Un fragment de roman, une citation tirée de chroniques et le ballon à deux bouts sort d'entre les pages. Grande geste en permanente évolution où l'esprit l'emporte sur la lettre - quel paradoxe lorsqu'on évoque la littérature ovale - dans l'espace clos des stades et, soudain épanoui, dans les prairies, nos champs sauvages de l'enfance, le rugby est une géographie débordant d'histoires.
En septembre prochain si le déconfinement nous le permet, nous rejoindrons Uzerche pour échanger sur le thème de la littérature et du rugby. Tandis que nous œuvrons, avec Benoit Jeantet, pour intercaler cette intervention en bout de lignes, prenez le temps de ranger votre bibliothèque. Ce petit questionnaire de connivence, tel un jeu de bonne société, associe pour chacune des dix citations ci-dessous le titre de l'ouvrage et son auteur.
Béloni (Jean Colombier) :"J'ai abandonné les belligérants, je préférais parler littérature avec Blondin. (...) Ce qui fut fait dans les règles de l'art. La première bouteille de pastis épuisée, nous nous sommes rendus dans le troquet du village où il avait ses habitudes. (...) Jamais je n'aurais imaginé qu'un écrivain pût remplir mon verre à ce rythme-là, vive la littérature française. Sous les miennes qui tombaient sans espoir de sursis, j'observais ses paupières fatiguées et devinais qu'y veillait, discrète et vigilante, la flamme de l'écriture." Bonne réponse de Gariguette.
Match aller (Julien Capron) : "Courir, plaquer, lancer en touche, gueuler à Félix qu'il vaut mieux jouer au près, la tête qui prend un immeuble, se relever, (...) pas le droit de laisser le bourdonnement s'emparer de la tronche, surtout, ne pas laisser le cœur redescendre, ne pas relâcher sa rage, sinon l'épuisement. (...) Faudrait faire quelque chose, mais le premier qui tente un coup se fait envoyer dans la tribune. Ca reste au ras, au combat. C'est ce qu'on appelle un match fermé." Bonne réponse de Gariguette...
Chroniques ovales (Jacques Verdier) : "Quel crédit accorde-t-il à l'idée selon laquelle le rugby, sport d'intellectuel, ou voulu comme tel par la gente littéraire, ait tiré après soi tant de cœurs d'écrivains ? (...) J'épie de la sorte le moindre détail, feignant de balayer l'espace en guise de réflexion. J'observe l'homme bien sûr, dont l'équilibre, la vivacité et le maintien m'en imposent. (...) Il me raccompagne jusqu'au bas de la terrasse et me laisse sur le seuil de la porte. Je rêve au Roi Cophetua." Un point pour Gariguette.
Raffut (Philippe de Jonckheere) : "Madame la juge si vous permettez ? Oui monsieur. En fait Emile joue au rugby depuis qu'il a l'âge de sept ans, ce qui lui fait beaucoup de bien et "raffuter" est un terme qui est permis au porteur du ballon et qui consiste à éloigne du bras, j'étais en train de mimer le geste en plein tribunal, non sans une pensée pour certaines fois dont il me souvenait que je l'avais produit moi-même, plus encore toutes les fois où je l'avais subi (...) ou encore ces entraînements où je l'avais expliqué, décortiqué et démontré à mes petits poussins." Et un point pour Lulure.
Dieu aime-t-il le rugby ? (Jean-Claude Lombard) : "Dieu - Mais, Rugby, c'est une ville. Pipette - Non, c'est un art. Dieu - N'exagérons rien. D'après ce que Je vois, c'est un jeu. Pipette - Pas comme les autres. Dieu - C'est vrai, c'est la première fois que Je vois un ballon ayant forme d'un baptistère. Pipette - C'est parce que vous avez fait le rugbyman à votre image. Dieu - Moi ? Pipette - Hé oui, il a introduit le hasard ! (...) Dieu - Et mon image, sur ce rectangle vert, où est-elle ? Pipette- Dans l'homme qui se crée de l'indéterminé, pour vous imiter." Bonne réponse de Sergio, qui émarge à deux points.
Déjà... (Jacky Adole) : "De jeunes supporters impétueux, peints et enturbannés, s'enroulaient autour du terrain en courant, et c'est dans ce tourbillon de carnaval que les joueurs pénétrèrent sur la pelouse (...) saoulés par l'émotion, l'attente et l'envie d'en découdre enfin (...) Entêtées, les hommes opposaient leurs cultures si semblables et les Rochelais purent débrider le jeu par quelques fugues et variations des lignes arrière afin que leur supériorité puisse s'exprimer, puisqu'elle ne parvenait pas à s'exercer immédiatement dans la fournaise des luttes frontales." Un point pour Gariguette
Petits bruits de couloir (Philippe Guillard) : "L'hôtesse vient de repasser. C'est une souffrance, pour les piliers, de mater une fille qui passe. Ils ont tous comme qui dirait un problème technique. D'abord, ils sont trop musclés du cou, ensuite, ils ont les cervicales légèrement concassées par les mêlées. Alors, pour le matage de greluche, ils n'ont que trente degrés d'autonomie circulaire, après, faut que les épaules embrayent. En même temps, ça leur fait beaucoup de bien, c'est comme des étirements." Bonne réponse pour Sergio.
