lundi 29 mai 2017

Lutte finale

Après les Lions jaillissant de l'inconnu pour bousculer les pronostics, place maintenant aux super-héros, Facteur-X en bande, dessinés pour sauver leur équipe quand la tension, la pression et les défenses sont trop fortes pour le commun. Ainsi à Marseille en demies, La Rochelle s'est fourvoyé et les Racingmen n'ont pas su rééditer leur performance en Hérault. Demeurent pour le dernier assaut deux clubs qui dominent le rugby français depuis une décennie : Clermont et Toulon. D'une logique implacable. Tant de journées pour en arriver à cette confrontation, enfin.
 
Car jamais au sein du rugby professionnel français - et même avant - ces deux clubs ne se sont retrouvés pour tenter de décrocher le Bouclier. Dimanche est une première et leur final un rendez-vous avec l'Histoire. Certes, ils ont connu l'Europe, et Toulon s'est trouvé deux fois victorieux par des voies différentes. De chaque côté, une moitié d'équipe a survécu au dernier choc. Est-ce assez pour gommer le passé ? Twickenham est-il si éloigné de Saint-Denis ? Clermont a-t-il mûri, comme ses joueurs et son staff se plaisent à le répéter ? Toulon est-il vraiment en rade, coulé par l'usure des ans et les errements de son président ?
 
Ceux qui ne regardent le Top 14 qu'une ou deux fois l'an s'extasient désormais devant le jeu de Clermont comme s'ils partageaient avec les dieux du rugby la recette de l'eau tiède. Il leur faut absolument devenir les apôtres de cette révélation. Clermont est sans conteste le parangon du mouvement, l'exemple à suivre, la proue qui fend les vagues de défense. Mais qu'ils remontent donc plutôt dix ans en arrière avant de célébrer le présent. Voire même en 1999, aux débuts de l'ère open. Qu'y verraient-ils ? Un jeu léché, déjà millimétré dans ses grandes largueurs. Mais aussi un rugby de largesse, offrant à l'adversaire assez d'occasion d'en jouer. 
 
Quand se décident les finales, dans ce moment où se vident les esprits chavirés d'avoir tant donné, d'y avoir tellement cru, où basculent les certitudes, où reviennent les craintes, les peurs et parfois les angoisses, la plus belle mécanique peut grincer, hoqueter puis se désarticuler. Ce moment survient immanquablement. Il faut savoir le dompter ou l'ignorer. Une finale n'est pas un match ordinaire. Jamais. Le favori n'y puise rien qui lui permette d'espérer. Une finale ne se joue pas, elle se remporte. Elle s'arrache avec les tripes, les dents, les ongles. Elle oblige à puiser.
 
La semaine dernière, entouré d'amis rochelais sur la route de Marseille, nous avons rejoint Claude Spanghero chez lui. Dans sa vaste cuisine d'été nous attendaient jambon fondant et cassoulet, aussi le Gaillac de Yannick Jauzion et de fines bulles de Gosset pour finir. Durant ce banquet, l'ancien deuxième-ligne international de Narbonne nous avoua de sa voix rauque : "En 1979, nous en avions marre de bien jouer et de perdre en finale", allusion à l'épisode malheureux de 1974 face aux Biterrois, un titre lâché pour une erreur en touche suivie d'un drop de Cabrol. "Alors, devant, nous avons gardé les ballons et nous avons châtiés les Bagnérais. Balle, balle, hurlaient Sangalli. Rien du tout. Et quand ça ouvrait, boum, Lulu Pariès balançait une quille..."
 
Le seul essai Narbonnais fut inscrit par l'ailier Christian Tralléro sur une passe croisée entre François Sangalli et un petit prince nommé Didier Codorniou qui allait connaître quelques semaines plus tard ses premières sélections en Nouvelle-Zélande, sa deuxième un 14 juillet à l'Eden Park d'Auckland. D'autres princes, citons d'évidence Denis Charvet, éclairèrent les finales. Mais pour soulever Brennus, mieux vaut compter sur un pack d'airain, une mêlée de fer, un alignement irréprochable, une charnière dévouée au registre et rusée.
 
Leader du Top 14, plébiscité y compris devant le vélodrome de Marseille par des supporteurs toulonnais lucides - "Nous sommes assis et vous debout" - au moment où je montais les marches qui mènent vers cette magnifique arène, La Rochelle a perdu en demie pour avoir déjoué, c'est-à-dire n'avoir pas cru dans ce qui a fait sa force cette saison ; à savoir le jeu dans la défense et non devant. S'être ridiculisé et du coup affaibli en présentant trois compositions d'équipe différentes avant le coup d'envoi restera un épiphénomène pathétique mais bien significatif de ce stress mal maîtrisé.
 
Exsangue depuis l'intersaison, puis miné par ses soucis extra-sportifs - à l'image d'un Carter à côté de la plaque, qui avait oublié à la maison son permis de jouer - le Racing 92 n'a disputé qu'un seul match digne de son standing : en barrage à Montpellier. Jamais les Franciliens, bloqués sur leurs talons, ne sont allés chercher leurs adversaires en défense, leur offrant ainsi des espaces, des opportunités, des occasions de briller. On ne réduira pas la performance auvergnate aux errements du Racing, mais il faut être deux pour danser le tango : visiblement, les champions de France en titre n'avaient pas la bonne pointure.
 
Dimanche se proposerait donc à nous un dernier acte contrasté dont l'intrigue manichéenne serait si tranchée qu'il ne vaudrait même pas la peine d'en signifier ici le vainqueur tant Clermont possède d'atouts et de vertus. Il faudrait même croire que le résultat des demies a valeur d'oracle. Toute critique serait superflue voire déplacée, et nous serions donc bien avisés par divers exégètes de suivre sans broncher cette procession d'évidences la main dans la corbeille de roses. C'est mal me connaître : quand la foule chante le même couplet, je suis souvent tenté, provocateur, d'y apporter un bémol.
 
A écouter les louanges qui embrasent Clermont, cette finale serait donc jouée d'avance au nom de la note artistique, du plaisir pris en téléspectateur neutre et connaisseur. Il n'y aurait pas à imaginer d'autre issue que celle d'une ASM conquérante, armée de ses percussions et de ses offloads, des mains de Lopez et des pieds de Parra, allant chercher en tribune présidentielle le glorieux bout de bois tendu par Paul Goze, Bernard Laporte ou d'Emmanuel Macron. Qu'en est-il alors d'un Toulon réduit au rang de faire-valoir ? Peut-on écarter d'un revers d'azerty le RCT ? 
 
Depuis 2013, Toulon a remporté trois titres européens, le Bouclier de Brennus et disputé l'an passé la finale du Top 14 à Barcelone. Une présence sans équivalent au sommet depuis le Stade Toulousain des années 1990 et 2000. Et cet acquis ne trouverait désormais aucun écho ? C'est vite enterrer les génies de ce jeu que sont James O'connor, Drew Mitchell et Matt Giteau. C'est oublier l'intelligence de Juan Martin Fernandez Lobbe et de Juane Smith, la puissance de Duane Vermeulen, l'impact de Guilhem Guirado. Et l'éclat naissant d'Anthony Belleau vaut bien, en face, celui de Damian Penaud.
 
Que Clermont vienne à l'emporter et ce serait effectivement une bonne nouvelle pour ce club dont la particularité est d'être constant au plus haut niveau depuis les années trente du siècle dernier. Malheureusement pour lui, il a trouvé devant sa route des clubs exaltés par l'événement (Narbonne, Vienne, La Voulte, le Stade Français, Perpignan) et des géants (Béziers des années 70, Toulouse des années 90 et 2000). Surgit maintenant Toulon et son armada de grands noms pour la plupart trentenaires quand l'ASM fait confiance à sa nouvelle génération, Cancoriet, Penaud, Raka, Fernandez, Iturria, Jedrasiak. Le contraste est saisissant entre le club d'entreprise et la danseuse du président, la sagesse du long terme et la folie des grandeurs, les enfants de la formation et les mercenaires additionnés. 
 
Mais le rugby, quand il est abordé sur les hauteurs où se situe une finale, échappe souvent aux évidences, surtout quand elles en deviennent caricaturales à force d'être soulignées. Toulon vaut bien mieux que l'image qu'il donne en pesant lourdement sur la ligne d'avantage, et Clermont n'est peut-être pas totalement guéri de son syndrome des finales perdues par dizaines. Reste que celui qui ira décrocher le Brennus dimanche soir peu avant minuit, obtiendra un succès marquant, et je ne doute pas un instant, du fait même de l'opposition, qu'il fasse un sacré champion.

Prochaine chronique en ligne le mercredi 7 juin
 

280 commentaires:

  1. "They're selling postcards of the hanging,
    They're painting the passports brown
    The beauty parlour is filled with sailors
    The circus is in town ...

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    1. Il est toujours question de lions et de prestidigitateurs, Snaileater !

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    2. C'est bien pour ça aussi que ton texte, lu sûrement trop vite, j y reviendrai mercredi, m'a rappelé le début de Desolation Row du Zimm!
      30 ans que je le massacre ... mais il y a bcp de désabus prégnant dans ce texte assez général

      Merci en tous cas pour les tiens

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  2. Narbonne aura donc gagné quand il a cessé de jouer comme Clermont pour adopter le style de la Rade.
    Je n'ai jamais trop su quoi penser de la formule "phase finale", mais il semble bien qu'elle induit un changement radical dans l'approche - comme La Rochelle à son tour l'a appris à ses dépends - ce qui semblerait avantager les vieux légionnaires de Toulon, même cette année. Bémol : tout le monde sait comment va jouer le RCT, personne ne sait comment va jouer Clermont.

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  3. Effectivement, on peut craindre que les vagues jaunes de la cavalerie légère clermontoise ne viennent se fracasser sur les blocs compacts de la rade.
    Le ciel de Saint-Denis aura certainement son influence, espérons que pour l'Asm il sera clément.

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    1. on a connu plus léger comme cavalerie qu ce que présente Clermont tout de même.

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  4. Pas certain d'avoir beaucoup lu que Clermont avait déjà gagné. En revanche, et je m'inclus parmi les adulateurs d'eau tiède qui, nombreux, appellent de leurs voeux un succès de ce club au nom d'une certaine idée du jeu. Par ailleurs, il me semble qu'à vouloir la jouer comme Romeu, l'ASM se tromperait lourdement.
    Il me semble également que la réussite de Clermont cette saison repose aussi sur une défense bigrement efficace. La clé sera là, à mon avis, face à des Toulonnais qui en imposent physiquement.

