lundi 1 novembre 2021

Faveur et ferveur

Dès qu'il s'agit de composer une équipe, la France du rugby dispose de millions de sélectionneurs, tous plus compétents les uns que les autres. Du consommateur occasionnel de test-match à l'ancien entraîneur national devenu consultant télé, tous les avis se croisent et se heurtent. Jusqu'à celui qui s'était juré de ne pas encombrer les antennes une fois terminée sa carrière de coach mais qui ne peut s'empêcher d'opiner, d'autant qu'il est payé pour ça... Alors imaginez la tâche, du coup compliquée, de ceux dont c'est désormais le métier, je veux parler des membres du staff tricolore.

Dès ses origines, le comité de sélection du XV de France fut la cible de critiques au motif que ses choix n’étaient pas toujours guidés par la seule raison sportive. Que le cheptel de joueurs de haut niveau français soit restreint ne pouvait pas éteindre les polémiques, et on pense ici au tonitruant Philippe Struxiano, demi de mêlée et capitaine toulousain (déjà) de XV de France des années vingt du siècle dernier, qui s'opposa au diktat des sélectionneurs. Plus tard, période 1957-1960, quand il fut question de choisir au centre entre deux indéniables talents - Jacky Bouquet et André Boniface - la France du rugby adora prendre parti. Et si les deux icones se partagèrent les ferveurs populaires, les sélectionneurs arbitrèrent parfois en faveur de Stener, Rogé et Marquesuzaa.

Déjà qu’un seul leur posait problème, alors quand en 1960 les Boniface furent deux - Guy et André - le dilemme gagna en intensité. Qu’ils dominent le Championnat de France sous les couleurs du Stade Montois ne donnait pas pour autant à Guy et André Boniface la possibilité d’être associés en équipe de France : leur furent opposés Jean Piqué, Louis Casaux et Michel Lacome, ce qui les priva jusqu’en 1966 d’une trentaine de sélections ensemble. Durant cette guéguerre, les sélectionneurs gagnèrent un sobriquet - « les gros pardessus » - inventé par l’ancien centre international Jean Dauger, devenu journaliste à Paris-Presse

Dans le même temps, entre 1957 et 1963, le public avait pris fait et cause pour l’élégant biterrois Pierre Danos au détriment du solide agenais Pierre Lacroix, deux visions du jeu - au large ou autour des avants - qui atteignit son paroxysme quand les spectateurs de Colombes se mirent à huer Lacroix au point que celui-ci, alors âgé de 28 ans, renonça, traumatisé, à poursuivre sa carrière internationale. De la même façon, en 1968, la France fut partagée, et pas seulement sur le terrain politique : sud-est contre sud-ouest, les supporteurs de Guy Camberabero, aveuglés par leur passion, allèrent jusqu’à insulter Jean Gachassin lors d’un match de gala à Grenoble organisé entre deux journées du Tournoi des Cinq Nations. Pour ce poste d’ouvreur face à l'Angleterre, les sélectionneurs évitèrent de choisir - l'histoire se répète : ils titularisèrent le Voultain Guy Camberabero en dix pour placer le Lourdais Jean Gachassin au centre. Et le XV de France remporta le premier Grand Chelem de son histoire. 

A partir de 1966 et jusqu’en 1973, Benoît Dauga et Walter Spanghero - géants qui nourrissaient une estime réciproque - furent opposés au poste de troisième-ligne centre. Ils occupèrent vingt-trois fois chacun ce poste stratégique, alternant en deuxième-ligne puisqu'il était impensable de se priver d'eux. Durant cette période, un autre différend d’envergure alimenta la chronique au centre ; quid du duo Maso-Trillo ou de la paire dacquoise Lux-Dourthe. Au final, les Dacquois l’emportèrent (12 associations) sur les frères siamois (7 fois), et la défiance vis-à-vis du pouvoir sportif fédéral personnifié par l’Agenais et ancien capitaine tricolore Guy Basquet, président du comité de sélection, atteignit son acmé. 

Les disputes, au sens latin du terme, redoublèrent lorsque de 1971 jusqu’en 1977, l'artiste Richard Astre et l'artisan jacques Fouroux entrèrent en lice pour le poste de demi de mêlée et le capitanat du XV de France, au moment même où Béziers dominait sans partage le rugby français. Michel Pebeyre, Max Barrau et Jean-Michel Aguirre participèrent à cette joute qui vit finalement Fouroux remporter le Grand Chelem en 1977, mettant fin à cette parenthèse. Ce poste de demi de mêlée suscita encore d’intenses discussions après l’éclosion de Jérôme Gallion (Toulon) dans le Tournoi 1978 : Yves Lafarge (Montferrand), Jean-Pierre Elissalde (La Rochelle), Pierre Berbizier (Lourdes), Adrien Mournet (Bagnères) et Gérald Martinez (Toulouse) revendiquaient légitimement leur part de lumière et tous se partagèrent les sélections jusqu’en 1985 et la titularisation définitive de Pierre Berbizier, devenu agenais l’année suivante, maître à jouer du XV de France et accessoirement meilleur neuf de la planète rugby jusqu’à l’issue du Tournoi 1991. 

