Nous pourrons signaler aux générations futures à quel point la période noire fut une domination sans partage du rugby néo-zélandais. Comme en leur temps le FC Lourdes, l'AS Béziers et le Stade Toulousain d'Ovalie hexagonale - une étonnante figure géométrique que je vous invite à dessiner si vous n'avez pas mieux à faire durant l'intersaison -, les All Blacks assurent à la fois le spectacle tout en renouvelant le genre. Ils n'ont perdu qu'un seul test à domicile en huit ans, relève sur Twitter le journaliste Pierre Ammiche. Leur secret ? Avoir pris assez d'avance pour réfléchir au futur, l'anticiper, voire le modeler pour peu qu'ils disposent, et c'est le cas, de leviers politiques pour influer sur les grandes décisions, à commencer par le règlement.
Les Néo-Zélandais se nourrissent d'un système fédérateur, ruissellement qui permet à la base de recueillir les effets bénéfiques du haut niveau, vases communicants qui font remonter les fleurs écloses sur le terreau provincial vers le bouquet final, cette équipe des All Blacks à la fois vitrine et laboratoire. Et si l'on voit l'ailier Rieko Ioane inscrire un triplé à Dunedin après son doublé à Auckland, se dire qu'il est le pur produit d'une pensée orchestrée sur papier millimétré. Rien n'est laissé au hasard au pays du Long Nuage Blanc. Pour combien de temps encore ? Une décennie ? C'est possible.
En tout cas, tant que nous récupèrerons les scories néo-zélandaises pendant que les All Blacks meublent confortablement le score (52-11, 26-13, 49-14), notre position a peu de chance de varier. Pis, elle peut nous entraîner encore plus bas que nous ne sommes, à savoir toucher l'humiliation d'une non-qualification en quart de finale de la Coupe du monde 2019. Avec l'Angleterre et l'Argentine dans notre poule, nous en prenons d'ailleurs tout droit le chemin. Cela dit, un mal pour un bien, les Anglais ont vécu ces affres en 2015. Il est donc possible de s'en relever pour peu qu'une vraie prise de conscience succède au désespoir.
L'image est marquante. Rieko Ioane plonge cinq fois en deux tests dans l'en-but français tandis que Toulon fait signer son prédécesseur au poste chez les All Blacks, Julian Savea, qui ferait encore le bonheur de n'importe quelle autre sélection nationale. Savea - non-sélectionnable pour le XV de France - dans le Top 14, c'est un Bleuet de moins en lice. A ce train, il ne faudra pas s'étonner s'ils sont peu nombreux, les champions du monde moins de vingt ans, à monter dans les wagons du haut niveau. «Demandez-vous ce que vous voulez faire avec vos jeunes joueurs...» s'interrogeait Steve Tew, le boss de la fédé kiwi dans Midi-Olympique, la semaine dernière, quand Leo Faure (digne fils de son père Bernard, excellent journaliste de La Montagne) lui demandait s'il avait une solution à offrir au rugby français.
Au sortir d'une saison médiocre, le Stade Rochelais, parangon de vertus porté hier au pinacle par l'opinion publique et les médias, les observateurs et les connaisseurs, les techniciens et les dirigeants, prend le risque d'attendre cinq mois la venue de son prochain manager, l'ex-All Black Jono Gibbes, laissant joueurs et entraîneurs maritimes à marée basse durant la première partie du Championnat. Ainsi, dans ce Top 14 qui s'annonce plus serré que jamais, Montpellier et le Stade Français se présentent en provinces sud-africaines exilées, La Rochelle en dépôt néo-zélandais et Toulon en maison de retraite pour internationaux refusés. Mieux vaut en sourire.
Le rugby français est géré en économie de marché. Les salaires en constante augmentation dérégulent l'offre et la demande. Dans une bulle spéculative, le Top 14 va finir par imploser. Pendant ce temps, nous pourrons toujours apprécier les performances irlandaises pour ce qu'elles sont, cliniques dans le Tournoi des Six Nations (Grand Chelem), la Champions Cup (titre continental) et les tournées dans l'hémisphère sud (série de tests face à l'Australie), nées de l'obstination d'une nation à ne pas mourir, ainsi capable de se renouveler en donnant plein pouvoir à sa fédération, en irriguant les provinces, choyant ses internationaux et se donnant un technicien doué de vision - Joe Schmidt, encore un Néo-Zélandais - pour construire un jeu adapté à sa psyché. Tout est dans l'Erin.
Depuis 1988, et la révolution australienne, Galles, Argentine, Ecosse, Afrique du Sud et Angleterre ont su briser une spirale négative, imaginer une articulation, changer de paradigme et se réinventer. Pourquoi pas la France ? Parce que nous préférons caresser les supporteurs dans le sens du poil en valorisant le Top 14, remplir les travées en multipliant les produits d'appel - les fameuses stars étrangères - et les caisses en augmentant les prix des places - La Rochelle, là encore, mais pas que. Une approche égocentrée, étriquée, centrifuge et partisane qui mène inexorablement, chaque saison davantage, à la faillite du XV de France. Dans la plus grande indifférence.
Cette tournée en Nouvelle-Zélande - qui ne sert à rien - m'oblige à dresser depuis un mois le même constat. Le rugby d'élite ne se construit pas avec des bons sentiments. Castres champion en puisant dans ses vertus était un baume sur nos plaies qui depuis 2011 ne parviennent pas à se refermer. Heureusement que cette année-là, le XV de France n'est pas devenu champion du monde sinon nous aurions été obligés d'ériger malgré nous la métamorphose des cloportes (Alphonse Boudard, pour ceux qui demandent) et la thérapie du houblon en panacée.
Il n'y a pas que nos illusions qui sont mortes en ce mois de juin finissant : l'esprit des Barbarians français, lui aussi, a disparu dans le nuage blanc trop long pour nos courtes vues. La soi-disant réserve du chef n'est qu'une piquette amère, surclassée par la classe biberon des provinces néo-zélandaises, Crusaders et Highlanders lançant leur relève face à ce qui n'est plus l'émanation du French-Flair mais un avatar de nos tares domestiques : technique approximative, initiatives individuelles, déficit de puissance. L'association Garbajosa-Urios n'y a rien pu faire. L'initiateur du jeu d'attaque rochelais «axe-large» et l'artisan spécialiste de l'esprit de groupe depuis l'Ain jusqu'à Tarn ont échoué à donner de l'éclat à l'arrière-ban tricolore. C'est tout dire.
«Songe à la douceur d'aller vivre là-bas, au pays qui te ressemble» écrit le poète Charles Baudelaire. Nous dilatons l'espace flou et le temps voilé. En regardant devant, nous ne parvenons pas à nous séparer des souvenirs vécus. «Si proche, si loin», encrent les plumitifs en panne d'inspiration pour titrer la défaite encourageante en s'imaginant philosophes. Mais il manque l'essentiel. Nous avons le mal de ce pays. Notre patrie, ici le rugby, fait de nous des migrants, interdit d'accès. Ce jeu, que nous avions considérablement amélioré il y a quelques décennies, nous est maintenant refusé. Ce que nous pratiquons n'est qu'une illusion. Un de mes frères en pensée, Alain Rossignol, répétait que seule l'utopie permet d'éteindre la nostalgie. Contributeurs de ce Côté Ouvert qui mérite plus que jamais son nom, créons l'avenir après avoir trop plaint le présent.
Excellent. J'avais tenté, hier, au retour de quelques kilomètres à vélo, une sorte de variante à ton texte. la fatigue m'en a empêché. Je la tenterais, peut-être, mais, globalement, je te suis de près; de très près.
RépondreSupprimerDans ma roue, André, dans ma roue. Et tu démarres à deux cents mètres de l'arrivée.
SupprimerQuelle est la différence entre jouer pour gagner et jouet pour ne pas perdre ?
RépondreSupprimerLa nouvelle Zélande contre la France 🇫🇷
La différence entre jouer pour son pays et jouer pour se nourrir
La NZ contre la France
La différence entre un futur toujours plus loin et une vie qui au mieux s’arretera à 35 ans voire plus tôt
La NZ versus La 🇫🇷
Je pense que nous avons des joueurs qui jouent d’abord pour leur club donc leur salaire et contrat que pour leur pays et je les comprends
Je n’aurais pas aimé me dire que mon avenir dépend d’un président tout puissant et donc nos joueurs contraints par leur salaire ne réalisent ce que les entraîneurs demandent « pas de faute pas de faute » pas de prise d’iniative il ne faut pas perdre.
Alors si X ou Y dit au joueur « 5 temps de jeu » et pas de faute et pas de faute, et bien pour que son salaire tombe et aussi la prime il fait ce qu’on lui dit de faire.
Ce n’est pas notre rugby 🏉 qui est mort la preuve les moins de 20
Ce sont des joueurs qui n’ont que le rugby comme seul horizon salarial et qui ne font pas pas de faute pas de faute.
Il y a une différence entre jouer pour le plaisir et jouer son avenir et celui de sa famille à tous les matchs (que nous n’avons pas connu car nous avions une avenir hors du rugby) comme les internationaux de nos âges.
Alors regardons comme la France et nos joueurs vont s’adapter avec cette épée de Damoclès chaque samedi ou dimanche et espérons qu’une assurance pour ces joueurs sera enfin trouvée pour que nos joueurs soient libérées
Le Ge
C'est vrai que ce matin pour être optimiste pour notre jeu mieux vaut être philosophe. Quand je lis les analyses des joueurs et des entraîneurs je me dis qu'heureusement mon âge m'a rendu plus sage. J'ai eu ces derniers jours à parler du titre de Montauban et comment son capitaine m'avait castré. En fait passer l'envie d'entrainer au moyen âge du rugby d'aujourd'hui. Je me réjouis d'être passé au golf. Ce n'est pas mieux au plan national , phénomène culturel quand on refuse de prendre ses responsabilités.Au golf individuellement chacun peut innover et décider de sa manière d'être. Au rugby c'est plus compliqué. Jouer pour soi ou l'autre une étrangeté que les AB savent cultiver. On peut les envier et pleurer. Je reste optimiste et je me dis que même au fond du trou regarder vers le haut permet de remonter. Certes il faut travailler. Staff et joueurs semblent convaincus. Reste à déterminer le contenu. C'est vraiment là que les idées divergent. Le mieux serait déjà de commencer. Mais voilà l'été, il est urgent de se reposer. L'automne arrivé rien n'aura changé. Le Top 14 aura commencé....
