mercredi 7 juin 2017

Sur l'herbe kikuyu

Le Top 14 est à peine terminé que surgit le premier des trois test-matches du XV de France en Afrique du sud. L'urgence, c'est de se défaire de l'urgence, justement. Nous n'avons pas le temps de mesurer l'impact du Bouclier de Brennus sur les populations auvergnates extatiques que déjà craque sous nos pieds l'herbe kikuyu. Coïncidence, vous ne trouvez pas qu'elle a été très sud-africaine, cette finale de Championnat, avec ses percussions axiales et son défi frontal ? Seule entorse au combat d'aurochs qui laisse les nouveaux observateurs commotionnés, une relance de quatre-vingt-dix mètres signée du centre Damien Penaud conclue par l'essai de l'ailier Raka.

L'Afrique du sud semble bien éloignée et nous ne sommes pas préparés à voyager ainsi si vite, si loin. Comme ceux de la geste 1958 dont le geste le plus important était de s'assurer qu'ils avaient bien plié leur survétement dans la valise, dixit Pierrot Danos, avec lequel j'ai passé un moment au téléphone, mardi. Pierrot de Biterre qui avait pris soin d'emporter trois paires de chaussures à crampons, en laissant neuf chez lui. "J'étais maniaque", avoue-t-il dès lors qu'il s'agissait de sortir chaussé.
 
Chaussé il le fut. Un coup de pompe derrière la tête alors qu'il était plaqué au sol. K.-O. donc lors du premier test, ce dont il se souvient à grand peine. Mais il n'y avait qu'une éponge miracle et pas de remplaçant. Pour prolonger l'analogie avec la finale, la filiation de Morgan Parra est remarquable. Comme lui un sacrificiel. Pierrot Danos a laissé sa main gauche à Colombes face aux Anglais et quelques heures de son existence au Cap cette même année, tombé dans le coma à la sortie du vestiaire du Newlands. Commotion cérébrale, déjà, et sans protocole. Il rejouera une semaine plus tard.
 
Ce que je remarque des années cinquante, c'est que personne ne s'est jamais plaint de sa dureté, laquelle permettait aux meilleurs de sortir du lot. Elle servait de piédestal à ceux qui sont devenus des héros. Mias bien sûr mais aussi Barthe. Puis Darrouy, Crauste, Dauga... Les Springboks alignaient des colosses, y compris au centre, multipliaient les regroupements - tout ce qu'on retrouve aujourd'hui et dont beaucoup s'étonnent - et dominaient le rugby mondial. Les défier et surtout les battre chez eux relevait de l'exploit absolu. Les All Blacks n'y parvinrent que très tard dans leur histoire, et les Lions britanniques et irlandais pas avant 1974.
 
Penaud et Roumat, génération 1993, ont donné naissance à des fils qui s'illustrent aujourd'hui. Ainsi, pour un XV de France, sceller une série au pays des Springboks - ceux-là nous l'ont montré en maintenant des points communs à travers les âges - demande de l'abnégation, du cran, du sacrifice, une grosse mêlée, un jeu au pied complet, qu'il soit de déplacement, d'occupation, dans les tirs au but, et aussi dans l'art de passer opportunément des drop-goals. Le succès, ou l'échec, nous en dira long sur la génération 2017, ses motivations, ses ressorts, son potentiel. A mi-chemin entre deux Coupes du monde, une complétement ratée et l'autre qu'on espère réussie, ce voyage marque une bascule. 
 
J'entends cette semaine que le rugby s'est densifié. Et pas pour le meilleur. Ah bon ? Quid des troisième-lignes Mioch, Luciani, Viard et Quilis au centre dans les années 70 et 80 ? Des déboulés de Tuigamala, Sarramea, Nalaga, Harrahan, Mtawarira et North ? Demandez à Maso à quoi ressemblait Jansen ? Que dire surtout de Chabal plein fer en 2007 qui extasiait par milliers les foules rugissantes à chaque KO subi ou provoqué ? Masses et médias ont hissés Jonah Lomu au rang de meilleur joueur du monde: mais qu'a-t-il fait à part foncer droit et renverser tout le monde entre 1995 et 1999 sous des tonnerres d'applaudissements ? Certains s'étonnent aujourd'hui que le rugby soit devenu dévastateur ; hypocrisie que cela, ou absence de culture et de mémoire. Je vous laisse choisir.
  
Nous sommes toujours jugés par nos adversaires, pas par nos partenaires. L'Afrique du sud n'est pas ce qui se fait de mieux aujourd'hui dans l'hémisphère sud, dépassée par l'Argentine. Ce sont donc deux nations au bord de la deuxième division mondiale qui s'affronteront à Pretoria pendant que la Nouvelle-Zélande, double championne du monde, reçoit dignement les Lions britanniques et irlandais, soit l'élite du nord en difficulté dès l'entame dans une tournée majuscule dont nous ne percevons ici que des bribes. Souhaitons juste que les comparaisons ne soient pas trop démoralisantes.
 
Depuis que j'exerce ma coupable industrie, j'ai bien senti que le regard porté par les joueurs et les entraîneurs sur la moindre critique exprimée tourne désormais au pugilat verbal, et je ne parle pas là des réseaux sociaux qui en sont la poursuite et l'extension, attisés par l'aveuglement supporteur, ce que je peux comprendre, après tout. Aux mamies qui balançaient des coups de parapluie à la sortie des matches succèdent les rageux aux cent-quarante caractères, christian claviers qu'il est facile d'effacer.

Aujourd'hui tout est image. Les joueurs soignent la leur. Normal, c'est leur gagne-pain. Difficile de les critiquer, habitués qu'ils sont à l'encens. Qui ne les soutient pas est contre eux, nouvelle règle média à suivre. Ou pas. A celui, arrière, qui me reprochait un soir de 2011 de ne pas avoir apprécié sa performance à sa juste valeur, j'avais répliqué qu'il pouvait s'estimer heureux d'avoir la moyenne. Il me demanda pourquoi et je lui répondis que lorsqu'on a vu jouer Serge Blanco et Jean-Luc Sadourny, il est difficile de s'extasier devant de médiocres performances.

Sans remonter à Pierre Danos et son drop en coin au Cap devant une tribune dans laquelle noirs, métis et indiens du Cap étaient parqués, on aimerait que les joueurs brillent avant qu'on soit censé leur passer la brosse à reluire. Ainsi s'offrent à eux, samedi après-midi, une première occasion de poser leurs pas sur les traces de quelques glorieux ainés, 1958, 1964, 1993 et 2001, quatre histoires que personne n'imaginait ainsi cadrées et débordantes.

Les Springboks sont pas aussi irrésistibles qu'avant, on le sait. Mais pour les avoir suivi en 2015 lors du Mondial en Angleterre après leur fiasco de Brighton contre le Japon - on se remet difficilement, quand on est rugbyman sud-africain, d'un tel traumatisme - j'ai le souvenir d'une demi-finale plutôt réussie face aux All Blacks à Twickenham, les futurs champions du monde sauvant leur match sur une dernière touche, lancer springbok sur Victor Matfield entré à l'évidence pour ça, devant leur en-but.

Depuis, chez eux, tellement de choses ont changé. Le springbok tel qu'apprivoisé entre Le Cap et Pretoria n'est plus, et c'est heureux, l'apanage d'une caste, d'une race, d'une couleur. Il n'est plus le symbole de la domination blanche, l'arme du pouvoir des bons aryens, le prolongement de l'apartheid. Il s'est fondu dans un champ politique et joue, depuis 1995, le registre arc-en-ciel. Difficilement. C'est pourquoi il a fallu forcer les portes de l'intégration et du temps sera nécessaire pour voir émerger l'avenir du rugby sud-africain, pour que leur style nouveau imaginé par Coetzee prenne forme, force et vigueur. A moins que le processus n'aille plus vite que prévu et que les Bleus du duo Novès-Guirado n'en fassent les frais dès samedi. A notre corps défendant.

Prochaine chronique en ligne lundi 12 juin

241 commentaires:

  1. Comme dit précédemment, que de beaux mercredi à venir -comme celui-ci, le premier- avec un Télérama dans la boite aux lettres et ta chronique dans la boite à tout faire. De la culture, du divertissement d'un côté, du rugby, de la réflexion de l'autre. Ou bien l'ensemble des deux ou l'inverse, je ne sais plus bien.
    Bref, belle chronique sur le temps qui passe, le changement ou la permanence, le "progrès" éventuel ("qui tuera l'homme" d'après Charles Péguy si je me souviens bien...).
    Bien sûr, le voyage existe encore et toujours: à pied, à l'origine, puis aidé; par les chevaux, les autos, les avions...Et les bateaux: hier à rames, à voiles, sont aujourd'hui à moteurs...qui, eux-mêmes sont passés du charbon à d'autres carburants...Sans s'en référer aux grecs on voit bien l'intime mélange entre ce qui semble être de la nature des choses, de cette permanence citée plus haut et les modifications qui habillent cette nature profonde. Progrès? Évolution? Amélioration? Décadence? Changement, oui certainement et en tout cas au niveau de la forme.
    Après, tout est question d'histoire, de vécu, de culture...On appréhende sans réflexion le monde dans lequel on nait. On le prend en pleine face. On le vit, l'accepte, le rejette...On s'adapte, forcément. Un jeune qui déboule à 15 ans sur un terrain de rugby le prend tel qu'il est aujourd'hui. Est-il toujours le même pour ce jeune qu'il l'a été pour moi? Je n'en sais fichtre rien mais je l'espère.
    Avec un doute certain: si la pulsion d'un temps donné qui s'applique à un objet a de fortes chances d'être identique aux précédentes, l'objet de son application, lui, étant totalement différent, les zones correspondantes risquent de ne plus être du tout celle qui touchaient les périodes précédentes. D'où certaines incompréhensions générationnelles, me semble-t-il.

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    1. Belle première intervention dans la ligne, André. Tu as bien saisi : "Toucher aux périodes précédentes," voilà ce à quoi je m'efforce...

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  2. Bothanique et kikuyu

    Comme tous les gazons, le kikuyu appartient à la grande famille des Poacées (anciennement graminées). Il répond au nom savant de Pennisetum clandestinum Cependant malgré son nom suggérant une provenance clandestine voire légèrement cachée au commun des mortels, on peut s'en procurer dans toutes les bonnes jardineries .
    Ritchie a dû beaucoup jardiner ces derniers temps il est incollable sur les kikuyus . D’origine subtropicale, il - non pas Ritchie, le kikuyu - supporte très bien la chaleur et la sécheresse. ( remarque de la rédaction : bien abreuvé le Ritchie supporte plutôt bien la chaleur ) Il forme un gazon dense, doux et vert même au plus fort de l’été. Par contre, il demande exclusivement une situation ensoleillée et il jaunit en hiver : on en a vu les conséquences désastreuses sur les crânes de Bastareaud et O'Connor complètement jaunis - jaunardis ? -
    Rustique, grâce à ses puissants rhizomes, il résiste très bien aux piétinements ... ah là on te retrouve ô terrain de rugby ! Et à partir du moment où il a la chaleur adéquate il s’adapte à de nombreux types de sols - c'est pour cette raison qu'à Oyo sont passés au kikuyu synthétique .
    Naturellement il ne fait que 5 à 10 cm de haut - c'est bien pour Paillaugue ça, il doit arriver à distinguer ses partenaires dans la savane - et il n’aime pas les tontes fréquentes ou trop basses - transmis à Maa'Nonu par précaution .

