadrer ou me tempérer 🤗) j'aurais pu utiliser alors les expressions "...on monte inconsciemment d'autant plus en épingle...que sa/leur peau est colorée".
    Et bien non Letiophe, c'est juste un curieux hasard certes, mais certainement pas une histoire de couleur.
    Richard Escot vient de te le démontrer avec brio de toute sa prose érudite et construite. Te voilà pleinement rassuré.
    Sébastien V est peut être une personne peu intéressante mais pas à cause de sa couleur de peau. Clarisse et Mathieu ne méritaient pas ce rôle qui leur a été attribué, mais pas à cause de leur couleur. On peut reprocher à Cameron son péché de gourmandise sans qu'il soit question de couleur.
    Quant à Teddy, je ne comprends pas pourquoi personne ne signale que la dernière fois qu'il a joué en compétition, c'était dans cette salle, pour un tournoi de rugby à 7. J'ai vraiment eu le sentiment durant cette première partie du match qu'il se comportait encore comme un joueur de 7.

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  7. Donc je remercie Richard de m'avoir répondu de si belle manière. Réunir Joséphine, Serge et François dans un même billet, quel meilleur message pour rappeler que le combat de l'antiracisme doit perdurer.
    Engagé il l'était, François Moncla. Et si son communisme à l'ancienne n'était pas monnaie courante dans un milieu du rugby penchant quand même plus au centre et à droite on peut s'amuser à comparer deux époques et deux joueurs. François Moncla et Vincent Moscato.
    Ils ont commencé les deux par travailler à EDF. L'un a cherché moins la lumière que l'autre. Et il serait bon en effet de rappeler aux plus jeunes (y compris journalistes donc) qu'il y a plusieurs manières de "faire le pitre', celle de François était résolument engagée:
    Extrait journal Sud Ouest
    "À Durban, où les joueurs français doivent être promenés par des pousse-pousse, Moncla, choqué par ce qu’il voit d’un pays régi par la ségrégation raciale, décide d’inverser les rôles. « J’ai mis le chapeau d’un noir qui tirait le pousse-pousse, je l’ai installé sur la banquette et je me suis mis à sa place. Aussitôt, les copains ont fait pareil. »
    L’anecdote situe le personnage. François Moncla est alors âgé de 26 ans. Il est un flanker rugueux et rayonnant. Mais il est surtout un homme engagé, militant de la CGT et du Parti communiste. Son humanisme, son souci de l’autre continueront de le guider bien après sa carrière de joueur. Il fut d’ailleurs sur la liste Front de gauche lors des élections municipales de Pau en 2014."
    Je me souviens bien avoir fréquenté une année, sur les bancs de l'école normale de Mérignac (33) son fils.
    Discret, gentil il jouait à l'époque au rugby à Salles. Sûr qu'à l'époque je savais de qui il était le fils, mais il ne s'en vantait pas, mais il avait de qui tenir. Mes souvenirs sont vagues mais nous faisions partie des trois qui étions partis en cours de cursus à la fin de la première année pour aller faire notre service militaire.

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    1. Merci Letiophe, pour ce relecture édifiante qui m'apprend beaucoup sur le ressenti d'un lecteur assidu comme tu l'es.

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  8. Chastes, chantres, chiants, même combat !

    Que celui qui n'a jamais chambré jette la première pierre a notre Rantanplan ( copyright Gariguette )

    Sinon les héros, je passe mon tour, merci.
    Ça fait trop troisième rep, voir Marvell dans la version super.

    Des références oui, des exemples, d'accord, et ça tombe bien dans le ballon nous en avons en boutique, tant mieux.
    Allez, osez Joséphine.

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    1. Ah ah, osez Joséphine..., chante Alain. Pas le philosophe, hein !

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  9. Au fait, le bordelais qui conclut par des essais, s' appellait pas Michel des fois ?
    Allez Chevreuse .

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  10. Remise du ballon d'or tjrs aussi mégalo, à un Lionel Messi aux qualités fondamentales tjrs là mais qui mêmes bien chambrées n'éclaboussent plus. Sera t'il encore couronné, en poivre et sel ? Sachant que derrière c'est correct mais pas tjrs partout de niveau rapport aux exigences demandées, n'est ce pas M'Bappé...
    Du coup sans qu'il y ait eu d'exigence particulière, c'est le bijou en forme de scorpion dans le dos de la mannequin ayant remis le trophée qui a fait
    fureur (furher ??🤔😁 plus que la déclaration de Zemmour...) et dont se sont emparés les médias. Pauvre ballon rond, bien loin de ce qu'il reste de valeurs dans l'ovale...

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  11. Bonjour
    Si quelqu'un ici était suffisamment proche de la rédaction de l'équipe pour leur demander pourquoi ils n'arrivent pas à faire régulièrement leur podcast
    "Tous les lundis, l'actualité du rugby et du Top14 par la rédaction de L'Equipe. Un podcast animé par Chrystelle Bonnet."
    Cf par exemple https://podcasts.apple.com/fr/podcast/crunch/id1278958831 ça m'intéresse. Tous les autres médias qui proposent un podcast rugby font leur émission à la date prévue, mais l'équipe, non. Et il n'y a même pas de logique particulière, absence d'actualité, etc.
    Bizarre comme fonctionnement.
    Dommage car c'est souvent sympa et éclairant.

