Les meilleures choses n'ont ni fin ni faim seulement un coup d'envoi. Vendredi 21 avril, à 17h (restons précis, Gariguette arrivée la première fait loi et foi), Les Quinconces se sont formés à Treignac (Corrèze) selon la forme convenue. Il s'agissait de la deuxième édition du rendez-vous des bloggeurs de Côté Ouvert. Sur cette nappe en papier du bistrot girondin susnommé qui circula vous êtes désormais vingt-et-un signataires de la Magna Carta - en comptant Pipiou. Et comme tout est bon dans le cochon, personne ne se dédit.
Le contenu d'un frigo costaud et profond comme un ballon-porté briviste et copieusement alimenté (à ce sujet, Tautor pense à monter une boucherie ovalie) y compris en liquides divers n'est pas venu à bout de notre solide appétit pour l'amitié, le ballon ovale, les éclats, les saillies et l'aventure humaine dans toute sa diversité. Les nourritures de l'esprit furent plus fédératrices que les terrestres, encore que les plats de notre maître queue Alain surent faire l'unanimité. A la table ovale, "notre rencontres" fut fêtée comme il se doit. Je tiens au pluriel : il est notre marque de fabrique, notre "je sauvage", notre illimité.
Vous l'avez demandée alors la voici . Cette photo d'équipe date du samedi après-midi. De gauche à droite, debout : Michel Prieu, Gérard "Le Gé" Sainson, Alain "Tautor" Sauné, Richard Escot, Jacques "Pipiou" Labadie, André Bœuf, Michel Mallier, Frédéric Boy, Serge "Sergio" Eynard et Christian Badin. Assis : Isabelle "Pimprenelle" Capdeville, Benoit Jeantet, Eric Laylavoix (consultant formation), Georges "82" Grigorciuk et Sylvie "Gariguette" Colliat. Manquent Jean-Louis Dupont (dont Tautor sait nous parler) et Michel Lizeaux, présents le vendredi soir mais partis le samedi à regrets.
Le matin nous fûmes six sur la plage du lac. Sable blanc et courant continu pour un "toucher" d'anthologie au cours duquel nous avons pu admirer Michel (notre sage du green) aligner les feintes de passes au point d'enrhumer Richard et Benoit, et sentir les ceinturages noueux à l'irlandaise signés Sergio. André était placé à la passe et Isabelle distribuait les oranges bienvenues. A l'exception de Christian et de Jean-Louis, authentiques internationaux, nous autres n'avons pas joué au rugby, "nous en avons juste fait un peu", bémolise Benoit à juste titre. Mais le lendemain au réveil, courbatus, nous avons douloureusement (re)trouvé des muscles que nous avions perdus...
A l'Hôte du Lac, nous avons commencé cette rencontre(s) par évoquer Webb Ellis au long cours d'un apéritif de neuf heures chrono pour la conclure avec l'esprit de Jiddu Krishnamurti et étancher notre soif dans la soie d'une liqueur de mandarines déposée par Le Gé. C'est dire le chemin que nous avons parcouru en trois jours et deux nuits. Surnommée "l'énigme du lac" par Sergio, Primprenelle est restée en suspension quand Benoit, alerté nocturnement par Jean-Louis sur les dérives de la commission de discipline concernant le barème des sanctions, proposait pour retrouver le jeu à la main une solution H qui est à l'en-avant coupable par paquet de dix ce que le Synthol est à l'abus de percussion dans l'axe.
Georges, stoïque, fit la sourde oreille au chant des sirènes qui se languissaient en terrasse comme sur les berges du lac. C'est alors que Tautor, généreux médicalisateur, lui dit : "Tu sais, on n'entend bien qu'avec son cœur" en citant Voltaire à la belle étoile, celle que l'on suivait dans notre ciel corrézien. C'est comment cela que les absents - dont on ne parle jamais autant que lorsqu'ils ne sont pas là - et les éloignés se trouvèrent à Treignac avec nous. Vrai. Sylvie et Alain se sont même proposés d'aider les plus hermétiques à décrypter le zarmaou.
Choisi par Christian, notre thème de travail ciblait la formation (nous, c'est les Quinconces, hein ?) et nous y reviendrons la semaine prochaine, promis. Le docteur Tautor a d'ailleurs signé une ordonnance à ce sujet. Mais avant de suivre cette prophylaxie oblongue, restons encore un moment sur le Quinconces 2. "Je n'avais pas de doute sur l'issue de cette rencontre", poétisait Michel juste avant le coup de sifflet final lors d'un balade apéritive sur les berges du lac (cf photo ci-dessus : Georges, Pipiou, Sergio, Benoit, Michel, Fred, Tautor, Le Gé). Nous étions bien sur la même langueur d'onde, même si Pimprenelle, à son corps défendant, fit reculer la parité d'un siècle en prenant d'assaut la cuisine, soutenue par Tautor, commissaire magret dont la patte culinaire s'ajoute à une palette déjà bien garnie.
Seule ombre au tableau, la défaite du Stade Rochelais face à Gloucester en demi-finale de Challenge européen qui me plongea dans une humeur aussi noire que le maillot des Maritimes coulés dans leur port de Deflandre. "Tendu", remarquera André en tirant sur le fil. Mais la fumée des Monte Cristo torpédos tournoyaient en terrasse face à l'amer pour atténuer l'ire fraîche citronnée au rhum arrangé. Christian a écrit sur la Magna Carta ce qui pourrait, si vous en êtes d'accord, devenir notre linéature : "Les plus belles rencontres sont celles de l'on partage !" Qu'en pensez-vous ?
Spécialiste du golf et de son logos, capable de faire tenir le corpus philosophique de l'apprentissage et du perfectionnement sur un parcours sans être pris en grippe, Michel, notre Gandhi des fairways, n'a pas eu cependant assez de chance après avoir accepté mon invitation à choquer les boules au billard américain qui ne compte pourtant que six trous, laminé qu'il fut malgré les encouragements de Pimprenelle, tandis que Georges activait la distribution des pruneaux sous l'œil de notre gendarme d'hôte et du mannequin déguisé au comptoir que nous ne manquions jamais de saluer avant d'aller nous coucher...
Comme à Las Vegas, ce qui s'est passé à Treignac y restera. C'est le serment de vignes que nous essayerons de tenir entre deux rasades de Cornas. Georges préférant s'exiler de peur d'être réveillé par la circulation - dense, dixit André - sur le chemin de Compostelle, les autres eurent la chance (ou pas) de composer un théâtre à l'antique, unité de lieu, de temps et d'action, dans ce gite qui en avait un peu au grand vent, subtilement composé de chambres hommages à l'école de Brive - Claude Michelet, Christian Signol, Michel Testut, Marie-Bernardette Dupuy, Colette Laussac, Gilbert Bordes et Michel Peyramaure, avec ouvrages des auteurs dans la table de chevet. Un bonheur. Manquait juste Denis Tillinac, Yves Viollier, Jean-Guy Soumis et, dixit Zarmaou, Jacques Peuchmaurd. Mais il n'y a que sept chambres à l'étage.
Difficile de rendre par des mots l'émotion qui fut, qui est et qui sera encore la nôtre pour quelques temps de nous retrouver ou de nous découvrir. De se reconnaître. Soi à travers les autres, riches de confidences; les autres avec soi, en complicité. Imaginez : nous n'étions pas encore partis ce dimanche 23 avril que nous avions déjà imaginé l'agenda du troisième Quinconces entre Rhône, Aveyron et Vézère, à suivre... "Fait court !". D'accord, Fred, j'ai compris, mais il me faut trouver une chute. Peut-être dans cette citation de Thoreau face à son lac comme nous devant notre retenue pas si étale : "Tu dois vivre dans le présent, te lancer au-devant de chaque vague, trouver ton éternité à chaque instant."
Sais pas si mon caberlot est bien rangé, j'ai même des doutes, mais plus pensé à vous qu'aux autres 11 ( un signe,non ?)instruits bien rangés sur la petite table de la mairie , ce week!
RépondreSupprimerAllez Treignac et les petits treignacoises er cois.
Nous avons voté amitié à Treignac
SupprimerA l'unanimité
Belle photo
RépondreSupprimerbeaux sourires
les absents ont toujours torts et donc j'ai eu tort ...
Bises de bastia
Les absents étaient présents, Marx
SupprimerDans les coeurs
Marc
SupprimerPurée de correcteur automatique
Pas Marx...
SupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerAmi(e)s des Quinconces,
RépondreSupprimerVous souvenez vous de "l'hôtel de la plage" ? Rires, gags, convivialité, Amour et philosophie de la vie ... "l'hôtel du Lac" un remake "sauce rugby" ... mais pas que .. des rencontres d'une humanité pointilleuse à commencer par Jean Louis Dupont, venu spécialement de Beaumont pour se replonger dans l'ivresse du rugby. Et nous fûmes pas déçus d'écouter cet enfant de la terre, "agriculteur" comme il le revendique, soucieux de faire vivre le ballon, d'expliquer ce que fût sa carrière au RCF, à Agen ou à Beaumont. Le fruit de rencontres jamais hasardeuses sous la houlette de Marceau AMBAL, son père spirituel qui a donné lui même sa vie à Beaumont et à Agen. Champion de France, International, le rugby ne fut et continue de n'être que du bonheur pour Jean Louis. Son sourire, sa modestie et son charisme furent une leçon d'humanité bienfaisante pour nous tous. D'anecdotes croustillantes dans les vestiaires à une revue d'effectifs d'anciennes gloires à son rôle de transmission comme Président du Stade Beaumontois, chacun d'entre nous a pu mesurer que le rugby est une grande famille quelque soit le niveau pratiqué. Je retiendrais l'histoire du bus à Pigalle avec les 15 francs de sa grand mère en poche gardés religieusement malgré les tentations. Le bouquet final avant son départ tard dans la nuit, obligation de maire incompressible, fut de nous raconter que la vie est le fruit du hasard mais pas que et que s'il fut rugbyman c'est que l'hérédité l'a invité sur ce terrain de jeu. Grand moment philosophique aussi inattendu que le rebond capricieux du ballon pour notre plus grande joie. Jean Louis nous quitta heureux de cette interlude partagée dans l'esprit même de l'ovale nous transmettant que de l'espoir pour l'avenir de ce sport à la seule condition qu'il faille vouloir se retrousser les manches comme on retourne la terre avec le socle de la charrue.
Belle intervention dans la ligne, Tautor...
SupprimerL'espace s'ouvre à toi sur la passe
Reste maintenant à retrouver Jean Louis au commentaire.
J'espère vraiment qu'il va nous rejoindre épistolairement
On eut aimé évaluer Alain ballon en main en tant que disciple de Jean-Louis, à la corne tel l'as de pique, si ce n'est en bouquet final, au moins en apéritif de ce toucher... de plage. Sans lunettes de rugby, a préféré fair/e l'impasse et s'économiser pour l'espace culinaire et les torpédos en terrasse. Note : 8/10, rapport notamment à sa patte culinaire,
SupprimerEvaluer Alain au rugby c'était vache. Pipiou aurait été tout indiqué, lui qui brille en vétéran. J'aurai bien vu Le Gé, aussi. Mais surtout Jean-Louis et Christian, pour le régal des yeux. L'année prochain ?
