mercredi 26 octobre 2022

Aux racines de ce jeu

Un géant s'est éteint. Doucement. A l'âge de 102 ans. Avant d'être l'immense artiste que l'on connait, Pierre Soulages avait été un solide avant du lycée de Rodez, puis du Stade Ruthénois. En 2007, Olivier Villepreux avait interviewé le peintre de l'outrenoir sur le thème ovale. "Avec mon gabarit, avouait  Soulages, mes cent kilos et mon 1, 90 m, j'étais deuxième-ligne et parfois troisième-ligne. Je sautais haut, je courais vite. A Rodez, je ne pouvais échapper au rugby. Dans ma famille, on aimait le rugby. Je me souviens un jour, j'avais dix ans, et l'équipe du Stade Ruthénois était en déplacement. Mon oncle m'a surpris en train de me rendre au stade :

- Et où vas-tu ? 

- Au stade, il y a match de football... 

- Tu n'es pas malade ? Tu veux aller voir jouer les manchots ? Tu n'iras pas ! Viens, on va à la maison, on va goûter ensemble. 

Et il m'a offert un quatre-heures phénoménal, pour me récompenser ! C'était en 1930." 

Dans Le rugby français existe-t-il (éditions Autrement, 2007), Olivier Villepreux reprit les mots écrits par Roger Vailland sur Soulages : "C'est un champion, qui au cours d'un grand nombre de combats, de courses et de séances d'entraînement s'est créé un style". Un style fait d'immenses peintures monopigmentaires fondées sur la réflexion de la lumière par les états de surface du noir. Toiles exposées dans le monde entier, Paris, New York, Sao Paulo, Copenhague... Magnifiées en 1979 puis en 2010 au Centre Georges Pompidou, autre amoureux du rugby. Happé par la peinture en 1946, Soulages a ainsi fait traverser, quatre-vingt ans durant, son noir abstrait. 

"J'ai des rapports presque quotidiens avec le rugby, avouait cet ancien joueur de l'ombre, des tâches obscures et souterraines. Car ce qui m'a plu au départ dans le rugby, c'est que le ballon est ovale. Cela a l'air idiot, mais c'est capital parce que, avec cette forme, il y a de l'inattendu. Et l'inattendu est ce qui m'intéresse dans la peinture, tous les jours. Ce qui me plaît, c'est de rencontrer ce que je n'attends pas et sur lequel peut s'échaufauder une construction. C'est comme cela que fonctionnent mes tableaux. Lorsque j'en commence un, je ne sais pas ce que je vais faire, c'est un événement qui, pendant que je peins, se produit et déclenche la suite. Cela ressemble déjà à du rugby, c'est dans la conception même, dans la racine de ce jeu, que je retrouve le rebond innatendu de l'ovale." 

Et Pierre Soulages de poursuivre, à notre usage : "Si le rugby n'était qu'une activité physique, elle manquerait d'intérêt. J'ai souvent vu des types qu'on disait idiots être très intelligents dans le jeu. Et ils l'étaient, profondement. Il y a une forme d'intelligence du combat (...) Dans l'art, c'est la même chose. Ingres disait : "Les gens qui ont du talent, ils font ce qu'ils veulent, moi, je ne fais que ce que je peux." Je crois que c'est une parole qui vaut aussi pour le rugby. C'est un jeu qui est révélateur des gens, de leur personnalité et de leur talent, dans un collectif." 

Et de conclure ici : "J'étais concerné par beaucoup de choses dans ma jeunesse, mais j'aimais ce jeu parce que justement il était beaucoup plus qu'un sport, un jeu (...) J'ai rencontre René Char. Il jouait au même poste que moi, m'a-t-il dit. Nous avions la même corpulence, quoique dans mon souvenir, il avait des mains plus grandes que les miennes ! Georges Duby (historien) également avait joué. Claude Simon (écrivain, prix Nobel en 1985) aussi. C'était un ami proche. (...) Vous savez, en général, les amis que j'ai sont des amis qui aiment ce jeu. Ce n'est pas parce qu'ils aiment le rugby qu'ils sont mes amis, mais parce que probablement il y a des choses que nous partageons qui se trouvent aussi dans ce jeu." 

Parmi ses amis, Jean Nouvel. Et Olivier Margot. Qui offrit à L'Equipe Magazine le 10 septembre 2011 sa Une signée Soulages pour un cent pour cent All Blacks. "Le noir n'est pas toujours le deuil, précisait le Maître. Pour la plus grand partie de la planète, la couleur du deuil, c'est le blanc. Les symboliques des couleurs sont réversibles. Pour tout homme, c'est la couleur de notre origine : avant de naître, avant de "voir le jour", nous sommes dans le noir. Dans les époques lointaines de la Préhistoire, Altamina, Lascaux, Chauvet, nous savons que, depuis 340 siècles, les hommes allaient peindre dans les endroits les plus obscurs de la terre, dans le noir absolu des grottes, et peindre avec du noir." 