Durant cette période, le Toulousain Denis Charvet fut lancé au centre de l’équipe de France, associé dès 1986 à Philippe Sella. Rapidement, l’entraîneur du XV de France, Jacques Fouroux, le mit en concurrence. A la vélocité de Charvet, Fouroux préféra à quinze reprises entre 1987 et 1989 la carrure d’Andrieu et la puissance de Franck Mesnel, quintaux sur la balance. Il fallut alors l’intervention du président de la République, François Mitterrand, pour que l'Eliacin Charvet réintègre le groupe France alors en partance pour la Nouvelle-Zélande. C’est dire jusqu’où il était nécessaire de remonter pour que cesse les polémiques. Peut-on imaginer aujourd'hui le chef de l'Etat, ou son Premier ministre, fan de rugby, opiner à l'heure de la composition d'un XV de France lancé vers les tests de novembre ?

A l'occasion de la publication de Jeux de lignes (éditions Privat), nous sommes invités, Benoit Jeantet et moi, à participer à une table ronde, dimanche 7 novembre à 14 h 30 (salle l'Ouvroir), dans le cadre de la Foire du Livre de Brive, sur le thème "Littérature et sports". Débat animé par Hubert Artus, avec Yann Bonato, Jérémy Le Bescond et François Chevalier. Nous vous y attendons.

75 commentaires:

  1. aujourd hui avec les nombreux changements permis le casse tete de la selection n existe plus en retenant 25 joueurs on se degage une large panoplie de composition
    il n y a plus de joueurs oublies dans la derniere liste aucune absence ou presence discutable
    il serai neanmoins tres sain d effectuer un referendum a toutes les buvettes de club pour valider les choix des selectionneurs
    le demi de melee du racing encore une belle pepite de la vitesse du culot une parfaite gestuelle
    tout pour faire un solide dauphin de super Dupont

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    1. C'est vrai qu'aujourd'hui, il ne manque personne à l'appel. Mais il faut dire que le staff a ratissé large en amont, avec presque 90 joueurs surpervisés, interviewés, suivis. On est peinards jusqu'en 2031...

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  2. Merci Richard de cette histoire qui aura une autre page dans un mois avec la nouvelle composition de l'équipe de France qui va affronter les All Blacks en préparation du VI Nations de l'an prochain. Tout se construit pour 2023 afin d'être plus forts mais il y aura des idées de droite et gauche chez tous les sélectionneurs du pays pour les places des jeunes dont l'histoire débute.

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    1. Je sais que tu aimes bien les belles histoires ovales, Michel...Et comment va la petite balle blanche ?

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  3. Merci à Richard Escot pour ces rappels sur les sélections , toujours discutées à certains postes.
    Je me souviens que Maso, Trillo, Dourthe et Lux ont été à l'occasion alignés ensemble. Maso était brillant, contesté mais avait été choisi dans l'équipe internationale du Président (de l'International Board) en 1971.

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    1. Oui, Jean d'Aix, avec Bertranne et Villepreux. Devant, il y avait Cester et Carrère, me semble-t-il.
      Au fait, bienvenue, Jean d'Aix. Y a-t-il un nom derrière ce semi-pseudo ? Une carrière ovale ? Une activité liée au rugby ? C'est juste pour savoir, parce lorsqu'on entre dans Côté Ouvert, qui est comme un club-house, on se présente un peu. Juste un peu.
      Cdlt

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    2. Jean Viviès, professeur à l'université d'Aix-Marseille, en études britanniques. Passionné de rugby et de son histoire (livre en cours d'ailleurs). Merci.

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    3. Bonjour Jean
      Pouvons-nous entrer en contact ?
      Laissez moi un 06 sur mon mail perso
      rescot@lequipe.fr
      Cdlt

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  4. Ma plus grosse injustice à moi que j'ai concerne Alain Lansaman.
    Il se murmure aussi dans le landerneau des talons que les meilleurs a la bascule des siècles , des pointures pourtant, goutaient assez peu le voyage a Perpignan ou sévissait un certain Koniek,jamais capé.
    Allez Chevreuse

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    1. Ah oui JanLou. Lansaman. Je tiens de Bebert 1er la raison : crainte qu'il "ressemelle" un British. Une fourchette ou un coup de poing passe encore mais le coup de godasse pas glop...
      Quant à Koniek, lui aussi avait un très gros tempérament de batailleur. Et donc pas vraiment adapté au très haut niveau. Et puis Dal Maso et Ibanez étaient un ton au dessus. Puis Servat et Szarzewski. Principalement dans le déplacement et le sens du jeu

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    2. Lansaman avait une vilaine réputation. Et puis il était mêlé à des vilaines générales godasse en avant contre Agen et donc tout pour deplaire

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    3. Fouroux le voulait mais Bebert a été inflexible.

