Un match international est-il synonyme de chaos, ainsi que le suggèrerait le sélectionneur en chef du XV de France, Fabien Galthié, dans l'émission Canal Rugby Club du dimanche 5 septembre. Chaos comme l'entassement d'êtres au point de n'en distinguer aucun ? Chaos à l'image de l'effet papillon ? Chaos pour signaler que rien ne peut être prédit à l'avance ? Chaos comme récurrence du désordre ? Ou bien quand l'énergie se disperse ? Quand tout se détériore ? Restons dans l'ovalité du monde qui nous occupe ici. Du coup, j'ai demandé à Olivier Magne, lecteur du blog, ancien capitaine et troisième-ligne du XV de France, ex-entraîneur des moins de vingt ans tricolores et consultant technique pour plusieurs médias, d'éclairer le chaos quand il se manifeste dans le champ rugbystique.
"Il faut d'abord évoquer, si on parle de chaos, l'environnement, l'atmosphère, les émotions, la tension, qui désorientent le joueur quand il découvre le niveau international. Il laisse beaucoup d'énergie dans l'extrasportif mais pas de là à perdre tous ses repères. Cela dit, il ne faut pas mésestimer l'impact du stress sur le joueur : il peut le déstabiliser dans son approche de l'événement rugbystique. L'emballage médiatique, c'est-à-dire des sollicitations en continu, crée une pression inattendue. Ce n'est pas pour autant le chaos mais c'est une situation d'insécurité chez celui qui n'est pas préparé à cela. Il faut être fort, mentalement, pour vivre sans trouble la pression médiatique. J'ai côtoyé des joueurs de talent, très fragiles psychologiquement, qui sont passés à côté d'une carrière internationale parce qu'ils n'étaient pas capables de gérer la pression naissante dans le cadre extrasportif..."
"Dans le domaine sportif, en revanche, les conditions sont différentes - et là je parle du jeu qui est plus rapide et plus intense : si tu affrontes les meilleurs joueurs du monde, tu joues aussi avec les meilleurs, et là, je ne vois rien de chaotique. C'est un cadre différent mais qui n'est pas inconnu du joueur : celui qui arrive à ce niveau est déjà passé par les phases finales du Championnat, la Coupe d'Europe, des étapes d'une intensité assez remarquable. Et puis, une fois entré directement dans l'action d'un match, une fois les hymnes passés, beaucoup de stress s'efface et disparait."
"Le chaos brise tout. Par nature, il est incontrôlable, et personnellement, je n'ai jamais eu l'impression qu'un match international s'apparentait au chaos. Par définition, le désordre, dans le jeu, peut être créé volontairement afin de retrouver de l'organisation dans une volonté collective de se coordonner pour dominer l'adversaire en le surprenant. C'est une question de lecture individuelle et collective dans le but de trouver des solutions opportunes, tout simplement. Mais ce n'est pas du chaos."
"Physiquement, il est rare qu'un joueur international soit débordé. Et encore moins aujourd'hui avec le niveau d'exigence de la préparation physique. Alors qu'entendre par chaos dans la bouche de Fabien Galthié ? Est-ce une forme de communication qui véhiculerait l'idée que le haut niveau n'est pas accessible à tous ? Si c'est le cas, il a raison. Oui, l'athlète de haut niveau est en marge : ce n'est pas quelqu'un de tout à fait normal. Mais je ne suis pas certain que son lexique soit bien choisi. Quand on parle de chaos, il faut savoir à quoi ce concept se réfère. S'il y a désordre en rugby, c'est volontaire, ce n'est pas subi. Si ce n'est par l'adversaire."
"Le chaos dont parle Fabien Galthié, c'est peut-être en référence à la dernière action du premier test en Australie, avec une suite de gestes mal contrôlés - lancer dévié, ballon qui rebondit, passes n'importe où à n'importe qui dans la précipitation - qui permet aux Wallabies de l'emporter, c'est le money-time du basket, la dernière minute du dernier round en boxe. Alors, oui, sur le moment, c'est une situation désordonnée, presque chaotique. Alors, oui, sans doute là, sur ce bout de match. Qui te fait perdre ce match."
"Il m'est arrivé, joueur, de percevoir ce que je devais faire, mais de ne pas avoir le geste juste, de lâcher la passe et de savoir, dès que le ballon part, que ce n'est pas le bon choix. Je me souviens d'une passe interceptée qui nous fait perdre le match à l'époque où je jouais à Clermont. Je lis beaucoup d'ouvrages, en ce moment, sur la place laissée à l'intuition, comment la définir, comment la mesurer... En 1999 alors que nous sommes menés 24-10 par les All Blacks à Twickenham, on peut imaginer que la situation est à cet instant chaotique, alors que c'est l'inverse : une énergie collective très forte se dégageait de notre équipe, le stade était à fond derrière nous, nous sentions un public au soutien, des Marseillaises montaient des tribunes. C'était irrationnel, mais nous étions enveloppés par tout cela."
"Nous avions l'intuition que notre adversaire n'était pas dans la posture d'un vainqueur ; les All Blacks n'étaient plus arrogants comme ils savent l'être, parfois ; ils ne parlaient plus, on les sentait en souffrance, ils étaient dominés même s'ils menaient au score. Etait-ce une forme de chaos, je ne sais pas, mais en tout cas, nous sommes sortis vainqueurs par K.-O. de ce match..."
Pas eu le temps de lire cette chronique Kaotante🤣🤣.
RépondreSupprimerJe reviens en vitesse sur le choix entre NTM et Jalibert. Les 2 sont les plus aptes à animer l'EDF. Après je dirais que NTM fait peut être un peu plus jouer. Et de plus joue avec Dupont au ST. Jalibert une fois l'avantage pris joue un peu plus pour lui. Faut suivre le turbo. Mais 2 phénomènes en 10 à leur âge.
Aller je reviens chaoter plus tard.
ça ne passe pas
RépondreSupprimerle chaos est un tas de gros rochers, disposés de façon alèatoire, cela donne parfois de très jolis paysages, un des plus connu en France est celui de Montpellier le vieux prés de Millau.
RépondreSupprimerLe chaos est pour beaucoup synonyme de "bordel"! Je pense que ce mot est souvent utilisé quand on ne sait pas quoi dire de plus précis
Georges,
SupprimerMon premier chaos fut le Sidobre enfant puis "le Carcin Blanc" plus près de chez toi avant de connaitre celui de Targasone sur l'Altiplano pendant la traversée des Pyrénées. Des étapes de la vie qui t'évite le KO !
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RépondreSupprimerDivin Chaos,
RépondreSupprimerNe pouvant échapper à cette béance ou faille littéraire contraire au désordre ou à la confusion binaire qu'engendrent la lecture ovalesque du jour, je citerais Hésiode.
« Donc, au commencement, fut Chaos, et puis la Terre au vaste sein et le Tartare sombre dans les profondeurs de la vaste terre, et puis Amour, le plus beau des immortels, qui baigne de sa langueur et les dieux et les hommes, dompte les cœurs et triomphe des plus sages vouloirs. De Chaos naquirent l'Érèbe et la sombre Nuit. De la Nuit, l’Éther et le Jour naquirent, fruits des amours avec l’Érèbe. À son tour, Gaïa engendra d’abord son égal en grandeur, le Ciel étoilé qui devait la couvrir de sa voûte étoilée et servir de demeure éternelle aux Dieux. Puis elle engendra les hautes Montagnes, retraites des divines nymphes cachées dans leurs vallées heureuses. Sans l’aide d'Amour, elle produisit la Mer au sein stérile, aux flots furieux qui s’agitent. »
La mythologie a ce propre naturel et logique d'expliquer la naissance des divinités et leurs histoires. Comme si l'ovale s'était nourri des ténèbres pour aller vers le soleil et la lumière. A ceci prêt, que nous avons des éclats de temps en temps ou le cosmique et le rayonnement doivent être un don gracieux de la divinité. Comme dit Olivier, une victoire est un fait du hasard qui ne se reproduit que tous les 20 ou 30 ans et à laquelle on s'accroche de peur du vide. Si FG avait un tant soit peu réfléchi, il n'aurait pas du choisir ce mot "chaos" symbolique de la confusion et du désordre. A tel point que sa théogonie ou sa logorrhée sur le sujet sont contraires à l'espoir fondé sur ce nouveau XV de France et son objectif de devenir pour une fois Champion du monde. Quand je lis que les joueurs sont fragiles mentalement en avant match, il faut les renvoyer à leurs mamans ! rien de plus simple. Plaise de dire qu'en situation d'urgence absolue, rien ne compte plus que d'inverser le pronostic vital engagé et que le reste n'a aucune emprise sur l'objectif à atteindre. Le chaos austral n'est que la pâle figure observée en top 14. Encore hier LR, le LOU, l'UBB au BO, signature d'une fragilité mentale chronique et destructrice sur laquelle il est difficile d'édifier des théories encore moins des objectifs. Nous sommes rongés par la cupidité comme les dieux l'étaient dans la mythologie par la gloire. Comment expliquer que l'ASM ne soit pas plus titré que cela ? Être salarié n'est pas être joueur c'est tout le mal du rugby français par rapport aux anciennes générations qui n'avaient pas d'argent. Alors oui, réussir un KO une fois dans sa vie, fait bien sur la carte de visite, mais hélas ce n'est qu'une fois, loin du contraire du quotidien et du chaos de notre championnat.
“Les lois claires en théorie sont souvent un chaos à l’application.” Napoléon Bonaparte
C'est parce qu'ils ne lisent pas assez ! Alain Finkielkraut: «La littérature a cessé d’éduquer les sensibilités, de façonner les âmes» Voilà .
SupprimerL'opus de nos deux lascars nous explique cela très bien et à lire les témoignages épatants des "vieux" on ne peut qu'être convaincu . La technique ils l'ont tout autant - voire même plus ! - mais l'âme, l'esprit ...
PS : merci de me citer Tautor 😉
Le french flair serait il le chaos pour perdre ses adversaires. Des cas hauts d'école, en tout cas historiques. Initier le désordre pour mettre KO à la 1re occasion.