SupprimerSergio, tu as raison, on ne peut pas être à la plage et au four. Tautor sait que l'intendance est cruciale. Je l'ai trouvé très "rubato" au piano... Pour notre plus grand plaisir.
" pas de musique possible sans rubato " il en va de même en cuisine ! La prochaine fois je serai affûté, je pourrais vous tailler sur la plage comme dit ma fille !! pas besoin de lunettes pour lire un manchot ou un rigolo .... tout au plus une bonne intuition ... je citerai donc Jiddu Krishnamurti "Si l'on ne se compare à personne, on devient ce que l'on est"
SupprimerJ'ai tapé "gentleman farmer" sur google et le zinzin m'a répondu "Jean Louis Dupont " ... j'ai insisté DuPont de Nemours ? il m'a répondu "mais non ! Dupont de l'Amour " Merci à lui encore pour cet instant de grâce .
SupprimerMon frangin talonneur explique souvent certains objectifs professionnels à son équipe en installant une (fausse) mêlée, il ne s'agit pas de se faire mal mais de comprendre que la pression vient de partout : devant, derrière, sur les côtés . Pour qu'ils se représentent les pressions venant des clients, des partenaires, des fournisseurs, des financiers etc Il faut donc savoir utiliser sa force et celle des autres pour que l'édifice soit stable ; à l'image de la vie d'ailleurs . Le talon est à la croisée de toutes ces forces, il doit être un roc, subir sans broncher et rassurer par sa seule présence . Nous avons ici sur ce blog plusieurs talons - on est talon pour la vie hein Janlou ? - et ils sauront expliquer bien mieux que moi leur art si subtil . Bonne soirée à tous .
"on entend bien qu'avec son cœur" Voltaire
RépondreSupprimerNoté
SupprimerSans être vague de l'extrème ou l'âme de fond, cette petite ode laquée, magré un réveil des urnes difficile. Oh temps suspend ton vol, n'emportes pas tout d'un coup de vent. Juste un peu de liberté dans l'écriturie...
RépondreSupprimerDe l'en vie
A (re) faire la vie
Quand le gendarme rie
Au lac de la Marcoussisserie
Bouches et vals qui rient
Vous avez dit bizarrerie ?
Comme c'est bizarre, contrepèteries...
Chevaliers de la table qui rie
Et de l'ovalerie
Pétulence dans l'épicurie
Pas de bénis oui oui
Ni de dichotomie (coucou Tautor)
Dans cette naissante fratrie
Mais de l'espièglerie
Pour un rugby qui rie
Dense, les souris
Show must goe zonnerie
En Somme une Coterie
SupprimerOuverte sur l'avis
Ode à la vie .. Ode à la poésie ... rien ne se dit, rien ne se voit, tout se vit ... Merci ...
Supprimer"L'art de vivre, c'est la relation; sans relation il n'est pas de vie" Jiddu Krishnamurti
Mon avis : 10/10
Et la relation s'établit avec l'ordre...
Supprimer800 kilomètres de route pour aller vers l’inconnu
RépondreSupprimerUn connu, journaliste de ce blog tant lu.
Des visages à mettre sur de si beaux mots
Et le rugby pour seul univers et manteau
800 kilomètres de route pour rencontrer l’amitié
"L’ami, t’y es", raisonne à la porte de Treignac
Des personnes, des paragraphes partagés à l’hôte du Lac
Et comme seule volonté, changer notre sport préféré
800 kilomètres de route pour vibrer sur notre rugby
Rugueux billet gagnant pour trouver enfin le paradis
Discours partagés avec franche camaraderie
Sans aucune haine, ni sans sournoiserie
800 kilomètres de route pour trouver des innovations
Innove à Sion, non ! A Treignac a lieu la révolution
Agapes, histoires, passes en avant, verres partagés
Amusements, joies, discours, et le dix tant aimé
800 kilomètres de route pour un weekend époustouflant
"Epouse tout flan", ne fut certainement pas la réponse
Des adresses échangées sur la nappe des quinconces
Et une belle humanité pour trouver et partager de si beaux plans.
Le Gé pour tous, vous remercier
800 km, une belle longue passe vrillée
SupprimerPour au bout, un essai transformé à la clé
871... Effectivement, l'action était belle...
SupprimerMais moi c'était aller-retour. Pour l'épicentre on peut penser à Thiers. Ou Vichy (là le CNR devait s'installer). On ne devrait pas avoir de mal à se loger ;-)
SupprimerVichy, j'y avais pensé. En dehors du logement, pas de problème aussi pour trouver un terrain et un spa régénérateur, et du charolais pour les poelles à Tautor, arrosé de St Pourcain !
SupprimerVichy oui. Mais ça risque d'être un peu cher. A mois de trouver un gîte capable d'absorber une douzaine de personnes.
SupprimerPour ceux pris en faute d’avoir pu en goûter la musicalité par delà l’introït, & la respiration sereine, Richard qui sait pourquoi il porte ce nom, sait par son souffle nous en pimenter l’haleine dans la portée comme celle émanent d’un choeur que restitueraient des jazzmen dans l’élévation en démultipliant les solos & tout en non conjuguant les harmoniques ; ce serait presque trop injuste d’en profiter pour ceux déjà revenus avant que d’y être partis auront fait l’économie du trajet dans la macronvisitation déjà perversement à l’oeuvre . Si Uber ist alles, gageons quand même qu’avant que les cons centrationnaires n’étendent leurs chapes, il restera quelques endroits où même sans pavé, une plage se déroulera sous des passes non vénales défiant leur entendement . Rien à voir avec le dernier Liège-Bastogne-Liège .
RépondreSupprimerHum … , c’étaient pas Claude à la place de Jules, & Gilbert pour Gilles ? c’est Pierre Peuchmaurd qui me demande façon Groucho s’il n’aurait pas lui aussi des raisons de s’inquiéter comme Saint-ex à quelques lettres prés !
https://youtu.be/R4NNahjpzPc
Bien vu pour Michelet, mon azerty fourche. Je le connais, pourtant. D'un passage à la foire de Brive pour y dédicacer un de mes livres. Un acte manqué. Mais c'est bien Gilles Bordes. Quant à Peuchmaurd, je n'ai rien lu de lui. Mais il me semble que notre hôte, Didier, a voulu aussi faire jouer un début de parité...
SupprimerTu nous as manqué, Roger...
Tu as raison, Zarma, c'est Gilbert. Je n'ai pas vérifié.
SupprimerCe coquin de Zarma ! Jacques ou Pierre Peuchmard c'est pas du tout la même limonade : Ecole de Brive pour Jacques dont il est l'un des fondateurs mais Pierre ( son fils) c'est un homme curieux, né dans le sérail des écrivains, il le fuit ; « On écrit comme on respire, c’est-à-dire comme on étouffe. » pas le même programme, hein ?
SupprimerLa bise Roger, tu as toujours 1 million de livres d'avance sur moi mais j'y arriverai .
C'est marrant que Pierre Peuchmaurd parle d'immanence comme dans le sujet précédent de "Côté Ouvert"! Pur coïncidence? Hasard bienheureux? Ou bien Ritchie nous aurait monté une construction diaboliquement astucieuse pour amener à cette École de Brive qui, je dois l'avouer, m'était totalement inconnue.
SupprimerTout mes remerciements pour ce remarquable séjour se poursuivant -lentement pour moi- à travers vos écrits. Et, donc, un merci un peu plus appuyé à Zarma et Gariguette me permettant de découvrir, encore une fois, tout un pan de littérature m'ayant complètement échappé. Et, de plus, à la lecture de Wikipédia, en tout cas pour les Peuchmaurd père et fils, la découverte d'un nombre considérable de points communs; avec le père pour certaines raisons, mais beaucoup plus encore avec le fils. Il ne reste plus qu'à lire...Y arriverais-je comme le certifie Sylvie, avec beaucoup de rage, d'humour et de pugnacité?
André, je suis astucieux mais pas à ce point là. Peuchmaurd m'échappe totalement. Rendons à Zarmaou ce qui lui appartient. A savoir la cadrage-débordement dans le côté fermé.
SupprimerSi c'est acceptable, voudrais dire que je suis un peu gêné que celui qui ici les façonne le mieux ait mis ses cuissardes pour partir à la pêche à la mouche ; faudrait lui dire que la Vézère est pour l'amateur un autre val verdé ; encore unique dans un autre genre . Rien à voir avec Bartoli dans une côte bordélo-bordelaise .
SupprimerSylvie, en plus des réf à J. Abeille & A. Craven, t'as été oublieuse de mentionner son côté un peu trop tendance prolixe se cachant sous l'apophtegme "vous avez vu le peu de réalité" un brin trop compensé, compressé . Faut savoir ménager ses boyaux pour trouver la plage sous le pavé, pas vrai André ?
C'est pas faux ; oublieuse un jour, oublieuse toujours . A Craven, c'est un des bas bleus de Barbey ou bien ... ?
SupprimerJ'ai trouvé la plage sous mes pneus de 23 sans avoir à retirer les pavés.
SupprimerEffectivement, Michele Bartoli tout aussi fulgurant que notre ami Valverde.
Par ailleurs, et par résonance, j'ai un peu navigué à vue, à cause de Bordeaux, vers Cécilia Bartoli et, même, sans doute pour tous ces anniversaires autour de Rodin, vers Auguste Bartoldi et ses fontaines.
Ces fontaines me menant directement -quoi que ce devrait être plutôt l'inverse, à rebours donc- à la Vézère auprès de laquelle nous nous trouvions et qui m'a remis en tête un livre que j'ai particulièrement aimé "Le Dépaysement. Voyages en France" de Jean-Christophe Bailly, cherchant à savoir, un peu à partir le plus souvent des cours d'eau, ce que peut représenter la France d'aujourd'hui.
Et puis, comme à l'ordinaire, nouvel auteur de ma part méconnu, Jacques Abeille qui, après renseignement pris à la source maintenant habituelle, m'a particulièrement intéressé et fait penser -pourquoi ces pensées s'envolant en permanence et sans aucune idée de comparaison, mais seulement pour et par des liens chauds et amicaux sans plus de justifications ou de recherche- à Serge Rezvani et ses "Testament amoureux"..
Quant à Craven, hormis Danie, je ne me souviens pas avoir lu "Les bas Bleus". Juste "Les Diaboliques", mais nous nous égarons. Quand même noter pour finir le remarquable "Nez de Cuir" de Jean La Varende.
Arthur Cravan, à force de me plonger dans ses ronds de fumées issus de "J'étais cigare" m'a fait déjanter & perdre la roue . Mea culpa .
SupprimerY'avait, yhwh ?, à la base juste une pensée pour Charles dans son Colombey sans église .
J'aime la dérive vers "rêve, vas-y" ...
Merci Z, j'aurais dû y penser on en avait déjà parlé de Cravan, bon André, "les bas bleus" dont je parlais c'est une classification de Barbey d'Aurevilly regarde par ici https://fr.wikisource.org/wiki/Livre:Barbey_d%E2%80%99Aurevilly_-_Les_Bas-bleus,_1878.djvu
Supprimeril parle des auteurs féminins comme George Sand etc
Mais honnêtement va plutôt directement vers Arthur Cravan, très pittoresque ... Tu vois quand on est un peu largué avec Zarma, il suffit de demander ! L'important c'est de partir en voyage ; justement Russell Banks va sortir "Voyager" lu quelques pages dans Télérama, ça semble goûteux .
