Sans aucun mauvais esprit et surtout pas provocateur, j'aime poser cette question à mes interlocuteurs, pour la plupart joueurs professionnels : «Pourquoi joues-tu au rugby ?» Souvent, la réponse est longue à venir. Parce qu'elle oblige à réfléchir en profondeur, à effectuer un crochet intérieur. Parce qu'elle déstabilise. Parce qu'elle interroge vraiment.
Pourquoi exerce-t-on telle ou telle profession ? Médecin, enseignant, journaliste, fonctionnaire, entrepreneur, ingénieur, commerçant, ouvrier : la question s'adresse à chacun d'entre nous, qui que nous soyons, quoi que nous fassions. Et tout autant qu'un joueur de rugby, il est toujours intéressant d'y répondre avec la plus grande franchise.
Je ne sais pas si Frédéric Michalak a vraiment choisi le rugby pour en faire sa profession. Je crois que c'est plutôt le rugby qui l'a choisi, l'a pris par la main lui qui aimait le football et le basket, se rêvait en Michael Jordan et tentait des passes impossibles avec une balle ovale, autant que des coups de pieds brossés en banane façon Zidane.
Au moment où la génération montante vient d'être foutue dehors de Marcoussis, il est urgent de savourer les derniers délires des génies de naguère, à commencer par les relances, les feintes et les passes de ce Frédéric-là, aucunement des facéties mais bien une technique mûrie au soleil de l'inspiration, et qui articule aujourd'hui le jeu de Lyon.
Avec Aurélien Rougerie et Vincent Clerc, «Michoco» ou «Cacolak», ainsi surnommé par l'inénarrable Christian Califano, est le dernier de son genre, amateur dans l'âme, professionnel par contrat, entièrement naturel, entré dans le buzz en défilant pour un couturier diamant à l'oreille, agenda de premier rôle, humilité jamais démentie, musicien et artiste peintre par envie.
Rien de formaté chez lui. Ou alors XXL. Frédéric Michalak est un maillon de pur métal, alliage du passé et de l'avenir quand il devient actionnaire principal du club de Blagnac qui place à sa tête Christophe Deylaud, tout en prenant sous son aile le jeune demi de mêlée du LOU, Baptiste Couilloud, international moins de vingt ans promis à un futur radieux pour peu que.
La filiation Deylaud-Michalak-Couilloud, ce lien tendu comme une passe tirée au cordeau que rien n'altère. Toute l'essence du rugby tracée dans ces traits d'union qui forment une ligne. Mieux, une lignée. Comme avant cela celles magnifiquement portées par Boniface-Nadal-Castaignède, ou Maso-Sangalli-Codorniou jusqu'à incandescence.
Nous aussi participons au jeu des sept familles en choisissant notre équipe parce qu'elle a un style. Et le style, c'est l'être. En rugby comme en littérature, en sport comme en art. Le style de l'UBB ou de Toulon, d'Agen ou de Lyon, de La Rochelle, de Toulouse ou de Clermont, défini par de subtiles variations, ici la ligne d'avantage, là les blocs, ailleurs une vision d'ensemble faite d'accords et de cohérence.
Le style, c'est ce qui caractérise le mieux Frédéric Michalak quand il choisit d'associer son mentor au projet dont il est, lui, porteur à Blagnac, et son filleul à sa dernière saison sous les couleurs du LOU sans pour autant en faire un disciple. A cet instant, le style c'est la vie. Qu'est-ce que l'existence sinon une traversée. Et une telle circumnavigation ne vaut pas grand chose si l'on n'a rien partagé, rien reçu, rien donné.
On dit que nous devenons éternel dans les gestes de nos enfants. Et qu'il faut donner au moins autant qu'on a reçu. Michalak, comme d'autres avant lui, s'inscrit dans cette perspective, cette ouverture à un poste charnière dont il a occupé les deux versants, les deux battants. Alors si la passe en arrière est l'acte fondateur du rugby tel que nous le connaissons, c'est bien de transmission dont nous sommes à la fois porteurs et garants.
Merci Richard pour cette belle passe à un grand monsieur. Car ce mec a l'élégance du coeur. Il n'a pas hésité à se mettre en danger. Il est allé ailleurs comprendre qui il était. Beaucoup se sont gaussés mais la passe qu'il fait a son maître et a son filleul est de toute beauté. On peut mieux comprendre alors que le rugby c'est la vie.
RépondreSupprimerMerci Richard pour cette belle passe à un grand monsieur. Car ce mec a l'élégance du coeur. Il n'a pas hésité à se mettre en danger. Il est allé ailleurs comprendre qui il était. Beaucoup se sont gaussés mais la passe qu'il fait a son maître et a son filleul est de toute beauté. On peut mieux comprendre alors que le rugby c'est la vie.
RépondreSupprimerOui, Michel. En tout cas, c'était sympa de se voir sur Paris mercredi. Désolé de t'avoir proposé Odéon toi qui était sur Dourdan mais je n'avais pas trop le choix. C'est quand je ne travaille pas que je suis le plus occupé...
SupprimerEt j'ai eu la bonne surprise d'être appelé à la réception de L'Equipe par Georges. Cpôté Ouvert, c'est du lien.
SupprimerBon sujet, personnages évoqués attachants, Michalak encore un peu plus réhabilité, "esprit" préservé.
RépondreSupprimerJe m'étais d'abord demandé ce que Michalak allait faire au LOU, sans penser que les Lyonnais étaient peut-être tout simplement conscients de ce qui leur manquait. En tout cas, ils devaient poser sur lui un regard proche de celui de Richard.
Michalak vilipendé au temps de l'EdF ? Dans ce cas, il rejoindrait Dédé Boni, Maso et tant d'autres, tous possesseurs de ce qui est insupportable aux médiocres : le talent.
C'est sa dernière année ? P.... ! Il a débuté hier...
Ça ne me rajeunit pas non plus. Je l'ai vu débuter et écrit son premier papier dans L Équipe... oups
RépondreSupprimerJe vais faire ma Perec de province mais bon .... Je me souviens que lorsque vous êtes venus me voir à Grenoble vous avez beaucoup parlé de Michalak ... Je me souviens que Benoît en particulier vous avait prévenus, avertis voire menacés... "De toute façon moi je regarde - peut être à-t-il dit je m'intéresse - encore le rugby tant que Michalak jouera mais après ..." Je me souviens que vous aviez gardé le silence un instant - au moins 30 secondes mais après l'imprécation bénédictine ça m'a paru très long -
RépondreSupprimerJe me souviens que vous êtes tous restés les yeux dans le vague ... Je viens de comprendre en te lisant Ritchie ce qui défilait dans vos têtes à ce moment-là .Je me souviens qu'après ces paroles de Benoît on a parlé d'autre chose, de bouquins probablement, comme pour conjurer le sort .
Putaing ! Le rugby sans Michalak mais ça sera quoi ? Déjà que sans Méla Brive se sent mal ...
Moi j'ai commencé avec Nadal, qui était sur la fin en 1984, et Blanco au sommet. Puis Codorniou et Lafond. Sont arrivé Charvet, Bonneval et Mesnel. Puis Castaignède et Ntamack. Maitenant c'est son fils qui débute. Michalak va arrêter en mai. Je serai à Lyon ce jour-là. Pour les demies. J'espère qu'il ira en finale et plus puisque affinités.
RépondreSupprimerAprès Michalak ? Ouh là là mais ça va faire vide. La disparition, hein, c'est ça dont tu parles, Sylvie. Manquera une lettre. Mais un joueur va émerger c'est obligé. Pour faire des tchic tchac mais pas que.
Oui, Benoit et Frédéric, rencontre à distance. Il nous faudra un génie, et on n'en a pas sous la main. D'ici qu'on le trouve savourons le présent, non ?
Agen-Lyon, vous regarderez : il est titulaire au pays de Sella...
Frédéric Michalak vient de m'envoyer un sms à l'instant. Court extrait pour vous seulement :
Supprimer"Si on enlève tout ce qu'il y a autour, on revient à l'essence même de ce pourquoi nous avons choisi ce sport. C'est juste un jeu, du plaisir. Que l'on partage entre potes."
Philippe,
RépondreSupprimerCharles,
je retiens de vos commentaires 2 choses fondamentales : "il est préférable de passer à côté d'un arbre plutôt que de rentrer dedans, question de bon sens" et "dans tous les domaines d'activité, sans exception, diminuer l'autre est sensé compenser ses propres carences".
"Des siècles d'évolution pour en revenir à la loi brute du plus fort " hélas, in fine, cela a toujours existé. Le monde animal en est un bel exemple et l'homme a du s'adapter à ce concept depuis la préhistoire. C'est pour compenser ses carences qu'il a créé des outils pour tuer les animaux plus forts que lui. Donc rien de neuf à l'ouest ! Aujourd'hui, pire que la force musculaire ou celle de la soi disante cervelle c'est l'argent qui pallie aux carences de l'homme et qui le rend fort (mon père appelait ça "des cons glorieux" ce qui voulait tout dire). Regardez tous les friqués du rugby français, sortez leurs l'argent, ils deviennent monsieur tout le monde et se noient dans l'indifférence. Hélas, le "monde amateur" trop crédule et trop cupide mais avide de pouvoir n'a pas compris qu'avec l'argent on achète tout y compris l'âme ! (voir l'âne bâté).
