Au bon rebond de la
formation, le
ballon est maintenant entre les mains de ceux dont la vocation est d'offrir
assez d'outils aux éducateurs pour que nos jeunes talents puissent éclore et
profiter. Après avoir posé nos questions à Eric Laylavoix, CTR du
Limousin, notre intervenant es-qualités à Treignac, et obtenu des
réponses dont certaines furent bonifiées dans l'intervalle par Christian, j'ai
eu l'occasion de m'entretenir avec le DTN, Didier Retière, au sujet de
la formation «à la française» qui nous parle tant ici. Je vous les
livre sur Côté Ouvert en
direct du producteur au consommateur.
Première confidence : «Elle est dans la philosophie de la formation des cadres, dans ce qui est apporté aux jeunes et dans la filière du haut niveau. Mais rien n’est complétement écrit et défini ; les gens ont du mal à se l’approprier. On a été pillé par les Néo-Zélandais, les Anglais et les Irlandais. Elle existe, cette formation à la française, mais en filigrane. Il n'y a jamais eu une réelle volonté de la FFR et des cadres à l'imposer. Ca aurait été trop dictatorial», avoue Didier Retière.
Pourquoi la France n’est-elle pas fière de son savoir-faire en termes de formation ? «Ne pas être fier de ce qu’on sait faire, c’est lié à notre caractère latin, note Retière. Il y a vingt ans, nous avions les grands débats des spécificités régionales. Basques, catalans, alpins, toulousains, tous voulaient pratiquer leur style de jeu… La baisse du niveau de l’équipe de France a fait comprendre récemment à tout le monde qu’il était nécessaire de remettre en avant, ensemble, une formation qui nous soit propre. Maintenant, plus que par le passé, les éducateurs et les formateurs sont plus enclins à suivre ces préconisations.»
De quelles préconisations parle-t-on ? «De manipulation de balle, de directions de course, de capacité à bien sauter, chuter au sol et maîtriser les postures de contact, et ce à partir de six ans jusqu’à vingt-deux ans, c'est-à-dire en sortie de centre de formation dans les clubs.» Visiblement, tant de simplicité est compliquée à transmettre. Retière explique pourquoi : «Les écoles de rugby sont dirigées par des bénévoles qui doivent permettre à leurs meilleurs jeunes d’être mis en situation pour progresser correctement pour devenir des joueurs capables de bien lire le jeu, de prendre les bonnes décisions, en ayant le bagage technique adéquat, c’est-à-dire réaliser les bons gestes en étant en sécurité.»
A Treignac, les Quinconces ont évoqué les penseurs, techniciens de hauts vols capables de faire progresser la formation française. Parmi eux, Pierre Villepreux, qui fut DTN, suivi de son complice Jean-Claude Skrela. N’ont-ils pas insufflé depuis Marcoussis une méthode dite «toulousaine» ? «Si, bien sûr, reconnait Retière, qui a succédé à ce duo. Mais on est passé du mouvement général à fond en oubliant d’être précis sur d’autres parties du jeu, sur d’autres ressources qu’il faut mobiliser chez les joueurs. On parle maintenant de retour à la technique mais c'est un effet de balancier.»
J'entends les bloggeurs de Côté Ouvert demander au DTN, qu'ils ont sous la main : "Mais où en est-on, aujourd’hui ?" C'était pour cela que nous étions réunis à Treignac. Pas seulement, bien sûr, mais pendant quelques heures nous avons tenté de creuser le sujet. L'ancien entraîneur national répond : «Le modèle de formation, on le veut plus pragmatique, davantage lié à l’environnement des joueurs, en équilibre avec les aspects d’analyse et de prise de décision mais aussi de réalisation technique des gestes.»
Retière se place dans le prolongement de l'intervention informelle de Jacky Courrent, nouvel élu fédéral responsable des écoles de rugby à l'échelle nationale, venu spontanément nous rendre visite à l'Hôte du lac. «La présence accrue de cadres de la FFR sur le terrain», les fameux deux cents, «porteurs d’un projet précis et qui auront une formation adaptée, va nous permettre, ce qui n'a jamais été fait avant, de mettre en place, directement et facilement, les bases de la formation dans les écoles de rugby. Auparavant, les documents-supports étaient austères, réservés à des spécialistes de la formation. Là, on va formaliser et vulgariser un référentiel commun», précise Retière.
D'après le Directeur technique national, «une dizaine de personnes travaille sur ces documents», dont «Philippe Rougé-Thomas et Nicolas Leroux. Ce plan de formation» sera d'abord «remis dans les académies et auprès des jeunes du pôle France.» Vont aussi voir le jour «les crampons de bronze, d’argent et d’or pour que les gamins puissent construire leurs apprentissages à l’école de rugby auprès de leurs éducateurs.» Précision : tout cela devrait être finalisé en «septembre 2018».
Quelques informations à partager en prolongement de mes deux précédentes chroniques, nées de notre souhait d'évoquer le présent et l'avenir de la formation française. En partant de nos interrogations, relayées par Christian avec le sens du soutien dans les lignes, puis en passant par l'éclairage apporté par un Conseiller technique régional, nous voici maintenant au plus près des chantiers ouverts en ce moment à Marcoussis. Le sujet est furieusement d'actualité, au cœur de ce qui constitue notre rugby. De jeunes talents inscrivent leurs noms sur les feuilles de match de Top 14. Il me semble d'ailleurs que cette tendance s'installe. Acceptons-en l'augure.
Première confidence : «Elle est dans la philosophie de la formation des cadres, dans ce qui est apporté aux jeunes et dans la filière du haut niveau. Mais rien n’est complétement écrit et défini ; les gens ont du mal à se l’approprier. On a été pillé par les Néo-Zélandais, les Anglais et les Irlandais. Elle existe, cette formation à la française, mais en filigrane. Il n'y a jamais eu une réelle volonté de la FFR et des cadres à l'imposer. Ca aurait été trop dictatorial», avoue Didier Retière.
Pourquoi la France n’est-elle pas fière de son savoir-faire en termes de formation ? «Ne pas être fier de ce qu’on sait faire, c’est lié à notre caractère latin, note Retière. Il y a vingt ans, nous avions les grands débats des spécificités régionales. Basques, catalans, alpins, toulousains, tous voulaient pratiquer leur style de jeu… La baisse du niveau de l’équipe de France a fait comprendre récemment à tout le monde qu’il était nécessaire de remettre en avant, ensemble, une formation qui nous soit propre. Maintenant, plus que par le passé, les éducateurs et les formateurs sont plus enclins à suivre ces préconisations.»
De quelles préconisations parle-t-on ? «De manipulation de balle, de directions de course, de capacité à bien sauter, chuter au sol et maîtriser les postures de contact, et ce à partir de six ans jusqu’à vingt-deux ans, c'est-à-dire en sortie de centre de formation dans les clubs.» Visiblement, tant de simplicité est compliquée à transmettre. Retière explique pourquoi : «Les écoles de rugby sont dirigées par des bénévoles qui doivent permettre à leurs meilleurs jeunes d’être mis en situation pour progresser correctement pour devenir des joueurs capables de bien lire le jeu, de prendre les bonnes décisions, en ayant le bagage technique adéquat, c’est-à-dire réaliser les bons gestes en étant en sécurité.»
A Treignac, les Quinconces ont évoqué les penseurs, techniciens de hauts vols capables de faire progresser la formation française. Parmi eux, Pierre Villepreux, qui fut DTN, suivi de son complice Jean-Claude Skrela. N’ont-ils pas insufflé depuis Marcoussis une méthode dite «toulousaine» ? «Si, bien sûr, reconnait Retière, qui a succédé à ce duo. Mais on est passé du mouvement général à fond en oubliant d’être précis sur d’autres parties du jeu, sur d’autres ressources qu’il faut mobiliser chez les joueurs. On parle maintenant de retour à la technique mais c'est un effet de balancier.»
J'entends les bloggeurs de Côté Ouvert demander au DTN, qu'ils ont sous la main : "Mais où en est-on, aujourd’hui ?" C'était pour cela que nous étions réunis à Treignac. Pas seulement, bien sûr, mais pendant quelques heures nous avons tenté de creuser le sujet. L'ancien entraîneur national répond : «Le modèle de formation, on le veut plus pragmatique, davantage lié à l’environnement des joueurs, en équilibre avec les aspects d’analyse et de prise de décision mais aussi de réalisation technique des gestes.»
Retière se place dans le prolongement de l'intervention informelle de Jacky Courrent, nouvel élu fédéral responsable des écoles de rugby à l'échelle nationale, venu spontanément nous rendre visite à l'Hôte du lac. «La présence accrue de cadres de la FFR sur le terrain», les fameux deux cents, «porteurs d’un projet précis et qui auront une formation adaptée, va nous permettre, ce qui n'a jamais été fait avant, de mettre en place, directement et facilement, les bases de la formation dans les écoles de rugby. Auparavant, les documents-supports étaient austères, réservés à des spécialistes de la formation. Là, on va formaliser et vulgariser un référentiel commun», précise Retière.
D'après le Directeur technique national, «une dizaine de personnes travaille sur ces documents», dont «Philippe Rougé-Thomas et Nicolas Leroux. Ce plan de formation» sera d'abord «remis dans les académies et auprès des jeunes du pôle France.» Vont aussi voir le jour «les crampons de bronze, d’argent et d’or pour que les gamins puissent construire leurs apprentissages à l’école de rugby auprès de leurs éducateurs.» Précision : tout cela devrait être finalisé en «septembre 2018».
Quelques informations à partager en prolongement de mes deux précédentes chroniques, nées de notre souhait d'évoquer le présent et l'avenir de la formation française. En partant de nos interrogations, relayées par Christian avec le sens du soutien dans les lignes, puis en passant par l'éclairage apporté par un Conseiller technique régional, nous voici maintenant au plus près des chantiers ouverts en ce moment à Marcoussis. Le sujet est furieusement d'actualité, au cœur de ce qui constitue notre rugby. De jeunes talents inscrivent leurs noms sur les feuilles de match de Top 14. Il me semble d'ailleurs que cette tendance s'installe. Acceptons-en l'augure.