RépondreSupprimerSinon, il arrive aussi qu'il y ait des jours sans, ou l'inspiration soit KO, au ras du gazon. Au même titre que l'auteur cale devant sa feuille blanche ou l'azerty, que la rature ne soit pas d'exception. Ce qui les fait se rapprocher, expliquant ces jeux de lignes...
Je laisse le chaos mythologique à Tautor; il le connaît à merveille. De mon côté, j'ai relu -dans Wikipédia, tout simplement- la Théorie du chaos mathématique. Et cette lecture m'a été profitable dans la compréhension du discours de Fabien Galthié et ce que le chaos peut soutenir sa vision des choses.
RépondreSupprimerSinon, je ne sais pas si ça a pu arriver à Olivier Magne, mais dans d'autres circonstances il arrive que la fumée de cigares errants embrumasse les esprits au point de ne plus savoir s'ils étaient dans la vraie vie où la mythologie, de la jouer côté rôtie ou vaqué ta race. Au point de s'en remettre à la muse du coin avant le chaos mathématique pour repartir un peu plus gigue dons d'as...😉😁.
RépondreSupprimerBen dis donc, fô pas s'absenter sous peine de retard irrattrapable !
RépondreSupprimerBon,je reprend à l'envers.
Fastoche, il a tout dit, Charly , en même temps c'est Monsieur Magne, aussi !
Pas entendu les propos chaos du coach, donc le contexte mais si c'est de jeu dont on parle, au sens scénario d'un match,ça semble excessif.
Désordre oui,c'est ce qu'on doit chercher,toujours, en bon français foutre le bordel chez l'adversaire, c'est payant et jouissif mais ça dure pas en général, voilà toute la différence .
Et cette histoire d'ouvreurs , easier, juste lire Ritchie , la charnière toulousaine, l'influence sur le collectif. ..
En même temps c'est Monsieur Richard, aussi !
Allez. .. ah si, Nini, supprimer la cuillère, ça va pas, ou bien ?
Oui mais non en fait : si la bonne charnière c'est celle qui joue toujours ensemble qu'arrive t'il en cas de blessure ? Je suis pour foutre le bordel tout de suite : tu préfères jouer avec Machin ? Hé ben tant pis tu vas jouer avec Bidule . Après ils s'adaptent sinon c'est des quiches . Et pour l'influence sur le collectif ( comment tu causes bien JanLou ! ) m'en fous aussi . Audiard a écrit plein de trucs sympa là dessus ...
Supprimer"Quand les types de 130 kilos disent certaines choses, ceux de 60 kilos les écoutent"...
SupprimerIl ne t'auras pas échappé que le " vestiaire " est le ciment d'une équipe, et je peux te citer un tombereau de joueurs indispensables qui étaient pourtant loin d'être les meilleurs a leur poste.
SupprimerL'avoir négligé a surement participé à nos brillantes performances d'un passé récent.
Pour la charnière, mais pas que, tu as raison, un plan B, C aussi, est indispensable.
Tous les entraîneurs s'y préparent, surtout à ce niveau ou ils ont en général du cheptel, problèmes de riches quoi !
N'empêche qu'a un moment, le jour de finale du challenge Pam Pam de St Saturnin ou de la Cup 2023 a St Denis, ben... il faut faire rentrer 15 blaireaux, pas un de plus,et ça doit faire la meilleure équipe.
Allez Chevreuse
Le chaos existe dans qui nous sommes et également dans l'environnement qui nous entoure dans nos activités. La physique quantique ouverte en 1924 apporte des connaissances nouvelles dans les évolutions que nous devons avoir dans nos activités. Nous sommes tous liés aux liens de cet univers. Notre influence est interné et externe a nous. Pas trop bien connu en France mais cela vient petit a petit. Fabien Galthié a raison dans ce qu'il fait. Je procéde comme lui dans le changement de l'enseignement du golf que je demande. Écoutez ce que raconte Pierre David sur YouTube. Il a obtenu des médailles d'argent en aviron et rugby des dames à Tokyo.Il offre une formation nouvelle dans son domaine pour gérer le chaos des sportifs et plus encore des entrepreneurs pour gérer sa dépolarisation dans le chaos personnel et collectif. Je vais en parler a Toulouse demain et jeudi au golf et au rugby féminin. Les dames sont plus sensibles que les mecs. Mine de rien je suis en relation avec l'Académie de Haute Performance après avoir commencé avec des gens comme Dispenza, Lipton, Bradent, Dyer. Je donnerai des clés prochainement au tennis basket aussi. Il y a des références dans ce que je transmets sur les 5 piliers d'attention pour mener mieux sa vie nutrition- respiration-concentration-visualisation-ancrage dans ses activités. Cela m'a été demandé de l'étranger sur les commentaires de mon blog. Pour sa vie la meilleure possible avoir des objectifs en équilibre avec ses propres valeurs. Pour améliorer cette dernière entrer dans son chaos pour y mettre de l'ordre. Bien à vous
RépondreSupprimerTrès riche, Michel, très riche. Je vais relire ce texte une nouvelle fois, car c'est une mine d'infos. Merci à toi et à très vite.
SupprimerDe lire l'absurde est révélateur d'un état d'esprit comme si nous étions sur le toit du monde, comme si nous avions inventé la poudre à canon, comme si nous étions une vitrine de trophées, pour rappel tournois perdus, tournée en Australie perdue, les détracteurs me diront que les victoires se construisent dans les défaites dont acte. Pour autant, que retenir du rugby actuel, une sensible progression dans l'esprit mais toujours autant de muscles sans cerveau, une intelligentsia de pacotilles aux manettes de l'EDF qui se complet dans le discours héllenistique du chaos, sans parler d'une fédération poupre de féllonies et de cupidité dont les ramifications vont jusqu'à World Fruit Juice. Le rugby se coupe de ses racines, celles des valeurs ancestrales de l'humain, de la culture et non du chaik banquaire. De voir le rose partout et de baisser sa culotte en tendant la main ne gratifie en rien l'esprit et le culte de l'ovale. Si d'avoir mis une fois dans sa vie les AB est un KO par chaos, pourquoi ne pas l'avoir fait durant toute une carrière autant en club qu'en EDF ? Cela doit être la théorie du chaos mathématique chère à André. Bon je sors de l'hôpital et de dire des vérités qui sont miennes ne sont pas langue de bois, tout au plus une remise en question d'un rugby polissé, altruiste, et cupide qui s'enfonce dans le superficiel et les paillettes.
RépondreSupprimerL'absurde, c'est aussi Camus. Y a-t-il un sens à la vie ? A notre vie, oui, si nous le décidons. Mais à la vie, pas certain. Y a-t-il une justification à ntore existence ? Rien n'est moins sûr. Je suis en train de lire "A l'écoute du vivant", de Christian de Duve. Qui fait presque suite à "La hasard et la necessité" de Jacques Monod. Ainsi que "L'éloge de la fuite", de Henri Laborit. Tout cela devrait parler au scientifique humaniste que tu es, Tautor.
SupprimerJe vais relire l'intervention, limpide, lumineuse, d'Olivier Magne...Le joueur me fascinait déjà mais l'analyste, le penseur enthousiasmant du jeu ( des jeux, devrait-on dire) qu'il est devenu'm'épate tout autant et ça ne date pas d'aujourd'hui....
RépondreSupprimerC'est simple, à chaque fois qu'il m'est donné de le lire, d'une part, moi ( à l'instar, faut-il le rappeler s'il nous reste une once de modestie, de la plupart des suiveurs) qui ne perçoit les choses que fugacement...souvent pris entre l'étau des émotions à chaud et les rembobinages parcellaires de l'après coup, oui je comprends tout, je veux dire que tout devient plus clair, plus évident...Et puis, le haut niveau d'expression à mille lieues du charabia tactico-technique de beaucoup de consultants ( l'excercice est tellement difficile qu'on ne saurait les blamer, entendons-nous bien). Oui-oui, je vais donc relire cette chronique...
Benoit
Moi aussi, Benoit, moi aussi... Et à demain soir mardi, donc, pour préparer notre départ vers la Ville Rose. les Toulonnais, eux, la nomment "la ville rosse"...
SupprimerHello, bin pour moi les amis c'est le chaos, je lis et ko depuis l'début m'sieur l'arbitre !!!!
RépondreSupprimerLe chaos expliqué par FG, m'avait paru simple et compréhensible dans son propos, et soudain ça mousse et tout devient compliqué, incompréhensible et je me sens comme un C.., pauvre ignare qui comprend rien au rugby, car on est bien dans ce rugby, hein, rugby fil rouge, là perdu le rugby, plus de fil plus de jeu, ça cause comme dans les amphis, me voilà dans un colloque où tous ceux qui n'y viennent pas toujours mais qui ont eu vent du sujet sont là et puis, et puis et bien la séance finit et ...... Et puis quoi ?? Etais pas venu pour qu'on me mette ko, étais rentré pour jouer.
Je lis et j'écoute, hein, suis pas tombé non plus de la dernière mêlée, mais quand on traite du rugby avec tellement de sérieux et de références, le paramétrant dans ses dimensions que d'aucunes je n'avais même jamais soupçonné l'existence ou l'importance, vous dirai pas que ça m'ennuie, mais à pas beaucoup de lignes je botte en touche, directe même si je redonne ainsi balle et plume.
Beaucoup de respect pour tous ces jeunes anciens qui s'expriment et en vivent, mais s'ils ont tous toutes les solutions derrière leurs pupitres que ne les mettent-ils en pratique dans un club, et pas forcément dans le fameux haut-niveau ????
Allez, oui JAN LOU la cuiller, bin oui, après la fourchette la remiser au placard, pourquoi pas ????
Et Toulon KO repart avec les pansements. Plus de son, plus de lumière...
SupprimerAllez Colla zou, l'important c'est qu'ils prennent la mue gaie.
SupprimerAh aha
SupprimerAh excellent. Sais tu que le RCT va faire un stage se préparation à St Tropez avant de recevoir le Stade Francais
Et bien voilà qui vous inspire. De biens forts commentaires y compris pour écrire qu'on ne veut rien rajouter (hein Barry... j'adore. Si si cest fort...).