De l'argent, on construit des ruines, il suffit de regarder l'histoire des peuples et des civilisations pour s'en convaincre. Loin d'être évangélique, notre rugby a besoin de foi, celle écrite sur ce blog ou ailleurs, celle de passionnés comme Lulu de Paname, celle de jeunes qui croient au jeu avant de croire à l'argent, celle qui vient du cœur et que l'on transmet sans compter. "Il ne dépend pas de toi d’être riche, mais il dépend de toi d’être heureux" Epictète.
Tautor
SupprimerIl me semble qu'on est passé à autre chose
Ça c'était la chronique d'avant
C'est bien de changer de thème aussi...
Cela dit ru peux rester sur l'autre pour terminer le sujet
Amitié
Ritchie,
Supprimerje n'ai pas eu le temps matériel de développer .... ce que j'ai écrit sans le savoir colle bien à Fred et à ton post à savoir la foi, le plaisir du jeu, certes de l'argent il en faut ... ce n'est pas lui qui va dire le contraire car pour renflouer Blagnac il en faut ... mais surtout, je pense, qu'il veut redonner au jeu un esprit rugby à son image. Je suis un minot de 11 ans, 51 kg, pilier au SBC, qui s'éclate totalement. Et je le comprends vus les cadres: Benoit Lecouls, Yannick Jauzion pour ne citer que les plus connus et sans vouloir minimiser le reste du groupe. En 2001, il est Champion de France à 18 ans avec le ST après l'avoir été en cadets et Crabos avec Nicolas Jeanjean, Romain Millo Chuski et Clément Poitrenaud. 1/2 d'ouverture originellement, il a essayé tous les postes à l'arrière avant d'être bombardé à la mêlée. Ceci explique cela aujourd'hui cette faconde accomplie du jeu et le départ pour les Shark's fut un bonus incontestable car il étouffait dans le carcan de jeu de GN. L'an dernier, dans un de tes posts, j'avais souligné que Frédéric était le meilleur et de loin à son poste et au LOU et qu'il pouvait jouer en EDF sans problème tellement le niveau était moyen. Ce qui le caractérise le mieux c'est l'instinct animal du jeu et la vision qu'il a des intervalles. C'est un créateur d'espaces qui n'a pas besoin du tableau noir pour jouer. Donc en soulignant les remarques de Philippe et Charles, je suis dans le fil de la pensée de ce post qui fait qu'un grand joueur n'est grand que s'il a reçu les bases ou les fondamentaux en plus du génie qui lui est propre et qu'il faut savoir respecter ce qui n'est pas toujours le cas semble t-il ! (doit-on façonner un joueur pétris de qualités et de génie à son mode de pensée et de jeu ? un post la dessus avec avis de Boni par exemple ?). “Il est plus beau de transmettre aux autres ce qu’on a contemplé que de contempler seulement.” Saint Thomas d'Aquin
Bien compris, Tautor.
SupprimerTiens, d'Aquin, dont le cœur est placé dans une église toulousaine, non ?
"Doit-on façonner un joueur pétris de qualités et de génie à son mode de pensée et de jeu ?" C'est ce à quoi aboutit le T 14 jusqu'à présent, non ?
SupprimerFrédéric Nicolas Clément j'avais lu, il y a bien longtemps le livre sur ces petits jeunes (qui n'en voulaient ). Ils m'ont fait rêver surtout cette finale.
RépondreSupprimerJ'ai toujours admiré 3 joueurs. Et malheureusement Nicolas était souvent blessé.
C'était l'école du ST.
Ils avaient un super éducateur
SupprimerDébat me semble t il
Michel Debat ? Il me semble que l'auteur du livre sur les trois djeunes est quelqu'un d'autre dont le nom m'échappe.
SupprimerDaniel Boudre, ça y est. "Sacrés gamins".
SupprimerClaude Debat c'était le responsable de la section Sport-Etudes à Jolimont.
SupprimerDaniel Boudre était prof de français à Jolimont et responsable au centre de formation du Stade Toulousain.
C'est effectivement Boudre qui a écrit le livre sur les trois gamins sacrés champions...
SupprimerTautor, tu as peut-être un métro de retard, mais comme j'en ai souvent plusieurs, cela ne me pose aucun problème. D'ailleurs, si on reprend Côté ouvert depuis le début, on empile les exemples de sujets ressassés. Toi-même, quand tu bastonnes le fric, tu sembles oublier tout ce que nous avons dit de très voisin sur le thème. Me concilierai-je tes bonnes grâces en avançant que l'appât du gain, la tentation du muscle et les petites malveillances entre amis ressortent du même mouvement ? Une bonne part de la magie du rugby tient dans sa façon entêtée de nous dire que l'équipe est plus grande que le plus grand des joueurs, ce que nous résumons en un mot qui dit beaucoup, la passe. Ce qui nous ramène à Michalak. L'équipe est donc plus importante que toutes les manoeuvres d'essence individualistes, de la signature du contrat à la sacro-sainte salle de muscu, en passant (peut-être...) par la prise d'adjuvants.
RépondreSupprimerL'argent. J'ai suffisamment dénoncé ici son rôle outrancièrement boursouflé pour redouter qu'on "ne prête qu'aux riches". Un sport professionnel sans argent est risible et le retour à l'amateurisme une puérile utopie. L'argent, c'est un couteau : ni créé pour égorger, ni voué à disparaître. Mon Epictète s'appelle saint Matthieu : "Jésus dit qu'il est plus difficile pour un riche d'entrer au Royaume que pour un chameau de passer par le trou d'une aiguille". Voeu de pauvreté... Voeu de chasteté... Pourquoi pas "le rugby, plus court chemin vers le paradis" ?
Cela dit, je reste OK avec toi à 99 %. (faut bien préserver une touche perso).
Excellent texte, Charles. Même si je te trouve bien intransigeant avec l'auteur de ce blog en signalant l'empilage de sujets ressassés alors que je m'efforce chaque semaine de trouver un angle différent du précédent. Sans doute perçois-tu de là d'où tu commentes un essoufflement de la chose. Je vais faire vœu d'originalité, promis.
SupprimerJuste te rappeler, Charles, que l'idée de ce blog n'est pas que chacun poursuive dans son coin et ad lib une discussion, d'ailleurs sans fin par principe puisque nous ne sommes aucunement des acteurs de ce sport, juste modestement des spectateurs plus ou moins proches du terrain, mais bien de faire en sorte d'enrichir chaque semaine à la façon d'un Sisyphe remontant une grosse pierre ovale un thème ouvert à nos sagacités.
J'extrais Tautor des "spectateurs" puisque lui entre encore sur le terrain pour ausculter...
SupprimerBonjour à toutes et tous.
RépondreSupprimerNombreux, très nombreux sont les visiteurs du rugby décrit ici. Trop peu laissent leur trace écrite , je suis de ceux là parce que je ne suis qu'amateur, vous êtes tellement pros! Rémunérés ou pas, vous êtes experts.
Ce billet où règne Michalak fait du lecteur un spectateur et la question posée: Pourquoi telle profession ? Je répondrai que pratiquer un sport ne me semble pas un métier.
J'ai pratiqué plusieurs sports, dans l'ordre, gymnastique, athlétisme, puis rugby de 18 à 40 ans. Le seul où le jeu était plus fort, celui de la balle ovale que l'on serre contre soi, que l'on transmet ou qu'on s'arrache.
J'ai pratiqué plusieurs métiers, de l'apprenti au chef d'entreprise, au coeur du savoir, la mécanique. Toujours en m'élevant, de l'ajusteur avec la lime en passant par ouvrier en visant l'ambition de devenir prof que je fus pour quitter l'éducation et oser le monde de l'entreprise dont le but est de faire du profit et gagner de l'argent ... Mais là je ne sus faire et retournais à l'Education Nationale pour faire ce que j'aime: Transmettre.
Et à présent ? De temps en temps au stade Mayol. D'autres; l'oreille à la radio, les yeux à lire sur cet écran les commentaires des match. Puis ceux de ce blog et d'autres avec peu d'images animées, car là où je suis, pas de télévision.
C'est mon choix.
C'est ma retraite.
C'est ma trace laissée.
J'en laisserai d'autres, de temps en temps celles de l'amateur, du spectateur de ce jeu qui devenu professionnel me fait toujours vibrer, avec passion et excès, vive le RCT.
Bonjour Papillonice
Supprimeret bienvenue aux "Quinconces"
Beau témoignage de ce que peut être la vie d'un homme passionné qui va au bout de ses idées comme au rugby. Continue à écrire, nous adorons !
mais il n'est pas nouveau sur le blog ! http://coteouvert.blogspot.fr/2016/10/de-quoi-enjouer.html ...
SupprimerEffectivement, Tautor, Papi nous a rejoint il y déjà de cela quelque temps. Bon allez, un bon D4 et ça repart...
SupprimerAh, mais ! c'est que je me sens moins seul ! Je ne suis pas le seul amateur à suivre ce blog !
SupprimerJe n'ai jamais joué un match de rugby officiel, même si j'ai crotté et déchiré plus d'un short avec les copains. Nimois de naissance, j'ai vécu mon enfance dans le foot obligatoire (le Nimes Olympique de l'époque marchait plutot bien) mais de loin parce que j'avais les pieds carrés... J'étais donc "mauvais en gym", reclus sur les gradins du stade municipal pendant que mes copains courraient derrière le ballon sur la pelouse (enfin, pelouse...). Et puis, en seconde, est arrivé un olibrius qui ne jurait que par le ballon ovale. J'ai d'abord été intrigué par l'apparence de ce ballon mal fini, et j'ai suivi l'olibrius pour faire des passes partout où il y avait 50 cm² de gazon disponibles. Il m'a fait découvrir les matches à la télé et Roger Couderc a fait le reste ! De ce jour et jusqu'à ce que je parte à la fac, même si je n'ai jamais pratiqué en club, je n'ai pas passé une semaine sans toucher un ballon. Le rugby m'a fasciné instantanément parce que, contrairement au foot, on y comprend tout de suite que les biscouettes c'est bien joli mais que le jeu c'est ensemble et les uns pour les autres.