Bon ben si on a une formation qui a été pillée par les NZ , les Anglais et les Irlandais avec le succès que l'on sait , ça devrait pas être difficile de trouver le papier carbone ....
RépondreSupprimerPlus sérieusement vivement 2018 que l'on puisse découvrir tout ça
C'est dans les tuyaux. Pour ce qui est de piller, j'ai effectivement discuté avec Wayne Smith au début des années 2000 à Palmerston North. Aussi avec Don Rutherford, le patron de la DTN anglaise, en 1989. Ils étaient très "gourmands" de ce que Pierre Villepreux pouvait leur apporter. Smith m'a même fait la confidence qu'il se rendait à Toulouse en vacances à la fin des années 80 pour voir jouer le Stade Toulousain et discuter avec Villepreux.
RépondreSupprimerPour les Irlandais, je n'ai aucune anecdote ni info.
Par ailleurs, j'espère que tu apprécies la "primeur" Côté Ouvert.
Bien sûr 😉😜
SupprimerMerci Richard de prolonger nos interrogations sur les rencontres à XV de Treignac ! J'ai bien retenu une seule chose dans ce retour de balancier c'est que la finalité du projet sera efficiente au mieux en septembre 2018 ! Nous parlions de cerveaux sur le blog précédent mais ne manque t-on pas de cervelle ? Quand je vois que l'équipe UNSS du lycée de la Borde-Basse de Castres championne du monde de rugby au Japon en battant les All Blacks il est permis de rêver ! Là ou le DTN est dans l'erreur c'est de faire tester le concept uniquement aux académies et pôle France ! Il faut aller à la racine du mal donc dans les clubs amateurs loin de toutes académies ce que Rougé Thomas sorti du ST ne connait pas. Car former des jeunes dans des villages n'a rien à voir avec l'école de rugby du stade ou les jeunes sont trillés sur le volet pour le résultat que l'on sait. Prenons les éducateurs de Borde Basse une référence non ? pour être champion du Monde .... Le rugby ce n'est pas le parisianisme ... reboiser va prendre beaucoup de temps 2018 donc au mieux 2028 pour commencer à récolter les fruits de la pensée ! Mais pour penser il faut des penseurs et nous sommes loin de Pascal ! Autant parler de la raison et du cœur sans quoi l'individu n'arrivera pas à se construire .Hélas la raison n'est jamais "raisonnable" et laisse la place au cœur c'est à dire que l'amour l'emporte sur la raison donc sur la connaissance. Saint Augustin ne contredirait pas ce précepte"aime et fais ce que tu veux" ! Et là nous sommes dans le vif du sujet car les penseurs de la FFR ne font que ce qu'ils veulent juste pour laisser un nom à l'oeuvre inachevée ! Saint Augustin disait aussi "crois pour comprendre" à condition d'avoir de l'imagination ce pourquoi Pascal répondit "il suffit d'un rien, d'une mouche qui bourdonne à ses oreilles pour que la puissante intelligence qui gouverne les villes et les royaumes perde le fil de son raisonnement". Le dernier qui a parlé a raison ! La pensée de derrière ne pourra être effective qu'en élargissant le champ du raisonnement .... Déleris, mathématicien et penseur du rugby avait du lire Pascal plus que certains de Marcoussis car quand tu parles de Pascal tu penses à Papé ! Et cela résume bien le rugby actuel. Le retour de balancier est comme la comtoise chez moi si personne ne remonte la mécanique le temps s'arrête ... mais Saint Augustin veille à notre bonheur car "c'est par l'esprit que nous mesurons les temps".
RépondreSupprimerRetiere n'est pas parisianisme mais bon Maroucssis c'est pas Vichy
SupprimerJe veux dire par là lépicentre
SupprimerOn le sait maintenant c'est Treignac
Je n'ai pas bien du ecrire mais il me semble que l'idée c'est d irriguer tout le territoire. Faut bien commencer quelque part pour tester
Et l'Essonne est une rivière
effectivement une rivière mais pas un long fleuve tranquille ! commençons par les ruisseaux qui font les rivières...etc. On sent que le Maine et Loire et la Charente Maritime c'est cousin cousine !
Supprimerun plateau de fruits de mer et une Sèvre et Maine et ça gouleye !!
RépondreSupprimerN'en déplaise à certains, mais pour le néophyte que je suis, cet entretien avec Didier Rétière a le mérite de clarifier la situation. Même s'il faut attendre 2018, je trouve enfin une trace d'espoir. En plus d'ici là, soyons fou, l'équipe de France sera championne du Monde, et le ST champion de France (rien à voir).
RépondreSupprimerPar ailleurs, je trouve important que l'équipe de France redevienne une vitrine pour les jeunes, et personnellement je ne trouve rien de grave à ce que les jeunes s'identifient à des idoles. Il faut bien que les jeunes viennent au rugby, à la formation ensuite de faire son travail.
Félicitations aux jeunes de Borde Basse, mais Tautor, je ne suis pas certain de l'amateurisme de ce club, pas plus que de l'amateurisme de toutes les équipes UNSS qui remportent des titres, quelque soit le sport. Pour illustration, ci-joint, extrait d'un article de la Dépêche du Midi : "certains n'auront pas le temps de fêter ce titre exceptionnel puisqu'ils ont tout de suite été pris en charge par l'encadrement des Crabos du Castres olympique, dont l'essentiel de l'équipe UNSS fait partie, pour aller disputer cet après-midi un 8e de finale de championnat de France contre Biarritz à Louey (Hautes-Pyrénées)".
Rien à voir, mais il n'est pas toujours facile d'organiser sa pensée, si mon mon fils veut faire du Rugby à Toulouse, il se retrouve immédiatement dans une grosse structure : Balma, Blagnac, Colomiers, ST avec dés le départ des sélections, et aucune chance de pouvoir jouer.
Enfin la formation c'est bien, mais la pratique est bien aussi, et pour cela la formation doit pouvoir déboucher sur la certitude de jouer en TOP 14. Idée sans doute très bête, mais pourquoi en TOP 14 ne pas avoir une équipe nationale espoir, avec des joueurs rémunérés par la fédération ? Là, je dois vous paraître complètement couillon. A plus
Pas couillon Fred
SupprimerNon
À creuser
C'est même la conclusion de Retiere. Créer un lien privilégié entre le pôle France et les clubs. Mais pas sur que l'idée des équipes espoir de club rémunérées par la ffr soit la solution
SupprimerPlutôt un modus operandi qui permette aux espoirs de jouer en top 14 et prod2.
Incitation financière ?
Obligation réglementaire ?
En tout cas un lien se construit à travers les JIFF
A suivre la saison prochaine
Ah ! Lulure II
Supprimerque c'est bon de te lilire ! Bien sûr que rien n'est un hasard à Borde Basse et que l'exemple est trop beau pour ne pas le citer sur le l'interconnexion qui existe entre le sport scolaire et le club ! Thème abordé à Treignac avec Marceau AMBAL (EPS au collège, entraîneur au club à Beaumont) mais aussi avec Christian et Eric. N'oublies pas dans la banlieue toulousaine, Tournefeuille, Portet, Castanet, Ramonville St Agne si cher à Pumkette, St Orens, Quint Fonsegrives, etc., vaut mieux qu'Alex aille dans ses petites structures encore familiale et épanouissante que dans les grosses écuries ou il risque de se dégoûter pour toute une vie. Les équipes Espoirs existent mais si la FFR doit les rémunérer ce n'est pas avec les Emirats que BL doit signer mais avec les oligarques russes et consors !!! voir avec les chinois ! Soyons fou, développons le rugby dans un pays à plus d'un milliard de population plutôt qu'un pays remplis de chameaux !
Je ne parle pas d'équipes espoir de club rémunérées par la ffr, mais je suis encore plus irréaliste que ça. Je parle d'un TOP 14 avec 13 clubs professionnels et une équipe nationale. Pour cette équipe nationale on défini le nombre de joueurs nécessaires par poste. Puis la ffr achète ces joueurs aux clubs (rémunération en compensation de la formation) et les indemnise.
SupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
SupprimerLulure II,
Supprimeril faut que nous revenions à Treignac, excellente cure avec une pension 5 étoiles ! Je te trouve métamorphosé ... tu vas finir à la FFR en remplacement de quelques Pascaliens qui confondent formation et "déformation" ! Rien de plus singulier que d'avoir dans le groupe des Quinconces des pluriels .... Tu vas ruiner la FFR à ce rythme car tous les clubs vont vouloir vendre leurs progénitures ... le marché parallèle va fonctionner ainsi que les dessous de table !!! Tu relances l'économie c'est d'actualité !!!
Fred Lulure
SupprimerMais c'est du rugby nzed dont tu nous parles...
les premiers plans de CTR CTD datent au minimum de45 ans
RépondreSupprimeril ya toujours eut de la formation des projets
donc rien de nouveau et le pire pour moi est cette centralisation de la connaissance
contrairement au discours commun je soutiens que les conditions pour mieux jouer au rugby sont exterieur au terrain une vie de lutteur de devouement sont plus utiles que des stages theoriques
en musique tout le monde a la meme partition et chacun peut l interpreter a son envie et la jouer avec sa propre sublimation
le jeu de rugby se le doit aussi
on manque plus de caracteres que de plans techniques
Allen
SupprimerLe socle commun est la clé de la réussite
Comme en musique
J'en sais quelque chose
Si tu ne sais pas lire une partition même mal difficile de jouer d'un instrument. Et encore moins en formation.
Solfège, harmonie et contrepoint
Après tu peux interpréter les morceaux à ta guise...