Encore un inconnu pour moi. Étonnant, quand même, vu le personnage, l'époque et l’entourage! et un boxeur par dessus tout çà!
SupprimerPour les "bas Bleus", O.K...Et puis, de vieux souvenirs me sont revenus.
La cuisine est un lieu de vie, de convivialité et de partage ; celui des échanges les plus informels , voire même celui des confidences autour de simples pommes de terre à éplucher ou autres haricots à équeuter.
RépondreSupprimerQuant aux mets qui y sont préparés ils sont généralement la pour faire plaisir aux autres.
Pas si mal une cuisine finalement.
Punkette (en crinoline, a passé un excellent we...)
La prochaine fois on t'attend avant la mi-temps, quel contre-pied pour une belle passe!
SupprimerPas eu le temps d'échanger et de croiser le couteau ou la spatule avec toi. Juste un petit peu avec Tautor. Mais avec ma main en délicatessen... Ferait mieux la prochaine fois.
SupprimerPunk macho !!!
Idem pour moi qui y ai pourtant passé un certain temps sinon un temps certain durant ma vie passée...A commencer par la cuisine de ma grand-mère lorsque j'étais enfant.
SupprimerPimprenelle, comme les meilleure cavalières, tu as de l'assiette.
SupprimerCorrectifs ...
RépondreSupprimerLabsus révélateur du boss Maître queux (du latin coquere, voir cocuus) et pour cause "Préparation H" existe en crème ou en lingette... pour avis Benoit 😉
Souvenir...
RépondreSupprimerAu moment de partir pour Treignac, un bémol s'est glissé dans l'harmonie de mes pensées, un ami avait décidé de s'en aller. Pas le temps d'être triste et j'ai renvoyé: "il est libre comme il le voulait..." Hier je l'ai accompagné et pas pour la dernière fois.
Aussi ce matin retrouver votre entrain m'a fait passer un peu la gueule de bois d'un dimanche chagrin et d'un lundi trop froid.
En panne de temps, pour tout compte rendu j'ai envoyé le lien du blog à mon amie, celle qui sur les blogs de voyage image mon baratin. Elle a du mal a tout décoder mais a fini par comprendre mes enchantements. C'est vrai qu'on est marrant. je l'écris les yeux brillants et les oreilles pleines de tout ce qu'on a dit.
Je lis que Krisnamurti a fait un peu de chemin, c'est à la croisée de miens que je l'ai trouvé. En fait, il a fait le lien entre mon envie de "Jeu libre" et ma recherche de "Je libre". Drôle d'Hindou Jiddu, discours de mots simples, une force de la nature capable de détruire tout ce que l'on a appris. Il vous renvoie chez vous, pour vous conformer à seulement vous et ceux (et ce) que vous aimez vraiment. Toutes les lumières des siècles en prennent un coup!
Dans ce moment de lourds changements pour notre République et face à un autre choix écoutez le encore:"La liberté est hors des murs, hors des schémas établis de la société, mais pour s'en libérer vous devez en comprendre tout le contenu, c'est à dire comprendre votre propre esprit."
Je reviens donc de Clermont Ferrand, où les "Michelins" sont fiers d'avoir gagné une demi-finale de plus. Ils sont conscients qu'ils savent bien faire dans le domaine mais ils sont inquiets pour le 13 de mai, plus de mal à jouer en final! Les Saracens (Saries mais surtout Sarrazins) leur font déjà peur.
Entre Top 14 et Champions Cup nous voilà revenus au théâtre cornélien...Avec ce rugby on est jamais tranquille heureusement qu'il reste la philosophie pour continuer à rêver.
Pas moyen de faire "plus court" après ces beaux jours!
Suis rentrée en regardant le match de Clermont à la radio : c'est bien la radio tu vois rien mais tu imagines... Alors les joueurs prennent une dimension extraordinaire, la moindre action est sublimée et l'arbitrage video tu te le fais à l'oreille, à la clameur du public . Et on retient son souffle comme celui du speaker dans le money time, tout n'est que ha ... ho ... et soupirs . Arrivée ensuite à Lyon dans les embouteillages habituels augmentés de la sortie de Gerland : et voir défiler cette houle jaune et bleue qui rentrait en sens inverse c'était magique, beaucoup de klaxons joyeux et des gens coincés dans leurs bagnoles qui rigolaient de les voir ces adultes-gamins savourant la victoire . Et nous en face, on s'est mis à les applaudir spontanément : vous voyez le tableau ? Vive les bouchons lyonnais !
SupprimerMichel, Sylvie
Supprimerquel plaisir de vous lire
Vous jouez en profondeur
Et vous jouissez de la vie
Et nous avec vous sur ce coup là
J'ai, malheureusement, pour cause de vieillerie et de fatigue, manqué un certain nombre de points clés. Mais c'est ainsi, on ne se refait pas et j'ai quasiment toujours cédé à l'appel du lit.
SupprimerMes regrets vont vers ce Jean-Louis Dupont que je ne connaissais "qu'historiquement" et qui m'a fait une magnifique impression, confirmée le lendemain par les témoignages des uns et des autres présents à ses très sensibles et émouvantes -manifestement, peut-on dire?- confessions.
Et puis, dans un autre registre, être passé à côté de vos échanges au sujet de Jiddu Krisnamurti, que je connais, disons assez bien littérairement parlant, et que j'ai eu l'occasion de rencontrer dans les années 70 à Paris. Et, d'ailleurs, tout ce monde tournant autour de la spiritualité "indienne" comme, juste pour lever un coin du voile, Shri Aurobindo et sa continuation par "la Mère" de son œuvre à Auroville.
Grâce à vous, tous ces souvenirs du passé me sont revenus violemment, frais et roses comme l'aube se levant sur la dite voile.
Qu’est-ce que l’enseignement ? fut posée à Krishnamurti.
SupprimerIl était calme, laissant la question se déployer. Finalement, il dit, « Je ne sais pas. Je ne peux pas le dire en peu de mots, n’est-ce pas ? Je pense que l’idée de l’enseignement et de l’enseigné est fausse à la base. Tout au moins pour moi. Je crois que la question est de partager plutôt que de recevoir un enseignement, de participer plutôt que de donner ou recevoir. »... « Vous demandiez, « qu’est-ce que l’enseignement ? » N’est-ce pas ? Je dis, l’enseignement dit, "Où vous êtes, l’autre n’est pas »....
Ben, c'est pas gagné pour papa Courrent, la FFR et Eric Laylavoix !!
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SupprimerPour te réconcilier avec le partage lis l'article sur 2 pages sur Henry Broncan "par mots et par vaux" il parle du bénévolat et du partage ... Il aurait pu être parmi Nous ... Un grand Éducateur ... sur le Midol 😉
SupprimerEt dans la série "cet article peut vous intéresser", sur le site du Monde, un excellent article sur le club de Bobigny cher à Jacky Courrent, qui nous a éclairés samedi après-midi à Treignac...
Supprimerhttp://www.lemonde.fr/sport-et-societe/article/2017/04/22/a-bobigny-le-rugby-resiste-au-pied-des-barres_5115630_1616888.html
J'ai lu les deux. Intéressant pour Bobigny,lu ce matin,
Supprimerremarquable pour Henry Broncan, lu a l'instant.
Merci Tautor.
Il m'as toujours semblé vain d'opposer le Rugby des villes et celui des champs, mais c'est sûrement celui des banlieues qui est notre avenir.
SupprimerAllez, Rugby, banlieue, accord gagnant/gagnant, comme dirait l'amère Merkel ?
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RépondreSupprimerBande-son : au moment où les Jaunards déroulaient leur joie sur l'autoroute voici ce que j'entendais par hasard à la radio https://www.youtube.com/watch?v=4H0JDomv8ac&index=2&list=RDprpdKVHt9Uw ... pas du tout mon style de musique mais je dois bien avouer que c'était parfaitement raccord avec le spectacle ! Un petit côté épique qui fait du bien en ces temps de médiocrité rugbystique ; bon devant les Sarries va falloir charger du lourd, au moins les Walkyries .
RépondreSupprimerPourquoi les clermontois ont les mains lisses?
SupprimerCar tous les ans ils se frottent les mains en se disant:
" Cette année, il est pour nous le bout de bois! "
Et il faudra que cela dure plus de deux mi-temps...alors pas que la Chevauchée des..., La Walkyrie toute entière!
RépondreSupprimerSuite à la petite (longue histoire) tournée NZ 2009, un p'tit cadeau souvenir pas cher...
RépondreSupprimerhttps://shop.spreadshirt.fr/boucherie/cantebourre+in+new+zealand-A111056158
Comprends pas bien se que fait la bouteille de badoit sur la photo.Jamais entendu parlé dans vos commentaires...
RépondreSupprimerBarto, l'eau c'est la vie nous a dit André. Et franchement après le toucher sur la plage en plein cagnard, Badoit était idoine.
SupprimerNon mais avant y avait un meeting de Cheminade,z'ont pas eu le temps de faire le ménage!
RépondreSupprimerAllez Chevreuse
Hello des Quinconces,
RépondreSupprimerimpossible et c'est agréable d'arrêter de penser à ce week-end étonnant.
Qu'est-ce que le virtuel sinon un réel qui ne demande qu'à prendre forme...
Exact. Cela mérite réflexion.
SupprimerEt si on y met les formes...
SupprimerFRANCE U17 PASSE 6 ESSAIS À L'ANGLETERRE DANS UN MATCH ENLEVÉ
RépondreSupprimerPas mal non, nous qui parlions de la formation, espérons que cela continue.
Très gnaque comme score non !
Tautor, t'avais des U17 aussi bons. En fait, tu es le précurseur dans l'urgence bien sûr de ce score. Les anglais grâce à toi, nous les avons soignés.
Yes
LE Gé pour Richard après l'effet Kiss Kool voici l'effet quinconces.
Le Gé
quelqu'un aurait le résultat de Crusaders-Mamelouks ?
SupprimerJe sais juste que ça se jouait au pied du mur.
SupprimerLe Gé, yes, l'effet penché sur notre berceau.
SupprimerNouvelle vague, mais pas dernière vague ??
SupprimerTous les ans, nouveau Quinconces !
SupprimerSergio,
SupprimerThis is jaws...
Faut sortir le surf ...
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RépondreSupprimerNouvelle vague?
RépondreSupprimerPas la vague bleue marine assurément à lire cet article
http://commefou.blogspot.fr/2017/04/la-peste-noire.html
Bon le rugby français c'est un peu comme la politique.... mais je ne me hasarderai à faire trop de comparatifs (la mondialisation dérégulée est une chance pour nos petits clubs qui peuvent se payer du fidjien à pas cher, etc...etc......)
J'ai juste un peu de mal à trouver les Insoumis dans le rugby.... Peut être sur ce blog, dans flair play.... Ben oui quoi quand on fait le pari de l'intelligence et des idées ça frôle l'insoumission désormais non ?
Bon Mourad a rejoint EM et pourrait même obtenir l'investiture pour les législatives tant qu'il y est....
Et les clubs insoumis, il faut aller les chercher où ? En 4eme série ?
La partie de pêche de quinconces 3 elle est organisée où le 7 mai? Car j'aurais besoin d'une bonne excuse pour ne pas avoir à accomplir limon devoir de citoyen....