RépondreSupprimerVoila comme jaime ce blog. Chacun apporte une vision un regard un esprit une information un éclairage. Purée je comprends pourquoi nous formons un pack du tonnerre parce que ce qui nous rapproche est plus fort que ce qui nous sépare.
Pour info Galthie evoque le chaos dans l'effet que procure un match international aux jeunes joueurs qui le découvre mais aussi par le fait que rien n'est prévisible
RépondreSupprimerAh ben voilà qui est plus clair...9
SupprimerTOULON s incline par chaos quelle tristesse de les voir repartir bredouille apres une genereuse entame PARISE au top de la jouerie et de voir le stade exceller en contre
RépondreSupprimerle 8 toulousain TAOFFINUA un sacre client precieux adroit efficace une aisance a la cicagna il va s imposer en EDF
GALTHIE magne toi l echeance arrive
Petite erreur sur le nom, Selevasio Tolofua...
SupprimerMais assez d'accord, il y aurait un peu de Cigagnua en lui...
Lu ce soir dans un ouvrage de Fellini cette phrase de Lao-Tseu : "Des que tu construis une pensée, ris-en." Excellent pour méditer
RépondreSupprimerA voir leur 2 premiers matchs et notamment les 20 premières mn d'hier et les 2 interceptions qui assomment Toulon, Toulouse me fait penser au laboratoire de l'EDF...
RépondreSupprimer" ... Ô TOULON ! Ô RAGE ! Ô DÉSESPOIR ! Ô MALADRESSE INSIGNE ! NE T’ENTRAINES TU DONC QUE POUR CETTE BOUILLIE ??? "
RépondreSupprimerRetour sur propos d'avant, et donc quoi donc faire avec ce P..... de ballon une fois qu'on l'a bel et bien gagné ??? Le RCT, comme d'autres, nous l'a montré et démontré hier, bin justement on ne sait pas quoi en faire, et ça c'est ballot.
ST en face, petit calibre, se nourrit des approximations et choix hasardeux adverses, peinard, quadrillage du terrain à la Vauban et OVNI identifiés dès qu'une brèche s'entrouvre, pas de génie mais du solide et du concret.
S'interroger quand-même sur ce qu'ils fabriquent toute la semaine les ouvriers qualifiés des clubs pro, pour être si pauvres dans le rendement tactique et technique de tant de rencontres. Certes sont carapaçonnés comme des blindés et incroyables Hulcks, à-priori ça ne suffit pas pour être performants dans le bête jeu de rugby, ça pose question.
Et que de fautes, payées cash bien entendu, 2 interceptions 14 points 2 cartons jaunes 14 points, ça fait beaucoup.
Pour notre championnat et derrière l'EDF, parait nécessaire que tous s'essayent au jeu de rugby dans tous ses aspects plutôt qu'à ce jeu d'épiciers (pardon pour les épiciers).
Bon, beaucoup d'équipes en déconstruction/Reconstruction, 2 journées il en reste un paquet et tout ceci va évoluer, mais je ne pense pas que l'on rende service aux futures EDF en cloisonnant les joueurs dans ces joutes étriquées, où même le ballon s'ennuie, et plutôt que de touiller sans relâche le charabia technico-tactique des managers et consultants de tout poil, revenir à des choses plus simples, le combat pour gagner le ballon et le jeu pour gagner la partie, parce que seulement le combat pas glop et tu gagnes pas.
Allez cahotique tout ça, bin oui ...........
Bien vu cher Barry...
RépondreSupprimerPour en revenir à Fabien Galthié, il me semble qu'il faut se retourner vers ses études et, donc, à ces notions d'"Ingénierie Commerciale" et de "Lobbying Industriel" sur lesquelles -ces notions- il s'appuie pour analyser le jeu, dans un premier temps, et le théoriser, en un second temps. Comme René Deleplace à son époque a tenté de décrire le jeu à partir d'une modélisation mathématique.
Ce qui est amusant, c'est qu'une des bases des réflexions du lobbying industriel repose sur le penseur communiste Antonio Gramsci et son pouvoir hégémonique. René Deleplace était, lui-même, militant communiste. Par ailleurs, je me souviens d'une vieille interview de Galthié -dans l'Equipe ou Le Monde, je ne sais plus, il y a au moins 10 ans de çà- dans laquelle il parlait d'une de ses découverte de management durant un stage aux Etats Unis je crois. Et qui correspond parfaitement à son discours actuel. J'avoue que tout çela m'avait beaucoup intéressé et bien plu.
Je viens de relire le remarquable texte d'Olivier Magne. Parfaitement introduit, mené et conclu. Réflexions théoriques et exemples concrets se succédant harmonieusement. Il sait parfaitement de quoi il parle, et de l'intérieur et de l'extérieur et, de plus, avec une hauteur intellectuelle et littéraire admirable.
RépondreSupprimerJe voulais juste dire, ci-dessus, qu'il ne me semble pas que cette notion de chaos s'applique au jeu lui-même, à la partie apparente, réelle, mais, plutôt, aux soubassements de celui-ci. C'est, certainement, ce que ressent profondément Galthié. Et, là, je rejoins Tautor et son Chaos mythologique, béant et à l'origine de tout. De ce chaos naquit le jeu; et il ne faut pas l'oublier. Mais de chaos, plus, par la suite comme le dit Olivier Magne. Comme, d'ailleurs, point de discours mathématique sur le terrain, par René Deleplace; juste une relation claire et épuré des situations de jeu que l'on pouvait ressentir comme confuses.
Peut-être qu'en notre France frondeuse cette idée de chaos s'appréhende plus facilement que chez des anglo-saxons plus disciplinés et respectueux de la règle (je doute que dans l'esprit de Ian Foster ou d'Eddie Jones l'image d'un match de rugby international soit celle d'un chaos).
RépondreSupprimerEn plus et bien qu'on en ait un peu perdu l'habitude depuis 15 ou 20 ans, pouvoir s'y retrouver et mettre en place son rugby dans le désordre reste dans la tête de tout joueur porté sur l'offensive; ce qui se retrouve au ST ou en équipe de France, voire dans toute équipe (les Blacks évidemment) où le principe est de jouer ensemble en suivant le choix -fut-il discutable- du joueur à l'initiative.
Bref, le chaos, pour un rugby français "pagaillous" par nature (pour parler comme Elissalde père), on s'y retrouve.
Et à la limite, dans un rugby qui s'aseptise et se brutalise de plus en plus, c'est pas plus mal de conserver de l'imprévisibilité. Après tout, c'est le principe-même de l'attaque contre la défense, non ?
Gagner régulièrement avec des matchs de haut-niveau comme le font les Blacks, certes, on est admiratifs de ce rugby (admiratif comme quelqu'un qui sait qu'il ne pourra jamais faire la même chose), mais je me souviens plus des trous d'air dans leurs séries, souvent contre les français, d'ailleurs; et je crois qu'au fond d'eux-mêmes, les Blacks (et les autres) sont d'une certaine façon admiratifs du rugby que l'on produit de temps en temps, parce qu'ils savent que ce rugby peut les déconcerter et leur faire perdre le leur. La demi-finale de 1999 dont se souvient Olivier Magne (et tout le rugby français par procuration) l'illustre de manière flamboyante, avec le panache qui n'appartient qu'à nous.
Et pourtant cette théorie du chaos déstructuré traîne partout outre Manche ...https://www.irishtimes.com/sport/rugby/european-cup/lancaster-sheds-light-on-leinster-s-system-of-unstructured-chaos-1.4079788
SupprimerTu as raison, le chaos règne partout !
SupprimerEt je ne doute pas que Lancaster a dû étudier le "désordre" toulousain façon Villepreux.
Beau sujet éventuel de discussion à Uzerche, tiens...
Chaos comme l'entassement d'êtres au point de n'en distinguer aucun ?
RépondreSupprimerLe rugby n'étant pas un sport d'individualités, je trouve cette définition du chaos déjà intéressante. Se demander qui de Ntamack, ou de Jalibert c'est bien, mais l'important s'est le groupe. Et le groupe France, dans son ensemble, est en bonne voie
Un geste mal réalisé, un mauvais choix de jeu est pour le fait en début de match d'une trop grosse pression, et en fin de match d'un déficit physique, quoi qu'on en dise. Même si bien sûr la transcendance de l'événement peut tout renverser sur son passage. Chaos de début de match, et de fin de match donc, entre les deux l'équilibre.
En début de match le joueur semble donc en perte de repères en raison de l'environnement. Dans ce type de situation, on a tendance à focaliser sur ce que l'on ne sait pas faire, peut-être à penser à ce que l'adversaire a prévu de faire après avoir étudié notre jeu. Le rôle du staff n'est pas forcément de donner plein de repères, ça peut être fastidieux , mais simplement de te faire comprendre que si tu es sur le terrain s'est parce que tu es bon, et pour ce que tu sais faire.
Puis vient le temps de l'équilibre. Équilibre dans le désordre, le jeu de mouvements. Au passage désordre ne veut pas dire bordel. Si certains pleurent pour Toulon, j'aimerai bien un jeu Toulousain plus léché,plus construit. Mais je m'égare.
Et maintenant comment être plus frais en fin de match. En acceptant que l'adversaire puisse être plus fort à certains moments du match, et dans ces moments là, y mettre l'énergie juste nécessaire. Afin de pouvoir répondre du tac au tac lorsque l'occasion se présente.
savoir employer de l energie a bon escient parole d ARMENIEN pourquoi disputer des rucks perdus d avance pourquoi sur les coups d envoi enchainer 2 a3 percussions pour au final taper en touche ce qui s imposait d entree pourquoi s agglutiner dans les protections alors que 2 gars suffisent
SupprimerTOULOUSE a adopter un jeu moins flamboyant plus collectif devant mais moins entreprenant cela leur reussit pour le moment
le kao la s en remettra
Par pure coïncidence, nous partagions avec Olivier Magne, dimanche matin, l'ouverture du forum des associations d'Hossegor, lui en tant que parrain, moi en tant que participant au titre du sauvetage sportif.
