Vous écriviez, ami(es) d'ici, qu'il est un prince des émotions à partager, un émetteur d'idées qui jamais n'a laissé de message à suivre mais plutôt des pistes, des chemins et des envies, libre à nous de nous y enfoncer. Vos commentaires suivaient cette Sorgue, prolongements de la précédente chronique en prose ; rivière qui transperce, écrivais-tu, Jacques, tellement martyrisée qu'elle aurait peut être façonné l'homme et le poète que nous aimons et, comme pour le rugby, dont nous aimerions tant retrouver les fondations lui qui se présentait poutre en deuxième-ligne.
Dans la fureur et le mystère d'une rencontre, dans la transhumance de ce ballon parfois arrêté par le rossignol diabolique, il a trouvé tel l'ange la clé. Octobrement. Bath et Toulouse étaient de dimensions adversaires. L'ailier, dans ce ground de récréation, fuyait la défense inversée. Lui, Maxime Médard, pointait du doigt la prémonition, s'étant approvisionné d'arguments. Il est ce joueur dont l'appétit d'imagination s'exprime sans filtre. Si à Bath coule derrière le stade une rivière soudainement grossie, Médard en plongeant nous a délivré par les mains.
Ne jamais rien lâcher, ne jamais renoncer. S'engager à jouer jusqu'au bout, ne jamais considérer la défaite comme une option. Rester concentré. Samedi dernier, le temps d'une malice, il a personnifié le meilleur du rugby, l'abnégation, le désir d'aller chercher la plus petite parcelle d'espoir dans un geste inattendu qui permet ainsi au Stade Toulousain de sortir victorieux d'une rencontre qui semblait mal conclue d'un point bancal.
J'ai rencontré Maxime pour la première fois en 2004 à Marcoussis. Il évoluait avec les moins de vingt ans. De près comme de loin, il y avait du Philippe Sella sur lui. Même silhouette athlétique, même timidité, quelque chose de pur dans le regard, aucune envie d'être le centre d'intérêt d'un article, étonné qu'un journaliste se déplace uniquement pour lui mais poli à défaut d'être disert, disponible sans montrer la moindre impatience.
Quatorze ans plus tard et autant de saisons en équipe toulousaine, cinquante sélections au compteur bleu, ce joueur protée, capable d'évoluer ailier, arrière et parfois centre, a tellement offert en trois fois, un simple geste qui fait tout et surtout en dit beaucoup sur son état d'esprit. Rarement une tape sur l'avant-bras a fait autant pour l'avenir européen d'une poignée d'hommes. Des gestes paraissent anodins mais sont ceux qui sauvent.
Le ciel n'est plus aussi noir, le soleil aussi rouge. Les quatre étoiles furtives de son maillot brillent et s'annoncent. Partenaire, coéquipier, silex fidèle qui taille le rideau des défenses, ton joug s'est raffermi et nous poussons de concert, nos pas battent l'amble, disait-il, silencieux. L'entente a jailli de ses épaules. Avec lui, nous sommes frères dans ce combat qui s'éloigne et nous laisse un cœur haut sur une pelouse à l'ombre éveillée de hautes tribunes et des vieilles bâtisses. Qu'il est naïf, ce ballon pétri de nos mains...
Maxime Médard est ce compère indélébile que nous sommes donc quelques un à avoir fréquenté ailleurs. Nous rejouons avec lui dans l'espérance et alignions les dos courbés en son absence puisque ce jeu ne soupçonne pas que ce qu'il nomme, à la légère, forfait occupe le fourneau dans l'unité des huit, des quinze, des vingt-trois, des plus nombreux encore. L'équipée s'avance derrière un rideau de papillons qui pétillent, une vessie partagée et gonflée d'orgueil loyal à la main, la crémaillère des percussions en collier à notre cou.
Le sang et la sueur ont engagé le match qui se poursuivra jusqu'à voir presque la nuit tomber à la dernière chandelle allumée dans le ciel d'ombre. L'horloge des attaques relancées de si loin achève de s'arrêter. Nos épaules sont des livres ouverts propageant l'épique à la lecture desquels nous avons tracé notre chemin dans l'encre des palmarès et des chimères qui ne sèchent jamais. D'autres nous observent, aujourd'hui, à l'agonie quand nous arrachons le bout de cuir à la terre au cœur de la cruauté des regroupements innombrables.
Il y a un homme à présent debout, un homme dans l'en-but d'herbes hautes qu'on dirait un premier blé, champ pareil à un chœur attaqué. Un champ sauvé.
Hommage à René Char
Texte épais et ardu...Passionnant...A méditer cette nuit et à relire avec attention dès demain matin.
RépondreSupprimerEt donc ?