Dans l'entretien réalisé par mon ami Olivier Margot, Pierre Soulages évoqua le rugby d'aujourd'hui. Voilà ce qu'il en disait : " Le jeu m'intéresse toujours, même s'il y a moins d'inattendu qu'auparavant. Tout est devenu très codé. Il faut se méfier des techniques trop bien rodées. Je suis contre les académismes. En peinture comme en rugby, le plus intéressant, c'est quand apparait un nouvel ordre dans le désordre. J'ai dit, il y a longtemps : C'est ce que je fais qui m'apprend ce que je cherche." 

Un tel personnage, plus grand que nature, nous laisse une oeuvre monumentale - et je vous invite à vous rendre à Rodez au musée qui lui rend un sublime hommage où se mêlent les relations du noir avec la lumière et les couleurs, "l'inépuisable diversité de la lumière reflétée, ce noir-lumière, cet autre champ mental que celui du noir", ajoutait-il, presque mystique, citant saint Jean de la Croix : "Pour toute la beauté jamais je ne me perdrai, sauf pour un je-ne-sais-quoi qui s'atteint d'aventure."

Remettre en cause dans un monde fragmenté, qui souffre. Parti, Pierre Soulages, et nous sommes nombreux, nous accompagne. Il demeure. Dans l'effort insondable qui nous pousse non pas seulement à rencontrer mais à atteindre.

68 commentaires:

  1. Pierre Soulages, ou la lumière à travers le noir, qui s'étale sur le noir.
    Et le rugby c'est un peu ce partage de lumière qu'il peut apporter sur tous nos parcours parfois obscurs.
    Quand il parle d'académismes, là aussi on s'aperçoit comme en terme sociétal, que l'homme partant d'un ballon ovale va essayer de corriger, lisser les effets, bref arrondir les angles pour arriver à des fins plus efficace et rentable.
    Peinture, écriture, l'intérêt reste bien quelque part l'inattendu pouvant aboutir à une certaine satisfaction. C'est ce que j'y retrouve dans l'écriture telle que j'ai envie de la pratiquer. Des mots arrivent, je sais pas ce que je vais forcément en faire. Je stocke, j'y puise, j'épuise.
    Allez de la couleur, marron, blond, roux, teinté, mais on finit les cheveux blancs...

    RépondreSupprimer
  2. Quelle fraîcheur chez ce vieux monsieur que " le jeu intéresse toujours ".
    Le jeu qui évolue, change, se re-découvre, comme son noir!
    Allez Le Noir.

    RépondreSupprimer
  3. Et dans un autre genre, tout aussi poétique, un sacré passager du vent ,le plus Breton des Canadiens, à largué les aussières .
    Allez, m'avait fait rêver le petit bateau jaune !

    RépondreSupprimer
  4. “Le noir est le refuge de la couleur” disait G. Bachelard mais je préfère S. Mallarmé “Ecrire, c'est déjà mettre du noir sur du blanc”.
    Rien de pire qu'une feuille blanche et pourtant j'en ai rendu quelques unes en guise de cancre mais aussi par plaisir ! La seule fois ou j'ai croisé l'œuvre de Mr Soulages ce fût à Cajarc lors d'une exposition en 1990 ou dès l'entrée, il fallait suivre suivre un fil noir tendu sur le mur jusque dans la salle ou étaient accrochés une partie de ses tableaux. Du noir au noir obscur du lieu, comme disait Johnny "Noir c'est noir" pas plus ni moins, incapable de traduire cette ambiance mortifère d'un artiste de renom. Et dire qu'il a magnifié les All Blacks et l'ovale ! Encore aujourd'hui, je reste hermétique à ce noir obscur ou pénètre la lumière des ténèbres pour encenser la couleur fétiche du créateur. Pour arriver à une telle magnificence de cette obscurité, Mr Soulages a du, sa vie durant, côtoyer plus les curés que les danseuses du Moulin Rouge ! Bref, sans autre forme de jugement sur ce grand nom de la peinture moderne, passer sa vie dans le noir à chercher la lumière a du être un sacerdoce et une richesse sans égal ! Ma foi quand on sait que notre cerveau ne voit jamais le jour sauf par le regard que nous y portons, je me dis que consacrer sa vie au mystère funèbre d'une seule couleur est un exercice "d'outre tombe". Par contre la perception de l'ovale me plait de par l'inattendu mais aussi par le fait qu'un idiot devient intelligent de par le jeu ! Je n'en connais pas beaucoup qui se sont révélés mais avouons qu'il faut oser dire une chose pareille quand on connait le milieu ! Un rayon de lumière dans un noir désir de concupiscence idéatoire ! Plus intéressant est l'inattendu que ce soit le joueur, le rebond, le vent ou la lumière. Le don du jeu n'est pas implicite même en étant assidu au tableau noir. Le plus bel exemple actuel est Dupont, AOC Magnoac, noir de Bigorre en devenir, imprévisible, même attendu au coin du bois, simplifiant l'intelligence situationnelle a sa plus simple expression celle de l'art distillé de ne pas faire noir quand c'est blanc. Le rebond, le vent et la lumière sont moins inattendus qu'il semble y paraître avec parfois ce caprice du ballon, ce vent tourbillonnant et cette lumière du long nuage blanc qui assoit encore plus l'inattendu. Pour conclure, Paul Gaugin dans une vérité toute simple "Rejetez le noir, et ce mélange de blanc et de noir qu'on nomme le gris. Rien n'est noir, rien n'est gris. Ce qui semble gris est un composé de nuances claires qu'un œil exercé devine".