    Il ne faut pas confondre le kikuyu (Pennisetum clandestinum) avec le faux kikuyu (Stenotaphrum secundatun) ou Buffalo Grass soit l'herbe du bison, c'est en raison de cette erreur fatale que le bouclier échappa à Toulon : les bisons toulonnais se crurent à la maison ! Las ... c'était du VRAI KIKUYU !
    Moralité : il faut cultiver notre jardin .

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  3. En sachant ce que l'on veut y faire pousser ..
    Jardin , identité , signature dirait les golfeurs
    Kikone oukonva et comment koniva ..
    cultiver notre jardin et bien voyager c'est ce que l'on va savoir dans peu de temps avec des garçons frais en manque de compétition et d'autres quasi au bout du rouleau
    Les Lions semblent avoir besoin d'un grand temps d'aptation aux nouveaux herbages du Commonwealth
    Rien vu mais j'ai lu qu'ils avaient joue plus Buffalo que félin et que les autres ont joué comme d'habitude
    un franchisé contre une sélection ... ça laisse rêveur et ne détermine pas bien sûr l'issue des test matchs à venir mais quand même Le lion doit se faire des poils blancs à la crinière et se gratter derrière l'oreille

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  4. La grosse différence entre les charges de Lomu & co. et celles de Tuisova et Nonu, c'est que les premiers savaient poser des raffuts dans la règle, avec la main, et que leurs bras en forme de tronc d'arbre faisaient le reste. Underwood (entre autres] pourrait témoigner que Lomu, tu le plaquait pas au ballon ! Et du reste, il ne faisait pas que foncer dans le tas comme un bourrin sans quoi il n'aurait pas marquer autant d'essais.
    Aujourd'hui, c'est coude/épaule vise la tête du défenseur pour l'éteindre, le raffut est "inutile". Parce que ces même défenseurs se sont souvenus de ce que leurs éducateurs leur expliquaient : même un gros lancé, si on se baisse pour le prendre aux jambes, il tombe.

    je n'ai jamais été fan du jeu physique, avec 14 démolisseurs et un 10 pour enquiller genre Angleterre 2003, j'ai toujours considéré qu'on ne jouait comme ça que par défaut, parce que les joueurs en questions étaient trop cons pour comprendre un schéma complexe avec des passes. Ou que leur coach était lui trop con pour en élaborer un. l'échec de Ford à Toulon n'est il pas là : un collectif et une ambition de jeu totalement inadaptés l'un pour l'autre ?

    Parce qu'on peut être physique, très physique même, mais jouer au rugby dans l'évitement et l continuité du jeu : les Blacks ne sont pas vraiment des chevaux légers et pourtant !! Plus près de nous, la ligne de 3/4 clermontoise n'est pas composée des joueurs les plus frêles de France et pourtant là aussi.
    "On" dit que le combat fait partie des fondamentaux. certes, mais s'il y a des fondamentaux, c'est qu'il autre chose à coté qu'il ne faut pas oublier.


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  5. L'ancien temps et ses si belles valeurs :-)

    J'ai joué au rugby dans les années 80 et sa célèbre éponge magique et ses différences de gabarits.

    Il y avait des joueurs de 1m70 pour 65 kilos qui jouaient contre des joueurs de 1m90 pour 90k-100kg. C'était le début des salles de musculation et tu avais des gras du bide qui jouaient contre des body buildés super entrainés.

    Les nombreux KO que j'ai vus et que j'ai subi quelque fois soignés à l'éponge magique et tu jouais sonné toute la partie.

    La différence de gabarit en rugby a toujours existé et j'ai toujours connu des 8 ou des 7 qui allaient péter sur le 9 ou le 10 avec 40 kg de différence. Donc pas mieux que maintenant sauf que maintenant c'est télévisé disséqué ralenti et avec un docteur et tant mieux. Avant en plus, tu ne prenais des coups latte dans la tête sans que personne y trouve à redire.

    Le gazon était naturelle mais les coups bas se cueillaient comme des pâquerettes.

    Pour les EDR, j'ai joué au rugby à l'âge de 9 ans, les différences de taille et de poids existaient déjà, je prenais des coups mais tout autant qu'à la récré ou le célèbre "T'vas voir ta gueule à la récré" était monnaie courante. Sauf que quand tu rentrais chez toi, tu la fermais et surtout t'avais juste intérêt de ne pas te plaindre quelque soit la raclée que tu avais pris. En ce temps, il n'y avais pratiquement pas de "maman" qui venait te voir ni sur le terrain ni à l'école d'ailleurs.

    Du temps de mon fils, un peu plus de parent (pas trop de mamans) et autant de coups que de mon temps avec pratiquement pas plus de suivi. Mon fils a eu arcade ouverte et je l'ai emmené moi même à l'hôpital pour 4 points de suture. Dire que le rugby est violent oui mais depuis très longtemps. Ce ne sera et ce n'est pas un sport pour faire de la dentelle.

    Mon fils me remercie de l'avoir laissé jouer malgré les frayeurs de sa mère quand il revenait le visage marqué et les jambes et le dos zébrés. C'est une super école de la vie. Il y a autant de risque à jouer maintenant qu'avant.

    Pour revenir au Lions, le rugby européens n'a pas fait sa mue. Je ne crois pas qu'ils puissent battre la NZ (ou sur un malentendu).

    Même si les britanniques sont les rois de la botanique et des gazons anglais et du commun health. je ne crois pas que ce sera une promenade de santé et qu'ils vont se faire tondre par les all blacks et des kermesses vont chanter la victoire.

    Le Gé en rien nostalgique et qui pense que le futur sera toujours meilleur. On apprend toujours de nos erreurs.

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  6. La kikuyu fascinait Denis Lalanne. Il devait en rêver sur les fairways de Chantaco. En revanche - et même s'il n'en pensait pas moins - il n'allait pas jusqu'à écrire que le jeu pratiqué par les Springboks était un message envoyé à l'intérieur comme à l'extérieur de leurs frontières. "Venez pas nous chercher, vous nous trouverez". Il est éclairant de relire les commentaires sur le thème, de plus en plus critiques au fur et à mesure que l'opinion fustigeait l'apartheid. L'hyper controversée tournée des Cavaliers en fut le point d'orgue, se retournant finalement contre les intentions de ses instigateurs. Il serait possible de rédiger une thèse universitaire sur la perception des relations Blancs-Noirs au XXème siècle à travers le seul exemple de l'équipe nationale de rugby de "l'Union sud-africaine". Quelqu'un l'a peut-être fait du côté de Stellenbosch, faudra demander à Morne du Plessis.
    Ces temps sont révolus et personne n'osera jouer aux nostalgiques. Désormais, la question est de savoir si l'Africain "de souche" (je risque le bagne, non ?) se mettra massivement au niveau aussi vite et aussi bien que les Maoris. Mais il sera beaucoup plus instructif de voir si leurs "qualités naturelles" modifient en profondeur le style springbok. Entre Habana et Mtawarira, difficile à dire. La chance des Néo-Zélandais est d'être tombés sur un peuple fort, fier, riche d'une culture aussi différente que complémentaire de la leur. L'amalgame a été réussi sans recours aux théoriciens sur l'égalité des races.
    Pour le moment, la France hérite d'un entre-deux. Généralement les périodes les plus passionnantes. Certes, je doute que nos garçons intellectualisent à l'excès l'influence de l'ovale sur la marche des peuples, mais ils sauront vite s'ils jouent Toulon ou l'UBB.
    Au début des années 70, j'avais eu le bonheur de causer de tout ça avec Lucien Mias. Mi ravi, mi agacé de revenir sur la tournée de 58 (le gaillard avait un côté midinette, sauce bourru), il finissait par dire qu'il comptait beaucoup sur Roques, Quaglio, Monméjat ou Barthe et... lui-même pour expliquer que les Gaulois n'en avaient rien à secouer des enfants de Bataves. En ces temps glorieux, les disputes interraciales restaient circonscrites à l'empire de Charlemagne. Et, curieusement le bon docteur n'a jamais prononcé le mot kikuyu.

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    1. Pas plus que Louis Picamoles ne sait que la pelouse de Franklin's Gardes était du Ray Grass de première qualité

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    2. Pas plus que Louis Picamoles ne sait que la pelouse de Franklin's Gardes était du Ray Grass de première qualité

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  7. Et oui, Lulu, Ford pas compatible avec ce top 14 si particulier,pas le premier et il y avait dans le lot des pedigrés trapus.
    Ça pose question, non ?
    Je ne sais pas si tout ces gens sont cons, je crois pas, mais l'obligation de résultat,la pression, le monarque au chéquier,tout les incite à la prudence,fô se rassurer.
    Les jeunes joueurs ambitieux idem, ils savent ce qu'on va leur demander alors vite, sous la fonte, le pot de "vitamines " jamais loin,ça prédispose pas à l'ouverture.
    Allez Paname

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  8. kikuyu ou pas, si les fourmis embarquent les graines, pas de gazon.
    Comme quoi, pas besoin d'être un poids lourd pour niquer une pelouse.
    Certes le rugby est un sport de contacts, et être fans des années 80 c'est bien.
    Mais ce qui m'inquiètes aujourd'hui c'est ce que prennent les joueurs pour mettre et
    encaisser tous ces chocs matchs après matchs. Soulever de la fonte ne fait pas tout.
    Mais oups, il ne faut peut être pas en parler....

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    1. On peut parler de tout ici, mais faut avoir des arguments, des dossiers, des éléments, des preuves. Surtout sur le sujet du dopage.
      Tu sais pourquoi, Lulure ?
      Parce que sinon les joueurs vont se fâcher et nous faire fermer le blog.
      Si, si...
      Déjà, Brice Dulin ne parle plus à la presse parce que les vilains journalistes l'auraient fait passer pour un dopé. Faut dire qu'il s'ingurgitait, lui et d'autres internationaux français à Marcoussis, du supplément énergétique avec plein de saloperies dedans mais personne ne le savait, et donc ni lui ni ses copains qui en faisaient le pub.
      J'hésite entre me dire que Dulin est naïf, benêt, ou crédule.
      Ton avis ?

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    2. Je n'ai aucun dossier mais lorsque j’écoute ses copains Carter, Imhoff et Rokocoko, c'est loin d"être à l'insu de leur plein grès.Sans vous manquer de respect, avec de tels tampons, l'éponge et l'orange ne vous aurez pas remis sur pieds.

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    3. psstt Lulure ... réponds pas, avec ce qu'il vient de s'envoyer dans le coco, le Ritchie chasse le gros dans le Gulf Stream ... l'a bon dos Hemingway ... il va peut être vouloir qu'on l'appelle Papa ? doit pioncer sur son kikuyu Papa ... Putain de vie de journaliste ... Le bagne j'te dis ... Obligé de s'enquiller du rhum en plus ... Une veine qu'il aime pas Tolstoï y 's'rait à la vodka .... Non mieux : Proust ! Et paf une tisane, une ! Longtemps je me suis couché de bonne heure ... tiens on va te croire Marcel ... Bon c'est pas tout ça extinction des feux : tu éteins la lumière Lulure ? Chuuut ... Papa fait des rêves, là il est Harry Morgan, tu vois Bogart ? et Bacall le drague ... Tu sais siffler Lulure ? Tu rapproches tes lèvres comme ça et tu souffles ...