Adichats...
T'as raison, Melanophile Daufinoise.
RépondreSupprimerTalonneur du jour, toujours toujours toujours l'amour
Ta-lonneur du soir....es-poir.🎵🎵🎵🎵
Allez Louis.
Heu, Dauphinoise, non, mieux?
SupprimerAllez à l'école.
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SupprimerBonjour Janlou, tu aurais adoré écouter Jean Louis Dupont et Christian Badin ; font pas de vilains vieux ces deux là ! Des beaux mecs habités encore par le rugby et les beaux souvenirs qu'ils en ont .Ils en parlent très bien avec une grande tendresse ; ils ne vivent pas dans leur passé qu'ils chérissent pourtant mais ils sont bien présents à la vie . Une belle leçon d'humanité .
SupprimerPour compléter la passe de Pipiou sur le rugby amateur, un lien savoureux pour les amoureux du jeu:
RépondreSupprimerhttp://www.lerugbynistere.fr/amateur/pourquoi-il-est-preferable-de-voir-une-demi-finale-de-2e-serie-plutot-que-la-demie-de-challenge-cup-2504171404.php
Je crois que tout n'est pas perdu, la France profonde a encore des vertus...
Texte excellent. A faire lire un peu partout!
SupprimerAh oui, amusant le Clément!
RépondreSupprimerCe n'est pas d'hier que nous proposons l'abstinence canalesque et la cure de talenquére sur ce blog,avec un bon peu de super 18 pour le plaisir.
Allez la France profonde!
Pour prolonger Letiophe à propos des insoumis, et, malheureusement, seulement pour les parisiens et banlieusards, ce soir, entre 18h et 20h, à la
RépondreSupprimerBoutique Potemkine
30, rue Beaurepaire 75010 Paris (potemkine.fr et info@potemkine.fr)
un vieil ami de mon frère -et de moi-même, par conséquent- ex-rugbyman du Lycée de Saint-Cloud,
Bruno MUEL, réalisateur, cinéaste, écrivain,... compagnon des groupes Medvedkine,... ayant filmé le coup d'état de Pinochet et l'enterrement de Pablo Neruda entre autres,... ayant suivi les FARC en Colombie et ayant été condamné à mort là-bas,... à peu près au même moment que Régis Debray en Bolivie...
Que ceux ou celles qui pourront aller le voir lui transmettent mon bonjour.
https://www.youtube.com/watch?v=Gg8jcQ1vCkw
SupprimerOups, ce soir suis déjà engagé ailleurs depuis longtemps. Un délai trop court pour moi. Pas les cannes pour ce coup de rein. Next time, juste prévoir un peu en avance pour la prise d'intervalle, André...
SupprimerJe l'ai juste su aujourd'hui.
SupprimerEt ont attend toujours les interventions de Fréderic, de Benoit, de Christian, de Georges, de Jacques et des deux Michel...
RépondreSupprimerPardon, Jacques (Pipiou). J'ai un souci avec les vrais prénoms et les pseudos. La vieillerie, sans doute...
SupprimerJ'en ai fini avec les courbatures mais j'ai la gueule de bois. On se retrouve dans une mêlée dont on ne sait de quel côté sortira le ballon, tu vois le stress des demis et de leurs compagnons (le schéma de jeu est foutu en l'air)...Le stress sur la durée se change en maladie, c'est la loi des systèmes et je n'aime pas ça. J'ai horreur du mot formation (pourtant je m'y connais par métier d'âme) et lui préfère éducation. Cette dernière sans pédagogie conduit au chaos, on y va tout droit. J'ai mal à ma France et ce n'est pas peu dire moi qui ai eu tant de chance.
RépondreSupprimerPour une fois, on préfèrerait que la mélée s'écroule et que le ballon ne sorte pas.
SupprimerC'est bô comme du Bigeard !
RépondreSupprimerAllez la France, profonde, superficielle,des villes,,des champs,de toutes les couleurs, m'en fout, mais faudrait p'têt éviter le brun,hein, ça va pas a mon tein, du tout!
Désolé Jan Lou c'est la liberté, cela pourrait ne pas durer...
RépondreSupprimerBen oui,Michel,bien d'accord.
RépondreSupprimerSi on essayait d'avoir la liberté pas trop conne ça m'arrangerait.
Allez pas déconner.
obsédé par le ST
RépondreSupprimerQuel sera le prochain président. L'ouverture à candidature jusqu'au 10 mai.
Si mon ami Benoit avait des informations.
Bien sûr je ne demanderai rien à Pimprenelle.
Allez, Richard, une petite information.
Au fait, les 3m€ c'est vrai ou pas ?
Le Gé Angoissé par l'avenir de son club. Remarque avec tous les maillots que j'ai. Cela deviendra Collector :-) N'est ce pas Benoit.
Pas d'info sur Toulouse. Je n'ai pas cherché à en avoir, aussi. Pimprennelle, une piste ?
Supprimer.... 3 pour "éponger", + 7 pour le reste!!!! ( recruter, saison suivante, fond de roulement, ..... ).. c'est chaud !!!
Supprimer8 millions de déficit au Stade Français, aussi, que la famille Savare va éponger avant de quitter la corbeille présidentielle. Papa Jean-Claude et ses filles doivent être soulagés, maintenant...
SupprimerIl parait que le Racing aussi est en déficit.
Le Top 14 vit au dessus de ses moyens. Il devrait y avoir des points de pénalité au classement final pour les clubs qui présentent des déficits.
Salut, la frustration de n'avoir pu être des quinconces#2 (ou #3? Z'aviez pas fait qq apéros au Camp Nou l'an dernier ?) un peu évacuée, grace aux comptes rendu à plusieurs mains en particulier,
RépondreSupprimerj'ai eu plaisir à lire l'excellent papier de Ritchie sur le SF et RCF en amuse bouche du derby du we. Comme les commentaires ont l'air verrouilles pour cet article, tant pis pour vous, vous subirez le mien (SnoringIdiot) ci-dessous:
Belles histoires, bien contées, M'sieur Richard ! Avec des convergences et des particularismes discrètement mis en lumière.
En tous cas, beaucoup d'humain et d'artistique , donc de culture dans ces deux clubs (au sens originel du terme)
Inaccessible chimère pour le 3eme club, (quatari).... et probablement même pas souhaitée ou seulement identifiée .
Dans une version développée, votre analyse sur la présence et l'influence du PUC sur ses très sélect voisins sera bienvenue...
(Dsl pour l'incidente poofballeuse qui n'était pas nécessaire, mais comme c'était destiné à l'Equipe.fr, fallait ratisser large ...)
Snail, je suis limité par le format sur le web (comme sur le print) mais j'ai de quoi fournir le double d'anecdotes sur SF et R92. On en parlera de visu un de ces jours alors ?
SupprimerUne anecdote m'a fait sourire encore plus que d'autres à propos de Bob Dwyer, ravivant le souvenir enfoui depuis pas loin de 20 ans d'un we de 3 jours passé notamment en compagnie de Ruth et Bob (Aussies pur bush) et de Sue et Don Rutherford (so British et même limite OxBridgian).
RépondreSupprimerVictime d'un coup de soleil d'arrière saison, j'avais eu l'idée d'organiser pour eux la visite du site gallo-romain de Fourviere, guidée par un érudit de mes amis à l'anglais aussi riche que mon tailleur mais à la prononciation épouvantable....
Après avoir eu notre dose de vieux cailloux et autres architectures militariste, theatro-religueuses extérieures, nous avons eu droit à la visite détaillée à l'intérieure de l'imposante statuaire des déités autant greco que gallo-romaines, avec remise dans le contexte évolutif de mythologies à tiroir.
Je sentais la patience des visiteurs à peu près aussi émoussée que la mienne et Ruth comme Bob masquaient de moins en moins des grognements issus plutôt de la daube du Bush Austral. Même Sue n'hésitait plus à laisser échapper quelque bâillement post Victorian. Mon ami guide bénévole s'en aperçut il? En tous cas, lorsque nous sommes arrivé (en en sautant err... omettant peut être une ou deux) à une statue ni plus ni moins sexy que ses congenères son visage (du guide, pas de la statue) s'éclaira lorsqu'il nous indiqua que son nom grec etait Déesse Niké... Déesse de la Victoire et donc devenu Nike (qu'il réussi à prononcer de façon compréhensible par ses visiteurs)
Il s'en suivi une telle explosion de joie, celle de retrouver des repères familiers sûrement que cela permis à mes visiteurs de demander à Victor, notre guide, de terminer la visite sur cette note rassurante...
Je suppose que cette anecdote n'est amusante qye pour ceux qui l'ont vécue ... mais compte tenu de l'heure tardive elle aura peut-être le mérite d'aider ceux qui dorment peu à dénombrer les divinités grecques et si vraiment ils ont une grosse insomnie à démêler leurs liens de parenté (attention, y a de l'inceste à peu près à tous les étages...)
Bõa Noite
Correctif :
RépondreSupprimer1)"militaro-theatro-religieuses" pas de militaristes dans cette histoire, basically !
2)Issu de la faune du Bush Austral: rien à voir avec la daube, obviously !
Bob et Ruth... Ah tu fais remonter des souvenirs d'Australie. Coogie. Un petit blanc frais sur la terrasse de leur maison devant la mer et Mel Gibson qui passe la tête pour dire "hello"...
Supprimerbonjour à tous, non je ne suis pas exilé... et suite à reflexion mon exil n'était pas volontaire, à l'époque des inscriptions il n'y avait plus de possibilités sur place. D'autant qu'un exil entraine le fait qu'on ne peut pas gouter à tout, vu le risque des grammes dépassées pour respecter le code de la route. Pour la prochaine rencontre faudra veiller à ce point.
RépondreSupprimerA part ça j'ai apprécié l'ensemble, à part des interrogations sur mon coeur....C'est assez surprenant de voir que les loquaces en écriture le sont moins en expression orale...
A plus
C'est-à-dire, en plus clair.
SupprimerEt sur ton cœur? Et sur les modes d'expression?
C'est vrai qu'il y a un décalage entre l'écrit et l'oral. Et c'est ce qui rend l'humain interessant. Certains ont besoin de l'intimité pour s'exprimer, d'autres apprécie le contact direct. Ce Quinconces était passionnant en ce sens. Découvrir les hommes et les femmes. Du coup, maintenant, quand on écrit, on a l'impression de poursuivre une conversation sur la terrasse un verre et/ou un cigare à la main. Nous mettons un sens plus riche, plus authentique, derrière les mots écrits. Sympa.
SupprimerHein ? Parce que Janlou tu ne l'entends pas quand il écrit ? et la petite musique de Letiophe , celle de Charles, de Nini, Phiphi, Allan, Vincent, François ( Paul et les au... oops ! ) Moi je les trouve très authentiques nos copains blogueurs ... même sans les voir de visu ni entendre d'entendu . A la limite si vraiment c'est plus possible y'a Skype !