RépondreSupprimerMichel, les deux exemplaires demandés sont en route vers La Rousse...
SupprimerBelle analyse, com d'hab, Richard...
RépondreSupprimerOn n'a même plus envie de répéter ce qui est évident tellement on s'est déjà cassé la plume ou la voix à l'écrire ou à le dire à longueur de ce blog. Oui, le top 14 est en train de tuer le rugby français, mais quoi faire ? A part lancer un mouvement de boycott jusq'à ce que les gros pardessus y perdent de l'argent et aillent se faire voir ailleurs, comme je le suggérais il y a quelques jours, je crois que nous n'avons plus qu'à attendre que le système s'effondre de lui-même en lassant les cochons de payants, ce qui risque malheureusement de prendre un certain temps car la bête et vigoureuse !
Pour revenir sur le contenu du match de samedi, moi je me suis régalé ! Une mi-temps à peu près équilibrée pendant lesquelles nos joueurs se sont souvenu de ce qu'ils ont appris quand ils étaient petits. Quand on garde le ballon, c'est quand même plus simple, et ils savent aussi faire un off-load ou un cad'deb. Après, on a vu que tenir tête demandait des efforts physiques et mentaux au delà de la capacité des bleus. Ils ont craqué me semble-t-il d'abord mentalement, il y a eu un moment ou le cerveau n'arrivait plus à donner l'ordre de monter en défense, d'assurer la passe en attaque et en face ils en ont profité avec une férocité qui était encore une marque de respect pour l'adversaire... C'est comme à la corrida, on fatigue d'abord la bête pour en faire ce qu'on veut à la fin. Beau rugby, sans aucun doute, et encore une fois, je me suis régalé. Les combinaisons sur les derniers essais étaient superbes, comme quoi ont peut encore arriver à déboussoler une défense en lui donnant le sentiment que plaquer et replaquer ne sert à rien parce que qu'on conerve le ballon et que ça finira par passer... Les bleus à ce moment là ne m'ont pas mis en colère, ils m'ont fait de la peine...
Un mot sur l'arbitrage... J'ai trouvé l'arbitre de champ plutot bon, mais l'arbitrage video était un vrai scandale ! C'est la première fois que je vois la video pousser l'arbitre de champ à prendre de mauvaises décisions !
Heureusement il nous reste la lecture ! j'ai commencé à lire "100 penseurs" après avoir attendu une semaine qu'on veuille bien livrer mon libraire préféré... J'en ai lu une vingtaine de pages (ça se lit moins vite qu'on ne voit un essai AB à la télé) et, s'il m'est encore un peu tôt pour me faire une opinion sur le contenu (encore que la première impression est très bonne !), j'ai tout de suite apprécié le concept. Préciser la biographie et le contexte avant de parler de la pensée de ces brave gens est une très bonne chose. On ne peut pas comprendre un homme et encore moins sa pensée sans savoir comment il s'est fait et comment il a vécu. J'ai apprécié la sélection (je commence toujours par la table des matières !), qui sort des chemins rebattus de la philosophie académique pour aller chercher des gens un peu inattendus mais qui ont tout simplement pensé leur vie...
Juste une remarque (ça n'est pas une critique, c'est l'histoire qui veut ça !), ça manque un peu de penseuses !!! Au boulot mesdames, il y a des places à prendre !!!
Mon épouse m'a dit la même chose.. Alors je pose la question : quelle penseuse aurais-tu mis, Daniel ? Et ensuite qui aurais-tu enlevé dans la liste des cent ? Pas facile. Mais j'ai envie de savoir.
SupprimerEn tout cas, merci pour l'achat et la lecture d'emblée. Hippocrate, tu en penses quoi ?Saint-serment ?
"au boulot mesdames ! " ben justement quand on aura fini la lessive, le ménage, la cuisine, l'élevage oops pardon l'éducation des minots, on en fera des jolies phrases et des belles pensées pasque pour nous c'est comme pour Baudelaire :
Supprimer"Là, tout n’est qu’ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté."
Ben oui quoi nous avons des lave-vaisselle silencieux et tout le confort moderne !
..... Bon plaisanterie à part, j'avais fait la même remarque aux zauteurs du dictionnaire précédent ; il y avait peu d'écrivaines ...Mais c'est normal, les femmes ont un peu de retard historique à rattraper sur les hommes ( pendant que Montaigne songeait dans sa tour, Mme Montaigne faisait tourner la baraque ) . Simone Veil en plus peut être ? pas une penseuse mais une femme d'action, elle aurait sa place en tant que femme ET politique - important la politique non ? - et aussi Simone Weil, elle une "vraie" philosophe pour le coup . Du coup faut en enlever deux .
Comme ça à chaud, il ne m'en vient pas à l'idée,il y en a eu plein pourtant, mais elles se cachaient souvent dans l'ombre d'un mari ou d'un amant qui prenait toute la place... Mais j'en retrouverai surement !
SupprimerCeci étant, comme tu le dis très bien, le choix qui a été le vôtre se veut subjectif et pas exhaustif, on a juste à le prendre tel qu'il est et à le savourer...
Gariguette, tu as raison, notre société est fondamentalemenr mâle (et même souvent machiste)... Je lis beaucoup en ce moment sur la Révolution Française, et je suis fasciné par le personnage de Mme Jullien, qui a témoigné dans sa correspondance de l'incroyable dynamique de cette période mais aussi de tous ses excès pendant que son mari député de la drôme jouait au révolutionnaire à l'assemblée. Elle nous en apprend plus que lui !
Les hommes se réservent "naturellement" le devant de la scène,heureusement qu'il y en quelques unes qui se révoltent de temps en temps !
Je me disais aussi que tous les noms de penseuses auxquelles je pensais étaient presque exclusivement des féministes ou traitant plus ou moins de la problématique "femme", S de Beauvoir en tête ou bien des politiques ( Louise Michel par ex ) ou les deux ... Il faut remonter aux antiques ( Hypatie qui est d'ailleurs dans leur dictionnaire ) pour trouver une figure plus universelle et qui ne traitait pas de la femme mais de mathématique . Et pourquoi pas Coco Chanel qui a repensé le vestiaire féminin et donc libéré le mouvement et changé la manière de vivre ?
SupprimerC'est vrai que pour que les femmes puissent se faire entendre, l'histoire nous montre qu'il vaut mieux qu'elle parlent d'elles... Ca, les mecs veulent bien le leur laisser (et encore !)! Par contre, quand elles se mêlent de vouloir parler des mêmes sujets que les hommes, ou pratiquer les mêmes activités, ça se complique... Voir leur difficulté à percer dans les disciplines scientifiques et en politique. Encore qu'en politique, elles s'en sortent finalement plutot pas trop mal depuis quelques années. Voir aussi, c'est encore plus paradoxal, la difficulté pour les femmes de percer dans l'art... Combien de compositrices classiques reconnues ? pour une Louise Bourgoin, combien de Camille Claudel, etc... etc...
SupprimerC'est un peu comme notre Top 14 ! on sait que c'est pas bien, mais on ne sait pas comment en sortir !
Heureusement que nous avons Gariguette sur ce log !!!
Juste pour info (je suis en train d'écrire un papier à ce sujet pour L'Equipe.fr), quels sont pour vous les cinq Tricolores qui ont marqué des points en kiwiland ?
RépondreSupprimerChat, Priso, Le Roux, peut-être Fofana et Belleau...
SupprimerMaestri plus vaillant que d'ordinaire, Priso, Bourgarit trop peu utilisé hélas, Fall malgré le rouge, Belleau par défaut
SupprimerCette chronique est topissime avec un affection toute particulière pour la conclusion et cette magnifique phrase de Baudelaire ... Rien à ajouter à cette synthèse de ce qui nous arrive
RépondreSupprimerLes 5
Chat mais faudrait quand même qu’on lui dise qu’il peut faire des passes , pas peter toujours tout droit et se maîtriser un peu plus ( il prend un peu le’ boulard et fait son keke
Le Roux comme tout le monde , il en faut un comme ça
Priso , dynamique dans le jeu ...
Fofana retour réussi
Belleau , encore loin de ce qui se fait de mieux au niveau international mais sur le bon chemin je trouve
Je ne met pas Parra mais si je lis partout des louanges sur son leadership , bottom line on a pris 127 points avec lui et à mes yeux il ne représente pas l’avenir
, en coach sûrement un jour
merci. Je garde Chat, Priso et Belleau.
Supprimerfaut vite mettre Bamba - le pilier droit des Bleuets, celui qui plaque d'entrée de jeu pour déblayer le terrain et s'éclaircir les idées - il sera fin prêt pour la CDM mais faut commencer maintenant .
SupprimerSuis bien d’accord c’est de la bombe celui la !
SupprimerIl est très fort y inclus dans le jeu !
On ne peut nier les qualités techniques , la façon de jouer tout ce qui fait que les AB gagnent ; mais question simple: est ce qu'ils ne boivent que de l'eau pour courir ainsi 80 mns ?
RépondreSupprimerOn s'est rendu compte que les boks avaient pris des substances maléfiques ( plusieurs handicapés et dcd aujourd'hui ) pour être champions ; on s'est rendu compte qu'Amstrong a trompé son mode des années durant , idem l'anglais Froome qui roule plus vite qu'un solex ... va t'on un jour savoir ce que boivent les AB ? Amstrong était un superbe coureur , surement meilleur que les autres techniquement mais c'était aussi un extra terrestre comme le sont les AB ... je ne veux pas faire de la théorie du complot , mais quand même ...