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    4. Sylvie-Gariguette, tu as l'azerty agile en ce moment. Quel talent ! J'ai l'impression de lire un court-métrage.
      Mon heure, c'est plutôt celle-là, autour de 01 heures plutôt que minuit.
      Je vois que l'association cigare et ron fait réagir les Quinconces : Sergio, Marc, Tautor...
      Vu aussi que les Lions ont le blues à l'Eden Park, à jouer comme des automates décalés horaire et que SB Williams est toujours aussi en forme.
      Quant à Cudmore, gonflé, il attaque Michelin.
      Ainsi va le rugby d'ici et de là-bas.
      A suivre. D'ici là...

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  9. SBW ouais, mais le retour de Lauatua est impressionnant. Si Read joue les douillets de l'auriculaire, fera l'affaire.

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  10. Une photo de Ritchie de rhum et cigare m'ont replongé dans un voyage fait à Cuba il y a 20 ans ; évidemment nous sommes allé à la "Bodeguita del medio " sur les traces d'Ernest boire un coup....les voyages ont cela de bien c'est qu'ils ouvrent l'esprit par la beauté du lieu ; puissent nos petits coqs en Afsud se régaler et donner ainsi le meilleur sur le pré !
    Ils ont de la chance de pouvoir dire "j'y étais " !
    On dit que l'herbe est toujours plus verte ailleurs , alors qu'ils profitent de ce kikuyu si prompt a enflammer les esprits !
    Bises à tous de Bastia

    pour le plaisir et un peu de nostalgie
    https://www.youtube.com/watch?v=bHokx2L1wi4

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  11. Bonjour z'à toutezétous, absence prolongée dans les commentaires, maisrassurez-vous n'en ai pas perdu une miette de vos écrits, depuis le colloque de Treignac jusqu'à cette finale.
    Simplement pas d'envie de causer d'un rugby qui fout le camp et qui ne ressemble plus guère au jeu que j'aime. Manque d'envie et d'appétit qui m'a fait zapper les demis, peu intéressé que j'étais par les duels de golgoths qui s'annonçaient, et dernier avatar cette finale, suivie en pointillé sur le petit écran de mon pc, sans commentaires, et qui m'a affligé par la copie rendue des 2 équipes, en matière de contenu, d'initiatives, de maîtrises techniques|-individuelles comme collectives-. Le combat est premier, ADN du rugby, crédo de tous nos penseurs et techniciens et j'adhère en tout, mais le souci c'est que ce combat est devenu premier, deuxième, milieu et dernier, tant de gens affairés autour des phalanges du FLOP.14, staff sportif, staff médical, staff psychologique et mental, composante défense, composante attaque, spécialistes skills, analystes vidéos, techniciens gps, et tout ça pour ça, MERDE !!!!!
    La finale est un parfait résumé de cette saison, qui n'a intéressé les amateurs de rugby que par petites séquences, qui a fait chier les amateurs de rugby pris entre les bisbilles des dames patronnesses FFR et LNR, qui a ennuyé et navré les amateurs de rugby abreuvés des dégoisements et dérapages médiatiques des présidents d'ici ou d'ailleurs qui se croient le centre du monde ovale quand ils ne sont que les ventres gonflés de leur propre suffisance, qui a démoralisé les amateurs de rugby et amoureux de l'EDF devant la pauvreté des prestations des joueurs « élus et en mission », tristes coquelets à la crête en berne et au jeu perdu. Et noyau de cerise sur ce gâteau dégoulinant, ce que je vois dans nos clubs des territoires, dans nos EDR qui n'en finissent pas de copier les grands, eux-même tout fiers de copier les trucs vus à la télé, jusque z'aux tatouages qui te transforment illico-presto en redoutable guerrier, sans parler du protège-dents et des protections et du maillot réplica et de la coupe de cheveux golgothique, bref je te me fais pas à tout ça, à cette évolution qui n'est que régression, à ces discours des experts reclassés et aux banalités gloussées par des blondasses sans classe, à ce grand merdier que devient notre rugby, mon rugby.
    Pas désespéré non plus le Nini, hein, pas encore au point de se tirer une balle, plutôt la rage de tirer un dernier ballon ovale d'un dernier putain de ruck anesthésiant pour s'aller en terre promise et s'affaler dans l'en-but adverse, mais franchement, pour paraphraser nos amis défunts, c'est dur d'aimer ce sport quand il est géré/pratiqué par des ...
    Voilà, pas la banane, hein, et c'est pas la tournée EDF qui s'annonce qui va me requinquer, déjà le chef pas parti avec ses troupes, super, la prépa safari-barbecue re-super, enfin pour couronner le tout nos coquelets z'ont fêté le rugby dans une grande fête au « Pirates Rugby Club », quartier huppé de Randburg où que tout le monde était bien blanc bien nourri bien poli, en AF-S et ça c'est tout simplement super !!!!
    Allez, vous quitte sur ce final pâlichon, des jours meilleurs reviendront (????), et pour tous ceux que la muse habite (bonjour Gariguette), à bientôt pour des proses plus enthousiastes.

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    1. Nini,

      Je te trouve très dur avec les 1/2 finales. Ok pour le Toulon La Rochelle 1 000% d'accord avec toi mais le Clermont Racing m'a vraiment réconcilié avec le rugby que j'aime.

      Pour la finale, j'ai aimé les 20 premières minutes et pas du tout les 60 autres. A la fin, c'est quand même l'équipe qui joue
      le plus et qui marque le plus d'essais dans le Flop 14 qui gagne. Donc ne désespérons pas.

      La fin des Golgoths va arriver ou la fin des Golgoths qui ne passent pas après contact est bientôt terminée.

      La prochaine finale se jouera sur plus de 60 minutes de jeu à la Clermont, c'est la seule façon d'épuiser le lourd puissant tête baissée. Tu vas voir de plus en plus de Penaud et de moins en moins de Bastaraud. C'est la voie de la NZ et tout le monde va y venir.

      Pour répondre à Ritchie, je ne veux pas abandonner, je veux toujours parler de rugby. Et ce blog est pour moi, mon échappatoire à la grisaille qui tombe sur notre jeu. Mais le vent souffle de plus en plus fort et les présidents commencent enfin à voir que sans spectacle, terminé les spectateurs (Pour la finale, juste un seul train de supporters pour Toulon la ville du rugby).

      Le Gé

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    2. "Pour rappel, des efforts tarifaires ont été effectués sur le tarif des abonnements pour la saison 2017 / 2018. Le nombre d’abonnés a fortement chuté ces-dernières saisons puisqu’il est tombé à 6 500 pour l’exercice 2016 / 2017 contre pas loin de 10 000 en 2013."
      Voilà ce qui fera changer le rugby.

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    3. ah Nini ! comme on dit chez les décaleurs de sons "sagesse n'est pas folie " sinon tu passes ici souvent ? 😉😎🍓

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  12. Pour notre EDF, vu comment les joueurs ont terminé la saison (état physique et moral), je pense que les plus chanceux sont les blessés qui vont pouvoir se reposer et se soigner, les autres sont aux travaux forcés, l'ont bien voulu hein. Me pose la question quand-même (c'est une litanie je sais) comment et avec quoi les internationaux de partout peuvent tenir les cadences infligées, dans ce rugby où le ballon est devenu un simple instrument désignant le joueur possesseur qui doit faire le plus de mètres possible (attention le gps juge de paix te statistise sans pitié) sans autre considération -pénible- de jeu, de continuité, de passe, le fameux temps de jeu n'étant qu'un leurre destiné à l'on ne sait quoi, sinon se persuader que le spectacle reste attractif au prix de la minute de pub.

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    1. Hello Nini,
      je compatis. Il y a des moments dans la vie ovale où on n'a plus envie de parler rugby. Alors, un conseil, va voir un match de série régionale, achète ton ticket d'entrée (en plus, tu peux gagner la bourriche), prend une bière tiède et une merguez bien trop cuite à la buvette, glisse toi le long de la main-courante (on dit talenquère dans le sud-ouest)et passe une heure trente à regarder le ballon et les hommes autour.
      Et puis ensuite approche toi du club house, commande une boisson plus "dense" et écoute les joueurs parler de leur match.
      Normalement, après ça tu es guéri. Parce qu'il n'y a pas que le Top 14 et l'EDF dans la vie de rugby.
      Amicalement

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  13. Eh oui Ritchie, le protocole talenqueres, on peut y rajouter une dose de super 18, voir du Celte si rupture de stock.
    Notre nostalgique Nini collationne au mieux nos sentiments,mais devrait à mon sens préciser qu'il stigmatise le Rugby professionnel ( voire fédéral )français, qui n'est pas le centre du monde.
    Bon, petit coucou d'Arcadia, rue d'Orient, so sorry , Nini,quartier très très blanc mais à 500m du Loftus Versfeld.
    Une grosse surprise de mon épouse préférée et d'un ami naviguant chez M'sieur Air Austral, ça aide.
    Si toutefois on trouve les billets ( j'suis pas inquiét ), je ramène un nonos de Etzebeth pour Fagot, juré.
    Allez France...

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    1. Surout Jan Lou, on compte sur toi pour nous raconter Pretoria, le premier test, et tout et tout. Avec Michel en Nouvelle-Zélande pour les Lions, normalement, Côté Ouvert est aux premières loges.

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    2. Plutôt aux premières lodges alors ...

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  14. bonjour à toutes et à tous
    bon, ça fait longtemps aussi, pas désabusé puisque je n'ai plus canal + et je me contente de voir les matches des divisions inférieures aux alentours et en effet, nous nous amusons des commentaires, des garçons qui auraient pu s'ils avaient voulu, des parties de manivelle sans grande conviction mais au moins, on n'a pas reculé, et des attaques de trois quarts qui font encore lever le nombreux public de la tribune d'honneur.
    joueur des années 80 mais joueur jusqu'au bout des mains, j'avoue que j'en garde de bons moments mais diable que c'était violent. Combien de morts, de tétra ou hémiplégiques avons-nous comptés ? ces matches qui se finissaient au pénal ?
    il y a en effet, des choses pas très jolies qui se produisent aujourd'hui, sans doute plus de calcul, de gestion, de physique, (au moins nos joueurs français ne sont plus dépaysés quand ils arrivent en Afrique Australe), la préparation des mecs est devenue too much, mais on ne prend plus de coups de pied dans la tête au moindre regroupement.
    par contre, Pascal Gaüzères est venu faire une conférence de presse au collège de Tyrosse et nos gamins se sont transformés en Ritchie le temps d'un après-midi, et il disait que les joueurs commencent à moins respecter les arbitres et il va y avoir du fil à retordre pour remettre le train dans le bon sens.
    une question: Pourquoi Novès se passe de Parra alors qu'il a survolé la finale ?

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    1. Novès a répondu à la question en conf' de presse: "on ne voulait pas repartir de zéro après 2 ans".
      Sous-entendu: on a dès le début fait une croix sur Parra, et on s'y tient.

      Parra et Machenaud ont un profil similaire: proches des gros qu'ils cornaquent bien, excellents buteurs et pas trop le genre à profiter du moindre intervalle qui se présente.
      Parra est peut-être capable, comme sur cette finale (ou des matchs à très gros enjeu), de se sublimer y compris en défense, Machenaud est peut-être plus régulier et solide quand il s'agit de défendre au près.
      N'oublions pas aussi qu'à l'époque du "choix" de Novès, Parra était peut-être moins à son avantage que ne l'était Machenaud (je n'en sais rien, c'est juste une suggestion).
      De toute façon je ne suis pas objectif, j'ai toujours aimé Parra pour son énorme mental, sa capacité à driver ses avants (notamment à la CDM 2011) voire à passer à l'ouverture sans se poser de questions existentielles, quitte à se faire cibler (malheureusement avec succès...) par un Richie (encore un !) ou un autre...

