dimanche 14 mars 2021

Encore cinq minutes

Que reste-t-il d'une rencontre quand l'amer efface sur la table de marque les pas des avants désunis ? Quand, à quatre minutes d'un exploit si vibrant, la marée blanche - cet invariant anglais - emporte maul et espérance ? Que reste-t-il d'une défaite quand nous aurons (presque) tout oublié ? Un essai, peut-être, celui de Damian Penaud sur une combinaison magnifiquement articulée. Peut-être. Ce 13 mars revient telle une vague à l'âme car en 1991, à Twickenham, l'essai du siècle n'a pas permis au XV de France d'y remporter un Grand Chelem que Denis Lalanne, dans son dernier compte-rendu pour L'Equipe, considérait même comme un gadget. C'est dire.
Nous gardons en mémoire non pas une défaite, elle aussi frustrante, face aux buts et aux Anglais disciplinés, non, mais un panache bleu. Le temps passe aussi sûrement qu'un "deux contre un" distillé par Matthieu Jalibert pour Damian Penaud. Ce 13 mars 1991, nous étions neuf de L'Equipe dans l'étroite tribune de presse de Twickenham : Denis Lalanne, Henri Garcia, Jean Crépin, Henri Bru, Francis Deltéral, Serge Tynelski, Julien Schramm et Olivier Margot, à côté duquel j'étais assis. La nostalgie, assure le philosophe Vladimir Jankélévitch, serait une mélancolie rendue possible par la conscience de ce qui se situe ailleurs. Pour ma part, elle est davantage nourrie par un parallèle qui associe présent et passé, tel un éternel retour. 
Sur cette haute pelouse, Abdelatif Benazzi fêtait sa récente naturalisation française tandis qu'en coulisses, Jean Fabre préparait une alliance politique avec Albert Ferrasse. Mais ni la carpe ni le lapin n'étaient présents lors de cette réunion organisée à Londres : seulement représentés par Bernard Lapasset, Gaston Lesbats et Marcel Martin d'un côté, Max Guibert de l'autre. La chronique de ce jour faste nous apprend aussi que le pilier bèglais Serge Simon, exclu du terrain avec l'équipe de France universitaire, écopait de six semaines de suspension. Dans cette même rencontre entre fins lettrés, et pour des raisons identiques, la sanction infligée à Didier Lacroix était moitié moins lourde.
Ce jour-là, je n'ai pas vu le moment où Pierre Berbizier allumait la relance, juste capté l'instant où Serge Blanco enclenchait sa foulée chaloupée pour sortir de l'en-but. Assis à hauteur des trente mètres anglais, en tournant la tête nous avions Jean-Baptiste Lafond dans notre axe au moment où il décala Philippe Sella, lequel allait croiser avec Didier Camberabero : le public du Temple se levait telle une vague au passage du ballon et gonflait mètre après mètre son murmure de surprise, d'admiration et de crainte mêlées. Cette séquence conclue par Saint-André, me voilà aujourd'hui au reflux l'un des derniers Mohicans du clavier en activité à pouvoir témoigner in situ de cette fresque french flair qui défilait en cinémascope devant nos yeux, il y a trente ans.
Dans ce registre, d'autres anniversaires seraient à commémorer : le premier succès tricolore à Twickenham en 1951 et, trente ans plus tard, le troisième Grand Chelem au palmarès du XV de France après la passe tourniquet de Didier Codorniou pour Laurent Pardo. Alors, que célébrerons-nous dans trente ans ? Une fable où il est question de lièvres qui détalent le long de la ligne de touche et d'une tortue anglaise qui s'écroule dans l'en-but en bout de course ? Une défaite sertie de deux essais taillés dans le diamant ? 
Il n'y a même pas à se mettre sous la dent une phrase susceptible de passer à la postérité. Rien de tel que la saillie de Jean Prat à Dublin en 1955, alors que le XV de France mène de deux points. A ses coéquipiers arc-boutés devant leur en-but pour endiguer les assauts irlandais, il hurla : "Ces Britanniques, ils vous ont emmerdés pendant cent ans, vous allez bien les tenir cinq minutes !" Ca fonctionne très bien, voire même mieux, en remplaçant "Britanniques" par "Anglais", et ce sont exactement ces minutes, sans doute aussi cette énergie, qui manquèrent aux Bleus du capitaine Charles Ollivon. Notre époque n'aime pas convoquer l'Histoire : elle préfère les éléments de langage... Sans regarder trop loin, le futur proche décidera quel prix donner à la défaite de Twickenham, à l'heure où le pays de Galles mettra tout son choeur à décrocher une nouvelle étoile pour la broder sur l'étoffe de ses héros.

147 commentaires:

  1. Maginot

    Une ligne bleu pleine d'espoir, sûre de son coq, armée jusqu'aux dents, baillonettes affûtées, prête à en découdre avec le destin des défaites ancestrales comme Waterloo, Trafalgar ou Azincourt se magnifie après une désastreuse bulle symbole d'un esprit Gascon plus que Schakespearien. Ah! "Les cinq dernières minutes", Bourrel, Dupuy, Ménardeau, Le Carré, Cabrol, Massard, Barrier, toute une époque où le suspens se contait en minutes, trois générations de commissaires, tenaces, intuitifs et obsédés par la vérité ont fait place à des séries de police scientifique très abouties mais sans saveur. Notre EDF est de la même veine, au scénario bien appris et bien rodée et ce n'est pas un essai en première main qui a changé le résultat final. Cela me rappelle cette naïveté de nos bleus de 14-18 qui pensaient faire un aller retour pour mettre une fessée aux Allemands. L'histoire et le destin des hommes en a voulu autrement. Ce qui me fait dire que cette défaite n'augure rien de bon quand on sait que les Gallois vont venir chercher le grand Chelem. On s'y voyait déjà après 2 victoires. Sauf que cinq minutes ont eu raison de nos prétentions. Pour qu'une recette vous décore de la collerette de MOF, il faut beaucoup de temps,de travail et de modestie pour savourer la consécration. Ce ne sont pas des individualités comme Dupont qui vont renverser l'échiquier des valeurs mais bien 15 voir plus Super Dupont. La demi finale en Afrique du Sud a montré à quel point la ligne d'en but est une chimère dans les arrêts de jeu, demandez à Benazzi. Oublions l'histoire qui ne se compte pas en minutes pour comprendre qu'avant le pain blanc, il faudra apprendre à digérer le pain noir.Je conclus par ceci:
    “Placez votre main sur un poêle une minute et ça vous semble durer une heure. Asseyez vous auprès d'une jolie fille une heure et ça vous semble durer une minute. C'est ça la relativité.” A. Einstein

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  2. ..... Mais c'est bien sur !!!!!! Bon, cher ami, ranger un peu la sulfateuse et profiter de ce que l'on nous offre, parce-que à trop se complaire dans ce qui ne va pas bien on oublie ce q et toujours faire ressortir comme un fil rouge voire écarlate ce qui fonctionne -pas encore- très bien, on touille l'insatisfaction et le maugréant qui envahissent beaucoup de propos et ne récompensent pas vraiment la volonté de notre (notre !!!) EDF de grandir entre victoires et défaites.
    La défaite fait partie du jeu, hein, et dire qu'on s'y voyait déjà, qui c'est "ON" ??? Encadrement et joueurs je crois sont suffisamment au courant des us et coutumes de ce jeu, des faux rebonds et des en-avant distraits, des touches non trouvées et des plaquages manqués, des jugements humains et regards torves des arbitres vidéos, pour justement ne pas s'y voir avant l'heure.
    Donc, oui frustré de perdre mais assisté à un très bon match avec une 1° mi-temps de haut vol, la continuité de l'affaire me plait et j'y adhère, travail et modestie me vont bien et semblent habiter le collectif, et puis c'est pas la guerre, c'est pas la pandémie, c'est un jeu, le rugby, jeu de mains pas vilain, de pieds parfois tordus, de rebonds facétieux, de dénouement tragique ou merveilleux selon que tu joues à droite ou à gauche du centre, je lis et entends autour de moi trop de critiques qui ne font pas avancer vraiment les choses, allez on se ressaisit et puis allez, les ceusses qui aiment tellement les gaufres c'est le bon moment avec un thé ou un café-crème d'en avaler quelques unes
    Allez CAB

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  3. Ah Tautor,je préférais ton post précédent!
    Ces Anglais bien que rentrés dans le rang restent redoutables dans un bon jour, pas une surprise.
    Mais les bleus sont au niveau, largement et ont de quoi foutre les jetons a tout le Nord, minimum!
    Être invincibles c'est une autre histoire, ça n'existe pas et c'est tant mieux, mais les pensés du gros Vuni ou du faraud,pardon Farell avant la mi temps semblaient bien sombres.
    Donc lundi a la récré, quand on fera les équipes je prends Aldritt plutôt que Vuni,et quand je serais grand si on fera des paris sur l'avenir, ben je votera pas blanc !
    Allez, si tu m' crois pas ....