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  5. "Espoir final"
    Mais de quoi ? D'un titre de Champion de France, d'une vitrine garnie d'un trophée supplémentaire, d'un Président au firmament, de supporters jamais assez rassasiés, de l'emblème d'une ville de rugby ... la liste est inépuisable selon la variance du curseur de chacun. Une chose est certaine, un titre unique pour un joueur suffit a son bonheur pour dire qu'il est ou qu'il fût Champion de France ! Car l'aléatoire, l'incertitude d'une finale est tellement peu probable qu'aujourd'hui chacun y va de sa vision et de son pronostic. Quand le joueur sort des vestiaires c'est pour gagner, rien d'autre. La victoire ou la défaite se construisent dans la constance à l'effort, dans la vision du jeu, dans l'intelligence situationnelle fût-elle brève, mais aussi dans l'envie que l'on découvre à cet instant là. En effet, se sublimer, aller au delà de soi même, découvrir que le plus loin est toujours plus loin, voir qu'une équipe c'est trente mains et trente pieds, quinze regards différents pour un ballon, ouvre en soi le temps d'une finale une caverne d'Alibaba ou chacun va trouver son trésor. Le temps à montrer que le tableau noir n'est pas le meilleur des conseillers, parfois même son contraire, et que cet instant d'une vie, est la porte ouverte à l'explosion des sens ! Oui ! le sensoriel est une arme fatale lorsqu'elle est étudiée, apprise et comprise ! Mais parfois, le sensoriel est instinctif, créatif et productif telle une "Manoletinas" qui sort au moment le plus improbable et qui fait penser au "génie" ou à "l'éclair" qu'on attendait plus ! Ces moments là inondent nos mémoires plus que le match lui même faisant oublier l'ennui, la colère, la déception pour laisser place à la sublimation. Car tel est le point d'orgue que devrait avoir tout joueur "la sublimation du sensoriel" celle qui appartient à chacun, celle qu'il faut aller chercher au plus profond de soi, celle qu'il faut découvrir et apprivoiser instinctivement, celle qui sommeille en nous de puis toujours ... car le cerveau est une source inépuisable de créativité, que les milliards de combinaisons ne sont exploitées qu'à l'infiniment petit, qu'un discours et une pratique sont réducteurs de tout cet espace de créativité et qu'on le découvre ou pas plus tard. Alors mon discours serait simple envers les joueurs "80 minutes de votre vie vous appartiennent, prenez les, elles combleront à jamais votre vie et votre cœur, pour le reste, vous savez, vous n'avez plus besoin de moi". Camus disait "l'espoir est le pilier du monde" le pilier de cette finale sera le vainqueur.

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    1. voilà tu résumes en ces quelques brillantes phrases ce que je m'efforce d'enseigner à mes gamins depuis 36 ans maintenant, découvrir leur force mentale ; celle qui les fera avancer et réussir . et pas seulement au lycée bien sûr !

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  6. Je suis fan du ST puis du RCT rouge et noir,

    Ce que j'aime chez le RCT, c'est qu'il joue comme l'ADN de ce club le demande depuis des décennies. Du combat d'avant, on peut aimer ou pas, mais au moins ils ont leur façon de jouer au rugby et jusqu'à ces dernières années, cela marche super bien. Entre parenthèses, c'est ce que j'ai reproché au ST, ils ont abandonné leur ADN et la preuve, ils sont 12ieme.

    Pour Clermont, j'aime le rugby qu'ils ont joué lors des 1/2 finales mais aussi le jeu qu'il développe depuis des années et je trouve qu'il devrait être récompensé.

    Je ne suis pas sûr que Clermont saura jouer contre Toulon, car le RCT va les user. Soit l'ASM prône l'évitement et fait courir le RCT et cela risque de payer. Soit ils se font enfermer dans la nasse des Golgoths et ils vont perdre.

    Mais si le RCT réussit à tendre le piège, la victoire sera méritée. De même, pour Clermont si il installe son jeu.

    Et je suis d'accord si chacun prône son jeu et qu'il y ait la victoire de l'un ou de l'autre, alors ils seront l'un et l'autre des beaux vainqueurs.

    Debout, les avants de Toulon
    Debout, les arrières de Clermont
    Quand le jeu se trouve par terre
    C'est Toulon qui gagne à la fin
    Des passes, pour générer des occases
    Arrières, debout, debout, debout
    Le jeu doit va changer de base,
    Le rugby n’était rien, il doit être tout.

    C'est la lutte finale ;
    Groupons nous et demain
    La belle passe
    Sera le genre humain.

    il n'est pas de sauveurs suprêmes
    Ni Toulon, ni Clermont, ni Toulousain,
    Beaux joueurs, sauvons-nous nous-mêmes
    Décrétons le jeu en commun.
    Pour que le mauvais joueur rende gorge,
    Pour tirer l'esprit du jeu beau,
    Soufflons nous-mêmes notre forge,
    Battons le fer tant qu'il est chaud.

    C'est la lutte finale ;
    enfin jouons le jeu de demain
    La belle passe
    Sera le genre humain.

    LE Gé Rouget de Lille ou de l'ile (Fidji bien sûr)


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    1. BELLE affiche rouge
      LE GE plutot EUGENE POTIER DE MOUSTIERS

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    2. Bon, en fait tu es fan du rouge et du noir. Rouge et de l'Ile OK, mais stendhalien aussi !!

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    3. Le Gé, tu me fais chanter !? ;-)

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  7. Cette prochaine finale me procure une sensation de deja vu au football
    le RCT facon MOURINHO absence de prise de risques
    un jeu monotone ennuyeux sans charme
    s appuyant sur une defense de fer disciplinee
    attendant l erreur adverse
    une equipe au sang froid
    guettant sa proie
    face a lui L ASM label GUARDIOLA
    place a l attaque
    delivrant un spectacle
    des jeunes pousses maison pour stimuler l allant
    ne s economisant pas (ADN auvergnate)
    un point commun 2 belles legions de supporters

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    1. Azema en Guardiola, Cockerill en Mourinho, faut oser !!! ;-)

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    2. .... de jeunes pousses maison ???? ....euh... recrutées en juniors... c'est "maison ça ?....merci (en passant) à ceux qui leur ont fait découvrir et aimer ce sport...... et (accessoirement) ..un peu formés non?

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    3. je n ai jamais identifie Azema et C ockerill en Guardiola et mourinho
      j ai parle de l impression que confere ces 2 equipes
      je n ai fais qu un parallele
      en parlant de jeunes pousses le fait d avoir 20 ans le suppose
      je ne sais pas ou ils firent leurs premiers essais
      ni le noms de des benevoles des ecoles de rugby qui les ont facones
      l important est que l on a mis en avant leur allant face a la soi disante experience

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  8. La victoire finale pour Clermont serait le symbole de la récompense. Mais en sport y a t'il une raison ? N'est ce pas La Rochelle ? Connaissant, les dérapages clermontois, il faudra se méfier face à des provençaux dont on connait les vertus, mais sans Nonu, ni Halphpenny. On attend donc des clermontois moins tricards pour passer cette barre de défaites. Et Mourad qui va twitter pour se plaindre. J'ai pas Nonu, ni Leigh, comment que vous voulez que JE gagne !!!! Même avec la bonne étoile de son éternel tee shirt. Pas même la moitié d'un penny !

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  9. Gérard,
    Lis l'étiquette, je crois qu'il y a beaucoup d'alcool dans la wodka.
    Mais, moi qui suis à jeun (j'ai de la moralité, moâ), je suis 100 % OK avec toi sur Toulon. Ne serait-ce que pour la fidélité à un "esprit" que l'on n'est pas obligé de partager pour reconnaître.
    Il y a longtemps, dans le café d'André Herrero, Patrick Nadal me disait à voix basse (le patron était là) qu'il s'ennuyait un peu à attendre des ballons confisqués devant. "Tu aimerais que ça change ?" "Non, Toulon doit rester Toulon". Mais le Montois n'est pas resté à Toulon.

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    1. Belle anecdote, Charles ! Il me semble que Patrick Nadal a signé pour Nice à la fin des années 70.

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  10. Puisque nous parlons terroir, j'aime bien cette idée que chaque équipe joue avec son identité (chaque pays aussi même dans la mondialisation). Toulon d'accord pour les durs de devant. Ils jouent comme ils le sentent avec des gros partout (ça me chagrine quand même)...Sur le match de samedi malgré ses à-peu-près La Rochelle avançait sur ses percussions et Toulon subissait comme pendant le reste de la saison. Le carton rouge du jeune d'Oyonnax ils retrouvent un supplément d'âme qui leur manquait sévèrement.
    Pour la seconde demi-finale, plutôt que de lire l'Equipe j'avais pris La Montagne, Azema et Parra étaient remontés comme des coucous et cela s'est vu sur le terrain. L'intensité du début de match et l'impact des entrants étaient plutôt significatifs, le Racing en a fait les frais.
    Ce que je trouve de sympa à Clermont c'est la mutation de l'esprit du terroir qu'ils ont opéré en quelques années. Fut un temps pas si lointain où ils jouaient seulement devant avec des durs aussi puis ils ont élargi leur palette de jeu.
    Contre les Sarries, ils ont seulement défendu, inhibé dès le début, ils n'ont pas été chercher les ballons dans les rucks. Ensuite oubli de la folie en seconde mi-temps; rectification face au Racing, intensité dès l'entrée et agressivité sur l'impact d'attaque. Récupération des ballons dans les ricks, Ithurria, puis Rougerie....Un peu de la folie qui leur avait manqué à Murrayfield.
    La lutte finale va être intéressante... Dix jours de récupération et de préparation, avantage ASM pour moi, pour la beauté du coup!

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    1. Michel, tu le dis, la folie est nécessaire. Clermont en aura-t-il en finale ? C'est toute la question et la limite des Auvergnats depuis un siècle. Pour moi, c'est la clé.

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  11. Toulon doit rester Toulon et surtout faire avec les moyens du moment ...
    Je n'ai pas boudé mon plaisir devant la deuxieme 1/2 finale et ça a largement compense la purge de la veille où il faut être sacrément aficionados pour avoir apprécié quoi que ce soit
    Je comprend l'idée d'adaptation stratégique pendant des temps faibles , ce que les Blacks savent bien faire quand ils sont sous pression ... un changement d'identité de jeu au prétexte de phase finale me partait hasardeux , il me semble au delà du carton rouge que LR a payé pour le savoir
    J'espère que Clermont restera Clermont que Toulon restera Toulon , que le meilleur gagne et que le Rugby y gagne
    J'espère aussi malgré l'enjeu de phase finale à chaque test match que Lions et Black nous donneront la meilleure version de leur identité
    Je sais j'espère beaucoup , on ne se refait pas ..

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    1. Nous en sommes tous là, François. Comme toi, j'irai au Stade de France vers 16 h en voiture, tranquillement, avec dans l'idée d'assister à une explosion de jeu, d'élans, d'allant. Et un grain de folie en supplément.

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  12. la victoire toulonnaise contre La Rochelle doit à la fois à l'erreur rochelaise de jouer le défi contre la plus redoutable armée de Golgoth du TOP14 et à la botte d'Halfpenny.
    Si les Golgoth semblent encore là , le Lion risque de leur manquer grandement : c'est autre chose de botter toute une finale que de mettre un drop en face des barres.
    et je ne crois plus au syndrome clermontois, ils mettent une vitesse et un volume de jeu de malades, renversent tout le monde comme ça. Les sarries étaient juste plus forts qu'eux, ils ont joué (ce sont les seuls de l'année à leur mettre un essai tout de même) ils ne se sont pas effondrés comme le RM92 l'an dernier à Lyon ou lors de précédentes déroutes. en demie, le RM92 s'est fait démembrer : 37-12 à 10 minutes de la fin, ça s'appelle prendre une branlée.

    pour la blague on notera que c'est encore l’équipe de Broke James qui a déjoué et s'est plantée. et si le roi de la lose c'était lui ?

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    1. broke James en français c'est Jacques casse non ? :-)

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    2. Les Rochelais ont perdu quand il est sorti. Il y avait deux buts à tenter.

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    3. Cela dit, moi, j'aurais cherché la pénaltouche sur la première pénalité, juste pour ramener le jeu au plus près de l'en-but toulonnais, et enclencher un ballon porté, quitte à faire venir Botia et consorts dans le ruck... Il semblerait que les avis divergeaient alors sur le terrain entre le capitaine, le coach et les joueurs concernant la décision à prendre... Comme La Rochelle c'est la grande muette on ne saura pas ce qui s'est passé.

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    4. D'accord avec toi Richard.
      J'ajouterai que pour le coup James à rentré tous ces coups de pied et que sa sortie s'est vue immédiatement.

      Benjiasm.