    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bel écrit. Intéressant et portant à réflexion.
      Pour ma part, si j'aime particulièrement Gauguin, j'apprécie pleinement -pour d'autres raisons, peut-être complémentaires- l'homme Soulages et son œuvre.

      Supprimer
  5. Coucou Tautor , bravo , ce n'est pas ton cerveau qui a été atteint dernièrement ....ahahahahha;
    quand à Soulages , je n'ai jamais vu ces œuvres de visu , donc pas de jugement ...mais au vu des échos , cela doit être quelque chose à voir.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Je te le confirme. Fais un jour le détour par Rodez, tu ne seras pas déçu. D'autant qu'il n'y a pas que du noir... son cheminement d'artiste est intéressant. Car il est aussi graveur. Et passionné d'art rupestre.

      Supprimer
    2. Il a travaillé avec les couleurs primaires à ses débuts, mais aussi et surtout la lumière. C'est la clé de son œuvre. Le noir n'étant que le support. Il faut aussi passer par Conques et ses vitraux dans l'abbaye.

      Supprimer
    3. Il y a quelquefois des coïncidences curieuses (ou alors j'ai le mauvais oeil); ça faisait des années que j'avais envie d'aller voir le Musée Soulages (et encore plus Conques), et quand cette semaine je viens enfin passer 3 jours à Rodez, de retour de Conques le mardi, j'apprends que Soulages est mort la veille au soir, alors que dans la journée du lundi, nous avions visité son Musée.
      L'abstraction ne me parle pas en général, mais là, j'ai entamé la conversation; notamment la série des eaux-fortes, lithographies et sérigraphies, bien plus que les oeuvres de ce fameux outrenoir de la fin de son oeuvre. Comme si le noir dialoguait aussi avec les couleurs. La lumière, oui, mais aussi le rythme et le mouvement.

      Supprimer
    4. Il n'y a pas de hasard ni de coïncidence...

      Supprimer
    5. Lumière, rythme, mouvement, tu as tout compris Pipiou...

      Supprimer
    6. Pour ma part, sur le chemin de Palaiseau à Saint-Pierre de Trevisy, suis passé par Rodez ce jour... et ce sera Conques au retour

      Supprimer
  6. Je ne connais pas vraiment l'artiste ni son oeuvre, alors bien sûr parler de ce que l'on ne connait pas c'est osé, me direz-vous, cependant parfois oser c'est bien. Donc, et bien, au gré des propos de Ritchie, et pas qu'aujourd'hui, j'avais fait un détour pour survoler un peu qui c'était et quoi qu'il faisait le bonhommeau, et bien pour le peu que j'en ai retenu, je trouve que l'on réduit son travail à ce noir et outrenoir que d'obscurs et non-érudits envahisseurs des ondes martèlent à plaisir, et c'est dommage parce-que si l'on fouille il en a commis des couleurs et des couleurs et de toutes beautés, et si ce noir n'était là que pour rendre plus blanc le blanc, voilà, peut-être pas trop clair, mais je le crois bien plus obsédé et attiré par la recherche du plus blanc lumineux possible que par le bétassou noircissement des supports.
    Alors, le covid du capitaine a laissé en cales sèches l'équipage, faudrait voir à remonter sur le pont et regonfler les voiles, les côtes du joli pays du TOP.14 se pointent à l'horizon, et puis derrière les nuages là-bas les troupeaux de Springboks et de Kangourous soulèvent déjà la poussière, quand les fleurs braves s'agitent au vent qui annonce leur venue.
    Allez le CAB reçoit le Racing, on regrette beaucoup en Corrèze qu'il n'y ait pas plus de sélectionnés en face, mais vu le fond de sauce des Coujou(s/x) une petite équipe parigote et pâlote pourrait suffire à faire table rase des espoirs locaux, à suivre, on y sera mais parfois c'est dur de supporter !!!!!!!!!!!!
    Allez les BLANCS !!!!!!!!!!!