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    4. Je crois aussi que Lansaman ne voulait pas quitter Hagetmau. C'est ce qu'avait répondu Bala -je pense avoir deja raconté cette anecdote- à JPR Williams lors d'un match de comite cote basque -Landes à Bayonne ou Dax "Comment ce gars n'est pas en EDF ?" avait demande JPR à Bala. Voir aussi l'opinion de Broncan père sur lui, on la trouve sur internet.
      Bernard Landais

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  5. Sur cet historique truculent, les scénarios provenaient aussi des querelles intestines et luttes d'influence de l'époque qui tendent à disparaitre aujourd'hui, même si des chamailleries perdurent. Et quid de ceux qui sont passés à travers aussi... C'est vrai que la ferveur monte dans beaucoup de demeures estampillées ovales lors des sélections. Un mal, plutôt une déclivité pour un pluralisme exacerbé. Et comme il y a eu et a toujours abondance, ben chacun en fait un fromage.
    Et débat y aura toujours, car on aime bien battre, rebattre les cartes et débattre. Peut être que Galthié nous réserve une petite surprise qui en estomaquerait quelques uns surs de leurs supputations.
    Sinon, à la faveur de l'automne, tant mieux s'il y a diversité dans le chateau d'eau pouvant ainsi abreuver la rentabilité et faire monter la côte française.
    Oui Elie Cester faisait partie du XV du président en 71 avec Villepreux, Carrère, Maso je dirais mais pas Bertranne...
    Par contre, je ne savais pas que Michel Lacome avait été dans la polémique des centres des années 60. Quand il est venu à Valence, je l'ai toujours vu jouer 10.

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    1. Une sélection en 1960. Centre de Bagneres mais surtout de Pau. A Valence sur la fin, non ?

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    2. Oui, c'est ce que je dis, mais tjrs vu en 10 de mémoire...

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  6. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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    1. De Gregorio, a Romans ah ah.
      A La Richelle on avait un drôle de coquin, Ramos. Et avant lui Chaboury. Petits gabarits super adroits et rapides balle en mains. Et très sympas. Si si

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    2. Patrick Ramos. Il était pion dans mon lycée. Avec un sacrée bande de rugbymen; Kerhouas et Chevillon. Universitaires à Poitiers. On avait une belle équipe de rugby en fac à cette époque. Munoz, Chouraqui, Riviere, Kamina, Tardy, Launay, Dupont frères, Villard... ca tournait bien... champion de France. L'année où je suis parti ah ah

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    3. Barry John
      Pourquoi avoir supprimé son commentaire ?

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    4. A propos de Nicolas De Gréogrio, j'ai connu en vacances dans le Gers (plusieurs années au domaine vigneron de la Haille👍bons Gascogne et armagnac) Georges Lapeyre qui était parti de son club de Montréal (s/Gers) pour aller à Condom officier au talon. Et puis il s'est déplacé un dimanche à la campagne... romanaise, où il tomba nez à nez ou plutôt bugne à bugne sur Nicolas De Grégorio et sa 1re ligne qui les ont pliés toute le match. Autant dire que le Nico avait trouvé chaussures à son pied pour l'écrabouiller comme une blatte.
      Le pauvre gersois pris assez cher pour arrêter là son expérience en nationale, rebondir sur les terrains gersois plus bucoliques et s'occuper plus tranquillement de ses vignes. On n'est pas tous gonflés à la même pression...

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    5. Moi, je voulais parler de Jean. De Gregorio. Rencontré à Grenoble avec Fabrice Landreau. Grand moment. Sacré personnage. Du rude, de l'écorce sur une belle sensibilité.

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  7. Ritchie, toujours un plaisir de te lire … un style pertinent, incisif et une culture incommensurable … difficile de résumer en 3 mots le bonheur de partager ces posts. Merci.

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  8. Je ne sais s'il s'agit de la même chose à propos de "vitesse rugby" parlé dans le post précédent, je pense pas, concernant l'intensité courue et l'intensité combattue. C'est ce que les joueurs sont capables de réaliser en termes d'intensité courue quand il y a beaucoup d'intensité combattue." Pour faire très clair, l'intensité courue relève des courses et accélérations avec et sans ballon. Quant à l'intensité combattue, elle concerne tout ce qui touche aux contacts qu'ils soient longs ou brefs comme dans les rucks ou les mêlées.Le nombre d'accélérations n'est plus prépondérant. C'est la distance d'accélération qui l'est devenue. Giroud a identifié qu'il y avait un manque au niveau 1re et 2e l. et travaille sur de nouveaux outils pour mesurer tout ça, et l'entraînement adéquat pour essayer d'y pallier...

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    1. Ah, la "vitesse rugby". Il faudrait retrouver un article écrit par Jean Dauger dans Paris-Presse dans les années 60. Sacré challenge.

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  9. Merci Richard de nous replonger dans notre jeunesse quand nous participions nous aussi simples joueurs à la sélection en préférant untel ou untel , et chacun était sur que son choix était le meilleur , avançant arguments contre arguments.
    Je crois que les deux plus fortes rivalités pour moi ont été maso Trillo/ Dourthe Lux et ensuite Astre /Fouroux ça déchainait les passions...
    Et comme l'a dit un commentaire plus haut aujourd'hui on fait jouer 24 joueurs donc la place à beaucoup de gens et donc moins de sélectionneurs du dimanche.

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    1. Aujourd'hui, la question c'est Villière ou Lebel à l'aile gauche, Haouas ou Bamba en pilier droit. On parle d'une troisième-ligne de grand rayon d'action, ce qui est prometteur : Cros-Jelonch-Woki. Ca aurait de la gueule, non ?