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    3. Pipiou, un Ritchie est donc un journaliste ? J'espère que je suis davantage que ça.
      Parra en 2011, je le ramenais à l'hôtel en voiture, avec Pascal Papé. Ila avaient besoin d'air. Takapuna était bien étriqué. J'ai gardé d'excellentes relations avec lui. C'est Lièvremont que j'ai ciblé...
      "Marc, le costume d'entraîneur est trop grand pour toi, visiblement", qui faisait suite à sa sortie la veille à l'Eden Park : "Tu m'emmerdes avec ta question", balancé à un confrère du Parisien qui en resta sans voix. Ce jour-là, je fus le seul à prendre sa défense. ML, vexé, et complétement hors du coup, me balança : "Si tu n'es pas content tu peux prendre la porte". Ma réponse : "Nous sommes dans un hall d'hôtel et il n'y a pas de porte". Je me souviens lui avoir fait aussi remarquer que ce n'était pas la peine d'organiser une conférence de presse pour parler de NZL-FRA en match de poule s'il n'avait pas revu ce match à la vidéo, ce que nous, journalistes, avions fait pour la plupart... Il me répondit : "Tu me cherches, visiblement".
      La même réponse que Raphael Ibanez (par sms) quand j'ai écrit sur lequipe.fr que je trouvais bizarre que son équipe (UBB) l'emporte à Exeter alors que lui commentait une rencontre de Toulon en Coupe d'Europe...). Depuis, ce n'est plus son équipe.
      Bref... Ou en étions nous ?
      Ah oui, Parra. Graf.
      Quand tu es Novès et que tu as Machenaud, Serin et Dupont dans ton effectif, je ne suis pas certain que tu sois obligé de compter sur Parra. Sauf en cas de blessure. Parra a eu son heure, entre 2008 et 2015. Personne ne reste indéfiniment en équipe de France. Surtout quand ça ne gagne pas et que tu joues demi...

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    4. Aucun 3ème degré dans ma parenthèse, juste l'analogie des prénoms; les NZ ont McCaw, nous on a Escaw...
      Pour tes rapports avec Lièvremont, on sait ce qu'il en est; histoire ancienne maintenant, non ? Sauf à être rancunier, et certains le sont.
      Pour Parra, même si je l'aime bien, on ne peut pas être et avoir été. C'est le choix de Novès, même si en 2015, Serin et Dupont n'étaient pas encore sur les tablettes.
      Disons que Machenaud et Tillous-Bordes, qui sont de bons joueurs, ne m'ont pas convaincus. Place aux jeunes !

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  15. Tennis féminin du moment et rugby actuel même combat. Boum, boum, boum ...Il me semble qu'un peu d’intelligence, de finesse ne ferait pas de mal!
    Chris Evert...Martina Hingis...

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    1. On ne peut pas tout regarder. Suis dans mon jardin. Soleil magnifique en région parisienne. Faut en profiter.

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    2. fait chaud déjà ici ( 30°) un coup de fraîcheur ?
      « Dans son enfance, il avait été un bon nageur, un pêcheur et un chasseur honorable, un basketteur moyen, un pilier moyen, un golfeur moyen et un tennisman également moyen. Seuls, ses souvenirs de nageur hantaient encore ses rêves; il avait abandonné les autres sports. Il imaginait la nage comme une forme de danse aquatique. Il se voyait, glissant dans l'eau sous les larges nénuphars dont il regardait frémir les longues tiges vertes sur son passage, plongeant sous les arbres morts et surprenant des tanches et des gardons, se faufilant dans des champs de roseaux et frôlant parfois un serpent d'eau ou de minuscules tortues, nageant dans de petits lacs, dans de grands lacs, dans le lac Michigan... »
      3 questions :
      1 - De qui est-ce ? (tu connais vraiment bien )
      2 - Dans quoi ? ( plus ardu mais faisable)
      3 - Tu bois quoi avec ?

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    3. non c'est bien de Jim Harrison, mais pas un été ( il a écrit un truc qui s'appelle un été ? ) ...

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    4. Bon on laisse Ritchie trouver vers 1h du mat' c'est un spécialiste de Big Jim ... sinon réponse demain

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    5. 23h20
      De retour d'AG de copros
      Je dirai "légendes d'automne" de mémoire.
      André, il ne me semble pas que Jim Harrison ait écrit un livre intitulé "un ete". Tu as été chercher ça ou ?
      J'ai beau chercher je ne trouve pas.
      Alors Sylvie ? Legendes ou pas ?

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    6. oui c'est bien Légendes d'automne, c'est le 2e des 3 récits "L'homme qui abandonna son nom " . pour "un été" j'ai pigé, c'est le titre d'un article 'un été avec jim Harrison dans lequel il y a cet extrait d'où la confuse ! mais bon André avait l'auteur et une saison !

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    7. Pour ce qui est de la boisson, de mémoire, je dirais Bourbon. Mais le vin rouge me semble être la passion principale de Jim, au point de pouvoir faire plusieurs dizaines de kilomètres pour aller acheter de bonnes bouteilles à Missoula...
      Non ?

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    8. Hat trick !, les 3 réponses sont bonnes, pour le Bourbon toute sa vie puis l y a renoncé pour mieux apprécier les vins français .

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    9. Ah sacré André. "Un été"... Ca m'a bien fait rire, en toute amitié, hein ? Il faut vraiment se méfier de google. C'est parfois bon pour piocher vite fait mais mieux vaut faire confiance à sa mémoire. Ou alors ne rien dire quand on ne sait pas...

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  16. Peut-être, mais j'aime tout...Enfin, pas tout à fait tout, ce serait certainement trop, mais quand même beaucoup...Et puis vélo ce matin au soleil moi aussi ...Et puis encore, n'oublie pas que je suis retraité et que j'habite la campagne... Et puis, enfin, j'ai trop de souvenirs de vélo à Longchamp quand, tout-à-coup, on se disait:
    -"Et si on allait à Roland Garros voir quelques matches?
    Et on y allait. On posait le vélo près de l'entrée, on payait notre place pas cher et on se retrouvait sur le central à moitié vide pour les 1/4 de finale par exemple...J'y ai vu toute l'armada australienne, Rod Laver en tête, Roy Emerson, Neal Fraser, Fred Stolle.... et Manuel Santana et Nicola Pietrangeli....Les Français Pierre Darmon, Jean-Noël Grinda... Que de beaux souvenirs....Et, dans tout çà, le rugby, jamais loin...Mais je ne suis jamais devenu un professionnel, non. Amateur, éclairé ou pas, je n'en sais rien, mais amateur de l'amour du jeu, du plaisir du corps, des sensations fabuleuses ressenties au tennis, au tennis de table, au volley, au rugby, sur mon vélo, dans l'eau...Bref, j'aime presque tout vois-tu.

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    1. c'est frais comme une ballade sur la Nationale 7, André ! à te lire je me dis aussi qu'on se gargarise de la démocratisation du sport en général du tennis en particulier, mais qui aujourd'hui peut dire à son pote -"Et si on allait à Roland Garros voir quelques matches? "... J'ai comme toi cette impression que tout était simple et facile qu'on se prenait pas le chou à réserver des mois à l'avance, on prenait le vélo et roulez jeunesse ! Un vrai bain de jouvence ! ah zut j'avais oublié "pas de nostalgie de c'était mieux avant ", paraît que c'est pas bien ... ben si c'était vachement mieux avant !

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    2. Non pas toi Gariguette, pas toi :-)
      Moi, j'étais un petit provincial et je peux te dire qu'à part à Paris, il n'y avait rien de rien. Si la plage et la mer quand j'habitais les Sables D'Olonne.
      Alors bof ! Maintenant j'habite dans le sud dans une petite ville et je n'ai pas tout l'impression de me sentir enfermé.

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    3. En regardant ces derniers temps le Giro, les phases finales rugby, Roland Garros, l'impression que tout est canalisé, stéréotypé dans l'exercice sportif en lui même, les tactiques. On voit et revoit toujours les mêmes choses. Des cyclistes qui s'échappent au 1er Km et se font reprendre à la flamme rouge par les sprinters, des grimpeurs qui ne se lachent pas d'une semelle et font mine d'attaquer pour rester à une poignée de secondes à l'arrivée, du boowling en rugby, du jeu fond de cours avec des attaques rarement suivies à la volée en tennis, et j'en passe. Jamais rien d'excitant à par les reporters qui voudraient nous faire croire et nous prennent quand même pour des truffes !!
      Etait ce mieux avant, en tout cas plus de folie, de péripéties, et moins de conformisme, de profilages,...

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    4. Garriguette, plutôt "Bureau des Légendes"...

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    5. ben moi aussi j'étais et suis restée provinciale et quand tu dis le Gé, il n'y avait "rien de rien " ça me surprend, déjà plus de Nature, de chemins de terre à explorer, d'arbres à escalader, d'adultes pas casse pieds mais vigilants sur les gosses que nous étions, à la fois une immense liberté et la protection des "grands" .... Nul besoin "d'activités" préparées, pré- digérées ( je te rejoins Sergio sur le formatage actuel !) ... 3 bouts de bois, deux pierres sur un ruisseau et tu faisais tourner ton moulin, bon je ne vais pas revenir à la cabane chère à Ritchie mais construire ensemble un abri, lieu de mille histoires inventées et racontées 100 fois ça valait tous les centres de jeux, les maisons de jeunes étaient pleines ça se plaignait moins qu'aujourd'hui en tout cas, l'époque est un grand ouin-ouin généralisé ; pour faire du vélo tout terrain faut des pistes spéciales, nous on dévalait des côtes surplombant des ravins "de la mort" on apprenait à surmonter nos peurs, à diriger nos roues plus adroitement .... bref un apprentissage bleus et bosses, avec genoux repeints au mercurochrome et en plus on en redemandait ! 🚲😎

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  17. je viens de lire ceci sur les Sudafs http://www.lerugbynistere.fr/news/mais-au-fait-pourquoi-le-rugby-sud-africain-marche-t-il-autant-sur-la-tete-1205171637.php ... sous l'article, la compo de samedi pas terrible à première vue, lire la liste des absents c'est une hécatombe ...

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  18. Béziers, Narbonne, Toulon et d'autres...
    Années 80 :
    Combien de CRS étaient déjà mobilisés dès l'arrivée des trains ou flottaient aux vitres en ce temps encore ouvertes, les drapeaux d'appartenance aux différentes des équipes ?
    Combien étaient ils pour éviter,bien souvent en vain, que le " ça va partir" en reste aux bras d'honneur ou autres gestes ou paroles déplacés aux abords des portes d'accès.
    Combien de rixes de supporters éclataient elles au cours d'un match ?
    Combien d'arbitres sont ils enfin rentrés aux vestiaires sous protection ?
    Années 2020 :
    Les CRS sont ravis d'assurer la securite de matches de rugby. Un vrai plaisir selon eux comparé au maintient de l'ordre autour de matches de foot.
    Les aménagements des bords des terrains suffisent aujourd'hui à protéger les arbitres.
    Quant aux supporters, il semblerait qu'ils aient transféré leur violence dans le monde virtuel ...
    Dommage, là castagne serait salvatrice si l' on en croit les dernières consignes des éducateurs de jeunes dits " en difficulté ", tendant à prôner les biens fait d'une bonne empoignade...