SupprimerAvec les Quinconces 1 et 2, le fait d'avoir rencontré certains bloggeurs (une vingtaine) apporte un supplément de nuances authentiques. Lethiophe, je le connais depuis Bordeaux, mais j'avoue que le timbre de voix de même maintenant aux mots, aux phrases, et c'est un plus haut degré de compréhension. L'internet est parfois traître. Là, il est complétement en phase avec les êtres qui le tapissent de commentaires. Nous restons sur l'écrit mais il y a des subtilités que la voix seule, l'intonation, le regard, peuvent apporter. Et depuis Treignac, j'ai l'impression d'avoir devant moi chacun d'entre ceux qui étaient là, à l'Hôte du Lac. C'est ainsi aussi avec les premiers Quinconces. Et j'attends notre prochain rendez-vous. De visu. Car si le virtuel est passionnant derrière le masque, le réel est vibratoire. Et donc pour moi, musicien, c'est comme lire une partition dans ma tête, la musique défile. Mais ce sont mes propres instruments qui jouent, alors qu'écouter le même morçeau interprêté par un autre, c'est se nourrir de ses subtilités, celle de la pièet et celle de l'interprête.
SupprimerC'est ça, ma perception du sens.
Je viens de lire billet du lecteur du rugbynistere, apparement "Clément Suman" , signalé plus haut par Michel.
RépondreSupprimerBien aimé l'ensemble et en particulier la nostalgie à propos des "réajustements (entre avants), sans soustraiter au rossignol"... bons souvenirs, indeed!
Devrait venir relever quelques mêlées avec nous, ce Clément-ci (ou ce Clément-là, jamais retenu la règle).
En plus, y aurait un petit match dans le match avec Nini (et un ou deux autres, dont je ne m'exclus pas ) sur la prolixité ... du boulot à venir pour le TMO...
Oui, tu savait vite si les mecs en face étaient généreux et où se situait la ligne rouge.
SupprimerÉconomie de sifflet,de souffle aussi tant le préposé évoquait rarement Usain Bolt.
Pour autant les coups de pompe et les générales élevées au rang d'institution, ça me manque pas, non plus.
Allez Jojo, la pompe, ça va ?
Le Gé, pour le ST, ça ne sera pas Pelous qui finalement reste au vestiaire. Bien lui en prend ?? pour le déficit, ils sont pas tout seuls : le SF et RC 92 voulait fusionner le leur aussi. Ben ils restent chacun avec aussi, pour l'instant. Qui veut s'occuper de mon passif ? !!!
RépondreSupprimerSinon, sympa l'entretien avec C. Soulette, où l'on apprend que le joueur le plus méchant qu'il ait croisé fut Serge Simon, qu'il décrit avec un comportement bizarre et agressif... Le même qui sauve Aristide Barrau (pas de la Lomagne)lors de l'attentat du 13 novembre.
Ce dernier vient d'annoncer qu'il renonçait à poursuivre sa carrière, trop compliqué suite à ces blessures laissant des séquelles trop douloureuses pour continuer à jouer. Le rugby lui aura quand même sauvé la vie, c'est pas rien. Il faut parfois savoir jeter l'éponge. D'autres devrait s'en inspirer parfois...
J'ai lu l'interview de Savare dans l'Equipe today. Il avoue deux choses, qui sont terribles et racontent beaucoup : "J'ai fait beaucoup d'erreurs, notamment en termes de recrutement, qui sont les plus importantes." Et, concernant la fusion et évoquant aussi le président du Racing : "On a commis de nombreuses maladresses dans la communication."
RépondreSupprimerMerci les agents, donc, qui n'ont pas su être de bons conseils. Et aussi incompétence du staff technique incapable de savoir ce qui est bon pour l'équipe... Quant à savoir qui s'occupe de la com' du Stade Français et du Racing, on se demande si les gens qui gèrent ça sont compétents et surtout s'ils ont du poids. Visiblement ni l'un ni l'autre.
ca fait beaucoup pour un seul homme, non ?
oui je l'ai lu aussi ; il parle clairement du rôle "néfaste" de Simon pour faire capoter le truc mais peu importe, il paraît que d'anciens joueurs voudraient reprendre le club ? on cite Lombard, Marconnet, Blin, Dominici, Rabadan qui font faire un audit financier avant de se lancer . C'est en effet plus prudent si l'on considère les sommes engagées ! A lire aussi dans les Echos ce matin la crise du ST, mais le journaliste élargit au rugby français dans son ensemble ; d'après lui le rugby vit très largement au dessus de ses moyens et tous les clubs sont touchés financièrement . Marrant que le rugby après avoir bien fait la Une côté moeurs, la fasse à présent dans les pages économiques . Valeurs actuelles quoi !
SupprimerBon article dans le Monde, aussi sur le Rugby francilien,premier comité de France depuis bien longtemps.
SupprimerPour le SF,il semblerait que "Capri Sun", du jus de fruits, soit en approche.
Allez Chevreuse ( Chambertin serait en approche )
"Capri Sun " J'ai connu une Polonaise qu'en prenait au p'tit déjeuner. Faut quand même admettre : c'est plutôt une boisson d'homme !
SupprimerSalut Richard, bonjour à tous,
RépondreSupprimerDe retour de PARIS (pour faire le tour des expos / VERMEER, RODIN, PISSARO, et la superbe collection de la (très) belle Alicia KOPLOWITZ à Jacquemart- André "De Zurbaran à Rothko")
juste quelques mots pour vous dire le plaisir qui fut le mien de vous rencontrer... et de partager. Et le vrai luxe dans la vie de chacun, c'est celui du partage.
Olivier Margot dit dans le "Midol" que la mémoire partagée est le bonheur de l'amitié. Et le rugby, véritable symbolique de l'amitié, nous le permet, sur ce blog, aux Quinconces,... ou ailleurs, à travers nos histoires personnelles et notre amour pour ce jeu.
PS : Merci spécial à Tautor pour la consult', gratos en plus! Bravo au Gé, vainqueur de l'étape la plus longue (désolé pour le ST, ce n'est pas 3, mais 10 )belle découverte pour le Cornas2010 (Sergio) et le Côte Roannaise (André)....
Et Gariguette, merci pour les futures traduc' de Zarma ! Michel, on parlera golf au prochain Quinconces, promis!
Merci à toi, Christian, pour la belle initiative sur laquelle je reviendrai lundi prochain. Ta présence fut un vrai bonheur pour tous. La prochaine fois arrive le samedi matin pour la séance de "toucher"...
SupprimerAh Paris, aussi ! Je vois bien là ton côté esthète de l'art...
Quand je pense que samedi dernier, le Christian dégageait en touche sur le sujet littérature ("les bouquins c'est pas mon truc, la culture, moi tu sais, etc, etc...), et 8 jours après il te glisse benoîtement qu'il monte à Paris se faire 2 ou 3 expos au Louvre ou à Jacquemart-André (merveilleux petit musée à taille humaine où les expos sont splendides et où tu peux voir les tableaux sans attendre que 36 japonais se soient pris un selfie devant...).
SupprimerEncore merci pour la passion du jeu qui vous a animés, toi et Eric, un coucou à tout le monde et juste un petit merci au trop rare Benoît pour la petite demi-heure à deviser tranquillement en terrasse, à la fraîche, en attendant (mais vainement) que les biches daignent apparaître en face...
.... pas eu le temps de préciser ... "fais court" qui disait Ritchie .... non, j'ai surtout toujours eu un peu de mal avec la philo et les grands classiques, mais je lis un peu quand même ( avec une femme qui a bossé en librairie, à la bibliothèque, et qui organise depuis 34 ans la foire du livre de Brive). Par contre, je suis passionné par l'histoire de l'art, la peinture, que je pratique au centre d'arts plastiques à Brive. J'avais fait 3 années dans une école de dessin dans ma jeunesse avant d'en faire mon métier / (dessinateur métreur dans le bâtiment). Voilà pourquoi.Mais il y avait aussi des Japonais à Jacquemart-André,et je te dis pas devant "La Laitière" de VERMEER au Louvre !!!!!
RépondreSupprimerBonsoir Christian, rien à craindre ici où la philo est "maison" et les classiques, petits : en clair on lit tous le Midol ! Pas étonnée par ton goût pour le dessin : le tracé, comme la trajectoire en golf sont d'autres formes poétiques du rugby . Amitiés .
SupprimerCe qui s'appelle la découverte au rebond...
SupprimerChristian, rendez-vous est pris pour le golf au prochain Quinconce. J'aurai mis en ordre "Golf entre deux mondes", celui du jeu pour toute culture.
RépondreSupprimerEn attendant je vais aller faire des gammes au rugby en Nouvelle Zélande, l'équipe des Lions à belle allure, voyons comment ils vont être reçus. Pour faire bonne mesure je resterai pour le Rugby Championship et la fin du Super Rugby. Je verrai même le championnat des collèges et des universités.... L'été en hiver et la tête à l'envers.
Treignac était la première étape, une sorte de mise en bouche pour un immense festin, vieux rêve enfantin pour entendre l'histoire de Wilson Whineray de plus près. J'essaierai d'y déceler la passion du jeu qui fait le succès au lieu de parler argent, c'est devenu lassant.
Comme chaque fois pour ces longs voyages, j'enverrai des images qui j'espère ne sont pas des clichés.
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SupprimerMichel
SupprimerJe vais te faire passer Rugby Land avant ton départ
Sauf si tu l'as déjà lu...
Merci Ritchie, Fais la passe, j'aime bien ça...
SupprimerSerais preneur d'infos,Michel à ton retour.
SupprimerAllez Chevreuse
Michel, nous sommes surtout preneurs d'impression en direct depuis le pays du long nuage blanc. Sur ce blog. Fais nous partager.
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RépondreSupprimerBonjour,
RépondreSupprimerAvec ce flamboyant soleil inondant la campagne printanière qui m'entoure, je ne peux m’empêcher d'évoquer à nouveau Treignac éblouie aussi par les rayons lumineux du soleil sur la lagune de la Vézère pour notre plus grand bonheur ... Après la soirée homérique avec Jean Louis, alors que "l'hôtel du Lac" commence à reprendre vie, place à Christian et Eric, les consultants "Formation" de luxe arrivés sur la pointe des pieds ... Première rencontre, première poignée de mains avec Christian, International "virtuel" du blog sur lequel je mets enfin une image ! Pas déçu de la croisée de nos regards et de la poignée de mains ponctuée de "Ah! Tautor ... vu" ... comme s'il était sur le terrain et que d'un coup d’œil vif il avait de suite compris ou était le jeu . Magnifique instant de bonheur égoïste ou je comprenais encore plus la joie indicible de Jean Louis d'être avec nous. Son sourire candide, son regard franc et sa simplicité naturelle nous comblait d'aise. Eric, disciple direct de 'l'intelligence situationnelle" semblait heureux d'être avec son mentor du CAB et déjà au travers de leurs échanges verbaux, la complicité ne laissait pas de place au doute. Très vite, Christian, après une accolade amusée avec Ritchie, dégoulinant de sueurs, se permit de lui faire remarquer son embonpoint ce que "les Quinconces" n'avait pas osé faire jusqu'alors ! En fait, il l'avait facile le beau gosse, toujours ascète mais avec une belle chevelure blanche et une démarche à la "Aldo Maccione" la classe personnifiée ! Très vite, Christian, en confiance, ballon en mains, s'identifie à nous et se signe comme les toreros avec la présentation de "Rugby au Coeur, 1910 2010, Cent Ans d'histoire du C.A. Brive". Un bel ouvrage, bible corrézienne de l'ovale ou tous les joueurs sont inscrits ... y compris Arnaud ! Je ne parlerai pas volontairement de la formation laissant le soin à notre maestro de la temporada le sitio dès lundi ... je poursuis donc sur Christian .... l'écoutant, comme Eric, avec attention, je remarque de suite qu'il est à l'affût, en douceur, de la moindre prise de parole
pour argumenter ou pour compléter ou valoriser le discours de son protégé et ami Eric. Etre international n'est pas donner à tout le monde mais savoir transmettre l'expérience et la passion n'est pas non plus le fruit du hasard ! Dommage que Jean Louis ne fut pas là car entre "l'agriculteur et l'aristocrate peintre du CAB" les échanges auraient pu être savoureux ! Mais bon rendez vous l'an prochain sur le sable de la plage de Treignac ! Les "Pan Tintat" (Champion de France UFAR 2016) seront au rendez vous ! Midi, que dis je 14h, l'heure de l'apéro consommé pour passer à table ... j'ai noté et lu , comme tout aficionado convaincu, que Christian se tient bien à table et que la distillerie romanaise avait sa préférence ! Ma foi, instant œcuménique ou le rugby rassemble toutes les divergences autour de la fourchette .... Dieu ou Krishnamurti seuls savent pourquoi ! Les cours reprennent comme à l'école une fois les liqueurs distillées ... dernière salve d'échanges sur la formation ... Eric, galvanisé par "Papa Christian" balaye l'étendue pharaonique de la formation pour notre plus grand plaisir. Et, en retrait, Christian, aux aguets, tel un trois quart qui attend l'opportunité pour faire le décalage ou le "tchic tchac" trépigne d'impatience de répondre aux "Quinconces". Le soleil donne ses derniers rayons comme lors de la faena et la salida "A Hombros" est toute méritée tant le spectacle fut beau et passionnant ... Merci Eric ... Merci Christian pour cette intimité partagée en toute simplicité toi qui a connu le zénith de l'ovalie à une époque ou savoir jouer au rugby était un art.