SupprimerC’est du Victor Hugo
RépondreSupprimerbravo
brave haut écrivain
Fantastique
Comme quoi la gagne ou la lose ne tient qu’à une tape sur un bras
Bon
Au fait il est du ST mes amis
😊
Ô Toulouse
SupprimerJe l'encadre. Je le relaie. Je l'adore. "Octobrement".... c'est tellement beau et poétique - c'est dense. Bravo Richard, béret bas.
RépondreSupprimerLui écrit "novembrement" dans fureur et mystere...
SupprimerMagnifique, le lis et le relis encore, porté par le souffle de cette attaque grand large, ton ballon passé avec tant de douceur et de grandeur, et toute la ligne de gazelles qui fait se lever le public esbaudi, et tous les gros de l'avant aspirés par le souffle épique de la progression, individuelle et collective, c'est beau tous ces gens tout d'un coup qui pensent pareil, qui lisent (le jeu) pareil, qui courent même sens, ton texte ballon transmis qui éclaire cette journée d'une aura particulière.
RépondreSupprimerMerci.
Ce matin le ciel est plus clair, le soleil plus rigolo, le lac en-bas plus profond, c'est bon.
Tu as été ma principale source de relance, Jacques. Hommage.
SupprimerAh ben c'est pas comme Johnny, "entre mes mains, je n'y peux rien, tout se brise, entre mes mains". Bel élan et hommage poétique,
RépondreSupprimerinspiration quand tu nous tient, tu sort le single malt, le havane et c'est parti.
Alors, il suffirait de presque rien, juste d'une main de plus, ou d'un char à mains, pour qu'on redise à ce jeu je t'aime ?
Pour le cigare c'est Camacho. Bien vu...
SupprimerCe sont surtout vos commentaires qui ont été inspirant. Vous étiez lancés et je n'ai pas voulu siffler la fin du match. En fait je me suis aperçu hier soir que ce n'était que la mi temps...
RépondreSupprimerTant que ce jeu inspire la parole poétique, c'est qu'il n'est pas complètement mort. Merci Richard de cette magnifique percée dans l'émoi du rugby.
RépondreSupprimerLe rugby ne sera jamais en ballon mort avec de tels soutiens...
SupprimerBon allez je file sur La Rochelle. Que ceux qui sont entre les deux tours me contactent s'ils veulent qu'on boive un café ensemble.
RépondreSupprimermon sms de retour ne veut pas partir .Ok pour 18h
RépondreSupprimerBernard
Je me joins aux louanges et comme André j’ai lu et relu pour savourer
RépondreSupprimerCe jeu capable d’inspirer pour le meilleur ! Médard aujourd’hui comme symbole , avec lui la seule chose dont on soit sur c’est l’incertitude ....
Comme quoi jeu de mains jeu de toulousain qui rend le score moins vilain pour le S.T., hein Gé...
SupprimerMédard peut être le plus doué de génération, 65 sélections : qu'à t'il laissé véritablement comme image jusqu'à présent ? 1 pitch nette pour redorer le blazzer ? Fickou, idem à part son 1er essai majestueux qui nous laisse tjrs l'eau à la bouche.
A part dans le Ricard...
On a jamais de certitude. Mais comme tu dis, sont plus dans l'incertitude quant à 1 éventuelle confirmation internationale.
Tu sais Sergio je reviens à un de tes messages.
SupprimerTu as peut être raison que me souviens je des gestes ou du jeu de Médard rien sauf le dernier geste (jusqu’au prochain et je ne m’en Souviendrai plus)
Tu as dit nous sommes gavés de rugby ou de sport et à la fin on se souvient de quoi
Rien
Avant tu ne voyais que le tournoi des 5 nations et tu te souvenais de tout donc donc beaucoup souvenirs
Maintenant c’est 5 matchs par semaine voire 7 .
Et tu ne te souviens de rien si que de parole à la con qu’on te rabâche pendant le temps d’un week-end car il faut passer à autre chose.
Trop informations tuent l’information
Donc tu as raison je suis gavé jusqu’à être dégoûté sauf du ST 😊
le Gé pas assez de cerveau pour ce souvenir de tout et de chaque joueur 😭
Comme je disait c'est valable pour les joueurs : gavés de matchs, t'as plus faim. T'es pro tu vas au boulot faire ton train train...
SupprimerJe ne comprends pas tout ,quand ça tape que ça se rentre dedans tout le monde rale ,moi le premier ,et là samedi l'arrière anglais envoie des bisous à la foule et ça rale aussi ....enfin surtout coté british .Ritchie le café "ensemble " c'est pas la marque ? Parce qu'il vaudrait mieux du Merling la bas .
RépondreSupprimerFort de café, non ?
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SupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
SupprimerJ'ai supprimé mes commentaires pour ne pas. L'impression d'être Richelieu pendant la siège de La Rochelle.
SupprimerToutes les portes du club sont fermées.
SupprimerA l'époque les protestants étaient à l'intérieur du Stade
SupprimerAh ça, pour protester, ils protestent... Mais j'aime ce riche lieu.