    RépondreSupprimer
  7. J'apprends "Ritchie" prend le capitanat de l'Ecosse! Et nous....?

    RépondreSupprimer
  8. Faut pas être fils de. Selon Servat, NTK conduira l'EDF à l'ouverture. Encore et toujours la notoriété desservant ceux qui brillent actuellement. Une injustice supplémentaires qui jette l'oprobe sur notre rugby déjà bien contaminé par les affaires, les arbitres et les passes droits. Comme la finale truquée de 1998 selon les rumeurs en cours ou l'attribution biaisée de la coupe du monde de foot au Qatar ou celle de l'Arabie Saoudique pour les jeux d'hiver. Le rugby n'est plus une valeur refuge loin s'en faut. Il est devenu un sport en col blanc.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Et bien c'est très bien ça, Romain Ntamack ouvreur du XV de France. Je ne vois pas le problème...

      Supprimer
    2. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

      Supprimer
  9. Difficile de te suivre, Tautor! Que veux-tu exactement dire? Peut-être pourrais-tu être un peu plus explicite?

    RépondreSupprimer
  10. Bah, un vrai Talon ça cause d'ouvreurs une ou deux fois par an, quand il en chope un, généralement a retardement, et çà dure six mois au coin du bar, celui là même que j'ai retrouvé avec ravissement hier soir.

    Tautor, qui a une dent contre le fils à Mimille depuis longtemps pensé probablement que la forme du moment désigne Ramos sans ambiguïté.
    Et il a raison sur le court terme.
    Dans le projet global c'est moins sûr.
    Allez Tautor

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bien vu Jan Lou, pas de dent contre Romain que j'ai eu en sélection avec les U15 U17 mais fort logiquement Ramos est l'homme de la situation actuellement voir même dans la durée possiblement. Regarde son palmarès plus conséquent que NTK mais derrière Émile veille au grain ce qui fait la différence. André, que te dire, rien ! Bien sûr comme je dis blanc, Richard dit noir ! Normal, il se Soulages 🏈

      Supprimer
    2. "La finale truquée de 1998...". Pas 1995, plutôt?

      Supprimer
  11. Je reste aussi dans l'expectative. Puisque RTM est encore un peu juste, plutôt que le faire reprendre direct en EDF, le laisser revenir tranquillement (les matchs à venir ne sont pas souverains) et mettre effectivement Ramos à l'ouverture et Bouthier à l'arrière, les 2 en forme du moment. J'avoue pas bien suivre le staff. S'il devait se reblesser, pas fini d'entendre Hugo Moler contre l'EDF... Il y a dû avoir sacrée discussion. Ca ne se serait jamais passé pour un certain nombre d'autres internationaux, à part Dupont bien sur.

    RépondreSupprimer
  12. https://www.connaissancedesarts.com/wp-content/uploads/2021/10/soulages-sothebys-2.jpg

    RépondreSupprimer
  13. "La première fois que j’ai entendu parler des All Blacks, c’est par ma sœur Antoinette, mon aînée de quinze ans, ma seconde mère. Elle était l’amie proche de la sœur d’Adolphe Jauréguy, le capitaine et l’ailier du XV de France. Et, en 1925, elle avait vu jouer les All Blacks à Toulouse ****."..
    Tu vois Tautor, tout n'est pas noir en rouge et noir

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Lulure,

      Si un jour tu lis Henri Beyle, "le rouge et le noir", tu trouveras ceci: "c'est quand la grande action est accomplie qu'elle semble possible aux êtres du commun". Et de conclure par Napoléon pour être Stendhalien "il faut toujours se réserver le droit de rire le lendemain de ses idées de la veille".

      Supprimer
  14. Match accompli des Bleues ce matin, retrouvant de l'envie dans un jeu de mouvement en diminuant la succession de séquences tampons, elles ont fait exploser leur adversaire du jour, la demi contre NZ ou Gallois promet. Le banc a apporté énormément de dynamisme, j'espère que la renommée du futur adversaire ne va pas ramener les options de jeu au cadenas occupation/pression, ce serait dommage.
    En tous les cas bon match de rugby et c'est déjà pas si mal.
    Pour l'EDF des messieurs, NTK ou chose voire machin, sont grands les encadrants, à l'extérieur du groupe on ne saisit rien de sa vie et des choix qui forcément reposent sur de concrètes observations et mises en situation, vu le récent passé je ferai plutôt confiance à FG et ses adjoints., pas vous ???
    Allez direction le stadium cet après-midi pour voir si le Racing continuera la cueillette des points généreusement offerts cette saison par les Coujous à leurs visiteurs, ou si ............. Pour avoir suivi un peu la semaine de préparation, sûr que l'on ne va pas y aller le plein de confiance dans la besace, mais allez savoir ce jeu est si imprévisible !!!!!!!!!
    Allez le CAB

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Heureusement qu'elles ont accompli un bon match, elles jouaient contre le dernier, un peu comme les hommes dans le tournoi ! Heureux de savoir que tu as regardé le match pour en tirer des conclusions. Chose ou machin voir bidule ressemble à de l'impéritie consumée, ils mériteraient d'être au moins nommés. Mais bon ! Bonne chance aux Coujous avec Méla à la baguette devant un R92 de plus en plus atone.