Voilà, le rugby m'est venu par hasard... Il n'est pas mon métier (heureusement pour mes vieux os), mais il s'est installé gentiment en moi... et il m'a apporté un copain qui l'est toujours aujourd'hui !
Pour revenir sur le sujet de cette semaine, je crois qu'on peut choisir un métier par vocation, c'est rare mais ça existe, ou plus souvent par hasard ou plutot parce qu'une opportunité se présente, faut bien gagner sa croute, et ensuite la passion vient ou pas...
Perso, j'ai gagné ma croute en devenant directeur d'hôpital parce que j'ai eu la chance de réussir au concours d'entrée à l'Ecole de la Santé. Je n'avais jamais mis les pieds dans un hôpital, mais ce métier est devenu une passion.
Au risque de faire hurler quelque uns sur ce blog, peu m'importe que la passion soit cause ou conséquence. Je comprends bien que devenir joueur de rugby soit plus naturel quand on baigne dedans depuis toujours, mais je ne crois pas que ça soit suffisant pour devenir un bon joueur. C'est juste une circonstance facilitante.
D'ailleurs, même si les exemples de "fils de" sont fréquents chez les pros, je suis sur qu'il y a encore plus de "fils de" qui ont préféré autre chose que le rugby !!!
Bienvenu Daniel
SupprimerJ'ai peur que ton commentaire écrit ici en plein milieu ne soit pas lu, car il faut aller le chercher et il ne sera pas facile à trouver. J'y suis arrivé car après avoir eu le courage d'écrire, je suis avide de lire ceux qui ont l'amabilité de laisser une réponse.
Alors je t'encourage à poursuivre car Richard Escot souhaite aux nombreux lecteurs anonymes qu'ils laissent une trace de leur passage.
Bien à toi.
Daniel et Papi, inscrivez-vous au club-house (voir plus haut à gauche) si vous voulez faire partie du noyau dur des habitués.
SupprimerMICHALACK detone deans ce rugby
RépondreSupprimerla fonte ne la pas asujetti
il garde une fraicheur et un allant salutaire
c est un createur un improvisateur(un fossile dans l arene moderne)
hier je me suis regale avec un passionant BOURGOIN ROUEN
un spectacle moins insipide que le STOP 14
Perso si j'ai fait du rugby, je l'ai découvert par mon père et notre voisin du dessus à l'époque, et au travers la magie sportive et humaine qui se dégage de ce jeu.
RépondreSupprimerJe dirai avec le recul que c'est l'humain qui m'a attiré et m'attire encore dans ce sport (enchanté de participer sur ce blog à cet écho commun, d'avoir connu Treignac et de rééditer l'expérience). Et aujourd'hui, faut aller le chercher parce que c'est bien ce qui disparait petit à petit,dominé par l'argent.
Le sport doit effectivement être ludique, et le cas échéant, ce tremplin social voire professionnel. Et on n'enlèvera pas au rugby, ce fond d'humain qui reste sa base. Au delà, le monde professionnel est une autre planète qui peaufine des sportifs sur mesure, pour l'image que l'argent veut en tirer. Tout n'est que starisation qui ne permet plus de garder la tête froide et fait perdre le fil humain.
Michalak est ce maillon intermédiaire formaté à l'humain, entre la fin du rugby que nous avons connu et le rugby professionnel tel qu'il se découvre aujourd'hui. Il en a rebattu toutes les arcanes. J'avoue n'avoir pas forcément cru en lui, 9 ou 10, avec ses hauts et ses bas, ses blessures, avant le LOU et son projet pour Blagnac, par méconnaissance du garçon, on va dire. Et aujourd'hui il représente un peu cet espoir que nous cherchons, au travers de gens capable de porter la bonne parole dans ce sport qui aujourd'hui, n'en a plus beaucoup.
La logique voudrait qu'on trouve un ou de nouveaux talents de sa trempe, à qui on puisse véritablement donner sa chance, et qui ne sera pas tourneboulé par les étoiles. Parce qu'il faudra bien aussi continuer à avoir des références. Des Penaud, N'tamack, Couilloud, Dupont, voire l'Irribaren à Georges, Rebbadj, Itthuria et autres. Même si entre commotions et fric, ce sport détruit de plus en plus. Avec du style forcément, lequel, je dirai peu importe, le sien, sachant qu'il évolue aussi avec le temps.
J'ai eu aimé le Racing de Cabannes et La Guille, le Stade Toulousain, Clermont, et maintenant La Rochelle, plein de vista, notamment avec ses ailiers de poche.
Aujourd'hui, je m'accroche toujours à cet espèce de Dalaï lama de Villepreux dont la science me fait toujours baver lorsqu'il s'exprime, toujours là pour faire la bonne passe. Ce dont on est en passe d'attendre des fameux 200 formateurs prévus, un vrai cadrage-débord, dans l'attente d'une osmose pour effacer ce morose.
Quoi de mieux qu'une belle chronique toute fraîche, et un rayon de soleil sur la vallée pour repasser le nez à la fenêtre ?
RépondreSupprimerCharly, la puérile utopie j'y retourne demain, Chevreuse /Gif, la mère de tous les derby's,que Tarbes / Lannemezan, à côté c'est Verlaine /Rimbaud, j' vous en r'cause Lundi.
Ah oui, aussi tant que j'te tiens, au 15 c'est fer 9, pas plus, des trucs que tu devrais savoir quand même!
Allez, vont se serrer un peu sur la talenquère céleste.
Je vous sens lancés...
RépondreSupprimerBonjour,
RépondreSupprimerD'abord Michalak , moi qui ai été grand voyageur en Asie depuis 37 ans , j'ai été séduit par l'émission qu'a fait Michalak " rendez vous en terre inconnue " au viet-nam !
j'ai découvert l'homme alors que je connaissais le rugbyman !
Il m'a séduit par son humanité au contact des populations du nord viet-nam , il avait apporté des ballons de rugby et faisait jouer les gosses du village ; beau moment de télévision alors qu'il n'y a que des merdes en général !
Pourquoi être venu au Rugby , parce à 13 ans j'avais un prof de gym qui était rugby et surement les gènes , Papa étant de St Girons, je ne pouvais pas jouer au hockey sur glace et si maman était de Bastia , j'avais 2 pieds gauche pour jouer au foot !
A ce sujet a près de 40 ans j'ai décidé de rejoindre l'équipe vétéran de foot de mon village , ils m'ont mis arrière , au bout de 2 matchs , mes amis m'ont dit ne viens plus , on ne veut pas se battre à chaque match , car j'avais la fâcheuse habitude si l'attaquant me passait de laisser le ballon pour jouer l'homme ! J'ai bien compris que le foot ne serait qu'un spectacle à la télé ....
Je pense que les parents , les amis , le village et les profs de gym sont à la base de toutes les vocations pour ce merveilleux sport ; et si malheureusement , certains joueurs ne nous font plus "bander " ( pardon Sylvie et les autres femmes ), c'est parce qu'ils sont venus au rugby pour faire un sport qui "rapporte" aujourd'hui et qui est dans leurs cordes physiques !
Bon week end à tous
UN peu tardive réponse à notre matinal Richard : ma remarque (sujets ressassés) ne concernait nullement l'auteur de ce blog, mais la propension de certains (mézigo prem') à revenir sur les mêmes causes pour traiter des effets les plus divers. Le seul bémol que je me permettrai d'apporter à Côté ouvert tient précisément à la diversité des sujets abordés : Richard nous entraîne chaque semaine sur un nouveau terrain alors que notre petit neurone n'a pas fini de faire le tour du précédent. Toute la différence entre professionnalisme et amateurisme...
RépondreSupprimerSi Michalak, inépuisable mine de commentaires, me souffle une idée dans quinze jours - trois semaines, alors que Richard traite du dirigeant Simon ou de l'entraîneur Coetzee, devrais-je considérer que c'est Côté fermé ?
Richard, souffre une suggestion : ne limite pas la liberté que toi-même nous a donnée et dont nous abusons comme d'un coteau-du-layon.
Cela dit, La Rochelle et Lyon en empêcheurs de tourner en ovale, ça m'va bien. Surtout si l'UBB peaufine sa vocation d'éternel outsider.
Hello Charles, mon commentaire était volontaire provocateur :-) Mais je ne trouve pas que vous "ressassez", au contraire, chaque commentaire enrichit le précédent, et c'est le projet de ce blog.
SupprimerAprès, nous avons une semaine pour mouliner sur un sujet donné. C'est assez, je trouve, d'expérience, car nous n'avons pas le temps de la redite.
Quant à la limitation, sache Charles (mais tu le sais) qu'il n'y a liberté que parce qu'il y a un cadre, un plan de jeu, un référentiel commun dans lequel les initiatives s'imbriquent.
Si vous poursuivez un sujet alors que nous sommes passés à un autre, autant rester sur l'ancien. Rien n'empêche qui que ce soit de continuer à écrire au cul d'une chronique de son choix. Nous avons été nombreux à le faire derrière le texte de Gariguette sur les pierres et les mots, cet été.