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    5. c'était une blague, hein , j'ai bine vu que son remplaçant avait tapé (de peu) à côté. et je suis d'accord sur une pénaltouche, vu la distance, ça se tentait.
      ils ont payé pour apprendre

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  13. Tout le monde veut voir gagner l'ASM, parce que personne ne peut blairer Boudjellal. (je synthétise...)
    Moi comme tout le monde, d'ailleurs (enfin, surtout pour voir gagner l'ASM: je n'ai rien contre Boudjellal, qui ne fait que pousser la logique "capitaliste" du rugby pro à son extrémité, logique à laquelle participe également De Cromières, comme tout le monde, chacun avec ses moyens. Fin de la parenthèse).

    Non pas pour une "idée" du jeu, comme le dit Antoine Aymond plus haut, plus prosaïquement parce que l'ASM propose depuis longtemps un beau jeu de rugby complet, qui ne repose pas essentiellement sur la puissance physique comme à Toulon, et qu'en tant que spectateur, le plaisir à voir ce rugby est réel. Alors que le rugby que proposent les toulonnais, pour efficace qu'il soit, devient très ennuyeux à la longue, à l'image du Top 14 et, souvent, du rugby contemporain en général (je n'ai vu ni les matchs de barrage ni les 2 demi-finales, et je constate qu'avec le temps, j'ai de moins en moins l'impression de rater quelque chose d'essentiel -ça m'enquiquinerait bien plus de louper les tests des Lions en Nouvelle-Zélande, par exemple, ou ceux de l'EDF en Af-Sud- fin de la 2ème parenthèse).

    Ensuite, quand le match sera lancé, tout ce qui aura pu être dit (ou fait) avant...
    Mais prenons l'intervalle au risque de s'esseuler dans la défense: je mets une pièce sur Clermont, qui sous la pression des Saracens a quand même joué (et marqué) au lieu de se liquéfier, alors que le RCT reste orphelin de Bernard Laporte et de son indéniable compétence pour mobiliser une équipe de plusieurs centaines de sélections le jour J...

    PS pour Ritchie: Tu m'étonnes que les narbonnais hésitaient à jouer au large en 79: t'as vu contre qui ils jouaient ? les plus belles lignes arrières de club (du 9 au 15) de l'histoire du championnat (bon, une des plus belles du canton, allez, les lourdais n'étant qu'à une pédalée de Marcel Cazenave -mais avec la côte de Loucrup au milieu !- ...).

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    1. Ah ah, Pipiou ! Bien joué, bien écrit, bien lu. J'aime tes parenthères. Tout est dedans. Pour le PS, Narbonne était bien équipe aussi, non, avec Paries (qui savait drôlement bien lancer l'attaque quand il le voulait), Cordorniou, Sandalli, Benacloï... Mais même avec Mournet, Ara, Bertranne, Rispal, Gourdon et Aguirre, Bagnères n'a pas inscrit le moindre point, il me semble...

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    2. C'est vrai.
      Il y avait un gros déséquilibre entre un paquet d'avants très courageux mais de faible tonnage (Torossian avait mes (très modestes) mensurations !) et les lignes arrières.
      La seule chance de cette équipe était de jouer et de jouer (c'est ce qui en fait pour moi la nostalgie).
      Mais pour leurs 2 finales, ça n'a pas suffi. 2 gros packs en face, toutes les mêlées reculaient.

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    3. mais la génération d'avant , au RCN avait déjà fait pareil, dans un match contre Beaumont, sur consgnes Maso n'avait jamais ouvert et seulement tapé de tout le match. je l'vais évoqué il y a qq mois.

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  14. Tiens une bonne occasion d'appeler Jean Mi pour savoir ce qu'il s'est passé en 79 , je l'entend déjà " he beee !

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    1. Il a pris des fusées agricoles dans la gueule et ça l'a rendu sourd pendant une semaine...

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  15. Avantage ASM pour moi ; je rêvais d'une finale La Rochelle - Clermont à vrai dire, mais ces diables de Toulonnais faut toujours qu'ils la ramènent . Bon alors on me dira opportunisme, pragmatisme, expérience des finales, grain de folie .... tout ce que vous voulez . J'ai plein de bonnes raisons pour défendre les Jaunards, oui j'en ai quelques mauvaises aussi mais après tout ...
    Et d'un O'Connor avec l'hénaurme choc qu'il s'est pris à la tête, il ne va quand même pas jouer le pauv' chéri ! Sinon le pauvre Aguillon se serait pris un carton rouge pour que dalle et c'est pas juste . Non James reste à la maison soigne toi baby !
    Et de deux sans Mister 50 cents ça va pas rapper comme d'hab' à moins que Super Butor Mourad se mette de la partie - en serait ben capable l'animal !
    Et de trois, le jeu
    Et de quatre , le jeu
    Et de cinq , le jeu ...
    Et de 2599 : le jeu quoi !
    Et de 3000 : j'aime bien Clermont . Leurs parcours exemplaire cette saison mérite le Brennus ; je déteste les phases finales qui finissent par fausser le résultat de la saison régulière d'ailleurs le terme même de " saison régulière" en dit long sur le caractère foncièrement injuste de ce croupion du Championnat .

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  16. En finale je suis pour Toulouse, mais il paraît que les joueurs se reposent pour la saison prochaine.
    Alors, en raison de mes racines familiales, je serai pour Toulon.
    Je prends le pari de vous dire comment Clermont va jouer. Ils vont jouer comme contre le Racing, et si au bout de 25 à 35 minutes, il n'y a pas de différence au score, ils vont jouer comme Toulon, et perdre.
    Plus fort encore, avec le retour de Giteau, Toulon va même produire du jeu à 2 ou 3 reprise et aller à Dame.
    Je ne sais pas si vous avez observé le visage de Giteau à l'échauffement lors des deux dernières rencontres, il n'est plus en train de gober des flans avec son copain Drew Mitchell pour faire rire la galerie.
    L'absence de Halfpenny peut effectivement être préjudiciable, mais pourquoi Belleau entraîné par WILKINSON, ne serait pas capable d'aligner des points. A une époque on n'aurait pas misé un penny sur Michalak en finale.
    Voilà, si j'ai raison, je suis un Dieu (si, si...), et si je me trompe, vous pourrez me chambrer, tant mieux pour le jeu, et je m'en fiche, car je suis pour Toulouse.

    PS: Ma seule certitude est que dans cette finale il y aura des cartons jaunes, et des cartons rouges....

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    1. si tu es pour Toulouse, t'es pour les rouges et noirs donc RCT.

      Mais même si dans mon coeur, je veux que Toulon gagne.

      En tant que joueur et amoureux de ce jeu, j'aimerais que Clermont en jouant son jeu (bien sûr) soit champion de France.

      Quel dilemme?

      J'aurais aimé que La Rochelle gagne vu les matchs de championnat mais quand je l'ai vue jouer, j'ai été très heureux qu'il perde. (Désolé Richard).

      LE Gé

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    2. Ben tu t'es pas foulé Lulure ; quand je pense que je vous ai trouvé 3000 raisons en faveur de l'ASM !!! Pour les cartons je suis d'accord : des jaunes pour les Jaunards, des rouges pour les Rouge et Noir, histoire d'harmoniser les couleurs . Allez va bon match 😇

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    3. Lulure: à Toulon, Matt et Drew ils ne gobaient pas des flans ordinaires mais des flans mireille, ce qui fait toute la différence ! Y a degun pour faire mieux...

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  17. Ah cette putain de dernière touche , nous conspuames ce brave M.Palmade tout au long d'une dense et profonde soirée, mais bon, on est pas sérieux quand on à vingt ans. ( oui, bon, trois fois plus non plus, pas d' ma fôte )
    Et pis Viars au centre, du Collazo avant l'heure !
    Si on à une finale de merde, et je n'en voudrais pas aux vainqueurs,, je vous conterais le choc Nanterre / Arpajon de Dimanche,vachement sympa, z'allez aimer ça parles de moi 😄
    Allez les petits ( clubs)

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    1. Au fait, on le prend quand ce café, Jan Lou ?

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    2. Jan Lou,
      renseignements pris près la gendarmerie locale, un cordon humanitaire a été nécessaire suite aux séniors qui perdent leur 1/2 finale île-de-France 17-19 face à Arpajon. Une défaite rageante sur la dernière action n'est ce pas Jan Lou !!

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  18. Ben si tu veux comme prévu demain 11h café le Marigny à Chevreuse, y en a qu'un !
    Ou 11 h 30 ( pas plus tôt ) vers chez toi, tu me dis.

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  19. Le rugby français est riche en forteresses - qui se veulent toutes imprenables - mais où le plus rude reste de se faufiler au premier rang de la buvette. Chacune a ses histoires, ses légendes, ses héros et ses fans. Mais le RC Toulon reste un cas à part, déifié par son peuple, abhorré des autres. La tradition est intacte, à la veille d'une finale contre des "Jaunards" qui ont accumulé ces dernières années une jolie somme d'indifférence polie. Mais le fait de se dresser contre Toulon les mue en Siegfried défiant le dragon.
    Autrefois, la détestation était focalisée sur les joueurs. Quoi ! Des piliers qui ne sont ni basques, ni bigourdans, ni corréziens, ni béarnais, ni languedociens, qui osent faire reculer "nos" mêlées ! Quoi, des générales lancées sans fausse pudeur ni artifice, qui chauffent à blanc l'éponge magique de "nos" soigneurs ! Parenthèse, comme dit Pipiou, pour évoquer l'extraordinaire M. Daniel Hache. Un n° 8 d'un bon 1,90 m, mais de moins de 100 kg, doté au plus haut point de la qualité hormonale chère au bon docteur Mias. A temps perdu garde du corps attentif et bénévole des freluquets Herrero, Gruarin, Sappa, Carrère et consorts... N'a jamais compris qu'une bagarre, ce sont des moulinets genre éolienne. Lui, cognait (n'est-ce pas, Lavelanet ?). La mauvaise réputation à lui tout seul. Et pourtant, dans la catégorie tricards, Hache était aux avants ce que Nadal fut aux arrières.
    Aujourd'hui, la détestation s'est déplacée vers la touche, président et entraîneurs, avec deux indiscutables Ballons d'Or : Boudjellal, qui mesure année après année le pentu chemin de l'insertion à la française et Laporte, ministre à vie du Jambon sans Frontière. Z'arrivent à reléguer Bastareaud, l'armoire à ballons terreur des tables de chevet, hors des radars médiatiques.
    En fait, devraient pas se contenter de jouer au rugby avec les petits paysans, ces gars-là. Feraient bien mieux de se reconvertir dans le polar américain et lever le Brennus en haut du tapis rouge cannois. On les adorerait.

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  20. Le rugby français est riche en forteresses - qui se veulent toutes imprenables - mais où le plus rude reste de se faufiler au premier rang de la buvette. Chacune a ses histoires, ses légendes, ses héros et ses fans. Mais le RC Toulon reste un cas à part, déifié par son peuple, abhorré des autres. La tradition est intacte, à la veille d'une finale contre des "Jaunards" qui ont accumulé ces dernières années une jolie somme d'indifférence polie. Mais le fait de se dresser contre Toulon les mue en Siegfried défiant le dragon.
    Autrefois, la détestation était focalisée sur les joueurs. Quoi ! Des piliers qui ne sont ni basques, ni bigourdans, ni corréziens, ni béarnais, ni languedociens, qui osent faire reculer "nos" mêlées ! Quoi, des générales lancées sans fausse pudeur ni artifice, qui chauffent à blanc l'éponge magique de "nos" soigneurs ! Parenthèse, comme dit Pipiou, pour évoquer l'extraordinaire M. Daniel Hache. Un n° 8 d'un bon 1,90 m, mais de moins de 100 kg, doté au plus haut point de la qualité hormonale chère au bon docteur Mias. A temps perdu garde du corps attentif et bénévole des freluquets Herrero, Gruarin, Sappa, Carrère et consorts... N'a jamais compris qu'une bagarre, ce sont des moulinets genre éolienne. Lui, cognait (n'est-ce pas, Lavelanet ?). La mauvaise réputation à lui tout seul. Et pourtant, dans la catégorie tricards, Hache était aux avants ce que Nadal fut aux arrières.
    Aujourd'hui, la détestation s'est déplacée vers la touche, président et entraîneurs, avec deux indiscutables Ballons d'Or : Boudjellal, qui mesure année après année le pentu chemin de l'insertion à la française et Laporte, ministre à vie du Jambon sans Frontière. Z'arrivent à reléguer Bastareaud, l'armoire à ballons terreur des tables de chevet, hors des radars médiatiques.
    En fait, devraient pas se contenter de jouer au rugby avec les petits paysans, ces gars-là. Feraient bien mieux de se reconvertir dans le polar américain et lever le Brennus en haut du tapis rouge cannois. On les adorerait.

