Héroïque, certes, mais surtout paradoxal... Après plus d'un siècle d'existence, le Stade Rochelais est devenu, samedi dans un stade vélodrome de Marseille en fusion, le champion de la compétition la plus ouverte. Héroïque dans la forme prise par ce succès, et paradoxal tant ce club cultive la discrétion, pour ne pas dire la mise au secret. Ainsi, à ses premières grandes heures, dans les années 1960, renforcé par un quarteron de Basques montés dans le Nord pour y trouver fortune de mer, il s'était hissé à trois reprises en quarts de finale du championnat de France - battu à chaque fois par Dax, qui a aujourd'hui disparu de l'élite - et cela semblait s'accorder à ses vertus.
Son palmarès comptait deux Coupes de la Ligue, en 2002 et 2003, défunt challenge de faible renommée, mais surtout trois titres de champion de France juniors acquis en 1971, 1973 et 1974 avec des équipes composées uniquement de jeunes joueurs de cru, jusqu'à aligner un peu plus tard en équipe première une ligne de trois-quarts à nulle autre pareille si l'on considère que les frères Désiré, Elissalde et Morin étaient tous natifs de Port-Neuf, ce quartier de La Rochelle où est situé le stade Marcel-Deflandre.
Après avoir flotté dans le milieu de tableau de la ProD2, mais toujours soutenu par un public fidèle, le Stade Rochelais a remonté le courant contraire, marée après marée. Géographiquement enclavé, éloigné des zones d'achalandises du rugby, hermétique au modernisme, suscitant rarement l'intérêt des médias, le Stade Rochelais n'avait aucune chance d'attirer un mécène. Mais ce qui constituait alors ses limites est devenu son point fort.
Sous la férule de son ancien flanker Vincent Merling devenu président, le Stade Rochelais a fédéré un demi-millier d'entreprises locales puis régionales, multiplié par trois son affluence en agrandissant son stade désormais à guichets fermés, et recruté sans discontinuer des sans-grades, puis des oubliés, et enfin des internationaux étrangers de renom en fin de carrière, avant d'être à même d'attirer des Tricolores en mal de temps de jeu.
La saison dernière, deux finales malheureuses préfiguraient ce sacre européen extrait au forceps sur la ligne d'avantage, final étouffant devant l'en-but irlandais soudain assiégé. Cet épilogue à suspense raconte la conviction mise à détruire la confiance d'une équipe du Leinster largement favorite et à bon droit considérant son parcours. Aux plaquages désintégrants qui éparpillèrent le jeu irlandais naguère si bien assemblé, à l'essai initial de Raymond Rhule inscrit au grand large dès la 12e minute, succédèrent les coups d'étrave au ras des rucks. Ils percèrent deux fois la ligne bleue, par Pierre Bourgarit à l'heure de jeu - toujours un moment clé - puis par Arthur Retière juste avant cette sirène libératrice.
Par l'inexorabilité de son jeu axé sur le défi frontal parfois contrebalancé par des jaillissements en bout d'ailes, par la puissance de son pack déterminé à briser patiemment les velléités adverses, par ses mâles certitudes au combat, et une solidarité sans faille quand le vent contraire frappe sa proue, le Stade Rochelais modèle 2022 ressemble à s'y méprendre, et pas seulement sur le terrain, à l'AS Béziers qui domina le rugby français des années 70.
Certes vertueux, le Stade Rochelais n'échappe pas à la loi d'un marché qu'il domine en maîtrisant les subtilités du "salary cap", garde-fou budgétaire mis en place pour éviter les dérives. De cette équipe construite pour vaincre droit au but, s'exileront à la fin de cette saison le demi de mêlée-ailier Arthur Retière, héros de Marseille, mais aussi le pilier Dany Priso, l'ouvreur Ihaia West - alors qu'il a enfin trouvé la bonne carburation après trois saisons de tâtonnement - et le centre Jérémy Sinzelle, joueur-clé du vestiaire et couteau suisse. Ainsi va le rugby professionnel, froid et sans grâce.
Par le plus grand des hasards, le Top 14 nous offre dimanche prochain à la tombée de la nuit une opposition de gala entre le vainqueur du Challenge européen et celui de la Coupe d'Europe, un Lyon - La Rochelle dont on peine à imaginer le contenu après les diverses célébrations qui n'ont pas manquées d'inonder les gosiers sur les berges du Rhône et les bords de l'Atlantique. Un choc à bascule dont l'issue s'annonce cruelle puisque, derrière Montpellier, Bordeaux et Castres déjà qualifiés pour la phase finale, La Rochelle, le Racing, Toulouse, Toulon, Lyon et Clermont, séparés au classement par cinq points seulement, luttent au finish pour s'arracher des mains les trois tickets d'entrée. Nous n'avons pas fini de vibrer.
Quand on regarde la carte de France et que l'on relie par une droite La rochelle à Lyon en passant par Clermont et en poussant jusqu'à Chambéry, on s'aperçoit que cette droite est parallèle à une autre partant de Dax à Béziers en passant par Mont-de-Marsan et Toulouse. Le Rugby remonterait-il doucement vers le Nord?
RépondreSupprimerLe nom du champion de France 2022 nous en dira davantage...
SupprimerJournaliste pour ta première page
RépondreSupprimerTu peux écrire tout ce que tu veux
Je t'offre un titre formidable
La balade des gens de "Marseille Deflandre"
Allez Vincent, la classe.
Deflandre à guichets fermés pendant encore de longues années.
SupprimerAu fait, le rhum arrangé que tu m'avais si gentiment offert lors de ton passage à Palaiseau fait l'unanimité. Ananas, miel mais toujours pas identifié les feuilles. Si tu as des infos à ce sujet, je suis preneur...
SupprimerDes feuilles de la Réunion…zamal? :-)
SupprimerNon pas celle la !
SupprimerSinon Richard c'est comme pour les champignons, mon fournisseur trahirait ses ancêtres, secrets de famille.
Allez, m'en reste un peu Pom, ne traînes pas!
Après être passé l'année dernière 2 fois par-dessus bord, La Rochelle revenue en force a résisté au pas de charge du Leinster pour hisser enfin son drapeau noir sur la marmite européenne et faire rire jaune les buveurs de Guiness. Et Leinster boit la tasse. Une tasse fort de café pour les Irlandais et une belle satisfaction pour l'opiniâtreté Merlingoise, il est vrai ancien flanker (ça se dit encore ce terme ?). Voilà quand on cadenasse leur jeu qui reste trop stéréotypé même si plus rapide, il n'ont pas cet instinct de créativité qui pourrait leur permettre de rebondir. Une marque plus française... Aux finales, Avec le LOU, un coq bien droit dans ses baskets qui peut faire prêter les ergots. Les sirènes étaient et sonnaient bien françaises.
RépondreSupprimerUne sirène à bon port
SupprimerPas prêter, mais Péter les ergots...
SupprimerDes irlandais cédant au chant de la sirène, c’est comme le pont trop loin de la phalange toulonnaise : fallait pas être ce favori qui, pensant d’un pas allègre grimper la cime de Charybde, se retrouve englouti dans la gueule de Scylla.