Mais chaque nouvelle chronique est comme un nouveau match, un nouveau défi d'échanges : on ne revient pas sur la passé, il est derrière, on n'image pas l'avenir, il n'existe pas encore : on savoure le présent et on s'y plonge. Carpe Diem, Charles.
Allez je file voir la deuxième période de Paris-Montpellier... A plus
En ce qui me concerne, pratique du rugby via mon père (joueur, entraîneur, arbitre, dirigeant) : pas le choix. Mais il m'a fait pratiquer le tennis. En plus de la natation, du hand, du foot et du cyclisme.
RépondreSupprimerEn ce qui concerne le journalisme, il y avait des ouvrages de Denis Lalanne et de Christian Montaignac dans la bibliothèque, aux côtés de Neruda, Tolstoï, etc.. Et puis "les Joies du Rugby"... Donc j'ai voulu écrire sur le rugby, pas obligatoirement faire du "journalisme" au sens pur du terme. Je lisais Pierre Verdet dans Midol, Yves Harté dans Sud-Ouest, Jean Lacouture dans Le Monde et ça suffisait à mon bonheur. Je n'étais pas un grand lecteur de L'Equipe, que je trouvais un peu fade, mis à part Lalanne, Lacour et Lagorce.
Et donc écrivain de rugby plutôt que journaliste, au sens du métier. Après, je me suis adapté. Mais avec un diplôme de psychologie, je suis davantage allé vers l'humain, j'ai créé des liens, y compris avec les techniciens et les penseurs, perchés à des hauteurs où j'aimais bien me rendre, même si je manquais parfois un peu d'oxygène.
Voilà, vous savez tout. Ou presque.
Mais comment peut-on accorder l'essai à Ryan Crotty, le centre des All Blacks, alors qu'il n'a pas touché le ballon et pas fait de pression de haut en bas dans l'en-but ? Le ballon roule sur son ventre et c'est tout. Je ne comprends pas. Expliquez-moi ?
RépondreSupprimerPas vu le match. Mais me demande aussi comment se fait il que pour UBB/RCT, l'arbitre accorde essai de pénalité p/écroulement sur tortue béglaise de 25 m mais qui n'empêche pas de marquer ? A la sortie ils perdent 2 pts possibles pour la transformation. En tout cas, courageux, accrocheurs et volontaires, les bordelais, avec Hickey qui a manqué presque ce qu'il a voulu au pied. Alors que les toulonnais semblaient avoir les clefs de la gagne. Bon match, comme celui du SF qui mate Montpellier, qui a échaffaudé un jeu trop prévisible et hoquetant. De quoi les remettre "en marche", comme l'autre...!!
RépondreSupprimerSergio, l'essai de pénalité vaut sept points. On ne tente plus la transformation.
SupprimerAh oui, autant pour moi. Même pas fait attention au score !!
SupprimerP/l'essai de Crotty, s'il ne fait pas action d'aplatir de haut en bas avec les mains (qui touchent quand même le ballon), pour moi, ll aplatit avec le ventre. C'est ce que semble dire l'arbitre vidéo en finalité... Ma seule interrogation, peut on juger en avant avec les mains du moment, où il ne maitrise pas le ballon pour aplatir avec ?
Dommage pour les affsuds qui ont tout donné pour finalement se faire contrer, et perdent sur le fil... du rasoir pour les blacks qui restent invaincus.
Sinon les argentins dans le dur. Ils n'y arrivent pas aujourd'hui, même avec toute leur vaillance. Et ils ne bénéficient pas des meilleurs éléments de leur championnat qu'ils essaient pourtant de renforcer en interdisant la sélection à ceux qui partent pour de juteux contrats dans d'autres championnats. Au point qu'ils reviendraient en arrière pour l'autoriser par contre, pour la prochaine CPM... En comparaison du nôtre où à l'inverse, on n'arrive pas à dégager le devenir qui ne trouve pas toujours place dans le T 14, rapport à la gestion avec les joueurs étrangers notamment et la gestion des JIFFs, et l'argent... 2 extrèmes.
Bon, des brivistes qu'ont pas fait que rammasser les champignons, hein Nini ? La cueillette d'une première victoire, difficile car pas parfait, mais qui peut les faire avancer. Au contraire d'Oyo qui semble bien parti pour la dernière place. Et un LOU qui commence à faire aux bergers des gros de ce T 14... Va falloir sortir les fusils !!!
RépondreSupprimerfaire vraiment peur, bien sur.
Supprimerfaire vraiment peur, bien sur.
SupprimerVu aucun match, suivi en filigrane le CAB, oui victoire qui peut les faire avancer, en se repliant sur les valeurs, même si pas spectaculaires mais profondes et ancestrales, le retour de Koyamaibole pour beaucoup, prototype du joueur qui fait avancer et derrière lequel c'est quand-même plus facile d'enchaîner et de trouver des possibilités de jouer et déstabiliser l'autre.
RépondreSupprimerCe matin jeté un œil sur UBB/RCT, les premiers ne m'enchantent pas trop (pas trop d'explications à ça, j'aime beaucoup Brunel mais cette équipe ne ma fait pas "vibrer") quand les seconds laissent espérer beaucoup. Quelle débauche de jeu du RCT en première mi-temps, des intentions et des actes ambitieux, il semble que sur la durée ce rythme voulu par Galthié pour l'instant rende ses joueurs secs à l'heure de jeu, mais quand-même s'ils arrivent à mieux maîtriser leurs élans et ne pas se gaspiller inutilement, je crois que ces rouges et noirs là peuvent faire une belle saison.
Pour revenir à sujet plus haut, mon père mon oncle et toute la smala enfants de Terrasson-la-Villedieu nourris et élevés à l'ovale, le pré espace de jeu et les poteaux porte d'entrée vers le monde. Bizarrement, m'ont pas poussé vers le terrain, et puis un jour trouvé au grenier "le grand combat du XV de France" de D.Lalanne, dans la foulée à Noisy-le-Sec tapé dans un ballon rond, ennui et glissement vers le stade d'à-côté, un éducateur au-delà des mots, M' Léon pour tout vous dire, découverte du jeu, et révélation immédiate j'ai tout senti, ballon, lignes, poteaux, jeu au près jeu au large, l'espace et les intervalles, comme si la génétique des miens m'avait déjà fourni l'emploi des uns et des autres pour s'y amuser et s'y réaliser.
Des années avec ce monsieur à apprendre le rugby de A jusqu'à z, des plaquages, des réceptions de chandelles, des courses, des contre-pieds des changements de rythme, beaucoup de réflexions et de digressions aux entraînements, plein d'empathie, de l'intérêt à la personne, j'ai emmagasiné là tout ce qui m'a servi par la suite comme joueur puis surtout comme éducateur et entraîneur.
Plus tard, ailleurs, contact en EDR avec des enseignants (instit) qui m'ont appris la pédagogie, et partage avec profs d' EPS qui m'ont fait progresser dans la préparation des joueurs et ses dimensions physique et physiologique. Que du beau monde que j'ai eu la chance de croiser et qui m'ont construit.
Aujourd'hui, autour des terrains, EDR ou adultes, on trouve beaucoup de joueurs ou d'anciens joueurs, des parents dévoués, mais très peu d'enseignants -instits profs ou EPS- la pédagogie n'est plus de mise, la formation dans les comités et les clubs est à des années lumière de cette construction qui existait, on a plutôt tendance à valoriser des performances sans que les contenus ne fassent l'objet de vraies réflexions sur le jeu pratiqué, la réalisation des individus à l'intérieur de celui-ci et le tissu humain que l'on crée, que l'on tisse pour qu'il soit bien maillé et se transmette au fil des générations.
Pas trop d'accord avec toi, Nini. L'UBB a dégagé du jeu, rapide et avec adresse. Par contre, pas suffisamment dans l'axe, ce qui n'a pas permis d'inquiéter le RCT en 1re mi temps. RCT avec un jeu plus intéressant mais restant encore perfectible.
SupprimerD'après Brunel, il a fallu qu'il recadre sérieusement ses avants dans le vestiaire...
SupprimerA Bordeaux, on n'est pas prédestiné pour pratiquer un sport en particulier. Un peu comme à Paris. En revanche, la palette est large et l'anonymat garanti. J'avais un copain convaincu que la ligne Eton-Cambridge-Quinze de la Rose symbolisait le bonheur terrestre. Comme d'autres, je lisais Roy, Lalanne et Blondin pour arriver à la conclusion que Boni, Barthe, Danos ou Vigier étaient les seuls, quoique rustiques, à pouvoir rabaisser la morgue des jeunes gentlemen. Donc, à l'âge où un gars d'Hagetmau possède déjà tous les fondamentaux, je puisais dans les livres l'essence du jeu et la confirmation de son inaccessible noblesse. En fait, je n'aurais pas du passer par la case Joueur, mais aller directement à la case Entraîneur, voire Président. Malgré tout, sortir en sang et vaincu dans une guerre contre les juniors de Montauban (ah, Roméro !), ne m'avait pas déplu. Mais, ces découvertes du genou (cailloux, bijoux) et de la castagne ne m'ont jamais autorisé à faire partie du clan, du "clocher". Je resterai toujours un ch'ti égaré sur des terres inconnues, à qui on fait une petite place parce qu'il plaque comme Marquesuzaa. J'étais Guy mais je n'avais pas d'André.
RépondreSupprimerQuelques années plus tard, mes garçons seront confrontés à une situation inchangée. Mai 68 aidant, ils n'ont fait que de brèves apparitions dans le monde enchanté du sport.