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  4. Equipe jeune qui doit apprendre que pour vaincre l'Île de Royaume-Uni en plus de la beauté il faut de l'efficacité durant 80 minutes. Bonne première mi-temps où les bleus ont partagé et promené le ballon. Seconde mi-temps anglaise qui n'a pas partagé le ballon ni devant ni derrière. EDF en a perdu souvent en-avant, on voit souvent cela en Top 14 tellement le jeu va plus vite que quand j'y étais.
    Ils vont grandir un peu plus et ont joué ensemble toute la semaine. Les Rouges auront du mal Paris la semaine prochaine, le virus du jeu est revenu après un mois d'arrêt où je trouve que dans beaucoup de cas les jeunes n'ont pas été encouragés...Cela reviendra, l'espoir est en eux , un plaisir à voir et sentir pour la prochaine fois. Perdu de peu à chaque fois chez les anglais, le passé nous l'a montré.

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  5. Une première mi-temps de haut niveau des 2 côtés, puis, Aahhrg, ce money time, terme cher à PSA, remember...
    Des 5 premières minutes où Dupont signe d'entrée du french flair d'école histoire de dire qu'on a bien appris la leçon, et ces 5 dernières minutes où la réalité anglaise leur éclate en pleine gueule, avec le consentement favorable du correcteur à la caméra... suite à ce trou blanc fatal dans la conclusion de l'explication de texte, qui les renvoit sur le banc réapprendre leur leçon.
    Voilà c'est tout, c'est français. Richard Pool Jones l'anglo francophone le démontrait dans son article d'avant match. Pourquoi vouloir toujours trouver un coupable pour le bûcher ? Il s'est certes passé ce qu'il y a eu, qui a forcément laissé quelques traces pour des scories comme on dit, apparues en fin de match. C'est une belle équipe quand même, qui a perdu de 3 pts. Un manque de rythme du collectif, des imperfections dans le jugement, quelques fautes de main et dans le jeu laisse la place aux anglais largement un ton au dessus. A mon sens pas foncièrement d'erreur de coaching, NTM, Serin n'auraient pas apporté plus, seul peut être Jelonch... Ils sont toujours en apprentissage et l'examen blanc n'est pas bon, c'est tout. Des britts sur leur égo, orgueilleux, Itoje en étendard qui sauvent pour l'instant les fesses à Jones. On passe à travers une fois de plus, certes. Et on garde notre panache. Pour autant, comme Jlou,..je lâche pas nos french contre les Vuni, May, Farrell, Ford et consorts, même des Gallois....ça paiera puisque ça a eu payé.
    Et j'aime bien la théorie au figuré d'Einstein...

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  6. au nom de la rose ne pas oublier quelle a des epines si son son parfum s etait montre tres discret ces derniers temps hier son bouquet final nous a reveille les capteurs olfatifs
    pour une fois tous les joueurs francais ont repondu present et ont su embellir la partie alors cette defaite si cruelle quelle soit restera un bon moment de jeu perdre ce n est pas un drame lutter vaillement reste l essentiel MAIGRET de(canard) l enigme est resolue pas de coupables maais une belle complicite collective

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  7. C'est en effet une chanson qui nous ressemble Ritchie, sauf que moi je ne les aime plus mais alors plus du tout ! Lol ! Un ou deux éclairs ça ne suffit pas à bâtir une équipe, ils ont eu leur chance, arrivée de Galthié et Ibanez, nouveaux joueurs etc . Ils avaient très bien commencé et ensuite patatras ! à la française "on fait ce qu'on veut ! " . Pas la peine de s'inspirer des théories AB sur la gestion d'équipe, de la vie en équipe pour ensuite faire un mix de déconnades de collégiens attardés, staff en tête !
    Il n'y avait qu'à lire l'interview d'Itoje cette semaine dans l'Equipe pour comprendre qui allait remporter ce match ... à mettre en parallèle avec les pôôôvres éléments de langage péniblement ânonnés par Alldridt entre autres . La classe et les Bidochons .
    Que nous dit Itoje ? : " C'est qu'une finale de Coupe de monde, c'est le match le plus important que tu puisses jouer... Et quand tu le perds, tu ne vas l'oublier rapidement ! C'est un match auquel on fait référence de temps en temps, parce que c'était une grande leçon pour nous." Voilà on part de l'échec pour avancer d'ailleurs lui même après ses fautes à répétition lors du dernier match en est la preuve vivante : transformé hier, vivant et présent au match comme jamais ! il dit aussi " dans le rugby, tu ne peux rien considérer comme un dû. " Lisez la suite elle vaut le coup .
    Nous, nous avons préféré être dans le déni : non nous n'avons pas percé la bulle, non nous ne sommes pas sortis etc pas étonnant que ça leur revienne dans la g .. comme un boomerang ! Mettre Cretin au lieu de Jelonch ! Devant les Brits ! Galthié devait être troublé pour faire ce type d'erreurs .
    Bref . J'imagine que cette défaite va les obliger à faire ce qu'ils auraient dû faire avant ce match : tout mettre à plat et prendre chacun sa part de responsabilité . C'est pas un naufrage loin de là, mais ils ont pris l'eau et perdu la possibilité d'un GC .
    C'est quand même lourd pour une gaufre . Oui je sais j'insiste et ça wafer gueuler . M'en fous je préfère ça aux crêpes .

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    1. Perso, arrête de jouer au diable. Je te suis absolument pas sur ce discours.
      Sinon, ils auraient pris 20 pts de différence dans la gueule

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    2. C'est Galthié qui a voulu instaurer un cadre très strict c'est Galthié qui le premier enfreint ses propres règles et ça vois tu c'est factuel . Et forcément destructeur dans un groupe . Quant à jouer au diable ??? J'avoue que cette expression m'échappe ! 20 ou 3 points cela n'a aucune importance, c'est une défaite quand même .

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    3. Désolé, j'avoue que je suis pas là...

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  8. Et bien le moins que je puisse écrire cest que vous êtes inspirés ce dimanche . Ca fait plaisir de lire des commentaires aussi soutenus.

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    1. Déjà levé le boss 🦘🦘💉💉🙈

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    2. Franchement, deux heures du mat, d'entrée ou plutôt dans la foulée...
      John Rutherford m'a dit être impressionné par la qualité des contributeurs de ce blog. Il ne va pas être déçu, aujourd'hui, ça vise haut.

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    3. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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    4. Tu es notre Muse 💅💄💋🦘🦘💉💉🎶🍾💉💉💉

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  9. Je t'aime, je te hais ?
    S'il fallait gueuler et en appeler aux valeurs morales chaque fois qu'y'en a un qui pisse à côté de la lunette, on n'a pas le cul sorti des ronces...
    Surtout qu'en matière de bêtise(s), les Anglais (qui sont tout autant de jeunes -et moins jeunes- cons irresponsables que les nôtres) ont fait très forts dans le passé (plongeon dans la baie d'Auckland, lancer de nain, etc...). Faut-il les détester pour autant (et tous leurs suivants) ?

    Pour en revenir au match, je me faisais cette réflexion après le coup de sifflet final: notre jeune équipe de France a-t-elle déjà subi une telle pression physique dans un match ? Parce qu'on parle des seules 5 dernières minutes, mais les Anglais nous ont quand même mis sous pression toute la 2ème mi-temps, notamment sur le jeu au pied où Dupont, Jalibert ou Dulin ont été chassés systématiquement, ce qui explique l'occupation au pied approximative, les erreurs, etc...
    A analyser ça, on peut effectivement poser la question du coaching: constatant cette emprise physique et tactique, faire entrer du sang frais costaud devant (Jelonch) et du sang-froid derrière quand on menait encore au score (Ntamack voire Serin) n'aurait-il pas été intelligent ? Sans que les joueurs remplacés (Cretin, Jalibert) aient démérité.