SupprimerBeau texte Richard lourd et fin à la fois. Le rugby permet ça. Geste final funeste pour l'anglais céleste pour le ST. Avant la victoire ne jamais manifester rester modeste savoir respecter. A Medard pour sa postérité. Bien joué!
RépondreSupprimerLoulou Blanc est dans des difficultés de santé... dixit son cousin
SupprimerMerci Michel
SupprimerPasse ou geste ?
RépondreSupprimer"La passe est sans doute un des éléments fondamentaux du rugby. C’est elle qui assure la vie du ballon, mais aussi le spectacle. Geste technique par excellence ou combinaison de jeu, elle est surtout le plus sûr moyen d’éloigner le défenseur du ballon".
Allez, avouez, c'est surtout la suffisance Albionesque terrassée par le rusé lutin Mozart, pardon Médard,( il pleuvra quarante jours plus tard, sachez le )qui nous aura brexité le neurone, nonobstant le talent jamais démenti de notre biker Rochelais! ( à deux sur la Mob, plein pot troué dans Maréchal Juin, le casque j'en cause pas, plus une ménagère sur les trottoirs, encore bravo!)
RépondreSupprimerFaut il qu'on en soit sevrés de ces inspirations qui fleurissaient treize à la douzaine entre toutes les talenqueres chaque semaine , à l'époque ou , à deux sur la m..., oui, bon, ça va !
Allez Max, il est libre.
Célébration de la Passion du Top14 :
RépondreSupprimer« C’est à cause de mes fautes que j’ai été broyé »
En toi, Maxime, j’ai mon refuge ;
garde-moi d’être humilié pour toujours.
En tes mains je remets mon esprit ;
tu me rachètes, Maxime, joueur de vérité.
Je suis la risée de mes adversaires
et même de mes voisins ;
je fais peur à mes amis,
s’ils me voient à la télé, ils me fuient.
On m’ignore comme un mort oublié,
comme une chose qu’on jette.
J’entends les calomnies de la foule :
ils s’accordent pour m’ôter la vie.
Moi, je suis sûr de toi, Maxime,
je dis : « Tu es mon Dieu ! »
Mes jours sont dans ta main : délivre-moi
des mains malhabiles qui s’acharnent.
Amène...
SupprimerC'étaient la fête mais pas au château. En bas, au bar du petit club house construit il y a peu à coups de mains généreuses et bénévoles, sur le crédit de la banque et l'aide de la municipalité. En haut, ne restaient que les ruines. Alors qu'à la Maladière, était en train de s'échaffauder la vue d'une qualification, mais pas façon Altrad. Ce qui laissait dire, malade hier guérit donc aujourd'hui, ou le château redevenait brillant... un début de lyrisme !
RépondreSupprimerCar on était pas sur le cercle des poètes disparus. Point de Char même si la Sorgue n'était pas si loin, ni de Jeantet, ni d'Escot pour l'hommage. Même pas l'écho. D'Hemingway à Faulkner ou Bukowski, plutôt Blondin mais côté éthylique, et donc plutôt radeau de la méduse parfois en faim de soirée !
Le génie était il dans la bouteille Pour ces poètes de très loin ? Nonobstant, la fontaine à bière ne se tarissait pas. Pas plus que ces histoires ou élucubrations qu'elle faisait mousser. Pas plus que les joueurs de l'équipe 1 tarissaient pas d'éloges sur leur ouvreur (Richard ??) au coup de pied thaumaturgique et chirurgical ayant emmené son escouade au bout de la victoire, en ce dimanche d'automne où il n'avait pas vendangé. Contrairement aux vignerons du coin occupés dans leurs coteaux avec leurs pampres.
Pas un grand match, pas de fourmis dans les mains, plutôt terne sauf ces ballons montant vers la lumière entre les perches. Mais tout le monde s'était envoyé, comme ils disent. La nuit t'attend toujours et ils profitaient largement de ce jour qui s'était offert opportunément.
Comme le jaune du Midol apporte sa contribution en matière d'ovale, celui de M. Ricard participait beaucoup aussi à délier les langues, même les plus taiseuses. Un appel radical grand large, transportant vers des terrains souvent plus gras, mais sans crampons de 18 sous la langue. D'ailleurs, si un drône avait pu survoler ces forts intérieurs tout à coup à ciel ouvert, on s'apercevrait que les fake news existent depuis belle lurette !
Ce qui faisait dire aussi que devant le zinc, il y avait moins de grands moments de solitude que sur le terrain... Factualité ou allégorie, débordements non cadrés, les hommes trinquaient, les femmes fumaient et tout le monde s'enfumaient !
Pourtant, il fallait bien rentrer l'auto, passer devant les poulets toujours à guigner au sens giratoire de la chose, et rentrer sans contrariété. Ce rôle était souvent dévolu à sens unique, féminin, libation masculine oblige.