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    1. Charles, tu pourras peut être me répondre, car à propos de Daniel Hache, la question que je n'ai jamais posée mais qui m'interroge toujours; ici je peux l'écrire.

      Deuxième ligne j'étais et je n'ai jamais atteint 90 kg.
      Daniel Hache jouait junior dans une petite équipe Toulonnaise du Pond du Las.
      Du Pond du Las je suis natif et je jouais face à lui dans une petite équipe Toulonnaise l'Union Sportive et Artistique de la Marine, l'USAM.
      Nous débutions au Rugby, les maladroits qui débutent, on les fait pousser en mêlées ouvertes et fermées.

      Nos idoles étaient Herrero, Gruarin, Carrère, ... Maso aussi était là. Nous avions l'honneur de jouer contre eux, en maillot de bain sur le sable de nos plages l'été, puis sur le pré dès la rentrée de septembre face à face ils nous apprenaient.
      Au début on était fier de les toucher, puis petit à petit on s'enhardissait. Les plus hardis étaient identifiés, et alors au RCT ils joueraient. Daniel Hache signe au RCT.

      De Hache, Je garde l'image d'un grand maigre doux et gentil.
      Elle est là ma question !
      Comment ce grand garçon est il devenu ce Corsaire à mauvaise réputation ?

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  21. Une pépite avant de dormir ! Merci Charles ! Ça mérite d'être lu deux fois 😉

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  22. Excellent Charles ! A ton fabuleux Ministère du Jambon sans Frontière pour Laporte, j'ajouterais pour MB le Ministère de la Saucisse Internationale vu qu'il nous en balance quand même quelques unes (et pas des moindres ) dans sa gestion de la com' du RCT . J'aime bien composer les gouvernements, tiens je vais me mettre En Marche des fois que je finisse Ministre des Andouilles ça fait pas un pli ! Bonne journée !😋

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  23. Un régal, Charlie!
    And you, Luv supreme, le Ministère de la Saucisse : International ou Hallal : faut pas cliver et on rentre juste dans le Ramadan qui comme chacun sait est l'expression ultime de la modernité d'une pratique religieuse... avec peut-être aussi la lapidation, des femmes surtout !
    M'egarerais-je ? et dans quel(le) étagère ?

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    1. Un peu, oui.
      Je parie que tu picolais du vin de messe en douce quand tu faisais l'enfant de choeur, garnement...
      Et as-tu fait ton carême, au moins ? Hein ?

      (histoire d'être moderne...)

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    2. j'aime bien "Luv suprême" ah Vincent tu sais vraiment parler aux femmes ( pour la lapidation on en parle d'abord mmh ? ) 😊😊

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    3. Surement moins bien que le 'Trane ...
      Sinon, on parle vraiment "d'abord" ou on commence par les travaux pratiques...
      ok, je -------->
      (ou alors Pipiou va m'asperger d'eau bénite, avec une gousse d'ail, un pieu et un crucifix dans chaque main... Pipiou Shiva - même combat!)

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    4. Garde ton ail pour tes escargots, mécréant...

      Et tu ne crois pas si bien dire en parlant de Coltrane: d'après certains exégètes, "A Love Supreme" serait largement inspiré par une prière du Coran que Coltrane entendait quotidiennement de sa première femme Naïma, musulmane pratiquante...

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  24. Bravo ! Charles
    affûté en cette nuit pour notre plus grand plaisir
    Ambassadeur de "la Pépite sucrée salée et des 36 chandelles"

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  25. Je n'ai pas eu de réaction ni de ma mie Primprenelle ni de Tautor au sujet de la nouvelle organisation du ST. Etonnante, la venue de Castagneide. Qu'en disent les grands spécialistes.

    Alors que notre ami Bouscatel était payé 15k€/mois, Thierry Lacroix a dit que à la vue des finances dU ST, il n'est pas sûr d'être rémunéré. Cela n'avait pas l'air d'ennuyer l'ancien président en tout cas.

    Picamoles a l'air de croire à la nouvelle organisation de l'EDF, puisqu'il revient en France.

    Est ce que quelqu'un peut m'expliquer pourquoi Doussain est parti avec l'EDF, il n''y a pas d'autre numéro 10 parce que même si je suis pour le ST, je crois qu'il y a certainement mieux dans le championnat.

    Dans toutes les équipes de l'EDF des barbarians aux -20, le contingent du ST est le plus représenté. Il y a quand même quelque chose de pourri dans le royaume du ST. Comment être 12iéme avec autant de joueurs de ST dans les EDF.

    Si quelqu'un a la réponse.

    Le Gé qui prie sur Lacroix pour que le ST retrouve son jeu et sa place.

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    1. Le vrai qui piaffe
      Lacroix Président un scoop 😉 Castagnette Lulu Manager général probable, Pelous ou dehors ou recyclé dans aux pièces détachées ... Lola et SERVAT confirmés un staff relooké ...
      À suivre

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  26. Coucou ; je n'ai pas tout compris , est ce le "Thierry Lacroix de Dax " qui prends en main le ST ?

    PS dire a Richard que certains travaillent et bisquent de voir ses photos apéro
    Marc de Bastia

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    1. Lacroix était la bannière du stade en 3ieme ligne.

      "Javel Lacroix part en croisade pour l'hygiène du linge et la sécurité" bien pour les maillots et les joueurs. non

      :-)

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  27. Non Le Lacroix du Stade ( ancien 3'eme ligne ) dont Le Pere fut lui aussi dirigeant
    Un guerrier un peu fada à l'époque et qui il n'y a pas très longtemps s'est fait gravement défiguré dans une bagarre pas très claire comme les boissons ingurgitées ce soir la ...

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  28. alors il va boire les recettes des matchs a la buvette ........et le stade va couler comme le pastis dans les verres .........

    je plaisante bien sur , car fautes de jeunesse n'est pas vieillesse ...et j'en sais quelque chose ..

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  29. Quand on a été fan de Daniel Hache, on n'aime guère dire du mal d'un quelconque joueur, même du plus horripilant. Je dirai donc que Jean-Marc Doussain fait preuve d'une polyvalence remarquable (ai failli écrire qu'il était aussi bon en deuxième ligne qu'à la mêlée, faut faire gaffe).
    De façon générale, il est vrai que le Stade Toulousain est mystérieux. Même les "initiés" ne m'ont rien appris sur cette fabuleuse aptitude à gâcher la marchandise. Des garçons ont-ils été surévalués ? La religiosité de la ville envers tout ce qui est noir et rouge conduit-elle à la nonchalance ? La mode du rugby-tampon a-t-elle déstabilisé l'académie ?
    Allez, encore un mot sur la finale entre les hussards de Gergovie et les matelots retranchés : comment s'en relèvera le vaincu ? Toulondjellal pariera sur la jeunesse bien française formée entre La Seyne et Carqueyranne, tandis que Clermont soignera son ictère chronique. Vae victis. Ne dit-on pas chez les footeux que la Juventus est favorite parce qu'elle a beaucoup perdu et le Real est l'outsider parce qu'il a beaucoup gagné...
    Une chaleureuse pensée pour Richard, qui tente de nous rappeler que, pendant qu'on dit des conneries, les Lions ont débarqué en Nouvelle-Zélande. Depuis le temps, il devrait pourtant savoir qu'on ne parle jamais rugby.

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  30. L'argent rend fou. Mais "c'est le nerf de la guerre", dixit le nouveau président toulousain.
    La société de marketing Infron va mettre 3,5 millions et renfloue le coffre du ST. Société ayant d'ailleurs racheté Sella Communication. Sacré Philippe,toujours son flair de centre pour trouver les bons coups. Fini la croix et la bannière pour satisfaire la DNCG. Pour l'instant. Même si l'optimisme est de rigueur, puisqu'il est prévu une hausse des revenus pour les 10 prochaines années.
    Les nouveaux prestidigitateurs ont plus d'un tour dans leur sac pour remettre le noir cafard dans le rouge vif. Tant qu'ils ne sont pas pris la main dans le sac ! Bon pour l'humain, z'ont pas toujours la main. Mais en grattant bien dans le bon sens, ça le fera peut être. Voilà le Gé, t'es sauvé pour l'instant. Car, on est dans le marketing... ¨Prêt pour un nouveau jeu de l'oie ??

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  31. Philippe Sella et Jean Claude Bonetti sont associés et les amis de ... Claude Onesta ....
    C'est donc tout naturellement que Sella communication s'est occupée du début de la stratégie marketing et du partenariat de la fédération Française de Hand il y a plus de 5 ans.
    Aujourd'hui, comme on ne change pas une équipe qui gagne, Infront s'inscrit dans la continuité et assure la promotion ...
    Quand on connaît les résultats et l'image véhiculée par le hand aujourd'hui, on ne peut que se réjouir pour le rugby toulousain ....
    Tous les amis de mes amis sont, par ailleurs, mes amis.

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    1. Attends peut-être un peu avant de te réjouir, Pimprenelle.

      Infront est un très gros poisson à capitaux ... chinois, qui est dirigé par Philippe Blatter, le neveu de Sepp; Infront finance largement la FIFA (cette merveilleuse institution philanthropique qui gère de façon parfaitement désintéressée le foot mondial) ainsi que le foot européen en général.
      En échange du renflouement dont tu parles, Lacroix fait rentrer le loup dans la bergerie, en cédant les droits commerciaux du club pour 10 ans à Infront.

      Profitant ainsi de la forte valeur ajoutée de l'"image" rugby du Stade Toulousain, je doute néanmoins fortement que les valeurs du rugby dont il est souvent question ici soient la priorité des gestionnaires d'Infront (et de Wanda, l'immense groupe chinois qui l'a racheté), et encore plus si sportivement le club ne redresse pas nettement la barre.

      Les 3.5 millions d'euros d'apport ne sont qu'une goutte d'eau dans l'océan des investissements d'Infront (qui finance aussi le hand européen, tiens, puisqu'on parlait de Claude Onesta).

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    2. Quand tu vois qu'ils ont réussi à faire véhiculer l'image du Hand comme étant un sport désargenté alors qu'il s'y brasse autant sinon plus d'argent qu'au rugby ou tout autre sport, nous pouvons tout espérer ...
      Par ailleurs, peut être faire confiance à tous les juristes ou autres avocats ayant travaillé sur cette affaire pour que cette société ne puisse avoir réellement qu'une manne financière sur l'événementiel, la promotion du club, la gestion des loges etc...sans droit de regard sur l'aspect sportif ou toute autre gestion interne à l'institution.
      Dans cette configuration, le Stade reste également propriétaire de ses installations.
      Peut être un moindre mal comparé à la vente pure et dure du club ou d'une entrée dans le capital à plus de 50%....