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    1. Pipiou,
      à l'évidence, ce XV de France a perdu le match en seconde période et lorsqu'il a fallu réveiller le banc. Mais les temps forts anglais à partir de la 70e ne doivent rien à personne. En dix minutes, la Rose a dédcidé de son destin. On parle de money time (ça vient du basket), ce n'est pas très beau, mais c'est le moment qui vaut de l'or. On le sait, les dernières minutes ne valent pas les premières.

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  10. Beau texte de Richard Escot. Si la victoire suscite le lyrisme épique, la défaite puise dans tous les replis d'une superbe et lucide amertume.

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  11. Ce matin ça démarrait très sport !
    Déjà sur le littoral la p'tite brunette m'illumine d'un grand sourire.
    Socquette légère, bouclettes au vent,la Dame de Vaujany a pris ses quartiers d'hiver en torturant trois paires de mollets qui ne suivront pas longtemps.

    Et puis au débrif du Bambou-Bar l'autre grand couillon me sèche d'emblée :

    Hé wudjek ( c'est un Polack ,pas des mammifères comme nous ) vers la trentième, le blanc qui pousse le ballon dehors , sous le ventre de Jalibert, tu dis quoi ?

    Ben, je dis que j'ai pas tenu un sifflet depuis longtemps !

    Allez, et vous ?

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    1. Un match sans imperfections n'est pas un match, c'est un livre.

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  12. remember les 2 matchs précédents perdus par les Anglais, dus PRINCIPALEMENT au grand nombre de fautes d'Itoje et aussi à la maladresse ou malchance de Farrel devant les barres. Et hier un Itaje peu en vu sauf sur ses essais de contre sur Dupont et aucune fautes punissables Farrel qui revient à sa régularité habituelle. Ne cherchez pas trop ailleurs la défaite de notre XV National

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  13. Cette défaite est loin d'être la fin du monde pour une équipe toujours en devenir. Je vais tout à fait dans le sens de l'analyse de T. Dusautoir.
    Le problème Covid a laissé des traces qui ne pouvaient pas se récupérer.en si peu de temps.
    Et en 2e mt, peut-être se sont ils trop risqués sur le peu de moments forts avec un rythme qui devenait inférieur à celui des anglais

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  14. "S'il fallait gueuler et en appeler aux valeurs morales chaque fois qu'y'en a un qui pisse à côté de la lunette, on n'a pas le cul sorti des ronces..." Pipiou je voulais te répondre sur cette phrase, en effet pisser à côté de la cuvette c'est un manquement aux règles de bienséance ( ha ! ha ! ) pas aux règles morales ou alors c'est une morale de chiottes !
    Bon au delà de la plaisanterie, la morale ce n'est pas la moraline, c'est fondamental dans tout groupe social . En construisant avec Ibanez un cadre strict dont j'ai rappelé les principes dans la chronique précédente, FG semblait vouloir instaurer une nouvelle éthique du groupe . Et ça a parfaitement fonctionné jusqu'à la boulette de la bulle crevée etc ( voir le résumé de Ritchie sur les sorties ...) . Faire ensuite comme si rien ne s'était passé c'est nier ces fondements et donc quelque part attenter au groupe, le mettre en danger .
    Un rappel de Kant : " De la loi morale découle la dignité de la personne. Car se donnant à lui-même sa loi, l’homme a non seulement un prix, c’est-à-dire une valeur relative, mais une dignité, c’est-à-dire une valeur intrinsèque : “L’autonomie est donc le principe de la dignité de la nature humaine et de toute nature raisonnable“."
    Et accessoirement quelques valeurs morales sachant qu'en philosophie une valeur morale est un critère de choix qui guide le jugement moral des individus et des société :

    La dignité, la bonté, la discipline, l'engagement, l'honnêteté, la loyauté, la maîtrise de soi, le partage, le respect, la responsabilité, la solidarité, la tolérance ....
    Moi je trouve ça plutôt pas mal et je ne veux pas "faire la morale" juste en rappeler quelques principes .

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    1. Mais en demandant que ces principes soient toujours appliqués, par tout le monde et tout le temps, tu enfermes le monde dans une Morale. Et elle me fait un peu peur, cette morale, parce qu'à vouloir l'appliquer à tout et tous, y compris ceux qui ne la partagent pas, on glisse vers une intransigeance qui elle-même peut basculer sur autre chose; et les "correctifs musclés de ces errements" ont toujours annoncé de sombres nuages à venir. En faisant de deux gaufres un point d'éthique, tu t'enfermes d'une certaine manière dans cette intransigeance, qui finit par devenir schizophrénie: autant vouloir retenir toute l'eau dans une passoire, avec des trous plus ou moins nombreux et plus ou moins gros. Tout ce que tu peux faire, c'est choisir les trous que tu essaieras ensuite de boucher avec tes mains. Et c'est déjà difficile.

      En matière "morale" (et le terme est bien vague et mouvant, comme on entend parler des valeurs "républicaines" avec le mouvement martial du menton qui va bien), je suis plutôt comme le prof de gym qui ne demande pas à ses élèves d'atteindre un but et une performance mais d'abord de faire les efforts pour y arriver.

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    2. non pas du tout je me place d'un point de vue philosophique c'est évidemment difficile à atteindre encore faut il vouloir "tendre vers" un peu comme ton prof de gym ... ce n'est pas de l'intransigeance mais de l'exigence dans le sujet qui nous occupe, comment se fait il que toutes les équipes ont pu se plier au protocole sanitaire des 6N sauf la nôtre ? C'est ce qui m'interpelle et qui n'a pas été questionné comme s'il allait de soi que nous Français étions d'une autre essence ! C'est une forme d'arrogance qu'on reproche habituellement aux Rosbeefs . Leur trouver des circonstances atténuantes pourquoi pas ? De là à tout excuser ! Et je persiste à dire qu'un problème non traité ( les Brits te diraient "go through it" c'est à dire traverser le problème) hé bien ça peut surgir de nouveau n'importe quand c'est de la psychologie de base ; je ne sais pas moi une défiance, une adhésion insuffisante au projet ...et ces jeunes doivent apprendre de ces conneries - la gaufre n'est bien sûr que la matérialisation du problème ! Lacan te dirait qu'elle va leur rester en travers de la gorge un moment !!

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  15. “Une seule hirondelle ne fait pas le printemps ; un seul acte moral ne fait pas la vertu.” Aristote

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    1. exactement ! La vertu doit être pratiquée de manière continuelle et non pas épisodique "quand ça nous arrange" l'homme doit pratiquer l'habitude de bien agir, développer son potentiel moral "la vertu morale est le produit de l'habitude" ça doit être dans l'Ethique à Nicomaque sans garantie ...

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  16. Nous avons arrêté de jouer en 2ème mi-temps. A vouloir trop gérer on néglige son propre jeu. C' est bien dommage face à une équipe d' Angleterre qui doute. Les joueurs leaders ont eu moins d' influence. Dupont moins performant, Olivon moins influant. Par contre, Richard, je ne comprends pas la surnotation de Fickou dans l' équipe !

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  17. De plus Jalibert moins bien noté que Fickou....Cherchez l' erreur !

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    1. En même temps ça reste journalistique, au delà de ce qu'ont pu représenter les grands de cette presse...

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    2. Impossible de te répondre. Je ne partie pas à ça et suis rarement daccord avec certaines notations infondées

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    3. Mais je demeure solidaires de mes collègues

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    4. c'est vrai que maintenant dans ce rugby on botte moins souvent en touche.....

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  18. Il est le tapis vert de practice au golf, celui du travail, de la vie, économique, politique, national, mondial, on l’appelle, selon, le cadre ou le contexte, celui dans lequel individuellement ou collectivement nous évoluons ou avons évolué.
    La question que l’on peut se poser est de savoir si les nostalgiques d’une rencontre, d’un match le sont exclusivement pour les souvenirs des actions qui si sont déroulées ou aussi voire surtout pour leur contexte, leur environnement.
    7 en tribune de presse dans un petit espace à Twickenham il y a 30 ans, un seul journaliste avec pour seule compagnie un plexiglas, un flacon de gel et un écran d’ordinateur tout cela dans un silence presque de cathédrale en 2021.
    De quoi se souviendront les nostalgiques en 2051 du match Angleterre France du 13 mars ? Probablement de rien car ils l’auront effacés de leur mémoire tant le contexte était difficile et anxiogène.
    Le tournois des cinq/ six nations a été annulé pendant les deux guerres mondiales, grand nombre s’en souvient ; mais seuls les gardiens de l’histoire se souviennent et savent nous rappeler que la France a été exclue du tournois pendant 10 ans, que des conditions atmosphériques ont perturbé cette compétition il y a 20 ans au même titre que la fièvre aphteuse dans les années 2000.
    Finalement, a se demander si garder la mémoire de ce tournois 2021 marqué par la Covid n’aurait pas été sa suspension à moins que l’oublier ne soit à terme la meilleure solution.