C'est ce que fait la DTN depuis effectivement plusieurs décennies
Avec plus ou moins de succès
Oui, enfin, faudrait peut-être considérer comment et pourquoi au Conservatoire, l’enseignement du solfège a été rebaptisé, en quoi regreffé sur l’harmonique tonal, le système des modes permet d’autres cadences, et surtout, admettre que sans oreille pour le recevoir, la difficulté à enseigner l’indispensable contrepoint , pour ensuite l’utiliser ou pas, est grande . (Voir comment l’autre Richard s’éprouve dans « Les Maîtres chanteurs » pour reprendre & illuminer ensuite « Le crépuscule » de toute son audace !)
SupprimerParadoxe : tout ce que je lis est littéralement sensé. Mais, aux côtés de Pascal, Rabelais avait sa place. Question, en jouant un peu à la provoc' : Treignac ne serait-il pas le nouveau fief de Picrochole ?
RépondreSupprimerJe rejoins donc Allan dans la dubitativitude, comme on dit en Poitou-Charentes.
En revanche, je veux bien croire que le fruit de nos cogito pousse aussi bien à Palmerston North que les kiwis en Béarn. Le problème, c'est qu'un Smith ne prêche que des convaincus. Alors que nous devons convertir, avec ou sans saint Augustin.
Charles
SupprimerJ'ai l'impression que quoi que l'on fasse en France il y a toujours part du doute
Prenons l'exemple kiwi
Quand ils se lancent les nzed dans un projet tout le monde est à fond derrière
Comment en rugby
Finalement quimporte la combinaison annoncee
Il peut y en avoir une meilleure
L'important c'est que les 15 y croient et aillent dans le même sens
Paradoxe : tout ce que je lis est littéralement sensé. Mais, aux côtés de Pascal, Rabelais avait sa place. Question, en jouant un peu à la provoc' : Treignac ne serait-il pas le nouveau fief de Picrochole ?
RépondreSupprimerJe rejoins donc Allan dans la dubitativitude, comme on dit en Poitou-Charentes.
En revanche, je veux bien croire que le fruit de nos cogito pousse aussi bien à Palmerston North que les kiwis en Béarn. Le problème, c'est qu'un Smith ne prêche que des convaincus. Alors que nous devons convertir, avec ou sans saint Augustin.
Charles Picrochole,
RépondreSupprimer“Dans un univers passablement absurde, il y a quelque chose qui n’est pas absurde, c’est ce que l’on peut faire pour les autres.” A. Malraux , Treignac 2017 ! rire
Des idoles Tuture,t'es sur, j'aime pas trop le concept ?
RépondreSupprimerDes exemples ça me suffirait largement, perso, mais ça suffit plus
Il faut que les jeunes viennent au Rugby, oui, mais ça se fait plus tout seul.
Fô mouiller le maillot dans les preaux d'écoles et les cages d'escalier, parler recrutement avant formation, quoi !
Allez, un DRN, Directeur du Recrutement National, ta ta tinnnnn 🎵🎵🎵🎵
Suis beaucoup moins enthousiaste que vous sur le contenu esquissé par Didier Retière, l'impression qu'on va saucissonner l'ensemble en tranches de postures, tranches de passes, tranches de chutes, tranches de ... c'est vrai que ce sera plus simple à mettre en place par les formateurs mais par conséquent on laisserait de côté le mouvement général, les oppositions ? il me semble que trop simplifier va dénaturer le jeu mais bon je n'ai peut être pas bien pigé, j'attends l'avis de Christian ...
RépondreSupprimerSylvie
SupprimerRetiere livre une esquisse
Tu peux bien quand même que le projet fédéral est un peu plus détaillé que es grandes qu'il nous livre en avant première. ..
Pouah
SupprimerFoutu clavier
"Tu penses bien" et "les grandes lignes"
Mais tu avais corrigé
Bonjour à tous et toutes,
RépondreSupprimerBon d'abord sur le lycée-college de Castres, Ils ont gagné une compétition internationale en battant une équipe NZ et on sait tous qu'elle, en principe, est de trés bon niveau.Je retiens aussi, au vu des infos données que la plupart sont en Crabos au CO, et ça c'est trés bien. Je me souviens, il ya plus de 50 ans, quand l'USM faisait plus que rechignier pour que ses cadets ou juniors jouent aussi le jeudi avec le Lycée Ingres....Qu'en est il, aujourd'hui dans les autres coins de France de ces relations Clubs/ Unss? et dans quelle entente/points de vue de la formation.
On en revient souvent à cette opposition entre formation dans le scolaire et formation dans les clubs. Peut être des rencontres locales ou régionales entre les enseignants EPS-rugby et les entaineurs-formateurs des clubs.
Crampons bronze/ argent/ or : la ffr se jumelle avec U-Golf.
RépondreSupprimerDe quelle couleur sera la carte ?
Idée intéressante que celle des niveaux d'apprentissage qui nécessiteront toutefois grand nombre de formateurs pour un même club et des niveaux d'organisation et de planification des plus rigoureux .
Sinon, c'est quand même hallucinant ce qu'il a pu se passer à Toulouse et ailleurs dans les années 80...
Ou le Ski et ses médailles mais après tout ca marche pas si mal
RépondreSupprimerEffectivement Ritchie merci de la primeur de ces infos , quel ingrat mal habitué à avoir des sujets et des post de qualité -))
Retiére et ses copains bossent , nous ne sommes plus dans le déni , c'est déjà beaucoup !!! après pour reprendre le propos de Gariguette faudrait voir à pas de rater et que tout cela soit enthousiasmant pour les gamins , prendre du plaisir pour un jour en donner
Nous avons aussi parlé de l'aspect mental et du pragmatisme ; cela me parait deux notions importantes à developper , de manière adapter bien sur auprès des jeunes , que ce soit au Rugby ou dans la vie ça leur servira
Je crois que je commence à comprendre ; quand je lis noir sur blanc que « nous avons été pillés » « de rien de défini », on peut effectivement se sentir outrageusement grugé voire spolié de tant de dépossession ! Surtout quand on mesure que cet amour chéri du savoir est comme immanent « de la formation des cadres, dans ce qui est apporté aux jeunes et dans la filière du haut niveau (de par chez nous)» ; en une confidence, on mesure l’état des lieux, et toute la désespérance face à autant de vilains coups du sort qui s’acharne . Et le centralisateur Retière oublie juste qu’à l’époque où il y avait, non pas une, mais des identités basques, garonnaises, languedociennes, parisiennes, alpines, …, celle de l’équipe de France s’en inspirait pour se faire craindre et partout & toujours savait être imprévisible dans la victoire comme dans la défaite, dans l’incompréhension comme dans la sublimation, dans les coups tordus comme dans l’expiation, mais jamais dans le renoncement, dans le « c’était écrit » .
RépondreSupprimerAlors la Vulgate qu’on nous promet, qu’on nous promeut « pour bien lire le jeu, de prendre les bonnes décisions, en ayant le bagage technique adéquat, c’est-à-dire réaliser les bons gestes en étant en sécurité.», toutes les litanies axées vers le Bien, au hasard ?, moi, sous l’égide, voire l’égire d’un Nanard qatarismique, d’un saint Rougé-Thomas qui prétend joliment savoir se fourbir en cadres comme il le faisait en cadors, ben je dirais si on me demandait mon avis, au tu crois si tu as la foi succède à l’époque croman, t’y crois parce que tu as les foies .
Sinon, qu’est que viendrait faire la lénifiante & tentaculaire sécurité dans un jeu à risque ?
Autant rester à suivre le métronome dans une position assise que d’aller écouter ces prêcheurs .
https://youtu.be/wKhI58eW3OM
ah! merci Zarma, pour une fois, j'arrive à te comprendre... (et bien d'accord avec toi)
SupprimerZarma
SupprimerD'accord avec toi
Pour la sécurité il s'agit d'éviter pour les jeunes les gros soucis physiques type blessure ou luxation voire commotion etc...
Il me semble...
Les gars, j'éprouve comme un léger doute sur le fait que vous ayez vu le film ...
SupprimerChristian, quoi de plus éprouvé dans le jargon de l'école de Brive, comme ailleurs, que la vérité de l'adage 'traductor, traditor", alors je m'y colle .
Richard, Boulez ne cesse de nourrir le regret que l'ensemble des composantes de la polyphonie ne soient enseignées par chez nous, pour asseoir sur tout le reste 2 ou 3 de ses composantes ; une cathédrale ne se construit pas comme un pavillon . Bon, de nos jours, Quasimodo ne s'arrache de sa tv que pour tondre la pelouse . Ou graver dans le marbre une réflexion bovine .
Bonjour, plutôt désespérant le DTN, avec ses plans-plans, ses postures, ses schémas et ses tranches d'imposition aux gamins à partir de 6 ans, tout ce théorique qui va engendrer des power-point de haut-niveau, tout le contraire de ces rugbys de clubs, de provinces des années 80, tout le contraire des techniciens de références dont il en a plein la bouche le DTN quand y cause mais qui sont à des années lumière de ce rugby conceptuel et gestionnaire dont on ils nous gavent grave aujourd'hui ces brillants bricoleurs du jeu. Bref, trouve pas matière à réjouissance, me rappelle tous mes éducateurs et entraîneurs, une palanquée d'instits et de profs EPS, une pincée d'anciens, témoins de passion et transmetteurs d'héritage, qu'est-ce que c'était bien qu'ils n'aient jamais fréquenté les équationneurs du jeu de rugby qui envahissent le paysage en ces jours, à trop réfléchir et mettre en théorème notre jeu de rugby, jeu de liberté, on le camisole dans un périmètre où il ne respire plus, quand je vois les EDR et leurs éducateurs issus de la formation FFR (pas un jugement sur les gens, un avis sur le bagage fourni), bin les gars c'est pas gagné !!!!!!
RépondreSupprimerMerci Richard pour ces informations et ce bel article.
RépondreSupprimerQuinconce Treignac => Qu'est ce contraignant ?
Voilà rien ne doit être contraignant.
Le rugby est un jeu et un état d'esprit, une vision de partage, des amis qui se font mal pour toi autant que tu te feras mal pour eux pour l'offrande magique qui se trouve derrière la ligne.
Coéquipier, protège moi de mes adversaires comme je te protège d'eux.