R 92 en manque d'ouvreur et avec Machenaud à l'ouverture à Deflandre. Parait qu'il a développé une bonne expérience en poussins !!!
RépondreSupprimerPanne de courant à Deflandre. De l'alternatif en 1re mi-temps histoire de prendre quelques points et plus rien en 2e. Plus de conquête, fautes de jeu, de mains, jeu de vilains. Un Racing plus costaud mais peu inspiré, comme à son habitude et qui ne prend même pas le bonus défensif. Mais qu'est ce qu'est allé faire Irribaren au Racing ? Je repose la question. L'aurait mieux fait d'aller au RCT avec Galthié, toujours en recherche d'un bon animateur derrière ses gros.
RépondreSupprimerQuelle purge ! Plus de trente en-avants. Pas digne.
RépondreSupprimerTenez, cette chronique a été relayée sur Twitter par le président du club de Blagnac, Benoît Trey. Sympa de sa part.
RépondreSupprimerbeau match stade toulousain / clermont ; on sent du talent sur la pelouse !
RépondreSupprimerbel essai du stade !
L'importance de la charnière : Dupont-Holmes. Vista, culot, initiative, opportunisme, placement. Whaou.
SupprimerEt vitesse.
SupprimerÇa change tout avec l'an dernier et une équipe le pied sur le frein dans tout ce qu'elle entreprenait.
Et la vidéo ne marche pas bien à Clermont: le 2ème essai de Dupont est la copie conforme de celui marqué à Toulon lors de la 3ème journée.
huget dupont , des jambe de feu .....je me régale !
RépondreSupprimerDupont où l'art d'être là pour marquer un essai...
Supprimerje pense que Holmes est , le recrutement le plus indispensable au ST, compte tenu du besoin actuel.
RépondreSupprimerLe ST a bien fait également de récupérer et faire signer pour 3 ans T. Ramos, impeccable en ce moment. Quel cadrage d'école à 2 contre 2 sur l'action du 1er essai de Dupont. Et il est encore là,pour lui donner en fin, la balle d'essai.
SupprimerQuant à Fred Michalak je l'inclus dans la lignée KOPA/Wisniewski; Jazy/Stablinski; Skrela/Michalak, et bien d'autres de part la maman de tous ces descendants Polonais qui ont tant apporté pour le rayonnement du sport français
RépondreSupprimerEt son ex co-équipier Millo Schluski, Szarzewski, Jedrasiak mais mère italienne...
SupprimerSans oublier Prikhodko/Warzyglowa !
SupprimerVu reportage sur le rugby breton, en terre de football, encore visible sur Canal à la demande. Vannes qui continue d'exister en 2e année PRO D2 (9e actuellement), malgré les difficultés
RépondreSupprimerd'effectifs. Plus d'étrangers (17) que de joueurs du cru. Et des déracinés pris plutôt pour des fous dans leur région d'origine, en venant tenter leur chance dans ce club. Mais l'envie d'apporter son identité et son existence à ce niveau.
En parallèle, la création d'un nouveau club, le RC Côtes de Penthièvre dans les Côte d'Armor : 18 mois pour aboutir, auprès de l'administration ! Le jeune président, ancien joueur de Massy a failli laissé tomber... Et un clin d'oeil aux féminines de Rennes.
Intéressant, où l'on apprend que le rugby a tardé à s'y développer, compte tenu de la prédominance de l'enseignement privé et l'hostilité du clergé à la pratique de ce sport de contact dans leurs établissements scolaires...
Toute la difficulté de faire exister ce sport sur des terres vouées à d'autres. Des mentalités à faire encore évoluer. Mais où l'on s'aperçoit aussi que la mayonnaise peut prendre. Il suffit d'afficher une vraie volonté à le développer...
en écho à ce reportage que je n'ai pas vu et à la question posée dans le post principal je me revois avec mes 8 (!!) petits camarades, en 86, première fournée de l'EDR du club finistérien où jouait mon paternel, village gaulois en terre foot/vélo et dont l'équipe était alimentée en bonne partie par les marins expatriés loin de leurs terres ovales. 2 années à de "plateaux" à rencontrer les 3 même équipes, on en était devenu potes avec les gars d'en face à force de se croiser !!
SupprimerJ'ai joué jusqu'à 12 ans, comme une évidence, parce que papa jouait au rugby alors j'ai regardé le Tournoi et l'ai suivi à Nantes, en 1986 toujours contre vous savez qui, et quand l'EDR s'est ouverte, j'y ai retrouvé les autres gamin.e.s des jours de la première avec qui on suivait les déplacement le dimanche.
Et si j'ai biffurqué sur d'autres sports ensuite, j'ai jamais lâcher le ballon ovale des yeux, au point de repiquer sérieusement avec notre projet de club il y a 5 ans.
Le rugby, c'est comme la potion : quand t'es tombé dedans - peu importe comment - les effets sont permanents.
Laporte veut des jeunes , ça tombe bien il semble que nous en ayons quelques bons .... vrai bonne question sur le groupe qui nous permettrait de relever la tête dans les 6 ans qui viennent , déjà évoqué ici avec des tentatives de liste ...
RépondreSupprimerRamos effectivement très interessant , à revoir en défense comme Dupont d'ailleurs qui plaque trop haut et se prend quelques raffuts dangereux d'ailleurs
Mais bon vrai question qui mérite réponse sur le pari des jeunes talents pour leur donner du temps à haut niveau des 2019
Recrutement intelligent du ST avec Dupont-Holmes, mais pas qu'eux....
RépondreSupprimerBonjour à toutes et tous.
RépondreSupprimerJe signale aux animateurs de ce blog, un nouveau commentateur qui a laissé une trace de son passage. Il s'appelle Daniel, son commentaire est en plein milieu, donc difficile à trouver. Il se situe en réponse à celui que j'ai écrit le 7 octobre.
Bien à vous.
Ca c'est de la pub !
SupprimerMerci Papillonice !
Daniel
En somme nous avons une charnière qui réenchante l'avenir du rugby toulousain et Laporte qui ne rassure pas sur le futur du rugby de France au point de nous faire sortir de nos gonds.
RépondreSupprimerLa grande forme !
SupprimerDerby
RépondreSupprimerPensez donc, 7km et 18 troquets entre les deux embuts, un derby vrai de vrai.
Public toujours dense le long de l'Yvette, plus quelques vieilles gloir..., pardon badernes locales ,le temps d'évoquer les kilomètres d'elasto, les arcades, les dents à Paulo , l'interception de Gillou qu'était pas hors jeu, vu des Yvelines, et les troisièmes mi temps à Courcelles, en terrain neutre.
Attention mesdames et messieurs dans un instant ça va commencer.
Sauf que ces jeunes gens ne sont plus des imbéciles heureux qui sont nés quelque part, ils sont sereins, décontractés du gland, joueurs.
Alors le quart d'heure de bienvenue, les moulinets inutiles (que çà faisait même pas mal) et les crampons bien propres, zob, nada, connaissent pas .
Ça joue pas à toucher, n' allez pas croire, au contraire l'engagement est sans retenue, les placages solides, et ça va vite
Ces salauds de jeunes nous auront donc tout pris ?
Ben non, la technique individuelle, l'aisance dans le geste, la passe....,tout ceci est faible, limite caricatural et on est en honneur !
Pas beaucoup mieux pour le collectif, la conquête à peu près en place, mais le jeu, le pif,le replacement , les angles de course....
Quinze bipèdes remplis de bonne volonté, mais une équipe, pas encore.
Le chef, pas dupe fait au mieux avec ce qu'il à, des gamins qui ont souvent touché leur premier ballon à vingt ans.
On m'aurait menti avec cette grande et belle école, fleuron de la vallée?
Ben non, sauf qu'à 17/18 berges c'est l'évaporation, les études, les filles ( mon Dieuseigneurjesusmariejoseph !)des compétitions pas adaptées, les meilleurs vers Massy ou Orsay, un gâchis.
Bernard, tes 200 clampins, bon, mais aider le monde amateur à garder ses forces vives, faudrait y penser.
Sinon, on à fini à Courcelles, les vioques, Paulo avec son ratelier épris de liberté, Gillou qu'était hors jeu vu de l'Essonne, et les gamins ravis d'appréhender enfin la grosse theub à Dudulle dans sa plus belle interprétation.
Allez Chevreuse, vainqueurs au fait, on est cheu nous !
Impec. J'y étais, dirait Sylvie.
SupprimerBienvenue Daniel ! (j'fais comme chez moi)et t'en fais pas pour ton statut d'amateur, t'es pas le seul - sans compter nos âmes...
RépondreSupprimerDécidément, deux messages en une soirée pour signaler mon post ! aurais-je dit quelque chose d'intéressant !?!
SupprimerNon, comme beaucoup ici (non j'déconne). Mais bienvenue donc. Même si ça a été déjà écrit...
SupprimerLAPORTE veut les pleins pouvoirs
RépondreSupprimerle loup sort DUBOIS
prends garde petit poucet NOVES
dans ce conte de l apero
le gaillacquois ne se grime plus
la bliezkrieg autommale est lancee
Intéressant ton post, Daniel, bienvenue pour d'autres passes...
RépondreSupprimerSalut Daniel, et voilà un relanceur qui vivait caché derrière les gros du pack (du blog!!!!!) et qui d'une traversée de terrain crée une nouvelle situation, nous voilà obligés de venir au soutien quand on ronronnait de petit tas en petit tas, mais t'inquiètes pas on pratique tout ici, le soutien au près au large, la passe sautée, la passe vissée, la passe lobée, et parfois la passe feinte pour mieux aller se fracasser contre l'abruti adverse cloué dans le cloaque. Cap'tain Ritchie va avoir de plus en plus de mal pour remplir les feuilles de match !!!!!!!!!!!!!!