Après, au fil de l'eau, au point du jour, la poésie s'arrêtait là. Les verres avaient assez coulés...
Ricard Escot
SupprimerPfff !
RépondreSupprimerC'est dur de suivre ce blog ! Non seulement il faut (faire semblant de) connaitre un peu le rugby, mais en plus il faut connaitre René Char !
Blague à part, très beau texte Richard ! Il n'y a vraiment que des rugbyphiles pour écrire des trucs pareils (encore qu'Antoine Blondin en a écrit des pas mal aussi sur le vélo !)...
Amitiés à tous, rescapé des tempêtes grecques je vous retrouve avec plaisir !
Daniel
Des poètes du rugby aussi pour le lire, Daniel...
SupprimerSuperbe texte! Merci Richard.
RépondreSupprimeryou welcome, Jack
RépondreSupprimerhttps://mobile.francetvinfo.fr/meteo/inondations/inondations-dans-l-aude/on-ne-va-pas-vous-lacher-comme-ca-bernard-laporte-emu-par-la-detresse-dun-petit-club-amateur-de-rugby-de-laude_2992605.html#xtref=https://news.google.com/
RépondreSupprimerHier je suis allé aider un cousin à Trèbes ,très touché comme tous par les inondations ,et en arrivant la première chose que j'ai vu ,ce sont trois maillots de rugby étendus ,sales ,en train de sécher qu'il ne fallait surtout pas jeter.Dans la journée dans tout ce que l'on retrouvait au hasard de l'immense sous-sol ,l'eau jusqu'à 1,90 m, avait fait un "rangement bizarre",et qui avait un rapport avec le rugby nous donnait l'occasion de nous relever un peu ,heureusement, et de raconter qqs souvenirs.On a terminé "enboué",lui un peu soulagé ,moi content de l'avoir aidé ,mais plus maché que mes parties de golf et du souvenir de matches même les plus rudes,maché aussi de voir se spectacle de désolation ,mais la solidarité existe on a eu une équipe venue de Nimes qui evacué un bon paquet de choses qui avaient trempé .Aujourd'hui il aura le renfort d'anciens joueurs qui on pu se libérer ,comme quoi tout tourne souvent autour du rugby dans notre région.
RépondreSupprimerJ'ai écrit, avec beaucoup de plaisir et également beaucoup de difficultés, un assez long texte en regard et en réponse de celui de Richard. Tout était fini et lu et relu....J'ai appuyé sur "Publier" et tout a disparu.
RépondreSupprimerMerde! Trois fois merde.
J'abandonne.
Et c'était bien ?
RépondreSupprimerC'était juste une réflexion sur le texte de Richard. Rien de plus.
RépondreSupprimerBonjour à tous, samedi, rugby, soleil magnifique et bibine au frais, tout semblait annoncer une belle journée, bin non, le rugby ça me dit plus, pas plus que le dimanche d'ailleurs, et ma petite revue de presse de ce matin m'en décourage encore un peu plus. Infos de l'ovale: flashes aux titres racoleurs, ici les suspensions de joueurs remises en question, là des suspicions sur des décisions arbitrales, plus loin des présidents qui s'épanchent, à-côté des managers qui causent de tout sauf de jeu, dans les sous-sols et bas-fonds des experts consultés -anciens joueurs, jolies blondes, grassouillets consultants et ineptes passeurs de plats- qui "font le buzz" dans un mouvement ininterrompu.
RépondreSupprimerPendant ce temps JB concocte pour la tournée d'automne un groupe dont on a peine quand-même à comprendre et le contenu et la construction, le jeu qu'il compte mettre en place et la direction collective avec quels objectifs, un peu l'impression que chaque tournée, tournoi, CDM, saison hexagonale, repart comme si rien ne s'était passé la saison précédente, on replâtre un énième collectif sans véritable projet de jeu, le seul objectif est le match à venir qu'il faut bien se taper puisque t'es "élu" comme disait GN, et les élus forts contents de venir faire la pige se foutent comme de l'an quarante du cochon de payant, du spectacle fourni, de la prestation collective, juste faire avancer une carrière fructifiante.
Demain m'en vais sans doute voir en honneur ce qu'y s'y passe, manquerai pas de vous en entretenir, en attendant, dans la montagne les torrents sont asséchés, les sapins se meurent, les lacs des vallées ont soif, plus de paille pour les bestiaux, visiblement nous continuons méthodiquement à galvauder nos ressources, abîmer chaque jour un peu plus notre environnement et détruire les perspectives d'avenir pour nous et nos enfants, mais rien ne semble émouvoir nos dirigeants, comme pour le rugby la catastrophe est là, l'avenir plus sombre que jamais, mais tout va bien braves gens dormez tranquille.