RépondreSupprimerC’est ainsi : l’euphorie solidaire solidement attachée au mât de ses certitudes ( “De retour au port d'un voyage lointain, Il ferme les yeux, il se souvient, D'une sirène, et de son chant divin…”) a raison de la mélancolique mélopée, ces bras puissants d’une mer irlandaise pour le coup pas très maternelle, ce baiser de la mort par étourdissement.
On en serait même à se demander si le Greg’s (keen, pour le coup) band, averti du risque de s’échouer contre les rochers de la 80ième, ce jeopardy ( “Don’t let go while I’m hanging on, ‘Cause I’ve been hanging on so long” ) n’avait pas cette envie d’étirer son beau voyage, jusqu’à ce que la sirène, magnanime, lui susurre à l’oreille qu’il était bien finalement, héroïque et fort, cestuy-là même qui conquit la toison.
Toute honte bue, entre autres, j'avoue avoir été le pénible de la soirée.
RépondreSupprimerJe n'y ai jamais cru, ni avant, ni pendant.....79 mn!
Arriver aux citrons en collant au score était déjà un miracle , avec un ballon confisqué, des lancements irlandais millimétrés face aux rares attaques jaunes plutôt foutraque.
Enfin le planchot mérité par les vaillants rochelais qui n'avaient que leur agressivité à vendre , pas le vrai vu qu'a trois minute du sifflet on refuse les points et un renvoi à venir.
Insulte au jeu, sanction ,7/12 c'est moins bon pour le teston que 10/9
La suite n'est pas rassurante,il va gagner petit le Sexton, tranquillement, de pénalité en pénalité, naturellement.
L'essai de Bourgarit, oui, bien mais à cause de l'autre grand couillon qui se croit dans une cour d'école on se retrouve à 14, c'est mort pis c'est tout!
Un brin exaspérés les copains tenteront bien de m'expliquer que le débat s' équilibrant rien n'était perdu, que Danty avait des trucs a dire dans l'oreille de Sexton, qui n'aimait visiblement pas,rien à faire.
Les dix dernières minutes, bof, un baroud d'honneur, la même connerie qu'avant la mi temps,des percussions même sens a n'en plus finir, toujours sur la bonne épaule du défenseur , ça finira aux mieux par un en avant, au pire et comme souvent par un contre de 100m,j'ai déjà vu le film !
Et Retiere, tu l'avais déjà vu aussi, nigaud, tiens, mange un samoussas ça nous reposera !
Allez, cette histoire va me poursuivre dans le Landerneau, je le sens, ça a déjà commencé.
Mon cher Jan Lou, j'aime ta franchise. Je crois que tu résumes très bien ce que nous avons été nombreux à ressentir. J'étais avec trois amis devant ma télé (en vacances, j'ai cette chance de pouvoir regarder un match sans avoir a écrire dessus) et nous avions ce sentiment de gachis (trop d'obstination), de bétise (carton jaune), de mauvais choix répétés par les Rochelais, de pénalités encaissées au-delà du raisonnable (j'ai arrêté de compter à 16, mais il doit y en avoir davantage). Et puis cette glissade d'Arthur Retière, ce croche-pied involontaire d'un partenaire et hop, le bras qui s'allonge sous la défenseur médusé, car lui même feinté... Il faut croire que la force d'un groupe de joueeurs, d'un club, d'une ville sans doute aussi, est supérieure à beaucoup de paramètres raisonnés. La magie du sport d'équipe, en fait.
SupprimerFaut reconnaître qu'on ne donnait pas cher des Rochelais, même avec toute la bienveillance possible; et le début de match supersonique du Leinster, comme en demi-finale, confirmait les craintes.
SupprimerMais bon, le jeu est ainsi fait que le Leinster s'est laissé entraîner à la jouer trop facile, et que 2 minutes avant son essai, je gueulais sur Retière qui venait cogner son impressionnant physique sur les bords de ruck au lieu de rester patient; sauf que... heureux les obstinés !
Une fois de plus, la preuve que ce jeu comporte une grosse part de mental, alors que sur le papier et après la saison qu'ils ont eue, les Rochelais étaient censés céder physiquement devant des Irlandais bien plus frais. Sauf que... y'avait mentalement plus costaud encore.
Grosse promo sur les pénalités certes, mais avec ce choix de jeu c'est toujours le prix a payer.
SupprimerL'erreur de Sexton fût de penser que ça suffirait.
Quant ils ont compris c'était trop tard, la dynamique et la balle étaient rochelaises.
Allez Chevreuse
"Grosse promo sur les pénalités" ah ah j'adore. Belle trouvaille
SupprimerMerling l'Enchanteur,
RépondreSupprimerun peuple, une ville, ont une histoire, La Rochelle, huguenote, n'échappe pas à son destin. Elle est loin d'avoir fait "les 400 coups" de son aînée Montauban qui mit Louis XIII en échec. Mais l'épopée est celle d'une cité terre-mer qui a su attendre son heure pour obtenir l'étoile du sacre. La semaine passée, j'étais donc en Lomagne fêtant les 50 ans de rugby du club. Curieusement et naturellement, la journée fût celle des joueurs reléguant entraineurs et dirigeants au second plan. Une petite maladresse quand on sait que toute l'histoire d'un club repose sur la vision et la ténacité de quelques uns. Aussi La Rochelle a son "Chevalier de la Table Ronde", son Arthur (Retière) en la personne du prophète, magicien, Vincent Merling, né du pertuis d'Antioche, brandissant l'Excalibur pour créer "la table de l'Aunis" et le royaume de Deflandre. Un vrai conte, celui d'un homme qui a tout donné à son territoire comme joueur, dirigeant, et Président depuis 1991. Comme un café gourmand, il a su torréfier les grains avec patience et professionnalisme, pour créer une mouture iodée, saline, puissante et gouteuse à souhait. Il a conquis le royaume de l'ovale, sans béton, ni Gaillac, a fait des choix providentiels en allant chercher le plus celte des français d'outre manche, le druide Ronan, légende vivante qui a obtenu le Graal hier soir. "L'Enchanteur pourrissant" d'Apollinaire est une genèse nouvelle de la poésie, en sept chapitres, consacrée aux romans de la Table Ronde l'énonçant ainsi "De longtemps, la terre ne portera plus d'enchanteurs, mais les temps des enchanteurs reviendront." Ce fut le cas hier soir. Merci Monsieur Merling.
Et un Irish coffee pour Merling
RépondreSupprimerExcellent
Supprimerles ergoteurs... quand tu as un pack de ce calibre genre T34 ammelioré, tu t'organises et avances avec ce moyen en lui faisant confiance jusqu'au bout, et comme le 10 n'a rien manqué face aux barres même quand il était du bord de touche, à la fin tu touches le Graal!
RépondreSupprimerDans leur Landerneau à eux, les rochelais n'ont pas eu besoin du vent pour écouter comment faire, comment on voudrait gagner, y a que Dylan (dit l'âne🤣) qui savait pas. Ils se le sont dit dans la semaine précédent l'heure des comptes (dixit Aldritt), finalement plus affamés que les leinstermen. Et au bout du bout, ils ont gagné leur jeopardy. Géopari réussi pour ramasser cette coupe. Même si ça s'est pas vu d'avance on prend quand même, hein. Surtout 3 essais à rien, que ces peines alitées les ayant tracassés et quand même un arbitrage compliqué à suivre... Haddad et Berjon ont su hisser le local à la hauteur de l'évènement et remplacer à leur main les titulaires blacks Vito et Ker-Barlow. Même Retière a signé ses adieux avec son dernier putt. Et Aldritt, sacré barreur.