RépondreSupprimerA choisir un métier touchant au rugby, même si c'est un peu tard pour moi, je crois que celui que je préfèrerais c'est celui de notre ami Richard ! C'est quand même moins fatiguant (et moins dangereux pour un athlète de mon acabit, même protégé par une horde de gros !!!) que sur le terrain, même si de nos jours les journalistes en prennent dans la g... plus qu'à leur tour !
RépondreSupprimerDaniel tu as tout dit. Si tu viens à Treignac (de la Drome ce n'est pas loin et si apporteras du retsiné) je te raconterai quelques anecdotes sur la dangerosité du métier de plumitif...
SupprimerDaniel
SupprimerHospitalier,bienvenue au club! Sans avoir l'air de ne pas y toucher, tu fais fort en flattant notre gourou plumitif! En un mot il t'a adopté comme un torero qui d'une Véronique sait que devant lui l'animal va lui offrir une salida "a hombros" Olé 👍
Daniel, je suis de la Drôme également...
SupprimerEt Michel aussi a un pied chez nous.
Allons donc, voilà que je découvre des aficionados et des voisins sur ce blog ! Mais je ne suis dromois que d'adoption, et il y a un bail que je n'ai pas vu une corrida !
SupprimerSauf le respect que je dois à Richard, ou il n'était pas très bon en géographie à l'école, ou il est vraiment devenu parisien... dire que Treignac est près de la Drôme ! à vol d'oiseau y a déjà un bout, mais par la route !!! C'est aussi long et tortueux que l'essai de Blanco chez les blacks à l'époque où Internet n'existait pas encore...
Tiens je n'avais jamais fait attention à ça... Un essai de notre Blanco qui était black chez des blacks qui étaient tous blancas comme les hollandais quand ils arrivent à la Grande Motte le 1° juillet...
Ca ne fait rien, la chaleur humaine fait oublier les kilomètres...
Lu l'article de cap'tain Ritchie sur les propositions faites au sélectionneur EDF et prés' FFR pour retenir tout de suite de jeunes talents prometteurs. Comme on dit ici je plussoie et applaudit bien fort à cette initiative. Les oreilles de nos pontes ne tous genres capteront-elles le message ??? Pas sûr du côté du sélectionneur qui me semble un peu beaucoup caporalissime et droit dans ses bottes dans sa manière de commander !!!!
RépondreSupprimerEn tous les cas, puisque ces personnages sont toujours à l'écoute des bruits de couloirs propres conforter leurs égos, répondez à cet article sur l'équipe, ça pourrait bien finir par remonter là-haut, qui sait ?????.
Bah, c'était du second degré, en fait. Du genre, "si on peux aider". Mais en évoquant Lesgourgues (alors qu'on a Couilloud) et Gabrillagues (qu'est bon mais ne vaut pas Verhaeghe), Laporte prouve qu'il est déconnecté. Et qu'il devrait laisser Novès faire son job tranquille.
SupprimerEt parler de remettre Bastaraud ni jeune ni forcément le meilleur pas une grande idée
SupprimerCe serait quoi une liste exhaustive des joueurs de 18 à 25 ans avec du potentiel et une grosse envie ?
François, on en a parlé dans les commentaires du précédente chronique, il me semble. Je te laisse chercher...
SupprimerBien sûr ou avais je la tête ..... Je vais quand même attendre la prochaine éclosion pour me remettre à jour des fois qu'il y en ait qui ne confirme pas et d'autres qui apparaissent
SupprimerSalut à tous, question pour toutes et tous: passé par plusieurs comités, avais l'habitude de consulter sur site FFR "compétitions" les résultats dans tous les comités qui m'intéressaient, depuis cette saison, bernique, sur le site FFR il est annoncé une modif à venir (qui ne vient pas), les comités eux-aussi, pris dans leur réforme territoriale, patinent en la matière, Ritchie un circuit pour avoir les résultats, et les autres faites comment ???
RépondreSupprimerLire Midol le lundi ;-)
SupprimerUn de ces jours, faudra bien dire deux mots d'un des plus grands matches de 2017, le (encore) récent Springboks-All Blacks, qui a réuni la plupart des ingrédients qui nous sont chers. Il est probable que la répétition les banalise, mais le contexte en faisait le choc de cette fin d'année.
RépondreSupprimerEn plus, la qualité du jeu, dont le mérite revient pour l'essentiel aux Sud'Af, ainsi que la dramaturgie, s'achevant sur une victoire un peu voyou, ont comblé les spectateurs.
Si beaucoup a été dit sur les Néo-Zélandais, l'Afrique du Sud reste (pour moi en tout cas) un peu mystérieuse. A l'image de Kitshoff (orthographe aventureuse), dont je ne sais plus que penser. A vous lire.
Aff Sud
SupprimerL' Afrique du Sud, Charles, c'est des gens de bonne volonté, noirs, métis, blancs qui manifestent à chaque carrefour pour que çà marche mieux.
C'est des joueurs noirs, métis qui apportent aux blancs la fraîcheur, la vitesse qui leur manquait pour figurer dans le jeu qui gagne.
C'est un divin pieds de nez aux défaitistes, aux obtus du Vreid , aux revanchards de l'apparteid.
C'est l'exemple à suivre pour ce pays, pas gagné mais si le Rugby, vieux symbole du passé montré l'exemple ....
Allez the rainbow
Souvent critiqué, rarement compris, Fred est toujours là, et son héritage va durer ! La transmission est avant tout une question de lien et de création de lien. Lien entre les générations, transmission de valeurs. Quand les liens sont rompus ou menacés, l'humain va mal ! Humain, animal social, se porte mieux quand il est relié à des gens, un groupe social plus ou moins large et enfin des valeurs. Ce travail de lien est thérapeutique. Il n'est pas très bruyant mais ses effets sont colossaux. Fred incarne ceci, l'humilité, la remise en question et la transmission. Merci pour 2003, merci pour ce demi-tour contact & passe à ton ami Jauzi en 2007 et merci pour le reste.
RépondreSupprimerBel article Ritchie :) !
Condamnation de Laurent Labit à 15 semaines de suspension pour« non-respect du droit de réserve et comportement de nature à porter atteinte à l'image, la réputation ou les intérêts du rugby ».Qu'avait-il donc fait cet ignoble individu ? Un peu énervé par le score final du match contre le MHR il avait déclaré "On sait tout ce que le président de Montpellier a entrepris. Il a acheté la Fédération, le maillot en
RépondreSupprimerparticulier, et une partie de la presse." .... (Bon à l'époque moi je n'en savais rien de tout ça .)
On peut donc dire à bon droit aujourd'hui que Labit a des couilles . Oui je sais ce n'est pas un scoop !
Bonne journée .
Sont rigolos les coachs du FLOP.14, sans rentrer dans le fond de sa pensée au sieur Labit, et vu les prestations de son équipe, je m'attacherais plutôt à tenter de redevenir une équipe de rugby qu'un conglomérat de contrats, en général plus l'individu braille et plus sa situation n'est pas très claire, c'est toujours comme ça.
SupprimerRemettre aussi sans cesse le prés FFR au centre des débats, fatigant !!!!
Ah oui mais la non, hein !
SupprimerQuel language, et on vous confie notre belle jeunesse, ou qu'on va ?
Si on peut pardonner (et encore, ils me les ont brisé menu des décennies )à l'entraîneur bénévole de St Amour -Coligny quelque montée de nerfs, les professionnels médiatisés devraient p'têt faire preuve d'un peu de retenue, ou bien ?
Je les vois en tribune le temps du match, le plus loin possible,( Colazzo et Urios carrément enfermés dans les gogues )pour laisser se demerder le capitaine, fonction méritant d'ailleurs à mon humble avis une large revalorisation.
Allez Chevreuse
Et BL ne serait-il pas intervenu près la commission ? 15 semaines pour des"couilles" qui vont à l'encontre des intérêts et de la réputation du rugby francais ? Bon pour l'image effectivement ça pourrait se discuter 🤔💋💄après avis ...
RépondreSupprimerIl s'y met tout seul au centre des debats BL , pas besoin de Labit qui en l'occurrence parlait de Montpellier et de son rapport à la FFR , factuel non ? Un maillot , un contrat avec je President ...
SupprimerApres le jeu du Racing et son recrutement on peut en parler mais pas tout à fait le même sujet me semble t il et encore du travail à Montpellier pour se débarrasser du style précédent mais ça progresse
guy béart l'a chanté :
RépondreSupprimercelui qui dit la vérité doit être exécuter ......
petit message à Marc Germain ,ton père aurait il lui aussi atterri ,sur la 403 de monsieur Bordeaux ,sur la place de la mairie à Saint Girons ,en débordement à la récrée?
RépondreSupprimerCher bartolico
RépondreSupprimerje ne pense pas que du temps de papa ( qui aurait cette née 99 ans ) a st girons , la 403 était déjà en circulation ! De plus mon grand père qui était concessionnaire Citroën avenue de Foix , ( nous habitions au 31 ) n'aurait jamais accepté que papa se joue d'une Peugeot ...ahahah
tu es de là bas ?