Est ce beaucoup d'entre vous sauf peut être Christian ont été joué jeunes pour jouer l'élite ? Je ne crois pas. Nous y avons été pour les copains, l'esprit de camaraderie et surtout pour s'élever dans tous les sens du terme, ensemble.
Je crois plus à cet état d'esprit plus qu'à des normes ou pillages ou des fiches à partager avec 200 formateurs. Formateurs, c’est être beaucoup plus dans la psychologie que dans l’apprentissage de fiches.
Comment comprendre que les joueurs disent "bon ! je retourne au boulot" est ce compatible ? Aussi forts soient ils à apprendre les fiches ?
Est ce qu'un Ramos de Toulouse choisit Galletier pour ces fiches complètes ou pour son empathie et/ou son pouvoir de lui montrer le plaisir de jouer avec lui?
Le rugby à 15 temps de jeu programmés est mort, je pense que les gens ont confondu professionnalisation et Fordisme ou Taylorisme.
La financiarisation n'achète malheureusement pas le bonheur de jouer ensemble.
Revenons à ses basiques, le plaisir d'être ensemble. Formons des personnes capables d'amener nos jeunes français à se surpasser pour les autres puis, de fait l'argent viendra plus tard comme une récompense pas comme un but en soi.
Je veux pour preuve le ST, quand je vois ce que les joueurs disent, la notion de déplaisir a fait perdre le collectif et la justesse du joueur.
Se battre pour l'autre, s'améliorer pour l'autre avant tout, pour qu'il soit fier et heureux de jouer avec toi. Autrement, si tu n'as pas l'empathie de l'autre et bien ta passe ira dans les chaussettes.
Ce jeu n'est qu'un plaisir de vivre ensemble et entrainera nos enfants vers l'élite. Je lisais un article sur la manière de s'entrainer des français et des Anglo-Saxons. Elle n'est pas la même, la notion de plaisir non plus ni la notion de contraintes. Ce n'est pas en plaquant des méthodes étrangères à nos jeunes que nous y arriverons mais en s'adaptant à l'état d'esprit franchouillard de nos enfants.
La méthode Brown bag de nos amis anglais ne sera jamais compatible avec les repas de nos petits français. On n'attire pas mes mouches avec du vinaigre.
Alors que chacun garde son identité et à ces formateurs de trouver le plus grand dénominateur commun. Est ce que cela s'apprend dans les fiches, je ne sais pas et je ne le crois pas ?
Le Gé, Les 15 temps de jeu furent lancés en 1998. Révolution que de conserver le ballon pour déstabiliser l'adversaire. Je me souviens d'un Nlle-Zélande - Australie magnifique. Rarement vu les All Blacks reculer autant face à une stratégie qui leur était étrangère... Et puis on est tombé dans le systématisme.
SupprimerBonsoir, je me posais la question suivante : est-ce que le "retour de balancier" est une expression neutre, positive ou péjorative ? Autrement dit ce renouveau dans la formation doit-il être vécu comme nécessaire et suffisant ou bien implique-t-il un retour à une situation antérieure plus légitime aux yeux de celui qui utilise l'expression ? Auquel cas il faudrait bien sûr veiller à ce que ce "retour de balancier" ne se termine en "retour de manivelle" nettement plus préjudiciable !
RépondreSupprimerPourquoi un tel titre Ritchie, si tu veux bien nous l'expliquer ? alors que Didier Retière parle, lui, d'effet de balancier" plus mécanique, "L’effet de balancier aide au mouvement. On applique une force dans un sens et cette force alimente le mouvement dans l’autre sens."
Ton "retour" est plus polémique selon moi mais tu le sais j'aime bien couper les cheveux et les mots en 4, 8, 16, 32 etc etc 😉
Sylvie, je crois que tu as la réponse dans son intervention. COnsidérant la difficulté qu'il y a à ajuster l'heure exacte. Et qui pousse trop fort d'un coté peut s'attendre à recevoir l'équivalent de sa poussée. En sens inverse. Non ?
Supprimerah mais j'ai bien compris l'intervention de Retière et son "effet de balancier" ce que je ne comprends pas c'est comment toi tu es passé à "retour de balancier" , est-ce dans ton esprit un retournement de situation, un effet boomerang ... ? Ta réponse me donne à penser qu'il y a effectivement comme un retour de bâton quelque part !! Me trompè-je ô lumière de l'ovalie ? En d'autres termes, la formation en rugby étant allée trop loin dans un sens - à nous de définir lequel- ne pouvait que repartir en sens inverse ? Les autres pays ont-ils trouvé le point d'équilibre idéal entre deux positions extrêmes ? Passionnante cette énigme sous-jacente ...
SupprimerGariguette, en fait, il faut le lire comme "le retour du balancier" sans le pronom. Regarde la photo. Miniature dans une vitrine de Tyrosse. Avant d'aller boire le café avec Jos Rupert, Guy Accoceberry et François Gelez. Ah, joli moment ma foi.
SupprimerVoilà.
Mais je savais que ça allait susciter plusieurs interprétations. C'est le jeu, d'ailleurs, sinon à quoi bon...
Balancier comme mot de la passe
SupprimerTransmission donc
Mais tu avais compris
Biz sylvie
ce cher RETIERE est je crois le concepteur d un joug perclu d hydraulique
RépondreSupprimerj espere qu il y avait integrer le verin de travers
le verin effaceur d epaule le verin tirage sur le bas
il se peut qu il n est pas integrer le verin poussee droite sous lere du cheick de gaillac
on annonce la enieme reforme de la formation
comme il est de decoutume de le faire a l ducation nationale
pour indulquer les 10 commandements vitaux du rugby
nos precieux benevoles font autorite
et non pas besoin de suivre des cours soporifiques
dont l unique but est une uniformatisation du jeu
que chaque club est son style et son enseignement
je pense qu'il ne faut pas charger la mule plus qu'elle ne peut sur le côté théorique du discours de Rétière. C'est vrai que les soirées de formation pour passer son diplôme sont longues et harassantes et la première motivation est d'avoir son papier pour mieux recommencer ce que l'on a l'habitude de faire dans son club.
RépondreSupprimerToutefois, j'ai relu mes notes il n'y a pas longtemps et j'ai repris un certain nombre d'outils pour reconstruire les entrainments.
projet de jeu, fonction de l'effectif et de l'estampille du club, circulation du ballon ou jeu dans petit périmètre.
tout le problème est l'implication que l'on met dans la préparation de ses entrainements. Si la Fédé peut me donner des outils, des méthodes pour faciliter cette tâche, tant mieux.
les jeunes joueurs du Racing sont contents de la venue de Dan Carter parce qu'ils apprennent vite avec lui. Alors si le Dan a été formé à la française repris par les entraineurs néo zélandais, autant favoriser les circuits courts.
Enfin, dans la formation, il y a la gestion des effectifs. En France, on a tout misé sur le physique, à un tel point que l'on perd des pépites en minimes cadets qui, doués d'une technique individuelle et collective au-dessus de la moyenne, ne sont pas utilisés parce que manque de densité physique. Ces gamins-là, s'ils sont bons au rugby, ils sont aussi bons dans d'autres sports et s'y dirigent naturellement. sur 60 gamins en moins de 15, on en perd une vingtaine en cadets.
il faut sans doute se pencher sur ce problème également
Philippe, je ne suis pas membre de la DTN, mais il me semble en écoutant Retière que le circuit court sera valorisé.
SupprimerL'effet de balancier selon Retière, je le comprends comme un effet plutôt mécaniquement correctif...
RépondreSupprimerFaut que l'horloger y gratte un peu dedans pour remettre les pendules à l'heure. Reste à voir si
l'aiguille du baromète se débloquera du jeu variable vers le beau jeu. J'espère que les 200 recevront la formation
idoine pour porter la bonne parole auprès de tous les éducateurs de base (sans être péjoratif). Des outils concrets
pour une formation attractive. Le but étant bien à la base de captiver l'attention, l'intérêt, le plaisir...
Mais notre société consumériste a malheureusement une fois de plus envahit nos cerveaux en apportant la confusion entre
la formation vers la découverte d'un sport et la formation vers un élitisme au même titre qu'un enseignement
pédagogique professionnel. C'est ce jeu qui fera peut être qu'un jour le jeune pratiquant accèdera aux plus hauts échelons. Ca n'est pas
une formation pour un concours. Mais c'est ce qui préoccupe beaucoup trop les esprits au bord des terrains... J'abonderai
quelque part plutôt dans le sens du Gé. Et bien sur arrêter ce systématisme du physique au plus jeune âge.
Bref, un prêche plus "oecuménique", Amen !!
Bien vu, Sergio...
SupprimerPour André...
RépondreSupprimerhttp://contre-pied.blog.lemonde.fr/2017/05/08/ombres-et-lumieres-du-cyclisme/#xtor=RSS-32280322
Je viens juste de commander le bouquin!
SupprimerMerci de penser à moi...
Amitiés.
André
Pour Richard
RépondreSupprimer4 clubs qui se disputent pour le bouclier final ne respectent pas la règle des JIFF dont La Rochelle.
Ben dis donc ! Je ne comprends pas d'ailleurs si la règle existe pourquoi ne sont ils pas directement interdit de concourir pour le Brennus.
Bon, maintenant, j'attends de me faire massacrer par Richard :-)
LE Gé le révolutionnaire "et en même temps" scrupuleux des règles.
Ce serait bien, effectivement, le Gé. J'aime le Stade Rochelais (même si j'ai été infidèle depuis l'àge de 18 ans en jouant à Poitiers, à Marsilly, à Fontenay aux Rose, à Finances et finalement à Palaiseau jusqu'à 35 ans) mais je ne m'y retrouve pas côté composition d'équipe. Il n'y a que Sazy qui est du coin. Et encore, formé ailleurs. Le Bail est rochelais, mais je joue pas beaucoup alors qu'il est pétri de talent. Tanguy est super. Mais tout le reste, c'est de l'import. Le Stade Rochelais a su recruter intelligent, sans se ruiner. Mais c'est un club qui fonctionne rugbystiquement avec la loi du marché. Ce qui est super chouette, en revanche, c'est son approche partenariale. Tous les clubs du Trop 14 devraient s'en inspirer. Fédérer des entreprises et ne dépenser que ce que l'on a en caisse...