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    3. Peut-être, oui.
      Mais je reste circonspect devant le déséquilibre entre un grand groupe de marketing financier lui-même propriété d'un consortium chinois géant qui investit dans plein de domaines dont le sport (et le sport où il y a du fric à faire, foot tous azimuts, basket, organisation des JO, etc...), et, somme toute, un "petit" club de rugby à la structure commerciale ridicule comparée aux sommes qui sont en jeu dans les domaines cités. Surtout que l'"image" rugby du Stade Toulousain, depuis 5 ans maintenant et leur dernier titre, s'est singulièrement ternie...

      En tous cas, dans ce milieu où seuls le fric et la réussite comptent, c'est toujours donnant-donnant: la générosité à la Serge Kampf, c'est fini.

      Mais bon, on va déjà souhaiter que le club se remette d'aplomb sportivement; le maintien de Mola dans cette optique est un peu étonnant, c'est un peu "on ne change pas une équipe qui n'arrive plus à gagner". Mais comme j'aime bien le bonhomme qui est un entraîneur intelligent après avoir été un joueur intelligent, je lui souhaite le meilleur.
      Il est quand même dommage qu'Elissalde ait servi de fusible, avant que Pelous ne suive.
      La transmission du "jeu à la toulousaine", pour reprendre ce que disait Lacroix en interview, je la verrai quand même plus assurée par un Elissalde que par un Didier Lacroix, pour courageux, fort mentalement qu'il ait pu être comme 3ème ligne malgré des moyens physiques plus limités que d'autres (ni grand, ni lourd, ni rapide -moi je l'aimais beaucoup sur un terrain, avec lui on pouvait voyager partout-, fin de la parenthèse). A moins que dans le rugby actuel, ses qualités-là soient préférables à celles, devenues désuètes, du rugby "jeu de mains, jeu de toulousains"...

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  32. Pimprenelle merci pour les nouvelles. Le discours (et le parcours) de M. Onesta est plutôt intéressant (d'ailleurs dans la lignée de celui de M. Blondeau , Eric de son prénom). Je suis fan et si le rugby se mettait à penser comme eux effectivement il y aurait du changement à espérer.
    Je crois (vraiment et sincèrement) que nous vivons une époque formidable. De transition sans doute mais formidable quand même... Pour le weekend que nous allons vivre entre le choc Italo-Espagnol (quel boulot de M. Zidane!) et la lutte finale de Top 14 (on n'entend plus Flop 14 entre nous depuis 3 semaines) qui occupe nos têtes et nos cœurs, je vous conseille très amicalement un petit bijou: "La Petite Poucette" de Michel Serres. Le rugby pro et amateur ont de l'avenir (le tri est nécessaire), juré sur la croix du ST... et d'ailleurs. M. Onesta est aussi excellent en séminaire...pas un jésuite.
    Exact Charles, les Lions sont arrivés à bon port, pour moi départ le 17 juin via Séoul pour aller visiter de près comment s'entraînent les golfeurs de Corée du sud (les soucis de la FFR existent aussi à la FFG)...
    Quand je pense qu'il y en a qui travaillent, j'ai mal.
    Allez la Corse!

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    1. Marc Germain : tu connais un moyen pour mettre une bombe (je ne parle pas d'une des Quinconces) dans un avion en ne ciblant qu'un seul passager ? Je me sens assez motivé, pas toi?

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    2. Michel Prieu : tu connais une compète avec une phase aussi casse c... de huit mois de long, avec doublons, impasses, calculs de coaches et parfois d'arbitres et dont le principal intérêt beaucoup de samedi etait les espiègleries d'Isabelle U ? 8 mois, c'est long pour des préliminaires ... surtout quand c'est pour se trouver brutalement en phase finale, voire terminale !
      Tout ça survendu par l'ensemble du Paf; faut bien vendre qqch pour meubler le temps extensible à l'envi des cerveaux disponibles et même de la presse écrite, souvent!

      Tant qu'il n'y aura pas du business spectacle en circuit fermé correspondant à la géographie des annonceurs et ou les acteurs accepteront sciemment un raccourcissement radical de leur esperance de vie contre des prébendes luxueuses et un amateurisme intéressé (c'est plus chic que marron, mais c'est pareil, dans des compétitions domestiques réinventées, rien ne changera, sinon en pire ... et les partenaires économiques et petits ou grands potentats contrôleront de plus en plus les zinstances pro et "amateurs" ...
      Avant l'iceberg, l'ambiance, les petits fours et les demi-mondaines étaient divines sur le Titanic ...

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    3. oui Onesta fait fondre toutes les résistances, grand charisme et belle coiffure "honnestement "je le préférais en coach de l'EDF mais bon faut ben vivre !
      Deux noms m'interpellent : Philippe Sella ( http://www.rugbyrama.fr/rugby/pro-d2/2016-2017/philippe-sella-pris-dans-l-affaire-des-panama-papers_sto6075264/story.shtml) et Philippe Blatter ( Infront ) ça ne vous rappelle personne ?
      Vince, ô mon compagnon de bagne : sois fier d'accomplir ta tâche pendant que d'autres s'en paient une bonne tranche . Oui enfin plusieurs tranches ok . Mais nous oeuvrons pour la France et c'est un grand réconfort . Oui enfin grosso modo . 😉

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    4. La réalité est encore plus déprimante : moi j'oeuvre dans la tri-therapie pour maladies de riches alors que toi tu fais découvrir Willie à des têtes blondes (ou presque) suspendues à tes lèvres ...
      Life's but a walking shadow / a poor player that struts and frets his hour upon the stage / and then is heard no more ...
      Mac V-5

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    5. Michel,
      Un bon alignement, une clinque au bois, une pie et le " balancier d'Escot " suffisent à faire le par sur le 18 ...
      A chacun son Blondeau....

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    6. a snaileater
      ami , les seuls bombes que je connaisse ce sont celles qui éclatent dans les yeux quand tu vois Noamie Campbell ....ou Claudia Cardinale ....
      Je sais que j'aurais aimé parfois tel Bernard Blier répandre dans tout paris "façon puzzle" certains dirigeants , mais que veux tu , je suis un gentil ...trop d'ailleurs !

      Bises a vous tous

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    7. Cher mangeur d'ongles, je ne suis pas un perdreau de l'année et je me fonde sur les faits pour Onesta les preuves sont là. Pas besoin d'en rajouter. Quant au championnat long je ne regarde pas où je choisis mes matches quand il n'y a pas de doublon. Pour éviter la publicité qui nous accable j'ai rendu l'abonnement de canal+. Je vais sur les terrains à la campagne et j'attends la lutte finale.
      Je refuse d'être un pigeon mais je voyage...pour continuer de rêver. Dans beaucoup de domaines, l'utopie d'hier est la réalité d'aujourd'hui, je reste optimiste pour le rugby.
      Lacroix était un bon joueur de devoir du ST comme l'on dit encore, pas de raison à priori qu'il soit un mauvais président, permettons lui de prendre ses marques et divulguer son plan. Le temps est plus sage que nous.

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  33. Une réponse - tardive - à Papillonice et qui n'en est pas une puisqu'à l'évidence il a beaucoup mieux connu Hache que moi. Je ne l'ai rencontré personnellement qu'une fois, dans un café niçois à l'ombre de la statue de Masséna. Grand oui, pas gras confirmé, gentil peut-être, surtout peu loquace comparé aux champions de brèves de comptoir du RCT. Mais il se dégageait de ce physique mi Clint Eastwood, mi Jack Palance une impression diffuse de dangerosité déjà perçue chez un instructeur de fusiliers marins à Lorient (quasi sosie) et ... chez Michel Poniatowski à Beauvau. Une autre histoire.
    Enfin, de ma petite expérience, j'ai d'abord et surtout retenu qu'il était un grand joueur.

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  34. Ravi de t'avoir lu, Snaileater. Comment en effet se passionner pour un championnat aussi abscons dans son règlement, dans son calendrier, dans sa conclusion ?... Faut avoir été fonctionnaire peut-être (pardon, je n'ai pas pu me retenir). Le pire, c'est que toute éventuelle formule de remplacement devra passer sous les fourches caudines de l'examen financier et certainement pas de l'intérêt sportif.

    J'aimais bien le joueur Lacroix. Bon équilibre : intelligent, malin, adroit au sol comme en l'air, placé, courageux. L'honnête homme en short : beaucoup de qualités, aucune dominante. Paf ! Les bémols débarquent déjà. Ne serait-ce donc qu'un avatar de Marielle de Sarnez ?

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  35. Une réponse - tardive - à Papillonice et qui n'en est pas une puisqu'à l'évidence il a beaucoup mieux connu Hache que moi. Je ne l'ai rencontré personnellement qu'une fois, dans un café niçois à l'ombre de la statue de Masséna. Grand oui, pas gras confirmé, gentil peut-être, surtout peu loquace comparé aux champions de brèves de comptoir du RCT. Mais il se dégageait de ce physique mi Clint Eastwood, mi Jack Palance une impression diffuse de dangerosité déjà perçue chez un instructeur de fusiliers marins à Lorient (quasi sosie) et ... chez Michel Poniatowski à Beauvau. Une autre histoire.
    Enfin, de ma petite expérience, j'ai d'abord et surtout retenu qu'il était un grand joueur.

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  36. Vous êtes extra à lire. Comme nous inventions petit à petit notre propre langage, ses codes, ses références, ses images. Un vrai plaisir de lecture. J'adore le "Hache est aux avants ce que Nadal était aux trois-quarts". Vraiment ça. Subtilité de connaisseurs ici sur Côté Ouvert. Rien d'un forum, un vrai échange qui s'enrichit à mesure des contributions dont certaines sont des chroniques. Classe.
    Retour sur notre rencontre avec JanLou au Marigny, à Chevreuse. Dans l'esprit du blog. Un bar, des copains qui passent, un café au soleil, l'impression de se connaître depuis toujours, de parler la même langue ovale. JanLou talonneur au physique de numéro huit. Moment agréable. Réunion. Afrique du sud. Et l'année prochaine Treignac, of course. Bloquez avril, les Quinconces...
    Bon je vous laisse j'ai du jardinage. Et un reportage à écrire pour Flair Play. Sur Treignac et la transmission. C'est ma mission. Nous retrouverons donc les Quinconces en papier glacé. Classe, vous dis-je.
    Au fait, Tautor, tu vois tout arrive. Tu souhaitais un urgentiste indépendant pour chaque match d'élite. Il faut croire que ta requête a été entendue ;-). Côte Ouvert se prolonge vers les bons interlocuteurs... N'en doutez pas...
    Je suis heureux aussi de savoir que Pimprenelle travaille son swing avec le balancier d'Escot. Ma contribution indirecte...
    Amitiés à toutes et tous.

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    1. Autres choses aussi : bienvenue à Lulu de Paname (quand est-ce que tu passes vers L'Equipe pour qu'on fasse connaissance ? J'y suis tous les jours de midi à 20h, sauf le mercredi et le jeudi, off) et Papillonice (qui nous vient de Nice Rugby). On aimerait bien vous connaître un peu mieux, les copains ? Présentation ?
      Et n'oubliez pas les Lions (britanniques et irlanais) : je sens qu'ils vont nous régaler. Michel, c'est à toi de jouer...

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    2. J'allais oublier : 37 abonnés (de quoi monter deux équipes) et plus de 17 000 visites ce mois-ci. Un village en Ovalie.

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    3. Nul doute que vous feriez Michel et toi un sacré tandem dans la formation et l'amélioration des performances.
      Il convient aussi que je méritais l'adjectif qualificatif à un "l"et un "p" dont j'ai manqué me faire affublé lors d'une partie de billard...

      17000 visites : Punkette si tu pouvais essayer d'arrêter de toujours dire des co--eries...