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    1. Exactement, et on passe à l'acte suivant...

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    2. mais il faut bien que les fédé entrent un peu d'argent grâce aux diffusions télés

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  19. Les enquêtes du Commissaire Moule à gaufres :
    « Twickenham, 5 mn d’arrêt ! »

    
Un peu moins de 5mn avant la fin, Moule à gaufres arrive au camion vidéo. Dans cette bulle mise à disposition sur une voie de garage, (french dead end in ze texte) le commissaire procède à une reconstitution des faits avec ces couillons de français faisant mumuse en compagnie d’Itoje. Il est rapidement établi que le cuir a été aplati durant ce si court trajet séparant le Capitole de la roche T...ou un grand chelem de regrets éternels, si vous préférez.

 L’arbitre vidéo fournit à Moule à gaufres de nouveaux renseignements. Ceux-ci concernent principalement deux français suspectés par le commissaire. Celui-ci est un troisième ligne bordelais du genre Cameron-e encensé donc, jamais condamné malgré une puissance de feu de croiseur et de flingues de concours mais étroitement surveillé depuis. Celui-là, Teddy, est une demi-mondaine de l’aile très cotée qui a eu de nombreuses mésaventures dans la défense du terrain, mais dont les anglais n'ont pas vraiment eu à s'occuper.

 Bien que Teddy et Woki nient se connaître et avoir un quelconque lien avec le vénérable Abdel, autre forçat de la ligne, Moule à gaufres se refuse à croire que Cameron-e ait pu invalider l’essai avec une aussi grosse papatte sous la balle sans la moindre aide. Ce d'autant que le témoignage de l’impatiente irlandaise tende à prouver le contraire. 

Les conclusions de Moule à gaufres sont dès lors les suivantes : en tant qu’australo-japonais, Jones a tout intérêt à placer sa fortune hors d'Angleterre. Et comme il sait que celui-ci ne peut l'exporter légalement et sachant que sans victoire, ses bagages seront minutieusement visités, il recourt aux services d’un Andrew ( qui sur le coup Brace de l’air « Pour moi, il n'y a pas essai. J'attends ta confirmation » tentant d’oublier, stiff upper lip, qu’il sera le vainqueur d’un troisième Azincourt dont 2 à titre personnel ) et qui du coup s'adjoint les services de Joy M. toute à sa joie pour sauver les bijoux de la couronne.

 Moule à gaufres— fâché contre pareille destinée qui l'a réveillé en plein rêve de sortie de bulle— considère son enquête terminée et décide ben...d’y rentrer immédiatement. Il conseille à FB ( FaceBulle?) de faire en sorte que les suspects oublient vite, il leur a déjà fait perdre assez de temps comme ça !
    Quitte à utiliser le vieux truc du momentum mal maîtrisé, de la frustration et de décisions contraires consistant à conforter Bébert le supporter dans l’idée que, décidément, l’anglois a une vraie bonne tête de Scapin.

    “Ahi, ahi. Messieurs, vous me voyez... Ahi, vous me voyez dans un étrange état. Ahi. Je n’ai pas voulu perdre, sans venir demander pardon à toutes les personnes que je puis avoir offensées. Ahi. Oui, messieurs, avant que de rentrer dans ma bulle, je vous conjure de tout mon cœur, de vouloir me pardonner tout ce que je puis vous avoir fait, et principalement le seigneur Laporte, et le seigneur Simon. Ahi.”

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    1. "Non de Diou" le vaccin du brutal, pur juice 💉💉💉, rien à voir avec le trafiquant de Montauban et sa liqueur 🦘🦘🦘

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    2. Entre bonne tête de Scapin et bonne tête sentant le sapin...
      Des anglais ayant bien coincé la bulle... française...
      Et la main maradonienne empêchant l'essai de Jalibert en 1re mt on en parle ? L'irlandaise a pas été consultée...
      Juste se rappeler qu'il restait 5mn à négocier mieux que ça et ça passera contre l'écosse et son Lochness. Puis le poireau pourrait se planter. Et on décomptera les points à la sortie. Juste éviter que cette génération passe pas à côté d'un avenir taillée à sa mesure...

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  20. Mon France Angleterre de référence est celui de 1972 ...37 à 12 match de légende avec une équipe composée de stars ....j'étais comme un fou devant ma télé devant devant ce match abouti ...
    Que des noms de légende....azarette bénésis Iracabal ...Claude spanghero esteve, Skrela biemouret Walter...max barrau j Louis berot...maso lux sillieres duprat et notre pierrot Villepreux....comment faire mieux ?

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    1. Mais j'ai beaucoup aimé celui d'hier , il a manqué 15 mns dans les jambes, ils ont été très bons

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    2. Pierre villepreux qui sera à Uzerche début mai

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  21. A la revoyure c'est net, Philippe, les Anglais vont plus vite en seconde mi temps,sans rien changer a leur plan, en avaient ils un autre ?

    Surprise, tant ils semblaient englués dans la tactique de " non possession " des Bleus.
    Des lors ça se complique bien sur,je ne sais pas si on néglige ou si on ne peux plus jouer notre jeu mais c'est pareil, on paye l'épisode Covid peut-être?

    C'est vrai que le coaching semble fébrile, Crétin qui fait un bon match est remplacé par son clone alors qu' Olivon est dans le dur, Waka aussi, Dupont pas au mieux.
    Nous autres , derrière l'écran ne sommes pas les mieux placés pour en juger, donc bénéfice du doute au staff, mais petit rappel au capitaine qui doit plus peser dans cette gestion.

    Et malgré tout ça aurait pu le faire, le match se joue finalement a pas grand chose et c'est plutôt bien, on est loin des célèbres " défaites encourageantes " , si nombreuses et pas si anciennes.

    Ne serait-ce, et depuis les début de cette équipe,un stock de pilliers droits faiblard, on peut rester optimistes,non ?

    Allez Marvelous, adieux

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    1. Ben oui optimistes bien sûr mais pas crédules . Y'a du potentiel qu'ils ont failli gâcher je ne reviens pas sur les circonstances mais bon ...coaching faiblard car FG en proie à ses démons habituels remember Montpellier, tiens on devrait dire à Urios de lui en coller une 2e ! Oui les pilars tu as raison Janlou et le Covid les a sans doute fatigués ... bref on a des explications . Tu as vu les Ecossais ? Remontada de 14 points puis plantada de 3 !

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    2. Dorian, jeune Pilar toulousain d'une efficacité relative fait la connaissance de Lord Fabien de la Bulle, chez son ami William Serviable, un peintre reconnu. Ce dernier vient d'achever le portrait du jeune homme, un chef-d'œuvre qu'ils contemplent tous les trois. Conscient de la fascination et de la perversion que Lord Fabien pourrait exercer sur Dorian, cette « simple et belle nature », William demande à Lord Fabien de ne pas tenter de le corrompre. Mais Dorian se laisse séduire par les théories sur la jeunesse en tronche et le plaisir de ce nouvel ami qui le révèle à lui-même en le flattant : « Un nouvel Hédonisme, voilà ce que le jeu demande. Vous pouvez en être le tangible symbole. Il n’est rien avec votre personnalité que vous ne puissiez faire ». Va naître dès lors en Dorian une profonde jalousie à l'égard de son propre portrait peint par William. Il formule le souhait que le tableau en chie à sa place pour pouvoir garder lui-même sa candeur d'adolescent : “Si c’était moi qui toujours devais rester au top et si cette peinture pouvait morfler à ma place...”

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    3. les 50 nuances de Dorian Grey

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    4. 9 journalistes de l'Equipe emportés par la foule en voyant inexorablement se construire l'essai dit du siècle. Que reste t'il de ces 9 camarades de banc, si ce n'est leur amour de jeunesse, le rugby.
      "Les feuilles mortes" me ramènent en Automne, et à cette première défaite avec panache de cette nouvelle génération. Alors oui, hier, nouvelle défaite comme une ritournelle, on connaît la chanson. Mais point d'amertume, c'est une belle équipe, au point de rappeler à certains les anciens héros de ce sport.
      Espérons que l'écume blanche laissée sur le sable par les vagues Anglaises ne laissera pas de traces , car cette équipe me donne envie d'être au soutien , plutôt que d'attendre qu'elle se plante

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    5. Alors mon petit Robert, écoutez bien le conseil d'un père! Nous devons bâtir notre vie de façon à éviter les obstacles en toutes circonstances.