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    1. Suis sous le charme de ta prose…comme une attaque en première main, coté ouvert, qui se ponctue par un essai en bout de ligne…facile !
      Cadet A, Section Paloise, nous avions l’honneur de jouer en lever de rideau au stade de La Croix du Prince. Vers 14 heures François Moncla arrivait pour voir « la Première » à ce moment la, un bruissement montait de la main courante, les supporteurs s'écartaient pour ce Béarnais de la vallée d’Ossau …respect !
      Serge Blanco,le précurseur, doit apprécier que ses frères et fils métissés, de notre pays , voient La Vie en Rose sur nos terrains de Rugby …

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    2. Merci Noël... Et oui toi le Palois, forcémement François Moncla ça te parle en proximité. "Vers 14 heures François Moncla arrivait pour voir « la Première » à ce moment-là, un bruissement montait de la main courante : les supporteurs s'écartaient pour ce Béarnais de la vallée d’Ossau … Respect !" J'adore ce passage. On y est, avec toi, sur ce terrain, et on entend et on voit Moncla ouvrant la mer Verte le long de la ligne de touche... Respect, oui. Respect.

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    3. Letiophe, concernant le podcast, il semblerait que les vacances des uns et des autres n'aient pas permis de constituer une équipe assez conséquente pour réaliser le podcast.

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    4. A L'Equipe comme ailleurs les effectifs fondent...

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    5. Ah ben ça c'est la fonte des places !
      Allez Chevreuse

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  12. Madame le Mai..., non, la mair..,,zut, la mairess....
    Bon, chère Maider:
    Je tiens une idée pour égayer la vie de vos administrés,dont j'aimerais respectueusement vous entretenir.
    Il s' agit d'organiser un defilé,une ludique manifestation entre Aguilera et le rocher de la Vierge qu'on appellera la "Couzinade "
    Au slogan de "Thion, t'auras du boudin" nous accompagneront le petit chafouin ci devant président du BO et ses si humanistes patrons vers la mer, je fournis le goudron et les plumes.
    L'occasion rêvée chère Madame de montrer à votre électorat au fond duquel se cache un contribuable qui c'est Raoul !
    Allez, on se tiens au jus, la bizz.

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  13. La pluie ça te mets jamais la journée bien terrible. Et ça te décolore vite fait un match de rugby. Déjà que le top 14 n'a pas besoin de ça. Donc plutôt eau de boudin, les plumes dans le goudron et rien d'intéressant à part le LOU qui se remet à hurler et des coujoux aux pâquerettes mais pas aux girolles et bolets. Racing hors sujet entre sa marge et la limite. Toulon cherche tjrs sa grand voile et finit à la rame pour un nul heureux. Dans l'attente d'UBB/Toulouse si Raoul est de sortie.
    Ça sent le sapin, les boules, mais Noël approche...

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  14. Ouaip,les relations entre Jakie et Toto auraient pris un chemin de Travers que ça m'étonnerait qu'a moitié.
    Aller, Rugby de saison, quoi !

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    1. Match de cas d'or pour finir la journée. Raoul a choisi son camp. Des choses intéressantes. ST résilient mais n'a pas réussi à faire pencher la balance. Grosse défense des 2 côtés qui a laissé le score assez scotché surtout en 1re mt.

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  15. Suis en train de regarder le GP de Djeddah : une tuerie. Un jeu de massacre. Rollerball. C'est vraiment "sale" comme duel entre Verstappen et Hamilton. A côté, Imbernon vs. Palmié, c'était les Bisounours... Max est vrai Mad. Mais Hamilton va gagner ce GP. Et ce n'est que justice.

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    1. il n'y a que des Safety Car, virtuel ou pas, des débris sur la piste, des pénalités, des coups tordus mais aussi des grosses couilles en piste parce que c'est un drôle de rodéo...

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    2. Piting, quel enchaînement du dimanche ! A peine le podium du GP terminé, on enchaîne avec Stade Français vs La Rochelle. On va suivre la performance de Jonathan Danty et celle de Jules Plisson ! Herrera aussi.

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  16. Herrera a signe a BOULOGNE
    Pas vu les matchs viens de lire que PLISSON a fait ron ron
    et dire qu il fut international
    Urios savoure le maillot jaune plus que dix etapes et 2 classiques

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  17. Qui a dit :

    "D’ailleurs, de quel geste parle-t-on ? On fait des heures de débats sur ce petit signe de la main. Moi, sur cette action, je retiens l’incroyable cadrage-débordement qu’il déclenche juste en suivant, presque à l’arrêt, dans un espace minuscule."
    Et de qui parlait il ?

    Allez Chevreuse

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    2. Oui, bien sur, et un Charvet aussi classieux à la plume qu'il l'était sur le pré .
      Allez Chevreuse

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    3. Thomas par Charvet
      Rien à (re)dire

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  18. DUPONT de l ascension
    ballon d or de l ovale
    bien merite
    debut d un regne ou sacre ephemere
    en tous cas bravo l artiste

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