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    4. Quelle chaîne les baabaas ? Et quelle heure?
      Steup! Merci

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    5. http://programme-tv.nouvelobs.com/sport/rugby/

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    6. Hi Sugar ! Bien présente ce programme, Merci!
      Pas de Baabaas (les vrais) donc on se contentera des dérivés kiwus contre les Lions ou alors Auckland v Queensland
      Le pb de la mise en conserve c'est que souvent j'oublie d'ouvrir (pas létal non plus, pour un ex 2eme ligne "de devoir")
      Hey, ya gotta know somethin', Babe ! you're the sugar of my life and the cream in my coffee !

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  37. HACHE celebre pour ses coups
    toujours a l heure
    j ai bien peur que TOULOUSE ait prit une drole initiative
    en fait en remontant la trame un fonds chinois s en est empare
    quels interets ont ils
    ajouter un bazar a un grand bazar local
    dresser une muraille
    ou tout simplement attendre que les droits teles explosent pour rentabiliser leur achat
    de plus en plus le top 14 se fond en CAC 40
    pour la finale CLERMONT j aude le dire
    arvenes que pourra
    TOULON condamne au pilou rit

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    1. Allan, suite logique de l’actionnariat de l'aéroport de Blagnac (49,9% chinois). La France a des choses qui intéressent les étrangers...et nous on râle sur ce qui ne va pas.

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    2. En l'occurrence, ce qui intéressait les actionnaires chinois, c'est surtout la redistribution rapide d'une bonne partie des dividendes de l'aéroport en question, lesquels auraient pu être, par exemple, réinvestis dans le développement de l'aéroport.

      Entre la vente par l'Etat des 49.9 % permettant au groupe chinois de devenir actionnaire quasiment majoritaire (l'Etat s'étant engagé à ne pas s'opposer à lui avec les 10% qu'il détient encore, par la voix de son ministre de l'économie du moment, un certain Emmanuel Macron), le tout pour des raisons qui restent d'ailleurs à éclaicir, l'âpreté au gain des chinois réclamant très rapidement une part importante des réserves financières (15 millions sur 67), et le recours à l'emprunt pour l'investissement au lieu, justement, d'utiliser ces réserves, je ne suis pas sûr du tout que les choses qui "intéressent" les étrangers soient très différentes de ce qui constitue le but de tout bon investisseur qui se respecte, soit... le maximum de blé le plus vite possible ! ...

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    3. Et par effet de levier de la dette , mais reconnaissons à Michel qu'ils auraient pu investir ailleurs ...
      Par contre au delà de l'investissement pur et dur ils ( ont ) forcément une stratégie et la ca m'échappe pour l'instant
      Ceci étant dit et en revenant au sujet , je souhaite que Toulouse revienne à son meilleur niveau histoire d'élever le niveau de l'auto proclamé meilleur championnat du Monde

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    4. Quand on connaît les affinités du Stade Toulousain avec Eads ou plus largement avec Airbus Industrie, quand on sait que de nombreux cadres de cette entreprise s'appliquent aujourd'hui à refaire leur curriculum vitae malgré les informations rassurantes des syndicats auprès des salariés, on est en droit de se demander ce que ceux, de plus en plus nombreux dans la ville rose, en particulier aux abords de certains hangars, envisagent.

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    5. Je parlai des Chinois qui ont acheté L'aéroport pas infront mais Le commentaire s'applique peut être aux deux ?

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  38. Pour Charles, pas faux pour gâcher la marchandise à propos des joueurs de l'edf du ST.

    Maintenant, je ne sais pas si le ST est sauvé parce que Lacroix n'a encore rien annoncé. Ils gardent les entraineurs (qui gâchent la marchandise). Aucune remise en question sur le sportif jusqu'ici ni de nouvelle solution à part dire que tout se résume au financier.

    En parlant de financier, Il serait bon de lui rappeler le budget de La Rochelle et sa place dans le top 14. Ah oui, ils sont premiers. Pardon !

    Déjà, ça me fait peur, "donnez, moi de l'argent d'abord, et je pourrais peut être changer".

    Le budget du ST est déjà le plus gros pourtant les résultats depuis 2012 ne sont certainement pas à l'image des dépenses. Pourquoi justement, il n'a pas dit, je peux faire avec beaucoup moins et l'école de rugby.

    Je pense que l'ADN du ST est assez fort ainsi que son EDR pour ne pas rajouter de l'argent. il ferait bien de dégraisser cette armée mexicaine qui se nourrit sur la bête. C'est ce qui me fait un peu peur, c'est qu'il n'en parle absolument pas.

    Je ne sais si les chinois vont mener le club à la baguette, mais plus il y a de fous moins il y a de riz. Proverbe chinois toujours vérifié.

    Je pense que Thierry Lacroix a du être élu président sur un programme au moins sur les 4 ans de mandature.
    Est ce que quelqu'un connait sont programme?

    Il se fourvoie si il pense que l'argent est le seul nerf de la guerre. Et pour le coup, il ne parle pas des valeurs du ST, seules les valeurs permettront de donner à ce club, l'aura qu'il mérite.

    Il parait qu'il s'est fait esquinter lors d'une rixe dans un café. A lui de faire le Pablo est au bar, afin d'arrêter le jeu narcoleptique du ST.

    Viva la révolution.

    LE GÉ

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  39. LACROIX va donner un nouveau visage au ST
    il a paye en petites coupures pour troner

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  40. Ca doit quand même être palpitant de reconstruire un club, bien sûr Didier Lacroix ne part pas from scratch, ex nihilo pour les latinistes distingués ou non, mais créer de nouvelles perspectives, redonner un avenir à un club essoufflé, a certainement de quoi remotiver les supporters et le staff quel qu'il soit ou sera .
    Par simple curiosité et aussi par amitié pour mon Tautor, je suivrai donc de loin mais avec intérêt les nouvelles aventures du Stade Toulousain en leur souhaitant de retrouver leurs belles couleurs bien fades ces dernières années . Accipe quam primum, brevis est occasio lucri . ( non ça c'est juste pour me la péter un peu sinon je cause normal ) Post tenebras lux ?

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  41. 4
    Imaginez une hirondelle dans le métro, ou Codor à Lannemezan, ben Zan Lou à Orly c'est pareil.
    Bon vu que j'ai du temps, m'en vais vous faire une Nini, sait pas qu'il devient, çuila, Fagot à bouffé le mulot p'têt!
    Au commencement il y avait Toulouse, vieille gloire decatie que quelques fiers et ambitieux quadras décidèrent de rénover.
    Tout y passa, le jeu, les murs et surtout ce fameux modèle economique. Sûrement sa plus belle trouvaille, novatrice, sécurisante, maîtrisée, vingt ans d'avance.
    Mais les décennies de pouvoir, ça use, d'habitudes en compromis les luttes d'influence, les rapaces aussi attaquent les fondations .
    Le fameux modèle nécessite à son tour un lifting sérieux, comme le clone Varois sut le faire avec succès par exemple, ou externaliser son économie à des vrais pros, c'est pas choquant.
    Encore faut il conserver une rigoureuse indépendance, un pouvoir solide, et présentement j'me demande un peu, in-petto, dans mon fort intérieur, par devers moi, si on aurait pas mis le pyromane comme chef de la caserne ?
    Ce qui me tripote un zeste, par contre ce sont les commentaires envers le jeune Blatter ; faudrait-il qu'il change de patronyme?
    Allez Chevreuse, la terrasse du Marigny et les rencontres ovales.

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    1. c'est exactement ça : il devrait s'appeler Dédé Blatter 😉

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    2. 👏👏 c'est dur parfois d'être Le fils de son Pere
      Et j'espère qu'on lui a enlevé les allumettes ou Le briquet au Chef de la caserne
      Y a aura plus qu'à le remplacer par Phœnix pour qu'enfin le club rennaisse de ses cendres
      C'est Hache qui m'a fait penser à ça

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    3. Dédé toujours : avec mon 1er café de la journée, qu'apprends-je ? Anne Hidalgo lance un mouvement politique baptisé DD "Dès Demain" à moins que ce ne soit "Des deux mains" d'où le rapport évident avec le rugby .
      Après "En Marche" "Dès Demain" sans oublier l'infortuné "ELPIS" de Benoit Hamon, immédiatement associé à "Debout la France" ... j'ai le grand plaisir de vous annoncer la "M.A.F.I.A." : Modeste association des femmes insolentes et acidulées .
      Et bien évidemment chers amis, vous êtes tous parrains ! Pax vobiscum 😇😉

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    4. F.F.R
      Femmes Féroces et Réalistes :-

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    5. FFR pour les auvergnats
      FA FALOIR RESISTER
      pour les toulonais
      FIERS FORBANS RUGUEUX

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  42. Juste remarque, Jan Lou.
    Nini, fais signe ! (TVB suffira, pas besoin de développer).

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  43. Fallait s'en douter : le Dark Destroyer est allé jusqu'à plaquer le rugby. Afin de mettre toutes les chances de son côté, il a changé de maillot pour l'ultime match. Qui ne se réjouit pas de cette victoire, où prestige et symbole se sont unis pour glorifier les chaussettes du Stade Toulousain ?
    Le plus dur commence maintenant. Car il va falloir tartiner la louange. Et, s'il n'y a quasiment rien de négatif à déblatérer sur cette bonne et belle tête d'athlète, le contraire est presque aussi vrai. Un major de promotion d'école de journalisme s'en sortirait bien à grands coups d'abscisses et d'ordonnées, de statistiques et de power poing, entièrement à l'avantage de Dusautoir, mais nous pauvres de nous, que dire du capitaine de la plus anonyme des équipes de France...
    Evidemment, je suis injuste, aveugle et à la limite du bagne pour discrimination négative (surtout sur la photo), mais j'assume. Imaginons Côté Ouvert dans 20 ans, évoquant avec une nostalgie sans égale l'époque où l'équipe de France avait failli gagner, que dirons-nous, comparé à ce que nous trémolons aujourd'hui sur Fouroux, Rives, Prat ou Mias, sans oublier les dizaines de talonneurs contractuellement capitanisés ?
    Dusautoir aurait mérité une autre époque, par exemple une ère où l'on ne glorifie pas prioritairement les plaqueurs, ces témoins à charge des équipes sans fond de jeu.
    Kékun, qui lit au-dessus de mon épaule en attendant que je lui ouvre sa boîte de Whiskas, me souffle qu'avec Cigana, les Partolans Bros, Lamboley, Clerc, Poitrenaud et Jauzion, il entrerait dans le tout nouveau tout beau conseil de surveillance du tout nouveau tout beau Stade Toulousain. Dans le plus parfait anonymat.
    En fait, j'aurais bien aimé un match référence comme on dit, une occasion de s'enthousiasmer, une seule mais une vraie, afin qu'un hijo de puta ne dise pas dans 20 ans "c'était l'homme de confiance de Philippe Saint-André".