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  22. Encore 5 mn, ou quand tu oublies la conclusion à Marcoussis...
    oh vals, oh désespoir

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    1. "encore 5 minutes Monsieur le bourreau " seraient les dernières paroles de la Du Barry, ancienne favorite de Louis XV, quand elle fut guillotinée ...

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  23. Et tout ce bordel pour Mme Claude de France, égérie cachée mais non masquée à l'origine de Pépin la Bulle. Voir son fils est une bonne couverture mais elle ne tient pas si chaud que ça. Alors, faute de grives et d'alouettes, les gaufres sont sorties à l'insu de leurs pleins grés, histoire de se réchauffer eux aussi. Et paf, ils sont tous tombés sur les miasmes du Covid. Alors, faut guérir du virus et du cerveau, un mois sans jambes malgré Titi, un groupe partagé entre vertu et gasconades, un coaching encore frileux malgré la couverture, un esprit embué derrière des loupes de myope, un capitaine pas assez lucide sous l'ivresse du résultat et un arbitrage toujours aussi partial, voilà comment un match à notre portée devient un crève cœur digne de débutants. Attention au poireau à venir, il est en avance cette saison sur les prévisions.

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  24. Depuis dimanche matin c'est La Pléiade ce blog...

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    1. trés souvent bien lancée par le Patron...(blog ou Pléiade)

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  25. Bonjour amis blogueurs, l'heure est grave et je délaisse momentanément le rugby pour ouvrir vos yeux sur le vaste monde . Vaste mais de plus en plus con ! Voilà : Pépé the pew, autrement dit Pépé le putois va disparaître des écrans après 75 ans de bons et loyaux services . Créé par Chuck Jones, papa entre autres de Bugs Bunny, Daffy Duck, Bip Bip, Vil Coyote etc , notre putois va être censuré par la morale ( non pas celle dont on en a parlé hier ) . Celle de la "cancel culture" en fait qui consiste à virer de nos chastes yeux tout ce qui est contraire à ses oukases . Pépé le putois est un dragueur ( il parle d'ailleurs avec un fort accent français en VO, DSK si tu nous lis ...) et donc en langage woke ça veut dire sexiste et violeur donc raus ! Vil Coyote est aussi visé car lui c'est un harceleur . On a peur pour Titi et Grominet !!
    Ces personnages là en gros ceux des Looney tunes, des Silly Comedies, de Tex Avery étaient mes préférés dans le monde plutôt gnangnan des dessins animés . Bien évidemment le loup de Tex Avery va passer à la trappe . Quant aux Schtroumpfs je ne donne pas cher de leur peau .
    Il semblerait que sans nous en rendre compte nous entrions peu à peu dans le monde riant de "The handmaid's tale " ( la servante écarlate) . Et comme dirait Ritchie " ça fait chier ! "

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    1. Farpaitement !
      Et en juin dernier, ils avaient déjà supprimé le fusil d'Elmer le chasseur qui cherche toujours à canarder Bugs Bunny avec, "pour ne pas représenter d'armes à feu".
      Mais en laissant Bugs Bunny continuer à se défendre à coup de bâtons de dynamite, va comprendre...
      Ah les cons !

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    2. @gariguette La grande ironie dans la disparition de Pépé the pew c’est que ce personnage incarne le racisme anti-français américain dans toute son abrupte simplicité, mais que celui-ci est tellement intégré dans les profondeurs de la psyché américaine que cet aspect fondamental du personnage ne pose ni n'a jamais posé de problème à personne chez les "cancellers"! ��

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    3. En plus, c'est pas dans la République de Gilead qu'on serait sorti manger des gaufres , hein !
      Allez, on rigole. ..

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    4. si mais après les femmes les auraient lapidés et /ou leur auraient crevé un oeil ou deux que des trucs sympas !!!

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  26. 5 gallois dans l'équipe-type c'est quoi ces inepties, peut être ils ont fait comme moi et regardé le match à Bayonne

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    1. Bah,c'est tellement subjectif Georges, perso j'aurais vu plutôt Fikou que Farrell, mais bon !
      Et puis les Gallois ont plus brillé individuellement que collectivement, l'adversaire s'y prêtait ,ces cinq la n'ont rien volé !
      Pour te plaire peut-être Watson l' Écossais plutôt que Navidi ?
      Allez, un peu mon chouchou ce petit !

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    2. oui les Gallois comme à la parade et en face les Italiens ravis de se payer une bonne leçon de rugby ; battus mais ils avaient un grand sourire à chaque exploit gallois . Sinon vous avez vu Furlong qui fait deux cad deb de suite ?

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    3. Ouais.
      L'action du week-end.
      Le premier sur les fesses, le second dans le vent.
      Avec le poids qu'il y a au-dessus, comment fait-il pour ne pas se fusiller le genou droit sur ces appuis d'ailier ?
      La classe.

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    4. Ne jamais sous-estimer un pilier, j'en ai même connu qui sortait avec un top model !
      Allez, de Chevreuse le top, hein !

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    5. Pipiou : c'est exactement ce que je me suis demandé !
      Bernard

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    6. Vous oubliez Amadee Domenech et Christian Califano, rois du crochet de la feinte et du débordement...

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  27. Furlong un des seul pilier droit a pousser droit un dos plat une technique impressionante bref une association avec Baille et la caste des piliers resplendira
    et que dire de l enorme prestation de Tao en esperant que cela se renouvelle et ne soit pas une repetition de Lorieux une activite incroyable lors d un match contre l AUSTRALIE il me semble et ensuite bonjour tristesse
    et pendant ce temps la notre rugby amateur se meure
    le covid a gagne le test aneanti l arriere garde il est temps de signer la redition
    il faut sauver les soldats de reserve

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    1. Hé ho Alan, Pin pon c'est +/- quarante capes, deux ou trois tournois sur l'étagère ,j'en passe !
      Sauf a être le fils caché de Ferrasse il a quand-même du en réussir quelques uns, non ?
      Allez, Furlong, oui, un client .

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    2. mes frangins m'ont fait remarquer le dos de Furlong : une table ! Et puis Lorieux il est de Grenoble non mais !!

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    3. le rugby amateur ne fait plus de matches mais ils ont gardé la 3e mi temps, en gros ils font plus la 3e que les deux autres ... la reprise va être laborieuse !

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  28. Même pas la 3ème mi-temps, Gariguette, on peut même plus !
    Juste une bière après le petit toucher du dimanche matin.
    Autant dire la misère, quoi...

    Pour Furlong, c'est pas une table de chevet, c'est sûr...
    Non Matthieu, pas taper, c'était juste pour rigoler...)

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  29. les légendes restent
    L'ancien ailier de Lourdes et du XV de France est décédé lundi à l'âge de 88 ans. Il avait remporté cinq fois le Tournoi des Cinq Nations. Henri Rancoule, ancien ailier de Lourdes et du XV de France, avec lequel il a remporté le Tournoi des Cinq Nations cinq fois entre 1955 et 1962, est décédé lundi à l'âge de 88 ans, a annoncé le président de la Fédération Bernard Laporte. « J'apprends avec tristesse le décès de Henri Rancoule, figure du rugby lourdais », a tweeté le président de la FFR lundi dans la soirée.

    À son palmarès, garni avec Lourdes à la grande époque du club, Rancoule comptait trois titres consécutifs de champion de France (1956 à 1958), ainsi que trois challenges Yves du Manoir (1953, 1954 et 1956). Né à Bram, dans l'Aude, il est devenu international à l'âge de 22 ans et a remporté le Tournoi des Cinq Nations à cinq reprises (1955, 1959, 1960, 1961 et 1962) en six participations. Il a porté au total à 27 reprises le maillot de l'équipe de France, pour sept essais inscrits. Son fils, Jean-Michel Rancoule, lui aussi ailier, a également été plusieurs fois sacré champion de France, avec le Stade toulousain (1985, 1986 et 1989), dont il a ensuite été responsable du recrutement pendant plus de 15 ans avant d'accompagner Guy Novès en équipe de France pendant le mandat de l'ancien sélectionneur (2016-2017).