RépondreSupprimerau sauvetage sportif, le chaos, ce sont les conditions de mer qui le déterminent. S'adapter tout en appliquant des techniques apprises et répétées maintes fois.
On se sent submergé par les éléments et c'est l'instinct, l'intuition qui prend le dessus, on prend une grosse charge d'adrénaline et le seul objectif est de revenir sans casse, sur le sable
On a tous connu ce match de rugby qui part d'une façon inattendue, qui nous transcende ou nous écrase, quel que soit le niveau pratiqué.
le chaos est aussi le moyen de rebattre les cartes pour édifier un nouvel ordre, mais le temps du chaos est essentiel pour retrouver cet ordre
Yesss ! 👍🌺
SupprimerSupporter toulonnais, après une énième défaite même pas encourageante, je me suis réfugié dans ma voiture garée devant le campus RCT. Puis je me suis promené dans le square en face : attendant qu’une terrible et définitive douleur me terrasse et me délivre enfin…mais rien, telle une passe de notre jeune numéro 9, ne vint jamais.
RépondreSupprimerC'est plutôt la douleur des autres qui du coup vint à moi.
Parce qu’en observant le monde depuis cet endroit où je me suis enraciné, j’ai découvert la face cachée des choses, de ces joueurs, des salariés du club et de leurs proches, tous portant leur propre fardeau.
Et ils vinrent peu à peu vers moi et devant mon calme incompréhensible, les masques tombèrent. Ainsi mon histoire devenant immense, elle les englobera tous et saura les guider, les inspirer.
Devenu sage, brillant, sceptique, cordial, imprévisible, je suis l’homme qui avance à tâtons sur la voie de l’authenticité : j’avance, j’expérimente, je tire des conclusions.
Un Chaos calme en somme.
Ps: Merci à Sandro V., italien de naissance…c’est dire si, en matière de chaos, il en connaît un rayon.
Sandro Veronesi l'auteur de Chaos calme mais je n'ai pas lu ...
SupprimerTu devrais 😉
SupprimerTrès beau texte...Particulièrement poétique...J'aime beaucoup. Il m'a fait penser à la "logique floue" qui m'a fortement intéressée il y a quelques années déjà. Théorie du Chaos et Logique Floue, quel bel attelage!
RépondreSupprimerM'demande si on ratitionne pas un peu la,genre derniers outrages aux coléoptères !
RépondreSupprimerMême si le mot n'est pas forcément opportun, le Fab semble s'exprimer clairement sur l'état d'esprit du bleu-bite, son adaptation au tres haut niveau,selon les précisions de Ritchie.
Pour revenir au terrain,au jeu, cette notion de désordre me semble capitale.
Beaucoup de travail, d'imagination et d'organisation pour déstabiliser l'adversaire,de l'ordre et de la détermination chez soi pour créer la difficulté chez l'autre, voila tout !
Allez,à 14h59,les consignes doivent être brèves, percutantes,on trouvait des mots plus courts, Lulure .
Tout cela, vous le confirmez, est d'une grande richesse. Autant de réflexions que vous nourrissez les uns avec les autres
RépondreSupprimerMoi j’ai été habitué à un certain ordre; je sais que je passe des mains du 9 au 10, du 10 au 12 ou au 8 ou au 3 ; un passage que j’apprécie toujours moyennement d’ailleurs parce que je sais que dans cette combinaison je vais avoir beaucoup de mal à respirer pendant un grand moment. Mais tout ça j’ai parfaitement appris à le gérer.
RépondreSupprimerLe problème c’est que depuis le retour des grandes vacances ils veulent me la faire a l’envers ; ils essayent de me désorganiser. Tant est si bien que j’en ai souvent tellement la tête qui tourne que je me mets à tomber, le plus souvent face contre terre, ce qui les agacent profondément, le week end surtout.
Mais je me dis que c’est un nouveau rythme à prendre, dans quelques semaines, c’est sur, les chandelles seront moins nombreuses.
Ah, Mademoiselle Ballon...
SupprimerLa journée se termine sur une note triste. Michel Deschamps est mort. Vous avez obligatoirement une de ses photos gravées dans vos rétines. Du basket US il a tout couvert dès que ce fut possible, il suivait Mary Pierce partout, les premiers Dakars et même les derniers, les vrais, en Afrique, c'est lui. Il a touché à tous les sports. Et pas qu'à moitié. Quand il s'engageait, "La Dêche", c'était pour de vrai. A fond, sans répit, de tôt le matin à tard le soir, pas de casse-croute le midi, tout au taquet.
RépondreSupprimerC'était un besogneux de la photo, pas un génie. Mais il ne lâchait rien et à force d'être là, sur le terrain, au plus près, au plus chaud, et bien il l'avait sa photo. Souvent primée. Un "Fragonard", comme disent les gars du métier. C'était un râleur, un perfectionniste, un jusqu'au-boutiste, une forte tête qui détestait, en reportage, bosser avec un "plumitif". C'était un solitaire qui avait ses têtes. Mais quand il vous appréciait, et bien c'était sans restriction.
J'ai effectué mon premier reportage avec lui. En Ecosse, en 1986. Nous venions d'être engagé à l'Equipe un an plus tôt, lui et moi. On ne se connaissait pas. Il n'avait jamais vraiment vu un match de rugby. Mais j'ai effectué un reportage du tonnerre. Il a capté Finlay Calder, John Rutherford, Ian Paxton, Ian Milne et Gavin Hastings comme jamais personne ne l'avait fait avant, et ne l'a fait après. Ses photos sont gravées en moi.
Pour Rutherford, il avait lué une Rolls-Royce à l'heure et bloqué l'entré du Caledonian, l'hôtel le plus sélect d'Edimbourg. John s'en souvient encore. La photo n'est jamais passée dans le journal. Lui s'en foutait. Il l'avait faite.
NOus avons pris une journée off pour découvrir les Highlands enneigées, en écoutant une cassette de Michel Jonasz. Ca nous a lié. Puis il m'a demandé de le suivre pour une reconnaissance du rallye des Pharaons, une semaine inoubliable à bivouaquer dans les déserts d'Egypte. Et quand j'ai voulu rester une smeaine de plus en villégiature au Caire, il s'est arrangé pour que le patron de l'hôtel des Pyramides m'offre le séjour. Entouré de danseuses russes, ça aussi c'est "grave" gravé. Troisième grand moment, en Nouvelle-Zélande et en Australie. Nous avions fait le job et plutôt bien : Whineray, Fitzpatrick, Campese, Dwyer, Ella, Jones le coach mais il nous manquait un truc. Sur notre jour off, j'avais décidé de trouver l'école où Jonah Lomu a suivi sa scolarité, un moment clé de son existence qui aurait pu basculer dans la délinquance. Et nous voilà partis au sud d'Auckland, sans GPS à l'époque, juste une adresse, en fait une route. Et nous avons trouvé; Surtout nous avons rencontré tous ses éducateurs, ceux qui ont construit ce géant ovale. Inoubliable.
SupprimerC'était Michel. Généreux et gueulard. J'adorais bosser avec lui et c'était réciproque. Nous sommes restés en contact. Toujours, sans que ce soit tous les jours. Il détestait l'ambiance de travail d'aujourd'hui, les ratiocineurs, les petits bras, les économes. Il se savait condamné. Depuis longtemps. Il vivait du côté de Bergerac. Au calme. Soumis aux soins quotidiens, de plus en plus pesants, chaque jour plus lourd. Il est parti. Il m'avouait ne rien regretter. Il avait vécu à fond, pleinement. Il lisait ce blog parce que, avouait-il, du côté de Bergerac "ils sont rugby, alors..." Et depuis les soirées bière-whisky-haggish d'Edimbourg et de Selkirk, il avait appris à apprécier les manieurs de cuirs, les seuls sportifs qu'il savait râleurs, buveurs, cogneurs et grands coeurs. Comme lui.
Salut, Mitch...
Je vais me servir un douze ans d'âge pur malt en mémoire de toi. Et là, je l'entends me répondre : "t'es vraiment un sale con, je ne vais pas pouvoir trinquer avec toi..."
SupprimerMerci Richard de ce bel hommage et tu as bien de mettre en lumière un homme que nous ne connaissions pas mais dont nous avions surement tous vu ses photos sans savoir que c'était lui.
SupprimerMerci Marc
Supprimerhttps://www.lequipe.fr/Cyclisme-sur-route/Article/Serie-un-declic-un-monument-1-5-michel-deschamps-se-souvient-de-laurent-fignon-sur-le-milan-san-remo-1989/1234281
RépondreSupprimerMerci Lulure
SupprimerDes engins blindés passent sur la route de Clairefontaine et le mec avec le Nikon ( ou autre) en bandoulière nous fait une Tien an men puis, encore plus fort, il interrompt le Petit Caporal en pleine séance !
RépondreSupprimerEt voilà tout le pack en mêlée contre le véhicule, les trois quarts sur la tourelle, au beau milieu de la route.
Pour une photo impérissable au beau milieu de la une le lendemain matin.
Allez, au revoir Monsieur Michel
Merci jan Lou
SupprimerL'un s'en va, une autre arrive : Agathe est née cette nuit c'est ma petite nièce . Ainsi va la vie ...
RépondreSupprimerAgathe you babe. Welcome
SupprimerBonjour,
RépondreSupprimerBienvenue à Agathe, prénom entre les prénoms puisque celui de ma fifille, oui la vie qui passe, effaçant les uns et dessinant les autres, comètes fulgurantes et si fugaces, tout ceci va si vite.
Retour sur le chaos, en mars 2020 Fabien Galthié parlait de chaos, évoquant la difficulté pour les encadrements et surtout joueurs à se positionner dans des compétitions et entrainements au milieu de la crise sanitaire et des fluctuations des obligations sanitaires, revenant plusieurs fois sur ce terme, la simple définition du mot suffit, à mon sens, à comprendre son propos, il ne donnait pas à lire à ce moment-là un devoir de philosophie, il exprimait son ressenti, et je le ressens bien à l'écouter, partir ensuite, après le propos, dans des analyses biscornues me parait bien plus chaotique/cahotique/kotique que le propos liminaire. Quant à ce nouveau chaos qui vient de sortir, l'appréhender pareil, je pense, le mot se suffit à lui-même.