Découvrir que Labit a des testicules, c'est du niveau Copernic/Newton. Vive la science ! Enfin, même si le racingman n'est pas blanc-bleu (rires), la sanction des fédérastes est révélatrice du bon fonctionnement du téléphone avec Montpellier et du très haut niveau de médiocrité général. Snober ce poète parnassien aurait été moins maladroit.
RépondreSupprimerRien à voir avec les parnassiens, mais on le dit et on le redit, l'exiber c'est une chose. Mais faut sortir couvert. Sinon tu chopes la première chtouille venue. Et là, il en a croisé une qui gangrène bien le T 14. Ben maintenant, il l'a sortira moins, picétou.
RépondreSupprimerBon, on s'est éloigné des Miches à Lak !
Rien à voir avec les Parnassiens ? Bon, ça va, t"as pigé.
RépondreSupprimerMichalak ? En a pris plein la gueule pendant des années, se prépare à devenir l'idole. Largement assez futé pour en rigoler, voire même peut-être écrire ici. Dobre wiezur, Mich.
Ah oui alors Marc, ton père lui ,il aurait pu atterrir ,sur une torpédo....à la récrée à Saint Girons.Je suis effectivement de Saint Girons ,mais je dois être plus près de ton age (64).Je vois aussi que tu habitais disons, dans ce qui était la banlieue "chic",près de la sous préfecture et que tu as dû aller à l'école aux Jacobins .On a peut être joué ensemble au sporting puisque il n'y avait que le rugby et le judo.
RépondreSupprimerMalheureusement non ;, nous n'avons pas joué ensemble même si l'age aurait pu le prédestiner !
SupprimerNé a toulouse en 51 , petite enfance à Madagascar; papa "médecin voyageur" d'installation en installation sur le continent et en Corse , j'ai habité ST Girons en 1960 et suis allé en 6ème au lycée ! Ensuite départ dans les brumes du nord , Eure et Loir , là où j'ai découvert mes gènes rugbystiques ...et au final mon frère s'est installé à St Lary (d'aspet) il y a 6 ans et comme les gènes paternelles sont toujours vivaces ; il quitte à nouveau notre beau couseran ! Tu sais tout mais si tu viens a Treignac , nous ferons connaissance et discuterons surement de connaissances communes !
Michou fait des émules. Nicolas Durand va regoûter à l'amateurisme en chaussant les crampons et pigeant pour le club de 2e série cofondé par son père, le RCB 82. Tu connais Georges ?
RépondreSupprimerJe crois que Nicolas est natif d'Auvillar, le village en bord de garonne, qui a une halle trés ancienne et ronde , c'est un trés attaché à notre Tarn et garonne
SupprimerIl pourrait bien avoir du Jean-Michel Baylet dans cela, il est le Président de la communauté des "2 rives", avec valence d'agen pour centre et Dunes comme l'une des communes. Pour l'histoire tragique Dunes fut un village martyr en 1944...
SupprimerJ'sais pas s'il a bélé bien fort. Peut être plutôt pour venir en aide, histoire de famille...
SupprimerSinon, joli village, Dunes, terni par ce triste moment. Le réalisateur de la série "un village français" où il y a une scène d'une dizaine de pendus aux arbres de la place, se serait pas un peu inspiré de ce fait ??
Nicolas Durand, né à Toulouse mais originaire d'Auvillar...
SupprimerPendant ce temps, les p'tits gars du Racing et de l'UBB prennent une leçon de géographie en découvrant que l'Europe est aussi une région polaire proche de l'océan Pacifique. Même si ces rencontres ne vont pas bouleverser l'Ovalie, elles ouvrent les yeux sur un aspect attachant qui va porter un coup à notre coutumière nostalgie. Si je souhaite des victoires françaises, je souhaite tout autant de belles répliques "sibériennes". Mais, au pays où la force pure est une vertu cardinale, nos p"tits gars vont passer un sacré test.
RépondreSupprimerVisiblement les Bordelais ont gardé la tête froide en Sibérie ... pas fait dans le romantisme slave
SupprimerOn espère aussi que LR va faire découvrir sa partie cachée de l'iceberg...
RépondreSupprimerEt pour l'ASM, un peu dans le dur du glaçon, on verra s'ils font fondre comme ça Sarracens, voire Northampton.
Je vois bien la navale de Toulon ressurgir de sa rade, avec une poule plus accessible et le jeu qui va mieux, avec.
Quant à Montpellier et Castres aussi... ?? Montpellier qui comptait sur Cruden pour faire fondre l'Europe. Et encore blesssé. Sacré affaire !!
Un seul etre vous manque et tout est dépeuplé ....
RépondreSupprimerTiens, par ce lien je transmet l'info d'Olivier Villepreux sur ce documentaire à voir samedi soir à 23h20 sur Public Sénat, n'est ce pas Tautor...
RépondreSupprimerhttp://contre-pied.blog.lemonde.fr/2017/10/13/plaquages-un-documentaire-muscle-sur-le-rugby/#xtor=RSS-32280322
J'ai vu ce documentaire. Un peu daté.
SupprimerC'est très chiant à regarder. Axé sur la prépa physique et donc anglé jusqu'à l'engourdissement. Pas très bien filmé. Présenter le rugby à ça c'est vouloir regarder l'horizon par le petit bout de la lorgnette. Réducteur.
SupprimerS'il fallait parler du corps, il y avait d'autres façons. Celle-ci est bien peu originale.
Connaissant le LOU et Pierre Mignoni, il y a de la caricature dans ce doc. Car un gros travail tactique et technique est effectué. Qu'on ne voit pas.
Vous l'avez compris, je n'ai pas vraiment aimé.
C'est comme si on résumait la vie d'un hôpital aux urgences ou aux gardes de nuit.
SupprimerDonc, on dira un document un peu téléguidé...
SupprimerJe jèterai qu'un oeil pour avis.
Bonsoir, ce soir choix télévisuel entre une joute de fédérale.1 et un truc d'Europe avec la ST, j'hésite sur la rencontre à regarder, peur pour l'une comme pour l'autre, de regarder des golgoths nourris aux farines et remballer le plaisir, sais pas, et vous ???
RépondreSupprimerNini poëte, un petit amusement pour vous faire passer un (bon/mauvais) moment et patienter avant les combats de la soirée:
Th LOMBARD 3 ans 200 000 € de canal+ 130 000 € d'aide de retour à l'emploi escroquerie 23 déclarations 14 entretiens gérant de société pour gérer son image
...OH Sorry, erratum !!!!!
Donc:
Si tu peux voir mise en pièces ta stratégie
Et sans te répandre te mettre à rebâtir,
Perdre en une saison le gain de moult parties
Sans une interview et sans gros soupirs,
Si tu peux être passionné sans être trop fou d’amour,
Si tu peux être fort mais sans cesser d’être tendre,
Et, te sentant haï, sans haïr à ton tour,
Pourtant lutter et te défendre,
Si tu peux supporter d’entendre tes paroles
Travesties par des gueux pour exciter des sots,
Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches folles
Sans mentir toi-même d’un mot,
Si tu peux rester digne devant tes partenaires,
Si tu peux rester modeste en conseillant les joueurs,
Et si tu peux aimer en amis tes adversaires,
Que chacun d’eux soit tout rien que pour toi,
Si tu sais méditer, observer et bonifier,
Sans jamais devenir sceptique ou destructeur,
Rêver, mais sans laisser ton rêve te diriger,
Penser sans n’être qu’un penseur,
Si tu peux être dur en restant toujours juste,
Si tu peux être brave mais jamais inconséquent,
Si tu sais être bon, sage, et jamais brute
Positif et réfléchi, ni lâche ni pédant,
Si tu peux rencontrer Triomphe après Défaite
Et recevoir ces deux menteurs d’un même front,
Si tu peux conserver raison et toute ta tête
Quand tous les autres au gré du vent les perdront,
Alors les vestiaires, le pré, les poteaux et le ballon
Seront à tout jamais tes compagnons d'espoir,
Et, ce qui vaut mieux que les Rois et la Gloire
Tu seras un bon entraîneur, mon garçon.
Bien joué, Nini. Je sauvegarde.
Supprimerle long bar s est fait dezingue
RépondreSupprimerl an vol la conduit au canal
pas rancunier la gente de cas mal
pas licencie le petit madoff
peut etre que tous sont complices
un carton rouge feu aux tetes pensantes de la fede secteur compettitions incapables de publier les listes de matches de tous les comites
les annees passees il y avait un super service
et dire que ces gens la monsieur veulent organiser une coupe du monde
l oscar de la nullite a toute cette engeance
AH que coucou, ami poète, j'envie ta plume, la mettrai bien, chez lez massacreurs de notre ovale, en la leur plantant là où qu'ça fait bien mal, trop de respect pour la plume cependant, alors m'en vais la garder pour nous z'ici, ça sent meilleur et nous soulève de joie.
SupprimerRetour sur soirée rugby hier, zappé entre les 2 rencontres féd.1/Europe dont causé plus avant, du plaisir du rythme et de l'envie à Limoges, Europe et ST ça m'a gavé en 5 minutes chrono, supporte plus ces tas de bidoches et cette tactique unique du rentre-dedans, depuis qu'ils en ont voulu en faire un métier, les gens du rugby ont abandonné l'apprentissage du jeu et mis en exergue la vérité unique, consensuelle et robot-médiatique d'un ersatz dont j'ai peine (et c'est peu dire) à penser qu'il ait une relation avec le jeu de rugby que j'ai tant pratiqué, tant aimé, tant transmis.
