Il faut imaginer qu'au pied de la colline, Sisyphe, remontant inlassablement son rocher, a su trouver au fil de ses efforts mal récompensés une façon à chaque fois plus efficace et donc moins éreintante d'agripper son bloc de granit pour le faire rouler face à la pente. Pas sûr pour autant que les Rochelais, qui viennent de dégringoler samedi soir de ce sommet européen érigé à Twickenham, parviendront à être heureux dans la défaite. Ils n'ont pas encore l'impression d'avoir quelque chose à retirer de cet échec, et pourtant... Ils n'ont pas perdu, en tout cas pas tout : ils ont simplement permis à Toulouse de l'emporter.
Jamais dans l'histoire d'une finale de Coupe d'Europe l'équipe la plus dominée, la plus martyrisée, arc-boutée devant sa ligne d'en-but, repoussée à chaque impact, n'a été ainsi en mesure d'être sacrée. Jamais équipe aussi compacte, puissante, dévastatrice, même réduite à quatorze, n'a vu tous ses efforts si mal bonifiés, ses élans si peu concrétisés. Car il s'en est fallu d'une passe allongée au bon moment, dans le bon timing et dans la bonne direction, juste une passe, pour que le Stade Toulousain déverrouille cette finale étouffante.
Cette passe au large de Romain Ntamack a sauté les générations, le fils retrouvant son capitaine de père, Emile, à l'autre bout de l'arc familial comme un trait d'union qui relie maintenant Cardiff 1996 à Twickenham 2021. Ce sentiment d'appartenance - qui est aussi dans leurs cas un lien fraternel qui traverse les âges et les époques - a dû certainement habiter Ugo Mola et Didier Lacroix, respectivement entraîneur et président, eux aussi sacrés de la première heure, quand le Stade Toulousain voyait, en soulevant ce trophée en forme de poteaux de rugby, son rêve réalisé, rêve de compétitions internationales, d'émancipation extra-muros, de développement hors des frontières.
Cinq titres européens : ce n'est plus une obsession, c'est une histoire d'amour. Reste maintenant aux Rochelais à choisir le type de postérité dans laquelle ils s'inscriront au moment de recevoir Pau puis de se rendre à Clermont avant d'aborder la phase finale du Top 14. Leur potentiel collectif est immense, impressionnantes sont leurs ressources mentales. Battus, sauront-ils pour autant remonter leur déception vers un nouveau sommet en la transformant, match après match, en ambition renouvelée ?
Tout comme Montpellier un cran en-dessous, les Toulousains ont de leur côté déjà sauvé cette saison et, ainsi allégés du poids de la réussite, s'avanceront certainement vers le bouclier de Brennus avant d'autant plus d'efficacité qu'ils n'ont maintenant plus rien à prouver - sinon ajouter du plaisir à la joie. Et recevoir Clermont puis se déplacer à Bordeaux pour aborder le dernier sprint peut se nourrir de détachement, ou tout le moins de sérénité.
Le vrai supplice n'est donc pas celui de Sisyphe, dont il est possible de tirer profit pour peu qu'on parvienne à sublimer l'absurde, mais plutôt celui de Tantale qui voit les fruits se flétrir ou les sources se tarir devant lui chaque fois qu'il s'approche de l'objet de ses convoitises, et on pensera plus particulièrement dans ce cas à Pau, Lyon et Toulon qui ont beaucoup misé et peu remporté, beaucoup investi pour n'obtenir à cette heure que des espoirs au mieux, au pire des tracas.
Cette fin de championnat s'annonce donc aussi indécise que cruelle, à l'image de la finale européenne que nous laissons derrière nous. Un mauvais plaquage et une longue passe peuvent changer le cours d'un match, et ces détails prendront de plus en plus d'importance à mesure que s'annonce l'ultime coup de sifflet. Comme l'écrivait l'immense Antoine Blondin : "L'initiative du plus fragile peut abolir un labeur de bâtisseurs de cathédrales." Avant d'ajouter, et ce sera notre conclusion en forme de prédiction : "Et s'il faut de tout pour faire un monde, sur le pré, il faut du monde pour faire un tout."
"non vicit dominatum imponere"
RépondreSupprimerDisait Jules en fuyant fort dépité les rudes confins de la Lomagne!
Kerr Barlow, lui, aux confins de la Britania, était plutôt d'accord, bien que plus concis :fuking balls!
Puis il se retourna et ses 3ème lignes se transformerent en statues de sel.
Mais comme ici nous ne souhaitons pas la mort du pêcheur, les gourgandins s'en tireront avec cent lignes.
Un bon ballon n'est bon que il est très bon
Polir le joyeau c'est mon boulot
Allez Chevreuse
Ah ah. Le premier n'est pas le dernier... à franchir le rugby, con...
Supprimer"Bis repetita" Ja Lou sauf que la chronique a changé.
Supprimer
RépondreSupprimerIl me semble que nous avons perdu une finale encore plus imperdable contre Toulon en 2013 à Dublin!
RépondreSupprimerIl me semble que nous avons perdu une finale encore plus imperdable contre Toulon en 2013 à Dublin!
RépondreSupprimerIl me semble que nous avons perdu une finale encore plus imperdable contre Toulon en 2013 à Dublin!
Ah un triplé...👍👏🤣
SupprimerEuh non jy étais et de mémoire il me semble qu'elle était plus équilibrée. Meme si la domination jaune était forte. Mais une fois l'essai de Armitage acté un ressort s'est cassé. De mémoire.
SupprimerToulon 176 placages. Clermont 66. De mémoire.
SupprimerToulon 176 placages. Clermont 66. De mémoire.
SupprimerÉric, tu oublies l’essentiel, le truc qui vous a fait sombrer : 1 tirage de langue :-)
SupprimerJuste une passe allongée pour débloquer la situation ? Il me semble également que l’essai refusé à Arnold est heureux pour La Rochelle, ainsi que l’hésitation coupable de Kolbe l’empêchant d’aller à dames à un moment décisif... Je persiste à dire que la défaillance au pied de West est l’élément prépondérant du résultat final! Mais ne pas trembler dans les grands moments est aussi l’apanage des grands joueurs ... qui permettent d’avoir un palmarès.
RépondreSupprimerOui certes
SupprimerMais je ne veux parler que de ce qui est validé. Pas de ce qui aurait pu l'être. Sinon il y a aussi le deux contre un que foire Lebel et qui pouvait aller à dame
C'est grâce au retour canon (placage au jambes magnifiques) que Kolbe ne marque pas !
SupprimerPrécision :placage de Doumayrou.
SupprimerNous entrons en finale des équipes du top 14 avec tous les joueurs dans chacune. Nous avons à voir maintenant le championnat national. Un autre rugby plus régional qui se joue avec un esprit différent de l'international.
RépondreSupprimerEncore que cette finale ressemblait à du Top 14
SupprimerJuste une passe allongée pour débloquer la situation ? Il me semble également que l’essai refusé à Arnold est heureux pour La Rochelle, ainsi que l’hésitation coupable de Kolbe l’empêchant d’aller à dames à un moment décisif... Je persiste à dire que la défaillance au pied de West est l’élément prépondérant du résultat final! Mais ne pas trembler dans les grands moments est aussi l’apanage des grands joueurs ... qui permettent d’avoir un palmarès.
RépondreSupprimerL'histoire toulousaine française et européenne, un sacré bloc sur lequel s'appuyer. Une culture profondément ancrée à la Garonne mais suffisamment à réaction pour aussi s'échapper dans les airs dessiner le V de la victoire. Il y a une histoire de transmission unique dans ce club qui peut maintenant rouler autant les mécaniques que rouler les r... L'ovale est toujours dans l'air du temps avec cette culture de la réussite autant que faire se peut. Une postérité déjà bien en place. La Rochelle doit encore écrire son histoire qui débute et aussi éviter les ratures avec la dernière ligne droite pour le final du Top 14. Un LR qui s'est quand même un peu beaucoup sabordé entre le rouge de Bothia, les points au pied laissé par West à l'ouest, le défi physique à la britannique perdu... Finalement comme eux, car bien attendus au coin du bois. Ils ont dominé mais pour rejoindre la pensée de Coubertin, les rochelais doivent apprendre à se maîtriser pour franchir les obstacles.