Allez, Nini grincheux s'en va marcher un peu, pas trop because les 2 gambettes viennent de se faire opérer des varices et c'est pas glop. Les avirons sont rangés, d'ici à ce que le lac soit à sec au moment de reprendre l'activité y'a pas loin, tout fout l'camp !!!!!!!
Le 6 novembre j'y passe aussi, Nini. Aux varices....! Aller, je n'en rajouterais pas plus sur tes constats, sentiments, réflexions, ressentiments...
RépondreSupprimerne pas en rajouter ……….. En dit beaucoup !!!!!!!!
SupprimerAux diables l'avarice !!!!!!!!!!!!!!!
RépondreSupprimerALLO ???? ALLO ???? Mais ALLO quoi, t'as le blog et tu post pas, m'enfin, j'y crois pas !!!!!!!!!!!!!!
RépondreSupprimerPas des excités du commentaire les potos, le temps qui fait ça avec l'été qui recommence, ou le rugby qui épuise avant même que d'en causer, ou l'apéro et les victuailles trop riches qui empêchent de ne pas roupiller une fois calé dans le fauteuil devant le clavier ????? Allez, faut se réveiller, on est chez nous !!!!!!!!!!!!!!
Bon là suis devant Castres-Exeter. Je bosse, quoi... Ce matin dédicaces en librairie. Hier rédaction d'une enquête sur Collazo à la Rochelle après trois jours sur place. Pas trop le temps d'écrire sur le blog mais bon, suis là, hein ? Au soutien.
SupprimerEn attendant, gros match à Pierre-Fabre.
Tiens,en contrepoint de Collazo et autres tout puissants :
RépondreSupprimerHier soir, après vingt bonnes heures de bataille dans les sentiers deux champions décident d'envoyer balader consignes, entraîneurs et sponsors et de finir main dans la main.
Quel bol d'air !
Depuis , des mecs qui ne se sont jamais vus, un japonais et un breton, une Islandaise et un Créole bon tein. ...s' attendent à trente mètres de la délivrance pour ne pas finir seuls.
Allez, y à encore des bons moments de sport.
Oui, c'est beau. C'est du sport porté à l'extrême de la participation.
SupprimerCastres héroïque, Toulon pathétique et maintenant le Racing qui redevient tonique à la demi-heure de jeu. Non stop. Je me régale.
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerhttps://www.google.fr/amp/s/www.francebleu.fr/amp/infos/insolite/un-chateau-fort-medieval-decouvert-dans-un-jardin-a-treignac-en-correze-1539099464
RépondreSupprimeret pourquoi pas ajouter Treignac comme l'antichambre du renouveau du rugby de découverte
SupprimerOn va déjà voir l'année prochaine à combien nous nous retrouverons sur place...
SupprimerJe dois prendre des vacances en avril si je prends fin avril ça ira car tu avais dit début
Supprimer12, 13 et 14 avril. On dirait une ligne d'attaque...
SupprimerLe ST fait haut les mains face au Leinster surpris. A voir s'ils seront libérés, comme samedi dernier. Agréablement surpris par Guitoune au centre, tant en attaque qu'en défense.
RépondreSupprimer👏👏👏👏👏👏 au courage à la fin ! Une grosse rentrée de Dupont ! Très heureux pour eux et pour ce jeune extrêmement talentueux !
RépondreSupprimerAllez le Gé ! Heureux ?
Superbe superbe
SupprimerJe pleure de joie 😊
Non faut pas exagérer
Heureux pour le ST
Pour les petits jeunes surtout il y a de l’espoir
Les Gé simplement heureux
Et dire que le très humble président de Bath voulait faire rejouer le match pour 20 s. manquantes. P'tète que Leinster va faire pareil pour la vidéo dont à pas voulu Barns à la demande de Sexton, pour valider l'essai de Guitoune. Tant pis pour Bath et Leinster, z'ont pas su jouer à leur main, c'est comme du cassoulet sans les saucisses !
SupprimerSinon, c' est pas qu'il n'a pas été bon, mais Dupont à l'ouverture...
Par contre N'Tamack blessé au visage, pas 1 coup mais ça ressemble plus à 1 crampon ou 1 doigt qui a bien traîné.
Deux 9 à la charnière , deux ailiers au centre .. comme quoi quand l’envie est la ...Etat d’esprit irréprochable ! J’ai été impressionné par le 8 quelle présence et pas une faute de goût
RépondreSupprimerEst ce le frère de l’ancien talonneur parti aux Saracens ?
Oui tout à fait
SupprimerPas vu les matches, suivi les scores. Merci Ritchie pour les commentaires.Pour Treignac j'y suis déjà. Allez le STADE! Médard transformé en sauveur,son bonjour à ceux qui l'avaient condamné. Effet Sonnes? Qui peut confrmer?
RépondreSupprimerPosons la question avec Rugbyrama ce matin "quel jeu pour être champion du monde ?"