      Supprimer
  15. Bon .................... Rien de bon donc dans ce bas monde si ce n'est l'oriflamme rouge et noir brandi quel que soit le sujet, oriflamme peut-être un chouïa trop grand et encombrant qui empêche de voir qu'il y aussi, derrière, d'autres gens pas moins bien intentionnés ni appliqués, à qui il manque juste la puissance financière mais qui ont la même foi ovale chevillée aux corps et à l'âme.
    Chose ou machin, juste pour dire qu'il y a du monde au balcon, et du beau monde, après des choix sont faits bien sûr mais vu la formation des encadrants et joueurs, les entraînements clubs plus les stages et regroupements nationaux, on peut penser que ces choix sont les bons. Concernant le poste de 10 où il y a pléthore de candidats, qui au gré de leurs performances respectives avancent ou reculent dans

    RépondreSupprimer
  16. Pardon ....... dans LE choix du moment, c'est la vie.
    Allez les bleus, les blancs, les jaunes les verts et tous les autres !!!!!!!!!!!!

    RépondreSupprimer
  17. Bon je me lance pour une histoire personnelle. Il y a un peu plus de 20 ans , au musée des abattoirs à Toulouse, il y avait qq tableaux de Soulages ... et une Dame devant et je fis un commentaire:" vous y comprenez quelque chose...?" "bof" fut sa réponse un peu comme la mienne. et ça fait un peu plus de 20 ans que nous vivons ensemble...

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Finalement, tout n'est pas si "noir que ça Georges 😂👍

      Supprimer
  18. Mouais, les françaises ont mis un peu de temps pour arriver à concrétiser leur domination. Il a fallu un essai de pénalité pour déclencher le naufrage italien. Je les vois pas passer en demie l'obstacle outrenoir, même si quelques intervalles blancs peuvent se présenter. Contre les Blacks l'affaire est loin d'être dans le sac sachant qu'elles jouer chez elles, et il semble que côté Françaises des turbulences en interne et fritures sur la ligne se manifestent entre entraineur/sélectionneur Thomas Darracq nouvellement nommé en mai, manager/adjoints et joueuses au point qu'une réunion a été programmée avant l'Italie.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. L'est pas marteau ce Darracq,il devrait enfoncer le clou !
      Allez les Bleues

      Supprimer
  19. CO / ASM une victoire contre un bonus défensif ne reflète pas le match. Les clermontois peuvent avoir des regrets. Quant aux cartons, du Raynal un peu trop intellectuel mais bon ça plaît apparemment.

    RépondreSupprimer
  20. L'ASM joue encore à dégonflé et n'arrive pas à bonifier ses temps forts.
    Chasse au loup facile pour des perpignanais faisant couler le sang pour toucher un peu de poussière d'or. Montpellier se délivre du mal.
    Racing au marteau pour enfoncer le clou à Brive.
    A La Rochelle, la mer sent le gaz.
    Ce soir, le jambon s'exerce au jeu de l'oie, mais ça sera pas tout rose...

    RépondreSupprimer
  21. Déniaisé le Zan Lou, premier match de Pro D2 hier à Massy!

    Ambiance plutôt à la cool, une bonne surprise, devant une petite assemblée chambreuse mais pas trop, avertie mais pas trop non plus, vraiment pas trop !

    Pas grave, une bonne soirée pour tout le monde, sauf peut être pour ces Landais apathiques, pris par des Massiquois a la taqueutique limpide,poser ses couill...., pardon, ses tripes sur le gazon !

    Forcément fô pas s' attendre a la partie du siècle, mais la buvette était unanime, quatre points pis c'est tout.

    Parlons en de l'éstaminet, une réception d'anciens combattants, des légendes d'Orsay ou Antony, des gueules cassés de Bretigny et de Bagneux,ça causait souvenirs beaucoup, chirurgie pas mal, Rugby un peu, c'était bien.

    Mes jeunes chevaliers servants ont cru bon de m'exfiltrer sous de fallacieux prétextes " qu'on a de la route et pis qu'on les connait par cœur vos épopées "

    Allez, je sais pas si ils jouent mieux que nous,mais ils boivent moins bien !

    RépondreSupprimer
  22. Brétigny et leurs joueurs venant à la base du midi. Parfois de grosses équipes...Rudes.