RépondreSupprimerL'océan s'était déplacé au bord de la Méditerranée pour ce sacre sur le tapis du Vélodrome. Une consécration développatrice après 3 finales perdues, LR étant en Pro D2 il y a encore 8 ans. Tiens, et le Servette RC de Genève qui monte de division (F2) pour la 8e fois de suite depuis 2014...
Et avec la victoire du LOU et Toulon finaliste, les bulles sont bien françaises dans les coupes. Reste maintenant l'issue du T14, et voir si les rochelais auront assez de longueur en bouche pour aller vers le doublé...
Et c'est un pur bonheur de goûter encore à cette fameuse incertitude du sport,de plus en plus rare.
RépondreSupprimerAllez, glorieuse surtout
j'ai adoré les 5 dernières minutes ; et j'en suis ressorti crevé d'avoir poussé avec eux ....ahahaha
RépondreSupprimerJe viens de voir une vidéo de Jean-Baptiste Lafond dans Rugbyrama: amusant.
RépondreSupprimercomment diable ces rochelais ont ils pu enrayer la partition du leinster
RépondreSupprimerville assiegee elle a su colmater les breches et au final effectuee une sortie du port renversante
l inusable Sexton a lance un SOS mais la voie d eau lentement a fait sombrer le navire amiral Irlandais
grosse performance des joueurs et de leurs fideles supporters
ils sont dans la cour des grands
peut on esperer une finale du top 14 contre le lLOU
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SupprimerCela va être compliqué puisqu’ils ont la fâcheuse idée de la jouer ce WE avec 3 semaines d’avance.
SupprimerLes Rochelais ont commis toutes les fautes possibles pendant 1h20 à tel point qu'avec 18 ou 19 pénalités contre eux ils étaient condamnés à perdre. Mais leur obstination collective a prévalu dans les dernières minutes.
SupprimerPour te la faire courte, Allan. Ah l'esprit d'équipe ! Et puis Tetiere glisse, tombe et passe sous le défenseur à son corps défendant (ah ah). Et trouve la lucidité et la vivacité pour tendre le bras. Il ny avait pas un centimètre de trop.
SupprimerSinon, des images du foot ce W.E. encore pas très salutaires et salvatrices rapport à l'organisationnel. Si pour la coupe d'Europe, il y a eu un recours tardif à St-Denis du fait des évènements en Ukraine, à St-Etienne des débordement anormaux. On le voit moins dans le milieu ovale (à haut niveau) mais intérêt de surveillance et anticipation pour 2023.
RépondreSupprimerEt encore une fois, les instances la jouent covid ou guerre en Ukraine pour savoir ce qui s'est passé exactement...
Quant aux futures candidatures françaises... va falloir être baucoup plus convaincant et probant.
Grand match de tennis hier soir ou comment Nadal dans le 4e set revient de 5 jeux à 2 avec 2 balles de set contre lui à 7/6 pour gagner à 35 ans.
RépondreSupprimerTout à fait exceptionnel malgré sa soi disante maladie génétique rare, le syndome de Müller-Weiss qui n'est autre que l'osteonécrose du scaphoïde du pied, le symétrique du poignet. Sûrement trop d'infiltrations plus qu'une dégénérescence génétique et une malformation plantaire à la base. Bon, il reste un grand champion et l'a prouvé hier soir avec un mental d'acier, des coups gagnants de ouf, une vision du jeu et un adversaire au top lui aussi, tout ça sous l'égide d'un arbitre français impartial. Ainsi, le sport devient beau, captivant voir lunaire vue l'heure tardive et la fraîcheur dans les tribunes.
Par ailleurs, cette programmation financière imposée par Amazon m'écœure littéralement. Toute cette machination est le parfait reflet du monde qui nous mène à la perte. Je viens de lire les réflexions d'Isabelle Autissier dans le dernier Télérama reçu hier et cette volonté de mainmise pour toujours plus de profit représente un archétype de ce qu'il faudrait abandonner afin de penser la vie autrement comme elle l'exprime parfaitement. Je ne suis pas un fervent défenseur de cette idée d'égalité qui nous fait croire que nous "avons droit", par exemple. Il n'y a pas d'égalité, il n'y a pas de droit, "comme çà". Il y a, par contre et certainement, un devoir social d'équilibrer les choses. Là, cette imposition financière ne fait qu'enfoncer le clou d'un vieux monde esclavagiste. Tout dit qu'il faut impérativement changer et les puissants, les amateurs de domination, continuent imperturbablement leurs manipulations délétères. Je me demande bien quel plaisir il peut y avoir à sélectionner une population sur des critères essentiellement vénaux tout en privant, comme tout les grands champions l'ont dit, la plupart des enfants (et les vieillards) de la vision de ce match. Et même si, parait-il, on pouvait le voir gratuitement en passant sous les fourches caudines d'une obligation à s'abonner, comme une sorte d'encartement. J'ai préféré, pour ma part, suivre l'évènement à l'ancienne, c'est-à-dire à la radio.
RépondreSupprimerAndré
SupprimerC'est fini la TSF. Tu as du te tromper de canal !
Mme Autissier feind de découvrir l'enfant Jésus, elle, l'écologiste des mers, qui a fait le tour du monde à la voile en solitaire avec PRB (produits de revêtements bâtiment), voilier de 60 pieds, elle n'a pas craché dans la soupe des sponsors, ni après ni avant d'ailleurs. Effectivement, à son âge, la sagesse prend le dessus, histoire d'avoir une belle toile cirée. Elle s'émeut du règne de de l'argent. Ingénieur agronome, écrivain, commandeur de la légion d'honneur et de l'ordre du mérite, écolo bobo, elle ferait mieux de relire l'histoire de nos civilisations gréco romaines, égyptiennes, étrusques, etc ou l'argent était synonyme de puissance. Rien n'a changé sauf la TSF et sa culture.
Le belle Isabelle n'est pas une redoutable révolutionnaire avec le couteau entre les dents, Tautor, pas d'inquiétude !
SupprimerElle dénonce seulement les dérives d'un système naguère prospère mais qui épuise la planète aujourd'hui par la cupidité de certains.
Allez, elle montre la lune, ne regarde pas le doigt!
Drôle de lune la d'âme, sans parler du doigt.
Supprimer..."comme tous les grands champions l'ont dit,"...Gasquet en tête, mais aussi, à leur façon, Djoko, Nadal et les autres. Quel plaisir surnuméraire peut-il y avoir, en sélectionnant une certaine caste, de se dire que l'on en fait partie. Le match en sera-t-il plus beau? Je plains Amélie Mauresmo d'avoir débarqué à Roland Garros au moment de ce coup de Trafalgar. Mais, au fond, peut-être en est-elle complètement partie prenante et favorable. Je ne sais pas.
RépondreSupprimerNous pourrons au gré des tournois et coupes de ballons ronds ou ovales, de balles de tennis en balles de golf, de tour de France en classiques, de championnats du monde en jeux olympiques, faire et refaire le monde en long en large en travers en cinémascope et de commentaire en commentaire s'indigner de ceci ou de cela, il est déjà trop tard, bien trop tard, plus le choix d'accepter ou rejeter ceci ou cela, comme le disent bien Nadal et Djoko ce sont les diffuseurs qui décident puisque ce sont eux qui payent, à part ça quoi rajouter ?????