Ben faut le démontrer ... si c’etait le cas ( qu’ils le fassent plus que les autres dont nous ) ce serait dramatique pour ce sport
SupprimerPar contre si ce qu’ils mettent dans l’eau permet d’avoir leur technique individuelle et collective , je suggère alors que l’on se renseigne sur la potion
Mon avis c’est que tout le monde est chargé à ce niveau , licite pas licite j’en sais rien mais vu les transformations physique ...
Marc,
SupprimerLes produits magiques n'améliorent pas la technique individuelle et collective. Les AB sont nettement supérieurs à notre XV de France. Suffit de voir comment Fickou joue sur sa percée en 1ère mi-temps : très mal ; en effet il revient intérieur alors qu'il doit chercher extérieur et voir où se situe le soutien puis constatant qu'il est loin et qu'il n'y a pas de couverture NZ, il tape à suivre. Ben ça on sait pas faire et y'a pas besoin de produits spéciaux...juste de l'intelligence situationnelle comme dirait Villepreux...
élémentaire !
SupprimerJe suis tout nouveau, j'ai lu, je trouve ça formidable.. Bonjour, Richard.. Oh là là, que ça fait du bien.. Merci..
RépondreSupprimerBonjour. L'habitude ici (on ne dit pas la règle) c'est de se présenter. Genre, j'entre dans le club-house. Alors Bottom, qui êtes-vous ?
SupprimerMerci pour le "je trouve ça formidable", ça fait toujours plaisir.
SupprimerC'est que je ne manipule pas les outils informatique aussi bien que je le voudrais.. Ca rebondirait presque comme un ballon ovale ces machines.. Jean Philippe, ici.. Je tente de coacher Bottom et de faire entrer Jean Phi, mais...en face, c'est costaud.!
SupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
SupprimerBottom, ça va bien si on sait que tu te prénomme Jean-Philippe.
SupprimerDe quel coin de France ? ou d'ailleurs...
SupprimerJean-Philippe, hé ho ! Tu as disparu des azerty ?
SupprimerEn revenant, donc,hier, d'un petit tour de vélo, et ayant, sur ce dit vélo et dans l'air frais du soir, clairement vu ce que je voulais dire afin d'être absolument net et définitif,les forces m'ont manquées au moment de transcrire mes pensées redevenues malheureusement floues. On n'échappe pas au travail, jamais, même pour mettre quelques mots sur une feuille sur des sujets plutôt légers comme celui qui nous occupe ici par exemple. Et je ne suis plus depuis longtemps impliqué personnellement -au sens Millerien du terme- dans ce sport (ni dans aucun autre, d'ailleurs): ni joueur, ni entraîneur, ni arbitre, ni soigneur, ni dirigeant, ni journaliste ni quoi que ce soit d'autre,... que sais-je encore? Au fond, juste le plaisir de réfléchir et d'essayer de communiquer mes réflexions à d'autres -vous précisément- d'une manière relativement détachée et objective si possible.
RépondreSupprimerCe que je sais c'est que je m'appuyais sur une analyse du passé afin de mieux comprendre l'état des lieux, de ce présent qui me désole. Quant à savoir quoi faire, aujourd'hui, afin de se projeter dans un avenir brillant, çà, ce n'est pas ou plus de mon ressort. Peut- être tout raser et recommencer ailleurs, mais là, c'est vraiment l'Utopie dont parle Alain Rossignol par l'intermédiaire de Richard...Je suis moi-même, un peu rêveur tendance anarchiste, mais aujourd'hui, les rênes du pouvoir sont bien tenues par les puissants et les intérêts de ces derniers. Alors, pour un sport comme le rugby qui s'est bien ancré dans l'économie générale, ils ne lâcheront certainement pas le morceau devant quelques doux poètes; sauf écroulement peu probable a priori de leur machinerie. Bref.
Mes pensées provenaient d'un pari perdu. J'avais dit à un ami: 54 à 20. Pourquoi? Parce que 8*7 = 56, et une transformation ratée= - 2! De plus les A.B. ne tentent plus ni but, ni drop, alors! Et 20, parce que 2 essais transformés plus deux buts (ou drop). Le pari portait sur le score des A.B., et j'étais sûr de plus de 50 points...Perdu, donc.
Comment pourrait-il en être autrement puisque rien n'a changé chez nous depuis 2015, sinon 2011? Il faut quand même remarquer que 12 avants et 13 arrières sélectionnables -et, pour la plupart, sélectionnés- par Saint-André lors de cette coupe du monde, sont encore sur les fiches de Jacques Brunel qui n'est, lui même, pas particulièrement neuf puisqu'il était l'adjoint de Bernard Laporte en 2007! Et ces joueurs étaient dans leur meilleure âge et forme en 2015. Comment voulez-vous qu'un Maestri -par exemple, et je n'ai rien contre lui, bien évidemment- dépassé en 2015 lors du 63-12, devienne subitement un seconde ligne dominateur à 30 ans dans un système quasiment inchangé? Bref, encore.
Ce billet restera dans ma mémoire. En quelques lignes, Richard illustre avec le talent que nous lui reconnaissons la difficulté d'être soit dirigeant, soit joueur, soit éditorialiste. Un seul et bien léger oubli : la difficulté d'être lecteur.
RépondreSupprimerUn p'tit exemple : cette tournée 'qui ne sert à rien'. On peut opiner, on peut s'insurger. Ainsi, on peut répliquer qu'elle est bourrée d'enseignements, mais que tout indique qu'une fois de plus on n'aura pas le courage d'en tenir compte. En Ovalie, pays exemplairement ubuesque, on peut simultanément faire le gros dos et le gros ventre. Tenez, prenez ce blog : y a plein d'idées, mais on préfère toujours parler d'autre chose, changer de sujet, plutôt que d'avoir l'humilité de suivre la piste ouverte par un autre. Les vertueux diront qu'on est trop intelligent, les autres diront trop con.
Tenez, un p'tit exemple : l'escamotage des Barbarians. Dans un monde tendant vers la perfection, quasi rossignolesquement utopique, des milliers d'amoureux du rugby auraient bondi à l'annonce de cette forfaiture pour foutre le feu au siège de la FFR, brandir quelques têtes au bout d'autant de piques en gueulant qu'on ne touche pas à la liberté, liberté chérie, i-e, ah non mais ça ira merde quoi ! Ici,rien. C'est tout juste si on ne se pâme pas devant Laporte-Lupin et Simon-Cartouche pour un si beau hold-up.
Avec Richard, notons au passage que cet ultime refuge de la joie de jouer est devenu séance tenante un triste sparring-partner (vérifier l'orthographe) pour babies Crusaders. Avec Urios et Garbajosa pour muses. La médiocratisation portée à son paroxysme.
Tenez, un p'tit exemple (l'en faut toujours trois si on veut pas passer entre les colonnes). Non, j'arrête. Vous voulez qu'j'vous dise ? Non ? Hein ? Oui, bon. Le rugby français, c'est comme l'Europe : une idée merveilleuse tombée des mains des poètes dans les menottes des élèves d'écoles de commerce. La sauvegarde de la planète confiée à Bayer (ceux qui nous font regretter Monsanto). Aux armes !
Mes pensées voguaient entre jeu de dames et jeu d'échec d'une part, entre raison et passion d'autre part.
RépondreSupprimerJeu de Dames ou d’Échecs pour souligner le niveau de complexité immédiat de ces deux jeux. Un peu comme pour Belote et Bridge ou Tarot, mais ce ne sont que des images...
Je considère les sports dits "simples" comme le Foot, le Hand etc. comme des jeux de Dames; c'est-à-dire qu'à part l'obtention de ces dites dames, tous les pions ont des déplacements et des possibilités identiques et sont donc interchangeables, alors que dans le jeu d’Échecs les pièces sont absolument différentes et qu'il faut faire avec ces particularités bien hiérarchisées sur un terrain donné avec des règles, elles aussi, déterminées. Dans la catégorie du jeu d’Échecs, le Rugby, bien évidemment, trouve -trouvait?- sa place. Peut-être aussi les sports Gaéliques, Hurling..., le foot Australien (?), le Cricket, très certainement etc.
Longtemps le Rugby est resté confidentiel, uniquement pratiqué et entouré d'amateurs et d'un entourage passionné et connaisseur, issu du sérail. L'argent était présent, bien entendu, mais les motivations n'étaient pas vénales. Un homme comme Serge Kampf agissait par et pour sa passion sans idée, me semble-t-il, de retour sur investissement. De retour affectif, certainement, par contre. Le problème est essentiel car il change toute la philosophie et la pratique du jeu.
Cette tendance a simplifier les règles artificiellement -disons depuis 1995, comme le souligne Richard- afin d'attirer le chaland a pour effet d'orienter le rugby vers les sports dits "simples", vers le jeu de Dames. Déjà le jeu à XIII a effectué cette démarche pour des raisons disons sociaux-historiques- et, de fait, ce jeu me plaisait moins, au point, d'ailleurs, de ne l'apprécier que lorsque les Français arrivaient à y jouer comme un rugby à 15 moins 2! Aujourd'hui, 13 joueurs identiques qui pratiquent une sorte de jeu entre balle à toucher et handball sur fond de physique exceptionnel et adresse que les basketteurs américains pourraient leur envier. Oui, ils sont très forts, comme ces joueurs de N.B.A.! Mais ce genre de spectacle ne me passionne pas vraiment. Bon; des goûts et des couleurs, n'est-ce-pas? Et puis ce serait encore trop long à expliquer.