RépondreSupprimerPour finir, "Impose ta chance, serre ton bonheur et va vers ton risque. A te regarder ils s'habitueront". René Char.
A travailler par La rochelle.
On parle des 8 points laissés en route par West, mais les Rochelais ont aussi manqué de concrétiser leur domination en 1ère mi-temps, en passant un quart d'heure devant la ligne toulousaine sans arriver à planter un essai. Puis le carton de Botia, et le match devient autre.
RépondreSupprimerEncore les Toulousains les ont laissés dans le match avec quelques erreurs, imprécisions ou en-avant; mais après 5 mn en 2ème mi-temps, ils ont pris le jeu à leur compte, et campé dans le camp jaune.
Puis la magnifique sautée de Ntamack, et le match est plié.
Les Rochelais ont un gros mental (il y a encore un Top 14 à aller chercher), mais à 14 pendant 50 mn, ça se paye; Skelton et Aldritt n'ont pas eu l'impact du Leinster, la défense toulousaine (Cros, encore...) a été du meilleur niveau européen.
Et voir du vrai public dans un stade faisait plaisir.
"Quand on commence à agir, l'espoir est partout. Alors au lieu d'attendre l'espoir, cherchez l'action" Greta Thunberg.
RépondreSupprimerJe trouve cette parabole féminine pleine d'à propos concernant cette finale. Autant dire, de voir deux clubs aux horizons bien différents, deux cultures terre et mer, deux présidents remplis d'espoir mais sans certitude,tout cela est le reflet même de cette finale prévisible, sans relief, se jouant sur deux coups de dés, un rouge et un essai. Tout un monde entre l'attendu et le contenu. Soyons lucide, la victoire aurait pu aussi être Rochelaise. Le destin a pris le dessus sur l'espoir avec trois poteaux et des pénalités ratées. Pas besoin de se faire un monde d'une finale qui ne fut haletante que par le score. Je retiendrais trop de mauvais gestes, trop de fautes et donc trop de blessés pour être dans le gotha des finales inoubliables.
Finalement, on a tout dit en très peu de commentaires sur la finale, preuve qu'elle n'a pas suscitée un réel enthousiasme dans son contenu, on est ici contents pour le ST là tristounets pur LR, mais la rencontre qu'ils nous ont proposé faite de fautes à répétition (fautes de main, choix des formes de jeu cf Dulin obsédé jusqu'à la bêtise pas les chandelles stériles), d'entêtement dans le défi physique et d'hésitations coupables aux quelques bons moments pour conclure, bin pas glop au final.
RépondreSupprimerCertes l'indécision a tenu en haleine, ça se joue sur le petit pied défaillant du buteur de la RL et la passe tueuse de NTK, mais on s'habitue, bien forcé, à ces rencontres de notre chpt d'à-nous qui déteint de la plus horrible façon sur le rugby en général, puisqu'on nourrit en son sein moult planétaires ovales de ce poison.
Le retour des phase finales va être le simple prolongement de ce rugby de tranchées, penser que l'on va retrouver l'enchanteresse chanson de gestes de nos amours passées un leurre, peut-être ici ou là sur un improbable match.
Je pense que le ST débarrassé du poids de gagner "un titre", condition pour assurer le train de vie de la machine et ses affidés, va être un sacré obstacle pour les autres.
" ... On apprend peu par la victoire, mais beaucoup par la défaite ... " disent nos amis Japonais.
Allez le CAB
Sans doute que les Rochelais en ont marre d'apprendre...
SupprimerIl va leur falloir maintenant restituer ce qu'ils ont retenu de leurs échecs...
Supprimerça peut certes aussi les faire grandir, mais difficile (pour tout le monde hein) de croire que le jeu va prendre le large et laisser l'enjeu à quai, on est et on va rester dans les phases finales là-dessus, pragmatisme et minimalisme des plus trapus, à la limite on n'envoie du jeu que lorsque tout semble perdu, c'est alors bien -souvent- trop tard, et comme on n'a pas vraiment appris cette leçon on semble un peu perdu dès lors qu'il faut s'éloigner des petits et gros tas.
SupprimerPour retour sur la finale, sur le temps de présence sur le terrain du centre au carton rouge, ses premiers ballons ont bien montré que l'adage du jour était de rentrer dedans et voir après les dégâts causés, manque de pot au premier constat le gendarme pas amiable a retiré le permis de collision. Certes dommageable pour le navire LR mais le ST a paru plus emprunté de cet avantage numérique, je persiste à croire qu'en allant plus au large et en relançant tous les ballons rendus au pied, LR avait de quoi questionner et problèmer le ST. A ce sujet, se poser des questions sur la capacité pour un encadrement à changer ses plans de jeu selon le déroulement de la partie, de ce côté-là une leçon infligée par Mola et les siens aux autres.
Enfin, toujours le souci après une 1/2 réussie et aboutie de se reconcentrer sur la finale à venir, les sirènes enchantées traîtresses et souvent naufrageuses (cf en CDM FR contre NZ puis ANG, ANG c NZ puis AFS ...) mauvaises conseillères.
Petit aparté, n'avez pas trouvé que les contacts étaient à la limite de la violence ??? Le nombre de blessés et la chance de n'avoir pas plus grave doit interpeller, non ??? Urgent, à mon sens, de règlementer le geste du plaquage et interdire définitivement la prise aux épaules et au torse et surtout ces gestes de destruction avec l'épaule qui même dissimulés dans le mouvement devraient être systématiquement sanctionnés.
Fallait peut être détacher Gourdon plus souvent dans la ligne...🤔🤔
SupprimerEt les placages à deux, en l'air et les déblayages dans les mêlées et cette violence affichée, guerrière, explosive qui n'a plus rien de rugbystique, en se mettant en boule pour raffuter haut son adversaire. D'ailleurs regardez la morphologie, tronc et membres supérieurs hypertrophiés et des membres inférieurs plus gainés pour aller plus vite, nos rugbymans sont des bombes à retardement pour certains. Et ce refus des commotions cérébrales des joueurs, voir des médecins pour continuer la partie, n'est ce pas un échec collectif, une inconscience collective de laisser faire ? Sur la même action de Botia, Skelton percute, tête en avant, par derrière, un joueur du ST sans ballon, aucune réprimande du corps arbitral. De même, Ahki a percuté bien haut me semble t-il en 2e mi-temps ?
RépondreSupprimerBref, des gestes et situations de gladiateurs, de foot américain ou de hockeyeurs qu'il faudra sanctionner financièrement comme en FI ou au tennis pour revenir au jeu et à ses règles. Aucune valeur ajoutée, à mon sens, à la gestuelle et à la pratique de notre sport fétiche.
au fait, qui est le meneur de jeu à LR? l'encadrement si c'est lui a failli, West le 10ou Ker Barlow, à l'image du refus de tenter le drop au lieu de pilonner comme des anes. au Stade, la décision de confier le but à Ntamak à la place de Ramos doit bien venir de l'observation du staf sur les capacités de ce joueur à bien maitriser l'évenement d'une finale
RépondreSupprimerBien d'accord avec toi pour :a Rochelle
SupprimerPas une histoire de poteaux ou de coup du sort.
RépondreSupprimerC'est d'ailleurs rarement la cause véritable du résultat.
Et la nous avons un cas d'école:
Nous sommes dans l'avancée, nous créons des ballons que nous ne savons pas transformer en occasions de scorer.
La défense est peut être imperméable à notre tactique présente, ne serait il pas nécessaire d'en changer?
Allez Chevreuse
L'histoire ne fait que se répéter depuis Verdun. On compte trop sur la faute de l'autre pour scorer. Une évidence qui interroge sur les capacités tactiques du staff. A force de projets de défenses hermétiques à zéro faute (Merci Shaun Edwards), le joueur se fragilise dans ce concept et chemine en de ça de ses possibilités réelles. Il est temps d'avoir des pygmalions de l'attaque, véritable philosophie de notre sport.
SupprimerPour moi l' élément déterminant du match c' est l' expulsion de Tobias et en début de deuxième mi-temps la clémence du placage sur Aldritt...Je reste persuadé d' une toute autre issue de la rencontre.
RépondreSupprimerTout à fait d'accord.