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SupprimerJe suis saisi par la propension qu'ont certains hommes à me parler de ma calvitie naissante et de mon taux de masse grasse. Comme s'il n'y avait pas de sujet plus important à évoquer lors d'une rencontre. J'avoue surtout que Côté Ouvert était le dernier endroit où je m'attendais à lire ça. Bref, passons.
SupprimerPour ma part, je ne me permettrais jamais ça que ce soit face à un inconnu, une connaissance et surtout pas un ami ou une amie.
Je me vois mal lancer : "qu'est-ce que tu es gros, toi !" Ou "whaou, tu es devenu chauve" ou "et bien, tu as pris un sacré coup de vieux, toi, avec tes cheveux blancs"...
Puisque le sujet est lancé, j'avoue que ça m'a choqué. Pendant deux secondes. Et puis je suis passé à autre chose, la raffinement n'étant pas la chose la mieux partagée dans ce bas monde.
Que notre Tautor n'ait pas la délicatesse de laisser ce sujet la ou il était resté c'est à dire à Treignac est encore un autre sujet. Je m'en expliquerais directement l'année prochaine sur la plage lors du petit match de rugby que nous organiserons...
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Supprimerje vois que le second degré voir le clin d’œil, dans un propos chahuteur, ne sont pas en honneur de sainteté et que la légèreté du carabin que je suis se voulait être comique à l'image d'Aldo Maccione ... raté dommage ....
SupprimerPlaise à vous Monsieur ! Je vous attendrais à la plage de Treignac, vous aurez le choix des armes, mon témoin sera Jean Louis ! Plaise à vous
Supprimer..... mais, ne dit-on pas que les coups de vieux sont les meilleurs ??? (non, excusez Mesdames, je déconne... ce n'est pas top... )
SupprimerTautor, penses à amener la muleta et les banderilles, on rejouera "Un singe en hiver" sur la plage de Treignac (ou d'ailleurs)
SupprimerAvec plaisir
SupprimerChristian,
Supprimerun peu d'ivresse sur la plage mieux que l'eau du barrage !
https://www.youtube.com/watch?v=xEC3WPzhGko
Perso, après le ballon à la plage et relatif à la carrière rugbystique de l'intéressé, j'avais juste évoqué Lulu Pariès... (avec des cheveux !!)
SupprimerTout comme avec Tautor, je te remercie de le signaler. Tu as sans doute remarqué que sur le moment je n'avais pas relevé ta sortie. Franchement, vous avez quoi avec mon physique ? Et puis ça n'est pas très flatteur pour M. Pariès.
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SupprimerJ'ai créé ce blog et les Quinconces pour qu'on parle rugby pas qu'on ironise sur les contours physiques des uns et des autres. On se croirait dans une cour d'école. On pourrait reprendre un peu de hauteur que ça ne serait pas plus mal, non ?
Supprimerêtre gamin, chahuteur, moqueur, gouailleur, merle siffleur, rieur, etc. n'a jamais fait de mal à l'esprit bien au contraire je trouve ..... de la hauteur et de l'esprit il en faut, du rire aussi mais aussi de l'humour en vrac ou en finesse qu'importe ... j'ai le souvenir de quelques vestiaires ou certains étaient la tête de turc du groupe et là parfois c'était méchant ... à Treignac nous sommes bien loin des affres de MG ou des sévices subis par nos jeunes .... se faire amicalement chambrer n'a jamais tuer personne .
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SupprimerChacun a son idée de l'humour, Tautor. Perso, je n'aime pas "chambrer", comme tu dis, les personnes concernant leur physique. Que j'entretienne ou non de bons rapports avec elles.
SupprimerDans le genre de réunion qui est la nôtre, je trouve ce genre d'humour au détriment des autres plutôt déplacé, voire impoli. Pour moi, ce n'est pas de l'humour c'est de la moquerie et j'apprécie peu ça. Que ce soit me concernant ou concernant quelqu'un d'autre. Perso, je ne me serais jamais permis de "chambrer" qui que ce soit sur son apparence durant notre séjour. Ca ne me vient même pas à l'idée. J'apprécie ce qu'il y a à l'intérieur, pas l'enveloppe.
Ne fais pas aux autres ce que tu n'aimerais pas qu'ils te fassent.
L'inverse me parait être une familiarité déplacée.
Je ne me serais pas permis, par exemple, d'aborder un talonneur international de tes amis en lui disant qu'il avait pris du bide depuis la dernière fois que je l'ai vu.
Question de respect et de bonne distance.
Ca me parait important de le signaler. Ce n'est pas sous prétexte qu'on a passé un bon moment tous ensemble qu'on doit maintenant se taper sur le ventre comme si on avait gardé les oies...
Voilà. Maintenant, passons à autre chose.
Cdlt
Richard
SupprimerJustement garder les oies c'est tout un art comme les gaver je te ferais goûter du foie gras de la Lomagne sans moquerie et en toute amitié
Alain,
Supprimertu es gonflé ! Tu veux me faire grossir ou quoi ? ;-)
tenez l'esprit "Quinconces" à la plage !! entraînez vous pour l'an prochain !!!! le jury féminin n'aura que l'embarras du choix !
RépondreSupprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=eTm0X93l8vk
Une de mes scènes favorites de ciné. On va s'entrainer pour le défilé avec une notation du jury féminin, à la clé...
SupprimerDans le style déhanché et marche style Apache, je trouve que Maurice Chevalier n'est pas mal du tout quand il chante:
Supprimer-"Prosper, youp la boum...."
Un peu "soupe au lait" le père Ritchie...
RépondreSupprimerUn monde intérieur bouillonnant, plus ou moins bien contrôlé, toujours prêt à déborder...
Une fois saisi, cet aspect me plait beaucoup.
Et je pense pouvoir me permettre cette petite réflexion au vu de mes propres expériences des piques -c'est le cas de le dire- subies, supportées, à propos de mon propre nom. Et le nom, et ma nature, plutôt calme, placide, réflexive, "ruminative" font de moi une sorte d'exacte contraire de ce Ritchie vibrionnant.
André, et moi qui suis bourguignon, on devait bien se rencontrer un jour... bon, je badine un peu ...
SupprimerAndré, toi qui penses être de nature réflexive et placide, ce qui ne m'est pas apparu d'une grande évidence, juste partager avec toi cette pensée : "Il y a ce qu'on pense être, ce qu'on croit que les autres voient de nous, ce qu'on voudrait qu'ils voient, ce que nous voudrions être et ce que nous sommes."
SupprimerUn peu comme en rugby : tous le monde regarde le ballon, écrivait Rives, mais pas du même endroit.
André,
RépondreSupprimer"un nuage de lait" avec le tea !
et le divin chauve, c'est qui?
RépondreSupprimer52-7
RépondreSupprimerLe ST a ....
Ce n'est pas une raclée, c'est un désastre et pas un des astres même si il ont des étoiles sur le maillot.
Ce n'est pas une raclée, mais joueurs de l'Arthrose même pas l'Art Rose.
Ce n'est pas une raclée, c'est le cap y tôle dans le capitole.
Ce n'est pas une raclée, mais une mise à l'abattoir, ou une équipe au musée (pour Benoit ou Christian) qui ne sont pourtant pas des peintres
Ce n'est pas une raclée, c'est l'atelier de rugby léger car ils ne sont plus des David.
Ce n'est pas une raclée, c'est la chapelle des carnes élites,
Ce n'est pas une raclée, c'est la cité du vide sidéral, faute de la cité de l'espace des gagnants.
Bon alors ce n'est pas 6 ou 7m€ de déficits c'est 7 m de défaites ici.
ce n'est plus le stade des sept Deniers, mais des 3 derniers.
Je vais me garroter dans la Garonne pour être sûr de ne pas mourir de honte.
Castres les a castrés.
Bon pour moi, vide un weekend à Treignac pour remède. Docteur Tautor, en urgence, ranimes moi.
Le Gé
Allez dans l'esprit rugby (3eme mi temps arrosée) et parce qu'il manque les blagues de Tautor, entendu sur le marché ce matin
RépondreSupprimer"Quoiqu'il en soit avec ces élections achetez des actions dans la vaseline, les prix vont monter" oups...désolé...
Fin de règne apocalyptique pour le ST .... 52 à 7 à Castres ... un nouveau Président, de jeunes joueurs, un même staff ou presque .. est ce bien suffisant pour une 5e étoile ? Disons plutôt pour assurer le maintien en top 14 ..... Personne n'a venu venir le typhon qui laisse derrière lui un désert ... l'institution est vacillante ... la solution est-elle en interne ? Les 2 prétendus mentors, ex 3e lignes, auront besoin de réfléchir à cette équation "la politique c'est éphémère mais une équation est éternelle". Le choix sera donc cornélien d'autant plus que les finances sont exsangues et qu'elles ne régleront pas tout hélas !! Des plaies se sont crées avec une cicatrisation qui sera très longue .... Reste à honorer les vieux grognards qui ont bien mérité leur retraite ou pas !
RépondreSupprimerLe Gé
RépondreSupprimerlis mon histoire qui suit et tu comprendras pourquoi le ST ne va pas guérir de si tôt !!
Le directeur de l'hôpital psychiatrique rend visite à un nouvel arrivant.
- "Alors cher monsieur, pourquoi êtes-vous parmi nous? Quelle est la raison de votre séjour?
Et le gars lui répond :
- "Eh bien, tout a commencé quand je me suis marié... Ça a été ma grande erreur !