RépondreSupprimerNotre rugby n'échappe pas à l'époque, voir le top.14 qui arrive dans ses phases finales avec des cohortes de gladiateurs qui ne rêvent que de vacances et reposer un peu leurs corps, outils sollicités au supra-maximum et que l'on s'étonne, au gré des aléas, de voir plier casser renoncer, épuisés et vidés, mais je vais vous dire, le diffuseur mais alors il s'en tape de tout ceci, royalement et royalties comprises allais-je écrire, sur ses lignes de comptabilité pas de chapitre pour l'humain, épiquoi encore c'est déjà pas assez compliqué ??????????
Amélie, que par ailleurs j'apprécie beaucoup, dans le système, et même avec sa sensibilité et ses valeurs, aucun moyen d'y échapper, ou plutôt si, bien sûr, ne pas s'y mettre dans le système, mais là !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Aussi, il existe un moyen pour pas adhérer à ce que l'on exècre, pas regarder, pas s'y intéresser, mais est-ce bien raisonnable de se faire tant de mal, je ne sais, perso malgré tout je reste accro à ce jeu ovale tout en pestant sur ce qu'il devient, mais j'ai laissé tomber foot, tennis, cyclisme, athlé, natation et d'autres encore qui pourtant m'accompagnaient partout y'a pas si longtemps, si le moindre match de rugby sur un pré pelé m'intéresse encore et si j'apporte ma personne aux rencontres internationales, pas dupe sur ce monde des affaires qui se fout pas mal de ce que je peux en penser.
RépondreSupprimerPerso, je suis déjà assez bien nourrit avec le rugby (boulot, livres, colloques, festivals et en plus, on vient de monter à quelques uns un prix littéraire du meilleur livre ovale de l'année) que je ne vais pas me fader d'autres balles, même si elles sont géniales... Le temps pour soi, c'est important. L'otium. Et le jardin à cultiver. Ne rien faire. Procrastiner. Voir les amis et les copains, passer du temps avec eux. La famille, aussi. Ma cadette revient du Costa Rica passer quelques jours chez nous : il y a des millions d'euros pour acheter des armes et les vendre (ou les donner), mais pas assez de sous pour aider les jeunes à préserver la nature, protéger la ponte des tortues, dépolluer les plages paradisiaques... C'est surtout cela qui me concerne.
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SupprimerAprès l'otium, l'extrême otium le plus tard possible
SupprimerLa vision de ce superbe jeu peut-être en lui même une forme d'otium. Personnellement, je passe aisément d'un sport à un autre: dans la mesure ou il me parle bien entendu, et si j'en ai le loisir.
RépondreSupprimerLe sport reste le sport, un jeu de société de plus, un dérivatif à cette vie sociétale, qu'on a voulu incorporer à la mixture société de consommation et profit. Et donc avec le professionnalisme ambiant une fleur du mal de plus qu'on aime quand même effeuiller pour se faire du mal parce qu'on ne résiste pas à l'appel des sirènes...
RépondreSupprimerL'argent est là et toujours bien là dans les mains d'une minorité qui décide d'en faire ce qu'elle veut. Et surtout un petit tour dans ces îles très accueillantes pour que la croisière s'amuse aux frais de la nature, entre autres. Alors aider les jeunes à œuvrer pour préserver la nature certes, mais plutôt un mirage dans le désert de leur foutaise...
Il y a un temps pour tout et un temps pour soi, mais la visibilité n'est pas la même entre amateurs et professionnels...
Et voilà.
RépondreSupprimerComme Attila, les franchises Sud-Africaines débarquent en Europe. Que restera-t-il des derniers gazons déjà remplacés par du synthétique? Et vous voulez que je me réjouisse de "la vision du développement du rugby" prônée par D.MKay? Inutile, pour ma part, de développer plus cette "évolution". Peut-être d'autres que moi auront l'énergie de la faire...?
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SupprimerJ'allais écrire à ce propos. Pris de vitesse 😉. Les cupides se frottent les mains. Poitrenaud est contre, lui qui a joué en AFS pour vous dire comme Merling. Les budgets vont exploser, la santé des joueurs devient anecdotique, les médias vont se battre et privatiser les chaines de diffusion et M Kay pourra adopter un train de sénateurs. Heureusement Jean Abeilhou est encore là 😂🙈👍.
Supprimerhttps://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Claude-atcher-patron-de-la-coupe-du-monde-2023-en-france-renvoye-en-correctionnelle/1336478
RépondreSupprimerÇa fait beaucoup à un an de la coupe du monde et malgré tout ça interroge sur ces pratiques qui écornent l'image du rugby et la réussite de notre XV de France. Bien sûr les donneurs de leçons de morale ne feront pas l'amalgame entre les affaires et le terrain quoique mais nul ne peut ignorer les faits. Gardons l'esprit terrain avec le vent en poupe maritime.
Je pense que là, Tautor, nous sommes d'accord. Toutefois, Roland Garros et Rugby même combat.
RépondreSupprimerJe te soutiens André et je monte au filet
SupprimerMais la volée sera t'elle gagnante ?
SupprimerOn s'en fou pourvu qu'il y ait l'ivresse
SupprimerJustement une volée gagnante claqué ou amortie voire rétro (c'était mieux avant🤣) ça te met l'ivresse
Supprimerce n est qu avec l argent derobe a nous les clients que ces grands mecenes philantropes paradent
RépondreSupprimerleurs pouvoirs ne resulte pas d une cause surnaturelle les tenants financiers du monde petit cenacle manipule
tout et impose un pouvoir divin
que diable viennent faire les sud africains en europe devancat d autres provinces neo zelandaises
ces dirigeants du spectacle rugby comme ceuzx du foot reclament toujours plus d argent soi disant pour aider le monde amateur quels goujats escrocs de premiere
canal annonce qu il a une niche a11h du soir et va imposer a ces chers partenaires du top14 qu ils se preparent
On peut ne pas être d'accord sur la venue de ces franchises sud-africaines dans nos compétitions européennes, mais maintenant que c'est fait, c'est fait; et ce seront 15 types qui viendront jouer contre 15 autres. Manquerait plus qu'on leur crache dessus, tant qu'à faire.
RépondreSupprimerLa confrontation entre rugbys européens et sud-africains, hors Coupe du Monde, sera forcément intéressante.
Sur le sujet tennis évoqué plus haut, ces grosses affiches programmées prime time et rendues payantes par le partenariat avec Amazon ne sont pas plus scandaleuses que le rugby (ou tout autre sport) visible uniquement sur C+ moyennant abonnement, et donc finances.
C'est juste la logique du système appliquée jusqu'au bout, quand on passe d'un abonnement sur la durée à un système pay per view ponctuel devenu la norme aux USA.
C'est ça où ne plus aller voir que le match de série du coin le dimanche après-midi; et encore, faut payer 2 € pour la bourriche, et la bière est de plus en plus mauvaise. Comme quoi la finance mondialisée est partout...