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    2. Bon, hébin voilà, tu as les questions à tes réponses, comme disait un jour Woody Allen aux journalistes lors d'une conférence de presse. Une équipe de coureurs (dans toutes les lignes) portée sur l'offensive.
      Y'a plus qu'à !!

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  10. Je ne sais pas s'il y a moins de sélectionneurs du Dimanche, ils sont juste passés du café du village aux raiseaux sociaux. Seule la passion n'est peut-être plus la même. On ne voyait pas jouer nos idoles tous les week-ends à la télévision. Maintenant la question n'est plus quel joueur à tel poste, mais quel joueur à quel poste. Du Master mind de mon enfance, on est passé au Master mind en 3D. Je ne sais pas si le choix est plus facile mais il fait toujours débat

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    1. Sélectionneurs /spectateurs ,même combat!
      Les quatre cent paumés dans le stade de Colombes pour un improbable Racinge versus Aurillac en Février pigeaient a peu près ce qu'ils voyaient.
      Et puis par la grâce toute puissante de St Maxou on est passé à vingt mille résidus d'école de commerce à la Porte d'Auteuil, que des experts qui n'avaient jamais touché un ballon.
      Suis pas sur que la passion y trouve son compte .
      Allez Giroud, un malin celui là, non ?

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    2. Là, il semble plutôt que les choix des sélectionneurs ne suscitent pas beaucoup de polémiques. Sans doute parce qu'ils sont bons...

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  11. AH les résos saucios, la plaie de notre époque n'est-il pas .....
    Oui ici les dimanches les sélectionneurs s'appuient en conclave sur la talanquère, vers 11hoo fumée noire, et à 18h30 se transforment en exécuteurs fumée blanche !!!!!
    Le haut niveau a ses exigences, hein, bon, mais les mathématiciens genre Giroud qui mettent le rugby en équation, ça me fout un de ces mal de tête, " allez tu as vraiment beaucoup accéléré coco mais franchement tes efforts sont pas trop longs, va falloir regarder tes stat's et les courbes de tes intensités courues et combattues, on en recause à la vidéo demain, et arrête de boire d'la bière y'a plus de flotte ou quoi ??? "
    Allez, la passion toujours là !

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    1. On appellait ça les "académies", groupe de supporteurs-connaisseurs-passionnés qui assistaient à tous les entraînements, aussi. Et savaient tout ou presque des joueurs qu'ils suivaient, y compris où ils allaient pour sortir de la routine ah ah...

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    2. J'adorais écouter celle de Bègles, dans le coin gauche, en bas, de la tribune d'honneur de Musard. Ca balançait sec et drôle.

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    3. A Tyrosse, aussi, ils étaient bons pour ça... A La Rochelle, dans le vieux Marcel-Deflandre, il y avait la tribune des dockers. En face de la présidentielle. Dans le coin gauche, là où le terrain était légérement en pente (excellent pour les ailiers). Les réparties étaient solides.

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    4. Oui, dans tous les stades sans doute, cet espace réservé, sans pancartes ni panneau, dont l'accès est bien plus règlementé que pour les loges du TOP.14, l'estranger (le visiteur dominical) qui s'y aventure comprend vite que les abords du groupement pourraient s'avérer périlleux !!!!!!!!!
      Ici on connait tous les trous de taupes du pré, comment souffle le vent, pourquoi le fils Martin a l'air crevé après sa sortie avec la dernière du Dédé hier soir (Le Dédé qui sait pas ....), le chantier où travaillent les jumeaux de Gaston, les raisons pour lesquelles les 2 pilars et le talon sont derrière la haie à répandre tripes et boyaux, le nouveau coach qu'a pas l'air mal pour un gars du village voisin, où de mémoire y'a jamais eu de bons joueurs là-bas (sauf les saisons où ils venaient jouer chez nous) ....ETC .....
      Belle musique jouée chaque dimanche sur un rythme jamais pris en défaut.
      Allez les académies, depuis l'début .....................

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  12. avant on qualifiait un joueur de vaillant vif engage attentif instinctif et voila que maintenant pour expliqquer le manque de soutien des premieres lignes on invoque des deficiences musculaires une alchimie de science fiction bientot ces preparateurs de robots feront travailler telle fibre musculaire pouºr soi disant resorber les deficiences alors qqque l on sait l envie est le moteur si les blacks excellent c est qu ils s amusent et se donnent a fond pas besoin d etre chercheur au CNRS pour aboutir a ces evidences bientot grace aux capteurs portes par les joueurs on les pilotera depuis les stands tiens je vais avctiver le vecteut detente pour cette touche
    revenons a plus de simplicite le rugby n est pas une science et n a pas besoin de technologies

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    1. Il est vrai qu'en lisant l'interview de Thibaud Giroud, j'ai cru que le rugby avait déménagé sur la planète Mars... Très honnetement, je n'avais jamais entendu parlé de certains mots, de certains concepts. Cela dit, je ne suis pas préparateur physique. Mais lors de certains passages, je me demandais si on parlait d'un jeu qui se nomme rugby. Ce qui prouve surtout que dans certains domaines, je suis dépassé.