Reprise des rencontres amicales de préparation dans les basses couches du rugby de chez nous, pas si mal, des pertes en ligne mais beaucoup de découvreurs novices en appétit de se dépenser et trouver/retrouver un sens au collectif et social.
Sue le pré, ce que j'en ai vu, vers Terrasson Pompadour ou Objat c'est cafouilleux et désordonné, très ovale comme jeu, un peu le chaos quoi, mais question engagement et volonté pas de soucis les types ils y seront, après le titre et les honneurs s'en glandent grave, le préalable des 2 premières mi-temps avant la très sérieuse 3ème déjà bien ancré dans les têtes.
Allez on joue on trinque et on recommence !!!!
Je viens de lire le "Contre-Pied" l'Olivier Villepreux, ci-dessous. Qu'en penses-tu, toi, le régional de l'étape? J'y ai appris que Bergerac possédait un aéroport. Ce qui me ramène à Michel Deschamps qui y vivait comme nous le dit Richard et aussi, je crois, son cousin(?) Jacky Adole. Se connaissaient-ils? Un rugbyman-écrivain et un photographe du sport, pourquoi pas?
RépondreSupprimerNon. Ce sont deux ermites
SupprimerBen le mieux c'est que t'es à faire à un 10 qui sache ce que c'est que prendre la ligne, genre Jalibert (en plus bogoss) et il va te montrer les étoiles pour monter au 7e ciel... Sinon face contre terre t'as que la cavalerie lourde pour faire le ménage et te remettre dans la lumière... L'important c'est de tourner la tête à ces affreux ryyhmes (aphorismes) et pas avoir la tête qui tourne 🤔
RépondreSupprimerL'article d'O.V très intéressant, moi perso ce que le président fait à Sarlat ça me fout la trouille, les gosses qui sont à l'école de rugby ils ne joueront jamais en équipe première, à ce niveau on ne forme plus on achète, et comme le dit si bien ce président marchand, il est là pour monter en PRO.D2 en 6 ans pas un de plus. Et que croyez-vous qu'il va se passer dans 6 ans ?? Soit l'objectif atteint il faudra augmenter les budgets, recruter plus fort plus cher, spirale infernale, soit pas atteint et comme les marchands ne sont pas des poètes il ira vendre des illusions ailleurs, et derrière lui tel Attila il laissera un club en friche, comme tant de villes moyennes au pouvoir économique moyen en ont connu, la liste est longue et je la tiens à votre disposition si la mémoire vous faisait défaut.
RépondreSupprimerBergerac, oui un aéroport,3 avions par semaine en période de pointe, fait partie de la liste de toutes ces structures qui coûtent une fortune en frais de fonctionnement pour un service rendu proche de ZERO, mais que tout député maire sénateur s'enorgueillit de posséder sur son territoire.
Tiens le chaos, chronique de Ritchie en 2016, très énervé sur les moeurs du nouveau rugby et magnifiant le TERRAIN, cet espace seule scène importante : " ... ce terrain aujourd'hui manucuré est le premier, poteaux protégés. Ce qui me frappe. Le symbole de l'éternel retour. La remontée du fleuve Rugby jusqu'à la source. La pause au milieu du chaos ..." !!!!!
Allez Saint-Yrieix-La-Perche !!!!!!!!!!!
Ah ah oui pour tous les St Yriex du monde face à ceux qui rêvent d'être aussi gros que des bœufs.
SupprimerLe choix de Sarlat est étonnant. D'après un copain qui vit là bas l'histoire est la suivante : le mec et son épouse, asiatique, veulent investir en France. Ils trouvent que le rugby est une niche intéressante car sous développée. Ils cherchent une ville qui a du cachet, destination touristique très terroir et tombe sur Sarlat, La Boetie, vieilles pierres, foie gras, noix et lieu de création des Barbarians français. Et hop. Voila commentils ont planté leur aiguille sur la carte
SupprimerCa aurait pu être Uzerche...
SupprimerUzerche z'auraient du passer sous les fourches caudines des Quinconces, c'était pas gagné !!!!
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RépondreSupprimerle chaos appartient au domaine du complexe avec une manière reconnue de l´appréhender dans tous les domaines, les probabilités et les statistiques. l´ ordinateur reconnait qu´un electron soit dans la case A, ou la case B. c´est le binaire. l´ordinateur quantique reconnaît que l´electron puisse être dans A ou B mais aussi dans les 2 en même temps. cet aspect ne peut-être traité que par des lois de probabilités quantiques.
RépondreSupprimerj´ai toujours pensé que le sport, même s´il peut paraître complexe, est le résultat d´intéraction déterministes entre protagonistes. Le sport n´est en fait que compliqué car il est régit par des règles et surtout par des tactiques, des phases de jeu pour assurer la cohésion d'équipe. Cette cohésion est ce qui assure un degré d´efficacité et ultimement la victoire. Les nombreuses interactions qui sont difficiles à appréhender même pour les meilleurs cerveaux rugbystiques peuvent paraître complexe mais ce n'est "que" du compliqué. la subjectivité ajoute à cette perception de la complexité plutôt que de la complication. Comme dit Fabien Galthié le niveau international peut paraître complexe chaotique pour un fraîchement sélectionné mais devient compliqué après plusieurs sélections.
Là où je rejoins Galthié c'est que rajouter autant d´ imprévisible que possible dans le jeu de l´EDF est sans aucun doute une arme redoutable. Ce n´est que du pseudo-imprévisible ou pseudo-chaotique sinon la cohésion de l'équipe s´écroulerait. Le ministre de l´intérieur est absolument admirable à ce sujet car il a non seulement très bien compris comment implémenter ce pseudo imprévisible mais il sait aussi tellement bien le lire!
Whaou Steph, eclairant. Avec le briquet Dupont... bien vu
SupprimerQue pensez vous du chaos "Quade Cooper" tombeur des Africains ? Autant imprévisible que possible, lui le fantasque joueur d'attaque, l'homme de la Rade chère à Pom, Pur Juice 😉. Bon FG, à 2 ans de la coupe du monde, est dans le chaos des résultats avec une 6e place mondiale. Le chat est donc maigre, soyons lucide car le KO pourrait arriver plus vite que l'espérance d'un chaos sibyllin.
RépondreSupprimerLa preuve par dix, Tautor
SupprimerAllez zou, comme dirait Benoit. Round about midnight. Demain depart pour Toulouse. Haut les coeurs
RépondreSupprimerSincèrement, comment Olivier et Fabien peuvent ils être aussi naïfs et utopiques en parlant de la lithurgie du chaos ? Eux qui n'ont jamais été champions du monde ? Ni les autres français d'ailleurs ? Le comble du chaos, parler de ce que l'on ne connait pas et faire des hypothèses. Ma foi du grandiose, du burlesque, du Audiard de comptoir 🙈 C'est comme si on demandait à Georges de quitter Montauban ! Nous on sait et ce fut une découverte et une joie.
RépondreSupprimerOH pas besoin non plus d'être bardé de choses et d'autres pour causer parfois de tout et de rien, à preuve ici pas un champion du monde et ça parle grave et profond de chaos, ni grandiose ni burlesque et je trouve que le ton des lignes d'ici n'a souvent rien à envier à m'sieur Audiard, n'en déplaise.
SupprimerS'il faut être savant de tout et ne parler donc que de ce que l'on connait, la conversation sera pas longue, donner de l'intérêt à toute chose, et principalement à ce que l'on découvre et déchiffre peu à peu me parait plus riche que tartiner ses connaissances et éruditions, sans ça, bin là pour le coup on tombe en plein chaos.
Allez Montauban !!!!!!!!!!!!!
Ben allez, des chaos il y en a partout finalement, même au comptoir du café des sports et surtout après 20 Ricard ou une dizaine de pintes, la vie est un grand, un petit chaos, d'autant qu'on maîtrise pas tjrs les éboulis qu'on déclenché quand on marche à taton. Ça peut même faire une tatin, mais ça c'est le bon côté du chaos.
RépondreSupprimerTiens pas besoin de sortir de Montauban, nous dans la Drôme, on a notre chaos, le "clap", un amas de rocs dans la rivière du même nom créé par le détachement d'une masse rocheuse, il y a bien longtemps, qui a divisé la rivière en 2 avec en amont un petit lac et et en aval, la rivière qui fait une cascade qu'on appelle le saut de la Drôme. L'important étant de rebondir après 1 chaos (KO)...
"Ce n'est pas parce que les choses nous paraissent difficiles que nous n'osons pas, c'est parce que nous n'osons pas qu'elles nous paraissent difficiles".
RépondreSupprimerJe viens de retomber par hasard sur cette phrase de Sénèque et elle me plait beaucoup. Je ne sais pas bien quel rapport elle peut avoir avec ce qui précède, mais j'y sens quand même une certaine similitude et des points communs. Peut-être que, pour sortir du Chaos d'où nait toutes choses, il suffirait, au minimum d'agir. De cette action, de cette construction, le chaos disparaitrait de fait, ne pouvant être à la fois origine et création. Bref, on peut quand même souligner le mérite de Fabien Galthié d'avoir, par un simple petit mot à une heure de grande écoute, fait cogiter un peu tout le monde. Au fond, c'est un peu comme les mots croisés: çà fait passer le temps et çà contribue à se cultiver en faisant travailler ses neurones.
Tout à fait ça André 😉
SupprimerPour Nini, parallèle fait à un interne qui explique à son maître comment il faut faire. "C'est osé et les cons ça ose tout". Une fois entre autre, ça marche 😉
C'est comme actuellement tous les scientifiques et chercheurs, sachants et savants, qui défilent sur les plateaux de télévision et dans les espaces médiatiques pour prôner leur vérité sur la Covid pompée 20 minutes avant chez son confrère d'une autre chaîne. Sénèque a raison et nos 2 sachants du rugby ont dû méditer ce propos.