Qui veut jouer avec moi ? (Adolphe Jauréguy): "Pour vos joueurs déjà suffisamment tricheurs par nature, il y a assez de piment dans la sauce du rugby. Inutile d'ajouter celui du Championnat. Supprimez-le, et après cette opération chirurgicale, vous chasserez le joueur brutal et imbécile, celui qui joue au rugby pour vivre, au lieu de vivre pour jouer au rugby.(...) Le rugby n'est pas un jeu de bourriques. Les batailles de rue et les bagarres n'ont rien à faire dans un jeu noble de gentlemen ! Le rugby n'est pas fait pour tout le monde. Il doit être le jeu d'une élite éduquée." Bravo, Sergio, troisième bonne réponse.
Les Ovaliques (Georges Pastre) : "Tous les rouquins du rugby du monde ont été des terreurs ; à croire que les Egyptiens antiques avaient tout prévu puisqu'ils balançaient dans le Nil tous les enfants mâles naissant roux. Hercule ne faisait pas exception. Comme personne, le jour de Noel 1948, n'avait jugé bon de le jeter dans la rivière Aude, deux décennies plus tard il s'était mis à terroriser tous les petits clubs du championnat du Languedoc. Nous ne vous dirons pas le nom du sien ; pour éviter les vagues." Le point pour Lulure, qui récolte deux points.
Ca, c'était quelqu'un (Serge Simon) : "Le jeudi était un jour de repos, mais plein. Plein des espoirs de faire partie du voyage, plein des craintes que pouvait inspirer l'adversaire. Ensuite arrivait le week-end, l'épicentre de tout. La préparation du match occupait l'espace et le temps. Chaque seconde était pleine de mille choses à penser et à faire. Le match arrivait enfin, massif, exaltant, et l'après-midi comblait le reste. Tout le vie de Georges s'y condensait." Cinquième bonne réponse de Gariguette, qui l'emporte !
Pour paraphraser Lucien Mias, une des plus importantes dimensions de l'art pourrait s'intituler "le héros en nous". Littérature et rugby procurent aux bloggeurs de Côté Ouvert l'occasion d'aller au bout de leurs ressources pour se dépasser et vivre avec une grande intensité les émotions que procure l'écrit. Toute ma considération épistolaire à Gariguette, aka Sylvie Colliat, qui a trouvé une réponse sur deux !
Pendant dix jours je glisserai une piste. Je commencerai demain.
RépondreSupprimer"Isole toi mais jamais seul", en ces temps d'isoloir c'est de circonstances mais pas trop nombreux non plus sinon on va vite se marcher sur la tête, déjà qu'à deux c'est la merde! Rugbystiquement c'est plus parlant, tu prends l'intervalle sur un temps fort mais jamais à l'abri d'un temps mort où tu cherches encore tes côtelettes. Toujours garder le lien avec tes partenaires, leur faire profiter du ballon, t'es pas le seul ni sur de marquer. L'important étant de prolonger l'envol pour attérir en en-but adverse.
RépondreSupprimerBon, la mêlée est favorable, j'ouvre, mais pour moi qui suit pas un grand littérosophe, c'est bien cadenassé. Difficile de trouver mes petits. Je dirais quand même Benoit pour la 2 mais l'ouvrage ? et Philippe Guillard pour la 7, "Du bruit dans les couloirs". Après, nuit et brouillard. Je tap en touche en 22 adverse. Peut-être Denis Lalanne pour la 1. Allez, la 6 à Ritchie ?... Touche adverse, p'tin y sautent haut...
On part du principe Benoit et moi de ne pas parler de nous et de nos ouvrages
SupprimerA point pour toi. Sergio. GUILLARD POUR LA 7. Petits bruits de couloir
Supprimer1 Jean Colombier "Béloni"
Supprimer2 Julien Capron " Match aller"
3 Jean Pelletier "l'embarcadère"
Bravo !
SupprimerMerci va falloir jouer en équipe car c'est plutôt costaud, je te dis pas le 3 .... hihihi Julien Gracq comme indice ( le roi Cophetua)
SupprimerBravo Gariguette. Le 1 c'est bien Jean Colombier avec Beloni. Et le 2 c'est effectivement Julian Capron dans Match aller... Tu prends la tête.
SupprimerAvec Gracq il y a de quoi faire. Quel ecricain de lovalie visitait le Nantais ?
SupprimerPasse le bonjour de ma part à Benoit que j'espère revoir déconfiné. Y répond pas souvent sur ses blogs !
RépondreSupprimerLancés comme vous êtes, je sens que je ne vais pas avoir besoin de vous filer un indice tous les jours. Vous en avez déjà trouvé trois sur dix. Bravo.
RépondreSupprimer10 "Ca, c'était quelqu'un" de Serge Simon
RépondreSupprimerWhaou, Sylvie, tu es lancée comme Vincent Clerc le long de la ligne, des lignes... Effectivement. Serge Simon. clap-clap
SupprimerNouvelle tentative sans certitude, juste parce que le titre me plait bien, sur le 3 Régis Debray "Dégagements"
RépondreSupprimerY aurait du Schaeffer dans l'air, dans la 3 je pense...