SupprimerA ce niveau de jeu-là, un joueur de moins pendant 50 mn, c'est rédhibitoire.
Le match est non pas faussé, mais complètement différent.
En tous cas, ça semble inutile de vouloir commenter le jeu de La Rochelle: ça sera forcément différent. Les chandelles de Dulin, outre qu'en général elles sont efficaces parce qu'il monte bien dessous et récupère souvent le ballon, sont logiques avec un joueur de moins derrière: on ne va pas tenter le diable au large en sous-nombre, surtout contre Toulouse qui est sans pitié sur le moindre ballon de récupération.
Pour le placage sur Aldritt, c'est moins spectaculaire que pour Médard parce que le choc semble moins violent, mais c'est le même type de placage au cou... encore l'importance de l'image (voire des réactions du public) dans la décision arbitrale (et le fait est que l'impact sur Médard et sa tête si violemment projetée en arrière, ça fait très peur).
IL FAUT FRANCHIR LE RUBY CON
RépondreSupprimerDeblayage nettoyage essorage empilage ne font pas bon menage
L age des beaux cadrages des recentrages du bel ouvrage
nous ramene au moyen age
le pre mutant en arene
les joueurs en cohorte de mercenaires interimaires
legionaires formates au culte musculaire
redoutant les grands espaces
se complaisant aux conquetes millimetriques
exultant au petit metre gagne
l empire du professionalisme
peine a imposer ses charmes(BIEN CACHES)
Après on peut toujours épiloguer sur la tactique des uns et des autres. La Rochelle se sentait fort devant et avec un élément en moins derrière à choisi le défi physique pour essayer de concrétiser. Le manque de réussite de West a contribué également à fragiliser la concrétisation de la domination Rochellaise
RépondreSupprimerC’était Brock West ...
SupprimerC’était Brock West ...
SupprimerC’était Brock West ...
SupprimerC’était Brock West ...
SupprimerPourquoi ne pas avoir détaché plus souvent Gourdon dans la, ligne ?
SupprimerOk Philippe, mais la tactique c'est pas écrit dans le marbre non plus !
SupprimerJe me demande parfois si on forme encore des joueurs ou seulement des ouvriers spécialisés.
Se sentir fort devant pour faire quoi ?
Une percussion de plus pour marquer l'adversaire physiquement ou une action plus coordonnée pour le mettre sur les talons et écarter dans de bonnes conditions?
Pour illustrer j'aurais aimé voir Parissé dans cette situation,et Aldritt n'est pas ( encore ?) Parissé.
Allez Chevreuse
Ritchie : "Il va leur falloir maintenant restituer ce qu'ils ont retenu de leurs échecs..."
RépondreSupprimerOu retenir de leurs échecs pour mater l'avenir...🤔
Bon on a au moins deux équipes d'aplomb ou presque ... c'est bien que Toulouse ait trouvé à qui parler et c'est bien que La Rochelle arrive à hausser son niveau . Ca promet de belles rencontres et des vocations de pénibles à venir . Et puis côté émulation ça ne peut que faire du bien au Top 14, leur donner des envies ... Notons que la rage de vaincre est quand même plus prégnante quand en face on a du Rosbeef ou de l'Irlandoche saignant .
RépondreSupprimerDonc wait and see ...
Hum, la rage de vaincre du fidjien qui vient te découper plein fer, c'est pas mal non plus !!
RépondreSupprimerhttps://www.boudulemag.com/2019/04/80s-a-toulouse-stade-toulousain-et-tfc/
RépondreSupprimerA lire pour le ST avec Dédé Broyat, Pierrot, ...
Bel article, plongée dans le passé si proche, si loin, toute une époque et un art de vivre, autant pour les footeux que pour les ovaliens, l'est malin le Tautor va tous nous convertir au rouge et noir, en appuyant sur la corde du JEU et de l'HUMAIN, et puis nous fait ramener, comme un attaque de 3/4 qui balayerait le terrain à bride abattue, tout notre jeunesse et nos amours de ce jeu de mains qu'était pas encore vilain , bon c'est OK faut signer où ????
SupprimerJ'entends Amédée qui tempête là-haut, allez je garde le maillot blanc-noir et je mettrai les chaussettes rouge-noir, moderne barbarian.
Allez Tautor, je ne m'en lasse pas !!!!!!!!!!!!!
Oups Dédé Brouat
SupprimerBon ben c'est bon on sait tout maintenant et notamment que le secret de Villepreux c'est le " bordel organisé" ... jeu de toulousain tu parles !!
SupprimerOn a bien ressenti après quelques minutes de jeu, un peu confusément, que le SR était meilleur que le ST ce jour la. C'était le bon jour pour les prendre, beaucoup d'absents au ST. Et puis les aléas...
RépondreSupprimerDe toute façon, dans les compétitions sportives, le meilleur c'est celui qui gagne à la fin même si celui qui gagne n'est pas forcement le plus fort.
SAUF QUE...
Si la véritable règle du rugby s'était appliquée ce jour la, le SR serait aujourd'hui champion d'Europe. Farpaitement.
Nous sommes en 1823, le jeune William Web Ellis pose les bases du rugby comme vous le savez tous ici. Mais ce que l'on sait moins c'est qu'il n'est pas tout seul dans l'affaire. En effet Will partage sa chambre avec le jeune Rich Hay Scott, et tous les deux se pintent allégrement, tous les soirs, en inventant des trucs rigolos. Une nuit tiède de pleine lune, à la fenêtre, verre à la main, ils refont l'histoire du match de foot qu'ils viennent de perdre sur le champs la, en bas.
"M'en fout, demain je me cale la gonfle sous le bras et j'y vais plein fer droit devant,dit Will
- Yeah c'est bon ça ! Si ils mouftent on se jette sur eux... renchérit Rich
Bon, je ne vous fait pas les minutes de la soirée, ce serait confus et alcoolisé, mais il faut savoir qu'au bout du compte nos 2 lascars écrivent des règles absurdes d'un jeu absurde mais qui les font beaucoup rigoler
- Ça marchera jamais, c'est injouable!
Dans ces règles, on parle de passe en arrière, de points marqués à la main, de grands poteaux, de points marqués au pied, enfin un tas de trucs qui ne servent à rien.
Et dans le lot ils collent la transformation.
- Si tu passes entre les poteaux ça marque !
- Les poteaux? Quels poteaux?
- Ah oui j'tai pas dit, on va mettre des grands poteaux
- Ok j'aime bien, mais alors on mets une barre aussi pour que ça soit encore plus dur, faudra passer par dessus.
- Allez hop , va pour la barre
- Et si on disait qu'il fallait toucher les poteaux ?
- Non y'a des limites dear Rich, c'est quasi impossible
- Bon alors on fait un truc de fou, si le même gars touche 3 fois les poteaux dans le match, à plus de 30 mètres c'est Golden Goal, match gagné, terminé !
- Ah ouais terrible! Impossible mais terrible! Dans 200 ans on y sera encore!
- C'est sur, faudrait être à l'West pour faire un truc pareil.
Inscrite en lettres de sang et de bière, cette règle, méconnue, notée en travers sur le papier de chanvre délavé, n'a jamais été revue, ni supprimée, ni modifiée car tellement improbable.
Que le monde du rugby se réveille et que ses exégètes fassent leur boulot.
Rendez nous la coupe.
D'autant qu'il a touché les 2 poteaux lors du même tir ça vaut poteau de platine ! On veut 2 coupes .
SupprimerAh ah ah sacré Boss... cette touche de flair fou que tu as... tu es un vrai poto, toi...
SupprimerPour le Stade (Rochelais, hein), cest la coupe pas de bol. Sans couper les cheveux en quatre, bien entendu...
SupprimerAh ben si les commentaires sur LR sont inutiles on fait quoi, Pipiou, on cause Benzema ?
RépondreSupprimerOn rigole hein, mais on a déjà vu des finales,pas que, se gagner a 14, et ça n'a pas empêché les jaunes de dominer globalement.
Je crois juste que les Rochelais auraient gagné a être plus inventifs autour des regroupements.
Çà explique peut-être la prestation de Cros, qui s'est régalé, et en creux celle de leur charnière .
Allez Chevreuse
UBB-Montpellier avec une équipe languedocienne C; 25 mn et déjà de la casse chez les jeunes montpelliérains.