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  19. Années 70 même... On peut rajouter Perpignan, Agen,... Cc'étaient chaud parfois. Aujourd'hui, on se croirait presque sur un terrain de golf. Perso, ça ne me dérange pas. Bon dans les séries amateurs, ça peut plus chauffer, dans le Sud Est notamment, en dehors et sur le terrain, témoin Vienne/Bédarrides en F 2 et la qualif automatique de Vienne. Pas de retrouvailles l'année prochaine puisque l'un monte.

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    1. Euh... pas plus tard qu'il y a 15 jours, la gendarmerie a du intervenir sur le parcours... et quand on connaît les armes dont les golfeurs disposent, s'ils venaient à mettre la main dans le sac ...
      De ce qui m'en a été expliqué, pouvoir se mesurer physiquement à l'autre ou aux autres dans le cas d'un différent permettrait d'éviter des frustrations.
      On peut donc se demander si la violence verbale retrouvée dans des commentaires sur certains sites dédiés au rugby ou celle de joueurs lors d'interviews ne sont pas la résultante d'une simple frustration de ne plus pouvoir pour des raisons diverses et variées s'exprimer " gestuellement" pour les uns et " gestuellement" et verbalement de façon la plus libre qui soit pour les autres.

      Punkette ( à fond les ballons )

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    2. Expression peut être plus dans les plaquages hauts, les nettoyages dans les rucks,... et ça branche aussi.

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    3. Il y a plein de façons de châtier un joueur sur un terrain de manière régulière.

      Et je pense aussi que nos actuelles 80 minutes de rugby intense.,à la fin, tu n'as plus trop envie de te battre.

      Alors que pendant le "c'était mieux avant', tu trainais de touches en mêlées et de mêlées en touches donc quand les piliers qui avaient la chance qu'un 3ieme ligne ou un 3/4 passe dans le chemin de retour ou d'aller, une partie de manivelles ou de châtiments n'étaient jamais un "crime"

      Ah le "c'était mieux avant" des bourres pifs, des coups de lattes, des fourchettes, et des bagarres générales. ça c'était du rugby.Messieurs dames :-)
      Le Gé

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    4. Le Gé la tendance actuelle chez les jeunes c'est le no limit, les bastons organisées via les réseaux sociaux, des fight clubs clandestins un peu partout et des bagarres à 100 voire 200 participants . Filles et garçons, le tout filmé et relayé sur Snapchat Ca c'est aujourd'hui http://www.leparisien.fr/faits-divers/combats-de-rue-les-ados-se-defient-et-se-filment-a-beauvais-09-06-2017-7032315.php mais c'est incessant depuis 2 ou 3 ans et toujours plus violent
      le désamour pour le rugby et la plupart des jeux collectifs c'est aussi un signe de ce refus du cadre, rien de plus codifié que le rugby, un règlement hyper compliqué et une violence qui quoi qu'on en pense est maîtrisée, même si on peut faire mieux encore pour la limiter .
      Ce qui me fait dire que oui c'était mieux avant c'est qu'il n'y avait pas Internet, les réseaux amplifient tout ; à se demander pour quelle raison obscure on les nomme réseaux "sociaux " .... rien de plus désocialisant en fait ! A moins que le fond de notre société ne soit précisément la violence et l'agressivité ?

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    5. Gariguette,
      je parle de réseaux d as sociaux et aussi de réseaux d'ego.
      Tu sais les batailles entre quartiers dans les petites villes ou les bagarres générales dans les bals du samedi soir ou les bals des pompiers étaient monnaie courante de mon temps. Sauf que personne n'en parlait ou avait un téléphone pour filmer.
      Tu peux demander dans ce blog qui ne s'est jamais battu à la récréation ?
      Nous n'avions pas d'appareil pour se mettre en scène mais souvent des bleus qui étaient nos réseaux sociaux de l'époque.

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    6. les psys te diraient qu'il s'agissait alors de "rituels d'appartenance", il fallait montrer qu'on était digne du collectif, en cela c'était proche d'une initiation
      aujourd'hui on parle de "rituels d'existence" je dois me montrer moi en tant qu'individu qui ne rend de comptes à personne - je schématise - les hiérarchies de verticales deviennent horizontales tout est à égalité, quels que soient le sexe, l'âge ... tu vois ce que cela implique dans les relations sociales ?
      je ne justifie rien des imbécillités d'hier mais celles d'aujourd'hui qui commencent seulement à émerger m'inquiètent ... bref comme le dit justement Charles plus loin, les cons vieux ou jeunes ça m'inquiète beaucoup !

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  20. Les meilleurs souvenir de rugby ne sont pas tous sur les terrains ou autours ,j'ai vécu un moment extraordinaire en 1975 dans la gare d'Agen .J'étais en compagnie de Gérald Martinez et de son père et çà a été un moment de fusion ,de magie .Là se sont croisés pour qqs minutes les supporters d'Agen qui partaient jouer un quart à Toulouse je pense ,ceux de Dax et Brive qui jouaient à Agen (vous suivez?) et nous on était dans le train des biterrois qui allaient à Bordeaux.Je me souviens de ces qqs minutes ou comment dire ,j'étais fier de faire partie de cette famille ,des gourdes échangées ,de ses promesses de se revoir.Unique ...Après j'ai vu aussi des bagarres entre supporters ne soyons pas hypocrites ,mais jamais bien grave .

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  21. Une question
    Pourquoi garder Doussain dans le groupe Elite de 45 et surtout N'tamack et pas belleau de Toulon.
    Des fois, je me demande si Novés ne fait pas des faveurs à ses bons amis.
    Je suis d'accord avec lui pour N'Tamack mais dans ce cas, il fallait prendre Belleau.
    Cela m'ennuie car j'aime bien Novès.
    Le Gé

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    1. Il y a mille et une raison pour lesquelles un joueur peut se retrouver ou pas sur un terrain.
      Elles sont malheureusement parfois bien loin de leurs capacités de permformance rugbystiques.

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  22. Bonjour le Gé,..... la famille, bien sûr, Novès est parrain du jeune N'TAMACK !!! "t'as comprrris le trrruc" comme disait Walter ? ( mais peut-être qu'il sera aussi bon que son père, je n'en sais rien, espérons-le pour lui, Novès et l'EDF)

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    1. Bonjour mon ami Christian, Je trouve cela bien pour N'Tamack, il n'a pas l'air mauvais même si un parrain cela assure et rassure mais rester avec Doussain ???????

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  23. Ah la famille... On y lave aussi son linge sale. Bon, si tu fais du propre avec du sale !!!
    Sinon, la fête annuelle (de famille ??) du rugby au Stade de France et ses autos tamponeuses juste finie, voilà qu'elle va s'émettre dans le Sud Sud, atmosphère africaine. Certains vont soigner (panser) leurs blessures pendant que d'autres soigneraient leur image, c'est le but recherché en tout cas. En terme de jeu ça ne va pas bien changer. Toujours du gros tonnage, tu passes des taureaux pas ailés aux buffles pas zélés, avec des Sud Aff à la baisse. En tout cas pas un air "On dirait le Sud". Y aura t'il du "El Nino" dans l'air ?? On verra... En tout cas tournée indécise, car des effectifs incomplets, des équipes encore dans le doute et l'expectative. Faudra pas la jouer non plus cigare au bec... On espère que le jeu soit bien drivé dans les fairways. P'tête une p'tite fumette de l'herbe kikuyu pourrait donner un air sous jacent à l'esprit et au jeu. Enfin j'sais pas, on verra...

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    1. Si les Afsuds doivent prendre des gens de couleur, je pense qu'ils devront changer leur jeu. Quand tu les vois à 7, le rugby proposé est autre.
      Donc attendons que ces joueurs soient bien intégrés et l'AFSUD va à nouveau faire mal.
      Le Gé toujours optimiste pour un jeu à la NZ sur toute la planète

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  24. Au delà de tout autre considération, l'affaire N'Tamack est une faute de goût. Donc difficilement pardonnable. Sans compter que, s'il existe de bonnes raisons pour sélectionner le filleul (n'en doutons pas), Novès aurait du le dire au lieu d'ouvrir la porte aux ricanements.
    Je lis avec amusement (ce n'est pas péjoratif) les comparaisons hier-aujourd'hui. En fait, une grave question me tarabuste : la proportion de cons évolue t'elle ? Le pingouin qui a lancé la formule "leur faudrait une bonne guerre" avait assez bien synthétisé le problème, même si le remède était pire que le mal. Ironie de l'histoire : dans la crispation tétanisante ambiante, le rugby peut effectivement apparaître comme un havre de quiétude. Au moins, on n'est pas dérangé par les actions d'éclat.

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  25. Espérons que ce jeune N''Tamack soit aussi indiscutable que le jeune Farrel qui avait lui son Père au sein du Staff ... le Rugby me paraît moins nepotique que dans certaines entreprises ou le sang ne garantit pas le talent ...
    Sinon à propos de jeunes les U20 en 1/2 finale combien de temps que ce n'était pas arrive ?

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  26. Je ne veux pas voir le mal partout. Si ce gamin était nul, il ne serait pas l'ouvreur des moins de vingt ans. Je n'imagine pas une seconde Guy Novès choisir ce gamin dans la liste Elite s'il n'était pas bon. Et Jeff Dubois avaliser ça. Ca affaiblirait terriblement Novès et je ne pense pas qu'il aime ça. Doussain dans les 45 ? Ca en revanche, c'est impensable. Ce mec n'est pas au niveau international. J'aurais préféré le petit Belleau.
    Djibril Camara et Gabriel Lacroix payent leurs conneries, à l'évidence.
    Pour le reste, il ne manque pas grand monde. Chaume ?

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    1. Pour être bien clair, je ne reproche pas à Novès qu'il sélectionne N'Tamack. Mais bien Le cas Doussain, je suis d'accord avec toi Richard, pour le reste sauf que j'aurais aussi sélectionné Cancoriet et donc Belleau à la place de Doussain.

      Le N"tamack Doussain peut justement faire penser que ces deux sont dans le même bateau pour Novès. Ce qui au niveau jeu n'est pas le cas dans mon sens.

      J'ai un énorme doute sur Plisson, sa défense porte de Saloon me dit qu'il n'aura jamais le niveau.

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  27. Quand on en sélectionne quarante-cinq, difficile d'en louper beaucoup. Mais OK pour Chaume.
    Doussain... je n'oublie pas les dithyrambes ayant suivi son éclosion. Peut toujours se consoler en pensant aux vacheries décochées sur Trinh-Duc, Lopez, Plisson, pour ne citer que trois ouvreurs. Encore deux-trois critiques et j'en fais mon chouchou. Enfin, on verra.
    Peut-être que le vrai bonheur pour un joueur français est de ne jamais être appelé par un sélectionneur.

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  28. Quand on en sélectionne quarante-cinq, difficile d'en louper beaucoup. Mais OK pour Chaume.
    Doussain... je n'oublie pas les dithyrambes ayant suivi son éclosion. Peut toujours se consoler en pensant aux vacheries décochées sur Trinh-Duc, Lopez, Plisson, pour ne citer que trois ouvreurs. Encore deux-trois critiques et j'en fais mon chouchou. Enfin, on verra.
    Peut-être que le vrai bonheur pour un joueur français est de ne jamais être appelé par un sélectionneur.