RépondreSupprimerChristophe ? Chais pas ... je le vois pas parler de "gente littéraire "
SupprimerBien vu
SupprimerPour la 6 : Puig Aubert - Immortel Pipette de Bernard Pratviel
RépondreSupprimerPour la 5
RépondreSupprimerHello
RépondreSupprimerTant que je réponds pas positivement cest que cest négatif. Comme le test corona
4.Raffut
RépondreSupprimerLivre de Philippe De Jonckheere
YES
SupprimerBravo Lulure. Un ouvrage magnifique, écrit comme un solo de saxophone, avec variations et reprises. D'un seul tenant ou presque. D'une écriture dense, serrée, riche, foisonnante et touchante. Pour moi, une révélation. Et son premier roman "une fuite en Egypte" semble être encore plus fort. mais ça ne parle pas d'ovale mais de triangle pyramidal ah ah...
Supprimer4 Guy Novès Mes 1000 matches au Stade Toulousain
RépondreSupprimer8, Pierre De Coubertin ?
RépondreSupprimerAllez Chevreuse
Non mais effectivement la période est classique
Supprimer5 Denis Lalanne Dieu ramasse les copies
RépondreSupprimerDieu bien dans le coup
SupprimerPurée, vous êtes trop forts... Cinq sur dix et ça ne fait que cinq heures et demi que vous êtes lancés. Bien joué. Maintenant, je sens que vous avancez par déduction. Et puis tout le monde n'est pas entré dans la danse. Manquent des Quinconces en télétravail qui vont arriver plus tard.
RépondreSupprimerC'est Lundi de Pâques ! font du télétravail sur leur canapé ou sont à la chasse aux oeufs confinés mouhahaha ...
SupprimerA la mi-temps : Gariguette en tête avec 3 points, suivie de Lulule et de Sergio, un point chacun. Rien n'est joué d'avance.
SupprimerBon allez, je tourne la page, j'ai un peu de boulot.
Bon ben rien n'avance ? On reprend quand pour la deuxième mi-temps ?
RépondreSupprimer8, Georges Pastre, "Les boucliers du printemps " ?
RépondreSupprimerAllez Chevreuse
Pas pour la 8 et pas les boucliers
Supprimer8.Voyous et gentlemen: une histoire du rugby
RépondreSupprimerLivre de Jean Lacouture
Non.
SupprimerLes Ovaliques
RépondreSupprimerOui,possible, mais pour la 6 alors ?
SupprimerAllez Chevreuse
Entendez-vous. Je ne compte le point que pour l'auteur et le titre de l'ouvrage. Ensemble. Là, ça part dans tous les sens. Alors qui quoi ?
SupprimerPour la 5 : Dieu aime t'il le rugby de Jean-Claude Lombard
RépondreSupprimerYes
Supprimerpour le 9, le style me fait penser aux Lettres d'un cousin de province de Marcel Bordenave
RépondreSupprimerPossible ça,très
SupprimerAllez, bises confinées
Il y a une voire deux clefs dans le texte, qui, vous le savez, n'est pas choisi au hasard.
SupprimerOui, Sergio, oui ! Et il aime le rugby, le grand sélectionneur... L'extrait se situe d'entrée de jeu. Attaque grand large. Formidable livre. One point.
RépondreSupprimerJean-Claude Lombard, le papa de Thomas. Psychanalyste. Et trois-quarts aile. Passé par le Stade Rochelais. Le pourquoi du comment sans aucune doute :-)
SupprimerIl avait particulièrement apprécié "Rugby au centre" et nous l'avait fait savoir avec beaucoup de subtilité, d'élégance et de pertinence. Un bonheur.
SupprimerReste donc les textes 3, 6, 8 et 9.
RépondreSupprimerAu moins, pour le nom d'un des auteurs et pour le titre d'un de ses ouvrages, vous êtes plutôt pas mal mais dans le désordre le plus complet. L'école toulousaine quoi... ;-)
SupprimerPour l'instant, alors que débute juste la deuxième période, Gariguette est en tête avec trois points, Sergio la talonne avec deux points et Lulure est sur le podium avec un point.
SupprimerJ'attends toujours que d'autres entrent en course.
Il reste quatre textes.
Demain, vous aurez un piste à vous mettre sous le clavier. Et ce ne sera pas un pastiche. Mais plutôt une réflexion qui vient de derrière les poteaux. J'allumerai la grande chandelle sous la tempête, "comme ces joueurs qui roulent les épaules, les manches relevées sur des avant-bras noueux et poilus."
Bonjour, voici se lever mardi.
RépondreSupprimerComme promis, voici une petite aide afin de ne pas trop vous en faire voir de toutes les couleurs...
Notre auguste auteur s'est inspiré, m'a-t-il un jour précisé dans une gentille lettre, de Virgile.
Son érudition, authentique, prend toute sa saveur dans ses pastiches, mais dont il n'est pas question ici. Dommage, Homère y aurait trouvé son conte.
Juste savoir qu'avec lui (notre auteur pas Homère), vous avez l'opportunité de chercher la définition de l'onomastisme.
Vous en ai-je trop dit ? Pas assez ?