J'ai épousé une veuve qui avait une fille de 25 ans qui est devenue ma belle-fille.
Un beau jour que mon père venait nous rendre visite, voilà-t-y pas qu'il tombe amoureux de ma belle-fille.
Peu de temps après, ma belle-fille et mon père se marient.
Du coup, ma belle-fille devient ma belle-mère. Quelques temps plus tard, ma femme me fait un fils qui devient illico le beau-frère de mon père puisqu'il est le demi-frère de ma belle-fille, qui elle-même est la femme de mon père (et donc ma belle-mère).
Maintenant, mon tout jeune fils est aussi devenu le demi-frère de ma belle-mère, et il est donc un peu mon oncle...
Ma femme est aussi ma belle-grand-mère puisqu'elle est la mère de ma belle-mère....
Et n'oubliez pas que ma belle-mère est aussi ma belle-fille...
Et si on cherche encore plus loin, on voit que je suis l'époux de ma belle-grand-mère, et donc que je suis non seulement le petit-fils de ma femme, son mari, mais aussi mon propre grand-père...
Vous comprenez pourquoi je suis ici maintenant ?"
merci Tautor, un début de sourire sur mon âme désespérée.
SupprimerPour toi et les autres bien sûr qui aiment lire
mon premier est une plante à feuille des jardins
mon deuxième est une plante à feuille des jardins
mon troisième est une plante à feuille des jardins
mon quatrième est une plante à feuille des jardins
mon cinquième est une plante à feuille des jardins
mon sixième est une plante à feuille des jardins
mon septième est une plante à feuille des jardins
mon huitième est une plante à feuille des jardins
LE Gé
ail ail ail ail ail ail ail ail ? version pub : https://www.youtube.com/watch?v=uwqtbkVVRfc ( pardon Benoit, no offence )
SupprimerNon les huit scaroles
SupprimerLewis Caroll
Ben ouais, les absents de Treignac-les-Bains ont à l'évidence eu tort. Suffit de vous lire.
RépondreSupprimerMaintenant, rassurons Richard.
J'ai un mauvais retour veineux dans la patte gauche, mes becs de perroquet me bloquent le cou, le doux acouphène de l'oreille droite commence à me les briser, de vieilles blessures se réveillent style bobo à la jambe amputée, l'autre jour j'ai pris la canne de mon père, je commence à oublier leurs prénoms, je passe plus de temps à nettoyer le peigne qu'à mettre de l'ordre dans mon ex-ravageuse blondeur, après avoir reculé les boutons au-delà du présentable j'ai du changer de vestiaire. Et je m'appelle Lecucq.
Alors, fais-toi vite à l'idée que ce sera de pire en pire, qu'on a bien vécu et qu'on s'émerveille encore.
Charles, je me fous pas mal de savoir à quoi tu ressembles. Ce qui m'importe c'est de voir ce que tu as à l'intérieur. Ta générosité. Moi, j'apprécie les vrais gentils, les êtres bons. Qui veulent le bien. Ceux qui savent regarder les autres avec gentillesse.
SupprimerJ'ai une définition de l'amitié qui me sert pour étalonner : si ton ami est borgne regarde-le du côté où il a l'œil.
Et je m'aperçois que malheureusement nous sommes souvent obligés de tourner la tête pour distinguer ceux que l'on croit être des "amis", ou qui se disent tels. Ca et l'absence de raffinement que je déplore et dont la disparition se constate chaque année davantage me fait penser que d'ici peu je vais me construire une cabane dans une forêt et que peu nombreux seront ceux ou celles qui en connaitront l'adresse.
Charles ... Le retour super..
RépondreSupprimerCharles et la vie devant soi...
RépondreSupprimerPour les commentaires d'après match, Molla pleure encore dans le journal sans avoir compris où est sa responsabilité, c'est à croire qu'il a oublié qu'il est le meneur de cette débandade toulousaine.
Michel,
SupprimerJ'approuve ton message à 100%.
Le règne de "ce n'est pas de ma faute" doit cesser.
Et tous ceux qui son payés président et entraineurs qui ont conduit le club à la 12ième place doivent démissionner après la dernière journée.
Tu ne peux pas gagner des salaires royaux et dire je ne suis pas responsable.
Le Gé
Le Gé,
Supprimerl'entraîneur a ses limites. Il dépend beaucoup de ses joueurs. Quand tu vois en fin de saison les Toulousains marcher sur la pelouse de Pierre-Antoine. Pftt.
Avec Médard, Huget, Fickou, Fritz, McAlister, Bézy, Cros, Gray et consorts, franchement, tu files cet effectif à notre Michel, par exemple, et tu vas voir qu'ils vont rapidement mettre la balle dans le trou...
Visiblement, ils ne veulent pas jouer. J'ai vu le Stade Toulousain revenir par moments à son ADN, le jeu debout avec passes dans la défense et c'était superbe. Mais trop sporadique. Il doit y avoir quelque chose de pourri à l'intérieur du club. Et pour savoir ce que c'est il faut être au cœur du truc.
Ca sent la fin de règne. Mola n'est pas un mauvais coach. Il y a un environnement liquéfié. Ca n'aide pas. Regarde le Stade Français : au fond du trou. Et puis l'électrochoc "fusion" a relancé les joueurs. Comme quoi...
Ils ont envoyé bouler leur président. Quant à Quesada, il n'est pas meilleur qu'avant. C'est juste que ses joueurs ont envie de s'y filer, avec la peur de passer pour des buses après leur grève anti-fusion. Simple, le rugby. Du cœur, des tripes, de la sueur et du sang. Parce qu'à ce niveau-là, le jeu, ils connaissent, les mecs. Tu ne vas pas apprendre à Bonneval, Danty, Plisson, Genia, Parisse et Slimani à jouer au rugby. Idem pour Toulouse. Faut leur passer " Shock Corridor" !!!
SupprimerConnait pas les secrets des corridors toulousains. La faute de Mola si s'en est une, c'est de ne pas avoir pu déclencher un électrochoc chez les joueurs.
SupprimerPlutôt un guépier, qu'un nid d'abeilles, alors pour faire l'apiculteur...
En parlant de niveau, après UBB-RCT de faible envergure, La Rochelle-Montpellier n'a rien de terrible. La pluie, sans aucune doute... Hum... Match de poids lourds mais rien à voir avec Joshua-Klitschko ! Malheureusement. Mais bon, il y a deux périodes...
RépondreSupprimerP...g ! Je trouve le temps d'ouvrir deux fois le blog ce week-end ! Si c'est pas de la gentillesse, ça...
RépondreSupprimerMaintenant, rassurons Richard.
A force de fréquenter Côté Ouvert, j'ai parfois l'impression que c'est à moi que l'on écrit. Et je crois (j'espère) ne pas avoir l'exclusivité de cette impression. Deux ou trois fois, pas plus, des échanges un peu vifs m'ont défrisé (une performance). Et puis j'ai tenté de me remémorer ce que j'avais balancé. Pas toujours très sympa, le Charles. Même notre Fraisounette à nous tous s'est fait griffé. Faut dire qu'en quelques mots malhabiles, la nuance entre la vanne entre potes et l'ironie amère est mince (tu te souviens Richard, j't'avais traité à la légère de susceptible ! Quelle erreur psychologique !).
Il a du t'arriver à l'entraînement de prendre un tampon de la part d'un copain. Motif insuffisant pour changer de club. Cela dit, je partage totalement ton ressenti, ou ressentiment, sur l'incivilité d'une époque dont on n'arrête pas de dénoncer l'individualisme et qui nous a valu ici même quelques envolées à propos de nostalgie. Quand on a connu l'époque ou l'écolier enlevait son béret pour parler à un adulte, faut s'adapter (ou pas).
Personnellement, je ne suis pas mûr pour la cabane au fond de la forêt (j'en avais une merveilleuse dans les Ardennes. Le sapin humide fraîchement débité est ma madeleine...), comme je n'obligerai jamais un ermite à me donner son adresse. En revanche, je suis bien ici, avec vous toutes et tous et, gentil comme tu es, tu ne nous priveras pas du plaisir de continuer à s'envoyer des vannes (pourvu qu'ils restent en D2).
A propos, belle saison des Crusaders, n'est-il pas ?
Charles, tu as raison, susceptible je suis. Personne n'est parfait. En fait, je suis susceptible auprès de mes amis que j'imagine, parfois à tort, attentionnés. Ls autres, franchement, je m'en tape. Imagine ce que je prends sur le site L'Equipe.fr quand je froisse des supporteurs par mes commentaires, pour lesquels d'ailleurs je suis payé.
SupprimerLes tampons j'en ai pris au poste que j'occupais, ouvreur. Mais c'était de la part d'adversaires. Normal. Ou de partenaires à l'entraînement. Mais pas trop : ils savaient m'économiser pour le dimanche où mes coups de pompe pouvaient servir...
C'est juste que je n'aime pas l'ironie quand elle s'exerce au détriment des autres. Et comme par hasard, ceux qui la manient n'en font pas beaucoup d'usage quand il s'agit d'autodérision où là leur humour est absent. Franchement, dans un week-end comme celui qu'on a passé, évoquer ma "bouée" était bien la dernière chose que j'attendais de la part de ceux qui ont rejoint Treignac. Bref. D'ailleurs, je ne vois toujours pas pourquoi mon apparence physique peut être un sujet de discussion, d'allusion et d'ironie. D'où la gentillesse, l'attention (sans parler de raffinement, c'est trop demander) dont je te parlais, Charles, très mal partagée. C'est toujours un peu décevant. Ou pas. Voili, voilà. Et pendant ce temps-là, La Rochelle pulvérise Montpellier, avec la manière. Comme quoi il ne faut jamais désespérer. ;-)
Puting, quel match ! La Rochelle craque complétement sur la fin et encaisse trois essais en six minutes. Et Nadolo avait celui de la victoire à une portée d'ongle... Whaou !
SupprimerEt maintenant un peu plus de deux heures à attendre le derby. Fait gris et frais à Paris.
SupprimerPas mieux dans la vallée du Rhône cet aprèm. Seul Les Rochelais ont tenté de faire du jeu devant des Montpellierains très axiaux, hormis leur premier essai, et les 2e derniers sur des coups de pied à suivre (mais où était l'arrière ??), Nadolo étant très peu utilisé sur l'aile. Des charentais plutôt au diable l'avarice, devant des héraultais revenant du diable Vauvert dans le dernier quart. Un banc montpellierain supérieur a celui des noirs. Ca s'est vu après la sortie de Retière (excellent de culot) et celle de Gourdon. Idem quand Paillaugue est rentré. La logique est respectée sur l'ensemble de ce match entre maritimes, mais attention au vent d'autan.
SupprimerLa dernière vague du week end, qui la surfera bien ? En tout cas, un derby qui verra le perdant mal dans ces chaussures...
RépondreSupprimerBonjour à tous. Que ceux qui cherchent une référence littéraire, artistique ou philosophique ne me lisent pas. Je suis plus doué à l'oral (enfin j'espère) qu'à l'écrit.
RépondreSupprimerLe 21/04, départ tardif de Toulouse. Alain et moi sommes rapidement interceptés par "Little big man" sur une aire d'autoroute. Jean Louis, avec la générosité qui est sienne, nous livre un foie gras en pâture. L'absence de pain n'arrête pas pour autant les 3 gars du Sud Ouest que nous sommes.