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    1. Exact, Charles je me disais d'ailleurs que si l'on faisait abstraction des rancunes et des aigreurs, du népotisme et des faveurs, des vacheries, des critiques, des paiements pour ses conneries ...finalement ça va pas trop mal dans le rugby ?! le tout c'est d'en sortir à peu près intact physiquement, pour le mental... doit y avoir des traces genre bleus à l'âme qui partent pas au lavage ou alors faudra frotter bien fort ...

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    2. pour preuve le petit Bézy, disparu. Cela ne lui a pas du tout servi alors que je le trouvais pétri de qualités. Oups, je me suis encore trompé.

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    3. Ne pas confondre vacherie et critique. Quand un joueur réalise un mauvais match au vu de tous et Lopez et FTD en ont qlq uns à leur passif en équipe de France il est difficile de ne pas le noter.
      Le niveau club est une chose le niveau international une autre.
      Bcp de dix français ont payé pour le savoir : Aguerre, Delage, Montlaur, Paries, Cabrol, Bidart, Rouge-Thomas, Deylaud et maintenant Doussain...

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    4. je ne faisais que compiler les termes utilisés par les blogueurs ces derniers jours ... je n'en finis pas de constater à quel point cet univers que je croyais bon enfant et protégé par ses valeurs intemporelles est en fait terriblement complexe, et surtout marqué par les inimitiés - et c'est un euphémisme ... - voire les haines cuites et recuites . une déception de plus ...

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    5. Voire les haines cuites ?
      Gariguette, peux tu préciser ta pensée, STP ? Actuellement sur l'équipe de France ou dans un club ?

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    6. Heureusement, les journalistes conservent le droit de donner leur opinion sur la qualité de la performance individuelle et collective. D'autant que "les notes" ont de plus en plus la faveur du public, en manque de pouces levés - pouces baissés. Ils n'en perdent pas pour autant le droit de s'exprimer un peu mieux que la moyenne. Donc, de traduire certaines subtilités généralement invisibles pour le non initié, tout en manifestant un certain respect, même pour celui qui est passé au travers.
      Doussain, qui va finir par en avoir marre de servir d'exemple, aimerait beaucoup être dans la peau d'Aaron Smith et pas seulement aux lavabos. Hélas, ce n'est pas le cas. Il n'a pas mis un Colt sur la tempe de Novès pour être sélectionné et il n'a jamais empêché Tillous-Borde, Parra, Machenaud ou tant d'autres de démontrer un talent intergalactique. Mais on lui a fait endosser le costard du mauvais, de celui qui ne devrait pas côtoyer à Marcoussis nos génies en bleu. Aux chiottes Doussain, au pinacle N'Tamack.
      Mais que tout cela ne nous empêche pas de parler des valeurs du rugby.

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    7. Charles, je pense qu'il faut garder mesure. Qui parle de chiottes pour Doussain ? Il est juste pas bon. Quant à Ntamack, on demande à voir. Mais pour Doussain, c'est tout vous dpeuis longtemps. 2011 il me semble. Son entrée en finale était terrifiante. Il perd le ballon qui peut permettre à la France d'avancer dans le camp nzl. Bref. C'étaient ses premières minutes et on peut passer à autre chose. C'était sans doute une énorme connerie de Marc Lièvremont, une de plus, dans ce Mondial tellement bizarre.
      Doussain, il suffit de le voir jouer avec Toulouse pour s'apercevoir qu'il n'a même pas le niveau Top 14. Il serait parfait à Montauban s'il voulait bien se déplacer de quelques kilomètres. je pense que nous sommes nombreux ici sur ce blog, journalistes ou pas, à savoir reconnaitre un demi d'ouverture d'un joueur a qui on demande de jouer dix mais qui n'en a ni la dextérité ni la vitesse de décision ni l'accélération sur dix mètres et encore moins le jeu au pied.
      Pas besoin, Charles, de convoquer les valeurs du rugby pour nous culpabiliser de porter un regard critique sur Doussain.
      Cdlt

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  29. ☺️☺️ Est ce que Raka est selectionable ?

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  30. En 1964, il me semble que Coco Laborde avait été sélectionné, un peu à la surprise générale, par Jean Prat, en lieu et place de Titou Lasserre.

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  31. Bonjour, petit mot de Bretagne pour vous dire que même au golf le kikuyu ne facilite pas le jeu de celui qui n'en a pas l'habitude, c'est une autre partie de la planète...Le voyage me donne le temps de lire et voici ce que j'ai trouvé dans le journal l'Equipe au sujet du basket: Steve Kerr en a eu assez d'entendre ce discours (des anciens joueurs NBA). «Ils ont tous raison, a-t-il attaqué avec un sourire qui soulignait bien l'ironie dont il faisait preuve. Ils nous tueraient tous ! Le niveau de jeu est de plus en plus mauvais avec le temps. Les joueurs ont moins de talent qu'avant ! Ceux qui jouaient dans les années 50 auraient détruit tout le monde ! C'est bizarre de voir comment l'évolution humaine fonctionne à l'envers en sport. Les joueurs sont de plus en plus faibles, petits et en manque de talent. Je ne sais pas pourquoi d'ailleurs !»
    Il semblerait que cela arrive dans tous les sports...Bon match ce soir!

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    1. Michel, tu as sans doute raison, mais quand tu vois Crusaders-Lions, tu te demandes où tu peux acheter les VHS de la tournée des Lions en 71 en Nouvelle-Zélande ? J'espère qu'on aura pas, tout à l'heure, à acheter celle des Bleus en Afrique du sud en 1993...

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    2. Juste un commentaire venu d'ailleurs...et sur un autre sport

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  32. en tout cas, j'ai vu, à la télé le jeune N'Tamak avec les moins de 20 ans, pour lui moins de 18, et j'ai perçu un gamin qui est rugby jusqu'au bout des ongles, et en plus bon en défense sur l'homme. Je pensais auparavant que Penaud pouvait être un trés bon 10, il préfère jouer centre, sans doute bien conseillé, car moins exposé. Et si on avait bientôt l'association Dupont,N'Tamak, Penaud ça cela serait un bon pari pour le rugby que l'on aime.
    PS: j'ai toujours une pensée pour Irribaren.....

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    1. Assez d'accord avec toi, Georges...

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    2. Mais pas pour Irribaren. Qui n'a pas le niveau international, franchement. Georges...

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  33. Attention, alerte à toutes les voitures : commentaire live sur Côté Ouvert pour Afsud-France dans deux heures. A vos azerty...

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  34. Doussain comme quelques autres profite et paie sa polyvalence . Il me semble , mais les experts et historiens de ce sport me corrigeront , que nous sommes à peu près les seuls à utiliser cette polyvalence 9/10 et on voit le résultat , des joueurs protee comme dirait Bala mais ni 9 ni 10
    Jean Marc est dans ce cas , oui je l'appelle Jean Marc , je le trouve sympa , dévoué ( trop ? ) et courageux
    Tant que la critique reste respectueuse tout va bien mais on le sait , nous jugeons et sommes tous juges non ?

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    1. Ce que j'écrivais quelques lignes plus haut pour répondre à Charles. "Pour Doussain, c'est tout vu depuis longtemps. 2011 il me semble. Son entrée en finale était terrifiante. Il perd le ballon qui peut permettre à la France d'avancer dans le camp nzl. Bref. C'étaient ses premières minutes et on peut passer à autre chose. C'était sans doute une énorme connerie de Marc Lièvremont, une de plus, dans ce Mondial tellement bizarre.
      Doussain, il suffit de le voir jouer avec Toulouse pour s'apercevoir qu'il n'a même pas le niveau Top 14. Il serait parfait à Montauban s'il voulait bien se déplacer de quelques kilomètres. je pense que nous sommes nombreux ici sur ce blog, journalistes ou pas, à savoir reconnaitre un demi d'ouverture d'un joueur a qui on demande de jouer dix mais qui n'en a ni la dextérité ni la vitesse de décision ni l'accélération sur dix mètres et encore moins le jeu au pied."

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  35. Richard,
    Eternel Doussain. Je n'ai jamais dit qu'il était bon, ni même sous-évalué par quelque malveillant, j'ai dit et je maintiens avoir lu souvent, trop souvent, des commentaires irrespectueux. On ne peut pas lui reprocher d'avoir abusé Lièvremont, celui-ci s'est gouré tout seul et Novès persévère.
    Dois-je préciser que je ne t'ai pas cité, j'ai seulement exprimé ma pensée sur une certaine forme de commentaires faciles et démagos. Donc, sauf erreur, tu n'étais pas concerné.
    Quant aux valeurs du rugby, je suis effectivement convaincu qu'elles sont en cause quand on s'acharne. Doussain a encore le droit de se regarder dans la glace ou de croiser le regard de ses proches. "Bon" ou "mauvais". A Toulouse ou à Montauban.

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    1. Hello Charles, je ne me sens pas visé. No souci. Et toute liberté est donnée de s'exprimer ici.
      Pour ma part, je n'ai rien lu d'irrespectueux (mais je ne compte par les réseaux sociaux pour les raisons indiquées par Gariguette) chez les journalistes concernant Doussain.
      Quant aux valeurs du rugby pour moi elle s'exprime de visu. J'ai toujours dit que celui qui porte un jugement (j'imagine qu'il est étayé) doit pouvoir le porter aussi en face de la personne concernée. Ce que, personnellement, j'ai toujours fait. Que ce soit pour Lopez, Doussain, Novès, Lièvremont, D. Herrero et autres, quand j'ai fait tomber du lourd...
      C'est la base : les yeux dans les yeux. Et là, souvent, tu vois à qui tu as affaire.
      J'ai, par exemple, le souvenir d'un internaute qui n'arrêtait pas de m'insulter sur L'Equipe.fr., me trouvant nul. Il ajoutait que tout le monde pouvait exercer mon métier sans souci puisqu'il ne consistait qu'à poser des questions à la con à des joueurs.
      Je l'ai donc invité à m'accompagner à Marcoussis.
      Ce qu'il a fait. Il s'agissait d'un étudiant en Master de Droit, qui n'avait rien d'un enragé dans la "vraie" vie et a passé son temps à se confondre en excuses.
      Je lui ai permis, avec l'accord de l'attaché de presse du XV de France, de poser quelques questions à Rabah Slimani. Il a écrit une sorte d'entretien sans queue ni tête ni fil directeur en temps réel, comme c'est la règle au web. Texte bourré de faute, ce qui pour un étudiant de Masters était assez inquiétant.
      Et il m'a dit, ensuite, qu'il serait mon meilleur défenseur désormais sur lequipe.fr... Ce que je crois qu'il est resté... Comme quoi...
      Voilà, c'était l'histoire du jour...

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    2. c'est là que le professionnalisme vient à la rescousse.
      .
      Ces joueurs sont professionnels et ils sont payés un certain montant ou un montant certain pour jouer.

      Pour le cas de Doussain, je trouve qu'il ne mérite pas son salaire et qu'il est sur-évalué par rapport à la pratique de son rugby.

      Si tu payes ta place de cinéma et que tu trouves le film mauvais, tu as tout à fait le droit de dire que le réalisateur ou l'acteur est mauvais.