En tout cas, il vous reste quatre extraits à identifier : 3, 6, 8 et 9.
Pour obtenir un point sont nécessaires : le numéro de l'extrait, le nom de l'auteur et le titre de l'ouvrage concerné. L'heure du commentaire à son importance. Le premier, ou la première, au ballon ! Ne pas attendre le rebond, prendre la beuchigue de volée, dans la foulée, et foncer depuis derrière les poteaux...
Bonne quête.
6. Georges Pastre, Les Ovaliques
RépondreSupprimer8. Raphaël Poulain, Quand j'étais superman
non ce n'est pas Poulain, le 8 est écrit par quelqu'un de plus âgé à mon avis RP est plus vif, plus exalté ...
SupprimerNon et non Lulure. Mais pour lun tu y es presque. Il faut juste mieux viser
SupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
SupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimer3 Jacques Verdier Chroniques ovales
RépondreSupprimerOui
SupprimerAh Verdier et Gracq une belle histoire.
SupprimerChroniques ovales traverse avec style 30 ans de rugby. De la fin de l'amateurisme au début de l'ère pro. Page turner.
Supprimer25 mars 1992. Sa rencontre avec le voyageur de Saint Florent. Page 170. D'une grande beauté émouvante et discrète.
SupprimerBon, diversion interessante!Mais j'avoue, je suis hors-jeu du fait de mes ignorances pour ce domaine du rugby plus ou moins romancé. je n'ai du lire que "le temps des Boni"......
RépondreSupprimertu sais Georges je n'ai lu aucun des bouquins dont il est question ici, faut juste chercher, comparer, soupeser, faire des hypothèses et se lancer . Parfois ça tombe juste ou pas loin ...en tout cas la quête est très intéressante, j'ai découvert Serge Simon écrivain et je suis scotchée !
SupprimerJ'aurais tendance à dire que nous sommes plutôt là dans l'essentiel
SupprimerRien dune diversion
SupprimerCharles Juliet.
RépondreSupprimeroui je pense que Benoit n'a pas pu résister ! mais dans quoi ? n'oublie pas de mettre le numéro l'auteur et le titre sinon ça vaut pas !
SupprimerOui bien sur mais pas là. Pas dans ces 10.
SupprimerVirgile
RépondreSupprimerHomère
Auguste
3 pistes pour un texte...
Allez les limiers !!!
6 Georges Pastre L'herbe de vérité
RépondreSupprimer9 Antoine Blondin Ironies ovales
RépondreSupprimeren 8 je vois Denis Lalanne mais je ne sais pas dans quoi ...
RépondreSupprimerBon là je dois vous laisser, grave souci familial . Décès. Chagrin . Deuil compliqué par le Covid .
Saloperie de virus .
Nos pensées à tes côtés, Sylvie.
SupprimerAllez Sylvie
SupprimerLulure, tu n'es pas loin. Creuse encore.
RépondreSupprimer6, " Les grands du Rugby français " Pastre / Verdet ?
RépondreSupprimerAllez Chevreuse
Non non non
RépondreSupprimerIl y a dans ce texte 6 une clef qui devrait vous ouvrir en grand la porte de la solution.
La 8 : Pierre Villepreux "Intercalé"
RépondreSupprimerNon, non, Jan Lou et Sergio. Celui qui se trouve le plus proche d'une bonne réponse, c'est Lulure.
RépondreSupprimer6 Georges Pastre Les Capes du matin
SupprimerNon. Dans le 6 il y a un mot clef qui doit vous sauter au visage. Meme Salviac a fait le lien. Par Sms. Mais la pas trouve le bon bouquin
Supprimer9.Georges Pastre Les Ovaliques
RépondreSupprimerOui mon Lulure. Oui !!!! Enfin... il était temps... point pour toi.
Supprimer9 Georges Pastre Les Ovaliques
RépondreSupprimerTkt ah ah cest noté
Supprimer6, Jean Lacouture, "Le Rugby c'est un monde "?
RépondreSupprimerAllez Chevreuse
Bravo Jean Lou. J'allais le mettre
RépondreSupprimerTravail d'équipe!
SupprimerAllez Chevreuse
Le mettre de couture
RépondreSupprimerah ah ah
Supprimerje perds le fil
SupprimerAh ah ah (aussi)...
SupprimerL'auteur du texte n°6 que vous comparez à Bernard Pratviel, Georges Pastre, Pierre Verdet et Jean Lacouture serait particulièrement fier et honoré d'une telle parentèle.
RépondreSupprimer6 Jacky Adole Mon sac de rugby
SupprimerAh, dilemme. Arbitrage. Vidéo.
SupprimerLa règle du jeu, c'est le bon texte, le bon auteur et le bon ouvrage.
Il manque, ma chère Sylvie, un élément pour faire "point" final.
Le mot clef était rochelais, tu l'as bien deviné.
SupprimerEt si tu te remets à l'ouvrage, tu auras remporté ce quiz "Littérature et rugby" et du coup tu ne pourras pas manquer Uzerche en septembre en semaine si jamais le déconfinement nous le permet. Et ta santé t'y autorise.
Supprimer6- Mon sac de rugby - Jacky Adole
SupprimerChoix incomplet
SupprimerGariguette a pris une belle avance avec 4 points. Mais Sergio et Lulure sont au taquet et à égalité derrière elle avec deux points chacun.