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  44. Fallait s'en douter : le Dark Destroyer est allé jusqu'à plaquer le rugby. Afin de mettre toutes les chances de son côté, il a changé de maillot pour l'ultime match. Qui ne se réjouit pas de cette victoire, où prestige et symbole se sont unis pour glorifier les chaussettes du Stade Toulousain ?
    Le plus dur commence maintenant. Car il va falloir tartiner la louange. Et, s'il n'y a quasiment rien de négatif à déblatérer sur cette bonne et belle tête d'athlète, le contraire est presque aussi vrai. Un major de promotion d'école de journalisme s'en sortirait bien à grands coups d'abscisses et d'ordonnées, de statistiques et de power poing, entièrement à l'avantage de Dusautoir, mais nous pauvres de nous, que dire du capitaine de la plus anonyme des équipes de France...
    Evidemment, je suis injuste, aveugle et à la limite du bagne pour discrimination négative (surtout sur la photo), mais j'assume. Imaginons Côté Ouvert dans 20 ans, évoquant avec une nostalgie sans égale l'époque où l'équipe de France avait failli gagner, que dirons-nous, comparé à ce que nous trémolons aujourd'hui sur Fouroux, Rives, Prat ou Mias, sans oublier les dizaines de talonneurs contractuellement capitanisés ?
    Dusautoir aurait mérité une autre époque, par exemple une ère où l'on ne glorifie pas prioritairement les plaqueurs, ces témoins à charge des équipes sans fond de jeu.
    Kékun, qui lit au-dessus de mon épaule en attendant que je lui ouvre sa boîte de Whiskas, me souffle qu'avec Cigana, les Partolans Bros, Lamboley, Clerc, Poitrenaud et Jauzion, il entrerait dans le tout nouveau tout beau conseil de surveillance du tout nouveau tout beau Stade Toulousain. Dans le plus parfait anonymat.
    En fait, j'aurais bien aimé un match référence comme on dit, une occasion de s'enthousiasmer, une seule mais une vraie, afin qu'un hijo de puta ne dise pas dans 20 ans "c'était l'homme de confiance de Philippe Saint-André".

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    1. Le NZ / FR de coupe 2007, Charles, les plaquages mais pas que!
      Allez, imbattable ce jour la, sauf éventuellement par les furies de la MAFIA Iséroises ( non mais j'te jure!)

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    2. Donc en sorte, il n'aurait pas mérité non plus d'avoir PSA et Mièvremont notamment, comme entraineurs nationaux...

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  45. Le mieux c'est que ses adversaires internationaux en parle , ceux qui se disaient " merde encore lui "

    La bonne nouvelle c'est que contrairement à certain on ne lui a pas proposé quoi que ce soit à la FFR et pourtant il est " née " sous l'ère Laporte ...
    pas assez grande gueule , son efficacité silencieuse m'a toujours impressionné

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  46. Dusautoir est allé jusqu'à plaquer le rugby
    Remarquable, Charles !
    The quote of the week

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  47. Ça et la pépite de l'autre nuit on atteint des sommets Charles Le Hillary ( Sir ) du blog !

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    1. Mais qui sera son Tensing ?
      Allez Charly,Citius,Altius,Fortius !

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  48. Pourquoi se priver entre nous de lui rendre un vrai hommage. A sa manière calme et mesuré.La force de Dusautoir c'est de savoir qui il est et son image est immense chez tous ses adversaires. Il a préparé son avenir en étant au charbon dans tous les rucks, sans rechigner.
    Son désir principal était de récupérer la balle, en priver ses adversaires et la partager avec les siens. Sa sérénité est toujours sa force , son chemin est tracé, pas besoin de crier pour entraîner, la force de l'exemple est la plus belle image qu'il a pu donner avant de plier bagage. Magnifique exemple du plaisir et du travail au rugby et dans sa vie. Pas commun le bonhomme...De quoi rester optimiste si les jeunes décident de suivre sa trace.

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    1. Je cite l'Equipe : "«Je pourrais encore jouer physiquement, admet-il, mais je suis usé psychologiquement.» Entre les errances de l'équipe de France et celles du Stade Toulousain, l'énergie de combat de Dusautoir a fini par s'émousser. «.....À la veille d'affronter l'Écosse le 5 septembre, quelques joueurs demandent audience au sélectionneur Philippe Saint-André. Ils se plaignent de l'exigence de Dusautoir. Parmi ces plaignants, on sait que se trouvaient deux de ses coéquipiers du Stade Toulousain : Yoann Huget et Yoann Maestri. Une infamie, un coup de poignard pour Dusautoir qui, en plus, ne se sent pas soutenu par le coach. «Sur le fond, on peut discuter de leurs revendications. Mais la manière a été blessante et lâche. J'ai été en colère, j'ai ruminé..... Fatigué par la dimension politique du rugby, «Titi» a décidé de s'en éloigner. ..." bon je fais court, bien sûr il n'y a pas que ça - lire notamment son étonnante et émouvante histoire familiale ... - mais déjà... qu'un Dusautoir ait été traité ainsi ça m'interpelle . Alors oui un exemple mais qui est prêt à suivre un tel monstre d'exigence ? - monstre est affectueux - Encore une fois la vie n'est pas si simple, espérons qu'il connaîtra d'autres satisfactions dans sa vie professionnelle à venir .

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  49. Décidément, j'n'échappe pas à la Nouvelle-Zélande...
    Bon, les gars, vous êtes gentils, mais faudrait p'têt pas oublier de prendre son tilleul.

    Quand je pense que nous nous préparons à suivre une finale Toulon-Clermont, c'est un peu vertigineux, non ? Tout change, tout bouge, tous les repères ont sauté et nous, que dalle, on est resté à brontosaure-triceratops. Pourquoi pas Agen-Dax. On croyait en être à Ferrand, on est bloqué à Clermont !

    Une finale La Rochelle - Bèglesbordeauxgirondeaquitaine(nouvelle)voie lactée, aurait été plus glamour, plus "in" comme je disais quand je mâchais du Wrigley's. Des envolées, des essais, le geste et la geste. A quoi servent les communicants de la FFR ?
    Et puis, en même temps, beaucoup de tendresse. On se régale à l'avance de Rougerie brandissant le Bouclier ou de Guirado expliquant au micro que Clermont aurait pu gagner.

    Après, il sera toujours temps de compisser sur le temps qui passe.

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  50. J'ai retrouvé la chronique écrite en décembre 2015 quand Thierry Dusautoir a tiré sa révérence en équipe de France. Le titre était "Génération Titi"

    "Lors du Mondial 2015, son troisième et dernier, le capitaine des Tricolores a eu du mal à faire passer son message à quelques-uns de ses partenaires. Message d’ardeur, de labeur, de sueur, d’abnégation, message d’engagement sans frein, de fierté à partager, de plaisir à donner. Et pas seulement à prendre, comme on l’entend trop souvent à tort.
    Avec son retrait, c’est une génération qui s’efface. Celle qui va de Chabal à Szarzewski, du brun chevelu au blond chevalier, en passant par Médard, Clerc, Heymans, Mas, Papé, Nyanga, née avec lui. Une équipe de France entrée en 2007 dans son histoire à Cardiff un soir de quart, puis victorieuse des All Blacks à Dunedin en 2009, battue de peu en finale du Mondial 2011 et brisée quatre ans plus tard.
    Les All Blacks ont marqué l’histoire tricolore de Thierry Dusautoir comme jamais équipe, nation, culture n’ont été associées à ce point à un seul joueur. Il en gardera, et nous aussi, des bleus à l’âme, des fiertés et des douleurs, de quoi graver l’épique et l’épopée dans notre imaginaire à une époque, la nôtre, plutôt avare de ce genre d’aventure à plusieurs autour d’une idée force.
    Autant sur le terrain Jean-Pierre Rives, avec lequel j’échange avec bonheur, était un capitaine fracassé, autant Thierry Dusautoir fut un capitaine fracassant. Si l’un est capable de sertir des aphorismes comme on trempe son sachet de thé dans l’eau chaude, l’autre reste chiche de ces sentences qui traversent les décennies et se transmettent entre fines bouches.
    Une voix douce et une voie dure. Contraste saisissant quand l’homme devient joueur, quand le discret atomise. Respectueux , Dusautoir devenait Titi le maillot enfilé, comme s’il entrait dans une autre peau. Que garder de lui pour l’avoir côtoyé ? Un sourire qui pouvait irradier, le regard qui scrute avant de pétiller, des manières élégantes, raffinées presque. Et des mots choisis. Rares mais précis. Taillé brut dans le roc mais poli. Toujours poli.
    Thierry Dusautoir quitte le XV de France, Marcoussis, le Tournoi et les tournées sans regret, visiblement. Il emporte un record, 56 capitanats, autant dire un sommet qui semble inatteignable aujourd’hui pour celui qui prendra la suite, soit sept saisons pleines à la proue d’une équipe qui semble désormais devoir être composée de joueurs qui n’en font qu’à leur tête, si l’on en croit le débrief du Mondial passé.
    Il faut parfois du temps pour se rendre compte qu’on a croisé un homme rare ou un joueur d’exception, un être qui agrège le meilleur de tous. Jean Prat, Mias, Crauste, Moncla, Walter Spanghero, Dauga, Christian Carrère, Rives, Dintrans, Dubroca, Berbizier, Blanco, Tordo, Roumat, Galthié, Sella, Benazzi, Pelous, Ibanez, Nallet... D’entre ses égaux, Thierry Dusautoir est le premier monté au plus haut, jusqu’à la lumière, sans s’aveugler, sans vouloir nous éblouir, ni se brûler les ailes. Il redescend aujourd’hui en évitant les confidences de trop, à demi-mots, sans rien attiser, laissant ce qu’il a vu et entendu à l’endroit qui sied : là-bas, dans le feu du jeu.
    Je m’interroge : quel est ce glissement de terrain qui a emporté ses derniers mots, ce malentendu, ces non-dits ? Pourquoi une partie de l’équipe de France, qu’il commandait par l’exemple plus que par le verbe, n’a-t-elle pas adhéré à son discours durant l’été et l’automne, lequel reprenait les vertus simples de ce jeu, quand il ressemble à la vie ? Cette fracture a de quoi nous inquiéter."

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    1. oui c'est quand même compliqué le monde du rugby : il faut éplucher l'oignon eau après peau, gratter chaque strate et voir ce qu'elle recouvre. Ce malaise que tu avais perçu - je me souviens avoir été très étonnée en lisant ta conclusion car pour moi Dusautoir faisait l'unanimité - ce malaise on en connait à présent l'explication . Je crois qu'il a eu raison de parler - un peu hein, ce n'est pas non plus un règlement de comptes- ça lui a certainement fait du bien ... Pour élargir un peu le débat je trouve que les joueurs commencent un peu à se lâcher ( Géli récemment, Poulain il y a quelques années ...) et que ce secret des vestiaires auquel ils semblaient tant tenir, devient caduc .
      Un bien ou un mal ?

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    2. Parce qu'il était " une jambe au dessus".
      Que n'aurait-il vu le jour dans un coin ou le terrain est stable , du côté de Marlbourough ou Otago, Ritchie ?
      Allez Chevreuse

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  51. Pas d'accord, la Voix du Nord, brontosore toi même , c'est çui qui dit qui y est .
    Les bon vieux repères pour un match de série sont toujours la, je t'invite à vérifier des les feuilles mortes revenues.
    A l'autre bout de l'Ovalie, je parie un vieux fonds de carri z'andouilles qu'on à pas fini ce soir contre un billet aux cinquante à l' Eden Park que Michel va bientôt nous en temoigner des essais, des gestes et de la léonine saga.
    Bref, du bon vieux Rugby, qui nous refile un grand coup de vingt ans, puis du vrai bon Rugby,et en plus Warburton ou Read, au micro, on pige quedal, c'est juste leur jeu qu'on capte, tout bien.
    Allez,de Brest à Clermont, laissons le le Ferrand turpiduder et que le long nuage nous enveloppe, Charly .
    Charlie, Oh Charlie t'iras pas au paradis
    Charlie, Oh Charlie t'iras pas au paradis
    Tes pensées sont mauvaises
    Tu fais honte à ton diocèse
    T'iras pas au paradis Charlie

    Elle est là derrière un pilier
    Je la regarde agenouillée
    Aux jours de Pâques et de Noël
    A la messe je ne vois qu'elle
    Elle est belle comme la statue
    De la Vierge à l'Enfant Jésus
    Comment voulez-vous je vous prie
    Que dans ces conditions je prie

    Oh Charlie t'iras pas au paradis
    Charlie, Charlie, t'iras pas au paradis
    Ton paradis je m'en fous
    Mon paradis c'est elle et c'est tout
    Et même si je scandalise
    Quand je suis à l'église
    Je pense à Marie
    Aux yeux de Marie
    Je pense à Marie
    Aux mains de Marie
    Au corps de Marie
    Au cœur de Marie

    Oh Charlie,
    Monsieur Charlie


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    1. l'auteur ! l'auteur ! ah ça y est j'ai trouvé : 😎💋

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    2. T'as trouvé quoi ?
      C,est un truc que je viens d'improviser ....
      Allez, un p'ti Béco 🎶🎶

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    3. ha ben ça alors ! moi aussi je compose à mes heures tiens voilà j'ai écrit ça vite fait, c'est aussi sur la p'tite Marie :
      When I find myself in times of trouble
      Mother Mary comes to me
      Speaking words of wisdom, let it be
      And in my hour of darkness
      She is standing right in front of me
      Speaking words of wisdom, let it be
      Oh, let it be, let it be, let it be, let it be
      Whisper words of wisdom, let it be
      And when the broken hearted people
      Living in the world agree
      There will be an answer, let it be
      For though they may be parted
      There is still a chance that they will see
      There will be an answer, let it be
      Oh, let it be, let it be, let it be, let it be
      And there will be an answer, let it be ...