Donc, insensiblement,le jeu se simplifie et se recodifie sous la pression de gros investisseurs qui se sont aperçus que ce sport était "porteur" et pouvait, par là même être vendu. Il est tombé dans leur giron et tout ce que nous pouvons dire ici sur les aspects techniques, humains, formateurs, conviviaux etc. n'est plus que "pipi de chat, pissant, de plus, dans un violon". Et, "quand on veut tuer son chien, on dit qu'il a la rage", d'où tous ces discours lénifiant et conformes sur ce jeu, ce sport tel qu'il est devenu, à l'image de tous ces sports occidentalisés et structurés de la même façon. Je suppose que les études de marché réalisés sur le "Cricket", si elles ont été faites, n'ont pas dues donner des résultats aussi favorables que celles du rugby!
Et j'ai perdu le dernier 1/4...Tant pis.
RépondreSupprimerJ'en ai marre, j'arrête.
Bonjour Richard,
RépondreSupprimerJe suis d'accord pour dire que cette tournée n'a servi à rien, à part réduire en miettes le moral des joueurs. Qu'espérions-nous apprendre? Que les néo-zélandais sont plus forts que nous? Nous le savions déjà. Que nos joueurs sont exténués après une (trop) longue saison (même Guirado a été mis au repos, c'est dire...)? Idem. Qu'il y a des carences énormes dans notre formation? Idem. Qu'il y a urgence à réformer le calendrier (passer de 14 à 12 puis de 12 à 10 clubs et supprimer les barrages permettrait de passer de 29 à 20 matchs, et donc réglerai pas mal de Pb...)? Idem. Bref, j'ai écouté PSA sur RMC juste après le premier test (ou plutôt "crash-test" d'après un sketch des guignols en 2006, parce que oui il vaut mieux en sourire que de s'arracher les cheveux) nous expliquer que si nous n'allons plus chez eux en Juin, les néo-zélandais ne viendront plus en novembre. Etant donné qu'ils nous ridiculisent dans les 2 cas, je ne vois pas en quoi cela serait problématique... Va-t-on enfin comprendre que cela ne sert à rien d'affronter ces nations en ce moment? Que faisons nous à part défendre? Les Italiens ont ils progressé de manière significative grâce aux (trop) nombreuses roustes qu'ils se prennent chaque année depuis leur entrée dans le tournoi en 2000? Je mets au défi quiconque de me le prouver...
Je ne sais pas vous mais moi j'en ai assez de tourner en rond comme le fait le rugby français depuis trop longtemps maintenant. Il y a 2 motifs d'espoirs, qui malheureusement ne pèsent pas lourd. Le premier c'est Laporte président de la FFR, qui tente des trucs mais n'est pas magicien. Le deuxième vient des U20 champions du monde, qui vont être confrontés aux mêmes problèmes que leurs ainés (calendrier surchargé, rugby trop défensif en top 14...). Dès l'instant que l'on constate cela, que pouvons nous faire à notre "échelle" pour tenter de faire bouger les choses? Après mûre réflexion, je pense que ne pas rester poli peut aider. Je m'explique: étant un auditeur régulier de l'After Foot sur RMC, j'ai écouté une émission juste après un OM-EAG (qui s'est conclu par un 0-0 complètement moisi) où les journalistes (Riolo, Brisbois et Gautreau) ont décidé de parler d'abord du foot étranger tellement le match (et plein d'autres auparavant) a été catastrophique. Est-ce de la provocation? OUI!!! Depuis le foot français s'est (un peu) amélioré au niveau de ces clubs (qui sont un peu moins ridicules en coupe d'Europe). Dès lors pourquoi ne pas faire la même chose dans le rugby? Lorsque les médias et les fans parleront d'abord du rugby étranger dans les grandes largeurs avant de balayer d'un revers de main ce qui se passe en France tellement c'est nul, peut-être oserons-nous (enfin) mettre en place les réformes qui fâchent (réduction du nombre d'équipes, protectionnisme au niveau des joueurs...)?
Cordialement,
Thibault OLIVIER
PS: ne croyez pas que mon propos soit extrême, parce l'attitude du public dans son ensemble prend le chemin de ce que j'ai décrit. En effet, le XV de France a effectué un tour d'honneur devant des tribunes déjà vides après la défaite face à l'Afrique du Sud en novembre dernier. Et lors du France-Japon, on a entendu des "on se fait..., on se fait..." et des "remboursez nos invitations" au bout d'une heure de jeu, c'est dire. Le rugby Français va-t-il réagir à temps pour ne pas que ce que j'ai décrit plus haut rentre dans les mœurs? Et pour ne pas simplement organiser la CDM 2023? Aucune idée. Et vous?
Merci d'avance de votre réponse.
Bonjour Thibault, et bienvenu sur Côté Ouvert. Pour relancer le débat depuis l'en-but.
SupprimerDéjà, il faut bloquer le 12, 13 et 14 avril à Treignac pour le spécial Quinconces "il faut sauver le rugby français". Ou alors "l'art d'accommoder les restes". Ca dépendra de la météo.
SupprimerPlus sérieusement, les pistes sont nombreuses mais quelques unes se détachent :
Supprimer- Faire jouer nos jeunes (entre 20 et 24 ans) dans l'élite. Comment ? Compliqué. Ca dépend autant de la LNR que du bon vouloir des présidents de clubs.
- Donner du temps et pas seulement des vacances aux internationaux pour se préparer (physiquement, techniquement, mentalement, tactiquement) à jouer en équipe de France avant les grands rendez-vous de novembre, de février-mars et de juin.
- Changer de putain de calendrier en éradiquant (pour commencer) les doublons.
Voilà.
Pas mal l'idée de Thibault, ah oui je vois bien ça ... une émission à bâtons rompus ... les journalistes et consultants qui se lâchent .... toute l'ovalie qui dit enfin ce qu'elle pense ....
RépondreSupprimer• Le rugby c'est une grande famille, quand un gars veut une augmentation, il vient me voir, je l'écoute et hop ! je le vire ! ( Hans-Peter Wild )
• L' arbitrage c'est comme la Sainte Vierge, si elle n'apparaît pas de temps en temps, le doute s'installe ... ( Eric Bayle commentant France -NZ hier)
• Richard Escot désespéré : Le Top14 et l'EDF nous feront mourir de chagrin !
François Trillo sardonique : Tant mieux comme ça on ne retrouvera pas l'arme du crime .
• Le portrait du rugbyman-type : une intelligence bien en dessous de la moyenne mais avec des éclairs d'imbécillité ( Astrid Bard après la nuit d'Edimbourg )
• Y'a 20 piges le Springbok tout le monde l'aurait donné à cent contre un : flingué à la surprise .Mais c't'homme-là ce qui l'a sauvé c'est sa psychologie .( Walter Spanghero le psychiatre bien connu à propos de Bakkies Botha )
• Dialogue entre Thomas Lombard et Sylvain Marconnet sur les mutations du rugby " - La valse triste, le troisième ligne qui joue faux, le buteur qui a un oeil sur les poteaux et l'autre sur sa fiche de paie : avoue que quelque chose a changé !
- Je connais ton honnêteté mais je connais aussi mes classiques . Depuis Adam se laissant enlever une côte et Napoléon attendant Grouchy, toutes les grandes affaires qui ont foiré étaient basées sur la confiance .
• Sur la victoire de Castres en Championnat de France, Chabal a son avis : " Maintenant les diplomates prendraient le pas sur les hommes d'action . L'époque serait aux tables rondes et à la détente."
Merci à Michel Audiard pour ses suggestions ...😉🍓
Pour continuer sur Audiard :
SupprimerUn supporter NZ à un supporter Français : c'est curieux chez les Français cette manie de faire des longues phases de jeu pour marquer...
EXCEPtionnel!
SupprimerThibault
RépondreSupprimerTu abordes beaucoup de sujets, directement ou indirectement, dont un certain nombre forment la rengaine forumesque depuis des années. Difficile de 'répondre'. Toutefois, dès la première ligne, on peut Paul et Mickey : je me fous vertigineusement du moral de p'tits gars fort sympathiques au demeurant qui, gonflés à bloc ou au bord de la dépression, prennent 5O points face aux AB (un peu moins contre la réserve des Highlanders). Ces tournées sont programmées très en avance et s'emboîtent à la fois dans un calendrier et dans un écheveau d'obligations internationales tenant très peu compte des états d'âme des joueurs et des blogueurs.
La formation ? J'aime déconner mais pas faire de la peine gratuitement. Donc j'ai du mal à en parler. Disons qu'il est, au lendemain d'un séjour en NZ, difficile de l'extraire d'un ensemble. Les Néo-Zélandais parlent-ils de formation ? Non. D'éducation, de style, d'art de vivre, de mise en valeur de qualités naturelles, OK ; mais ils n'ont pas la prétention imbécile de fonctionnaires, dignes de bosser dans des camps de rééducation idéologique, de 'former' des joueurs. Sinon, il faudrait faire pan-pan cul-cul aux journalistes qui ont omis d'interviewer les formateurs de Barrett, Ben Smith, et autres moindres seigneurs. J'attends la recette.
Le rugby est un sport dramatiquement complexe. Dans l'absolu, un champion doit savoir tout faire, à commencer par éviter le fauteuil roulant avant 35 ans. Là, un formateur est nécessaire : apprendre et mémoriser les mille astuces de survie qui donneront, peut-être, à ses qualités naturelles l'occasion de s'exprimer.
En fait, Thibault, un formateur peut être important s'il oblige le président et l'entraîneur de Lamerat à lui foutre la paix.