RépondreSupprimerRestent deux extraits à trouver.
Soit Sylvie l'emporte en n'ayant qu'à fournir une seule bonne réponse.
Soit Lulure ou Sergio, dans une ultime ligne droite du feu de Dieu, parvienne à finir sur la ligne en bonne compagnie, celle de Sylvie.
Suspense insoutenable mais passionnant.
Ou alors Jan Lou, dans un sursaut épistolaire, vient depuis le Bambou Bar, finir en trio avec ses deux compères...
SupprimerN'oubliez pas : les indices, les mots clefs !
RépondreSupprimerVous commencez à me connaître maintenant...
Pour Colombier, c'était "Blondin"
Pour Capron, c'était "match", bien sûr.
Pour Verdier, c'était "Cophetua" et donc Gracq
Pour De Jonckheere, c'était "raffuter" à l'évidence
Pour Lombard, c'était Dieu
Pour Guillard, c'était "l'hôtesse", dans le couloir, toujours
SupprimerPour Pastre, c'était "Hercule", allusion mythologique virgilienne
SupprimerPour Simon, c'était "Georges", son personne principal.
Gariguette, Jan Lou, Lulure, Sergio et André, les fins lettrés, les débordeurs le long de la ligne, les ouvreurs de chapitres, les qui allument les chandelles pour éclairer le "je", les dos carrés, les reliés... A vous de jouer. Moi, je vais vous lire dehors dans mon jardin, suivre vos relances, en savourant un Havane (le Che aime le rugby) avec un café chaud.
RépondreSupprimer8 La mêlée fantastique Denis Lalanne
RépondreSupprimerPour info
RépondreSupprimerNi Lalanne
Ni Lacouture
C'eut été trop facile
RépondreSupprimer8- Rugby blues - Denis Tillinac
RépondreSupprimerNon. Si tu as lu Rugby Blues tu vois quil na pas ce phrasé
Supprimeroui juste une fixette sur le prénom ... et puis les bourriques il en a parlé aussi
Supprimer6-8 - Mon sac de rugby - Jacky Adole
RépondreSupprimerNon. Pas le sac
RépondreSupprimerAdole. Oui
RépondreSupprimerMais son meilleur ouvrage
Le plus abouti
Le plus "littéraire
6-8 - Déjà - Jacky Adole
Supprimerpardon ... 6-8 - Déjà ... - Jacky Adole
SupprimerAh zut, Déjà c'est la suite, ou bien?
SupprimerAllez Gariguette, la tête dans le guidon 😆😆
6 ou 8 ?
Supprimer6 - Déjà ...- Jacky Adole
SupprimerOui !!!!
SupprimerQu'il est triste le Bambou Bar
RépondreSupprimerQuant il n'y a plus un seul motard
On se f'rait bien un p'tit café
Mais la serveuse est confinée
Allez Chevreuse
mais quel poète ! pouett pouett !
SupprimerLa 8 Alfred Eluère, l'époque du schisme, à la réflexion pas écrivain!
RépondreSupprimerAllez, si c'est pour écrire des conneries!
Presque
SupprimerIl faut avoir envie de jouer avec lui
Pour l'extrait qui interroge ici sachez que son auteur fût un des plus grands joueurs francais
RépondreSupprimerImmense capitaine
Et dirigeant fédéral de très haute et fine lignee
8 Adolphe Jaureguy "souvenirs de Rugby " ?
RépondreSupprimerAllez Chevreuse
Non
Supprimer8 Adolphe Jaureguy "Jouez avec moi"
RépondreSupprimerCopieur !😊😊
SupprimerOui...
Supprimer8 - Adolphe Jaureguy - Qui veut jouer avec moi ?
SupprimerCopieuse !
SupprimerJ'ai hésité avec M. Crauste, mais ça cadrait pas trop et après sur Crabos pas mieux et je tombe sur Jaurécuy. Puis j'ai vu JLou que tu l'avait mis. Du coup, j'ai mis l'autre titre.
Supprimerc'est pour ça qu'il faut beaucoup échanger même si on fait des suppositions baroques, le regard des autres peut amener à la solution après c'est à la grâce de Dieu !
SupprimerNous avons la réponse à la question que se posait Jean-Claude Lombard : dieu aime le rugby.
Supprimer9 Michel Crauste. Le testament du Mongol
RépondreSupprimer8
RépondreSupprimer6. Déjà Jackie Adole
RépondreSupprimerToo late...
SupprimerJ'ai trouvé Adole un 1/4 d'heure trop tard...
SupprimerPour lui c'est parce que Ritchie a parlé de ses réactions à nous lire, donc il le connaissait bien, un Rochelais, c'est son parrain souvent évoqué ici ou sur "comme fou" donc mémoire ...
SupprimerOui
SupprimerVous avez, bloggeurs, le bonjour de mon parrain, Jacky Adole, très touché que vous l'ayez comparé aux plus grandes plumes ovales. Sincèrement flatté.
RépondreSupprimerAdolphe Jauréguy, oui. L'un des plus grands de l'histoire du rugby français.