      Il en va de même pour moi, je n'ai pas toujours été bon (pour ne pas dire mauvais) dans ce que j'ai fait et heureusement des gens m'ont dit "mon ami, vu ton salaire et ta position, tu ne peux te permettre d'être aussi insignifiant" et tant mieux car cela te permet de ne pas te reposer sur tes lauriers et t'améliorer. Et je me suis toujours regardé dans la glace malgré ces critiques souvent justifiés.

      Je me veux en aucun cas insulter ou rabaisser Doussain mais juste dire "désolé, tu n'as pas le niveau requis en tant que professionnel du top 14". C'est tout sans autre animosité et pourtant je suis un fan inconditionnel du ST.

      Et pour le coup, tu as raison vu mon niveau de rugby, je ferais bien de me taire mais vu son salaire je me donne le droit de donner mon avis.

      Le gé

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    3. Le Gé, suis d'accord avec toi. Pas besoin d'être un canard pour commenter la qualité d'un foie-gras, ni d'avoir été astronaute ou cosmonaute pour évoquer le ciel. Comme dirais Walter, "intrinséque ou terrain gras, quand t'es nul t'es nul..."

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    4. En plus, si les spectateurs sont durs, les téléspectateurs encore davantage, les journalistes horribles et les twittos drôles (ou pas), les plus tranchants sont les joueurs eux-mêmes.
      J'ai souvent accès à eux et off, ils ne se privent pas pour balancer. Ils savent que ça ne sortira pas mais ils ne sont pas tendres entre eux. Si nous écrivions, allez, la moitié de ce qu'ils disent, ça ferait du dégat.
      A tel joueur (bon petit joueur de club propulsé en équipe de France pour remplacer un grand nom qui faisait l'unanimité mais pas au sein du comité de sélection) qui avait livré au Parc des Princes une performance médiocre et avouait, sous la douche à ses partenaires avoir été nul pensant récolter quelques baumes et compliments, Claude S. lui lâcha, l'air de rien, en passant : "Mais non, mais non, (prénom), tu as fait ton maximum..."
      Je n'ai rien trouvé ni entendu depuis de pire dans le genre. (ah ah ah)

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    5. tiens c'est bien ça ; ça répond exactement à Gérard qui me demandait des précisions plus haut ! bon je ne vis pas spécialement parmi les Bisounours mais le milieu rugby quel panier de crabes !! ce qui me gêne quand même c'est le côté "ils savent que ça ne sortira pas" ... alors allons-y ; lâchons la bête !! C'est très malsain, presque une invitation au déballage n fait .
      Pas pu encore lire l'article sur Plisson mais le titre " Tout fait mal dans ce sport" je trouve que c'est moche . Non que c'est devenu moche parce qu'avant .... ( non ça c'est juste pour faire bisquer le Gé 😉)

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    6. Gariguette, le off fait partie du mode opératoire. C'est valable partout. Ca aide surtout à saisir. Tu sais très bien que tout n'est pas bon à dire. C'est valable aussi dans le rapport enseignant-élève-parents.

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    7. Quant à Plisson et tout ceux qui trouve que les mots font plus mal que les percussions, je pense qu'ils devraient aller dans la vraie vie, prendre une demi-journée pour s'impliquer auprès d'une assoce, d'une entreprise, avoir autre chose devant eux que le miroir qu'ils posent pour se regarder. Ils sont dans l'image. L'image qu'ils ont d'eux, que les autres ont d'eux, qu'ils pensent que les autres ont ou devraient avoir d'eux. Pour les pratiquer au quotidien, j'en trouve beaucoup très "tendres", vraiment pas "matures", très "enfants" (hic et nunc, avoir tout ici et maintenant). Et ça se ressent sur et dans leur jeu. Le "tout fait mal" est touchant mais aussi inquiétant.

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  36. Oui ayant joué 10 et jamais 9 je vois bien et tellement bien que je savais ce qui me manquait pour passer d'être un joueur " honnête " à un bon joueur donc je sais tout ça pour Doussain , je me demandait simplement si il aurait dû refuser d'être trimbaler
    et de ce spécialiser . À la question doit il etre dans la liste je pense que nom mais pour Belleau j'attendrai un peu comme N'Tamack si doue soit et qu'on puisse le voir en Top 14 faire des performances de haut de niveau . Le ST ayant des lacunes à ce poste c'est le moment

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    1. Desole pour les fautes mais avec l'i phone ....

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    2. L'ortograf n'est pas éliminatoire ici, François.

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  37. Bon allez, rugby à Pretoria. Et que ça vole... Question d'altitude... Et d'attitude, aussi, on espère !

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  38. Première constatation : le XV de France ne fait recette à Pretoria. Stade à moitié plein. Le prix des places ? Je ne suis pas sur place pour le préciser.

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    1. ben et notre agent à Pretoria ? Janlou 00,7 où qu'il est ?

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  39. Ouais les premières passes en avant ben ça me rappelle le top 14 ☺

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  40. Premier quart d'heure catastrophique des Tricolores. 6-0, c'est bien payé. Heureusement qu'on reste à zéro (ah ah ah). Et je vois Picamoles et Poirot à genoux au bout de vingt minutes...

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  41. sont déjà asphyxiés par l'altitude et déroutés par des Boks au jeu inhabituel ?

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  42. 25e : grosse occasion française. A 2 m de l'en-but sudaf. Deux fois vendangée. Dommage.

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  43. 28e : et Kolisi s'échappe encore. Perce seul. Comment les Boks ne marquent pas sur ce coup, incroyable. Il lui suiffisait de se faire plaquer par Dulin pour libérer un partenaire... On échappe de peu à la claque. Au fait, qui défend au ras chez les Bleus ?

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  44. je suis étonné des tribunes vides !
    je suis "rageur " de ces passes vendangés !
    c'est vraiment triste tout ça

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    1. Faible niveau technique français. Il faut Goujon-Le Devedec pour voir du "passe-passe" digne de centres...

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  45. Le voilà l'essai qui couvait 😉😉

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  46. Essai de Kriel (31e). Personne ne surveille au ras des rucks et des plaquages. Que d'erreurs... 13-0 à la demi-heure. C'est normal, franchement. Vu le déchet bleu...

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    1. Alerte, alerte, qui défend au ras ? je répète : qui défend au ras ?

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  47. Faible niveau c'est peu dire moi je dirai un super manque d'envie le nombre de plaquage raté et on se bat pas à la perte de ballon

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  48. 35e quand je vois Fickou baisser la tête et entrer dans la meule. Terrible...

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  49. Heureusement Huget ! Les anciens sont là...

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  50. Ce qui s'appelle "le bon rebond". Comme quoi il faut toujours suivre les coups de pied...

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  51. Renvoi minable jeu à la top 14 et essai contre toute attente avec le rebond ça ne doit pas cacher la misère

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    1. C'est quand même mieux que le Top 14, Tautor. Faut arrêter avec cette fixation. Il y a de belles choses en Top 14 et les Bleus se font bcp de passes. Ils sont maladroits mais tentent.

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    2. Je réfléchis sérieusement à changer ma coupe de cheveux

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    3. Même état d'esprit que dans le top 14 fautes de mains fautes au sol jeu lent souvent... Des joueurs cuits et asphyxiés par l'altitude ...

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  52. Maestria manque de physique il ferait bien d'arrêter de vouloir percer il ne plaque pas et il N avance pas

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  53. Le 10 africain vision de jeu parfaite avec facilité et coup de sandales efficace

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    1. Ah lui, il est nickel. J'adore ses passes, dans le sens de la course. Et 100 % dans les tirs au but. Un ouvreur comme on les aime. Plisson parait bien face à côté. Lent et lourd. Y compris dans sa gestuelle, il joue arrêté.

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  54. Réponses
    1. Les tournées c'est assez souvent le même scénario
      La fatigue , équipe remaniée , ceux qui veulent relancer leur carrière internationale , ceux qui veulent la lancer , le manque de complétion de certain , et enfin l'altitude

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    2. Pas faux, ah ah ah. Mais il y a aussi des moments de magie quand une sélection de bric et de broc se sublime. Mais pour cela, il faudrait que chaque bleu en fasse un peu plus que ce à quoi il pense devoir se plier. C'est mou du genou. A part Vakatawa qui cherche des espaces et Huget qui a de beaux restes et de beaux rebonds.

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  55. Oui Plisson trop lourd mais c'est aussi machenaud qui n éjecté pas assez vite

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    1. Pas aidé par son pack, Machenaud. Personne pour nettoyer. Les Boks sont en embuscade. Maestri-Picamoles-Machenaud-Plisson : l'axe est un peu faible.

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  56. Trente minutes de daube française. Cinq occasions boks dont un essai. Aie le contraste. 16-7, c'est bien payé, oui, Tautor. Ya pas à pleurer. Et l'altitude ne fait pas tout.

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  57. En plus on ne domine pas en mêlée le 8 de l edf pas terrible et goujon pas un poisson dans l'eau la bas

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    1. ah ah ah... Le Gé t'es en bourre. Tu te sens comment ? Parce que pour le deuxième test (c'est pas en altitude), on pense à toi...

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  58. Réponses
    1. Puting, celui-là, Marx, il va devenir capital dans le jeu bok. Ils perdent Bismarck ils récupèrent Marx. Z'ont du répondant, les sudafs...

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    2. nous aussi : à force de parler de l'herbe kikuyu les Boks font jouer un certain Malherbe ...

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  59. Le coq sportif les n° partent en lambeaux et les combinaisons en couilles tellement c'est du niveau junior 😉

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  60. L'ilien n'a pas de problème avec l'atildtude , il est la Le Waka

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  61. Qui peut me dire à quoi sert Atonio il ne tient pas en mêlee il fait des en avants il faut le changer il est déjà mort

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  62. Machenaud sorti à la mi-temps, Serin entre. Fluidité ?

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  63. Il faudrait dire à Plisson de confondre passe à l'aveugle et passe comme un aveugle Plisson vos yeux mes amis pour mieux voir enfin avec serin le ballon vole

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  64. le petit serin n'est pas le perdreau de l'année ....

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    1. Bon ça va être compliqué .. faut arrêter de rende les ballons quand même

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  65. Équipe heterogene avec une défense absente et une jeune équipe sud africaine séduisante

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  66. Merci Plisson merci Plisson
    Merci Plisson merci Plisson
    Tout ce que tu as fait pour les sud africains
    Tu joues comme un pied même à la main
    Merci Plisson merci Plisson
    Merci Plisson merci Plisson.
    Tu joue au stade français
    Mais avec le ballon. Tes pas frais
    Merci Plisson merci Plisson
    Merci Plisson merci Plisson
    Si tu es dans la classe élite
    C'est parce que tu joues comme une b.

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    1. Merci Le Gé toujours Serin

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    2. Allez Jean Marc prend ta chance -))) !
      Bouillie de Rugby , suis même pas sur que ce soit une bonne équipe Sud Af parce que nous c'est n'importe quoi du début à la fin

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  67. Doussain ou Poussin ... Le banc africain c'est pas de la morue

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  68. Bon Plisson il retourne en France il est blessé ah non mince il jouait pas blessé ah je croyais

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  69. 37-14, 77e. Tout est dit, il me semble. Jécris mon compte-rendu et je vous rejoins plus tard. Bien plus tard. Comment ça se fait que je ne suis même pas déçu ? J'ai bien aime le jeu d'attaque des boks newlook. Quant à Dulin qui ne veut pas parler aux journalistes ça tombe bien.