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  30. "Les gens oublient parfois que nous sommes des êtres humains. […] Vous savez, le match parfait n'existe pas, pour un arbitre. Dans ma carrière, je me suis parfois approché du match à zéro faute mais je n'ai jamais réussi à le faire."
    C'est du Nigel dans le texte, mais changez "arbitre" par "joueur", "coach", juste pour rester dans notre domaine, ça marche aussi, non ?
    Allez Chevreuse

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  31. La mort d'Henri Rancoule a, bien entendu, soulevé chez moi de nombreux souvenirs. Ce décès entre, de plus, en corrélation avec une méditation naissante -et inlassablement renouvelée- sur l'histoire du XV de France et de ses équipes successives.
    Depuis quelques temps, déjà, en m'amusant à réfléchir à cette Équipe de France 2021 en regard de toutes celles que j'ai pu connaître depuis 1958, c'est, précisément à cette dernière qu'elle me fait le plus penser: par ses individualités poste à poste, par son collectif, son mental et, de plus en plus par ses innovations techniques.
    Je pourrais développer un peu le sujet, mais je crois que je serais trop long. Alors, je préfère vous poser cette idée en l'état et vous laisser éventuellement y réfléchir.

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  32. Le seul pb que je pourrai rencontrer est la "mémoire" pour analyser ton commentaire ; comme je l'ai écrit plus haut , un des rares matchs dont je me souvienne car gravé au Panthéon des victoires est ce France Angleterre d'anthologie pour moi en 1972...ensuite tu te doute bien que la victoire du 14 juillet reste gravé comme 99..mais sinon ma mémoire flotte entre toutes ces équipes ...

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  33. Trop difficile, trop subjectif, lié à des souvenirs personnels!

    Pour moi un match nul à l'Arm's Park, en 74, le matin on avait gagné à Pontypool ,on a pas payé une bière du week end!

    Et aussi pour toute la frustration, parce que c'est peut être notre meilleure équipe, le match de Durban en 1995!
    Allez Berbize

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  34. Ce n'est pas tellement ce que je voulais dire.
    Aucune idée de comparaison au sens de meilleure ou moins bonne équipe. Tellement difficile ces jugements approximatifs dans le temps!
    Bartali, Coppi, Bobet, Anquetil, Merckx, Hinault, Indurain, ...et tous les autres. Des chiffres, éventuellement, des palmarès aussi, des émotions surtout, des émotions encore et, comme disait Jean Gabin, des émotions toujours.
    Non. Ce que je voulais souligner, c'est cette vie, ce déroulement dans la vie de l’Équipe de France de rugby; comme on peut d'ailleurs retrouver ce phénomène dans toutes les activités humaines que ce soit dans le sport, l'art, la politique ou autre...
    Pour moi, dans ce qui m'intéresse, sport et littérature pour simplifier, j'aime voir, ressentir ces phénomènes de cristallisation qui déterminent une époque et marquent l'histoire. Après, même là, comme le dit Jan Lou, il existera toujours de la subjectivité: mais contrôlée par des faits concrets, contrôlables, vérifiables. Les faits sont têtus, comme disait l'autre.
    J'ai comme l'image du déroulement du temps tel un collier de perles. Ces perles marquent des époques successives fortes. Qui ressortent de la banalité quotidienne et marquent l'histoire. Des périodes successives ou la densité des créateurs donne un style à une époque...Verlaine,Rimbaud,...les années Viennoise,...le Surréalisme,..les Beatniks,...les Hippies,...l'explosion des années 60/70,....entraînant autour d'elles -ces périodes- un foisonnement général, artistique et social. Ces périodes, au gré de ces explosions, se déplacent de lieux en lieux: l’Égypte, la Grèce, Rome, l'Italie,....Vienne, Paris, souvent, Londres, New York, Los Angelès,....entraînant le monde dans une sarabande perpétuelle et magnifique.
    Pour revenir au rugby, historiquement, les grandes équipes de France d'après guerre furent animées par les Lourdais, et puis vînt Mias, en 1958. Derrière une sorte de temps qui passe éclairée par de grands joueurs comme Jacky Bouquet, les Boniface...et une nouvelle perle qui se fabrique et explose brutalement en 1964..Et ainsi de suite, avec par moment, des périodes plus ternes suivant juste le fil du collier avent de retomber sur une densité incroyable de la tournée chez les All Blacks en 1968 et cela de périodes fastes (les perles) en périodes plus faibles (le fil). Cela jusqu'à cette génération de la finale 2011, avant les vaches maigres du fil bien sec jusqu'à la catastrophe de 2015 et aujourd’hui.
    C'est donc sur cet angle, disons historique, que je disais que cette équipe d'aujourd'hui me rappelait celle de 1958.
    J'en resterais là pour le moment.

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    1. C'est magnifique André ! J'adore ta sarabande 🙏🌺

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  35. Et oui André, comme l'astre souverain nos sociétés subissent des cycles, le Rugby n'y échappe pas, même si ce ne sont parfois que des modes.
    Mais avec les pros et leurs cohortes de spécialistes , de datas, de stats et d'analyses vidéo les surprises deviennent plus rares, les innovations rapidement décryptées.
    Finalement on joue tous a peu près pareil au plus haut niveau, non ?
    Et cette fameuse équipe des années 90 était sûrement pionnière!
    Allez Chevreuse

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  36. Daniel Herrero sur France Culture en direct immédiatement.

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    1. Merci, André pour cette info. J'ai écouté et pris la communion. Je confesse, Frère fRitchie, priez pour moi pauvre pêcheur... 🤣
      L'amer, c'est de ne pas avoir vu la mer... Le professionalisme déplace la réflexion sur ce sport et met le doigt sur le résultat en terme de rentabilité vu tous les ingrédients financiers et humains mis en oeuvre, comme dans le cadre d'une entreprise qui doit dégager du chiffre. Et on coure tous derrière, les médias les premiers, l'esprit très critique et une acceptation de vulnérabilité plutôt retrécie...
      Et l'avant, n'était pas pareil bien évidemment. Puisqu'à l'origine et pendant un certain temps, on était plus
      dans l'idée de rencontres (dans tous les sens du terme et à tous les niveaux) et de partage d'un plaisir devenu un boulot aujourd'hui, plus carpe diem, même avec toutes les "chamailleries" et rivalités ayant pu exister.
      Cyrulnik le disait déjà en 95 qu'il préfèrerait toujours voir un match de série avec ce que sont les hommes sur le terrain et les matchs pros tels qu'ils allaient être, dans le sens du foot. Une unification de l'image du rugbyman vers le bodybuilding, l'astreinte à la condition physique supérieure, l'hygiène de vie, un autre rapport à l'argent... un autre monde. Mais ça on le sait maintenant.

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  37. Comment ne pas être d'accord?
    Mais une impression , toute personnelle:
    Depuis deux coupes,au moins, on voit quand-même du beau Rugby, non ?
    Allez Chevreuse

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    1. Par à coup... Selon les équipes capable et qui ont envie d'envoyer un peu de jeu

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  38. Finalement je suis le seul à ne pas avoir entendu Daniel Herrero chez Adèle Van Reeth pour cause de visites impromptues à partir de 10h et 1/4. Et comme je ne peux pas actuellement utiliser le podcast, je suis marron. Tant pis: peut-être pour plus tard...?

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    1. Ah ben c'est dommage car tu serai monté au plafond...🤣
      Mais normalement sur Google tu peux faire la recherche sur ton ordi (pas sur ton vieux tél...) à France Culture actualités... Tu suis le menu de toute les émissions et tu n'es pas obligé de basculer en podcast. Tu peux écouter direct en Replay...
      C'est ce qui m'est proposé sur mon tél.

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    2. Ce soir dans mon lit je ferai la recherche pour m'endormir moins idiot 😂😂😂😂

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    3. tiens donc titre de l'émission : Le sens profond du rugby s’est affirmé titulaire d’une morale" et il paraît que j'avais tort de parler de morale ?? Précurseur je suis !

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    4. Oui, mais après quand tu vas sortir dans la nuit avec ton ovale, tu vas te trouver un peu con tout seul...🤣🤣

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    5. Rapport à Marc, ma remarque.
      Rapport à Gari, oui foncièrement, on est plus sur le social qui engage forcément la morale, du moins on s'arrange avec aussi hein, et le moral en définitive...