RépondreSupprimerLisez son "Qui veut jouer avec moi ?" qui raconte les débuts du rugby français à l'international. Succulent.
SupprimerIl écrit bien, on sent que ça date un peu mais c'est bien ficelé .
SupprimerIl y a surtout plein d'anecdotes savoureuses et de grande valeur historique.
SupprimerBravo à Gariguette qui récolte cinq bonnes réponses, devant Sergio, notre poète, qui émarge à trois et notre Lulure national, deux bonnes réponses.
RépondreSupprimerAvec l'aide de Jan Lou, on tient là notre quartet de fins lettrés.
Avec ces dix ouvrages, ces dix auteurs, nous tenons là, Benoit et moi, le socle sur lequel sera construit la journée "Littérature et rugby" en mercredi 23 septembre à Uzerche.
Prochainement (mais pas tout de suite), je reviendrai ici pour les dix autres auteurs et ouvrages qui complètent notre "bibliothèque ovale idéale".
SupprimerAlors d'ici là, à vos rayons, à vos bibliothèques, à l'ouvrage, quoi...
Surtout vous remercier pour ce voyage. Maintenant, nous pouvons jeter l'encre, faire escale et débriefer. Je vous écoute, je vous lis... Qu'en dites-vous ?
SupprimerJ'en dis que c'était dur surtout dans les côtes ah non zut ça c'est le Tour de France, donc oui dur parce que perso je trouvais des indices partout ... exemple, "piment" dans le 8, pour moi = Espelette = Basque = Lalanne après difficile de revenir en arrière . Et j'en ai fait comme ça sur tous les textes .
SupprimerAutre difficulté ( hum !) chaque fois qu'on tombe sur un texte, envie de le lire et donc on perd ( re-hum !) du temps ... bien aimé la poursuite de Verdier Gracq Cophitea c'était pile poil dans mes cordes ! et la surprise Serge Simon que je n'aime pas du tout et qui écrit sacrément bien : flûte va falloir que je le lise !
SupprimerToi qui aimes ça, son "la melee" est remarquable
SupprimerJe me suis replongé dans "Capitaines du XV de France" essentiellement des photos, essentiellement noir et blanc, essentiellement volontairement en gros plans sur ces visages vieillis mais de ride en ride qui ont leur beauté, certaines avec une belle lumière. Depuis, j'aime bien faire des portraits en gros plan face, profil, 3/4. Comme dis Gariguette, dans la recherche pas se faire piéger par la relecture. Et faut que je me rachète "petits bruits de couloirs" qu'on m'a jamais rendu. Il y a cette fameuse histoire d'équipe partant en tournée à l'étranger où la Guille parle des 3/4 qui jouent les barbots de la drague, des gros qui restent ensemble et cachotiers sur leurs lieux de sorties. Et parmi eux, il y en a 1 qui découvre son homosexualité et disparaît au moment de repartir pour rester en Argentine. Succulent.
SupprimerQuand à Serge Simon, ben faut prendre si possible ce qu'il y a de bien chez chacun, c'est ce que j'essaie de faire dans la mesure du possible s'il y a accroche. Mais lui, il a son poids de désagréabilité...!!
SupprimerSergio, si on devait ne lire que les purs et durs, les sympatoches et les doux, on ne lirait que des conneries ... Bien au contraire la littérature est bien plus intéressante quand elle est le fait de torturés du bulbe - Lautréamont- de vicieux - Sade - d'escrocs - tous les écrivains - de trafiquants - Voltaire, Rimbaud - de drogués - Baudelaire - d'ivrognes - Verlaine etc . La vertu n'est pas toujours gage de bonnes pages ( remarque le vice non plus !)
SupprimerDe tout ça a la fois, Monfreid !
SupprimerQuant à Simon, c'est pas parce qu'il est con que c'est un con, hein, fô pas confondre !
Allez, m'en vais programmer mon pic de forme (s) pour le 11 Mai 😅😅⛳⛳
Vais me mettre aux fléchettes jouer le décompte du temps, on verra si on arrive au 11 mai comme y dit...
SupprimerHenry de Monfreid, oui un specimen assez rare ! Ca m'a fait plaisir que tu en parles Jan Lou, avec Kessel, London Hemingway et Steinbeck des figures de mon pantheon personnel, pas des écrivains majeurs mais de ceux qu'on peut relire inlassablement . En ces temps de confinage forcé, ce sont des grandes bouffées d'air .
SupprimerPour le 11 mai, rien de sûr pour moi et quelques autres ....
Alexandra David Neel aussi.
SupprimerAllez, Steinbeck,pas un écrivain majeur ?
Bukowski
RépondreSupprimerCeline
Lewis Caroll
Et j'en passe
Bon je vois que pour le coup quand il sagit d'échanger sur des lectures ovales nous sommes en tout-petit comité... mais c'est égal... car cest plaisant... vous êtes le cercle des poètes bien présents...
RépondreSupprimerFaut viser plus loin, le 22 septembre... Cela dit avec le peu de bloggeurs d'ici intéressés par la littérature et le rugby, on va pas être à l'étroit à Uzerche...
RépondreSupprimerc'est à dire, qu'en ce moment, j'ai mis mon personnel en télétravail et je concentre tous les appels, alors la littérature, c'est celle des contrats d'assurances pour maintenir le cap.