    RépondreSupprimer
  23. Brétigny Savigny, belles expéditions dominicales que l'on faisait en honneur IDF, toujours reçus avec les honneurs dus à ceux des autres banlieues, des 3èmes mi-temps à la hauteur après des parties rugueuses et pleines de tout ce que ce jeu trimballe au coeur de ses traditions.
    Entre les dangereuses incursions en vallée de Chevreuse et découverte de la périphérie parisienne, ce fut une belle école, période de découverte et d'éclosion à ce jeu, formateur et comment !!!!!
    ALors le CAB hier pas vraiment là, le Racing bien bien au-dessus, fin de match trompeuse avec les Parigots à 14 et plus vraiment concernés et nos Coujous soudain découvrant que le salut dans ce jeu est de ......... Jouer précisément, mais vraiment quels C..., du banc au pré n'y ont pas pensé avant ??? Et dire que c'est leur métier, tiens tout à l'heure match dans le bled d'ici en série (avec les nouvelles découpes des chpts dur comprendre les différents échelons des comi... Heu des ligues, enfin c'est dur quoi), et bien le plaisir risque d'être plus accompli.
    Mais, mais, mais, j'ai vu jouer Russel et ça valait le déplacement, beau et bon joueur, à la fois sobre et fantasque, toujours juste dans ses choix, parfois inspiré par une envie non partagée par ses coéquipiers car non étudiée dans les schémas appris, mais c'est toute la beauté de l'imprévu de ce jeu ovale, et c'est bien, au moins ça entretient l'envie de se rendre au stade, non ????
    A propos de 10 et du débat initié plus haut par Tautor, sur ce que j'ai vu au stadium, Rmos plus haut que tous les autres, mais le 10 du LOU excellent, peut-être un peu trop formaté top.14 et sans la fantaisie du Finn, mais je l'avais trouvé très juste, plus mûr dans son jeu que Carbonnel par exemple.
    Nos filles aussi donc les NZ, allez ça va l'faire. Etonnant ce groupe de France, où l'on sent que le sélectionneur/Entraineur vit à côté de son groupe, les joueuses s'étant semble-t-il accaparées leur compétition dans toutes ses dimensions. Bon, y'a toujours un moment où ça vient dans un groupe mais c'est toujours accompagné et naturellement évolutif, là il semble qu'il y ait une vraie cassure, ça peut être aussi une motivation supplémentaire pour les filles et les pousser encore plus fort, plus haut, plus loin, à suivre.
    Question, en NZ à cette CDM filles, on a des dirigeants de dame FFR, ou pas ???

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Les dames sont dans les bureaux à Marcoussis, les petites mains aux ordres des na babs de la FFR. En 91, Lièvremont a été mis à l'écart à partir des demis (quarts) je ne sais plus ? Notre historien va nous le dire. Après sur un match tout est possible mais ne rêvons pas trop. La densité physique des AB est là mais la fulgurance et la vision du jeu peuvent être un atout pour nous.

      Supprimer
  24. Et toi, "Nini le Briviste", que traînais-tu dans la région parisienne? Armée comme les Brétigny, administration, enseignement....?

    RépondreSupprimer
  25. AH AH, lycéen révolutionnaire puis indécis sociétal et enfin sous l'uniforme régalien, entre "la cause du peuple" et "la gazette du soldat" un parcours non linéaire !!!!!!
    Noisy Le Sec, un creuset ovale formateur et initiateur, les papas de ce club en rouge et noir m'ont inculqué des valeurs qui m'ont servies, me servent, et guidées toute la vie.
    Le CAB c'est un héritage familial, l'ai découvert et tombé dans la marmite à Madagascar, gamin en 1965 lorsque les fourbes des pruneaux, Lacroix et Zani en tête, ont battu en finale les Coujou des Besson, Marot, Fite, Lewin, Puget, Roques et Villepreux entre autres, le tout sur RFI en brzzz zzgzz swffff autour de la table familiale, mon papa en passeur d'ovale, et voilà !!!!!!

    RépondreSupprimer
  26. Grand match, si je me souviens bien. Ah, bien sûr, pas des 46 -25 d'aujourd'hui...! Il me semble avoir lu, il y a quelques années, un article sur cette course aux points...Peut-être de Pierre-Michel Bonnot, mais je ne suis pas certain...Bonne réflexion en tout cas à mon sens.
    Et quel lycée, alors? Un parisien? Ou un banlieue comme moi, à Saint-Cloud? J'aimais beaucoup Brive, moi aussi. Le patron du café de la rue était briviste...Mais j'en ai déjà parlé il me semble. Il s'appelait Claude Raoul et était de Terrasson je crois. Sa femme était la fille du propriétaire d'un restaurant-hôtel sur les boulevards à Brive qui leur avait trouvé cette affaire. Ils s'y sont bien plu, mais, au final sont retournés dans la région: au Chastang, précisément. Où je suis passé les voir. Un élevage de cochons...Autre chose que le bar!