SupprimerLe Bail est nantais et vient de signer a Vannes ou il va retrouver un jeune ancien de LR ,Charles Lagarde.Sazy vient de Montauban ,Lacroix du Gers via Albi ,comme Aguillon (Gers ,oyo) Ratez vient de Narbonne .On peut aussi citer Bouldoire ,Tanguy et Lagrange et la charnière qui a joué a Clermont ,Noble et Retiere les deux 19 ans . rajoutons Maurouard (Oyo).Et il eu un très grand nombre de feuilles de match en top 14 pour les espoirs du club.
Supprimer...Bernard Landais
Supprimer"retour de balancier", comme Gariguette, on peut interpréter différemment le résumé de l'entretien avec le DTN . Je ne le connais pas, je pense qu'il est compétent, mais surtout que son"boss" a changé et que son poste peut être menacé. Alors, nouvelle équipe, nouveau projet, nouvelle formation, ... normal, ne pas faire comme l'ancienne équipe!
RépondreSupprimerbon, faut savoir qu'après une longue enquête, RETIERE et les cadres fédéraux venaient de proposer une nouvelle architecture de la formation fédérale, formation qui a débutée en septembre 2016. On va donc encore changer en 2018 si j'ai bien compris?
Quand je lis ce que dit J Courrent sur la formation : "auparavant, c'était des documents supports austères réservés à des spécialistes de la formation", moi j'ai envie de lui répondre qu'effectivement, il faut être spécialiste pour s'occuper de formation. Un éducateur, un bon éducateur, c'est quelqu'un qui dit "je ne sais pas" et il faut qu'il ait des réponses à ses interrogations, qu'il aille chercher des réponses à ses difficultés pour enseigner. Il faut arrêter d'être des "amateurs" (dans le mauvais sens du terme) et essayé d'améliorer notre formation en tirant vers le haut. Si on veut être performant à l'étage supérieur (élite), le ht niveau, c'est d'abord et avant tout le ht niveau d'enseignement et de méthode, donc des éducateurs entraîneurs de qualité, compétents et des contenus à la mesure de l'ambition, de l'attente. Des débutants comme pour l'élite, on se doit d'être plus pro.
Mais, atteindre le ht niveau passe par des exigences que le bénévolat ne remplit pas ou trop peu rarement, même si le rugby français produit encore de très bon joueurs (Penaud, Dupont, ....) certainement passés entre quelques mains bénévoles au tout début de leur initiation! Gardons espoir malgré tout.
Bonjour Christian, si la nouvelle architecture ( 2016 mais déjà obsolète !) dont tu parles est celle qui est toujours en ligne sur le site de la FFR je suppose qu'ils ne vont pas tout jeter ; ce que je crains c'est qu'ils élaguent - bon en même temps comme dirait le Gé, c'est vrai que c'est dense : 4 tomes - pour aller à l'essentiel ; il faut se souvenir des 60 h imparties à la formation des formateurs, c'est très court . Si l'on veut rester optimiste (et pourquoi pas ? ), il se peut aussi que l'élagage soit pertinent . Ou alors ils repartiront de zéro et reconstruiront tout en fonction d'autres critères qu'apparemment Didier Retière ne tient pas à livrer . Nous devons donc nous contenter pour l'instant de grandes lignes ; laissons décanter nous y verrons plus clair !
SupprimerChristian, c'est Didier Retière qui parle des documents austères.
Supprimer.. ils ont été réalisés sous sa responsabilité !!! ... surprenant non????
SupprimerJe vois avec plaisir que le Quinconces II fait de sacrées vagues, même Word Rugby va aider à trouver aussi des solutions pour la formation dans les clubs. Pour entrer en équipe nationale il va falloir passer plus de temps dans le pays. Les anglais en avaient marre donc ça change, pratiques ces gars-là!
RépondreSupprimerCe qui me surprend dans le discours de Didier Retière c'est le "pillage" de notre formation. Les Anglons-saxons nous ont observés, ont écoutés des gens comme Pierre Villepreux et bien d'autres, ont vu que c'était bon pour eux et ont bâti une politique qui leur ressemblait. C'est de la vielle technologique ou de l'intelligence économique. On apprend en regardant les autres et on prend le meilleur pour nous en l'adaptant intelligemment. Les chinois aussi seront très forts un jour prochain…
Je témoigne à longueur de temps que les étrangers nous envient des tas de qualités que nous combattons au café du commerce. L'esprit latin on ne pourra pas nous l'enlever; par contre, nous ne sommes pas obligés de mettre à la poubelle toutes nos idées de formation, qu'elles soient pour le sport ou pour le reste de l'économie. Il faut juste que ces idées nous ressemblent, ce n'est pas gagné avec la peur que nous montrons...
Les anglo-saxons ensuite sont plus complets que nous, plus rapides et nous pourrions leur emprunter leur pragmatisme ; ils pensent technique sans doute mais y associent immédiatement physique et mental (noter que tous ou presque sont des îliens !). Ils n’oublient pas jeu et plaisir, voire émotions !
Ils ont une vision politique, une stratégie de développement, une stratégie de jeu au final. Ils emploient des gens compétents. Voir le travail de Cotter (avec E.Blondeau) en Ecosse (Clermont aussi), de Jones mis en place avec célérité après leur échec de CM2015. Le staff AB comprend un homme dont on ne parle peu : G. Enoka . Il est en place depuis des années, il est sans arrêt au contact des joueurs pour les aider individuellement et collectivement en développement personnel.
Il y a un consensus chez les anglo-saxons ce que nous avons du mal à faire entre nous français. Notre perte d’énergie en ligne est considérable !
Je ne sens pas tout ces ingrédients dans le projet mais le travail de préparation est en cours, il faudrait simplement une plus grande concertation avec les équipes de terrain (comme Eric et Christian) et qu'ainsi les clubs soient touchés en plus des académies. S'il n'y pas de dialogue entre rugby amateur et professionnel ce sera difficile de lier tout cela...
Ah, Enoka. Un super gars. On parlera aussi d'un autre kiwi assez génial dont je viens de recevoir le livre sur le management. A suivre...
SupprimerOk avec toi michel, que déjà tous les acteurs du rugby français soient d'accord sur une charte du jeu de rugby à la française pour les petit(e)s français (e)s Un socle commun qui s adaptera dans chaque région de notre beau pays.
Supprimer"Et en même temps" soyons aussi pragmatiques et rapides à changer comme nos amis anglo-saxons.
Bref,la question pourrait être :
RépondreSupprimerLe DTN est il au service du Rugby dans son ensemble, ou sa mission consiste elle à alimenter le molloch professionnel?
Allez Chevreuse
Les deux, jan LoU
SupprimerLes meilleurs ont toujours été dirigés et attirés par le haut niveau
Logique
Comme on ne peut plus parler de faciès, on se contente de parler de profils . Autre logique . Sinon, "définis tes besoins, je te dirai comment les satisfaire" .
SupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerC'est une bonne question et un bon résumé
RépondreSupprimerZan Lou
Je ne suis pas qualifié pour parler formation mais il me semble que la ou les enfants apprennent le mieux c'est quand on les pousse à réfléchir par eux même qu'on ne leur dit pas quoi penser mais comment penser
Ce serait donc pas mal en adaptant à la classe d'âge bien sûr qu'ils trouvent eux même la solution dans une situation donnée , qu'on les fasse aller au-delà des répétitions et gammes o combien nécessaire à ce sport
Tu as raison François il faut que les enfants découvrent avec plaisir (les adultes aussi d'ailleurs) , c'est donc les enseignants qui doivent faire des progrès.
RépondreSupprimerDans Flair Play N°3 de jeunes (vieux) joueurs, O. Magne et JB Gobelet nous disent que le 7 serait une chance pour les plus jeunes. Le 5 est aussi une forme éducative ( nous jouions à toucher à l'école et même à Treignac sur la plage))où les gamins s'éclatent quand ils ont le bol d'avoir un éducateur qui aime les faire jouer...
Le 7 avec les JO au bout est une chance pour les laisser pour comptes. Terry Bouhraoua est le meilleur exemple pour moi...Les allers et retours sont possibles entre 7 et 15... Cette nouvelle discipline fera que d'autres pays viendront au 15 parce que l'histoire de ce jeu est aussi une philosophie... Mais pour un pays il faudra un accompagnement, rôle de la FFR donc une politique et une stratégie...pour éduquer, du travail et du temps.
Il y a des solutions et...du travail, en a-t-on envie parmi les dirigeants.
Ça fait 20 ans minimum que Thierry Janeczek fait passer le message du 7 pour initier au rugby mais la FFR est trop frileuse pour lecouter
RépondreSupprimerAurait pas voulu rompre avec le joug tout neuf installé à Marcoussis par qui ?, c'lui-là ?
SupprimerBon allez demain direction edimbourg
RépondreSupprimerVous tiendrai informés de la météo ecossaises et de la qualité des breuvages. ..
En même temps, on à peu de doutes sur l'un comme l'autre.
SupprimerAllez, un p'tit Cardigan, c'est prudent ☺
quel haggisheur !
SupprimerExcellent, Zarma, excellent. Je viens d'en déguster ce midi...
SupprimerSafe trip !