(mais les commentaires de bord de terrain sont vachement plus drôles)
si il faut tout accepter par ce que cela est acte
RépondreSupprimerheureusement que les gladiateurs les esclaves les colonises les proletaires ont su lutter et se rebeller sinon l humanitee aurait encore plus triste mine
et cette coupe d europe elargie n est rien d autre qu un petit championnat du monde
Bonjour, et bien si maintenant que c'est fait et bien c'est fait et les tristounets qui seraient pas du même avis peuvent aller aux champignons ou à la pèche, si pas capables de comprendre (se soumettre ???) à la logique du système, franchement mais où qu'on est là, où qu'on va donc ????
RépondreSupprimerEt n'en déplaise à qui veut bien, ou pas, le match de série m'apporte mon petit bonheur d'ovale, entretenant par ailleurs avec tous ses manquements et ses à peu près ce que j'attends d'un match de rugby, et, important mais pas futile, le jus de houblon qui ne se sert pas dans un club-house mais à la buvette, progrès d'aujourd'hui, mousse d'enfer, est à la température idoine, et le petit ticket de la bourriche, vendu par les minots, servira au voyage de fin de saison, et bien moi j'aime ça !!!!!!!!
Je suis bien d'accord pour plussoyer au fait que ne pas béniouiouir les évènement prétendument actés est depuis la nuit des temps l'action qui a fait avancer notre joli monde, parfois si moche parfois si beau.
Enfin, pour être raccord avec mes propos, même si ma petite personne pas vraiment importante devant la stature qui gère tout le barnum, c'est pour cela que je ne prends aucun abonnement à quoi que ce soit et me contente donc des quelques miettes de haut niveau que le service public veut bien m'octroyer, ce qui forcément me laisse du temps pour aller m'encanailler sur les mains courantes territoriales ou ses aléatoires comptoirs du dimanche !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Pentecôte qui vient, j'ai souvenir de tournois pour les écoles de rugby et les équipes de jeunes qui rassemblaient du monde, autour de chez vous toujours de l'engouement ou tous les sportifs en quête de torticolis devant les allers retours des petites balles jaunes ????
Non, mon cher Pipiou. Je ne peux pas laisser passer ces propos débonnaires et fatalistes. Il y a beaucoup à dire, certes. Sans développer à fond les pensées qui me traversent ici, là ou ailleurs et, en particulier, comme toujours, durant mes périples cyclistes -Tautor me dirait peut être que, comme la T.S.F., le vélo est dépassé et qu'on a inventé le moteur- je voudrais dire deux trois petites choses tournant autour de ces sujets.
RépondreSupprimerTout d'abord que l'on est pas obligé de se plier à la tyrannie de quelques uns désirant imposer leur pouvoir comme au temps des Tsars. Il est toujours possible de choisir et de décider sa position. Le "on n'y peut rien, c'est comme çà", ne me satisfait pas. J'ai toujours été rétif dès l'école communale à des attitudes et des comportements qui ne me convenaient pas et je l'ai systématiquement manifesté.
Pour reparler d'Isabelle Autissier, oui, peut-être n'a-t-elle pas toujours eu sa position actuelle, mais une des caractéristiques de la vie et de l'intelligence étant de s'adapter, de tirer bénéfice des ses erreurs, il me semble normal d'évoluer dans le sens logique des choses. Je me souviens très bien (et j'ai lu) de René Dumont qui a beaucoup, lui aussi, tiré parti de ses expériences et de ses observations pour évoluer vers des constats sur le monde quasiment à l'antipode de ses vues premières. On pourrait presque penser à la conversion de Saint-Paul dans un domaine plus scientifique.
Je pense que la question du rugby sur Canal+ et le problème des matches de Tennis sur Amazon est totalement différent. En effet, les télévisions publiques -en théorie quand même- vivent de la redevance, de nos impôts et j'en suis totalement partisan. L'introduction de la compagnie privée imposant ses diktats est inadmissible à mon avis. C'est comme pour la S.N.C.F. maintenant concurrencée par des compagnies privées: O.K. pour moi puisque je peux toujours continuer à voyager sur la compagnie publique. Je suis juste mis devant un certain choix. Amazon, en rachetant des matches et des horaires privés sans donner le moyen d'aller voir ailleurs, empêche la plus grande majorité d'avoir accès à de grandes compétitions. Pour Amazon, à mon avis, le Tennis n'est rien d'autre qu'un produit d'appel et c'est cela qui m'écœure profondément: qui écœure l'idée que je me fais du monde et du sport en particulier. Se servir de la passion de certains pour s'introduire dans des milieux qui ne vous concernent pas afin d'affirmer sa puissance dans d'autres domaines commerciaux prioritaires me paraît profondément répugnant. Pour le parallèle que tu fais avec le Rugby sur Canal+, ma vision de la télé publique fait que je ne peux qu'admettre ces chaînes payantes. Il est en effet impossible d'infliger à l'ensemble des spectateurs des heures et des heures de sport, quel qu'il soit, ou, d'ailleurs, n'importe quoi d'autre. Ces chaînes doivent être relativement représentatives des thèmes et des goûts de l'ensemble des téléspectateurs tous âges et sexes confondus; éventuellement faire preuve d'éducation et de créativité dans le meilleur des cas. Alors, que certains décident de payer pour assouvir leurs passions, me parait tout à fait normal et naturel: sport, musique, cinéma....ou tout autre sujets. Si cela permet un accord entre le fournisseur et le consommateur, soit. Une chaîne privée payante doit pouvoir proposer un produit suffisamment bon et solide pour réussir à fédérer un certains nombre d'abonnés tellement passionnés qu'ils sont prêts à payer leur droit "à voir". Cela n'est pas mon cas.
Par ailleurs, et pour rester dans le domaine financier, je vous conseille la lecture de la chronique d'Eric Alber dans "Le Monde" sur la vision des financier sur le changement climatique: en gros, aucun impact, ..."la finance verte ne viendra pas au secours de la planète"...! "En clair, les financiers se foutent du climat". Aucune finance d'ailleurs et, même pire...Je pourrais rajouter qu'ils se foutent aussi du Rugby, du Tennis etc. Sauf si cela peut leur rapporter gros. Point.
un
Mon cher André,
SupprimerIl me semble symptomatique que, si je t'ai bien compris, tu assimiles C+ à une "chaîne publique". C'est peut-être ce qu'elle est devenue dans l'esprit du public, mais il n'empêche que c'est le signe d'une confusion: elle fonctionne exactement sur le même principe qu'Amazon. Tu te souviendras d'ailleurs que lorsqu'il s'est agi de retransmettre le rugby, les mêmes reproches se sont élevés: il fallait payer pour ce qui, jusqu'alors, était gratuit sur une chaîne du service public. Et c'est d'ailleurs toujours un argument quand France 2 annonce, par exemple, la prolongation de son contrat d'exclusivité "Tour de France" ou Tournoi des 6 Nations": pouvoir le regarder gratuitement sur une chaîne du service public.
Et à la limite, puisque tu évoques la pub envahissante, c'est même devenu un des grands intérêts de C+: je paye pour éviter la pub omniprésente voire intempestive. Dans notre paysage télévisuel qui semble être devenu une suite d'annonceurs et de placements de produits interrompus de temps en temps par du sport, de l'info (ou ce qui en tient lieu) et des gens qui pensent (plus ou moins, et de préférence après minuit), c'est devenu un luxe qui se paye à prix d'or.