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  70. Chat sourit pas au niveau des lancées

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  71. Dublin offres lui une boisson énergisante

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  72. J'aime le jeu des sud af le jeu des français ben non il n'existe pas

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  73. Quelle correction sans discussion possible on est encore loin du niveau de l'hémisphère sud Lombard arrête de vendre du faux ..
    Le pire c'est que les Sudaf joue au ballon et pas à la percussion ...
    Bonne soirée

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    1. Ca c'est la bonne nouvelle le Sudaf is back ! on les disait bourrins, sont redevenus antilopes !

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  74. Bon Chat il va falloir trouver mieux et au niveau des deuxièmes lignes aussi et Bougalmi il est gros et c'est tout c'est le cousin d Atonio

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  75. Le compte rendu est en ligne sur lequipe.fr, si le coeur vous en dit...

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    1. Et je remarque que les bloggeurs de Côte Ouvert sont pertinents (ah ça va, ça fait longtemps qu'on le sait) : pas trois victoires en série de tests pour les Tricolores... Ouarf ouarf...

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  76. Guy Novès prend la défaite pour lui. Logique. Il protège ses joueurs. Il va jouer sur ce ressort-là pour les préparer pour le deuxième test. Logique.

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  77. Et quand Novès prendra les trois défaites pour lui, on lui f'ra une statue ?
    Pour commenter cette misère, suffit de copier-coller nos réactions d'il y a trois-quatre ans.
    Gourdon, Camara, Picamoles et Plisson ligués pour dérouler le tapis rouge à Jantjies. Barthe, Domec, Crauste et leurs fils spirituels vont nous faire une attaque.
    L'altitude ? M'semblait qu'on avait déjà gagné en altitude (les Blacks aussi). A Durban, faut faire gaffe : c'est un niveau de la mer... J'crois plutôt qui z'étaient obnubilés par les Législatives.
    Enfin, une remarque encore plus nulle : manquait Doussain.

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  78. Après avoir pris l'air et quelques vents à Pretoria s'agirait pas de prendre l'eau à Durban
    La ou Noves à raison c'est que ça ne sert rien de voir un match qui n'en etait pas un
    Surpris de nos cadeaux répétés les Sud Af qui n'en demandait pas temps
    Pas sur en plus que ce soit une grosse équipe en tout cas on ne peut pas les jauger sur le match contre cette équipe de France très très en dessous de son moins bon niveau de cet hiver
    Attendons le deuxieme test avec le retour des tauliers pour voir et les Sud Af ce sera le four nations Le vrai test et c'est pas gagné à mon avis ..::

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  79. Tout ça n'est que foutaise... ça fait voyage scolaire de fin d'année ou on se demande pourquoi certains sont là alors que ça fait un mois qu'ils ne jouent pas ..C'est ça être Pro 🤔 à l'image du maillot "Coq Sportif 2024 Altrad" du cousu main Made in Marcoussis ou les n° s'effilochent comme les joueurs ... Du décousu et dire que nous sommes la vitrine dans le monde de la haute couture Lagerfeld doit bien rire ... Et quand on écoute les commentaires de Canal + sur le papier on est armé et on a manqué de chance car on a fait douter les Boks ... Et on aurait pu passer ..c'est du foutage de pipeaoutou pas plus pros que le staff et les joueurs ...Allez on va gagner .. Jan Lou fais nous une photo des Kids à La Réunion 😎😎😎 invité les à la plage ils méritent un esquimau 😊

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  80. Bon, qu'est-ce qu'on fait ?
    Il est tenant de répondre "rien", de se couvrir la tête de cendres et de se retirer tel Achille boudant le jeu.
    Mais on peut causer, même pour le seul plaisir de faire un peu de bruit avec le clavier. Je parle pour moi.
    Poirot fait le taf. C'est un consciencieux, un méritant.
    Mesnadier fait la paire avec Poirot. Inutile de faire la fine bouche.
    Atonio est désespérant.
    Le Dévédec déçoit. Semble plafonner à un niveau trop juste pour l'international.
    Maestri me fait davantage penser au grand des Compagnons de la Chanson qu'à Retallick.
    Gourdon paraît cuit. Mais il ressuscitera.
    Camara manque moins de bon vouloir que de métier.
    Picamoles est passé tellement à côté qu'il a du finir sur le stade d'entraînement.
    Machenaud-Plisson. Ben... machenaud-Plisson, quoi. A noter que Serin ne marquera jamais cinq essais malins par match.
    Chavancy mérite autant d'être retenu que certains de ses prédécesseurs.
    Dans dix ans, Fickou sera considéré comme un espoir par les optimistes.
    Vaka-Huget-Dulin ne seraient titulaires dans aucune équipe du Tournoi.
    Alors, qui ? Lloris, me souffle un foutriquet !
    Quel est le style, le fond de jeu, le fil conducteur, l'identité, de cette équipe ? Certes, ils portent tous le même maillot, mais pour quoi faire ?
    Désolé de vous avoir fait perdre trois minutes.

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  81. Chez Dros le vendredi soir, pas d'avenir pour la lager, c'est bondé.
    Mais mon pote Struwig tu peux pas le louper, la tête de Pierre Richard sur le corps d'un Michael Jordan anémique , et un sweet des Cheetahs qui fait rigoler tout le bar !
    Ok pour les places, on peut passer au solide; Deux plombes plus tard on est une douzaine er mon binôme Kiki à compris que son baptême de Rugby serait brutal.
    Tout y passe, Durban 95, les Japs, Matfield ce héros, les derniers tests.
    Et bien vite ce sentiment de désillusion, de frustration, de colère rentrée déjà perçu avec les juniors de Jo' Burg l'an dernier.Les vieux démons ne sont pas loin, et les trois blacks du lot ne sont pas les plus tendres.
    Rugby baromètre du pays, ici sûrement plus qu'ailleurs, mais le temps de l'espoir à un petit coup de mou .
    Bon, une nuit et18 trous Kikuyesques plus tard ça va mieux,mouvement vers l'arène et on est dans l'ambiance.
    Pas la folie non plus, hein, une foule plutôt sage, indifférente à mon zoli sweet de Chevreuse tout neuf, bien la peine , je sens mon Kiki plus serein.
    Ma compréhensive voisine m' écoute patiamment louer Jantjies et dessouder Attonio ( plus tard elle me prendra pour un devin ), m'explique que la ferveur est tout autre pour les Blue-Bulls, bref, eux versus nous, en ce moment c'est pas le match du siècle!
    Ça ne le sera pas mais les verts, oh surprise , donneront le tempo.
    Clairement le mouvement était pour eux, l'envie aussi.
    L'avantage, sur place c'est je crois une meilleure perception du rythme, du placement et des angles de course, entre autre, et on a pas vraiment brillé .
    Le pire c'est que nos hôtes du soir, (au calme ça change un peu), vaguement gênés,font la fine bouche, peu satisfaits de leurs rookies finalement ,ça promet !
    Bon, on rentre, gentil week end, quand même .
    Allez, la Boerbizz.

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  82. Les amis
    je pense qu'il faut nous résoudre a avoir un rugby à l'image de notre société , laborieux , difficile , sans vision !
    Notre rugby est comme l'entreprise en France , il ouvre la porte a des talents et ferme la porte a des joueurs , il est chômeur et ne parviens pas a retrouver du travail !
    elles sont loin les années glorieuses de 50 à 80 où l'EDF étaient composés de paysans , d'ouvriers , d'étudiants , aujourd'hui c'est un melting pot de sportifs et non de rugbyman qui compose cette EDF , des grands, des costauds , des musclés mais qui n'ont pas été nourris au biberon de la balle après la classe , ou après la moisson !
    Il y a toujours eu le foot , ascenseur social , sauf que le foot est le sport le plus joué au monde et qu'il continue a être joué dans la rue par des gamins qui n'ont pas de quoi s'acheter des chaussures et un ballon et qui font des joueurs merveilleux ; maintenant il y a le rugby autre ascenseur social sauf que nos joueurs y viennent parce qu'ils sont simplement grands et costauds !
    On ne peut pas demander a un sportif plein de muscles de savoir faire "La passe" , celle qui va faire le décalage , hier en fut la démonstration !
    Je ne peux donc pas critiquer ces joueurs car ils ne sont pas responsables de leur ignorance , on peut juste se demander comment faire pour inverser cela et revenir a des joueurs qui connaissent le rugby, qui ont été baigné dedans dés leur plus jeune enfance !
    Alors si le rugby est devenu ascenseur social on ne peut que féliciter ceux qui s'en sont sortis et ne pas les critiquer en tant que joueurs de ce rugby que nous aimons !
    la France est devenu nation moyenne et le restera et nous devrons nous en contenter tant que notre top 14 n'ira pas chercher les pépites là ou elles sont !
    Le bon joueur de rugby est comme la truffe , il est caché dans un beau terroir ....mais manifestement nous n'avons plus les bons chiens ou cochons chercheurs de truffes , on va chercher ailleurs la truffe chinoise ....pour faire des plats qui ont l'image du beau mais pas le gout du bon ....
    j'arrête là et vais me préparer a aller voter ..
    Bises tous et bon dimanche

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  83. je ne voudrais pas en ajouter une couche sur la détresse commune, mais bon les Rosbeefs avec une équipe-bis (dont 11 bizuths !) ont vaincu les Pumas, c'est ce match-là qu'on aurait dû regarder : 4 essais de chaque côté et selon les spectateurs "une orgie de jeu incessante " "match extraordinaire par la qualité de jeu, rythme et vitesse" . Cette sélection Brit serait supérieure aux Lions . On peut en déduire que non seulement les Brits sont largement au dessus mais qu'en plus avec leurs jeunes pépites ce n'est pas près de s'arrêter . Après cette dérouste en Afsud, j'ai trouvé une nouvelle définition des 3 P : putaing, putaing, putaing !
    Une lueur pourtant dans cette nuit australe : les rugbymen français ne sont pas les plus mauvais sportifs, on a aussi des truffes en football, en tennis, en cyclisme etc . Pas vraiment une consolation ... quoique ...

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    1. j'adore cette comparaison , tu as raison chère amie des alpes , nous ne sommes pas près à manquer de truffes ......heureusement qu'il y a la fraicheur hier d'une Lettone qui joue grâce a la fédé internationale qui l'a aidé ainsi que la Roumaine !
      Je me suis régalé hier de cette finale féminine pleine d'envie, de fraicheur et de jeu fou !

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  84. Je viens de regarder seulement la rencontre, pfffffffffff quelle gabegie de nos coquelets, par contre nette évolution du jeu des Bocks et dans le bon sens. Novès comme les autres, s'est enfermé dans le déni, allez encore une défaite encourageante, grande spécificité de notre EDF, des joueurs qui n'ont rien à faire à ce niveau, d'ailleurs pas trop vu des joueurs de rugby, vu des pros d'l'ovale remplir un contrat -un de plus-, loin de chez eux avec beaucoup d'ennui et peu d'envie. Le malade décline grave, les médecins à son chevet sont de patentés assassins, il reste encore quelques familiers et connaissances pour lui rendre visite, mais tant de souffrances pour les uns et les autres devient pathétique, vaudrait mieux l'euthanasier illico -tout ensemble staff joueurs et dirigeants- et balancer sur le pré des novices qui ont faim, faim de jeu, d'amitié, de collectif, faim de vie quoi, pas de carrière à la con !!!!!!

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