RépondreSupprimerTautor va encore hurler...
(Tout ça pour éviter de parler de Benzema, hein...)
C'est le genre de match totalement ridicule et superflu qu'on ne devrait pas avoir besoin de suivre pour en rédiger un compte-rendu...
SupprimerUne cheville, un genou, une épaule, manque un crâne 🙈😉🏈
SupprimerPersonne pour souligner la gestion de l'effectif Toulousain avant cette finale. Deux matchs de top 14 "lâchés" pour permettre à la plupart des cadres de se reposer. Prendre le risque d'arriver à cours de rythme, ou d'arriver avec une fraîcheur capable de contrecarrer la supériorité physique annoncée du pack Rochelais. Ces deux mêmes matches ont permis à Mauvaka, Elstad, Tekori, sans oublier Cros de refaire leur condition physique.Moi je dis paris gagné
RépondreSupprimerMaintenant le risque en lâchant ces matchs, c'est de ne pas finir dans les deux premiers. Mais sur cette fin de saison, ils se retrouvent avec un groupe au top de sa forme
Quand je regarde le classement ce ne sont pas tant les équipes qui sont dans le top 6 qui m'impressionnent que celles qui n'y sont pas qui m'interroge.
RépondreSupprimerToulon, Stade Français, Castres et Lyon pour une place... c'est cher, c'est chaud.
SupprimerUn petit pronostic ?
SupprimerUn bordel organisé (ou pas🤔) par Covid, où tout le monde en sort pas gagnant. Ils en a qui passe par la case réanimation et d'autres présentant un phénotype indésirables qui leur péter la qualif.
SupprimerToulon et Lyon seront réanimmmés...
SupprimerSF pour sa dynamique actuelle, outsider à ne pas négliger
SupprimerSiToylouse et La Rochelle joue le jeu, c’est Clermont qui sort au profit de Toulon...
SupprimerSiToylouse et La Rochelle joue le jeu, c’est Clermont qui sort au profit de Toulon...
SupprimerSiToylouse et La Rochelle joue le jeu, c’est Clermont qui sort au profit de Toulon...
SupprimerSiToylouse et La Rochelle joue le jeu, c’est Clermont qui sort au profit de Toulon...
SupprimerOui un SF/LOU qui va valoir son pesant de cacahuètes collisions et rentre-dedans de haute volée. le RCT bonne chance devant l'UBB maintenant les poignets en haut du guidon. ST et LR sur leur lancée du TAUPE.14-bis, et tant pis pour le CO, dont la venue ici sur la terre des Coujoux, je l'espère, éjectera des phases finales les pénibles du tableau.
RépondreSupprimerLa gestion de l'effectif, tu parles Charles, c'est surtout selon que tu aies besoin de points ou pas, le ST qualifié pour la finale CE et dans le ventre mou du TAUPE.14 n'aurait pas galvaudé les 2 rencontres en question, d'accord pour le gros mot "gestion", mais celle du classement, pas se tromper de but Lulure.
Pour rebondir sur la remarque de not' cap'tain Ritchie d'à nous, disant en substance « … Quand je regarde le classement ce ne sont pas tant les équipes qui sont dans le top 6 qui m'impressionnent que celles qui n'y sont pas qui m'interroge ... », petit exercice.
RépondreSupprimerJe demande pardon par avance pour les chiffres, pas toujours glop mais instructifs, pour compenser promis je fais court (pas rire au fond de la classe!!!!!)
Les budgets des clubs, dans l'ordre sont les suivants: SF-38,8 M€ ST -36,6 M€ LOU-32,9 M€ RCT-32,5 M€ MHR-29,1 M€ ASM-28,9 M€ R92 -28,9 M€ SR-25,9 M€ UBB-25,3 M€ CO-23 M€ SP-22,5 M€ AB-15,6 M€ CAB-15,5 M€ USA-13,2 M€
Le classement des clubs, dans le même ordre, est le suivant: SF-7 ST-2 LOU-9 RCT-6 MHR-10 ASM-5 R92 -4 SR-2 UBB-3 CO-8 SP-13 AB-12 CAB-11 USA-14
On sait bien que plus de budget plus de recrutement haut niveau encadrement comme joueurs, donc plus de moyens sportifs pour aller chercher des résultats, résultats qui induisent des retours sur investissement, des possibilités de financement sans cesse en hausse, ainsi va la course à l'armement dans notre rugby.
Alors ???? Et bien clairement y'a des investisseurs qui se sont faits avoir, des recrutements qui se sont avérés de mauvais choix, des résultats pas conformes aux espérances, bon juste un constat hein, mais devrait faire réfléchir.
Par ex le SF, plus gros budget, juste en espérance de mauvais résultats des autres pour aller plus avant, le LOU idem, le MHR la palme mais le challenge E leur a sauvé la mise, ASM RAC UBB CO dans les clous, SP pas glop, AB CAB et USA places conformes à leurs moyens, le SR gros performeur, ST bon équilibre.
Des leçons à tirer de tout ceci, sans doute, la première c'est que la compétition se réduit de plus en plus en luttes de places économiques entre elles et la disparition inéluctable et programmée des quelques moyennes villes sans grande envergure, également le questionnement de la pérennité des ceusses qui vivent des largesses d'un seul mécène.
Voilà, fini de vous embêter, désolé d'enfoncer des portes ouvertes sans doute, mais peut-être ça vous donnera des envies de développer la chose.
Allez le CAB, aux chiottes le budget (et le CO!!!!!)
Pardon pour le CO .................. M'enfin, bon, hein !!!!!!!!!!!!!!!!!!!
RépondreSupprimerSi le Stade bat le Lou a Paris, possible, il ira chercher la qualif a Bayonne, ça pourrait bien être le calendrier le plus favorable des quatre, non ?
RépondreSupprimerMais bon, y a un truc chiant, "la glorieuse incertitude du sport" qu'on appelle ça ,les comptables, les investisseurs et autres têtes a aller se faire Astra Zenequer ( qui a dit chez les grecs au fond de la classe?) détestent.
Allez Chevreuse
je vote pour le stade et Castres
RépondreSupprimerles rouges et noirs hors concours
le LOU trop irregulier
TOULON un faible arsenal
je penche pour l'ASM, et un peu moins pour LaRochelle
RépondreSupprimerMoi je dis comme Tautor : le Stade Français où Quesada fait du bon boulot .
RépondreSupprimerHébin vous aviez vu juste (moi je penchais plutôt pour Lyon, mais leur mêlée a constamment reculé, et Tuisova n'a jamais pesé, ni en 8 ni replacé à l'aile).
SupprimerBonne nouvelle, les droits du top 14 vendus à Premier sports chaîne irlandaise, 4 matchs par we. Bravo René, augmentation de salaires en vue à la LNR. Entre maquignons, pas de pitié, le pilier international de Pau a mis un genou à terre et n'ira pas au LOU ni ailleurs sûrement. Castets, 8 mois out, genou lca, une finale qui coûte cher. Urios pas content continue de souffler sur la braise, la t° va monter côté joueurs. En attendant l'Australie, Galtier surfe au pays basque, sur la biscotte ou sur la planche ? Et le meilleur pour la fin, nouveau sponsor au BO le Grimpr. Allez, je vais bronzer 😂😂🍷
RépondreSupprimerhttps://fb.watch/5LczpsfXtb/
RépondreSupprimerA propos du surf 😉🏈
En venant de la plage, il a même gardé les lunettes de plongée !
RépondreSupprimerAprès Agen, Colomiers défraie la chronique avec les jeunes dont un en U 20. Concours de circonstances où effets pervers du confinement ? Le mal être sans ballon ?
RépondreSupprimerhttps://actu.fr/occitanie/colomiers_31149/pres-de-toulouse-de-jeunes-rugbymen-de-colomiers-en-garde-a-vue-suite-a-une-violente-agression_42162954.html
'tention: le club d'Agen n'a rien à voir avec l'agression commise dans la cité du pruneau: le jeune rugbyman qui l'a commise était un ancien espoir du RCT.
RépondreSupprimerAttendrissante itw de Botia sur Midol qui me rappelle le commentaire de Pipiou, du coup petit replay.