Ou bien je me suis mal exprimé, ou bien tu m'as mal lu. Je dis très clairement que Canal+ est une chaine privée payante ayant le droit et la latitude d'assouvir les passions de ses spectateurs contre un abonnement. Ce que ne pourraient pas faire les chaînes publiques tenues d'équilibrer leurs programmes en fonction d'un public divers et varié en sexes, âges et milieux sociaux.
SupprimerC'est plutôt moi qui a mal lu...
SupprimerCe qui est malheureux, c'est que les chaînes publiques ont adopté depuis 30 ans les mêmes logiques d'audience que les privées, ne serait-ce que du simple fait de leur concurrence avec elles.
Là où elles pourraient être suffisamment subventionnées pour ne pas dépendre d'annonceurs et jouer une autre carte pour le meilleur en matière de programmations, horaires, sujets, création audiovisuelle, elles se sont "mises à niveau" pour le pire...
Il n'y a qu'à voir comment l'information est (mal)traitée sur les chaînes publiques ...
Tout-à-fait d'accord.
SupprimerSinon en parlant d'allers retours, 1re demi finale femmes Roland-Garros, Kazatkina a bien fait l'essuie glace face à Swatek, 6/2, 6/1. Une exécution. Du lourd chez cette dernière, à l'image de la musique qu'elle écoute avant ses gros matchs, pour déstresser, du Led Zeppelin tout simplement. Inconditionnel de ce band, je ne peux que m'enjouir.
RépondreSupprimerUn mec qui ramène des morilles ne peut pas être une petite personne!
RépondreSupprimerAllez les match de série du coin le dimanche après-midi .
Pour conclure cette petite réflexion, une anecdote à propos de la télé: aussi bien sur les chaînes publiques transmettant Roland Garros que sur la chaîne "L'Equipe" pendant les retransmissions de courses cyclistes que je regarde de temps en temps. A chaque changement de côté pour l'une, toutes les 20 minutes environ pour l'autre, et cela durant un minimum 5 minutes, sans aucune attention au déroulement de la course la plupart du temps. Je pense que je vais prendre un chronomètre et vérifier chiffres en main ce que je ressens, c'est-à-dire quasiment 20 minutes de pubs à l'heure. Le seul avantage que je peux y trouver, c'est que cela m'oblige à changer systématiquement de chaîne ou bien à couper le son si les pubs de l'autre chaîne tombent, elles aussi (et c'est souvent car "ils" sont très forts!), au même moment;
RépondreSupprimerUn vrai sport en soi!
Pas faux du tout, André. Aaatch... le sport en canapé et zapette, ca pète sa race🤣🤣
SupprimerJe tombe par hasard sur "Mercenaire ", film de 2016 .
RépondreSupprimerUn jeune Walisien vient chercher une vie meilleure dans notre Rugby.
Une image plutôt réaliste et sans concessions de notre microcosme.
Allez, pas rugbylistiquement correct !
Oui, je crois bien que l'on en avait causé ici, triste réalité et de plus en plus présente, qui montre bien et d'un le peu d'humanisme des sergents recruteurs (par Rougé-Thomas), et de deux l'absence totale d'empathie des Iliens déjà installés dans le circuit, et de trois le manque de repères et de références pour un ancrage véritable dans l'histoire d'un club, bien montré aussi l'abîme entre les promesses des uns les attentes des autres et le marigot social, affectif, humain, dans lequel des déracinés ne savent plus ou trouver de la respiration.
SupprimerA la projection du film, il y avait un petit débat, un Wallisien alors joueur da
HOWWW So sorry, darling
Supprimer......... alors joueur dans mon club participait, hébergé dans un foyer, sans amis (vrais amis, présents et disponibles) avec de petits boulots qui se succédaient, tenté souvent par la dive bouteille et miné par un déracinement qui en match le mettait souvent border-line, souci et triste constat.
Sacré orage cette nuit, flotte et flotte,et ........... Donc ........ je te m'en vais courant à la cueillette des parachutes et corolles qu'ont du tomber et éclore présentement !!!!!!!
J'avais zappé.
SupprimerNous avions déjà quelques beaux spécimens de bourriques voyageuses en Ile de France dans les années 70/80,tu doit t'en souvenir aussi.
Notre unique sponsor, une compagnie de cars avait proposé deux postes de chauffeurs de car une année ou nous montions en D3, il a reçu des offres de service de toutes les régions, Dom Tom comprises.
Nous avons finalement sélectionné deux braves normands sans CV particulier mais avec des attaches proches et un projet de vie, qui sont toujours la!
Notre président à reçu menaces et lettres d'injures de certains "supporters", déjà, mais aussi de supposés" agents", incroyable!
Allez Chevreuse
Absence totale d'empathie des Iliens, Cardiff ?
SupprimerCe n'est peut-être pas généralisé, mais il me semblait au contraire qu'autour de quelques anciens, on se retrouve, on s'épaule, on se soutient (ne serait-ce que sur l'aspect religieux, très important pour certains).
Et je pense qu'au-delà du déracinement (j'imagine même pas la brutalité du contraste), ça dépend aussi pour beaucoup de l'accueil et de l'intégration qui est faite; on en revient à la notion de valeurs que notre jeu est censé véhiculer et transmettre en-dehors du terrain.
(et encore: le joueur fidjien de Tarbes qui s'est suicidé il y a quelques années avait été très bien intégré par le club, le staff, les coéquipiers, mais blessure et rester sans jouer, le mal du pays, le sentiment inévitable d'isolement, etc... tu peux toujours prévenir, tu n'as jamais l'assurance de guérir)
Pour moi qui suit pur valentinois, j'imagine que ça doit être compliqué de s'intégrer. Déjà qu'entre nous quand on déménage...
SupprimerAlors des iliens ou tous les gens issus de croyances, pratiques, rites, à des années lumières de nos sociétés modernes, bien robotisée (humainement entre autre), de la société de consommation (en tous genres), faut de bonnes passerelles quand même...
Sans ça, besoin d'explications sur l'arrivée des franchises (quel nom !!!!!) Sud-Af en CE, je lis que l'EPCR est super-contente, certains en France ravis et d'autres navrés, se pose la question des places que vont prendre ces nouveaux arrivants, il faudra bien que d'autres s'en aillent et se retrouvent ainsi privés de rencontres mais surtout des retombées financières, alors qui ???? Italiens, Ecossais, Gallois ??? Irlandais, Anglais, Français on touche pas, ou si ????
RépondreSupprimerEt dans notre joli monde où tout le monde, pouvoirs publics et fédérations sportives, s'engaOn va vers une disparition de l'Ecosse et de l'Italie mais tout va bien. Ne parlons pas des déplacements en Afrique du Sud (et encore moins du bilan carbone associé).
M.... décidément, le doigt mutin, hein !!!!!!!!!!!
RépondreSupprimerDonc ............. s'engage pour l'ENVIRONNEMENT, les déplacements qui vont résulter de tout ceci, bonjour la planète, mais tout le monde s'en fout, non ????? Si !!!!!!! La santé des joueurs, tout le monde s'en fout, non ???? Si !!!!!!
Poitrenaud et le Pdt Merling, rares lucides et pensent sans doute un peu aux joueurs et aux difficultés de gérer tout ce méli-mélo, causent dans un océan de silences prudents, pas se mouiller et voir les avantages que l'on peut en tirer, après, les inconvénients on verra !!!!!!!!!!!!!!!!