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    2. En attendant de revenir à hauteur (pas sûr d'en avoir envie), je raccroche avec André Boniface. Une heure hors du temps mais un échange riche. Ses réponses à mes questions sont riches, ciselées, profondes, intimes, certaines inédites.
      Ah oui, j'oubliais de vous le préciser : je travaille sur un Hors Série spécial Tournoi pour février 2022. A suivre...
      Je vais vous abandonner ce week-end : direction la Foire du livre de Brive. Je vais avoir la chance d'y croiser Christian Badin. Peut-être certains d'entre vous aussi. Patricia24 le dimanche, c'est sûr. Et bien sûr, Benoit sera en fer de lance sur le thème : "Littérature et sports", dimanche aprèm.

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  13. Ben fô bien vivre !

    Il vend sa camelote le mec, comme les développeurs de performance, les diététiciens,les pharmac... ( chut!)les bio-dinamiciens et autres gourous, manque plus qu'un confesseur, quoi-que !

    Pas forcément des charlatans, hein, mais on s'éloigne toujours un peu plus du pratiquant de base .

    Les neuro-chirurgiens c'est pas compris dans le staff, c'est après. ...

    Allez Carl

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  14. Et alors , il n'y a personne pour dire ce qu'il pense du match ? Match tendu avec pas mal de fautes , Argentins comme d'habitude généreux et coquins ...

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  15. Une belle rencontre de l engagement de la vitesse face aux griffes des pumas de teigneux felins ceux la de belles prestations Flament etendard du Wallon ovale que cela continue

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  16. Tendu oui ...
    NTK pas content d'être là, non ?
    Jalibert a pris de l'épaisseur vrai leader de ligne, pas convaincu par Cros, le jeune 2ème ligne par contre pas mal.
    L'appel à l'arbitrage vidéo pénible, à quand un arbitre sur l'essai de Dupont qui dira "peu importe l'en-avant de 2 Cm vive le jeu" ???
    Remarque Générale je me suis non pas ennuyé mais souvent été en attente de ..... un rythme un souffle qui ne venait pas, les de la Pampa pénibles.

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  17. Une belle cagade de Jalibert, mais je l'ai trouvé excellent animateur avec si peu d'espace, épaulé par une ligne qui brûlait de donner de la suite à ses
    idées. Quant aux pumas, hargneux et vaillants mais beaucoup moins créatifs que les bleus... finalement ils s'en sortent bien au niveau du score, ou alors c'est qu'il manque encore quelque chose aux bleus... ça doit être ça !
    Mais cocorico quand même !!!

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  18. Des bleus pas dans la faveur du jeu, pas la faveur de tout le monde ? ferveur argentine qui a bien géné encore EDF n'ayant pu imposé de rythme. Le boeuf argentin tjrs à l'honneur. Toujours pas suffisamment de possession, même si le travail sur les 20 dernières mn à retenu les faveurs du score. C'est tout ce qu'on retiendra sur le fond. Le 10/12 mal géré par le staff, à mon sens. J'aurais préféré NTM revenant en 10 et Danty au centre. Même si Jaja me fait mentir sur sa passe décisive après sa bourde de contre en 1re mt. Pas senti qu'il prenait de l'épaisseur. Haouas pas tout à fait prêt, au mieux sur le banc. Même si les pumas ont pu pousser en travers, n'a pas craqué psychologiquement. Encore un match intéressant de Jaminet. Marchand s'est bien rattrapé de son jaune. On attendait la maîtrise avec ferveur. Mais on a toujours tjrs la faveur d'une situation sur le fil du rasoir qui paie certes, jusqu'à quand ?

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  19. Minuit ( ben oui!) dans le jardin du bien et du mal.

    Du bien, nous avons vingt points d'écart avec ces Gauchos, hors taxes.
    Du mal, on s'est fait peur jusqu'au bout pour neuf ( pas ) malheureux grelots au sifflet!

    Beaucoup défendu Fab ici, mais ce coup ci j'ai un peu de mal, trop d'expériences ne tueraient elles pas l'expérience.

    Après l'état des lieux, les choix techniques et la tournée bricolée on en est presque à vingt match.
    Serait temps d'avoir une ossature solide, remplaçants compris, et de l'aligner d'entrée , et pas le contraire!

    Une petite heure de Tao,Alldritt,Danty dans le buffet des jobards et la fin avec les trois furieux me semble infiniment plus logique.

    Allez,si finir avec Woki dans la cage est une trouvaille alors...

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    1. Woki un peu grand dans la cage ?sinon la cage aux oiseaux, ou plutôt aux fauves grande ouverte sur la pampa française...qui avait la clef ??🤔

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  20. ... la stratégie des deux 10 associés a fait... pschiiit , il me semble ! aujourd'hui au centre il faut plus de puissance que de finesse, pour gagner les duels et pouvoir franchir les supers défenses, ne serait-ce que passer les bras pour donner à hauteur (off load). Moi je préfère Jalibert , plus de vitesse que NTM (me semble-t-il) et qui attaque la ligne avec plus d'incertitude pour l'adversaire. Il donne moins d'infos à l'adversaire que NTM qui est plus "classique" dans un jeu bien référencé comme à Toulouse .Il fera peut-être mieux jouer le collectif NTM quand le jeu français sera bien en place ?... mais le sera-til un jour ?... mais Jalibert me semble être plus créatif !

