Boris Vian, qui n'y connaissait rien en rugby, se demandait qui ou que choisir entre la comotive et le zoizillon. André Boniface, poète à ses heures, n'a vraisemblablement pas lu Cantilènes en gelée, mais s'il avait connu le trompettiste de Saint-Germain-des-Prés dans les lieux qu'ils fréquentèrent tous deux, il lui aurait évité d'avoir à effectuer ce choix. En effet, l'Apollon de la Chalosse fut à la fois la locomotive du rugby français et cet oiseau rare, voire unique, dont on ne retrouvera pas le moule de sitôt.
Avec André Boniface s'en est allé l'intransigeance. Ses aînés Jean Dauger et Maurice Prat partis avant lui, le Montois était le dernier de sa caste, comme on parle des taureaux. Joueur, entraîneur, supporteur puis téléspectateur, ses colères pour une passe mal ajustée resteront légendaires. Personne n'incarnait mieux que lui le rugby d'attaque, personne n'avait eu l'idée de dessiner ce jeu de lignes sur du papier à musique, comme on écrit une partition.
Fixation, cadrage-débordement, passe-croisée : le French Flair qu'il avait "inventé" à l'orée des années soixante trouva son acmé au Lansdowne Road de Dublin le 26 janvier 1963. Pour mémoire, voici la composition du XV de France qui surclassa l'Irlande dans la boue et la brume, 24-5, quatre essais à un : Razat - Besson, Guy et André Boniface, Darrouy - (o) Albaladejo, (m) P. Lacroix (cap.) - J. Fabre, Crauste, Lira - Mommejat, Saux - F. Mas, Rollet, Zago.
Dédé avait "ses têtes", choisissait ses partenaires, décidait à qui il allait passer le ballon. Aucun de ses coéquipiers tricolores ainsi ostracisés ne s'en ouvrit par respect pour lui tant était grande son aura. André commandait tout dans l'excès le plus total, au point de diriger le jeu des trois-quarts comme il l'entendait, ce rugby offensif qu'il considérait avoir construit. Exerçant sur son frère un ascendant quasi-hypnotique, il était aussi le héros des grandes plumes parisiennes qui construisirent son piédestal, posant en retour sur eux un peu de la lumière dont il était nimbé.
Intarissable trois-quarts centre né pour le rugby, il mit son égo surdimensionné au service de ceux qu'il jugeait aptes à servir ce jeu d'attaque sans frein, préférant pour sa part la passe à l'essai. Dans les clubs français où son talent était, certes, reconnu mais pas accepté, son nom servait aussi de repoussoir. A mon père Jean-Claude qui occupait à cette époque à La Rochelle le poste de centre et s'amusait de feintes et de crochets, l'entraîneur Arnaud Elissalde lança un "Ne fais pas ton Boniface!", reproche mi-sérieux mi-goguenard dont j'image bien qu'il encouragea mon géniteur à préférer le plaisir d'évoluer en équipe réserve à la perspective d'avoir à contenir ses inspirations.
En imposant à ses vis-à-vis, André Boniface finissait par les faire déjouer et il y aurait beaucoup à raconter au sujet des calvaires du dimanche après-midi qu'endurèrent ceux de ses adversaires qui n'avaient pas d'autres solutions que de monter hors-jeu en défense, de le retenir par le maillot, de le plaquer à retardement et parfois de l'insulter voire de lui cracher au visage dans l'espoir, toujours déçu, que ces offenses l'empêchent de donner sa pleine mesure. La liste est longue de ceux qui regrettèrent, une fois leur carrière sportive terminée, de s'être ainsi avilis tandis que lui continuait à rayonner.
Aujourd'hui, au poste qui fut le sien, Emilien Gailleton, Nicolas Depoortere et Paul Costes prolongent l'idée qu'il est toujours possible de créer au centre du terrain des intervalles pour leurs partenaires tandis qu'ailleurs prévaut la force brute lancée tête baissée dans la défense adverse. Premier joueur nourri de diététique et endurci par l'ascèse d'un entraînement individuel quotidien, André Boniface a ouvert une voie, sillage dans lequel n'ont cessé de s'engager, génération après génération, les meilleurs attaquants français.