RépondreSupprimerBen, le foot, le hand, voire le decathlon , fastoche!
Plus sérieusement Conrad Smith évoque le jeu au pied offensif, voilà bien une piste intéressante, pourtant peu et mal utilisée.
Allez, on à pas le temps, fô lever de la fonte.
tiens j'y pense, le pseudo staf national met Iribaren hors jeu parcequ'il a, entre autre, une passe trop vive et voit le jeu du mouvement; pourrait bien arriver qu'ils en fassent de même avec Dupont parcequ'il va trop vite et que les autres ne peuvent pas suivre...
SupprimerSont marrants tous ces médias spécialisés és-rugby de se poser LA question, quand à longueur de saison, à longueur de rencontre, à langueur des prestations de notre EDF, ils honorent le rugby de fermeture qu'ils ont fabriqué, mis en con-serve et cadenassé par les liens solides de l'argent et des affaires, spectacle sponsorisé devenu la triste et malheureuse image de notre ancien sport devenu travail de galériens.
RépondreSupprimerBien de s'interroger sur le JEU, mais pour être champion du monde, là là franchement on sent que le type il a bu un coup, ou alors l'a oublié le millésime, non ???
Pac'que, raisonnablement, un gars sensé qui se dirait " … Bon on est champion du monde des U.20, la CDM qui vient et les 3 saisons suivantes vont nous permettre de travailler avec ces jeunes en les encadrant avec quelques joueurs au "métier" plus affirmé, pas de "projet de jeu" fumant et de "cahier" aux schémas tactiques pensée unique et règle stricte, on déserte un peu les salles de muscu et les ateliers lancinants de je te me répète 100 fois le truc ou le machin, on envahit le terrain, on contractualise tous les "élus" avec obligation des clubs à les faire jouer, on limite le nombre des étrangers, on renvoie les Gogo Momo Boubou et con-sorts dans leurs pénates, on fige le FLOP.14 pas de montée/descente pas de phases finales un calendrier allégé, et rendez-vous en ……………… 2023 …".
OH …………………. P!!!!! Me suis assoupi sur mon clavier me voici me voilà retour dans le présent, nom de d'leu ai fait un drôle de rêve, mais ça y est bien réveillé et bien présent dans le cauchemar ovale de notre triste époque pas si épique que ça !!!!!
Tiens un grand penseur du rugby le C.Smith, vient de découvrir que le rugby peut se jouer au pied et que cette terminaison nerveuse et agitée du joueur peut aussi se transformer en jeu offensif, je remarque que des grands visionnaires n'en a plein les terrains et les colonnes, mais que venues les rencontres z'en oublient tous leurs beaux discours et nous jouent et rejouent à l'ennui leur rugby occupation/Pourcentage/Statistiques.
On nous aurait donc encore menti ? Ce jeu ovale serait il devenu 1 grande esc(r)o(t)qui rie. Et des escrocs il en sort de partout.
SupprimerLe tout c'est de les débusquer ou plutôt de les flairer avant, parce qu'après c'est souvent trop tard.
Jeu à la main, jeu au pied classico ou dynamitéro, l'important c'est qu'il soit à la main des joueurs et vice/versa mais pas à celle des adversaires, bon dieu mais c'est bien sur. Ça C'est pour la forme. Sinon pour le fond... on touche encore le fond !
Ben oui Nini mais les conservatismes ont la peau dure , c’est très clair en regardant la liste non ... À ce propos celle des Barbarians répond davantage à ton « rêve « 7 des moins de 20 ans y figurent plus Bamba avec les « lents « ça nous fait 8 , allez pas mal
SupprimerPar contre concernant Conrad Smith je serai un peu moins « expéditif « sur son propos qui en première lecture peut paraître « ah ben dis donc mon Con .... rad
Ce fameux coup de pied offensif il y en a de nombreux et demande beaucoup de travail avec le collectif pour être précis , on ferait bien de s’y coller .... car les défenses au niveau dont on parle se re alimente plus que bien !
Georges je suis d’accord avec toi , sauf blessure ce sera Parra donc Serin , Dupond et autres patienteront jusqu’en 2023
Con-servatismes à la peau dure et année, certes certes …………. Les Barbares-riants, oui un groupe qui re-donne des envies.
RépondreSupprimerBien sûr je ne galvaude pas le jeu au(x) pied(s), que nenni, et bien sûr que les défenses se re-alimentent dans les grandes largeur de manière automatique, schématisée, avec ce sens de la récitation par-cœur apprise dans les cahiers/vidéos/séquences répétées à l'infini et ingurgitées par les joueurs jusqu'à l'abrutissement.