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  21. Spécialiste ou polyvalent ??? Le débat entamé dans un précédent commentaire alimenté par la rencontre d'hier soir, avec ce positionnement de NTK, car clairement le temps de sa présence sur le terrain on n'a pas senti l'existence d'un liant et d'un collectif lors des phases déf/off, ce que la rentrée de Danty a immédiatement créée. L'ébullition médiatique autour de l'assoc des 2 ouvreurs a fait psscchhhiiit dès lors que Danty est rentré, les automatismes d'un poste ça s'invente ni ne crée pas en quelques séances, notons d'ailleurs que Jalibert a alors trouvé/retrouvé des espaces et a pu créer autour de lui de l'indécision et des situations dangereuses pour l'adv.
    Allez, cet ap-m petit tour sur la talanquère de série où le match d'hier sera refait dix, cent, mille fois pour le plus grand bonheur du permanent de la buvette, si un peu de temps mais pas sûr un passage au débat de Richard à la foire du livre, en attendant bon dimanche à tous.
    Raccord avec Jan Lou, les expériences terminées après cette tournée, il sera grand temps pour le tournoi de déterminer l'équipe type et s'y tenir à la marge.
    Allez, le CAB content devant un Racing inconsistant, employés Parisiens en villégiature de province pressés de rentrer chez eux !!!!

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  22. Bonjour je vois que mes réserves sur FG commencent à faire école et que ma préférence marquée pour Jalibert est partagée . Sinon match agaçant car on sent les talents bouillonner puis faire pschitt ... et ce n'était "que" l'Argentine !
    A noter le 2e ligne Flament : ce talent là éclos un peu partout trouve naturellement sa place en EDF, le staff sert il encore à quelque chose ? 🤔
    Jalibert à l'origine des deux essais . Dupont en capitaine ... bof j'aime mieux le joueur .
    Vu un peu les Irlandais jouer à la baballe avec les Japonais et vu le haka des AB le reste ... no comment Etrange tournée d'automne . Finalement ces Argentins étaient à l'image de la saison : chauds comme des châtaignes, mais un peu bourratifs.

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  23. si l association des deux 10 n a pas ete manifeste cela ne s est pas traduit par un echec retentissant donc je suis partisan de continuer le test
    par contre autre epineux probleme avec les 2 talonneurs Toulousains encore un choix delicat
    Flament le migrateur s est bien pose et ce Villiere une ame d Argentin de suite en action rebondissant a chaque intervention une petite pile
    que s est il passe sur les premieres melees le realisateur incapable de nous eclairer sur le sujet nous refusant les images du cote in crimine

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    1. Continuer le test, oui mais jusqu'à quand, because pas non plus pléthore de dates d'ici l'objectif affiché la CDM de chez nous. En même temps faire tourner, faire rentrer et puis sortir et bousculer les lignes aussi une bonne chose pour la motivation de chacun. Bon, l'est assez grand FG pour se passer de mes conseils !!!!!!!!!
      Perso je trouve le second couteau ST plus affûté que le premier, celui-ci de plus les nerfs un tantinet fragiles et ça c'est pas glop.
      Villère oui des accus au top encore bien plus meilleurs que les Duracel.
      Sur les mêlées, des talons ici pour développer, mais j'ai trouvé que les positions des 1° lignes ARG très en travers et faisant étau sur le talon en déstabilisant les pilars étaient comment dire un peu éloignés de l'orthodoxie de la chose. Mais bon quand on voit les intros ........
      Je ne vois pas sur quel aspect du jeu produit on pourrait faire des réserves sur FG, le jeu produit aujourd'hui à des années lumières de ses prédécesseurs qui avaient mis le rugby en mode éclipse.
      Allez, la Géorgie terrain d'expériences ou de certitudes ?????

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  24. J'ai l'impression que la déception est à l'image de l'engouement médiatique qui a précédé le match; on allait voir ce qu'on allait voir (oui mais quoi ?) avec cette association 10-12 inédite, c'était le festival annoncé. Un escroc a même prédit une "boucherie" contre des Argentins arrivants "cuits et en tongs"; mais le propre des escrocs étant de disparaître quand arrive l'heure des comptes, ça sera bien vite mis sur celui des pertes à défaut de profit, si tant est que dans notre monde binaire, soit on tonitrue qu'on avait parfaitement raison, soit on devient subitement amnésique.
    On avait sans doute oublié qu'avant de se gagner un match se joue, que les Argentins en enfilant le maillot s'y filent toujours et qu'ils ont oublié d'être bêtes rugbystiquement (outre le fait qu'un Argentin s'y connaît forcément un peu en matière de boucherie, surtout cuite). Ils avaient donc bien préparé leur affaire, pour verrouiller le centre du terrain et rester pénibles devant comme ils l'ont toujours bien fait. Le pschitt de l'association Jalibert-Ntamack, faudrait ouvrir quelques bouteilles avant de l'enterrer, et ne pas les secouer avant. Après être un peu tombés dans le piège de la provoc argentine, on a calmé les choses en mêlée, remis les choses en place dans l'avancée, mis plus de vitesse. Débloquer un match, ça tient à peu de choses (un minuscule en-avant de Jaminet au sol), sans ça on passait à + 20, on terminait fort et tout le monde s'extasiait.
    Il y a donc encore du travail, mais le réservoir a donné satisfaction (Flament, Jaminet), Haouas a fait pour moi un gros match (z'avez déjà vu un pilier droit sauver un essai en reprenant un ailier à la course ?). Je continue quand même à préférer Ntamack en 10 gestionnaire et alternant, mais ça met Jalibert sur le banc; la solution idéale serait -peut-être- dans une alternance "naturelle" 10-12 selon les phases de jeu, mais c'est plus du tableau noir qu'autre chose. Un autre point qui pourrait être travaillé, c'est le jeu à deux entre Dupont et Jalibert; on a vu sur une action au moins comment la capacité de Dupont à embarquer la défense obligée de le surveiller comme le lait sur le feu peut ouvrir des espaces, mêmes réduits, que la faculté de Jalibert à accélérer dans les trous peut lui permettre de prendre.
    Dernier point: n'oublions pas que si Vakatawa était là, le débat se poserait beaucoup moins et se limiterait au choix entre les deux 10, avec des options de jeu différentes.