RépondreSupprimerBen oui, le plaquage de Akhi c'est du kif !
Adapter encore les règles, certainement, les appliquer de façon cohérente déjà ça serait pas mal.
Allez Chevreuse
Le SF a mangé le LOU, avec GQ aux manettes monte en régime à son rythme depuis un moment sans trop de bruit ni d'écho, je partage le fait que venu de loin doivent pas avoir peur de grand chose au moment d'entamer les phases finales, méfiance !!!
RépondreSupprimerAvons-nous déjà joué ,ou regardé, un match de rugby dans lequel au-moins une décision de l'arbitre ne prêtait pas à discussion ???
La présence envahissante et intrusive ante de la technologie et le recours aux images, aux ralentis, aux interprétations, permet de refaire le match, et bien justement le match il n'est jamais à refaire, laissons -doux rêveur- le jeu aux joueurs et arbitres épicétou, "la glorieuse incertitude du sport" comme y disent au fond des vallées reculées de Chevreuse, c'est plus glop pour les affaires.
Confirmation du 26 mai 09.17
RépondreSupprimerLe SF est au rendez vous. Gonzalo va en surprendre plus d'un.
Le vidéo arbitrage, ça fait manger tout le monde et parler les plus bavards mais ça ne résoud pas tous les problèmes. Sont ils aussi impartiaux et indépendants qu'on pourrait le penser ? ST-LR est un bon exemple concernant Botia - Ahki et tant d'autres tous les weekends. En attendant les commentaires ciselés de Chèvre et Meuse 😂🥳
Moefana, 20 ans, UBB, blessé cet hiver à la cheville, arrachement ligamentaires 5 mois plus tard et chirurgie donc pas de tournée en Australie. Excusez moi ça interroge. Au football, pour mettre un terme aux lésions de cheville, strapping pour tous, les traumas sont devenus rares avec par contre des lésions de l'avant pied plus fréquentes. Carence en Vit D et C bien souvent ....
RépondreSupprimeroui ça interroge, après le strapping remède universel pourquoi pas, les choses les plus simples souvent les meilleures, non ???
RépondreSupprimerLa tournée en Australie, c'est comme les JO, compte-tenu des protocoles à appliquer, on ferait mieux de laisser tomber et plutôt voir de quelle façon réorganiser les compét', déjà hexagonales, puis continentales, et oublier pour l'instant les horizons lointains, non ?????
Déjà de gros enjeux cet ap-m en TAUPE.14, le soleil pour arbitre, ça va chauffer sur les pelouses, de plus les programmations des rencontres, sans doute décidées par les diffuseurs, entre 14h45 et 21h05, complétement débiles et allant à l'encontre de l'équité sportive, en ces temps de qualif ou d'élimination !!!!
Allez le XV de l'Erdre, 40 ans de passion ovale
RCT UBB qu'elle purge, des boeufs au jeu de bourrins, rien vu derrière, du physique borderline par moments, entre un 3e et un 7e, le rugby ne dort par le haut. Premier Sports a eu du flair d'acheter les droits
RépondreSupprimerRevisionne Montpellier Leicester avec des bourrins Sudafs très performants . 😉
SupprimerMatch laborieux de bourrins à l'image des managers.
RépondreSupprimerDepuis le début M'sieur l'Arbitre !
RépondreSupprimerSous prétexte que nous vivons au tréfonds des vallées de Chèvre et Meuse nous sommes l'objet de toutes les turpitudes des barbares venus du Sud égorger nos fils et nos compagnes !
Bon, la vidéo nous fait yech pour bien des raisons déjà développées plus avant.
Pourquoi ne pas garder l'enregistrement du match pour traquer lors d'un debrif les violences, anti jeu .... pas sanctionnés en temps réel.
Et avec plus de sévérité pour créer de la dissuasion je vous fiche mon billet que le plaqueur fou du Pacifique ou le déblayeur compulsif vont se calmer, non mais !
Allez Chevreuse
Eh ... Les pénibles ont gagné à Amédée, pas si longtemps à la 1ère mêlée, voire à la 1ère touche si besoin piqure de rappel, z'auraient compris qu'ici on gagne pas !!!!!! Les traditions se perdent mon bon monsieur !!!!!!
RépondreSupprimerAnecdote corrézienne, avec le retour des activités, même surveillées de près par les protocoles, beaucoup de pelouses de manchots occupées par de la jeunesse aujourd'hui, barnums montés et grillades qui fument, pour un retour à la vie, en même temps promenade avec madame et pilote autour de stades de l'ovale, pelouse dressée vers le ciel, pas de gamins pas de grands non plus, pas de ballons bien sûr, on file un mauvais coton je vous le dis ..............
Santé Nini, Cricri, youpi, une saison de plus en top 14. Bon rien n'est fait pour l'AB,faudra choisir entre chasuble rose et crucifix vert
RépondreSupprimerLa chasuble rose se porte bien en ce printemps, voici une mode, même passagère, qui semble vouloir faire un carton lors des défilés des phases finales, et de fashion week en fashion week, elle pourrait bien faire tomber l'AB qui semble chaussée un peu haut pour garder l'équilibre dans ce jeu de taupes.
RépondreSupprimerPas complétement idiote l'idée de notre reclus à nous dans la vallée là-bas suivant l'Yvette, laissons l'humain veiller aux rencontres, et puis le tribunal des flagrants délires en session les lundis matins pour punir les mécréants aux gestes déplacés.
Allez Brive, 1 point t'es sauvé 1 point t'es coulé, à quoi ça tient !!!!!!!!!!
1e mi-temps avec des essais, du jeu de mains, plaisant, match ouvert
RépondreSupprimerBon dernière journée haletante pour les 2 1ers, le 6e langue au chat mais serait ravi pour le SF.
RépondreSupprimeret Aviron / BO pour le barrage, ça aurait de la gueule , non?
RépondreSupprimerAllez Chevreuse
Une fois n'est pas coutume (...), un peu de mauvais esprit: si les 2 clubs avaient fusionné il y a 3 ans... il y aurait au moins un club basque en Top 14 !!
Supprimer(mais heureusement, l'USAP va y mettre bon ordre)
Sans vouloir en rajouter dans le mauvais esprit, surtout que c'est pas notre genre, c'est plutôt il y a vingt ans, non?
SupprimerAllez Chevreuse
Plutôt le mauvais esprit qui est à leurs basques ?🤔...🤣🤣
SupprimerUne vraie basque cour!
SupprimerAllez Vermot
Si le Covid est confirmé alors qu'il est vacciné et si d'autres sortent +, la commission médicale tranchera et le match se jouera sur tapis vert, 1.75 point attribué aux béarnais, pas de Pau ! Plutôt un bouillon de poule à partager avec la Grimpr team 😉
RépondreSupprimerAlors tournée de notre EDF en Australie, ça a l'air d'avancer, mais avec en corollaire un sacré pataquès d'organisation. Finalement FFR, LNR et syndicats clubs,-joueurs-entraîneurs tous unis pour aller terrasser le kangourou !!!, 42 joueurs, validés, mais donc pas les finalistes TAUPE.14 d'à nous, départ 23 juin et 14 jours de quarantaine sanitaire (bulle sanitaire étanche la quarantaine z'ont dit ….. z'ont l'expérience !!!!!), 3 tests les 7, 13 et 17 juillet (ouahou ça va piquer !!!), conséquence les travailleurs de l'ovale de chez nous pourront être utilisés (sic) par leurs clubs, au retour, après 8 semaines de congés au lieu des 10 obligatoires par statut, mais bon on adaptera plus tard z'ont dit !!!!!
RépondreSupprimerSi plutôt bien de s'affronter avec les nations du sud, en vue de la CDM 2023, chercher à tout prix à conserver la vie d'avant dans les conditions sanitaires d'aujourd'hui, pas une lubie ??? Voire un danger ??? Ou courte vue des trésoriers fixés sur la ligne recettes ????
Si tonton Ferrasse présidait encore le machin, il prendrait un arrêté pour fusionner manu-militari BO/AB et ainsi maintenir son SUA.
Et puis 1,75 point dans notre jeu, c'est quoi ce truc, m'enfin tiens une pénalité sur le poteau, 1,5 pt au lieu des 3, avec ça SR champion d'Europe.