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    6. Non on ne s'arrange pas ! Ecoute mieux Michel Serres sur la morale, la loi au dessus de la violence . Il dit LOI, un jeu institutionnel avec des REGLES . Idem que dans la cité des hommes .Bref ...

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  39. Pas seulement Sergio, toutes les composantes du jeu sont mieux maîtrisées, non ?
    La plus belle équipe de nos tendres années en prendrait cinquante par le Japon ou la Géorgie maintenant.
    En même temps le contraire serait dommage,ils y passent leur semaine et le dernier sou du trésorier !
    Allez Gordini notre Dauphine en ce moment 😆😆

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  40. Oui, le mandrin du pro est passé par là...

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    1. Ces Messieurs de Grenoble
      Avec leurs longues robes,
      Et leurs bonnets carrés,
      M'eurent bientôt…
      Vous m'entendez ?
      Et leurs bonnets carrés
      M'eurent bientôt jugé.
      Amusant non?
      Allez, pas encore de complainte sur le mandrin "Black et Deker"

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  41. Bonjour en attendant les matches je lis un livre passionnant de Stéphane Barsacq "Météores" c'est un abécédaire sur les gens les peintres les artistes ... un exemple ? à la lettre R je trouve ceci " Relativité
    Telemann était si apprécié de son vivant que les habitants de Leipzig voulurent l'engager . Après des négociations Telemann finit par refuser la proposition . On dit alors à la cour que, faute d'avoir pu engager "le meilleur" on se contenterait d"un médiocre" . Ce médiocre c'était Jean Sébastien Bach . "
    Plein d'anecdotes de ce style moi ça m'enchante . Rapporté au rugby ça donnerait quoi à votre avis ?

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  42. "Les Météores", de Michel Tournier. Par association de pensée j'ai Guy Boniface en tête qui allait en équipe de France et plus son frère pour d'obscures raisons. Et tous ces frères comme les Alberto, les De Grégorio, les Herrero, les Spanghero...
    Mais je ne sais pas si cela va bien dans le sens de ta question...?

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    1. pas tout à fait André il faudrait trouver un très bon joueur qui renoncerait à un poste excellent ( par exemple une sélection ) et qui serait remplacé par un joueur moins connu mais qui se révèlerait supérieur au final ... tu as ça dans tes sacoches ?

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    2. Et voilà suffisait de demander bravo Bernard 🏈🥳🍓🙏

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    3. Tu dois avoir des tas d'autres exemples et dans tous les domaines: en musique Mozart qui a supplanté Salieri chez les Habsbourg. En peinture Le Perugin qui a accueilli Raphael dans son atelier et qui a été très rapidement supplanté par son élève .

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  43. En foot, je me souviens de Serge Chiesa, footballeur de Lyon qui a refusé les sélections et a été, au final, remplacé par Platini.
    Au rugby, j'ai plutôt des noms qui auraient bien voulu être internationaux mais qui n'étaient pas pris pour différentes raisons plus ou moins "politiques". Je n'arrive pas à me souvenir d'un joueur refusant la sélection.

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  44. Bon ben une première depuis bien longtemps,tout seul , le Rugby c'est pas fait pour ça,puritain de couvre feu!
    La semaine dernière on avait triché un peu mais la, ça fait trop!
    Alors, le maître coq Pivac va nous mitonner une soupe de poireau bien roborative ?
    Probable,en plus il se murmure dans les milieux z'autorisés que Dédé la Dèche lui prête son animal de compagnie préféré, le traître!
    Mais sauf a avoir son bock a l'auberge de Llanfairpwllgwyngyllgogerychwyrndrobwllllantysiliogogogoch, qui peut croire que c'est gagné?
    Raisonnablement pessimiste la semaine dernière, résolument optimiste now!
    Allez, même tout seul, bordel

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  45. ..;euhhh ? ...Zan Lou...50 par le Japon ??? ... au rugby ??? ...(j'ose pas le dire à mes potes de l'époque!! )

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    1. Je caricature un peu , Christian,mais reprends moi si je me trompe :
      Tu t'entraînait deux, trois fois la semaine, le rassemblement des Bleus c'était quatre jours avant le match.
      Ces mecs la ne font que du Rugby, c'est des robots et j'ai bien peur en plus qu'ils avalent des trucs dont tu n'avais jamais entendu parler.
      C'est plus le même sport, plus les même hommes, rien a voir avec le talent.
      Et puis les jaunes, ils se sont quand-même tapés les Springboks,mine de rien ,
      Allez, tout sauf un manque de respect hein, et je serais désolé d'avoir froissé quelque un.

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  46. Ils me font quoi là les Anglais, un match et puis s'en va

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  47. Très beau match qui confirme à mes yeux que l'on a eu de la chance de jouer les Irlandais sans leur charnière habituelle...

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    1. Oui les Irlandais en verve après la Saint Patrick .

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    2. Ça restait un match de collision quand même. Il n'y a pas cet esprit créatif que l'EDF est capable de développer

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    3. Ca dépend j'ai trouvé Furlong trés créatif 🙄

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    4. Mouais, pour moi la créativité est plutôt derrière boire en 3e ligne

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  48. Pour moi les Gallois plus forts....Une main de fer dans un gant de velours ou un machin comme çà...Et nous, sur deux "coups", nous tenons, mais c'est juste...

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    1. Oui pas trop senti le velours ! Main de fer dans un gant d'acier ! Et quel rythme ...

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  49. Quelqu’un est-il capable de faire une synthèse rationnelle de ce match, moi pas !!!

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    1. on a gagné ! je ne sais pas si c'est rationnel mais bon ...

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  50. Deux heures du mat
    J'ai des frissons
    Allez je coupe le son, yesssss!

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  51. Alors là, bravo.
    Ce que je regrette -et c'est valable pour le match précédent- c'est la possibilité aux arbitres de devenir les centres et les maîtres du jeu. Mais où est donc passé Gwyn Walters? Avec cette caméra-vidéo, on peut recommencer "x" fois le match. On savait, dès le début du jeu que, si on le voulait, on pouvait siffler presque à chaque seconde. Aujourd’hui, si les arbitres l'ont décidé, ils le font. A revoir à œil reposé...

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  52. apres ce match 2 choses s imposent comme on echoue souvent a 1 metre de la ligne il faut retrecir le terrain et je propose pour eviter tout le ceremonial pour accorder 1 essai de dissimuler dans l en but des capteurs en somme comme les vieux flippers et d installer sur la barre transversale un feu rouge pour validation de l essai
    au final les francais supportent mieux le rouge alors que les gallois n encaissent pas le jaune
    les gallois ont domine cette partie imposant de defendre sans cesse mais un allant tardif des francais les prive de ce schlem

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  53. "Dominer n'est pas gagner", cqfd.
    La vidéo décrédibilise l'arbitre de terrain dans son jugement immédiat du jeu. Sur la physionomie du match, les Gallois méritaient de gagner sans conteste. Finalement, entre le rouge, les deux jaunes, les séquences vidéos et le mental de cette EDF, nous l'emportons. Ne boudons pas notre plaisir. Terrible fin pour Alu Wyn Jones, capitaine exemplaire et emblématique du Poireau.

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  54. Bon, hébin ces 5 minutes, elles ont été pour nous, ce coup-ci...
    Ça va aider cette équipe à forger son mental, s'en être sortie dans ces conditions, ils s'en souviendront plus tard.

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  55. La rationalité était elle finalement dans le froc des bleus, Pom ? Il semblerait quand même.
    2 essais a 2 non validés. Une possession de balle des français nettement moins bonne qui les met pas dans un bon ratio. Une belle capacité galloise faire jouer des mecs lancés et percutant, ce qui a beaucoup gêné la défense française peut être pas assez haute, ausi. Puis la folie qui paie sa tournée, ce coup ci. Je ne sais pas quel match de l'Angleterre ou de Galles a été le plus intéressant, pour l'instant. J'ai eu peur de l'arbitrage en fin de match avec ce rouge de Willemse, action limite quand même sur laquelle ils n'ont pas lésiné. Puis c'est passé, mais pas tout à fait comme une lettre à la poste comme on dit.

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  56. Ils ne méritaient rien du tout !
    Juste a retourner faire des tours de terrain pour avoir dix minutes de plus dans le réservoir .
    Parce que le ratio, comme dit Sergio il s' inverse grave sur la fin quand même, leur en but devient un peu notre jardin.
    On aurait cru des parigots qui fuient le Covid !
    Allez, nuit courte mais heureuse !