Alfred de Musset disait "pour réussir dans le monde, retenez bien ces trois maximes : voir c'est savoir, vouloir c'est pouvoir, oser c'est avoir".
Patron, un perroquet c'est ma tournée.
... et une coupe tous les 2 ans ? ...p..... Jan Lou , au Bambou Bar, çà va être dur d'attendre la prochaine non ?
RépondreSupprimerAvant de programmer une CDM tous les 2 ans, sacré chantier dans les championnats nationaux et les compétitions continentales, seule solution, pas dite mais en pointillé à mon avis, resserrer le format des championnats nationaux (élite resserrée, pas de montée ni descente, pas de phases finales), supprimer les compétitions inter-continentales (tournées) l'année de la CDM, diminuer également le format de la CDM avec un nombre d'équipes restreint, un tournoi mondial A et un autre B, les 2 premiers du B montant en A à la prochaine et vice-versa.
SupprimerLes penseurs du truc nous disent le but ultime "L'INTERET DU RUGBY" !!!!!!! Le jeu ou les finances, n'en parlent pas !!!!!!!!!!!!
Les affaires étant les affaires, et quoique l'on en pense, je crois que de toute façon les marchands gagneront, qu'elles qu'en soient les conséquences.
Au Bambou Bar comme ailleurs finalement, les affaires primeront et le patron verra d'un bon oeil les bonnes recettes plus rapprochées !!!!!
Allez, je sais c'est osé, mais c'est bien connu les cons ça ose tout, hein !!!!!!!!!!!!
Je pense quand même que l'époque, pour "x" raisons qu'il est facile de voir en tournant la tête de tous côtés, n'est plus aux délires classiques et répétitifs qui nous mènent rapidement et surement vers la catastrophe. Peut-être que certains veulent poursuivre les folies de l'"ancien monde", mais je suppose que les nouvelles générations, contraintes et forcées d'ailleurs, mettront un holà à toutes ces inepties, d'ailleurs copiées sur le foot, lui même tenté par ces belles et lucratives idées.
RépondreSupprimerJe ne crois pas, mais pas du tout, que les nouvelles générations trouveront les forces pour ramer à contre-courant, je crois plutôt, au contraire, qu'elles adhéreront en masse et enthousiastes aux anciennes et nouvelles folies, sans que nul ne puisse les contraindre ou forcer à mettre le holà !!!!!!!!
SupprimerAllez, voilà venir la catastrophe, courons-y !!!!!!!!!!!!
Retour sur Sarlat, intéressant :
RépondreSupprimerLe nouveau président, Alsacien parti aux USA en 1993, a réussi dans les médias numériques, conséquences joli portefeuilles et gros carnet d'adresses.
… 2017 Arrive à Sarlat (choix de famille) où il crée une société «incubateur de start-up», la société UNIQORN (qui passe de 2017 à 2020 de 60 à 180 collaborateurs.
… 2018, hasard, il bosse avec l'expert-comptable de la ville, également président du Club Athlétique Sarladais Périgord Noir, qui lui demande de devenir partenaire du club bien sÜr.
… 2019 la sté UNIQORN devient sponsor principal du club et son directeur vice-président « en charge du marketing »
… 2020 le club fait face, suite la pandémie, à des difficultés financières, se tourne alors vers l'homme providentiel en lui demandant de bien vouloir prendre les affaires en main et ….. Ce dernier accepte !!!!!!!!
… 2021 création d'une SAS en cogérance (mairie et partie associative du club), volonté affichée de « gérer les structures de façon professionnelle », exit le CASPN E et bienvenue à « SARLAT RUGBY », start-up, plus lisible et plus « vendeur » !!!!!!!!!!!!
… Budget 2020 de 350 000 €uros qui passera la saison prochaine à 1,5 M€, 80% de ce budget provenant des USA et du Canada !!!!!
… Mais le mécénat à ses limites, aussi le club développe le « merchandising », la société du président développe les activités sur les réseaux sociaux, clips vidéos, plateforme en ligne, appli mobile multilingue, nouvelle boutique en ligne, ce qui se traduit par une majorité de supporters « virtuels » qui crèchent pour la plupart aux USA ou au Sri-Lanka, drôle de paradoxe !!!!
... Comme on est mieux servi par soi-même, le recrutement exige un CV « compatible » : jouer au club de Sarlat ET travailler pour uniqorn en tant que graphistes, développeurs, commerciaux ….
… Objectif : accéder à la PRO.D2 dans 6 ans, dès cette saison monter en Fédérale.1, le recrutement du staff et des joueurs en conséquence et ne saurait envisager l'échec.
… Sarlat 9000 habitants.!.!.!.!
… Allez, rendez-vous dans 6 ans ...................
il faut se sortir de ce KAO LIN
RépondreSupprimerTCHOU
LA
TIQUE
En esperant que Galthie trouve une formule pour permettre a N TAMACK et JALIBERT de jouer ensemble cela constitue un vrai travail de selectionneur un assembleur de talents et non pas faire de l alchimie orale et finir KO
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RépondreSupprimerTiens le chaos au BO mais de quel côté ? Retour des anciens avec la section Amateurs et la mairie contre la SASP et son Président. Et le KO pour Blanco au milieu des entrailles basques 🙈. Que vont faire les joueurs dans ce méli mélo ubuesque ? Marée haute, marée basse, rouleaux ou baïnes, le chaos médiatique est en marche. Et Hastoy la tête à La Rochelle alors que nous en sommes au 2e match de top 14, une ineptie et un manque d'éthique. Le KO type du rugby français actuel. On change de clubs comme de chemises. Est ce raisonnable ? Bon le ST et son Président imaginent déjà une ouverture de capital via les socios comme au Barça ... Est ce souhaitable ? L'avenir nous le dira. Mais avec 7 M€ de déficit, il faut remplir le nourin. Pendant ce temps, Lorenzetti capitalise dans le Graves, une forme ovalesque de vinifier son capital 🍷🏈
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RépondreSupprimerTiens le chaos au BO mais de quel côté ? Retour des anciens avec la section Amateurs et la mairie contre la SASP et son Président. Et le KO pour Blanco au milieu des entrailles basques 🙈. Que vont faire les joueurs dans ce méli mélo ubuesque ? Marée haute, marée basse, rouleaux ou baïnes, le chaos médiatique est en marche. Et Hastoy la tête à La Rochelle alors que nous en sommes au 2e match de top 14, une ineptie et un manque d'éthique. Le KO type du rugby français actuel. On change de clubs comme de chemises. Est ce raisonnable ? Bon le ST et son Président imaginent déjà une ouverture de capital via les socios comme au Barça ... L'avenir nous le dira. Avec 7M€ de découvert, il faut regonfler le nourin. Et pendant ce temps, Mr Lorenzetti met un pied à terre dans le Graves pour capitaliser les soirées ovalesques 🙈🍷🏈😂.
RépondreSupprimerTiens, ce chaos en fil rouge m'a rappelé J.Wilkinson, à un moment difficile de sa vie de joueur et d'homme, causé par des blessures à répétition, il s'est intéressé au Boudhisme, et plus tard a commis avec 2 physiciens un opus «rugby quantique».
RépondreSupprimerEn gros, on connait la perfection que JW mettait dans sa préparation, le rugby prenait toute la place. La découverte de la physique quantique, et ça lui est très personnel, hein, parce que la physique quantique et le rugby pas trop d'atomes communs quand-même, lui a ouvert les yeux sur l'univers en quelque sorte, il a alors vu le monde autrement, d'autres choses, ce qui lui a procuré un sentiment de détachement par rapport au rugby, qui était toute sa vie , prégnant, obsessionnel, et il a alors eu la vision que le monde était fait d'interactions multiples et diverses.
Bon, et donc le chaos, et le rapport entre physique quantique et terrain de rugby, me direz-vous ??? Je n'y connais rien en physique quantique, donc je fouille un peu et grosso modo on me dit qu'elle interprète les interactions en apparence chaotique des particules, c'est le «EN APPARENCE» qui m'interpelle.
Et voilà, nous y sommes en plein alors, rugby 5 secondes avant le coup d'envoi, tout est organisé, ligné, des blocs de 3 petits atomes, un fond de terrain, tous les espaces couverts, sifflet et tout se désorganise. Se désorganise vraiment ???
Et c'est vrai que tout devient impression de chaos, les pions bougent les blocs se croisent, le fond de terrain remonte et le centre prend de la profondeur, c'est le bordel et pourtant tout ceci est très organisé, c'est le bordel organisé et ça on connait bien chez nous.
Cette lecture à l'époque m'avait scotchée, je ne retrouve pas le bouquin dans la mêlée ouverte de mes cartons et caisses, mais avec nos propos sur le chaos je me suis dit que ça pouvait apporter à la discussion, alors.
Sans ça oui Tautor, le Hastoy là pas glop, les anciens du BO oui mais pour quoi faire, juste s'opposer à la SASP et son Prés' ou ????? ST j'ai lu les propos de D.Lacroix, on veut grandir, grandir encore, on veut des titres, on veut la gloire, faut du pognon Edmond, alors tout est bon Gaston, le club une entreprise, les partenaires les sponsors les diffuseurs vrais patrons, les flux financiers seuls paramètres, comme la petite bulle sarladaise les grosses bulles éclateront un jour comme bulles de savon, au milieu il n'y aura que les joueurs qui FLOP éclateront sans bruit et disparaitront, les autres auront mis de côté de quoi survivre.
Allez, ce week-end randonnée aviron sur le lac de Vassivière (haut limousin pas loin Treignac) avec du monde ovale aux avirons, ça devrait être bien.
Tiens, en passant, si un jour Uzerche revenait, vous propose une matinée initiation aviron sur le Lac du Causse près de Brive.
https://www.ladepeche.fr/2021/09/16/le-stade-beaumontois-fete-ses-juniors-1965-9793339.php
RépondreSupprimerGeorges doit s'en souvenir de cette génération dorée sous la houlette de Marceau Ambal
Content de voir Max et ses compères les Pan Tintats de réveiller la mémoire d'une Lomagne glorieuse.