    Et je verrai bien le staff "muscler" l'équipe devant face aux Blacks.

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  25. .... "gestionnaire" Pipiou ? .... moi,j'attend autre chose d'un 10 aujourd'hui, au niveau international surtout, le gestionnaire me fait pas me lever de mon siège !

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    1. Je ne voudrais pas déformer le propos de Pipiou mais si le mot te tripatouille ,remplace le par " pragmatique, efficient,sang-froid, rassurant. ....", a l'opposé de "chien-fou, téméraire,opportuniste. ..."
      Dans un monde idéal il serait un peu les deux, selon la situation, le rapport de force, le planchot et la pendule.
      Suis sur que ces deux la peuvent y arriver.
      Allez chez le voisin de Nini, ils ont de la bonne la bas !

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    2. Ben Christian, un gestionnaire, c'est un gars qui gère un match. Son rythme, son déroulement. Le P de pace, si tu veux. Accélérer quand il faut, temporiser à d'autres moments, écarter ou rester près des gros, avancer en occupant au pied ou écarter, etc... sur ce plan Ntamack me semble meilleur que Jalibert (même s'il a fait des progrès), surtout sous pression.

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    3. non mais j'ai compris les gars, ce que c'est qu'un "gestionnaire" en 10 , je n'ai pas dit que qu'il ne fallait pas "gérer" le match quand c'était nécessaire, j'ai juste dit que je préférais Jalibert à NTM parce que Jalibert saura "gérer" comme NTM pourrait le faire (ça demande moins d'aptitudes athlétiques, peut-être un peu plus de bouteille) alors que NTM ne produira que rarement ce que peut apporter Jalibert sur le plan offensif ! (me relire ce que je dis plus avant si nécessaire). Je viens d'en parler avec PV et il était d'accord avec moi concernant le potentiel offensif de Jalibert et notamment de l'incertitude qu'il "dégage" quand il attaque, qualité première des meilleurs ! Il encode très bien son jeu,ce qui crée le danger chez l'adversaire, alors que NTM est plus lisible, et donc moins dangereux, moins créateur.

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    4. OK Christian.
      Juste un avis différent sur les qualités respectives de Ntamack et Jalibert (que j'adore voir jouer, hein, pas de méprise).
      Pour en avoir le coeur net il faut que le staff de l'EDF continue de laisser jouer Jalibert en 10; le fait d'avoir choisi de faire sortir Ntamack est peut-être une indication (sortir plutôt Jalibert aurait été une forme de désaveu, alors que sortir Ntamack signifie "seulement" que sur ce match l'association n'a pas été payante, donc option tactique modifiée).
      Les Blacks seront les révélateurs de l'expérience.

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    5. ....mais tu as raison,(comme d'hab') option tactique modifiée, bien vu par FG, et suffisamment rapidement pour éviter que NTM "s'enlise", vu la tête du garçon en sortant du terrain, va falloir être fin psychologue pour réparer et éviter que le doute s'installe dans la tête de NTM , un jeune joueur talentueux que j'apprécie aussi comme toi .

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    6. Le meilleur moyen serait de les remettre en 10-12 contre les Géorgiens. Si ça devrait batailler devant (comme samedi soir, en tous cas une petite heure), derrière c'est plus léger, même si les Géorgiens ont fait de beaux progrès. Donc il va y avoir des espaces et matière à manoeuvrer.
      De quoi valider l'option tactique déjà remise en cause après les Argentins, en attendant les Blacks qui feront juges de paix.
      (et là on verra vraiment ce que vaut Jalibert sous la pression d'une troisième ligne de haut-vol; outre le jeu au pied, c'est ce point -jouer sous pression- où NTM me semble supérieur à Jalibert. Je dis toujours qu'on ne voit la vraie valeur d'un joueur qu'après une après-midi pluvieuse du Tournoi, à Dublin contre les Irlandais; va-t-il pleuvoir le 20 novembre ?)

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    7. OK ,mais sous la pression Black avec la même option ?, c'est à dire avec NTM au centre ?... J'aurai , dans ce cas là plus de crainte pour NTM au centre que pour Jalibert en 10 face aux Blacks, mais à voir comme tu le souhaites ,pourquoi pas ?... que décidera FG ?