Bonne et magnifique journée à tous, carpe-diem les amis, tout fout le camp et l'on tombe, l'on tombe, on va bien finir par se ramasser tout ce qu'on sème sur la gueule !!!!!!!!!!!!!!!!!
Amicalement
Beau, si l'on peut dire, bilan....
RépondreSupprimerOn est proche d'une certaine incompétence quand même. Sur le principe, un nouvel étalonnage entre les clubs, très bien. Mais il faut rester à la base, sur le respect des joueurs et de tous à tous les niveaux. Pas que jouer les Picsou.
RépondreSupprimerPas vu Nadal-Zverev. Pas là cet après-midi et rentré à 18h00.
RépondreSupprimerMais je regarde la seconde qui se déroule devant un 1/2 stade. Des connaisseurs peut-être, quoique j'en doute sérieusement en entendant les cris de porcs qu'on égorge dans les tribunes. Pourquoi faut-il que l'exemple vienne toujours des américains comme ceux de Flushing Meadows alors qu'il serait tout à fait possible de s'aligner sur le comportement du public de Wimbledon. Bref.
C'est vendredi soir. Il paraît que tous les billets sont vendus. Donc quelques riches privilégiés préfèrent sans doute partir en week-end plutôt que d'assister à un grand match. Ils manifestent ainsi tout l'intérêt qu'ils portent réellement au tennis.
Au fond, cela me rassure sérieusement. Serait-ce l'usure de la montée en épingle de tous les évènements susceptibles de rapporter gros?
Ah! Le stade à l'air de se remplir un petit peu...
Vu les excuses d'Amélie Mauresmo sur la programmation des matches en "prime time"...Amusant et prêtant à réflexion.
Atilla, le bilan carbone , ben dis donc !
RépondreSupprimerAllez,suis chez les huns dimanche ,je leurs passe le bonjour.
André, Piou et les mycologues avertis,
RépondreSupprimerIl est toujours midi devant sa télévision et elle seule qu'elle soit publique ou payante ! Personne n'est dupe sur les profits assurés par la publicité ce qui permet de payer nos présentateurs, consultants à des prix défiant la moralité sans compter les frais de déplacements payés ! Ou est la décence au final ! Et si vous écoutez la TSF, comme cela m'arrive parfois, soulé par la gnose de collégiens, vous pouvez rever aux mots et aux actions en fermant les yeux, laissant votre subconscient sublimer la logorrhée du commentateur. Seuls les yeux transposent notre ressenti pour le rendre gouteux, suave ou amer selon ! A propos des iliens, nous avons le doigt sur la couture du pantalon et le porte monnaie étriqué, à tel point que certains supplie le Président de la République pour être naturalisé tellement les avantages diffèrent une fois la nationalité française acquise. En général, ils se regroupent entre eux pour faire corps et recréer une pseudo communauté ou ils retrouvent le salé du Pacifique, rôle pris à cœur par Joe Tékori par exemple. Malheureusement, ils ne sont que des gladiateurs payés avec des paillettes pour la plupart. Quand je vois l'errance de Nakarawa, j'en ai mal au coeur, sans parler de Méavu noyé dans l'alcool et la cocaïne. A ce propos, il y eut un excellent article récement sur l'Equipe "Cocaïne, le rugby sent la poudre". Personne n'a moufté comme quoi mieux vaut parler de champignons et de blagues de comptoir que du cancer qui ronge nos joueurs. "A quoi sert-il d'être adoré ? Voulez-vous me le dire ? Est-ce que ça m'empêchera d'avoir un cancer du rectum, si je dois en avoir un !" Céline. Nadal en finale sur blessure. Bon un remake de plus. Les canotiers seront là pour la consécration absolu d'un 14e titre ce qui reste tout à fait exceptionnel. Mais quand on voit Cristiano Ronaldo un 15 e titre est possible. Je finirais le chapitre par Saint Paul "Celui d'entre vous qui se croit sage, qu'il embrasse la folie pour trouver la sagesse." allusion ou illusion concernant Sainte Isabelle !
Ici des orages d'été, 3 gouttes et pas de champignons ! Peut être demain matin des psilocybes de vaches bien hallucinogènes !!!
Bel effort de synthèse, mais peut mieux faire, comme on disait d'une copie un peu décontractée...Je te connais plus percutant. A propos de Nadal et des blessures, as-tu lu l'interview d'Olivier Rouillon, le médecin du Racing à propos de la résistance de Nadal à la douleur? Intéressant dans un premier temps et portant à réflexion dans un second.
SupprimerAndré,
Supprimercomment sais tu que les professeurs disaient à mes parents "peut mieux faire" ? Percutant, je peux l'être, mais est ce bien nécessaire ? Oui j'ai lu Rouillon ! Très confraternel en expliquant qu'avec le même staff tout se passe en interne question de confiance ce qui n'est pas faux et permet de tout dire et ne rien dire surtout quand tu es en dehors des clous (il parle de la corticothérapie dont l'ATU contre indique la pratique sous peine d'être déclaré positif en cas de contrôle. Il parle des infiltrations d'anesthésiques locaux la xylocaïne ou la lidocaïne autorisées, omet de parler du PRP (pratique courante dans le rugby) et des infiltrations avec de l'acide hyaluronique. Suffit de se souvenir d'Amstrong et de ses pratiques, mais aussi dans d'autres sports comme le nôtre ou l'omerta est la règle sinon tu ne fais pas parti du cénacle. Les petits arrangements entre gens de bonne famille en quelque sorte ! Pour en revenir à Nadal, le syndrome de Mueller Weiss (Orphanet) est une maladie osseuse rare caractérisée par une ostéonécrose idiopathique du naviculaire tarsien, atteignant plus les femmes que les hommes et dont le traitement reste l'arthrodèse (sauf au stade I de la pathologie) qui bloque l'articulation de façon définitive pour éviter l'effondrement de l'arche interne du pied. Les semelles orthopédiques, le repos prolongé sont indiqués à la phase primitive de la maladie. Ce n'est pas une maladie génétique rare. Ensuite, il parle de la douleur et de la résistance des grands champions (Woods, Nadal). Effectivement, avec l'entrainement, tu fabriques des endorphines qui repousse le seuil mais pas indéfiniment. Tu as recours à des produits illicites comme le GHB dont la demi vie est courte ce qui minimise le risque d'être pris par la patrouille que certains médecins utilisent ... Bref, mon avis, le diagnostic a été porté tardivement et maintenant après probablement de la cortisone à gogo, on te l'enrobe dans du papier chocolat. Depuis Rome, en 3 semaines il a entièrement récupéré, sans boiter, ni grimacer. Probablement que l'eau de Lourdes est thérapeutique qui sait ainsi que le yoga ! Ca n'enlève en rien ses qualités de grand champion de tennis par ailleurs. Pour conclure sur le Dr Rouillon, il parle très bien des infiltrations voir trop bien pour ne pas pratiquer. Pour être trash sur nos sympathiques iliens, via le Salary cap ou pas, nous les exploitons avec des salaires peu dignes de nos internationaux français et on compense en nature en prêtant une maison au loyer modique, une voiture, etc ce qui est el dorado pour eux venant du pacifique. Les plus cortiqués arrivent à mieux s'en sortir. Je pense toujours à Kunavore atteint d'une endocardite bactérienne après infiltration qui a été accompagné dans la douceur vers son ile natale n'étant pas transplantable pour y décéder avec une obole donnée à sa femme pour services rendus.