RépondreSupprimerAh ah ah... bon je rigole mais c'est pas drôle.
Supprimerje ne me plains pas, je donne juste une explication sur mon absence. Après, je crois que Mc Orlan a écrit pas mal sur le rugby, mais je ne l'ai jamais lu.
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RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
SupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
SupprimerPour revenir au titre de Ritchie, je me demande en quoi le rugby c'est "tout un roman" . J'ai regardé la définition de roman :" Le roman est un genre littéraire, caractérisé essentiellement par une narration fictionnelle. ... » ou dans certaines acceptions de l'adjectif « romanesque » qui renvoient à l'extraordinaire des personnages, des situations ou de l'intrigue." Personnellement je voyais plus le côté dramatique, donc théâtral de la chose, mais roman ...
RépondreSupprimerLa saga du rugby au fil des siècles - eh oui déjà ... - est effectivement romanesque . On a en tête des personnages complètement romanesques - Armand Vaquerin pour n'en citer qu'un - Mais qu'y a t'il de "fictionnel" dans le rugby à votre avis ? Parce que fictionnel signifie " irréel, inventé, inexistant." Ouais que des carabistouilles ! Par exemple, pour en revenir aux auteurs, Denis Lalanne a souvent écrit le roman du rugby avec ce qu'il voyait, il le reconnaissait lui même, " Dans vos articles, vous arrivait-il de romancer ?
Un jour, le journaliste Pierre Lazareff avait demandé à Blaise Cendrars qui avait écrit la Prose du Transsibérien : "Tu as vraiment pris le Transsibérien ?" Cendrars avait répondu : "Mais qu'est-ce que ça peut foutre que je l'ai pris ou pas puisque je fais voyager le lecteur ?" Disons comme Cendrars, oui, j'ai sublimé. À mon insu. Depuis ma jeunesse sous l'Occupation, j'éprouvais le besoin d'inventer, d'enjoliver les choses. Les événements étaient tellement terribles et décevants."
D'autres sont restés plus factuels . Et vous où va votre préférence ?
C'est un monde... je ne parviens pas à écrire depuis mon ordi.
SupprimerPour moi ma préférence va au style.
moi ok sur le pc mais plus possible avec la tablette ! Oui je me doutais bien que ce serait le style .
SupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerPour l'instant je suis agrippé au comptoir de Béloni. A votre santé
RépondreSupprimerPrause moins philosophique...
RépondreSupprimerConfiné, jour 29
Le jour flemmardait dans un lit de nuages hésitant à démasquer le soleil. Finalement, l'astre obtenait son autorisation de sortie, m'incitant à rédiger la mienne pour une échappée d'une heure en mo(n)de extérieur. Comme un stent respiratoire libérateur. Puisque le monsieur en costume de la télé continuait de l'autoriser au cours de ce report annoncé de confinement d'un mois supplémentaire. Les blouses blanches, cette armée des ombres d'un autre temps que celle repassée avant hier à la télé où Paul M(e)urissait pendant que Simone S'ignorait et Lino s'aventura, avait donc encore pas mal d'heures supplémentaires planifiées mais ça elle le savait déjà. Le monsieur ondulait un peu dans ses propos, mais ça on s'en doutait un peu aussi. Communication breakdown ? On verrait plus tard qui paierait la dette.
Donc, nouvelle déambulation pédestre pas forcément au hasard puisque pour des courses, avec appareillage de base, masque, lunettes de soleil, gants, casque à musique au son justement de "Ripples" de Genesis, exploration du moment... passé (reexploré concert de 2007), de tous ces machins mis au rencart dans nos fourbis anamnésiques remontant à la surface histoire de passer le temps qu'il fallait bien utiliser à quelque chose, pendant que d'autres étudiaient toujours au microscope. Les oiseaux s'égosillaient mais casqué, je ne les entendais pas. Il y avait ce couple de pies, et puis des corbeaux aussi qui se remettent à l'écriture, parait il... Et des gens qui courent, jeunes, vieux-jeunes, vieux tout court, addicts ou redécouvrant la sueur sous les bras et sur le front pas si utopique que ça dans le fond.
J'ai pris 3 kilos de pommes pour une compote, une pointe d'asperges, des fraises qui me reluquaient et un peu de pain aussi. Allez, l'heure était pas aux chrysanthèmes, fallait en profiter... Dans mon casque passaient des trucs comme Alabama Shakes, Talking Heads, Alabama Shakes, Arthur H, Lennon ou encore Aston Vila, des traces déconfinées. Allez on trace... comme si on était parti pour rester.
En faisant gaffe bien sur.
Bon, j'ai repris 2/3 petites idées à Benoit, clin d'oeil...
Philippe, ma DRH à décidé pour moi peinture-travail, tondeuse-travail,pinceau-travail,j'en passe. ..
RépondreSupprimerTu pourrais pas passer un coup de fil pour lui suggérer télé- ?
Allez, entre chefs 😉😉
Bel article midol sur Albert Cigagna, peut-être la plus grande gare de triage en 8, et mal récompensé en EDF.