      A part quelques joueurs exceptionnels,(ils sont très rares) je ne crois pas à la polyvalence de poste, avec la même performance sur 2 postes, c'est tellement différent. J'ai "dépanné" à l'aile quelque fois, mais mon poste de formation, c'était centre et je rencontrais beaucoup de difficultés à l'aile , notamment en défense. Mais je n'était ce joueur exceptionnel pour évoluer à deux postes aussi différents. Mais , à NTM de me faire mentir, et de prouver qu'il peut être ce joueur exceptionnel !

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  26. Par un artifice
    dix, dix
    Voire un sacrifice
    Fixe, fixe
    On peut
    Poil aux yeux
    Transformer un ouvreur
    En centre découvreur
    C'est oublier bien vite
    Triste, triste
    L'exigence d'un poste Faute, faute
    Qui ne s'acquiert
    Et ne s'improvise guère
    Qu'après moults apprentissages Et sans tripatouillages
    Perdu au milieu de nulle part Voilà notre apprenti trois quart Balbutiant hésitant Soudain ne plus sachant Entre l'ouvert et le fermé, Choisir et hésiter Et au final sans gloire Partir vers la baignoire. Dans les médias ça brille De dix à douze c'est si facile Mais une fois sur le pré C'est à toi de jouer, Polyvalence qu'y disaient Tu m'en diras tant Pourquoi tant d'entraînements Aux maîtres mots « te spécialiser », Pour l'échéance venue Se retrouver tout nu Au milieu de l'espace ??? Dur de sauver la face !!!!!!

    Allez, Dupont au talon, c'est mon voisin qu'a eu l'idée le premier après une heure très avancée, à creuser non ??????

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    1. je m'excuse mais c'est moi qui ai eu l'idée, ici, il ya quelques trimestres!

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    2. Rh bien so sorry, rendons à Georges ce qui émane de Montauban, du coup c'est mon voisin qui va faire la gueule d'autant qu'il est natif du 82, AAAHHHH on ne devrait jamais quitter Montauban !!!!!!!!!!!
      Allez, de la bonne, oui !!!!!!!

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    3. tiens, parles lui de Peccolo qui est le champion de France avec les juniors de Beaumont et qui ensuite monta au talon à Sapiac et fut notamment classés par le Midol 4eme en 1973 et 1978

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  27. Le côté gestionnaire est réducteur à mon sens.
    Ensuite entre les fulgurances parfois égoïstes de l un et le sens du sacrifice de l autre, je sais déjà ce que je choisi pour aller au front.

    Y en a pour qui c est non d office
    L autre pour qui ça me plaît pas mais bon, je vais y aller quand même....

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  28. Parce qu en attendant quand il s agit de défendre, le poulet aquitain se défile et est mis en retrait, faudrait pas le blessé. Et NTK retrouve sa place de 10 pour se charger de prendre dans le buffet la 3ème ligne où les centres adverses.
    Desole, mais ça fait pas une équipe pour moi.
    Ca fait petit précieux à pas trop abîmer

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    1. Pas vu Jalibert s'échapper, ou si quand ???
      Les demis ont toujours été bien protégés sur ce que j'en ai vécu et vu depuis longtemps.
      Sur le seul poste et ce qu'ils créent les 2 là le Jaja quand même pour l'instant plus mieux, et sur son engagement le trouve pas si "précieux ".
      Allez, Dédé ce 10 tu me le prends plein buffet et on n'en parle plus, f'ra plus l'precieux.

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  29. J'ai vu Ecosse-Australie ; impressionnée par les placages (des deux côtés) secs, nets, et un réel acharnement des deux équipes . Engagement total .

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  30. Clap de fin j'espère sur cette "expérience" qui a vu privilégier l'homme au système, ce qui n'est jamais bon!

    Avoir, ce binôme la est une chance, ils ne seront pas de trop compte tenu des échéances, et capables de jouer tous deux sur le registre de l'autre si le jeu l'impose.

    Sur que le révélateur Black va nous éclairer, le mieux serait de les fixer un peu leurs flankers, de leur proposer une entame épaisse, ça peut aider, et les Géorgiens tombent pile poil pour dégrossir le sujet.

    Pour ça il serait souhaitable de travailler un peu l'axe profond, et outre le grand Tao, j'aimerais des nouvelles de ces garçons sans complexes qui ont tenu la baraque, Killian Geraci, Baptiste Pesenti, pas que.

    Le jeune Flament est un pur talent, dans un monde idéal on devrait prendre le temps d'en faire un fabuleux huit, passons, et contentons nous d'en faire un finisseur, comme on dit quand on suit un peu!

    Allez, de la stabilité, maintenant.


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  31. Jalilbert délivre les deux passes qui font marquer ses partenaires (Flament et Mauvaka), Ntamack ne peut pas être jugé dans la mesure où il n'a pas reçu de passes de son ouvreur. Visiblement, le courant entre ces deux joueurs ne "passe" pas. C'est gâcher Ntamack que de le faire glisser au centre : c'est un ouvreur. Si le staff bleu pense que Jalibert est meilleur que Ntamack à l'ouverture, alors il faut trouver un vrai centre pour faire paire avec Fickou.

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    1. Ca peut paraitre simple, le rugby, parfois, si tu mets les meilleurs à leur poste.

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