Alors certes un jeu au pied pertinent, pensé, action collective, ça devrait perturber ces défenseurs montés sur rails et automatismes, et ouvrir ici des espaces, créer là ou ici des intervalles, bref favoriser la mise en danger possible autre part qu'au ras du énième gros tas compacté au ras du précédent, mais pourquoi tous ces stratèges du jeu n'y pensent pas, cerveau éteint et en mode pilotage automatique, ça me dépasse.
Parra AVEC Dupont et un autre (Ramos ??) je suis plutôt pour, j'avais déjà dit dans un commentaire précédent que ne serait pas idiote l'idée de sélectionner pour chaque poste 1 joueur confirmé et 2 espoirs en apprentissage, ainsi alterner les titularisations et partager les temps de jeu.
Faire donc le pari du travail en profondeur et de longue haleine, seul gage de réussite, on prendra des roustes et nous vivrons quelques saisons de vache maigre, et alors ???? Tous les autres ont ainsi fait, actuellement l'AFSUD, les ARG ANG IRL ECO et GALL ont également subi des années difficiles en bâtissant sans céder à l'immédiat, on en voit aujourd'hui les résultats, faut-il donc que comme le coq l'on se complaise les deux crampons dans la gadoue au risque de s'enliser durablement et ne pas pouvoir se sortir du merdier !!!!!!!!!!!!!
la peau dure et Tannée !!!!!
SupprimerVoudrais poser une question, qui me vient suite à tous ces limogeages de managers et mises à la porte d'adjoints ou autres petites mains des encadrements de nos équipes pro, dernier évènement en date la siginfication à Dal-Maso d'aller promener son Alzheimer ailleurs que sur la rade: les Collazo et cons-sort, managers en chef c'est quoi les diplômes exigés pour arriver à ce titre, sur quelles compétences sont-ils attribués, par quelle autorité, quel organisme fait passer les épreuves (quelles épreuves ???), quel contrôle est-il fait de leur travail après qu'ils décrochent un contrat, j'ai l'impression qu'il est plus difficile d'obtenir un brevet fédéral du 3° degré pour guider un groupe de joueurs que d'avoir le sésame pour cornaquer un troupeau de bestiaux au haut niveau.
RépondreSupprimerKékun d'ici pour apporter des précisions ????? D'avance merci.
Nini, tu as lu, vraiment cet article, parce que l'auteur dans un premier temps dénonce à peu près la même chose que nous concernant l'EDF ( Sur courant alternatif preciserait un pensionnaire de l'école du rire)
RépondreSupprimerSon pronostic sur l'évolution du jeu à la prochaine coupe semble plus général,pas franco/baguette/béret de toute façon on est pas concernés, nous c'est déjà la prochaine qu'on prépare ,on est en avance!
Allez, quand le centre des Blacks cause, le talon de Chevreuse écoute ☺
Geste défensif plein d’abnégation de Médard, qui à la fin du match n'a pas manqué de rappeler que s'est Vincent qui lui a apprit à ne jamais s'avouer vaincu.
RépondreSupprimerJ'ai immédiatement pensé au plaquage de Clerc sur Max Evans (https://www.youtube.com/watch?v=05cuVeU7Awg) qui pour le coup était vraiment un geste défensif.
Le jour où la manifestation déplacée d'un essai sera sanctionnée d'un carton jaune, nous ne verrons plus ce type d'action.
Je suis également pour la création d'un carton sanctionnant les remplaçants venant chambrer dans l'en but.
En regardant jouer Toulon ce week-end, je ne peux m'empêcher de penser que le RCT est confronté à la même situation que le Stade Toulousain depuis quelques saisons.
"Le Stade Toulousain, quadruple champion d'Europe (1996, 2003, 2005, 2010) totalement méconnaissable, est sorti par la petite porte de la Coupe d'Europe, éliminé samedi à Edimbourg (19-14) au terme d'un match jamais maîtrisé qui a révélé des lacunes inquiétantes"....
En voyant le jeu d'Iribaren, j'ai pensé à Georges, à son vin, à Treignac.
Treignac où j'avais proposé de créer des règles pour que la France gagne, mais finalement le problème, ce ne sont pas les règles, et les sanctions qui en découlent, mais c'est l'interprétation anglo-saxonnes de ces règles.
Bref, mes souvenirs sont comme un ballon de rugby, ils rebondissent dans tous les sens.
PS; André, avant de publier un texte, fais en un copier coller, ça évite biens des mésaventures
Voilà et même les ceux qui ont joué 3/4 ...
RépondreSupprimerd’autant plus idiot de ne pas mettre les jeunes talents pour s’aguerrir des 2019 . Allez pas exclu qu’ils prennent le pouvoir ... par leur performance ...
Sino. « Dalmaso sur le départ « titre malencontreux pour un homme qui vient de subir une grosse opération du cerveau pour son Parkinson ... on lui souhaite le meilleur et son départ de Toulon et déjà en soi une bonne nouvelle pour lui
Allez Marc ! Allez les Talons !