Scories
RépondreSupprimerde dirigeants, de joueurs, d'éditorialistes et de lecteurs peut être ! Mais pourquoi s'accrocher autant à ce "puting" de jeu alors que le ballon n'est pas rond ? Avouez que c'est un paradoxe plus subtil qu'il n'y parait ? Plus de Cinquante ans que je bulle dans cet univers de l'ovale ou la complexité des humains défie toute loi mathématique même celle de Pierre de Fermat ! Aujourd'hui, plumitifs que nous sommes, ne savons plus quoi mettre en "Quinconces" pour un quelconque argumentaire tellement notre rugby est devenu d'une pauvreté planétaire. Faire du vélo et vouloir penser encore rugby est une gageure plus que respectable, elle engendre un jeu d'échecs. Bien vue cette pensée d'un échiquier façon Chancel pour valoriser l'ovale ! Hélas, notre sport a une grosse lacune c'est la pauvreté du vocabulaire autrement dit un manque total de culture et d'esprit. Pour s'en convaincre écoutez BL et JB et vous aurez compris que Saint Cyr n'a rien à voir avec Lapopie et que la côte, bien que courte, est dure à grimper pour les gens de la selle ! Digression faite, si vous demandez à un jeune kiwi ce qu'il voudra faire quand il sera grand, il vous répondra "All Black" of course ! Tout est dit dans ce raccourci qui sonne comme un axiome. Point besoin de postulat pour développer un théorème aussi boiteux que vrai pour démontrer que Doumayrou et consors ne sont bons qu'à jouer à la belote. Nous en sommes convaincus et s'il y a un tournoi, inscrivez les, ils seront champions. Yves Meyer, 77 ans, Nobel 2017 de mathématiques, pour "son rôle majeur dans le développement de la théorie mathématique des ondelettes" (l’analyse harmonique appliquée et numérique, la compression de données, la réduction de bruit, l’imagerie médicale, l’archivage, le cinéma numérique, la déconvolution des images du télescope spatial Hubble et la récente détection par l’observatoire LIGO des ondes gravitationnelles créées par la collision de deux trous noirs). Ses pairs disent de lui " il était qualifié d’incontrôlable. Mais c’est une qualité. Il est enthousiaste, généreux et a fait le liant entre des personnes différentes" ! Nous avons donc un peu plus de 10 ans à patienter avant que JB ne soit Nobel de rugby ! Autant dire que nous n'avons pas fini avec les scories. L'avenir de l'ovale doit-il passer par un "Mr Meyer", incontrôlable généreux et inventif ? Faudra t-il avoir recours au télescope spatial Hubble pour avoir une image réelle ou une scorie de notre avenir ? Einstein disait ceci "Le monde est dangereux à vivre ! Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire".
Tautor
RépondreSupprimerEn complément - et non en opposition, foutre - notre rugby est peut-être devenu 'd'une pauvreté planétaire', mais n'est-ce pas tout bêtement un petit reflet de notre vie tout entière, ainsi que nous l'avons déjà écrit cent fois ? Un philosophe ('métier' finalement commode donc souvent invoqué) n'aurait aucun mal à démontrer que les difficultés des Bleus sont tout à leur honneur puisqu'elles traduisent les maux et travers contemporains. De là à dire que les All Blacks gagnent parce que ce sont des gros cons...
Pauvreté du vocabulaire ! Excusez, votre honneur, mais je connais quarante-sept façons de dire 'oh enfoiré', expression absolue de la première à la quatre-vingtième minute, quels que soient l'évolution du score et l'âge du capitaine.
Bonne semaine.
Charles,
SupprimerVoila une bonne idée Monseigneur "le dictionnaire des expressions rugbystiques et des clochers" .. Delaplace pour les penseurs ! À toi d'ouvrir "oh enfoiré !"
Un point c'est tout, faut arreter avec ces tournées de juin qui ne serviraient à rien! nous faisons encore partie du rugby mondial et de son organisation avec un calendrier sur 5 ans je crois. Alors on participe et joue avec tous nos amis des autres nations, ou alors on se retire dans son coin, tout seul, pour quoi y FAIRE?
RépondreSupprimerPour Saint-Cirq-Lapopie, les cailloux y sont toujours aussi beaux et Breton continue d'y hanter les lieux...Mais, pour revenir sur les plaisirs, complexes ou non, je réécoute ce matin, Léo Ferré et, tout-à-coup:
RépondreSupprimer..."Quand à la jupe à raz l'bonbon,
La the nana,
C'est pas compliqué, mais c'est bon."...
https://www.facebook.com/1538153160/posts/10216772071924313/
RépondreSupprimerLisez du Verdier comme s'il avait lu "Côté Ouvert" ....
c'est pas d' aujourd’hui, Tautor que Verdier est raccord avec nous, et j'avoue que comme notre Ricardo à nous j'ai souvent l'impression qu'il remet en ordre ce que notre sympathique cacophonie veut exprimer
SupprimerAllez Chevreuse
Et pas que ... suffit de lire les commentaires à la suite des ( excellents ) articles de L’Equipe ou autre Rugbyrama et Rugbynistere , sont plus synthétiques mais sur la même ligne
SupprimerOn va faire comme les journalistes de RMC ( a consommer avec modération de mon point de vue ) commenter le Rugby étranger car sur l’hexagonal on est en radotage complet quand bien même très drôles pour certains . Le sujet est épuisé et nous épuisé ...
Seule satisfaction de cette tournée pour les avocats de Noves sur le bilan de JB qui semble ne pas à avoir à souffrir d’objectif idiot et Simon dans les pattes , faudra expliquer en Février pourquoi deux poids deux mesures ... ah oui je sais la moustache bien sur ...
Le lien ne fonctionne pas.
RépondreSupprimerBonne nouvelle : ON A GAGNE !
RépondreSupprimerIl suffit pour cela de prendre le meilleur des trois tests que le XV de France a disputé.
SupprimerCoup d'envoi jusqu'à la 7e minute : 5-0 (essai de Grosso, 1er test)
8e-15e : 12-0 (essai de Serin, 3e test)
16e-21e : 15-0 (but de Parra, 1er test)
22e-35e : 18-0 (but de Parra, 2e test)
36e-40e : 21-0 (but de Parra, 1er test)
41e-80e : 28-5 (essai de Barrett non transformé et essai de Gomes Sa transformé, 2e test)
Facile, non ?
Entre Gaël Fickou qui confie le lundi 11 juin, à Renaud Bourel, après le 1ère défaite contre les Blacks:
RépondreSupprimer- "On est allé manger ensemble ce dimanche...",
et Camille Chat, qui, de son côté, nous dit, avant le 3ième test:
- "J'aime mettre sur le cul l'adversaire",
j'avoue être assez pantois et ne pas trop savoir quoi penser.
Peut-être que, d'ordinaire, ils ne mangent pas ensemble? On dirait quelque chose de l'ordre de la pensée magique...! Ou un vieux réflexe sorti du cerveau reptilien...? Une sorte de comportement issu des vieux souvenirs de tournées préhistoriques et des soirées arrosées du temps de Lucien Mias et consorts.
Quant à Chat, je pense quand même que sa phrase, en tête d'article, est due au choix journalistique du chroniqueur, pour bien montrer que rien ne lui fait peur et qu'il est prêt à tordre du Black sans état d'âme. Sans âme, je n'irais pas jusque là, mais, quand même, quelle tristesse de lire de tels propos avancés en guise d'analyses techniques!
Entre bouche et cul, ingestion et digestion, que nous reste-t-il?
André, cet envoi me comble de joie. Et à maints zégards. L'élévation de la pensée et la richesse d'expression sont autant de bonbons pour un Féru de nanas.
SupprimerOui bon leur plat ( itude ) qu’ils servent à longueur d’interview on va pas en faire un fromage , pas assez de préparation pour paraître intelligents devant les questions pertinentes des médias ... Pour avoir approché des joueurs de différentes générations , les pensées n’etaient guerre plus élevées , disons que le professionnalisme n’avait lisse autant les personnalités et que certains avaient le mérite d’etre marioles et drôles
SupprimerAprès si ils gagnaient on s’en foutrait un peu de ça et tous ne veulent pas devenir coach ou manager
....merci François pour "les différentes générations"!!! dont " les pensées n'étaient guère plus élevées " (merci pour eux)
SupprimerUne chronique au laser, Ritchie pour la der de la saison.
RépondreSupprimerUne immense majorité d'amateurs, quelques blogueurs ici aussi me semblent ne concevoir le Rugby que dans une vision franco/française.
C'est leur droit et le sujet est riche, on y à tous contribué, mais je te remercie d'évoquer ici,outre les Kiwis tous ces pays ou on joue bien au ballon, rajoutons le Japon, bientôt la Géorgie peut être.
Une digression pour s' indigner de cette fédération internationale qui cultive l'entre-soi, ignore ou néglige les pays émergents , les nations du Pacifique aussi, ces fous de Rugby.
Quant à l'utilité des tournées, Charles et Georges ont parfaitement répondu, rajoutons juste que l'isolement serait aussi honteux que catastrophique.
Comme François j'ai bien peur, je reste même persuadé que le dopage est généralisé à ce niveau, ce qui finalement ne change rien au rapport de force.
Par contre si certains l'utilisent pour avoir de gros muscles, d'autres s' en servent pour cavaler plus vite et plus longtemps , s' entraîner à haute intensité et s' habituer à prendre les bonnes décisions, les bonnes courses aussi même et surtout quand ça va très vite.
En ce sens, Frédéric, malheureusement le dopage sert à bien jouer, question d'utilisation.
Allez, Babillot avec Chat et Priso non ?
"Les faibles d'esprit qui avaient perçu un renouveau lors du Tournoi en sont pour leurs frais". Conclusion abrupte de mon ami Alain Balaszynski, dit "Bala", dit, également et pour d'autres raisons, "le Révérend", dont je viens de recevoir un courrier .
RépondreSupprimerIl me relance, en vérité, sur la suite de mes réflexions, effacées bizarrement, comme souvent sur cet outil de travail. Ces petites désillusions égocentriques permettent de relativiser les choses de la vie et de, soit se remettre à l'ouvrage, soit se forger un mental et une certaine sérénité.