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerEffet de balancier,
RépondreSupprimerA vous lire, je me pose la question de savoir comment dès l'école primaire n'a t'on pas découvert les futurs énarques, polytechniciens ou centraliens qui feraient carrière politique ou dans les hautes sphères de l'adminstration ? Qu'est ce qui fait qu'en médecine on devient Professeur hormis d'avoir un génotype connu ? Est ce la formation ? Est ce l'environnement des maîtres d'école, des professeurs et des enseignants universitaires ou tout simplement un certain équilibre au fil de la vie entre la famille, le sport, les copains et l'envie de réussir ? Des talents prometteurs, ils en existent partout .. A l'école primaire à Larrazet, sous l'égide d'une vieille institutrice d'avant guerre, j'ai reçu les sacrements culturels qui permettent de passer à l'étage supérieur de la fusée. Mes parents le savaient, moi je le découvrais et je ne le compris que fort plus tard ... nous jouions au ballon à la récré avec les filles ! football, rugby, avec égratignures et pantalons troués assurés !! le spontané dominait ne cherchant pas à comprendre la finesse du jeu, ni la subtilité mais le besoin de gagner et de se mesurer par rapport à ses copains .... le collège et le lycée, affinant la silhouette, faisait place non plus au jeu fou fou, mais à la réflexion en essayant de comprendre les règles du jeu et de l'enjeu. Pour dominer son adversaire, la technique faisait la différence .... et la compo des équipes reposaient sur les qualités physiques mais aussi techniques de chacun ... l'acquis n'était autre que le résultat du fruit du travail par des gestes répétitifs exécutés à la maison ou ailleurs inlassablement .... ce n'était pas une contrainte mais un vrai plaisir que de montrer aux autres ces prouesses techniques acquises en secret .... Mais le plus étonnant c'est que dans le lot d'apprentis en herbe, il y en avait certains qui étaient surdoués .. foi de le reconnaître ... et après l'adolescence boutonneuse, chacun prenait son destin comme il venait ... les uns s’arrêtaient pour les études les autres moins doués fonçaient pour une grande carrière rugbystique ou pas d'ailleurs ! Alors oui bien sûr l'éducateur a sa place dans de ce déroulé de vie, bien sûr que l’entraîneur a aussi la sienne mais le secret de la réussite c'est de connaître l'intérieur de chacun, ce guide qui vous emmène au firmament du jeu et de ses joies et là c'est l'école de la vie qui vous donne ou non cette prérogative .... cette expérience propre à chacun que vous serez communiquer aux générations suivantes sans le tableau noir ! C'est l'effet balancier.
Pas grand chose à ajouter.
Supprimeron dirait comme un écho dans la prérogative au "vous serez communiquer" . Sacré André .
Supprimer...bien sûr Tautor, ah!!! le jeu"sauvage" de notre prime jeunesse !!
Supprimer.... comme tu as raison, nos générations sont issues de ce jeu là, du jeu dans la rue, dans les quartiers, les cités. On jouait à tous les jeux (de balle essentiellement), 1 à 2 h par jour souvent. A l'école de rugby, (1h30 par semaine seulement), on faisait des passes, du placage, un peu de jeu de ligne avants 3/4 séparés, et comme récompense si on avait bien écouté, un petit match à la fin de la séance.
Mais le véritable apprentissage était fait dans la cour, dans la rue, sur les pelouses interdites, en vivant une multitudes de situations auxquelles il fallait trouver des solutions pour gagner, que se soit des 2 c2, des 5 c 5, du gagne-terrain, des duels,..et quelque fois un grand collectif entre la cité sud et la cité nord.... 15 C 15 ou même 20 c 20 pour ne laisser personne sur le bord, sans notion d'âge ou de gabarit ...
(souvent au détriment des études malheureusement) .... mais tout çà est terminé, c'était une autre époque, mais que de souvenirs !
Hé oui c'était çà, trés bien exprimé Christian, et beaucoup arrivaient à faire la passe juste....
SupprimerMerci Tautor, je me reconnais j'étais dans une école comme la tienne. Mécanicien pas maître de son temps j'ajoute que dans le balancier il y a aussi un rythme, un équilibre ("qui dit oui qui dit non..."), une qualité qui fait sa régularité. Nous ne savons pas quelle est sa sagesse. Au détour des écrits de Denis Lalanne un jour j'ai découvert le swing et comme je ne savais pas traduire balancier, un irlandais m'a aidé à comprendre, j'ai ramé pour trouver le mien et tout à changé pour moi. J'ai alors compris pourquoi je n'étais pas bon au rugby. Le temps a passé et chemin faisant, je me suis mis à accompagner les joueurs de golf, pour le plaisir du jeu...ça continue mais les problèmes de la FFG sont identiques à ceux de la FFR...sans doute un mal qui pourrait se guérir mais il faudrait adapter notre manière de penser. Changer de devise ou au moins l'adapter: moins grand, moins haut, moins vite mais plus sûr pour l'intérêt général...j'aime toujours rêver à un jour meilleur, d'ailleurs c'est demain!
RépondreSupprimerTon saint patron l'archange Saint Michel est un ange psychostase : il tient la balance pour peser les âmes ... d'où ta recherche permanente de l'équilibre ?
SupprimerMichel, j'aime beaucoup l'esprit de ton envoi. Le balancier, c'est bath : un coup Louis XVI, un coup Robespierre, un coup Bonaparte, un coup Louis-Philippe. L'équilibre à la française.
RépondreSupprimerLouis XVI, c'est un peu se prendre la tête non. :-)
SupprimerEst ce un balancier ou bien trouver la personne idoine. Celle qui te donne envie de te surpasser et surtout te montre la récompense de jouer pour et avec les autres.
J'avais un super prof de math en Terminale qui quand tu lui posais une question, voyait ce que tu n'avais pas compris. Il ne répondait jamais à la question mais l'explication qu'il reformulait, la faisait disparaitre.
Ce type était un génie. Quand tu vois les joueurs qui parlent de Novès, tous disent qu'il a une autorité naturelle. Le profil d'un formateur est primordiale.
J'aime ce que dit Tautor, si il existait des écrits qui permettaient de former des Bauden Barett à chaque fois. Ce serait génial. Mais dommage.
J'ai aimé Bonneval qui a dit qu'en France que ce joueur n'aurait jamais percé. Pas de pied pas de force...... Et en plus, il n'aurait pas joué à 20 ans en top 14.
Z'ont jamais dû entendre parler du grand oeuvre de Fabius, ces Romains la !
SupprimerGé, ... pas eu le même prof... comme quoi, les profs, c'est comme les éducateurs, vaut mieux avoir un bon ! (seule différence, y'en a un qui est payé, pas l'autre, ... (mais on ne peut pas viré un mauvais prof, et on est obligé de garder l'éducateur bénévole)
SupprimerMichel, j'aime beaucoup l'esprit de ton envoi. Le balancier, c'est bath : un coup Louis XVI, un coup Robespierre, un coup Bonaparte, un coup Louis-Philippe. L'équilibre à la française.
RépondreSupprimerJ'aime bien vos commentaires sur le balancier et ce que la notion recouvre, c'est riche, c'est diversifié, ça montre aussi à quel point notre langue est porteuse en elle-même de bien des incompréhensions car après tout que de significations différentes !
RépondreSupprimerQue l'on reste sur le strict point de vue mécanique ou pas, l'image est forte de ce mystérieux pendule nous emmenant d'un côté puis de l'autre en réaction, pour en revenir à la formation il me semble que les mots de DR n'étaient pas innocents : il faut s'attendre à un changement complet de doctrine . Et pour rester un peu sur l'image du pendule, espérons qu'à un moment donné il restera immobile "à l'équilibre" au fait savez-vous comment on dit "équilibre " en anglais ? : balance .
Sinon traduire swing ok mais qu'en est-il des autres traductions du balancier : pendulum, seesaw, backlash ? L'effet de balancier serait un pendulum swing back to the origin ...mais bon là je crois que je pousse le bouchon un peu loin https://www.youtube.com/watch?v=Bi5_Lb65ZjY
"Swing low sweet chariot"...
SupprimerMais tu montres bien que le futur du rugby n'est pas simple... déjà s'entendre sur les mots pour combattre les maux.
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerHello from Edinburg
SupprimerTemps magnifique. Chaud même. J'ai l'air d'un con avec mon manteau de pluie. Bref. Ce jeudi, c'est conf de presse. Gloucester puis le Stade Français, qui aligne la grosse équipe de types. L'équipe types, quoi.
Entre nous, j'ai lu que vous vous étiez bien lâchés sur le balancier. Il faut dire que c'est la demoiselle qui a commencé sur le balancier. Une demoiselle sur le balancier. Ca chante, non ?
A plus...
On attend de savoir si Papé a pris la présidence en l'absence de Savare qui a laissé son chèque à la DNACG ce jeudi. Et pendant ce temps-là, du rugby sous la tente, dans l'attente.
SupprimerGrosse équipe du Stade Français. Même s'ils alignent May, Afoa, Moriarty, Morgan en titulaires, Laidlaw et Twelvetrees sur le banc, Gloucester est un ton au-dessous question effectif. Mais les noms ne font pas tout.
J'ai testé pour vous l'hybride. Belle pelouse. Un billard, ce champ de Murray.
Bill se demande si sur "le golf en folie", on va rejouer "arrête de ramer", "sos fantômes", ou "monuments men" .
Supprimerhttps://youtu.be/x841k1NE60E
Franchement, Zarma, autant j'annonce Clermont-Saracens verrouillé, genre bataille duraille, autant le Paris-Gloucester Express va filer version Flight Scotsman.
SupprimerCroyez vous Monsieur le Vicomte que la demoiselle se soit ...envolée ?
SupprimerQuant à l'hybride, son utilisation n'est qu'une question de distance...
SupprimerStade Français/Gloucester : effets de va et vient ayant rendu l'approche difficile mais les amène quand même en finale. Sachant que les 2 sont en balance aussi pour un repreneur. Va bien falloir que l'aiguille s'affiche d'un côté. On espère que le Stade français va swinguer et pas que sur un coup de billard. Sinon, côté malt, l'aiguille affiche quoi ???
RépondreSupprimerEt pendant qu'on se balance, l'EDF apprend qu'au Japon elle sera dans la poule de la mort !! ( lire l'article d'Antoine sur Renvoi aux 22) ah quand ça veut pas, allez on y croit ? https://www.youtube.com/watch?v=QT9grfBBRqw
RépondreSupprimerAh non, pas l'équipe de France, non pitié. Pas ça, Sylvie, pliez... Pas maintenant. Savourons le pur malt. On aura le temps de penser au saké.