Réponse à Nini :
RépondreSupprimerManagers pros ou Entraîneurs : D.E.S (diplôme d'état) ou B.E 2 (brevet d'état) / TOP 14 et PRO 2
Entraîneurs Espoirs ou F1 : D.E (supérieur à l'ex B.E.1) / formation 1 an coût 7500 euros dans un Centre agréé ( Marcoussis ou autre)
Entraîneurs +18 : B.F. optimisation / formation UF1 20h + UF2 20h +UF3 20h UF3 (spécifique)
Entraîneurs -16 -18 : B.F. perfectionnement / formation idem ci-dessus 3*20h (UF1 et UF2 tronc commun ci-dessus)
Entraîneurs Educateurs -14 -12 : B.F. développement / formation UF1 20h + UF2 20h +UF3 20h UF3 (spécifique)
Educateurs -6 -8 -10 ; B.F. découverte initiation /formation idem ci-dessus 3*20h (UF1 et UF2 tronc commun ci-dessus)
à savoir : UF1 seul (soit 20h de formation) autorise l'accompagnement seulement des -6 aux -14
D'une manière générale, pour un emploi contractuel, (même en fédérale), il faut être diplômé d'état. / D.E.S. - B.E.1 OU 2 - D.E
En fait, je m'interrogeais aussi sur l'existence d'un système d'équivalence, par exemple si tu as été international est-ce que ça te rapporte des points, si as été sélectionné dans d'autres structures (Barbarians), si tu as joué un certain nombre de rencontres au plus haut niveau national, voire participé à des stages ou séances d'entrainement en tant qu'encadrant sans forcément avoir les diplômes requis (personnalité, représentation, obligations des internationaux ….).
SupprimerEgalement la question intéressait plutôt les niveaux pro et féd.1.
Enfin, il faut savoir qu'UN SEUL encadrant avec le BREVET D'ETAT permet à xxx autres éducateurs "en formation" d'avoir un emploi contractuel (dans la même catégorie), que le contrat soit public ou "privé", c'est d'ailleurs le cas dans beaucoup de clubs de Féd.2 et dans une majorité de clubs de féd.3.
merci Christian pour ce panagérique des diplômes pour entrainer en France et avec tout ça nous ne sômmes qu'à la 8éme place(environ) sur l'echiquier mondial, y a comme un défaut. On évoque de plus en plus dans l'éducation nationale la dualité professeur diplomés face à enseignant-pédagogue...
SupprimerBien sur je pense à notre cher Beaumontois Gaston Vivas, il est à la base instituteur de l'ancienne école avec , sans doute, dans la même classe des enfants du CP jusqu'à ceux du Certificat d'étude
... non, aucun contrat, aucune rémunération sans diplôme d'état !!! (sinon le club est hors la loi); Souvent, les clubs "s'en arrangent" avec des frais kilométriques, ....et autres combines !!!!
RépondreSupprimer... non, le statut d'international, la carrière de joueur, les stages ou autres, ne donne aucun avantage, si ce n'est d'avoir la possibilité de théoriser une pratique à un niveau donné ! ... donc tu passes par le même "circuit" que tous les candidats !
LA V.A.E. elle, peut te donner la possibilité d'accéder à un diplôme d'état, mais le dossier à monter est "costaud" et en décourage plus d'un !
En effet, un éducateur formé (B.E. ou B.F.) peut "couvrir" un éducateur en formation !.. mais pas pour un emploi contractuel !!! (et surtout pas public). De toutes façons, tu dois être en activité dans un club pour t'inscrire à une formation fédérale (au niveau requis).
Toulon ne disposant plus d un arsenal de stars internationales redevient un club bien banal
RépondreSupprimeril est flagrant de voir le peu d entrain des joueurs ils ne se lachent
leur president preferant jouer avec la radio il s enferme dans sa bulle
bref a la sortie une equipe quelconque
que DAL MASO soit atteint de ALZHEIMER me surprend il est jeune non
que doit faire Duppont pour convaincre BRUNEL qui prefere associer LOPEZ a PARRA
POUR LE FAIT QU ILS ONT L HABITUDE de jouer ensemble
alors qu il aille au bout de son raisonnement et qu il selectionne tous les 3/4 de CLERMONT
heureusement que les BARBARIANS presente de vrais espoirs
Pour Dal Maso, c'est Parkinson,et bien jeune en effet.Il vient d'être opéré.
SupprimerLa charnière et les centres de Clermont,sur ce qu'ils montrent cette année, c'est pas illégitime, avec Dupont et Filou sur le banc ( ou à l'aile pour ce dernier)
Puisqu'on n'a pas de toute façon une politique de continuité, je préfère celle de la complémentarité , des hommes en forme aussi, à la dictature du jeunisme.
Ça vaut pour Médard aussi dans ce groupe bizarre ou il n'y à que des centres et quasi pas d'arrieres.
Allez Chevreuse