Sans me relancer dans des complications inutiles, disons que je pourrais remplacer "faibles d'esprit" par pris par la "passion". Passion, bien évidemment irraisonnée et pleine d'enthousiasme qui, comme chacun le sait est la faculté d'oublier. Cette faculté que j'ai rarement eu -celle d'oublier- ne m'a pas quand même empêché de ressentir très souvent de la passion. Malheureusement cette passion s'est usée -du moins dans le domaine du rugby tel qu'il est globalement actuellement- et, surtout, ce que je vois, lis et entends ne favorise pas son réveil.
L'amour est aveugle, comme dit le bon sens populaire:
- "..amoureux épris du culte d'eux-mêmes.."..comme le chante Monique Morelli dans ce "Doux Caboulot" de Francis Carco... mais aussi comme beaucoup de ces supporters, certainement connaisseurs, mais ne voulant pas voir la réalité en face. La réalité telle qu'elle est aujourd'hui, bien évidemment, car elle évolue sans cesse, et rien ne dit que ....etc. J'avoue bien le regretter. Regretter cette "folie" de la jeunesse qui me faisait aimer ce jeu. Mais je crois quand même que tout a été bien fait pour me dégoutter de ce que je vois la plupart du temps.
Toutefois, sans remonter aux calendes grecques, la 1/2 finale des jeunes contre les Blacks, dans son ensemble complet -match, jeu, joueurs, stade, public, atmosphère..- m'a réellement comblée et fait penser qu'il était peut-être encore possible de jouer d'une façon me semblant raisonnable.
J'en finis là pour ce soir.
Soyons optimistes , Lafond nous promet d’etre en 1/2 finale en 2019 , je préfère encore les platitudes de Fickou et Chat ( pas Rene , Felix )
RépondreSupprimerLafond no limit !
Je n'entends pas contredire ton ami polak, mon cher André, bien que son verdict assez abrupt vienne percuter tel un trois-quart centre bien d'chez nous ma conviction selon laquelle le premier degré est le grand ennemi du rugby. D'autant plus que la sentence conforte ma certitude intime d'avoir l'esprit faible et le jugement défaillant. C'est pourquoi, lors du dernier Tournoi, j'avais cru entrevoir sinon un utopique renouveau, du moins les prémisses d'une joie de jouer jusque là aussi indiscernable que la présence de zygomatiques sur le visage de Novès (ça marche aussi avec son successeur). Même pas foutu de constater que trois branlées aux antipodes gomment le moindre entrain sur le vieux continent !
RépondreSupprimerMais, André, autant je suis disposé à tout entendre sur ce qui me sert d'esprit, autant je réfute tout déclin de la passion. Car nous savons tous depuis Racine que si l'amour est aveugle, la passion ne l'est pas, foutre, bougre, phèdre !
Et François qui vient sournoisement nous balancer les élucubrations de ce cher Lafond ! Probablement d'origine polonaise, le franc buveu... A prendre au second degré et avec modération. D'ailleurs, François, pas d'acc avec tézigue : Lafond est beaucoup plus zigomard que Chat et Fickou, les indissociables de la litière imperméable. Je le verrai bien débattre avec Balaszynski. Le plus fort survit et revient en deuxième semaine.
Les aventures de Chat et Fickou ( que l’on aimerait plus filou ) on tient quelque chose la ... À proposer à Mourad ...
RépondreSupprimerPlus Zigomard c’est sûr ... Lafond qui le touche souvent d’ailleurs le fond ... j’ai de l’indulgence avec le duo Chat et Fickou compte tenu de leur jeune âge ... je sais ma gentillesse me jouera des tours
Chronique plein de justesse et d'à propos.
RépondreSupprimerLa NZ véritable Amoco Cadiz affectant 1 fois de plus les rivages de notre ovalie, machurant l'EDF engluée dans ses incertitudes.
Doit être délarée catastophe naturelle pour laquelle la FFR devra trouver les bons enzymes qui laveront plus blanc toute cette boue noire. Pourtant, nos gueules noires, disent être allés à la mine. Quelle n'est pas là nôtre en definitive devant autant d'impuissance à extraire des certitudes qui les éclaireraient en terme de jeu. Ce n'est qu'un jeu mais pour lequel la NZ à misé cash pour afficher 1 image nationale à l'international. Élever l'ovale au rang de joyau.
La réflexion du boss de la fédé NZ à propos de nos U20 devrait interloquer notre fédé sur leur avenir entre top 14 et EDF. Se pencher enfin sur le chevet de notre rugby et plus d'histoire de table de nuit ou autre.
Quant aux 5 ayant marqué des points, peut être... Pas sur qu'ils seront là plus tard avec le retour des absents pour X raisons. Priso, sûr, Fofana normalement, Babillot à priori. Chat, faudra qu'il gomme ses imperfections techniques. Et Belleau sera derrière, au sprint avec Jalibert, Lopez, N'Tamack ou Carbonnel si ces 2 derniers ont des temps de jeu.
Ce qu'il y a de sur c'est qu'il n'y avait aucune véritable épine dorsale. Pas véritablement de 2 (surtout sur les touches), un 9 sans plus qui affole personne, un 10 transparent, encore moins de 8 et de 15. Fallait pas rêver. On pouvait même pas presque y être. Peut être quelques scories d'enseignements qui ne suffiront pas à relancer la machine. Va falloir aller gratter profond pour extraire à nouveaubune quintessence et score. Et il est grand temps, à nouveau.
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
SupprimerEt scorer. Et il est grand temps de retrouver le souffle à nouveau.
SupprimerEt voila ce qui est important :
RépondreSupprimerSaint- Girons - Chalon-sur-Saône : 45 - 3 Champion de France Honneur ; fier d'être de St Girons par papa ...maison 31 avenue de Foix
bonne soirée
Un peu de mauvais esprit :
RépondreSupprimerSi Savea, 27 ans, vient compléter la maison de retraite toulonnaise, que penser de Kaino, 35 ans, au Stade toulousain ?
Castres, champion valeureusement franchouillard, puisant dans des vertus mettant du baume à nos petits cœurs blessés....mais pas au sacro-saint capital JIFF puisque notre si beau champion finit...10ème de la saison à ce classement...
Mon petit doigt malfaisant me dit que c’est encore pire que ce que l’on croit.
Gaffe Pom! Si tu fais le taquin comme Mourad, en plus des foudres l’EPCR, tu vas attirer sur toi celle de Tautor et de quelques autres socios de ce blog.
SupprimerLa pensée est libre mais faut quand même pas pousser la provoc trop loin...
Manquerait plus que tu oublies de dénoncer quelque vilénie de Bernie, St Simon ou autre !
Ca joue tous les ballons...
Supprimer... et la foudre n’est pas tombée : Pom, on peut ranger le paratonnerre pour 15 jours , ils sont occupés à régler le compte du poofball ...
SupprimerEt la rue Gabriel Fauré derriere l'ancien hosto ,tu crois pas qu'on est fiers? Je suis allé les voir en demi à Pamiers ,donc juste à coté ,et çà a été un régal ,du jeu à asphyxier des plus solides qu'eux et de la rigueur .Un "sketch" dans ce match ,au sporting il y a un pilier qui rentre en deuxieme mi temps ,comment dire ,bonbonesque 130 kg mini ,et bien sûr çà chambrait un peu .Une vague percussion ,une seconde moyenne et sur son troisieme ballon une passe vissée de 20 metres essai de l'ailier entre les pagelles ,le talent quoi et à table aussi hélas..
RépondreSupprimer"AU sein du GIP (groupement d'intérêt public) France2023, Sébastien Chabal veillera à « améliorer l'expérience des joueurs et des équipes engagées » avec l'aide de joueurs et de retraités."
RépondreSupprimerAlors, elle est pas belle là vie ?
Allez, ceci est une oeuvre de fiction, toute....., ben non 😱
David Lynch qui avait voté Sanders à la primaire democrate ne se souvient plus pour qui il a voté en 2016 à la Présidentielle mais vient de déclarer que Trump serait un des plus grands Président des États Unis , l’a pas dit sur quelle base ... Allez on est pas au bout de nos surprises Jean Lou
RépondreSupprimerce qui est rassurant c'est que l'EDF de foot est encore plus mauvaise que celle celle du Rugby , malgré ses talents et autres millionnaires du ballon ; mais la différence avec le rugby c'est que s'ils se réveillent et jouent enfin en équipe , ils peuvent gagner .... Mais je pense qu'ils n'ont pas assez d'envie et d'automatisme à ce stade de la compétition et que nos cousins Argentins vont leur mettre une fessée.... mais tout avis n'a de valeur que s'il se trompe ....alors why not un réveil de nos bleus
RépondreSupprimerla similitude va au fait qu'il manque des demis qui savent mener le jeu de l'équipe, même si au foot , individuellement les demis sont supposés bons
Supprimer'tention Marc, ne parle pas de "millionnaires du ballon", par les temps qui courent on va te dire que tu fais de la discrimination...
RépondreSupprimeret j'ai été soft de ne pas parler de la façon se coucher , de se tordre , de souffrir mille morts a chaque pichenette ....ce sport est une honte quand les joueurs font leur cinéma et si beau comme hier le but de Messi
SupprimerTrès déçu je viens de recevoir "les penseurs" alors que je croyais que c'était "les panseurs",je me disais il va y avoir qqs anecdotes de soigneurs ,et bien non à part deux trois joueurs connus, Lacan ,Bruno et puis plein d'étrangers sait même pas ou ils jouaient Nietches,Spinosa celui là peut être en Argentine...Bon on va voir et lire quand même .
RépondreSupprimerHello Michel "Barto",
Supprimerc'est drôle mais c'est exactement la conclusion de la préface de Jean Pruvost, monsieur dico... Penser et panser ont la même racine !
PS: on a sélectionné Hippocrate comme soigneur
Bonne lecture
Il arrive le 5 Juillet juste après le indepandance Day ...
RépondreSupprimergrâce à un aimable visiteur
Le jour où j'attaque mes vacances. Dernière chronique de la saison...