Bien sur mon cher Alain S...., je ne vais pas citer les noms, mais ça doit être 5 ou 6 "camarades"
SupprimerSacré menu, si les anciens un peu fatigués des prémices y'a de quoi se reconstituer !!!!!
RépondreSupprimerGaffe au ko, au chaos .....
Allez les Pan Tintats !!!!
Georges, je ne sais pas, mais moi, oui. J'ai déjà parlé du Lycée Marcellin Berthelot et des joueurs du T.O.E.C., du Stade Toulousain, avec qui je jouais en interclasses. Et, aussi, Daniel Seran de Beaumont. Il allait jouer, en cette fin de saison 1965, la finale dont tu parles ci-dessus et, le vendredi, avant de rentrer chez lui, il m'a demandé mon avis sur ces racingmen que je connaissais pour avoir pris une branlée avec le Stade Français l'année précédente. Et je lui en ai dit le plus grand bien: des avants monstrueux et des 3/4 classiques et brillants. Une équipe vraiment très forte.
RépondreSupprimerLe lundi, quelle humiliation pour moi! Le racing est reparti avec 60 points dans la valise si je me souviens bien. J'ai eu le fin mot de l'histoire en retournant à Paris pour les vacances scolaires. En fait, les juniors envoyés étaient des remplaçants... Je crois me souvenir que la finale avait due être décalée pour je ne sais plus quelle raison et la plupart des titulaires étaient restés bloqués à Paris pour des examens. Voilà. Si tu voit Daniel Seran, pose lui la question...Savoir s'il se souviens de tout çà.
Oui je lui en parle André
SupprimerAh voilà, z'ont gagné que contre des remplaçants...
Supprimer"Je crois me souvenir que la finale avait due être décalée pour je ne sais plus quelle raison et la plupart des titulaires étaient restés bloqués à Paris pour des examens."
Tout le monde n'aime pas l'ail...
Voilà qui va faire plaisir à Dgeorges de Montauban. Savait pas qu'Abeilhou était aussi de Montauban. Après le KO, l'éponge miracle, et un petit protocole pour finir la partie. L'important étant de rester sur le terrain et pas de monter sur le banc, pas vrai ?
RépondreSupprimerAllez, on devrait jamais quitter...
"Rencontres à XV", la seule émission sur le rugby amateur notamment. Mais ça rapporte rien😰Ah merde...😉
https://actu.fr/sports/rugby/pro/rugby-l-emission-rencontres-a-xv-va-continuer-jean-abeilhou-toujours-a-la-presentation_44895530.html
Mais Sergio je l'ai déjà dit, il n'y a pas longtemps qu'Abeilhou était d'une commune voisine "Reynies
SupprimerAh ben pas fait gaffe...
SupprimerGeorges, je ne sais pas, mais moi, oui. J'ai déjà parlé du Lycée Marcellin Berthelot où je jouais en interclasses (et au T.O.E.C.) avec des joueurs du Stade Toulousain, du T.O.E.C., et un de Beaumont, Daniel Seran. Ce dernier, le vendredi, avant de rentrer chez lui et de jouer la finale le dimanche, m'a demandé mon avis sur ces juniors du Racing C.F. que j'avais joué l'année précédente avec le Stade Français. Nous avions pris une branlée devant ces avants monstrueux et ces 3/4 classiques, rapides et brillants. Je lui ai donc dit qu'ils étaient très forts.
RépondreSupprimerLe lundi suivant, humiliation! Les racingmen sont repartis avec 60 points dans la valise, si je me souviens bien! En rentrant chez moi pour les vacances scolaires, j'ai appris le fin mot de l'affaire. La finale avait été décalée et les parents des juniors titulaires, qui étaient d'excellents élèves, à la mode britannique, avaient privilégié les passages de concours des grandes écoles à la finale contre Beaumont.
A vérifier tout cela avec Daniel Seran si tu le vois et s'il s'en souvient.
Il y a deux textes -et même trois- car de fausses manœuvres en interruptions intempestives, j'ai dû le réécrire. Et je m'aperçois que la seconde mouture vient de réapparaître! Quand le chat n'est pas là, les souris dansent. En d'autre termes, dès que Richard s'absente les soucis de transmissions apparaissent.
RépondreSupprimerMerci de votre sollicitude mais les colloques bi-hebdomadaires du Bambou-bar suffisent à couvrir l'ensemble de l'actu des qu'il devient impératif de mélanger critique, mauvaise foi revendiquée et franche rigolade!
RépondreSupprimerIl en sort en général du roboratif, parfois des pépites.
C'est quoi ces histoires de coupe, pourquoi pas tous les 15 jours, non plus?
Surtout si on doit faire aussi de la place pour une coupe des clubs, bonjour l'embouteillage!
Tiens, ça fait un bout que je ne vous ai pas cassé les pieds avec ma fixette sur ce fameux calendrier planétaire, étudié par tous pour chacun , vaste programme, comme disait Mongénéral!
Allez commencer par le début, quoi!
On tourne le dos deux minutes et on revient Kolbe vendu, Hastoy partant, Rado médusé, le Stade en révolution copernicienne, bref le chaos !
RépondreSupprimerHeureusement dans tout ce bord..bazar il reste un petit village qui tient bon dans la tourmente : Beaumont de Lomagne. Beaumont son ail, son stade, son Tautor . 🤣
Philippe Descola...Passionnant, mon cher Barry du 15 sept 2021 à 14h05...A suivre...
RépondreSupprimerPh.DESCOLA ;;;;;;;; pfffuuuuiiiitttt TRAPU !!!!!!
SupprimerJe ne connais pas, bien évidemment le Monsieur son trajet ses travaux et ses études passionnantes, mais c'est tout là-haut, pour l'instant je suis juste avant le premier barreau de l'échelle, alors !!!!!! AH, si, me plait bien, même si à développer bien entendu : " parmi toutes nos certitudes, il y a celle-là : il faut entretenir un doute méthodique vis-à-vis des instruments d’analyse que nous avons forgés, et s’efforcer de proposer d’autres instruments".
L'ovale pas en-dehors du monde, chercher l'autre chose, le nouveau même pas conventionnel, le farfelu, l'inepte, le qui bouscule, le qui brise les certitudes, chercher se planter recommencer améliorer, trouver puis non, chercher encore, penser que rien n'est figé donc, tout interactionnel et lié, pas facile, tellement de choses bien établies (et pour toujours hein !!!!!) à combattre, les chercheurs en ovalie comme les autres, doivent combattre les certitudes inébranlables des ceusses en place et qui depuis longtemps ont fait de leurs conclusions LA vérité !!!!
Pour ça que j'aime aussi bien FG, chez nous on n'aime pas être bousculé et les innovants ça gratouille les faits et situations établies, bon allez je suis inculturé rapport au Monsieur mais c'est bien !!!!!!!!
Allez les champignons frémissent
C'était aussi parce qu'il dit avoir une grande confiance dans la jeunesse. Jeunesse apparemment désespérée d'après les sondages, ce qui ne m'étonne pas.
RépondreSupprimerJeunesse désespérée surtout parce qu'elle se complait dans les dogmes, vieille si vieille dans sa tête, âge de révoltes et mouvements devenu immobilisme et acceptation/résignation/
RépondreSupprimerconservation, bref loin bien loin des envies de tout chambouler.
Allez les jeunes, pas une question d'âge, la jeunesse un état d'esprit non ???
Meuh non ! La jeunesse est aussi le moment des désespoirs les plus intenses, suivis d'ailleurs des joies les plus explosives . La jeunesse c'est une crise en soi, une remise encause de tout et tous à commencer par soi même . 40 ans avec des ados m'en ont montré la richesse . Et puis aussi bien sûr Rimbaud, Verlaine etc etc
SupprimerSurtout une remise en cause dans notre vie sociétale, nous faisant souvent aller à la ligne, quand nous avons battu et rebattu tous ces sentiers exigeant le meilleur de nous pour un soit-disant meilleur pour nous-mêmes mais surtout collatéralement pour l'argent que d'autres en tire...
SupprimerBref des tergiversations version Benoît, aussi...🤣🤣🤣
Rapport à Benoit, je parle plutôt d'états d'âme ou d'humeur...
SupprimerJeunesse chaotique ou l'âme se construit au travers des joies et des peines rencontrées. Rien de tel que le sport et la poésie pour sonder l'abîme de soi même mais aussi les trésors enfouis qui parfois sommeillent longtemps contre vents et marées. La jeunesse pose le sceau du soi celui qui deviendra le moi de l'adulte. N'est désespéré que celui qui se complet dans les ténèbres occultant la lumière qui lui tend les bras. Jadis la moyenne d'âge était de 17 ans, le reste devenait un don de la vie. Aujourd'hui, les paramètres sont bien différents. Il fallait survivre à l'environnement et aujourd'hui cet environnement a pris une forme sybilline celle du virtuel et de l'illusion.
RépondreSupprimerJ'aime bien ta dernière phrase. Je changerai juste le terme sybillin par insidieux...😉
Supprimerça marche?
RépondreSupprimeroui des ennuis avec google.
RépondreSupprimerLa finale de Beaumont Junior en 1965 c'était contre la SASG et non le Racing !De toute façon ils dominaient tellement que seul le grand écart au score fut une surprise.
par ailleurs, hier à Toulouse Richard et Benoit, assuraient les dédicaces de leur magnifique pensum dans les locaux de la librairie Privat.
Il y avait dans la salle entre autres plus de 150 capes du XV de France, je laisse le soin à Richard de vous faire la narration de cette apm. Cependant nous avons eu le loisir de voir Roger Bourgarel...et d'autres grandes célébrités
Georges
SupprimerUn pensum est un travail ennuyeux. Une punition de lecture.
Soit tu ne connais pas la définition, auquel cas tu es pardonné. Soit tu considères notre ouvrage comme chiant et dans ce cas on apprécie que tu sois venu sur Toulouse malgré tout ..