Allez les Coujoux, dernière corvée et c'est le temps des champignons !!!!!!!!!!
Ben oui, des louveteaux pour chasser le kangourou qui devrait pas se laisser faire pour autant, pour une tournée de trop... Se sont vus quand ils ont trop bu ? Au moins se faire les dents.
RépondreSupprimerLes basques n'ont quelque part que ce qu'ils méritent, rapport à leurs clochers qui ne veulent pas sonner les mêmes vêpres. Tant pis, à eux de voir. Y a rien à dire de plus. Quant aux pruneaux, restent que l'armagnac mais ça suffit pas.
Et les Coujoux ouais des champignons pas vénéneux...🤣🤣
Avec le variant indien qui monte Melbourne est strictement confinée, vont jouer où ? ... Enfin s'ils survivent à la quatorzaine imposée par les Aussies . S'agira pas cette fois de se taper une belote dans la même piaule . Mais quoi ? Les tennismen l'ont fait ...
RépondreSupprimerallez remettez une tournee
RépondreSupprimerpourquoi emmener tant de joueurs le choix est difficile
voila le role du selectioneur
franchement les joueurs meritent un repos
trop de tournees nuisent a la sante
30 000 places déjà vendues pour les demies à Lille et jauge à 5000 places . Une gaufre compensatrice sera offerte aux 25 000 cocus . Ne me remerciez pas ; quand on peut aider ...
RépondreSupprimerUne fricandelle, plutôt, non?
SupprimerAllez le Nooord
Les saucisses ont la frite... avec supplément moutarde/ketchup offert bien sur
SupprimerSuis toujours étonné de voir acheter des places avant de savoir quelle sera l'affiche, par ex perso ferai jamais ça, avec le risque de voir CO/UBB, non mais, hé, ho, quel cauchemar !!!!!!!!!!!!!
RépondreSupprimerBon, on se marre on se marre, pas glop pourtant, mais bon z'ont de fins stratèges sans doute avec des plans B, C .......Z.
5000 la jauge, en enlevant les passe-droit et les copains de coquins, ça fait combien pour le pékin moyen ???
Allez Brive, prendrai une place quand je sentirai le CAB bien parti vers la planète Brennus, com' dit ma fille, P..... tu vas faire une sacrée épargne !!!!!!!!!!!!
La pauv' chérie Japonaise en mal de son tennis me laisse songeur. Dans tout modèle social, quel qu'il soit, le fonctionnement sociétal repose essentiellement sur l'obligation des individus à se conformer à des règles. Après que l'on ait dit cela, dans toutes les activités on voit bien que l'on tend vers la performance, certes à des degrés divers, mais la recherche de la performance est partie prenante de l'espèce -réussite sociale, grimper dans les hiérarchies, entreprenariat …..- et bien sûr dans le sport, tant d'ailleurs au niveau pro qu'au niveau amateur.
RépondreSupprimerCe que l'on constate également, c'est que pour arriver à cette fameuse «performance», et donc aller plus loin et dépasser les règles établies, casser les normes en quelque sorte, et bien elle est souvent le fait d´individus à la créativité et la sensibilité exacerbés, qui d'inspirations en désobéissances, «cassent les codes», créent innovent dépassent …...
Sont-ils heureux ces gens ??? C'est une bonne question, moi je me la pose en voyant toutes ces réussites finir bien souvent en drames de mal-être, de souffrance, de désespérance, de difficultés à exister dans le monde « normal », de perte de contrôle de leur existence, quand pourtant tout, autour d'eux et de leur "réussite" semble faire penser à un monde merveilleux (argent, reconnaissance, lumières, affichages ..).
Est-ce qu'ils souffrent, alors ??? Et les problèmes mentaux/Psychologiques qu'ils rencontrent: un caprice de plus ? Une faiblesse de caractère ? Une blessure plus intime ? La rançon du succès ?
Quand tu as tout et que tu as atteint ton graal, normal d'en être malade de la tête ? Comment se soigner ? Comprendre (???) aussi les moqueries engendrées (Bon, hé, ho, 30 M€ cette saison, pas pleurer non plus !!!!!! Pauvre chérie, succès planétaire et se sent seule, l'a qu'à venir dans mon studio de ma cité !!!!).
J'ai toujours freiné sur l'approche trop élitiste de la performance par l'emploi de techniques mentales, qui diminueraient la part de la personne dans cette recherche, et donc la créativité, l'inventivité, l'inspiration. Je ne nie pas l'apport de certaines réflexions ou «techniques», mais très franchement, pour un individu comme pour un groupe, si ça peut créer du lien, j'ai peur qu'au final, ce lien finisse en cordelette captatrice.
Je n'ai pas les compétences pour développer tout ça, sans doute z'avez quelques idées sur le truc ????
Allez CAB, rugby de mandales, le mental l'est naturellement dans l'ADN
Ce qui me paraît frappant, c'est l'impression que plus le sport est "individuel", plus le sportif s'entoure... entraîneur, kiné, préparateur mental, agent, avocat, "structure" (?)
SupprimerEt plus le sportif se recentre sur lui et sa performance, plus les problèmes sont démesurément grossis et compliqués.
Et que c'est exacerbé pour les sports dits de "riches" (tennis, golf). Ou en tous cas qui représentent un marqueur social (y'a pas de hasard à voir qui sponsorise les grands tournois, et donc à quelle clientèle potentielle on s'adresse...)
Hello tutti
RépondreSupprimerSuis un petit peu absent en ce moment et surtout vide de chronique.
Je n'ai rien de mieux à ajouter à ce que je lis ici dans vos commentaires.
J'attends la phase finale pour re-enclencher.
Suis encore très investi dans le suivi de la publication de l'anthologie de Michel Sitjar. Ça me prend tout mon temps libre et mon esprit
SupprimerLa chronique ? p 184, La Source
RépondreSupprimercelle de nos inspirations du matin, du soir, de la nuit, celle qui façonne l'ovale avant et après le rebond, celle qui transmet la sueur de nos émotions et la vision crépusculaire du jeu, celle pour laquelle les mots et les maux purgent tous les abcès bafoués, celle de l'esprit et de la matière fondatrices du rugby de demain, celle de l'amitié née des "Quinconces" aussi improbable que réelle, celle de cette lumière qui nous porte à rêver de ce qui n'existe pas, celle des chimères et des contes, celle qui est vie mais aussi ténèbres comme le poète. La Source, imaginative et perfide, limpide ou trouble, nourrit notre plume d'espoirs et de désillusions mais reste la symbolique et la genèse de tout ce que ce blog offre comme saveurs et parfums ovalesques.
alors, Seigneur des lieux, Prince de la pensée, n'attends plus l'idylle improbable mais laisse couler la Source Côté Ouvert.
Ah ah, excellent, Tautor. Joliment tourné. Bel prise sans attendre le rebond. La Source, oui. Que l'on pourrait associer au rugby d'hier et d'aujouird'hui. Mais on peut aimer "l'azur bienveillant" et les citernes remplies de sang, "la beauté féconde" et "les corps pourrissants", "la source d'où roulait tout l'or du monde" et "le vol de corbeaux"... Ton choix est très interessant, Tautor. Subtil, même. En relisant ce poème de Michel (Sitjar), j'y vois quelque chose de nouveau grâce à toi. Comme quoi dans le regard prolifère les points de vue. Merci pour l'éclairage.
SupprimerMais je m'avoue vide et vidé. J'ai beaucoup donné de moi sur ce projet. Et je savoure sa sortie. En silence. Sortie particulière puisque le livre n'est pas en librairie, juste chez les amis. Et rien ne n'inspire dans l'actualité. Ou alors trop de choses. Et comme je n'ai pas envie d'un coup de gueule, j'ai envie de regarder ce qu'il y a de beau et de bon. Veni, page 170.
SupprimerJ'ai plutôt l'impression d'être au milieu des papiers gras. Dernière journée de Top 14, course à la qualification ou pour éviter le barrage. Stress sans strass. La descente est acquise, le titre est encore loin, la ProD2 s'agite pour une finale vintage. Vannes est tombé dans la dernière foulée. La tournée de juin qui se jouera en juillet n'est toujours pas validée et les Australiens pressent pour disputer trois tests en dix jours. La vie, où est-elle ? Peut-on encore apprivoiser des rebonds ? Alors je lis Jean Colombier et sa merveille de petit ouvrage, trois chroniques savoureuses dont la première, ma préférée, intitulée "Illusions", chronique d'un voyage de début de saison en Suède dans les années 70. Si drôle et tellement vrai.