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    4. Quel talent !
      Allez, de mémoire?

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  52. Ah, Jan Lou... Ce n'est pas parce que je n'ai pas tout compris que je n'apprécie pas (triomphe de la négation, celle qui mène en enfer). Bref, je te redis ce que j'ai déjà répondu à diverses reprises à d'autres contributeurs : faut surtout pas tout prendre au premier degré. Vaut mieux le 40°. En fait, je suis comme tout le monde, je ne comprends rien au rugby, j'ai juste ma façon de l'avouer. Je ne vais tout de même pas te faire perdre ton temps à t'expliquer laborieusement ce que je pense "vraiment" d'une finale Clermont-Toulon, pas plus diplodocus au demeurant que Castres ou Brive. Fernandez-Lobbe va t'il sortir son plus beau match ou exhiber le poids des ans et des misères accumulées ? Parra sera t'il génial ou horripilant ? Je n'en ai pas la moindre idée et toi non plus.
    Tu sais, Jan Lou, la modestie a ses pudeurs. Surtout dans la zone de distribution de La Voix du Nord.
    Allez, encore une mauvaise pensée ! Mais la mansuétude de Marie est sans limites.

    PS. Tu diras à Gariguette que c'est très zoli.

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  53. Merci Richie pour ce rappel sur Dusautoir. Ce mec là est un vrai guerrier à l'ancienne.Pour ceux qui connaissent le chaman Miguel Ruiz et la philosophie des Toltèques: Titi a la "parole impeccable". Cela se traduit ainsi:" Parlez avec intégrité, ne dites que ce que vous pensez. N'utilisez pas la parole contre vous ni pour médire d'autrui".
    Sa retenue est salutaire mais en grattant explique sans doute en partie ce qui a détruit le vestiaire toulousain.
    Bon, c'est jour de match. Après le festival Zidane et sa troupe, nouvel affrontement sur le pré en jaune et bleu, rouge et noir une vraie corrida...Viva España!

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  54. "Du Sautoir"
    le plongeoir est un fabuleux tremplin pour faire des figures ou des bombes au grand émoi de ceux qui regardent. Figures libres ou imposées, rien de moins évident que de les exécuter parfaitement. Thierry, en exemplaire taiseux, a su s'imposer par le travail, l'abnégation, en grand capitaine qu'il fût. Point de gestes, point de mots, points de manières, le regard, celui du respect, suffisait à lui seul pour dicter sa loi. Car le rugby c'est le pouvoir de se regarder en face l'un de l'autre sans baisser les yeux. Celui qui faillit perd dans sa tête donc dans le jeu. Rien de plus expressif que des yeux coléreux, rageurs, déterminés, interrogatifs, rieurs, malicieux, vifs, balayant en un éclair les adversaires. Savoir lire les faiblesses des autres n'est pas donné à tout le monde. L'observation dans le silence, comme les rapaces, pour mieux cerner sa proie est d'une redoutable efficacité. Thierry avait cette faconde qu'il l'a portée au sommet du capitanat mais aussi du meilleur joueur de la planète. Fait du prince déchu d'une finale volée ? Non. Fait d'un joueur intègre, volontaire qui n'a eu de cesse de couper l'herbe pour qu'elle ne repousse pas. Alors faire des figures ne dure que l'instant du vol au dessus de l'eau pour un plaisir égoïste et singulier avant de replonger dans la moiteur de l'ordinaire. Car il faut pouvoir retomber sur ses pieds, comme le chat, et oublier l'ivresse du vol suspendu pour savourer les rapides délices des plus beaux de nos jours ! La bombe meurtrière est là celle des mots et des maux engrangés pendant des années sans dire mots. Aujourd'hui, le message est fort, violent, adressé au monde du rugby pointant du doigt que beaucoup n'ont pu ou ne peuvent se regarder en face et que l'exemplarité n'est pas de mise dans ce monde d'hypocrites. Tel un chevalier "blanc", tel Lancelot du Lac ou Don Quichotte de la Mancha, Thierry fait figure de proue d'un rugby aujourd'hui abscon, altruiste et fétide. Place aux chevaliers "sans peur et sans reproche", que "Durandal" tranche pour le bien de l'ovale et que la "brèche de Roland" ne soit pas qu'un conte ni un mont Perdu !

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  55. Le rugby échappera t-il ou non à l'appât du gain ? SFR sport a raflé la mise sur le foot européen pour 450 M€, 2,5 fois le contrat actuel. Voilà une aubaine pour le monde Amateur en plus du Coq sportif, d'Altrad et de futurs autres ... Le serpent de mer est entrain de se tisser pour 2023 ! Qui va s'enrichir au final ? Le rugby français ou la FFR ? La LNR ne va tarder à réagir, prestige oblige !

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  56. Mon cher Richard, à mon avis, dans quelques listes que l'on fasse, quelques soient les critères, stp n'oublies jamais JAUZION

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    1. Croisé à Dublin en marge d'un match du Tournoi il y a peu. Egal à lui même. Discret.
      Il est dans le vin de Gaillac en ce moment...

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  57. Pendant qu'on est là à parler de tout et de rien, je vous engage à aller lire "Lubies" le blog de Benoit, déjà parce que c'est bien et si vous savez surfer vous trouverez un commentaire superbe de Sergio dans lequel on apprend ce qu'il a fait le weekend dernier ... Délicieux ! voilà c'est ici http://lubies.hautetfort.com/archive/2017/05/29/ea96cc578fcc58cb45b74afe9f0d1601.html

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    1. Gariguette, mon agent littéraire ?? Trop bonne, enfin je voulais dire gentille bien sur !!
      Pour T.Dussautoir, il n'était pas un capitaine né, comme d'autres. Juste quelqu'un qui voulait être à la hauteur. Avec 56 capitanats, pas facile pourtant d'assumer et de traverser la période difficile de l'EDF, qui l'est toujours. C'est son histoire et il s'est retiré sans bruit et sans même la récompense d'une dernière victoire, en se représentant comme un passif qui n'avait plus rien à apporter à l'EDF pour le tournoi 2016. Sa récompense étant d'avoir pu profiter de tout ce qu'a pu lui apporter le rugby en tant que privilégié.
      S'il y avait à le caractériser, je dirais exemplarité, exigence et humilité. Pas celui à modeler l'équipe à son image, mais pas par hasard.
      Pour ce soir, des bougnats en marche depuis quelques années déjà, toujours debouts et dieu sait s'ils y mettent les 2 mains. J'espère qu'ils ne seront plus ces Foo Fighters Refaits.

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  58. Sur place... Au Stade de France. Bloquages policiers, net en défense. Difficile à passer. Consignes de jeu hermétiques. M'étonnerais que ça pète ce soir...

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  59. Tant que les jaunes pètent sur les rouges pour leur faire du noir...

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  60. Le Stade de France est auvergnat à 70%. 20 % de supporteurs toulonnais. Et 10 % pour le reste du monde...

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  61. Le président Macron n'a pas les votes ovales. Il a été hué par le public du SdF.

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    1. Ou Laporte et Boudjedal ? Pas aime par les jaunes MB et BL ...

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  62. Je n'ai jamais vu une entame de finale comme celle-là. Maillots jaunes.

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  63. Quel temps de jeu de ouf avec un essai qui donne le tempo du match waouh 😍 comme le Réal

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  64. Essai Raka ? Une merveille de contre. 10-0 à la 11e. Ca va être compliqué pour le RCT. Superbe Penaud. Papa Alain doit être fier de fiston.

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  65. Et les iliens à genoux devant le Président magique non ?

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  66. Toulon pris dans son camp, étouffé. Ne peut pour l'instant s'en remettre qu'à ses percussions. Trop juste.

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  67. Pressing haut et rapide des jaunards payant

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  68. On entend 1 000 supporteurs rochelais scander "Ici ici c'est La Rochelle."

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  69. Si ça continue ça sent la fessée à moins d'un carton ... Allez Là Rochelle
    Penaud étincellent

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  70. Les Clermontois ont décidé de tout jouer à la main... impressionnant.

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  71. Protocole commotion par le Dr H

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  72. L'ASM à retenu la leçon des "Sarries" joue le même jeu avec plus de panache je trouve

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  73. Tuisova devrait jouer 3/4 centre ... Pas à sa place à l'aile aujourd'hui ... Au moins pas fanny

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  74. Proto Comm pour O'C, plutôt. Rouge ou jaune ?

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  75. Réponses
    1. Ç maintenant pour Clermont ....

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    2. Maintenant ça va être au mental

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    3. C'est le physique qui fera la différence ... Et le banc des remplaçants

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  76. Yes ... Que disais je le carton et Tuisova on y est

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    1. Vitesse et précipitation pas la même chose et la Clermont confond ! Heureusement la mi temps arrive pour se calmer

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  77. Et Cancoriet 19 ans sans bruit époustouflant

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    1. On est en train de découvrir que l'on a plus de talent qu'on ne le pensait , c'est bien de les faire jouer ...

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    2. Noves n'a pas besoin de se creuser le cibouleau pour trouver des jeunes quelques cadres et on devrait faire le buzzz

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  78. Ouf ! Tu l'as dit mais aussi une charnière jaune qui pèse moins et plus d'indiscipline chez les jaunes

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    1. La charnière à moins de ballon et moins lucide obligée de défendre surtout

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    2. Erreur de faire sortir Penaud carte défensive pas le bon choix

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  79. Toulon fait du Toulon et clermont ne fait pas du Clermont

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    1. Dommage de pas l'amener avec l'EDF le jeune Belleau même si il doit travailler le tir au but il est intéressant dans le jeu !

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  80. Parra pas terrible
    Lamerat ne sait pas faire des offloads

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  81. L'ASM se refait la cerise tout doucement mais qu'elle violence ...

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    1. Toujours pas à l'abri ça joue petit bras et Nonu avance , attention les jaunes

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  82. Bientôt il va falloir 2 médecins pour les commotions à ce rythme

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  83. Ok avec François oui doussain prendre belleau 👍👍👍

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  84. Belleau supérieur à Doussain actuellement

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  85. Toujours pas à l'abri c'est l'essai transforme ou rien !

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  86. Tuisova a percuté le toubib fait le protocole 😂

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    1. 😂😂😂 les mecs sont cuits et j'ai lu que la FFR pensait à un Top 16 ...

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  87. J'ai déjà assisté à un protocole avec Fernandez Lobbe un spectacle

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  88. Bravo l'ASM mais que l'accouchement fut dur ...

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