    RépondreSupprimer
  27. Je viens de lire dans la page sport du Figaro d'hier, par la plume de David Reyrat, que Didier Cavarot était le premier lauréat du prix "La Bibliotéca" du livre de rugby pour son ouvrage "Monsieur Rusigby" que certains parmi nous connaissent déjà.
    Et bien, bravo à lui.

    RépondreSupprimer
  28. Pom,
    Presque Pur Juice, d'un poil pour frissonner. Il faudra compter avec le RCT qui se remet à flots lentement mais sûrement. Avec l'arrivée de Dan Biggar, tout sera plausible. Bon l'UBB d'Urios a du mal à asseoir son jeu ne pouvant compter que sur des exploits de Tambwe pour réveiller le groupe. On a senti le ouf de joie des Girondins au coup de sifflet final. Allez Pom, patience, comme le Pomerol, le Pur Juice est à venir.

    RépondreSupprimer
  29. broyer du noir cela n incite guere
    a l optimiste mais si sa soulage tant mieux
    que les matchs sont indecis et disputes jusqu a la dernieree seconde
    qu on en finisse avec ces medecins legistes du samuvar
    veritable autopsie dissecation de tous les gestes
    bientot analyse de la pensee du joueur
    un beau feu d artifice avec les essais des ailiers ors de beles toulon
    un super final a bayonne grace au talents des jeunes toulousains
    toujours l incomprehension avec les compos de garbajosa
    se privant du retour des marcussins
    Pau cible sa remontee

    pourquoi se priver du retours des m de tous les gestes

    RépondreSupprimer
  30. Un peu dur à lire, mais intéressant.
    J'avoue suivre avec une grande attention le parcours de Pau, en particulier du fait que l'entraîneur est Sébastien Piqueronies qui m'avait passionné avec ses juniors champions du monde. Il a gardé Jordan Joseph et c'est bien. Grand joueur en junior et j'espère qu'il y arrivera en seniors...Passage toujours difficile.
    Un peu pour des raisons inverses -à propos de Xavier Garbajosa- je jette un œil sur les résultats de Lyon. Garbajosa, bon joueur et homme apparemment sympathique, mais j'ai quelques doutes sur ses capacités d'entraîneur. rien de décisif, mais un sentiment, une sensation...


    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. André,
      Garbajosa, toulousain de formation, co entraîneur des cadets du ST pendant 6 ans, à la fin de sa carrière professionnelle, vient de faire en trois clubs l'initiation au top 14, LR, le MHRC et enfin le LOU. Il me rappelle Dourthe, entraîneur devenu depuis consultant faute de mieux. Je pense qu'il n'a pas l'effectif pour donner sa pleine mesure et jouer les premiers rôles en top 14. Une surprise serait la bienvenue mais il lui faudra du temps. Regarde, Mignoni, pas à l'aise, est parti pour le RCT. Par contre, il me semble à sa place comme consultant sur Canal +. Beau gosse, hâbleur, ses analyses sont assez percutantes. Piqueronies a un parcours rugbystique plus terne comme joueur, brisé par des problèmes de santé donc un écorché vif. Après son CAPES, il a entraîné le XV de Sciences Po. Il a fini comme joueur au FCTT à Toulouse pour intégrer le fameux lycée Jolimont en tant que responsable du pôle Espoirs. Il a filé à Marcoussis comme manger des moins de 20 ans avec 2 titres de Champion du Monde. Incontestablement, sa cinétique est différente de Garbajosa car si ce dernier a la science du jeu, lui a la culture du jeu, fondamental à ce niveau.

      Supprimer
    2. La culture du jeu, c'est une chose (à définir d'ailleurs), la faire passer dans le jeu de ton équipe, c'est autre chose. Quelquefois (et même souvent), un peu moins de culture mais un peu plus de science du jeu bien partagée par un groupe qui y adhère, c'est plus efficace. Culture ou science, l'important c'est d'arriver à faire passer les choses, la différence se fait là.

      Supprimer
  31. Ta réponse me semble parfaite. En tout cas, elle colle parfaitement à mes questions et à mes ressentis.

    RépondreSupprimer
  32. Pour la comparaison à Dourthe, je ne sais pas. Quant à Piqueronies je le classe dans la catégorie des Deleplace.

    RépondreSupprimer
  33. Et Villepreux dans la continuité, bien entendu....