Supprimer"Echauffement", par Jean Colombier (éditions La Biscouette, 2013)
Entre "Echauffement" et "Engrenages" p 212,
RépondreSupprimer"Si notre plus grand malheur est celui d'être nés ... Que l'intelligence soit servie à se crever de vivre".
Genèse parfaite de ce pourrait être le rugby dans son ensemble, d'un espoir de victoire cachée lors d'une préparation à un match sous toutes ses dimensions, du destin d'être joueur avec ses abysses et sa gloire, du rêve d'un Brennus ou d'un trophée, de la blessure à la rédemption, du village biologique au grand stade sulfuré, du pouvoir argenté à la corruption sibylline, de l'avant et de l'après. Un bouquet de saveurs hors normes ou l'écriture et la parole sont le témoin d'une œuvre humaine et humaniste inépuisable, conjonctures d'esprits philosophiques, philanthropiques et fraternels ou le rugby, ovale dans sa cinétique, n'est autre que le rebond de la vie partagée de chacun d'entre nous. Alors, Richard, échauffe toi, à cette nouvelle chronique loin des arcanes du top 14 et de la Pro D2. Une pensée émue pour cette finale du Championnat de France Espoirs à Raoul Barrière ou l'Occitanie va s'opposer à la Catalogne comme un clin d'œil à l'histoire des civilisations.
"Rugby un jour, Rugby toujours".
Je discutais avec Rene Bouscatel hier en fin de journée et il y sera, a cette finale Reichel. En échangeant avec lui j'ai appris qu'il était grand admirateur de Camus...
Supprimer"On ne devient pas poète, on naît poète" !!!!! Ainsi disait M.Sitjar, dont visiblement la Muse s'était amourachée très tôt.
RépondreSupprimerLe rugby comme une rime, rythmée comme un staccato, permanence de la phrase musicale qui s'étire et vibre, de la vie à sa fin, du terrain au comptoir, de rencontres en solitude, intervalles comme suspendus dans une vie quête désespérée pour arriver là où, pauvres passants, nous n'aurons jamais le sésame pour rentrer, juste le droit de rester à la porte et d'écouter, vibrer, partager.
Belle oeuvre, je comprends qu'immergé dans tant de lumières, une petite chronique sur le rugby de nos jours paraisse impossible à concocter.
Visiblement, Barry, tu disposes d'au moins un de ses recueils de poésie non ?
Supprimer2009 ou 2010 par une lecture de la dépêche du midi, avait rencontré "rugby et poésie 2ème mi-temps", un beau surf sur les mots et les maux de l'auteur, comme quoi Agenais certes mais peut se cacher derrière un vrai coeur de troubadour, qui l'eut-cru ????
SupprimerSouhaites-tu l'anthologie ? C'est-à-dire les cinq recueils. André devrait recevoir son exemplaire sous peu par la poste...
SupprimerTu peux avoir un aperçu de l'ouvrage en allant sur Comme Fou (mon autre blog).
SupprimerLe jeu à "la catalane" contre sinon celui à "la bayonnaise", du moins celui de l'"école basque". Serait-ce le retour d'une époque révolue et tombée dans l'histoire?
RépondreSupprimerentre la cargolade y ail et l'axoa basque avec son piment d'Espelette, tu auras la poire pour la soif celle de Brana la meilleure en France ! Sache qu'on ne revient jamais en arrière, toi le premier avec ton nouvel ordinateur et bientôt le vélo électrique !!!
SupprimerPlutôt crever...! Mais, au fond, pourquoi pas?
RépondreSupprimerMais non André, tu déprimes ... Allez, les mains sur les cocottes, en danseuse, la cuissarde vaselinée, la gibecière en bandoulière et la casquette à la Roger Pigeon. Tu vas commencer à t'entraîner pour battre le record de l'heure de notre centenaire Robert Marchand. J'ai le produit qui va bien l'apeline, tu vas déchirer grave 💉💄🚵🚴🏂
Supprimer"quand on partait de on matin,
RépondreSupprimerquand on partait sur les chemins",
.....
"Cricri de bon matin,
SupprimerCricri mon bon voisin,
Rien que du pain et du vin,
Rien qu'un sourire malin,
Une peinture et un club dans la main,
Un ballon ovale pour tous les siens,
Cricri connait le refrain,
Celui qu'on chante en chemin"
Du coup, j'y vais....A tout à l'heure...
RépondreSupprimerVoilà André, tu as tout compris 🚴💉🍷🏈, pense à la baguette👏👍
SupprimerLa baguette, c'est le matin...avec le journal...après, c'est autre chose.
RépondreSupprimerhttps://actu.fr/sports/rugby/federale/rugby-amateur-voici-les-quatre-clubs-de-federale-2-promus-en-federale-1_42377170.html
RépondreSupprimerCurieux de voir que d'un côté le choix appartient aux joueurs, de l'autre on sent que c'est plus le Président et les élus. Personne ne parle de budget, Fédérale 1 au minimum 500 000 €. Ma foi avec les prêts à taux zéro de l'état, faut pas s'en priver 🏈
Bon, ça sent plus la Sardanne que le Fandango, Trenet mieux que Mariano, la crème catalane bouscule le chipiron, et Le Bus console Ondarts.
RépondreSupprimerAllez, suis plutôt Atlantique, perso,tant pis .
Moi je m'en fou je suis à moitié chemin des deux 😂
SupprimerEt moi, je suis quand même Catalan de Perpignan du côté de ma mère. Mais, aussi, le grand père paternel était né à Argelès Gazost!
RépondreSupprimerLa vallée du Lavedan, magnifique ouverture vers le Tourmalet, Hautacam, Gavarnie, le Soulor, l'Aubisque ou Cauterets, vive les Pyrénées.
SupprimerPour ce soir une cargolade avec un Mas Jullien 2010 ou un Cazes le Crédo 2007 🍷🍷💉
Puting, ce Top 14 dernière journée, ça me donne le tournis. On ne sait plus où ni quoi ni qui regarder.
RépondreSupprimerTrop 14, du coup...
SupprimerC'est le cerveau qui ne suit pas, commotion, vite un volute
SupprimerLe 6e ? Le ST 1e bien sûr, LR ou R93 2e bon il faudrait tous les WE comme ça, tous les matchs en même temps, plus de calcul
RépondreSupprimerVoilà le SF, mon outsider, est là. Pas de Pau pour l'AB. Jan Lou derby basque quine !!! Le ST, cette année, une valeur sûre. Pour les autres, du lourd et du fluide.
RépondreSupprimerBarrage Aviron-Biarrot c Bayonne-Olympique, joli derby au nom parfumé qui fait penser à un plat d'avant au goût prononcé de terroir, à voir avec la nouvelle cuisine si tous les ingrédients sont là !!!!!!!
RépondreSupprimerLe SF, qui pointe son museau près du poteau, revenu du diable vauvert, Tautor peut-être pas si loin de la photo finish entre "son" pur-sang ST casaque rouge et noir et l'outsider SF tout de grimpr vêtu.
RCT et CO que des regrets, mais le CO en CE l'an prochain, ça c'est dommage qd-même ........... Non je galège là.
USAP alors en haut la saison prochaine, est-ce un bien de grimper dans ce monde de requins ? Vous me direz la PRO.D2 joli marigot aussi, mais on y pratique un entre-soi de bourrins assez confortablement.
Bayonne va s'occuper des bourgeois de Biarritz dès la semaine prochaine. Mais la hauteur du jeu basque prochainement n'est plus à la hauteur du rugby d'aujourd'hui. Pourquoi ne pas s'unir en Pays Basque?
RépondreSupprimerIl est possible que Sébastien Piqueronies après son début de management, regarde autour de Tarbes et des Pyrénées pour réaliser la montée de Pau, terre d'Henri IV. Des jeunes pourraient venir jouer plutôt que de rester en Nationale de la Préfecture après être nés sur la montagne du comte de Phoebus. Fou comme l'histoire nous marque. Pourquoi ne pas évoluer sur ce monde nouveau?