Tiens, pour plussoyer (c'est bon ça, non ???) dans le sens d'un propos plus haut sur la non-visibilité des résultats territoriaux, je relaie un message SOS:
RépondreSupprimer" ... Bonjour,
J'anime un site Internet dédié aux résultats et aux classements des compétitions territoriales de rugby depuis plusieurs années (FranceFinalesRugby).
Suite au crash du site de la FFR, il n’existe plus de documentations accessibles concernant les compétitions territoriales pour la saison 2017-2018,
De même, sauf erreur de ma part, les sites de ..x.. comités ne proposent ni les poules ni les oppositions pour la saison qui commence.
Pourriez vous me faire parvenir les documents nécessaires pour que je puisse mettre à dispositions de joueurs, des clubs, des dirigeants, des supporteurs... les poules et les oppositions.
Merci par avance pour votre aide.
Bien Cordialement ...".
Mais où qu'on va, où qu'on est !!!!!!!!!!!!!!!!
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RépondreSupprimerPour information, les comités sont devenus des ligues. Sortant de la commission médicale de la Ligue qui s'est réunie cette semaine il en résulte que les sélections U14 U17 U18 et les moins de 26 sont supprimées, sont maintenues uniquement les U 16. Après Marcoussis, la jeunesse est décapitée en ligue ....
RépondreSupprimerLes cons...
SupprimerRectificatif,
Supprimersur les sélections territoriales, les Taddei U 16 et les moins de 26 sont les seuls conservées (voilà ce que c'est d'être en retard !) mais bon le reste disparaît !
Bonjour et bon dimanche,
SupprimerDans club et partout sur la toile, pas moyen d'avoir la moindre info sur tout ça, c'est acté ou c'en est encore à des digressions avant décision ?? Et si acté, quel moyen de lire l'info ??? Sur site FFR j'avais vu l'organisation d'un challenge fédéral moins de 14 ans, info intox, ou moi pas compris ????
De toute façon, en règle générale, la suppression de toutes ces compétitions, qui donnaient du piment et du pep's aux jeunes joueurs de nos territoires, c'est une très mauvaise nouvelle pour le développement de notre sport.
Quand on parle de sélections territoriales, on comprend bien le territoire des nouvelles ligues ??? Il est évident que vue l'étendue de ces nouveaux territoires, la mise en place des compétitions de sélections jeunes apparait compliquée, mais d'autre part la décision me semble elle aussi assez rapide, peut-être aurait il mieux valu avoir une réflexion d'ensemble de l'organisation des compétitions existantes, leur pertinence, et à-partir de ces dernières aménager les calendriers ??? Comme à l'école où le seul point de vue dont on ne tient pas compte est celui des élèves, là on ignore les joueurs, et c'est pas bon.
Parfait écho de mon ressenti à Chevreuse,à la période charnière,au moment ou les garçons devraient être l'objet de toutes les attentions....
RépondreSupprimerSuicidaire !
Allez Chevreuse, quand-même.
Ça ose tout c'est à ça qu'on les reconnaît
RépondreSupprimerLes cons, ah que oui, mais pas que, je regarde le cirque de notre rugby et je me dis que l'on a, en fait, de tout, pas toujours de bonne qualité estampillée certes, m'enfin comme disait P.Desproges "... L'ennemi est con, il croit que c'est nous l'ennemi
RépondreSupprimeralors que c'est lui ...".
Mais voyez plutôt, dans tout cet aéropage ovale qui phosphore si fort et s'efforce de détruire, saurez-vous reconnaitre quelqu'un ???? :
Un fat, attention hein parce-que « Témoignez du respect au fat, et bientôt il se croira tout permis. »
Un pédant alors qu'« un pédant, enivré de sa vaine science, n'a souvent fait qu'un sot. »
Un prétentieux bien que « Le mauvais prétentieux soit celui qui est sans prétention. »
Un fou quoique « Mieux vaut être fou avec tous que sage tout seul. »
Un niais avec lequel « On ne sympathise pas, ni avec le sourire à tout venant. »
Un idiot mais bon là « Il y a beaucoup d'idiots en ce monde, il faut s'habituer. »
Un ignorant qui ne le sait pas puisque « Les ignorants ne doutent jamais d'eux-mêmes. »
Un rempli de bêtise, vaste domaine car « Dans la bêtise, on s'arrête rarement en chemin. »
Un sot, bon à moduler car « Un sot plein de savoir est plus sot qu'un autre homme. »
Un con le fameux le lourd le vrai « Le con qui ne perd jamais son temps, mais perd celui des autres. »
Un imbécile, genre usant « Instruire un imbécile, c'est peine perdue. »
Un stupide, très répandu « celui qui s'étonne de tout, et s'émerveille de tout. »
Un ridicule, nourrissant le ridicule « Le ridicule, au lieu de tuer certains, les engraisse. »
Un innocent -s'il en existe encore- et puis « Être innocent c'est très joli, mais il ne faut pas en abuser. »
Un arrogant, genre à se répandre partout « Un sot est arrogant, un savant est timide. »
Un vulgaire, AH vulgaire, joli marqueur de notre époque pas si épique et population nombreuse « Le vulgaire n'est composé que de sots. »
Un despote, du type gourmand qui « coupe l'arbre pour avoir le fruit. »
Un tyran, pour celui-ci ne pas oublier que « La pire des tyrannies est celle qui opprime la pensée. »
Vous avez mis un nom à chaque qualificatif ??? Bravo vous avez gagné la jolie trompette, une trompette en bois avequeu changement de vitesse !!!!!!!!!!!!!
Excellent. Mais je dois me concentrer sur les bons débuts du Stade Rochelais dans la grande Coupe d'Europe...
SupprimerOh ces rochelais ! Ça va être dur en deuxième mais ils ont déjà montré qu ils étaient là .Physiquement vont ils tenir ?
SupprimerVoilà c est fait ! Magnifiques rochelais !
SupprimerBernard landais du 17
Rochelais. Epatants au point que par moments on ne sait plus quoi applaudir, ou bien l'équipe, ou bien tel ou tel, l'un ou l'une enfantant l'autre.
RépondreSupprimermi-temps à Mayol, ça va fort pour le RCT, à voir maintenant si la baisse d'intensité rédhibitoire en ce début de saison après la mi-temps va se confirmer ou s'infirmer. En tous les cas du volume du jeu et des passes,j'aime bien. A plus tard pour voir si continuité mais déjà un bel après-midi.
RépondreSupprimerRédhibitoire, tu disais rédhibitoire, comme c'est rédhibitoire, les 2e mi temps toulonnaises. Vu que celle, rédhibitoire. Du jeu de percussions, dans l'axe, pas inspirés derrière, le peu de fois où le ballon a pu voir l'aile. Du coup, la cuisse plus que l'aile. J'aime bien la cuisse, mais du poulet. Dommage, parce que ça aurait mérité mieux sur un match plus abouti. Du soleil quand même, même si les rayons ont fourché.
Supprimeret bin ........ quelle seconde mi-temps, un peu passé à côté les gars de la rade, bizarre comme ça se délite d'un seul coup, à croire que tous les joueurs sont pas à donf dans le truc, p'têt bien aussi que les têtes suivent pas, mal irriguées sans doute par la débauche d'énergie de la 1° mi-temps, et sans doute que certains, au moment de se confronter à la difficulté (moins de ballons, plus de petites fautes, investissement à-minima) perdent pas mal de leurs qualités.
RépondreSupprimerEn tous les cas, même dans la difficulté j'espère que Galthier va persister dans le vent de l'attaque et les embruns de l'oser et entreprendre, ça respire quand-même la haute mer, et à condition que l'embarcation du RCT ferme les écoutilles et envoie la grand-voile, l'accostage vers des rives accueillantes et luxuriantes pourrait bien surgir au terme d'une saison longue comme une longue-vue de pirate, en continuant de naviguer ainsi louvoyant de vagues énormes en récifs traîtres.
Y à sûrement de ça, Nini, des mecs comme Galtier , Azema et plus si affinités ont certainement une vision moderne du Rugby, mais la longueur de nos saisons bien à nous qu'on a doit les obliger à des impasses physiques.
RépondreSupprimerAu rythme imposé par ces salauds d'étrangers qui volent le pain de notre top 14,actuellement ils ont une petite heure dans les gambettes, au mieux.
Ce qui n'est pas le cas de Chevreuse, notons le,que la canicule Goussano-Gonessoise n'a pas empêché de vol et vers la victoire.
Allez Chevreuse, donc.
En finalité, LR a su nager. Toulon, Clermont, Racing ont surnagé. Castres et Toulouse ont dû écoper pour ne pas s'enfoncer. Ce qui n'a pas été le cas de Montpellier, touché mais pas coulé. Paris a été cueilli à froid mais l'UBB l'a bien supporté, en Sibérie. Quant au loup, on se demande où étaient passés les crocs.
SupprimerDu courant alternatif, en règle générale, sauf LR solaire et pas tombé dans le panneau... Pourtant, on en manque pas d'électricité, mais les installations ne sontpas gérés au mieux pour l'instant. Des visionnaires, oui, mais pas rester stationnaires...
Au delà des petites misères et des minuscules glorioles hebdomadaires, ce weekend européen s'est mieux déroulé pour les clubs français que nous pouvions le craindre. En prime, La Rochelle et Bordeaux cultivent bien leur capital de sympathie. En revanche, le Stade Français a la chance de jouer au XXIème siècle : à la fin du XVIIIème, c'était l'échafaud.
RépondreSupprimerLe couperet est tombé ! Passons à autre chose sans perdre la tête.
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