SupprimerMerci donc à toi, à Michel et
Supprimerà Pipiou d'avoir fait le déplacement pour partager quelques heures chez Privat avec Benoit et moi et quelques belles gloires ovales qui ne furent pas avares de réflexions et de confidences
Pour moi "pensum" c'etait un très gros travail d'écriture. Je viens de consulter le "petit Robert" et effectivement la définition qui y est donnée s'oriente vers la punition. Donc comme tous j'apprends tous les jours...
SupprimerAh ah, sacré Georges. En tout cas, je garde en mémoire ton cours de conjugaison auprès du correcteur de Privat. Tu l'as scotché ! Il y a une erreur dans notre ouvrage et tu l'as trouvé. Bravo ! Tu as raison, on apprend tous les joueurs et ça a été notre cas, Benoit et moi, à ton contact.
SupprimerPour "pensum", tu voulais sans doute associer "pensée" et "somme". Alors, oui, c'est notre ouvrage est conçu comme une somme de pensées, un "pensées-somme".
Mais bon me voilà rassuré : sa lecture n'est pas une punition. Et quand Berbizier nous dit, jeudi, dans la crypte de la librairie Privat (bel endroit au demeurant pour évoquer la sacré du vestiaire) qu'il n'imaginait pas qu'autant d'écrivains s'étaient approchés du rugby, nous touchons à ce moment-là au coeur de notre démarche.
Du chaos au ko,
RépondreSupprimerIl y a peu quelques-uns s'indignaient ici de voir les couleurs nationales portées notamment par une judoka dont le passé ne prêtait guère aux valeurs de l'olympisme, d'autant que cette personne est aujourd'hui dans la gendarmerie, même si ce n'est qu'un ministère de sponsoring, mais quand-même !!!!
Et bien cette semaine, après la réception à l'Elysée, fait la une de nombreux magazines qui n'ont pas trop de superlatifs sur la personne.
Comment dans ce monde où rien, mais rien de rien, pas la plus minuscule aspérité, ne passe à côté du batteur-mélangeur des réseaux sociaux, comment le silence sur ces faits peut-il être aussi sourd et aveugle ???
Ce silence ne grandit personne, mais vraiment personne, puisque nul ne peut dire qu'il ne savait pas, pas glop quand-même !!!!!
Allez la jeunesse c't un chaos, hein,
Quand ils sont tout neufs,
Qu'ils sortent de l'œuf,
Du cocon,
Tous les jeun's blancs-becs
Prennent les vieux mecs
Pour des cons.
Quand ils sont d'venus
Des têtes chenu’s,
Des grisons,
Tous les vieux fourneaux
Prennent les jeunots
Pour des cons.
Moi, qui balance entre deux âges,
J' leur adresse à tous un message :
Le temps ne fait rien à l'affaire,
Quand on est con, on est con.
Qu'on ait vingt ans, qu'on soit grand-père,
Quand on est con, on est con.
Entre vous, plus de controverses,
Cons caducs ou cons débutants,
Petits cons d' la dernière averse,
Vieux cons des neiges d'antan.
Petits cons d' la dernière averse,
Vieux cons des neiges d'antan.
Vous, les cons naissants,
Les cons innocents,
Les jeun's cons
Qui, n' le niez pas,
Prenez les papas
Pour des cons,
Vous, les cons âgés,
Les cons usagés,
Les vieux cons
Qui, confessez-le,
Prenez les p'tits bleus
Pour des cons,
Méditez l'impartial message
D'un qui balance entre deux âges :
Le temps ne fait rien à l'affaire,
Quand on est con, on est con.
Qu'on ait vingt ans, qu'on soit grand-père,
Quand on est con, on est con.
Entre vous, plus de controverses,
Cons caducs ou cons débutants,
Petits cons d' la dernière averse,
Vieux cons des neiges d'antan.
Petits cons d' la dernière averse,
Vieux cons des neiges d'antan.
Nini,
Supprimerrien de plus con qu'une vieillesse mal aboutie mais aussi rien de plus con qu'une jeunesse autiste et rien de plus con que d'être aveugle ! Rassure toi, la nature est patiente et magnanime, elle sera rétablir la vérité première celle occultée par des cons qui ne brillent que parce que c'est en or. Or dur ou pas, le démon de la jeunesse te rattrape toujours car rien de pire que d'enfouir toute vérité pas bonne à entendre. Con se le dise ou con le croit, qui ne dit mot con sang ! De revêtir l'uniforme ne t'exauce point de tes fautes mais le Christ dit qu'il faut pardonner ! D'en parler risque d'enrichir bon nombre de cons ! Ici quand on est bouche bée, on dit "boudu con" !
Jacques Brel inépuisable. Audiard aussi. Les cons ça ose, tout c'est même à ça qu'on les reconnait.
SupprimerSacré Nini, Georges, celui de Sète, pas celui de Montauban , n'aurait pas fait mieux!
RépondreSupprimerAllez au marché de Brive la gaillarde.
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RépondreSupprimerhttps://news.microsoft.com/apac/features/mixed-reality-and-neurosurgery-removing-brain-tumors-with-3d-precision/?ocid=FY22_soc_omc_br_li_MR_surgery
RépondreSupprimerPour les anglophiles, la vision 3D du cerveau permettra de visualiser les tumeurs et lésions cérébrales. On va voit pouvoir enfin détecter les cons de bonne heure, une avancée indéniable, le chaos rêvé.
Sir Woodward, dans un article récent, prévoit la mort du rugby dans 5 ans en voyant le jeu stéréotypé de l'Afrique du Sud, champion en titre.
Sir Clive doit être encore vexé de la défaite subie par les anglais en finale de la dernière Coupe du Monde (dans le rugby, les anglais sont toujours au moins aussi vexés de perdre que fair-play quand ils gagnent).
SupprimerMais il sera rassuré après la rouste que ces mêmes Sud-Afs ont prise ce matin face à des australiens inspirés.
Qui, du reste, remet en perspective les 3 beaux matchs que nos jeunes français ont fait en Australie cet été. Ce qui augure d'une belle confrontation contre les All Blacks en novembre; comme son nom l'indique, ce sera pour l'EDF un vrai test.
Je ne m'attendais pas à voir tous ces visages connus jeudi soir chez Privat. 3 générations du rugby français glorieusement représentées (ça manquait quand même d'avants !), venus en amis. Quel dommage que le temps ait manqué pour la discussion. Merci à vous (Ritchie et Benoît) pour la rencontre et ce beau et riche livre que je suis en train de lire.
Merci à toi, Pipiou. Il y avait Matthias Rolland, Jean Bouilhou et Thierry Maset. Mais en ordre dispersé. Pour les avants.
SupprimerBon, deuxième séance de dédicaces. Cette fois-ci à Agen. Et elle concerne l'anthologie des poésies de Michel Sitjar. Jeudi 30 septembre, "Maison pour tous", entre 11 heures et 15 heures. Mais ce n'est pas moi qui signe : ce seront Philippe Sella (préfacier) et Franco Zani, coéquipier de Sitjar dans les années 60.
RépondreSupprimerSi vous êtes dans le coin, lecteurs du blog, vous êtes les bienvenus.
Cela dit, il ne reste plus beaucoup de livres à dédicacer. A peine une vingtaine...
Ce qui rendra l'événément encore plus interessant puisque rare.
SupprimerHEU, sans doute je comprend pas ou j'ai loupé quelque chose, Brel tout à coup dans le chaos de nos propos, c't'une erreur ou ?????
RépondreSupprimerAllez, c't'après-midi d'sam'di où qu'les chasseurs sont en campagne, ball-trap à Amédée, sus à la section, on va leur faire la peau !!!!!
Vision 3D du cerveau détection des cons de bonne heure, ouahou !!! Tiens le Sir Woodward l'a pas été détecté, bon l'AFS et son style de jeu, c'est pas d'aujourd'hui, jeu d'occupation par coups de pied fort et quadrillage parfait du terrain, domination physique sur les impacts et points de rencontre, le rugby champagne pas dans leurs gênes, le jeu qu'ils pratiquent n'a pas connu de gros échecs ces derniers temps, pour la défaite contre l'AUS se sont loupés en défense surtout en se remettant bêtement la pression sur des ballons perdus ou égarés en chemin. M'enfin, bon l'Angleterre du Sir même couronnée le jeu était bien séquencé et ne laissait pas de place à la poésie, hein, surtout chirurgicalement interprété.
allez tous les sachant qu'ont la solution pour les autres.
Franco Zani, l'en a fait du mal au CAB le type, vous fréquentez de drôles de pistolets !!!!
Les Springboks d'Erasmus grâce à l'apport des joueurs de couleur avaient pourtant trouvé le dynamisme qui leur manquait.
RépondreSupprimerEt l'histoire était belle, le symbole éclatant.
Ce retour à un jeu plus restrictif, typé afrikaans bon tein est surprenant, a suivre.
Comme Pipiou le précise ,la performance des Aussies me semble souligner celle de nos gamins.
Galtier a rapidement sorti les bleus du néant, grâce aussi à quelques club , quelques entraîneurs du top 14, c'est pas gagné mais l'espoir revient.
Allez, Zani, un client hein....
C'est rigolo, pas rationnel, très Coujou, mais depuis la finale de 1965, le SUA rangé dans la catégorie des pas aimés, j'étais gamin alors, à Madagascar et on écoutait avec mon père sur RFI entre SCRCHHH et PFFZZTSTTS des bribes de la rencontre, jusqu'à la fin le coeur en blanc et noir et puis plus que le noir !!!!!! Enfoirés de mangeurs de pruneaux !!!!!
RépondreSupprimerBon, le CAB s'est fait la peau de Pau sans trop d'efforts, mais une mi-temps de feu et une autre de ... Rien. La section ??? Pas vue .....
Joli pruneau du 2ème ligne Castrais, boudu ça va lui coûter cher, très cher même j'espère, quelle bêtise !!!!!!!!!!!!!!!
Giroles revenues et cèpes de sortie, on fait l'apéro et après ......... Bon app"""". Tiens ST a gagné, pas une info hein.
Allez Demba Bamba !!!!!