SupprimerQue je te souhaite excellentes !
SupprimerAh, la Corée du Sud, son football érigé en sport de combat martial...
RépondreSupprimerla saison est longue, Ritchie...les cadets et les juniors ont reçu la convocation pour la reprise de l'entrainement dans quelques jours.
RépondreSupprimeren tant que jury d'examen, j'ai constaté l'ampleur des dégats sur les jeunes espoirs de l'Aviron Bayonnais et du Biarritz Olympique, sur la formation humaine. Des gros, incapables d'aligner 2 mots de français, qui ont repris des projets professionnels livrés clés en main par les prédécesseurs, qui se foutent absolument du travail présenté, un peu agacés que des vieux cons leur posent des questions sur ce projet professionnel, ayant pour seul horizon que la carrière sportive. ils sont sans doute bon rugbymen, mais pas de cerveau et on a beau prendre des produits, on ne pourra pas greffer quoique ce soit sur les muscles.
le rugby français fabrique malheureusement des jeunes qui ne réfléchissent plus, alors prendre des initiatives sur un terrain, c'est peine perdue.
on est dedans pour longtemps
Inspiration pour la prochaine et derniere chronique.
SupprimerIl y a deux trois ans j'ai lu un article relatant que nos jeunes élites issus des grandes écoles suivaient des cours du soir imposés par leurs patrons :oh pas n'importe ou,à la Rue d'Ulm:la raison? déficit d'orthographe et surtout langage (mots connus et maîtrisés) très limité ce qui fait que ces jeunes ne pouvaient CONCEVOIR :ils ne pouvaient conduire un projet dans sa globalité car ils n'en avaient pas les moyens ;le cerveau oui ,les outils non.
SupprimerBernard Landais
...issues...
Supprimeredifiant
SupprimerAu même titre que le football aussi. Sauf que s'ils sont vraiment bons les footeux s'en sortent dans les clubs étrangers, grassement payés, si bien qu'il est difficile d'assembler tous ces zégos et de trouver de la complémentarité, de la fluidité dans le jeu. Pour continuer sur Georges, surtout manque de vrais leaders de jeu qu'ils soient demis ou pas. Quant à Messi, curieusement il est leader quand l'équipe joue bien mais beaucoup moins de ballons passent par lui quand ça se passe moins bien. Et reste décisionnaire sur la compo. Aguero, Di Bala font tapisserie car pas très potes avec lui à priori.
RépondreSupprimerT'as raison Fifi, ça fout les jetons, et encore t'avais pas les parents !
RépondreSupprimerDemain on à trente futurs Tiger pour la der de la saison, j'ai demandé le droit d'euthanasier trois ou quatre géniteurs pour le bien commun, affaire à l'instruction.
Sinon, mer, Midol, jeudi quoi.
Ben savez vous, Mac Caw et les futurs ministres fréquentaient les même bahuts!
Pourquoi pas des pilards ( bon, j'exagère ) à Louis le Grand,des ministres à la mêlée, mais où qu'on va ?
Allez Richie Mac-Ron ( oh merde, un café, urgence )
HE HO, c'est le grand jour, le grand pogrom, la révolution et personne qu'en cause ici, m'enfin !!!!
RépondreSupprimerCar le grand évènement se prépare, le congrès de la FFR va rassembler dès ce soir et jusqu'à samedi l'ensemble des acteurs du rugby en France, avec un programme de derrière les fagots: interventions de différents ( !?!?!?!?! ) protagonistes des instances du rugby, questions/réponses ( !?!?!?!?! ) et animations ( !?!?!?!?! ).
Vivement lundi, nouveau départ pour notre rugby, AH on se sent mieux comme ça, non ????
je vous prie, à tous, d'aller sur LaDepeche.fr de ce jour,(je ne sais pas faire les liens) lire un article assez long sur et avec DEYLAUD, vous serez édifiés, et on devrait le recruter dans les Quinconces....
RépondreSupprimerhttps://www.ladepeche.fr/article/2018/06/28/2826648-qui-a-tue-christophe-deylaud.html
SupprimerBernard
https://www.ladepeche.fr/article/2018/06/28/2826648-qui-a-tue-christophe-deylaud.html
RépondreSupprimerUn passage sur le rugby français rejoint ce que j'ai toujours dit: la transition entre la période Skréla-Villepreux a été décisive, quand on est passé d'un rugby de formateurs (profs de gym, éducateurs, pédagogues, etc...) symbolisé par la DTN à un rugby axé uniquement sur la performance et qui n'a fait depuis que copier ce qui se pratique dans l'hémisphère sud. D'où l'abandon progressif de la formation purement franco-française qui peut pourtant, on l'a vu avec les U20, obtenir le meilleur et avec des résultats.
Ch.Deylaud nous brosse un triste tableau du rugby de chez nous, à l'image fidèle de ce que beaucoup ici racontent à longueur de semaine, il se trouve donc en terrain plutôt favorable chez les Quinconces et va certainement rassembler de nombreuses appréciations favorables sur ses propos. Quelques unes de ses réflexions sont très significatives du marigot ovale hexagonale: le handicap que représente l'absence dans ses bagages d'un "AGENT", apparemment comme dans la chanson du grand Georges, pas d'argent pas de cuisse, et bien dans notre rugby pas d'agent pas d'équipe. Ensuite, c'est dit à demi-mot mais CD a surtout souffert du combat négatif qu'a livré à son encontre GN dès lors que les ambitions de CD de prendre part à l'encadrement sportif étaient clairement dites et établies. Enfin, on voit bien la peu de "maniabilité" du bonhomme, son franc parler et ses certitudes sur les valeurs et teneurs d'un entraineur plutôt que sur des qualités de manager, terme dans lequel il ne se reconnait pas, par ce biais on voit bien que dans le monde du rugby français il se démarque totalement de la "ligne" unique dans laquelle tous sans exception, tous dirigeants-présidents-managers-joueurs-experts-partenaires-diffuseurs se meuvent en cadence et en intérêts partagés.
RépondreSupprimerIl faudra du temps avant qu'un dirigeant appelle un type comme lui au chevet d'une équipe de club ou sélection, et même si, je me demande si dans ce rugby notre ami trouverait vraiment moyen de mettre en application ses principes, parce-que rien ne me semble plus inconciliables sa vision du rugby et celle de nos dirigeants, FFR LNR et clubs tous ensemble.
Des choses intéressantes dans cet interview comme souligné plus haut par Pipiou et j’ajouterai les écoles avec cette phrase si « Tuche « « s t’as les écoles , t’as la masse , si ta la masse t’as le talent «
SupprimerAprès très bon technicien ne suffit pas dans ce Rugby professionnel , cf Galthie reconnu comme un bon technicien mais pas un bon manager d’hommes ...
Je comprend sa frustration , il serait sûrement très bien comme entraîneur des moins de 20 ans mais apparement pas copain avec le Président ancien sélectionneur ...
Après quand on décide de ne pas faire un compromis on assume non ?
Nouvelles réjouissantes du landernau rugby français: vu sur l'équipe.fr un "spécialiste des sports de combat" -vous voyez le rapport ave l'ovale hein- a la méthode pour rendre les rugbymen « inarrêtables », accessoirement les préserver des blessures.
RépondreSupprimerLa FFR souvent approchée n'a pas donnée encore suite, on se demande bien pourquoi, c'est vrai quoi, le rugby aux mains d'un formateur "sports de combat", une vraie pointure en arts martiaux et autres disciplines "pieds-poings", capable de donner les clés pour "analyser le danger" (par ex jouer contre/avec les NZ) ou "analyser la simple menace" (par ex match contre les NZ prévu demain), voilà qui devrait faire enfin respirer notre jeu, tellement en manque de combats de toutes sortes depuis quelque temps.
Allez, pas désespérer du pire, il est toujours pas loin.
Bof bof, on présente ça comme une solution-miracle qui va marcher à tous les coups, mais c'est juste un élément de travail déjà utilisé (le gars a travaillé avec Gérald Bastide), et que certains joueurs pratiquent naturellement depuis longtemps (par exemple s'enrouler autour du défenseur ou utiliser sa force ou sa vitesse pour ne pas se faire pesquer). En plus je ne suis pas sûr que l'utilisation de techniques de self-défense ne présente pas elle-même des risques physiques pour les joueurs.
SupprimerDans la vie, y'a pas de miracle: si c'était si révolutionnaire que ça, ça fait longtemps que ça aurait été expérimenté. L'encadrement technique des All Blacks montre depuis longtemps qu'il peut s'inspirer de disciplines bien éloignées du rugby pour progresser sur des points particuliers.
Et pis de toute façon, on s'en fout, de l'évitement; on a tellement habitué les joueurs à venir cogner dans le mur que lorsque tu leur ouvres un intervalle large comme une autoroute californienne, ils sont désorientés et mettent le clignotant...
Oublié sur l'article de CD, une idée essentielle et tellement juste: l'absence aujourd'hui de notre jeu dans les écoles primaires, les collèges lycées et universités, ce qui signifie aussi et surtout l'absence du monde enseignant dans notre sport, la désaffection des gamins, dès lors évidente si personne ne leur donne l'occasion de goûter à ce jeu.
RépondreSupprimerCe matin, à la boulangerie, gamin avec papa, maillot de foot EDF sur le dos, la vendeuse sert et encaisse, puis ….. Cherche dans un grand carton et offre au môme un ballon tout rond tout neuf tout brillant tout tricolore, puis dehors croisé un centre aéré qui part en forêt, les monos avec des ballons ronds et des chasubles, quelques vitrines aux couleurs France, sais pas ce que dame FFR envisage pour prochaine CDM ou même pour la prochaine saison FLOP.14, mais sans doute des leçons à prendre ici ou là ????
Nous avons eu parfois des judokas qui nous apportaient beaucoup sur les postures avant contact.