    RépondreSupprimer
  34. La preuve qu'avec les effectifs des plus gros clubs (sans parler du problème des doublons), les staffs sont ce qu'ils sont avec des résultats en dents de si(🤔), jamais acquis sur le papier.
    Et beaucoup d'équipes pour l'instant font trop de fautes (sans parler de certaines décisions arbitrales et interventions vidéo à gogo) alors que les plus grosses se paient les services d'anciens arbitres...
    Des mêlées chahutées, des touches et surtout jamais vu autant de lâchers de pizzas.
    Et je parle même pas de l'individualisme de certains joueurs faisant capoter des occases d'essais.
    Curieux de voir comment vont se dérouler les prochaines sorties EDF et si certains se seront remis à niveau international...
    Bref, un championship à grands coups de trous de taupes cherchant la lumière. Black and white cherchant les racines du jeu...
    Pierre Soulages sort de ces gazons😁

    RépondreSupprimer
  35. Tuisova au R92 pour faire oublier Virimi ou Teddy ?, Couilloud active sa close direction le R92 ? Jamie George à l'ASM ?, Biggar au RCT à effet immédiat et nous sommes à peine à Toussaint. Un marché aux bestiaux avec des maquignons qui baffouent l'esprit ovale. Je n'oublie pas Haouas mis en vente à prix d'or 🙈 mais peu d'acquéreurs pour l'instant. Tous ces transferts au grand jour sont quelque part dérangeants. L'arbitrage est aussi pesant que le reste avec la couleur des cartons à géométrie variable qui restent bien discutables somme toute. Et ces quelques clubs qui ont recruté des arbitres fraîchement retraités dont on cherche le plus dans le jeu. On se demande quel est la rentabilité vue le nombre de fautes pendant le match ?Est ce bien utile finalement ? Enfin, chaque club devrait avoir une penã histoire de donner du goût et de l'enthousiasme aux joueurs et au public. Toujours ému en écoutant le public bayonnais. Pour conclure, c'est beau de découvrir tous ces nouveaux talents comme Tambwe ! Hélas, encore et toujours des infirmeries plus que pleines après 2 mois de championnat. Faudra réfléchir au pourquoi du comment avec autant d'internationaux titulaires et absents.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Il ne t'auras pas échappé que ces gens la évoluent dans l'univers impitoyable du professionnalisme!
      Au bout du bout d'un amateurisme fissuré de partout le Rugby ne pouvait qu'y tomber comme un fruit mûr.
      L'esprit Ovale n'étant pas dans le concept, il semblait peu probable de n'y récupérer que le vertueux.
      Le mal absolu c'est pour ma part la commercialisation des contrats, le Rugby n'a sûrement pas les moyens de suivre le monstre financier qu'il a engendré, et va en mourir.
      Allez, encore un effort, on y est presque!

      Supprimer
  36. et bien de belles remarques notamment pour une vraie harmonisation de l'arbitrage à l'exemple d'Iturria..J'ajoute qu'on ne peut pas continuer un championnat avec autant de doublons. Que pourront dire les concurrents à la descente sur ces 4 points de Bayonne, et j'en passe

    RépondreSupprimer
  37. Bonjour,
    Au rythme où vont les choses, nous ne sommes pas si éloignés d'un calendrier international qui va phagocyter les autres compétitions, nationales comme continentales, ces dernières n'étant plus que secondaires. Avec le professionnalisme, nous avons assisté à la disparition dans les sous-sols de notre paysage ovale de jadis les grosses places fortes de notre jeu, qui l'étaient par le ciment de l'histoire de la culture, de l'héritage. Il reste aujourd'hui encore quelques anomalies de clubs de villes moyennes dans notre TOP.14, qui tiennent en apnée par la respiration artificielle de quelques magnats financiers qui s'amusent là en attendant que l'envie leur passe. Mais visiblement et très sûrement, voire cyniquement, nous nous dirigeons vers la disparition de ces intrus, et le temps est proche où dans l'hexagone il ne subsistera dans l'élite que les grandes métropoles aux budgets en conséquence, les autres étant priés d'aller respirer ailleurs, plus en bas, où les odeurs de terroirs puent bien plus fort que les odeurs de l'argent roi, qui comme on le sait n'a pas d'odeur !!!!!!!
    Alors des doublons, des triplons, on va en manger encore quelque temps, c'est inique, injuste, anti-sportif, mais je ne vois pas comment enrayer ce processus, qui, on le voit bien, n'enquiquine en aucun cas les acteurs de l'ovale, des castes dirigeantes aux encadrements et joueurs, et je vous cause pas du public qui ne voit pas beaucoup plus loin que son petit drapeau qu'il agite au son des flonflons des enceintes hurleuses.
    Allez, la fenêtre internationale s'ouvre donc chez nous au même moment où beaucoup de clubs ferment les volets, ainsi va la vie de notre ovale fou.
    Bientôt la demi des Filles et LR à A.Domenech, le premier m'attire assez quand le second risque bien de mettre le palpitant à rude épreuve et le plaisir dans la case "attente".
    Bonne fête à tous

    RépondreSupprimer
  38. Bonne fête à toi aussi...Et passons à la nouvelle chronique.

    RépondreSupprimer
  39. J'avais visité le musée Soulages l'été dernier.

    RépondreSupprimer