Toulouse a gagné comme ses joueurs l'avaient envisagé et clairement annoncé. Pour être champion de France, mieux vaut concevoir et visualiser ce que l'on veut. Il s'agit aussi de bien s'ancrer dans son rêve de succès. Bordeaux est ancré dans le vin et Toulouse dans la mise au point des avions et de l'espace. Histoire moderne.
Clermont et Racing (forte équipe bourgeoise de l'ouest de Paris) vont venir rencontrer La Rochelle dont le calcul des joueurs à côté de Merlin a été efficace pour aider Michelin pour le barrage tout en gardant son rêve de place de demi finale.
Pour gagner face au Racing , Toulouse va défendre sa ligne face aux 3/4s bleu et blanc et rester en équilibre d'équipe devant et derrière. Tous les joueurs à Bordeaux se sont entraînés comme le font les britanniques devant leur ligne. Au prochain match ils en feront encore plus pour se retrouver en finale. Le titre sera ce jour là. En revenant de ma visite à Tarbes ces jours-ci , j'ai rapporté le Vic-Bilh et le Jurançon pour cette fin de Top 14.
Ceux qui veulent venir sont invités à Valence le 26 juin.
Prenez soin de vous
Perso, je joue placé...
SupprimerVa quand-même falloir m'expliquer ce qu'est une équipe "bourgeoise" ?
SupprimerAllez Chevreuse
D'aucun peut il m'expliquer le concept d'"équipe bourgeoise "?
SupprimerAllez Chevreuse
Si tout va bien je serai à Lille
SupprimerPerso, je serai à Lille en principe
SupprimerPuisque Richard est un peu las à s'occuper d'un projet qui lui tient à cœur, je vous propose à l'écoute une émission qui met à l'honneur le projet d'un autre seconde ligne qui concurrençait Julien Pierre et vice versa.
RépondreSupprimerEt m'est avis que RE est aussi secrètement fier d'avoir "relevé" Raphaël Poulain qui nous gratifie d'une manière différente de parler du rugby. Et ce qui se dit dans cette émission en particulier est très intéressant.
https://podcasts.eurosport.fr/eurosport-discovery-poulain-raffute/202106030533-pascal-pape-je-suis-devenu-un-super-rugbyman-grace-mon-histo.html
On peut écouter l'introduction puis ensuite aller à la 20eme minute puis surtout à compter de la 26eme. Joli interview, plein d'humanité. Ça donne envie de voir plus en détail le parcours à venir du CSBJ dans les années à venir.
Quand au fameux derby à venir qui démontre qu'il ne peut pas/plus y avoir trois clubs de top 14 dans un même département, j'éprouve une petite préférence pour l'aviron Bayonnais qui semble juste avoir une équipe dirigeante un poil moins sulfureuse.
Pour ceux qui n'auraient pas vécu les affres extra-sportifs du BO, c'est ci-dessous.
Attention, admirateurs de l'équipe dirigeante du BO actuelle, passez votre chemin, c'est une page "à charge" où j'ai compilé des liens.
https://vrac.2cbl.fr/oh-mon-bo/
Oui, si c'est Biarritz qui monte, on va bien rigoler avec son Président (notre ami Jean-Yves Viollier nous en a raconté les faits d'armes dans la chronique biarrotte qu'il a stoppée après les dernières municipales).
Supprimer2 beaux et chauds derbys pour les barrages. Dommage que les stades ne puissent être pleins.
Les Espoirs du ST vainqueurs du Reichel 👏👏👍, une motivation de plus pour l'équipe première en route vers un doublé, du moins je l'espère. Ceux qui ont échoué vont pouvoir repenser à fond les fondamentaux d'un club y compris la LNR. Il y va de la survie du top 14. L'USAP prend l'ascenseur pour combien de saisons ?
RépondreSupprimer"Ceux qui ont échoué vont pouvoir repenser à fond les fondamentaux d'un club y compris la LNR."
RépondreSupprimerCeux qui ont échoué: de qui veux-tu parler?
Les fondamentaux, a savoir? Un très gros budget, sinon le plus gros plus gros budget?
Avec en plus la formation des jeunes...
Mais je crois que c'est l'idée et le projet de beaucoup de gros clubs, non?
Mais il faut obligatoirement les deux je suppose car hélas dans la question finale, il y a un début de réponse. Perpignan qi n'a pas été ridicule en finale espoir, sera probablement 6 à 13 places plus loin du ST pour son équipe fanion l'an prochain. Ote moi d'un doute, championnat espoir et reichel c'est devenu la même chose?
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RépondreSupprimerJe ne sais pas pourquoi brusquement mes commentaires sont assortis de la mention "votre commentaire s'affichera après approbation" (sur un ordinateur)
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerSite bloqué ?
RépondreSupprimerOui. Quand on dépasse 2 000 visites, il se bloque. Normalement, ça devrait repartir.
SupprimerBonjour Richard, il n'a pas pris ma réponse à Jan Lou
SupprimerBonne journée à tous
Si sources bonnes, budget AB 15,6 M€ / BO 10 M€, les bourgeois ont migré, bon juste 7 km, tiens si on additionne les 2 sommes ça fait un joli budget pour UN club de TAUPE.14, non ???
RépondreSupprimerOn va pas rallumer les guerres entre tenants du rocher de la Vierge et chanteurs de la Peña Baiona, mais au-delà des passions et des positions bêtement sectaires des autres et des uns, pas interdit de réfléchir.
Et sinon, du côté de l'Australie pas glop la pandémie, du côté du domaine amateur de chez nous, on s'en fout, vu qu'on est dans la période où que le rugby rapporte le plus, alors les besogneux de l'ovale hein on en recause en septembre, la veille des reprises (?!?!) des championnats !!!!
Le championnat "espoirs" qui s'achève, un Tchernobyl rugbystique, une pléthore de matchs reportés puis annulés because virus, une compét' tronquée mais que l'on a amené au bout en dépit de toute raison sportive, que le ST s'en tire mieux que les autres, rien de plus normal vu le budget de la boîte, le nombre de contrats pro + "espoirs" et l'activité économique de la société, mais bon ........... Toujours enfoncer des portes ouvertes !!!!!
Mon voisin a planté un piquet et installé un vieux maillot du CAB comme épouvantail à zoizeaux, le respect s'perd les amis, faut que j'trouve un vieux chiffon du CO !!!!
oui, comme chez Tautor, après 2000 patients, il ferme le cabinet !!!
RépondreSupprimerBonjour Jan Lou, de Toulouse, rentré à Valence. La différence entre La Stade Français et Le Racing m'est apparu pour ce dernier d'esprit différent quand je fus étudiant à Paris en 1969. Je jouais à Clamart (montée en 3 années de 1ère série , honneur et en 3ème division Poli footeux génial à l'ouverture). Il était possible d'aller s'amuser avec le SF mais pas reçu au Racing même pour regarder ce qui s'y passait lors des entraînements. Le Racing avait le golf en plus. J'y ai été et reçu gratuitement parce qu'avec La Forteresse on y a montré qu'on savait jouer à ce jeu réservé encore aux bourgeois dans beaucoup d'endroits. L'esprit de France ne change pas vraiment.
RépondreSupprimerToulouse va montrer comment faire pour progresser et tenir le rythme d'une partie sur 80 minutes comme Nouvelle Zélande. Kaino va être professeur des jeunes comme il l'a fait depuis qu'il est là.
Letiophe
RépondreSupprimerAvant de gaspiller l'argent en allant chercher des joueurs, des staffs mercenaires du rugby, il faudrait assainir au sein même des clubs pour valoriser l'expérience des anciens depuis l'école de rugby jusqu'à l'équipe première, ça s'appelle une culture et non de la confiture donnée aux cochons. Étant au ST depuis plus de 20 ans, ce sont toujours les mêmes qui sont là dans les coulisses et aux "Amis du ST" pour veiller que le fruit ne se pourrisse pas de l'intérieur, encore moins de l'extérieur.
il faudra tomber les basques
RépondreSupprimerqui gagnera son independance
Bayonne devrai aisement s imposer
les plus gros budgets dominent
les mecenes d antan se sont mutes en qataris