Arrivée, 23h00, désolé Gariguette, la prochaine fois nous ferons mieux (dans le bon sens). Présentations rapides, et Jean Louis nous fait part de son aventure internationale, pour finir par nous livrer son cœur.
La nuit se poursuit par des histoires de Ricard Escot, sur Mad Max, pas toujours "commode", par finir sur le contenu et l'origine du haka. La prochaine fois que vous verrez les All Blacks mimer l'égorgement, pensez à ceci : "Avant de mourir, autant mettre un dernier coup de langue", et vous aurez moins peur. Ok, je sors, Richard vient de me mettre un jaune.
4h00,nous montons nous coucher. Pendant qu'Alain fait sa toilette, je me jette sur mon lit telle une passe vrillée et là, cadrage débordement de ce dernier. La faute à un sol trop bien ciré par Didier. Je dis rien à personne, et j'attends que Tautor se couche pour caler la mêlée.
Réveil à 9h00 par un mec qui gueule dans les escaliers, excité par un match de rugby sur la plage (j’irai jouer si je veux, ou pas). Là, Sergio, expert de la plume, le chatouille aux côtes, et Michel l'enrhume définitivement. Benoît lui, entame sa préparation mentale pour les tours de passe passe à venir. Repas gastronomique avant une intervention sur la formation. Je prie Eric de bien vouloir m'excuser pour mon manque de concentration, pas encore remis des coups de semonces du Canon La Gaffelière. Puis fût le temps des cigares plus gros que les barreaux de la balustrade,avant d’enchaîner par une balade tant bucolique, que salvatrice, le long de la plage.
Au retour, il est venu le temps de l'apéro. Alain découpe des tranches de vie, pendant qu'Isa découpe des ranches de saucisson.
André et moi portons une vénération au Dieu Chivas, pendant que Richard regarde le match. Défaite de La Rochelle face à Gloucester, pas de quoi glousser, un adepte de Chivas en fait les frais. Puis la soirée se termine dans la bonne humeur, sur un rhum arrangé et toutes autres liqueurs.
Voilà mon weekend à Treignac. Depuis mon retour il y a comme un vide en moi que j'espère combler lors de notre prochaine rencontre, si vous m'accepter à nouveau.
Frédéric
PS :
Richard, dans le Sud, le "chambrage" est un sport comme un autre, là aussi, le jeu appel la faute. Saches toutefois qu'on ne chambre que ceux qu'on aime bien. Quand Docteur Tautor me dit de faire un régime, je regarde son ventre et ont rigole (pour autant ma santé est en jeu).
Le Gé, si le ST va si mal, je ne pense pas que ce soit la faute unique de Mr MOLA, que je ne connais pas particulièrement. Je pense que les joueurs ont besoin de savoir qui commande au club, d'avoir une ligne directrice, tout simplement.
Merci à mon fils pour le pseudo lulure II, je ne sais pas le changer
Fabulous Fred ! Rien d'autre à ajouter. Ah si : de ce week-end riche en tous points, je garde au fond de moi un balcon en forêt (ou plutôt sur le lac. Mais la foret est de l'autre côté de la berge)... C'était avec Benoit et Isabelle. C'était aussi avec toi. Le "je" appelle la profondeur pour une meilleure prise de balle à hauteur.
SupprimerLulure II, il faut parfois savoir être en retard pour arriver au bon moment. Bien joué.
Ricard Escot. Excellent. C'est vrai que j'ai fait tomber les cartons jaunes, ce vendredi soir. Ca faisait longtemps. Et ça fait du bien de se lâcher un peu. Repas liquide... Mais rugby le lendemain matin. Un principe.
SupprimerMon Lulure,
SupprimerMagnifique texte, plein de sensibilité, de drôleries, de beaux croquis de chacun d'entre nous et une vivacité de mots bien à propos .... J'ai apprécié cette interlude treignacaise ou j'ai pu percevoir que les automatismes étaient revenus, que le rire et la sérénité étaient au rendez vous et que je t'ai trouvé apaisé et heureux de vivre ..... d'être du "Côté Ouvert" est devenu une évidence bien loin de ce moment si singulier devant chez toi ou je t'ai dit que tu pourrais compter sur moi .... Embrasse Alexandre, cet enfant a de l'allure ....
Cher Frédéric,
Supprimerle prénom de mon fils par ailleurs, excellent texte sensible et juste.
Pour un qui se dit handicapé de la plume, je pense que tu devrais t'y remettre plus souvent.
Je m'y retrouve dans tout ce que tu dis et dans le Chivas en particulier dont j'ai dû, malheureusement, limiter la consommation pour cause, moi aussi, des consignes des hommes de science.
En souhaitant te retrouver un jour ou l'autre avec le plus grand plaisir, continue sur ta lancée à manifester tes remarques fines et percutantes. Je te lirais avec la plus grande attention.
Fred, belle entrée en mêlée. Faut dire que t'était plutôt bien équipé... Un premier jet (d'azerty) qui a de l'alulure, on attend le IIe.
RépondreSupprimerP.S. : Où l'on voit dans ton récit que tout n'est pas facile en chambre, surtout à 4 plombes, après distillations diverses. Enfin, t'as évité la table de chevet...
C'est vrai qu'il est difficile de parler d'un panier de crabes sur les bords de la Garonne, mais vous avez raison cela ressemble à ça. Quand les joueurs ne jouent pas, que les ouvriers ne travaillent pas , c'est quand même souvent que les dirigeants ne font pas leur boulot.
RépondreSupprimerLe rugby c'est la vie même si je pense que pour le golf c'est encore plus vrai, on ne peut pas y compter sur les copains pour rattraper une bévue.A chacun sa responsabilité.
Voyons dans une heure les images de rugby en autogestion
Effectivement Michel, une équipe dépend des dirigeants et des entraîneurs, mais surtout de l'implication individuelle de chacun. C'est ce que je souhaitais évoquer le samedi soir à Treignac en vous faisant partager l'expérience de mon ami Eric Blondeau au sein de l'équipe nationale d'Ecosse. Si chacun se donne à fond, joue pour ce qu'il pense être son idée de l'engagement maximal, alors il y a des chances de quinze joueurs puissent parvenir à élever le niveau de leur collectif. Ca ne marche pas dans l'autre sens.
SupprimerJe suis d'accord avec toi mais je ne comprends pas que des joueurs laissent tomber comme ceux du ST l'ont fait à Castres. cela fait déjà plusieurs matches que c'est comme ça, à un moment tu dois te regarder dans le miroir le matin...
SupprimerAvant match à Jean-Bouin : ridicule, la présence du président Savare dans le vestiaire d'une équipe qui ne veut plus de lui, lui qui voulait faire disparaitre le Stade Français en acceptant une OPA de Lorenzetti. L'importance de l'image. Ecoeurant. Ces gens-là n'ont pas de fierté.
RépondreSupprimerIls doivent se sentir bêtes, les deux présidents, en tribune officielle, ce dimanche. Ou pas. C'est d'ailleurs à ça qu'on les reconnait.
RépondreSupprimerPis, ils sont en tribune avec les supporteurs dont on a eu quand même l'impression qu'ils n'avaient rien à foutre au point de leur proposer une fusion. Ridicule.
SupprimerComme dirait Labit, il semblerait que le corps arbitral soit acheté par Savare avec l'argent qui lui reste... Imhoff apprécie la vidéo. Ca fait un peu ch... qu'une séquence soit invalidée pour un geste qui remonte à l'origine.
RépondreSupprimerMais bon, interception de Parisse sur Carter : c'est la classe ! Pas de vidéo, là !
Accrochage Dulin-Dumayrou : le derby perd en intensité. Si ce sont maintenant les trois-quarts qui lancent les hostilités, où va-t-on ?
SupprimerHair fight juste avant la pause. Chavancy en sang. Papé ouvert sur le coup d'avant. Et bien voilà le derby lancé, non ?
SupprimerHeureusement qu'il y a eu les 2 dernières minutes après les 40 premières insipides
RépondreSupprimerDommage pour Lauret qui prend un carton rouge sans avoir mis une belle poire à Pape c'est bête
Mais il faut croire que cette petite "générale" (deux coups de poings) avec deux rouges à la clé a le mérite de réveiller le Stade Français qui joue sous la pluie.
SupprimerLa sortie du Vice President ... bonne deuxieme mi temps
RépondreSupprimerBien vu, François...
SupprimerSix rochelais et cinq bordelais dans le groupe France en stage à Granville la semaine prochaine... l'air de l' Atlantique sur La Manche
RépondreSupprimerLacroix revient en grâce ,histoire de se refaire la main surement.
RépondreSupprimerBernard Landais
Bien, bien. Je valide. Faut juste l'empécher de téléphoner à sa femme quand il rentre tard...
SupprimerJuste quelques réflexions avant que Ritchie ne se mette à construire sa cabane ...
RépondreSupprimerD'aucuns éprouvent la tentation de Venise lui c'est la forêt, et ça fait un moment que d'un blog à l'autre - surtout l'autre en l'occurrence - il nous entretient régulièrement de ce désir d'espace . Ca a commencé tranquillou par des allusions à "l'appel de la forêt" de London, on s'est pas méfiés, c'était classique . Après il a déliré sur The revenant, on l'imaginait échevelé livide vétu de peaux de bêtes, tout ça ... puis vint la famille Thoreau où il évoquait Captain fantastic associé aux forêts du Maine, vinrent Walden, Thoreau encore...
Alors Treignac le lac la forêt c'était trop ! il a failli craquer on a eu du mal à le retenir si ! si !
Tôt le matin voilà t il pas qu'il se précipitait en petite tenue hurlant "Nature ! Nature ! " ( enfin moi c'est ce que j'ai entendu mais bon couchée à 4h du mat' réveillée à 8h en sursaut je mettrais pas ma main au feu ...) Aux magrets délicieux de Chef Tautor ne préféra-t-il pas les lichens et mousses environnantes ?
Tous les indices concordent, si bien qu'en lisant ce matin son désir cabanesque sylvestre, je n'ai pas du tout été étonnée ; ça couvait .
Coïncidence troublante : je lisais hier Philosophie magazine - oui bon je lis aussi le Midol - et donc je tombe sur "La forêt qui cache la liberté " ... Non ? C'est pas vrai ? Ritchie ? You here ?
C'était Cédric Enjalbert.
Il racontait l'histoire de Christopher Knight - ah ce nom !! - un américain qui a passé 27 ans DANS LES FORETS DU MAINE en ermite . L'article finit d'ailleurs par Thoreau, Walden, la vie dans les bois etc Il y est dit que la solitude a augmenté ses perceptions, il n'y avait pas de public, personne pour qui être en représentation . Il y a perdu son identité "il n'était pas utile de me définir moi-même. Je suis devenu sans importance . Mes désirs se sont évanouis ... pour le dire de façon romantique ; j'étais complètement libre "
Alors faut être vigilant, déjà ne plus emmener Ritchie au bois - ouais même celui de Boulogne - éviter toute allusion à la Nature, les zoziaux, les arbres, pas de lac, pas de mare . Du béton .
Par affection pour notre guide spirituel- et spiritueux surtout - j'envisage désormais de changer de prénom : je m'appelle Sylvie et ça, c'est too much !