Voilà une réponse qui fait plaisir à lire.
SupprimerJ'avoue être particulièrement intéressé par tes propos (et ceux du docteur Rouillon) souffrant moi-même de pas mal de douleurs liées à de l'arthrose. Deux hanches, plus une prothèse de la cheville posée par Rémi Philippot (celui qui a opéré entre autres champions, Chris Froome en 2019) entre 2018 et 2021. Les dernières radios (et un scanner) passées -cervicales et lombaires/bassin- ont conclu à des "remaniements dégénératifs évolués, en rapport avec l'âge". Usures dues en grande partie aux diverses activités sportives....Ce que l'on formule par ici, et sans doute ailleurs par: "c'est la vieillerie"! Comme quoi, le sport! Ma résistance à la douleur est plutôt bonne, mais je suis quand même vivement intéressé par tout ce que je peux lire sur les divers traitements proposant des possibilités de soulagement sans se détruire par ailleurs.
Mon cher Tautor, je suis partant pour tout conseil sur ces sujets de ta part. Merci d'avance et bon week-end.
En parlant de mes problèmes, je me suis souvenu que tu avais "manipulé" Christian Badin à Treignac et lui avais donné quelques conseils intéressants. Je me demande, par association de pensée, ce qu'il est devenu, ne voyant plus de participation de sa part depuis un certain temps sur le site?
Je pratique l'ostéopathie chez les gens âgées depuis longtemps, un vrai plaisir de redonner du mouvement et des conseils à suivre. L'arthrose n'est pas rédhibitoire, la chirurgie contribue au plaisir de retrouver du mouvement. Pour les conseils, en privé 😉
SupprimerO.K.
SupprimerNe trouvait vous pas que la chaleur monte comme la puissance de l'argent, se disait il dans son canapé devant ce petit écran devenant de plus en plus grand aussi question pub ? Sur les coups de midi, de quoi méditer ou médire, selon... Un pouvoir de méditer restant d'ailleurs plus élevé que le pouvoir d'achat, si on ne s'est pas endormi... dans le canapé. Mais les poches vides (je parle de celles du pantalon...). Et les footeux français prenant un p'tit coup de chaud danois, le comble. L'était où le bleu de chauffe ? Allez, reprendre un p'tit coup de coc....
RépondreSupprimerC'est ma foi, ma p'tite réflexion du matin, du fond de mon lit. Bon je vais aller marcher en forêt sur la trace des fées, au ruisseau qui trainait nos rêves (dixit Ange)
Zverev ou le fait d'avoir l'art de glisser (donc au moins son apprentissage)sur l'ocre pilé. Apparemment il ne l'a pas et la catastrophe est arrivée. Par ailleurs il perd beaucoup de points avec des coups, assez facile qui dépasse la ligne de qq centimètres
RépondreSupprimerIl voulait s'arrêter trop vite pour repartir. De toute façon il avait des godasses pour jouer sur parquet pas sur terre battue
SupprimerLes CRS qui gazent les enfants devant les grilles du Stade de France, les faux billets qui circulent, les stadiers qui trichent au bénéfice de leurs amis et familles, des centaines de racailles qui frappent à ma machette et à la lâme de rasoir les supporteurs pour leur piquer leurs sacs et leurs téléphone portable, sans oublier Laporte, Simon et Atcher convoqués au tribunal en septembre : la Coupe du monde 2023 s'annonce bien...
RépondreSupprimer"Détends toi, tout va bien se passer" comme dit Darmanin
SupprimerOn dit que ya pas plus con qu'un CRS. Cest une fois de plus confirmé
SupprimerEt Altrad, les 4 mousquetaires de l'Ovale. Et attendons pour la licence payée 1490€ par le vice Président de la FFR et Président de la Ligue PACA Henri Mondino depuis 2017 à BL et 19 000€ de frais d'avocats pour la ligue pour que le dossier ne sorte pas 🙈 (CADA, tribunal administratif, conseil d'État) ...
RépondreSupprimerBonne dernière journée de Top 14 à tous...🙏
RépondreSupprimerDrôle d'UBB qui finit troisième après avoir perdu la première et dernière journée sur le terrain des promus.
RépondreSupprimerEt qui avait la possibilité de se retrouver à accueillir en barrages Toulouse ou LR ou vainqueur Racing Toulon. C'est peut être un moindre mal.
Urios a les boules de ne pas profiter dune semaine de récup pour une demie directe
SupprimerSurtout son équipe a joué sans âme
SupprimerAu fait Letiophe, sortie chez Cairns d'un roman noir : Eden Pax. Ecrit par Fred Villar. J'ai lu. C'est bien.
SupprimerSynthèse de cette dernière journée de top 14
RépondreSupprimerMa pensée première va tout d'abord vers Pom, Pur Juice, une Remontada coulée par un carton jaune, décidément l'histoire poursuit la rade mais Azéma & Mignoni ont tous les atouts pour réussir. Quant au R 92, une qualification par la petite porte. 2 Champions d'Europe pour aller en barrages avec un remake de l'an dernier ST / LR à peine incroyable. Attention, le ST est de retour. Urios dépité, il se rend compte que les côtes de Roussillon n'ont rien à envier aux Minervois. Prudence avec la lie qu'elle ne soit pas bleue. Enfin, le MHR 2e peu convaincant mais présent. Et le CO, sans bruit ni trompettes finit leader avec une armada de joueurs expérimentés qui ne lâchent rien. Restent Brive, à sa place, comme chaque année et Perpignan qui devrait se maintenir à la vue des derniers matchs à domicile. Quant au pays Basque, il faudra traverser la Nive. Mon pronostic, l'UBB et le ST en 1/2 finales. Et coup de chapeau à tous ces joueurs qui vont passer derrière la talanquère et qui nous ont fait rêver. Merci.
Merci Tautor pour cette amicale pensée. J’étais à l’Aréna pour l’occasion. On y a cru un bon moment mais décidément, les vieux démons…mais ne nous plaignons pas, vu notre début de saison calamiteux. Et merci à “mes” rouge et noir de nous avoir permis de rêver encore. Qui l’eût cru en février ?!
SupprimerJ’assisterai à la suite le coeur léger, débarrassé des souffrances du supporter, avec cette envie simple et plaisante d’assister à de beaux matchs de rugby.
Que le meilleur gagne !
Mon prono: R92 et ST en demies. Et en finale
SupprimerOui pour le Stade, mais plutôt contre Montpellier en finale.
SupprimerAllez, les gars, lancez-vous vous aussi !!
Sérieux, discrets, besogneux, toujours placés, parfois sur la caisse, le CO est a sa place et c'est bien.
RépondreSupprimerToulouse sera assurément l'équipe a éviter mais comme pour la phase régulière ç'est bien compact hein !
Allez,bien malin.....
quel final Begles apres avoir anime la course s est fait surprendre un peu lievre dans ce cas alorts que Castres deguise en tortue jubile
RépondreSupprimerle LOU a faillit tombe les maritimes en n arrivant pas a conclure les charentais ont sorti les souliers a clous et laissent de belles empreintes sur le gazon
le racing miracule se qualifie timidement
PERPIGNAN va se jouer et ecraser ces Montois leader de D2 plus que jamais a la derive et n arrivant a s approcher des cotes du top 14