RépondreSupprimerCigagna, Magne et Cabannes, peut-être la plus belle 3e ligne
Cigagna celui qu'on surnommait Matabiau, m'en a fallu du temps pour comprendre chus pas de Toulouse ! Sinon à propos de surnoms, vous en avez des bons à raconter ?
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RépondreSupprimerBen Dis donc,gros doigts Zan Lou !
RépondreSupprimerReprenons:
Devant l'air bovin du grand Paul qu'il venait d'expulser sous le fallacieux prétexte d'avoir destronché un con qu'était hors jeu le référé conclut d'un définitif
" et me regarde pas avec cet air de boeuf"
A la douche notre grand couillon va voir sa victime ,encore un peu vitreuse, pour s' excuser et lui assurer qu'il n'avait que son direct du droit pour ce joli KO.
Son surnom était assuré pour 1/2 siècle, c'était même le nom d'un lancement !
Je n'étais pas Granville l'an dernier pour ses 70 printemps, mais participant au cadeau :
Un nerf de boeuf,quoi d'autre ?
Allez, l'était un peu agricole, Paulo.
Sur,Sergio, un joueur précieux.
RépondreSupprimerSon seul tort sera d' être contemporain de deux monstres ,Cecillon et Rodriguez surtout, sinon il aurait trente sélections, Bebert!
Allez Chevreuse
Ferrasse vs Fabre
SupprimerAussi, mais si l'homme fût probablement le plus précieux sur la durée d'un championnat les deux autres étaient supérieurs à l'international, même sur des critères purement sportifs.
SupprimerAller Chevreuse
Le meilleur surnom que je connaisse ?
RépondreSupprimerLa Gerule
Mais pour l'expliquer il me faudrait une chronique...
Je vois un rapport avec Gerulaitis le joueur de tennis non ? Sinon en latin gerulus ( donc gerule au vocatif) signifie le porteur de nouvelles, le messager .. bref le gobetween ... décidément ! ...
Supprimerbon en fait j'ai le défaut des femmes : je me souviens ( certains diraient que j'archive !) bref ... donc ici vous aurez l'explication http://commefou.blogspot.com/2015/10/cette-vieille-gerule.html et en relisant les commentaires je m'aperçois que je n'ai pas reçu l'exemplaire promis, Richard ! pas grave ... en échange tu pourrais raconter l'expé Délivrance ( sans le cochon please )
SupprimerAh, Gérulaitis... quand même. Ricthie démasqué (en quelque sorte, expression du moment) et en plus, de là a suinté le titre blog "Comme fou". Oui, je dirai que tu archives. Et tu mets à la corbeille aussi ?
SupprimerSinon, Beau tennisman adepte du service/volée mais bon en fond de court aussi et effectivement fêtard, mort à 40 ans.
Ah cest vrai. Mais parce que je crois bien ne plus en avoir un seul a disposition
SupprimerEffectivement il faut avoir lu "Comme Fou"
SupprimerUne gerule cest le gars (ou la fille) doué mais fainéant, qui réussit en faisant le minimum d'efforts. Flamboyant mais distant. Victorieux mais mou du genou. Fêtard et indolent. Tombeur de femmes sans le chercher. Bref le mec dont tu as envie d'être copain mais en sachant quil ne faut pas compter sur lui...
SupprimerTiré du nom propre Gerulaitis.
SupprimerEt très maniaque en plus: à chaque changement, il avait sa routine de remplacer systématiquement le grip de sa raquette (manière d'occuper son esprit, le tout en une minute chrono), et revenant se placer au fond du court évitait soigneusement de marcher sur les lignes blanches (dont il usait sous une autre forme...).
SupprimerLa gërule. tout 1 roman donc. Et minimum c'est censé correspondre à quoi, humain, animal, vérole...
RépondreSupprimerMe rappelle d'un gars que j'ai retrouvé sur FB, dans le club ils l'appelait "Bobo" car il était tjrs blessés. Avec mon frère, nous, c'était les "frères pétards" (Eynard) sachant qu'ils confondaient systématiquement nos prénoms.
Il est 10h 10 et déjà 188 commentaires, époustouflant! et seulement 4 participants.
RépondreSupprimerce matin, suite à la sécheresse,ça fait plus d'un mois qu'il n'a pas plu, j'ai du arroser la plantation de patates, dont la majorité ne veut pas montrer ses petites feuilles. Tous les autres semis sont en souffrance, et ce vent d'autant qui n'arrete pas...
Le confinement, nous y sommes habitués, mes proches voisins sont à plus de 250 métres
Comme quoi la qualité et la quantité ne sont pas fonction du nombre d'invités
SupprimerLe vent n'est pas l'allié des tennismen, Georges. Faut monter au fil (et non au filet ici) d'arrosage, et pas que délicatessen, si tu veux planter des points et pas sécher au score.
SupprimerGeorges, faut demander des conseils à Jan Lou, il a la main verte, incroyable ce qu'il arrive à faire pousser à partir de rien . Sinon le champion de la patate c'est quand même Matt Damon dans " Seul sur Mars " ...
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RépondreSupprimerGeorges, je sens en toi un manque de patate. Réjoui toi, tu as à la chance de pouvoir cultiver ton jardin, ce qui n'est pas donné à tout le monde.
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