SupprimerPliz. Pas plié.
SupprimerHah oui, pliez votre yellow Word cup in your cartable avec la bombe pliz pour la repasser quand on en aura besoin.
SupprimerAllez la bizz pure malt
Zanlou, ô fée du logis, garde toi de repasser à la bombe pliz ! https://www.youtube.com/watch?v=fhI1zeDwoI0
Supprimerben oui,j'te jure, ou qu'on va !
SupprimerL'avions oublié cette brave cascadeuse....
"Et c'est tant mieux parce qu'il fait pas beau tous les jours",version Edinbourgeoise de la pub.
Allez les ménagéres
Point d'étape.
RépondreSupprimerCa fait du bien de passer un moment entouré d'intelligence, d'empathie, de sympathie, de sourire. Zero stress. Le Stade Français est en mode zen ce jeudi. Sergio Parisse et Gonzalo Quesada au zenith. Vingt minutes en tête à tête avec le coach argentin de Paris. Un gars super. Vraiment. Fluide, cool, ouvert. A mots choisis. A paraitre semaine prochaine sur le print, sans doute. Une vision personnelle et très interessante de l'épisode "fusion-grève-victoires"...
En attendant d'aller profiter d'Edimbourg by night.
Demain matin, Clermontois et Saracens seront à Murrayfield en milieu de matinée. Je vous raconterai. D'ici là, bon appétit à toutes et à tous.
Chance Richard have a fun. Bonne nuit d ivresse
SupprimerDiscussion rugby avec la jeune génération de journalistes télé autour de plats et de vins italiens. Le relève est assurée mais il lui manque juste un peu d'assurance. MLe fond est bon c'est l'essentiel.
SupprimerDay 2. Le soleil a disparu. On attend Clermont à Murrayfield ce matin. Puis les Saracens dans l'après-midi. On monte d'un cran. Deux fois plus de journalistes (40) en salle de presse.
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
SupprimerLe soleil est dans la tête des Clermontois (et sur leur maillot !) ??...
SupprimerPar contre, comment se fait il que les joueurs du SF n'étaient pas ensemble, à l'unisson pour l'entrainement du capitaine hier ? Ca fait pas très fusion... pour un titre !!
Bon ben il pleut. C'est l'Ecosse, aussi. On le sait. Oh, pas des trombes. De la bonne bruine. Alors on joue au pied, hein ? Cela dit, en mai fait ce qu'il te plait.
RépondreSupprimerJe dis bruine mais ça à l'air copieux...
Coup de massue au quart d'heure. Belle mêlée parisienne, bcp d'intentions mais interception de May, qui fait ce qui lui plait. Ca va être coton...
SupprimerViva Paris ici soirée rhum arrangée des nanas et du zook ...,
RépondreSupprimerMr Savare peut partir la queue entre les jambes ... Comme quoi l'effet balancier ça existe bravo aux joueurs et à Gonzalo ...
RépondreSupprimerIci radio Antilles à vous Cognac Edimbourgh 😂😂😂
RépondreSupprimerici le cognac j aie
Supprimeren ECOSSE ils ont le malt de tete
Sacré Tautor. Fais froid mais chaud au cœur. Victoire avec les tripes et de la grosse volonté. Tout passe par le centre. Et la mêlée. Edimbourg by night est à eux maintenant. Quand au prez et bien il peut effectivement rentrer gentiment chez lui. Il était en tribune. J'espère qu'il n'aurait pas le toupet de se vautrer dans la suffisance et se gaver d'un bout de gloriole. Encore que c'est grâce à lui et à Lorenzetti que le Stade Français est allé chercher ce titre européen.
RépondreSupprimerC'est vrai quand on y pense : sans la con-fusion, sans Jacky et Thomas, ce Stade Français n'aurait pas eu l'énergie née de la rébellion, cette force assumée sur le terrain après la grève annoncée, pour décrocher à l'énergie ce trophée... Comme quoi la vie parfois. Ceux qui vous veulent du mal sont quelques fois ceux qui vous font du bien...
SupprimerRitchie et Tautor : je vous trouve inutilement injustes et méprisants avec Savare.
SupprimerQu'il ait chercher une solution pour boucher le tonneau des Danaïdes qu'est devenu le SF avant lui et pendant sa présidence be peut pas lui être reprcoché. Que cela ait fait retrouver au joueur l'esprit d'entreprise est une excellente chose.
Je crois que la bonne question est plutôt pourquoi il l'avaient perdu. Comme leurs collègues du ST...
Il est vrai que nous sommes dans un pays où la richesse et la réussite sont suspect, a priori ...
Vincent,
SupprimerRichesse et réussite me laisse de marbre. A chacun ses problèmes .....Celui de Mr Savare est de disposer de ses employés à son gré ou pas. Nous le vivons dans le monde économique avec les fonds de pension qui quittent le navire pour pour un autre cuirassé plus rentable .... Ne faudra t-il pas avoir un autre regard sur le monde de l'entreprise dans le rugby pour éviter que des clubs soient la mane d'un riche lunaire, d'un émir ou d'un fond de pension ? Sommes nous prêts culturellement à ce mode de fonctionnement comme au Réal, Manchester, etc .. et autres sports de riches ? Que deviendra alors le monde amateur ? Comment va t-il survivre et avec quels moyens ? Implanter le rugby dans l'émirat pour récupérer de l'argent est ce une priorité ? N'est ce pas l'aveu d'une faiblesse notoire que de n'être point capable de cultiver son jardin ? A méditer. Une chose est certaine c'est que la révolte des "Sans Culottes" a porté ses fruits !
Les écoute pas Vince : c'est des communisses ! y'en restait deux et v'là qu'on se les récupère en plein congrès . Pourtant à les voir tirer sur leurs gros cigares on n'aurait pas cru . Réflexion faite c'était peut être des Cubains infiltrés ? 💣💨💨💨
Supprimerje revendique mon appartenance à la "Habana Tobacco Company" institution faites de puros de tout bord !!! Même en étant riche, le rugby véhicule encore quelques valeurs dont celle de l'élégance et du cœur contrairement au monde de la finance. Ne pas avoir d'état d'âme en tant que Président de club c'est bien inquiétant, la politique est d'ailleurs là pour nous le rappeler aussi !!! Donc vive le rugby champêtre.
SupprimerEcoute, à Grenoble on a connu le coeur et l'élégance de Serge Kampf qui appartenait au monde de la finance pourtant ! Lui disparu pfuitt ! Tout s'est envolé, les valeurs comme le reste . Ca aide bien à comprendre le rugby, et ses moeurs actuelles, c'est un monde dur et âpre . Beaucoup de joueurs plus sensibles peut être y ont laissé des plumes .
SupprimerMais je suis d'accord avec toi sur le rugby champêtre .
SK était une exception ... a été mécène sans être Président de club.
SupprimerPire la vanité infructueuse de 2 présidents de mes deux a permis au rugby français de montrer que dans la colère et le combat on peut écrire de belles pages de l'histoire du rugby... Respect Messieurs
RépondreSupprimerSavare a juste eu le droit de faire une fois de plus le chèque attendu ; et maintenant on lui dit gentiment "ta gueule ! " ? Faut pas s'emballer ce n'est que le Challenge européen, disputé devant des gradins quasiment vides, avec des sales coups - bien aimé les commentaires de Bonneval sur le vice des deux équipes enfin quand je dis "aimé" ... la crise de nerf de Camara, le joueur qui s'essuie les crampons sur le visage de Moriarty ...que c'était moche ! Gros progrès de Plisson ça fait plaisir, excellent Slimani . J'espère que Fabien Galthié regardait le match il aura pu voir que Doumayrou lui aussi est en train de se construire une vraie carrière mais à part FG qui en doutait ?
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SupprimerGariguette, 1000% d'accord avec toi.
SupprimerDes joueurs qui sont payés pendant 10 mois et qui se la coulent douce puis quand ils voient que leurs emplois sont menacés, font grève d’abord et se mettent à jouer à la mesure de ce qu’ils sont payés. Je trouve cela désolant.
Savare a bouché les trous pendant assez longtemps. Les joueurs étaient des professionnels et vont « au boulot ». Dans un travail, normal quand tu ne fais rien pendant 6 mois, t'es vite repéré et soit mis à pied soit viré.
Bien gentil, Savare de ne pas avoir arrêter de payer plus tôt.
Pour moi, calquer l'esprit amateur sur du professionnalisme est juste troublant.
Ce que je reproche, c’est que les joueurs se sont pris pour des divas. Mais derrière toutes ces divas, il y a aussi des anonymes qui auraient pu perdre leur boulot pour certains et leur club et leurs passions pour d’autre.
Je tirais plus sur les joueurs qui si ils avaient été professionnels comme ils le disent maintenant, seraient au minimum 6ieme.
Désolé je ne suivrais pas la voie de tirer seulement sur Savare même si il a lui même eu un énorme défaut de communication et qu'il n'a pas compris (comme beaucoup) qu'il ne faut pas gérer des hommes comme des machines.
D'ailleurs quand je vois ce nom de "Ressources humaines" comme si les hommes étaient des ressources....
Enfin, ils ont puisé dans leurs ressources. Et il y en avait... Z'ont su retourner à la source? la "bande d'abrutis".
Supprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=1RMwjsV0ZYE
Ouaip,inutile.
RépondreSupprimerAllez, un qui va être utile à l'ombre des volcans,c'est le Rabha, non ?
c'est ben vrai ça ! j'ai été très impressionnée aussi par Moriarty, dommage il ne pourra jamais jouer à La Rochelle ...