SupprimerLes handballeurs pour les angles de course,voir les footeux, les athlètes pour les techniques de course, la condition ,ont aussi beaucoup à nous donner.
Il serait dommage de s' en priver, sans tomber dans le charlatanisme non plus.
C'est sur, Nini, le Rugby à déserté l'école depuis longtemps,accusée fédé levez vous , et on à sûrement un soucis de recrutement plus que de formation.
Réinvestir les lycées, inciter ( obliger)chaque club pro à financer les études d'EPS de deux ou trois garçons meritants par an serait un début.
Ca passe par des accords avec le mammouth, faudrait de la volonté, de l'imagination aussi.
Allez Chevreuse
On en a déjà parlé, mais le scolaire ne marchera que s'il y a un prof d'EPS partant.
SupprimerOr l'EPS et son enseignement ont bien changé depuis 20 ans. Si les méthodes et la pédagogie restent, les jeunes générations de profs (et les programmes) axent leur travail sur des disciplines bien plus variées où le sport co est moins prégnant qu'auparavant.
L'enseignement de l'EPS s'adapte aussi à la société et aux générations actuelles...
Si on ajoute à ça les préventions toujours plus grandes de l'institution (et des parents) contre des activités "à risque", on conçoit aisément que le rugby ait mauvaise presse (oups ! pardon Ritchie) ou en tous cas soit un peu tombé en désuétude dans les enseignements (par exemple un prof d'EPS qui ne veut pas faire descendre ses classes sur un beau terrain 100 mètres sous l'établissement, au motif que le-dit terrain est un peu bosselé, rapport aux entorses éventuelles; de mon temps, un pareil terrain aurait été une bénédiction pour nous élèves...)
De toute façon, on en revient à la problématique dont parle Deylaud; le rugby actuel, c'est les clubs, et les clubs sont axés sur le résultat et la performance immédiats.
Alors que le scolaire, c'est la pédagogie, l'apprentissage, la durée...
Pierre Villepreux nous a narré à Treignac une anecdote édifiante sur des "formateurs" diplômés de la FFR qui confrontés pour une initiation à 30 ados remuants n'ayant jamais joué au rugby étaient comme une poule devant un couteau, voire-même légèrement débordés par la situation (alors que l'ami Pierre, en bon prof de gym même depuis longtemps retraité, te mettait en place en 2 temps 3 mouvements ateliers, groupes et jeux de balle). C'est là toute la différence.
Certes tout ceci n'est qu'un premier jet, et reste à peaufiner, mais en cherchant un peu il doit bien y avoir de quoi gigoter un peu dans le bénitier, Sinon on ferme et on passe à autre chose.
SupprimerC'est quand-même le boulot de la fédé, pas qu'elle, d'aller chercher les marmailles ou ils sont, non.
Allez, il n'est pas nécessaire. .....
Ritchie
RépondreSupprimerLa corée du sud m'a procuré une émotion profonde en sortant l'Allemagne , j'attendais cela depuis Séville 82 , je peux enfin tourner cette page sombre du sport Français , car s'il y a bien une équipe de France qui méritait d'être Championne du monde , c'est bien celle de 82 ( idem 86 ) qui a pratiqué le plus beau foot ; n'en déplaise aux supporteurs de 98 ...Platini nettement supérieur a Zidane pour moi .....
Marc
Supprimerj'ai eu ce même sentiment. Mais je pense que Zidane était supérieur à Platini. Voilà tout ce qui nous sépare ah ah
Dans une interview, Platini disait que gagner la Coupe du Monde en 1982, ça aurait été trop tôt, mais que par contre, 1986 aurait dû être la bonne année, jusqu'à la demie et ce but allemand sur coup franc qui les plombe.
SupprimerSur la comparaison Platini-Zidane, j'ai pas trop d'avis. Le seul que j'ai, c'est que pour être des joueurs exceptionnels, ils n'étaient pas très esthétiques sur un terrain, comme Cruyff, Beckenbauer ou Socrates ont pu l'être. J'ai dit esthétiques, hein, pas efficaces ou décisifs (c'est pareil d'ailleurs pour Maradona ou Messi). Ce qui ne m'empêche pas d'avoir trouvé Zidane génial contre le Brésil en 2006, ou Platini terriblement efficace et décisif quand fallait la mettre au fond.
(Un p'tit pronostic pour samedi, tiens: je verrais bien les Argentins gagner aux tirs au but après un 0-0 ou un 1-1...)
En termes d'élégance, Platini c'était un Bidochon. Zidane avec des gestes fins et travaillé mais effectivement pas avec l'esthétique d'un Zico, d'un Pelé ou d'un Cruyff. Pour rester sur les 10 (ou 9 et demi)...
SupprimerSi on veut aller plus loin, Jean-Marc Guillou. Sans égal. Après question carrière internationale, on est deux crans en dessous...
dans les élégants du foot français, je mettrais bien Henri Michel.
Supprimerde mon temps, quand on jouait en universitaires ou tournoi des grandes écoles, on jouait contre des étudiants. Maintenant, tu te retrouves contre l'équipe espoirs de tel club pro et tu prends 100 points dans la musette, quand ce n'est pas 100 points de suture avec. les joueurs des équipes espoirs sont inscrits en kiné, ou autre université, ils n'y mettent pas les pieds, prennent la place d'un vrai étudiant et se régalent à "mettre des culs" sur des gamins peu entrainés qui jurent qu'on ne les y prendra plus.
RépondreSupprimerTous ces grands joueurs du ballon rond dont vous causez, peut pas trop classer et mettre en parallèle hiérarchique.
RépondreSupprimerCruyff élégance au-dessus de tous ces grands, l'ai déjà dit ici, pour moi the best juste devant Platoche épicétou.
Cependant, pour tous ces grands noms, regarder quels milieux de terrain jouaient avec eux et l'on aura là aussi, certainement, des touts grands, valeurs ajoutées, certes plus besogneux et dans l'ombre, toute la lumière prise par l'autre, mais chacun partie du tout.
Pour le rugby universitaire; je partage l'avis de Philippe sur l'organisation aujourd'hui, juste dire qu'à des lieux des places fortes du rugby hexagonal, les universitaires sont toujours des étudiants et des vrais, des maladroits des deux mains pour beaucoup, pas agiles du torse souvent et grippés des genoux quelquefois, mais pour les suivre un peu du côté de Nancy, ça reste une belle fête sur les terrains, l'approximation ovale initiale débouchant ensuite sur des toujours bouillantes communions dans les 3° mi-temps, où chacun miraculeusement retrouve le pep's qu'il convient pour fêter les 3 orfèvres, Charlotte et autres déesses et dieux, coquines et coquins, paillardes et buveurs, de notre rugby de toujours.
La différence essentielle, c'est que plus jeune à Nancy mon club du SLUC Nancy (honneur et féd.3) comportait nombre d'étudiants et d'enseignants, aujourd'hui les premiers ne sont plus là et les seconds se comptent pas maousse.
Nini Tu as raison , car on parle bien du "carré magique" pour 86 , et le match contre le Brésil reste une référence dans le monde du foot ! Ce que n'auront jamais atteint les 98 même champions du monde !
SupprimerRitchie, moi de ZZ je retiens le coup de pied a terre contre le saoudien , le coup de tête contre materazzi qui nous fait perdre la finale ..pas des gestes d'un grand joueur ; Rai c'était la classe comme son frère Socratés ..et tu as raison jean Marc Guillou ..mais c'était différent pour lui !
Ce soir, minuit passé de très peu, avant dernière chronique. Sur l'altérité.
RépondreSupprimerRitchie ou le port de l’angoisse ... la der des der ou l’antepenultième ?
SupprimerTrait d'union. ..
SupprimerCe qui semble être un excellent sujet.
RépondreSupprimerFaire gaffe quand on parle football : la crédibilité rugby s'effondre.
RépondreSupprimerQuand qu'on cause de coups de boule la crédibilité de Cholet ou Palmier est bien supérieure à celle de Zidane, fô pas déc non plus !
SupprimerAllez Chevreuse
Traduction Audiardienne (pour rester dans la veine de Gariguette):
Supprimer"Dans les situations critiques, quand on parle avec un calibre bien en pogne, personne ne conteste plus. Y'a des statistiques là-dessus."
ah super Pipiou !! celle-là, je ne la connaissais pas
SupprimerAllez un peu de foot, Platini/Zidane, sans doute , comme beaucoup je n'ai QU' un ressenti télévisuel et donc pour moi Platini , surtout par ses coup-francs est un peu sup à ZZ, rest bien sur l'observation sur le terrain et là je ne sais pas dire, d'autres considèrent alors quue ZZ est un peu sup dans ses visions.
RépondreSupprimerLe coup de tête contre Matterazzi est un modèle du genre et de retenue, car normalement, s'il ne se baisse pas il lui éclate la machoire....
Vous citez qq joueurs de par le Monde et les époques de trés trés haut calibre, mais pour moi, atavisme plus ou moins oblige, vous oubliez NEDVED, 3 poumons, des tirs toujours bien placés, un fidèle à son club, dont il est devenu Président délégué et un centreur diabolique, dixit Trezeguet, qui a dit "il mettait le ballon juste, parfaitement, ou j'étais". et j'en passe....
Georges
RépondreSupprimerLe pb de joueur comme Nedved est le manque de palmarès en équipe internationale ; reconnu par ses pairs , ballon d'or ; mais pas par la planète foot ... Platini a eu avec l'équipe de France un palmarès avec le championnat d'Europe 84 mais il faisait partie de cette équipe qui a marqué la coupe du monde en 82 et 86 ; et ensuite on peut citer des jouerus de génie comme Maradonna , pour moi supérieur a Messi non par la technique mais par l'aura et ce jouer fou qui fut ...nous sommes tous sensible en sport a la folie plutôt qu'à sagesse ( surtout en ce qui me concerne ) ; Mc Enroe / Borg ....etc etc ...