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  57. On a bien souvent râlé sur les bleus qui dominaient mais ne finissaient pas les matches pour leur accorder cette victoire.
    Ils ont eu la détermination d aller se le chercher, et un match ça dure jusqu'à a tant que l arbitre siffle. Pas moins et surtout pas en enchaînant les fautes.
    L annee dernière l Angleterre au même endroit nous faisait vivre une fin de match atroce et nous étions bien contents du résultat que n ont pas su tenir les gallois.
    Vae Victis.

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  58. Le plaisir de voir un match complet de notre équipe, Ils ont retrouvé le rythme des matches modernes Plus de 80 minutes. Encore une fois dommage d'avoir un arbitre né au Pays de Galles, le carton jaune aurait du toucher plus tôt les rouges. La vidéo ne donne pas toujours les décisions correctes. Au moins un des essais accordés au gallois, n'y est véritablement pas.
    Amusant de voir le capitaine ne pas se laisser marcher sur les pieds par cet arbitre lancé par les anglais. Important de parler correctement l'anglais pour faire savoir qui l'on est. On finit par considérer que les britanniques méritent d'être mieux élevés.
    Dans la journée, les Ecossais ont montré que les joueurs anglais ne comprenaient plus ce que leur explique Eddy Jones. Il va pouvoir repartir en Australie.

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    1. Tiens donc!
      Ce brave homme avait bien le droit de naître quelque part quand-même!
      Je l'ai trouvé plutôt serein,souriant et presque complice avec les joueurs tout en restant le patron.
      Et on ne peut lui reprocher la vidéo ,il n'en est pas responsable.
      Allez, a confirmer après revue.

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  59. Tout-à-fait d'accord sur tout, Michel.

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  60. Et Richard? Malade? En vacances? Au boulot?...

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    1. Prepare sa nouvelle chronique ?

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    2. Il a surtout du boulot, avec l'élection du prochain président de la LNR.
      On verra lundi matin...
      J'ai l'angle de la chronique. Il n'y a plus qu'à mais pour l'instant, priorité au direct...

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    3. Et manifestement, l'élection à la LNR, c'est sportif...

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  61. Finalement, le match reporté contre l’Écosse a sans doute manqué contre l'Angleterre, mais, par ailleurs, a certainement profité en fraîcheur et favorisé le physique final contre les Gallois.

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  62. les gallois plus toniques ont impose un siege permanent en 1ere mi temps
    des vagues de bottes de poireau ont deferlees condannant les francais a ecoper sans relache
    fort heureusement une brise de Dullin (du chanvre) les a prives du sacre
    les sorties de Tao et de Jalabert ont diminuees le jeu francais

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  63. il parait que la stratégie actuelle du staf c'est surtout d'être bon en défense, d'essayer de récuperer des munitions dans les rucks, de jouer au pied en envoyant le ballon au loin et donc de monter pour le récuperer notamment en agissant sur les rucks.Ce soir on en vu ce qu'il en était contre des gallois qui ne sont qd même pas les premiers de la classe, on est passé très prés de la défaite. Contre les nations du sud ça ne passera pas. Le rugby , pour gagner c'est d'abord la conquête, touches et mélées

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  64. Bin contents ce matin les Gaulois, à la boulangerie ça cause rugby dans la file, ce jeu qui déconfine à nouveau et à toute berzingue, ce nouveau-ancien-néo jeu de rugby qui redonne des émotions, de l'épaisseur, de l'humain et qui l'espace d'une rencontre réconcilie avec ce que nous aimons de ce que le rugby transporte.
    La victoire est belle, sachons l'apprécier à sa juste valeur, et dans ce pays qui aime tant se dévaloriser et brûler les réussites, sachons remercier les joueurs pour ce qu'ils ont mis dans le match (et pouvaient pas plus je pense, hein!!!), l'encadrement dans son ensemble pour ce qu'il construit patiemment et solidement, et aussi tout le bon peuple de l'ovale, nous compris, tellement frustré de cet isolement forcé des enceintes sportives, mais aussi tellement heureux des émotions dans lesquelles à nouveau un Match de notre EDF nous emmène, depuis le temps que d'aucuns nous avaient fait disparaitre le mouvement et l'initiative qui empêchaient au jeu de simplement respirer, inspirer, et non plus soupirer à la gabegie !!!!!
    Quelques remarques, la vidéo, pas ma tasse de thé, mais là on a battu tous les records.
    Pour nos joueurs, je trouve que Jelonch et Serin ont beaucoup apporté lors de leur rentrée, le premier en ayant un abattage défensif/offensif assez impressionnant et, par son dynamisme, entrainant avec lui la troupe déjà bien entamée, le second en apportant plus de sérénité à son poste d'aiguilleur du jeu, dans une fin de rencontre ou plus de tête vaut mieux que trop de précipitation.
    Voilà, hier soir on avait organisé autour du match une petite soirée gaufres/pintes, avec toutes les précautions utiles et nécessaires, à la fin l'est pas resté une gaufre dans le travers des gosiers, pour les pintes je vous en cause même pas ...............
    En résumé, FG et consorts dans le bon chemin, même s'il est long et tortueux, l'orientation tachnico-tactique semble intéressante, comprise et adoptée de et par tous, au-delà de la victoire on voit bien que la construction d'un collectif et de son appropriation d'un projet de jeu commun se fait et s'organise petit à petit, sais pas vous mais moi le prochain Ecosse/EDF ça me met déjà les pailles ovales en ébullition.
    Bon dimanche à vous,
    Allez les Coujoux du CAB, tiens un peu d'histoire, ce surnom coujou pour les brivistes aurait des origines patois corrézien désignant la courge (!!!!), les brivistes en raffolaient alors que les ennemis clermontois les donnaient à manger aux cochons (!!!!!!!!!!!!!). Autre hypothèse coujou serait le nom donné à un panier à commissions utilisé au marché. Christian, tu en sais plus ????

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  65. Une fois l'émotion passée, et merci les bleus, que reste t'il. Un arbitrage vidéo qui m'exaspère, ou plutôt son utilisation. Qui est le meneur de jeu sur ces deux derniers matches. Hier, sans être certain de ne pas me tromper, au moins 15 minutes d'arbitrage vidéo. C'est trop, beaucoup trop. L'arbitre central est totalement deresponsabilisé, les juges de lignes n'en parlons même plus. Bientôt capteurs dans ballon, sur les lignes, et dans l'embut et sifflet par haut parleur.
    Deuxième constat, mais là n'ayant jamais pratiqué, je me plante probablement, mais contre les Anglais j'étais surpris du nombre de passages à vide, voir carrément des écrans. Contre les Gallois moins flagrant, mais présence de blocs.

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    1. Les leurres deviennent depuis longtemps un subterfuge se transformant en passages à vide.
      Et aussi des situations dans l'enbut qui n'aboutissent pas
      suite à des gestes défensifs de plus en plus subtils pour empêcher d'aplatir directement

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    2. Comme à l'ATP, des radars sur les lignes, des cam partout et nous voilà dans un rugby carcéral sous peu. Abois de déjouer l'intelligence artificielle.

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    3. les 3 dernières minutes ça serait sympa de les jouer au début histoire de se coucher à des heures chrétiennes .

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  66. Tiens juste histoire de relancer le bastringue : le jeu de l'EDF, apollinien ou dionysiaque ? On va voir ceux qui ont suivi ...

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  67. Non, tu te plantes pas, Lulure mais comme précise Sergio,il n'est pas toujours facile de juger entre leure et anti jeu.
    Il faut de bons arbitres, serains, des patrons.
    Admettre aussi qu'ils peuvent se tromper!
    Sinon cette saloperie de vidéo va nous dégoûter du haut niveau.
    Allez Nini, des gaufres, vous vivez dangereusement les Coujoux !

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  68. Merlin(g) manifestement n'est pas l'enchanteur de la Ligue du Rugby, grand commercial de son équipe LR, mais pour être président le jeu se fait autrement. Bouscatel a montré que Toulouse était depuis longtemps une zone industrielle. La vieillesse n'est pas un arrêt pour piloter cette région, Dassault (avion de guerre) et Szydlowski(moteur d'hélicoptère) lui ont montré comment il fallait s'engager. Il va pouvoir mieux discuter avec l'homme de Gaillac qui travaille aussi en Angleterre. Tout est lié dans le monde moderne qui a beaucoup changé.

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