SupprimerL'impression que cela me donne c'est que Savare est venu se " perdre " dans le milieu du rugby pro en reprenant un club qui était très très mal en point
SupprimerL'erreur de la fusion , ça en est une ne justifie pas pour autant de traiter ce Monsieur de la sorte
Faut se rappeler des faisans foireux que Laporte avait trouvé avant que le Père et le fils Savare viennent s'y coller
Revenons au match... discipline discipline et petite générale pour se défouler... peu de fautes du SF et un Parisse chef d'orchestre de gala. Avez vous vu comment sur les deux derniers matches le petit Plisson a fait des trous dans la défense britannique? Petit coup de pied par dessus la ligne de défense, du cousu main à l'ancienne... putain de balancier!
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RépondreSupprimerLou caqué du papé... n'a pas fait pas glousser des Cherries, moins pragmatiques et "rentables", pour une infusion réussie après une macération difficile. De l'alternatif, mais du courant quand même. Pas sur qu'au golf ça suffise... Mais tant qu'il y a des victoires, y a de l'espoir et avec des figures de proue comme Parissé et Papé... Le tonneau des dannaïdes a finalement été rempli. Gaffe au vieillissement, maintenant.
RépondreSupprimerAimé moyennement Plisson pas toujours à l'unisson, qui se fait intercepter et lache des points au pied. Gros match de la 3e ligne et grosse erreur défensive anglais sur l'essai de Dumayrou qui tautoréé bien sur le coup. Olé. Excellent arbitrage également et de bons commentaires de Cazalbou, au dessus des autres.
Dommage qu'en France, il faille tjrs être au pied du mur pour tirer une quintessence.
Reste à voir si Clermont va poursuivre jusqu'au bout son bonhomme de michelin, deeeu mi chemin (non pas ça), de chemelemele, bref conclure, quoi. Pour maintenir au beau fixe.
GLOUCESTER s est enmele
RépondreSupprimerle STADE melee en exergue
tout ce meli melo mela(garriguette) melu pas cru 2 mois auparavant
savare festoyer copieux
savare surtout picoler grave ! d'abord glousser après se taire ? 😉
SupprimerMon Dieu seigneur-Jésus-Marie-Joseph!
SupprimerEt on leur confie des enfants, core heureux que c'est pas dans le Sussex !
Allez,pourquoi quipouraitpas jouer à Deflandre, Moriarty,Sherlock part à Toulouse 😆
hé ben t'as mis le temps ! bon sinon j'avais encore un indice : il ne pourra pas non plus jouer à Bath, elle est bath hein ? 😎
Supprimerc'est là que le bath blesse, l'humour Ecosse Tic
Supprimeroui ben s'cuse a moin,n'avait d'la bricole,on finira par pû avoir de vie d'homme à c'heure.
SupprimerSinon, Bath....,Leslie p'têt?
Allez Roger ( ou Val )
à Bath c'était Watson, autre ennemi juré de Moriarty avec Holmes bien sûr ... la coincidence était trop belle 😎
SupprimerAh yessss, suis pas un espécialiste de Bath, à part Ford et Faleteau,je voyais que notre ami Charteris, un peu dapilotracté, non?
RépondreSupprimerAllez,m'arrive du monde, bon match les z'enfants.
Hello !
RépondreSupprimerNew day !
Samedi de Heineken, pardon, de Champions. Faut faire mode en Ligue. Stade plein ou presque. 55 000 pour 67 000 places assises. Mais ça ne se voit pas, c'est par paquets de 3 ou 4 places vides. Le chauffeur de salle est nul mais bon, il hurle écossais alors on n'est pas obligé de comprendre... Il y a des milliers de fanions jaunes. Clermont a gagné le match des supporteurs. Haut la main.
Bravo pour le match gagné des supporteurs !
RépondreSupprimerPour le terrain rien à dire et les jeunes 2'eme ligne Clermontois ont pu mesurer ce qui les séparaient de Itoje et Ruis ...
Belle résistance de nos Arvernes qui nous ont laissé croire au succès jusqu'au bout .... hélas la réalité fut tout autre ou le physique, la vitesse de jeu ne fut pas à leur avantage malgré 2 essais bien construits ... sortez Yato Lee Abendanon et l'ASM n'a plus tout à fait le même visage ... constat de dire que trop d'étrangers dans nos équipes faussent l'image du potentiel existant de joueurs français ... journée champêtre en Lomagne sur le "Parcours du coeur" avec Jean Louis Dupont, Max Barrau et Serge Gabernet .... très instructif d'écouter Serge, Professeur d'EPS, qui a une vision des jeunes et du rugby actuel décapante ... nous avons parlé formation bien sûr, EDF et ST ..... pour la formation la critique fut salée avec un joueur posé, réfléchi et constructif loin du système fédéral, relayé par ses 2 pots ... très proche de l'intelligence situationnelle ... et très éloigné du rugby contact improductif ... pour l'EDF la conclusion est corrélée aux résultas pas le niveau ... et quant au ST, c'est le noeud de vipères .. Serge pense qu'il faudra entre 5 à 10 ans pour revoir du haut niveau et ce n'est pas le retour de Guy comme Président d'ici 2 ans qui changera les choses .... bref du pur jus avec 3 amis qui ont ouvert leurs cœurs pour ma plus grande joie et qui ont parlé du bataillon de Joinville et de quelques histoires de terrain à mourir de rire ... sont ok pour rejoindre les Quinconces et venir à Treignac pour parler du rugby tel qu'ils le vivent ... une journée de privilégié ou le coeur a ses raisons que la raison ne connait pas. En direct de Beaumont, à vous Edimbourgh !
RépondreSupprimerTautor pourquoi 5 à 10 ans.quels sont ses arguments ?
SupprimerUn avis éclairé est toujours bon à écouter merci
Le ge
Michel message passé à Jean Louis 😉
RépondreSupprimerMerci cher ami, je suis en pension chez Elisabeth Casteret et André Mangeard. Le monde est vraiment un timbre poste. On t'embrasse
SupprimerMerci cher ami, je suis en pension chez Elisabeth Casteret et André Mangeard. Le monde est vraiment un timbre poste. On t'embrasse
SupprimerUn timbre qui passe par le Maroc 😉
SupprimerBises à vous trois
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SupprimerJournée terminée. Demain réveil à 4 h du mat. Pas sûr que j'aille me coucher... Clermont battu partout sauf dans les tribunes. Max B et Serge G, belles recrues pour le prochain Treignac. A peine partis que nous pensons déjà à y revenir. Bon signe.
RépondreSupprimerEdimbourg ? J'ai pris du plaisir à regarder les Russes, puis impressionné par le jeu des Saracens. Un cran au-dessus de tout ce que j'ai vu jusqu'àlors dans une finale. Précision chirurgicale. Un régal.
A demain si vous le voulez bien.
quel beau match et du suspense malgre limpòsante domination anglaise clermont a la hauteur sur le pavois mais pour s emparer du trone il y en manque
RépondreSupprimerNEVERS terrasse CHAMBERY grace a sa botte
J'avais vu le match aller par hasard , très agréable à suivre , beaucoup plus de mouvement qu'en Top 14
RépondreSupprimerAh zut,la PME savoyarde m'était plus sympa que la multinationale bourguignonne!
RépondreSupprimerAllez, bon Dimanche
Ben voilà, des Michelins qui ont encore déjantés avant d'arriver au bout. Faut dire qu'en face y avaient des démontes pneus plus vifs et gaillards (sauf les 2 fois où ils se font prendre). Pourtant, ils avaient la meilleure clientèle en tribune, mais pas le meilleur produit. Sur que les Sarries ont de la gomme pour voyager. Quelle vitesse d'exécution et précision, surtout derrière. Par contre, trouvé plusieurs fois limite leurs actions de leurre ou ça arrivent a contact de défenseurs. Et ils le font bien.
RépondreSupprimerFaudra continuer à conjurer le sort pour les clermontois, pour le travail final à finir en T 14.
Après, vu 1/2 finale Pro D2 Montauban/Mt de Marsan où les T. et G. ont costamment mis la pression sur les landais. Cru apercevoir Georges en tribune (vision fantomatique ??)...
Sinon Tautor, recruteut du RC Qhuiconces ?
j'ai fait comme beaucoup d'abonnés, dont je ne suis pas, suis resté devant la télé, et en plus tout était plein...
SupprimerImpressionnants ! Precis dans les trajectoires les Sarries ... precis dans tout d'ailleurs
RépondreSupprimerSinon la succession de Parra à Clermont c'est qui ?
Laidlaw, non ?
SupprimerCette impression de fluidité,de cohésion à part qui vous savez et l'Australie des années 90, j'ai pas souvenir.
Si ce superbe Clermont n'y a pas laissé trop de plumes et garde ce niveau le bout de bois est bien parti pour la place de Jaude cette année.
Allez Chevreuse
Oui Laidlaw ! Pas très jeune ! Si j'étais eux je regarderai Serin , plus jeune et tant qu'à faire jouerait avec son compère de l'équipe de France
SupprimerJe l'ai trouvé bon d'ailleurs Lopez
Je leur souhaite comme de nombreuses fois de ramener le bouclier
J'aime le jeu de cette équipe manque un 9 plus rapide et un leader devant
Incontestablement il à pris de l'assurance Lopez cette année et c'est tant mieux.
SupprimerParra n'à jamais vraiment été bousculé à Clermont, c'est peut être un élément parmis d'autres à leur petite vitrine.
Une suggestion, comme ça, tiens, le premier du classement ne mériterait il pas un p'tit hochet de consolation,un bout de bois à conserver qu'on appellerait trophée Du Manoir par exemple ?
Allez, j'avais pensé "Zan Lou de l' année" mais bon, les jaloux,,les envieux....
Hello,
RépondreSupprimerje viens de passer un moment avec Pierre Berbizier, Laurent Travers, Dimitri Yachvili et Guy Accoceberry (3 9 et 1 2). Demain dans le print sujet sur le jeu des Sarries. Eclairant. En particulier, François, sur les courses. Vous m'en direz des nouvelles. Pour l'heure je boucle une consultation pour le site Lequipe.fr, file sur RTL et vais voir Alien : Covenant. Convenue, cette suite Scott ? A suivre...
Sauf que sur le terrain, c'était pas de la science fiction...
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