Comme me le signalait Jean-Pierre Elissalde, il y a du André Boniface chez Antoine Dupont, dans sa faculté à voir le jeu plus vite et mieux que ses adversaires, à savoir comment tirer profit des situations qui s'offrent ainsi à lui et surtout pouvoir mettre en œuvre concrètement en temps réel grâce à des qualités physiques hors-normes ce qu'il a imaginé quelques nanosecondes plus tôt. Soixante kilomètres séparent Montfort-en-Chalosse - où quelques grands noms du rugby s'étaient donnés rendez-vous lundi pour un dernier hommage à Dédé Boni - de Capbreton où "Toto" s'entraîne avec France 7 dans la perspective de disputer les Jeux Olympiques à Paris cet été. Comme un trait d'union.
La prostituée n'a pas d'enfant
RépondreSupprimerEn général,
Ca commence fort
J'veux dire qu'en matière de passe,
c'est une des alternatives au plaisir physique et l'hôtel ici, c'est le terrain.
Et la balle, cette fille habillée de cuir qu'on se passe de mains en mains
pour le plaisir d'un moment, de cette prise d'intervalle, qui te mets les poils sur les bras
Qui t'envoie derrière la ligne, ou décalqué par un placage du proxo parce que t'as pas respecté les règles du jeu.
Le trait est forcé, l'esthétisme discutable.
Mais la comparaison peut s'entrevoir dans l'intervalle de la serrure de la porte du plaisir.
Dédé était ce personnage qui boni...fiait ces ballons pour le plaisir de ce jeu qu'il respectait avant tout et de tous les afficionados, par la qualité des actions déclenchées.
Pas un Don Quichotte contre tous ces moulins à vent, plutôt un vrai Don Boni qui mettait dans le vent ses adversaires, sans avoir besoin d'un Sancho pour penser...
En matière de passe et de transmission
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RépondreSupprimerPour leur plus grand malheur, et le notre, la fatalité avait tranché:
RépondreSupprimerComme on ne sait pas qui est le plus dangereux , il faut les séparer.
Quelle conne, elle a récupéré les deux maintenant, et j'espère bien qu'ils vont faire tourner tout le monde en bourrique la haut.
Des rudes, des bons, trés bons, des solistes, des patrons....nous en pleurons beaucoup, la liste est riche, mais l'aura, la prestance, le halo de lumière comme compagnon, c'est déjà plus rare.
Allez, au revoir Monsieur.
Merci Dédé. Merci pour cet hommage et les commentaires
RépondreSupprimerune difference flagrante entre le rugby d avant et celui d aujourd hui la qualite de la passe le soin apporte a transmettre la profondeur des 3/4 de nos jours une meute jouant a plat de la percussion a volonte des passes minimalistes des chisteras a volonte la technique s est appauvrieet on a aisi banni l esthetique la qualite du spectacle qui est capable actuelement d effectuer un subtil coup de pied de recentrage de jouer debout
RépondreSupprimerplus de BONIfication du jeu un MALUS constant
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SupprimerIl y a surtout, Allan, des joueurs de plus en plus rapides sur un terrain qui n'a pas changé !
SupprimerLes techniques ont évolué, une évidence, appauvries c'est moins sur .
Allez Chevreuse
L'a quand même pas tout à fait tort, Allan.
SupprimerLa passe vissée est devenue la base pour les lignes arrières, parce que le jeu est maintenant bien plus à plat, avec la nécessité de la vitesse de transmission. Sauf que ce que l'on gagne en vitesse, on le perd -et presque systématiquement- en précision. André Boniface devait bouillir de rage devant ces passes-obus qui transforment presque le receveur en gardien de but, au pire, ou au mieux et le plus souvent "arrêtent" le mouvement quand elles arrivent en arrière ou trop haut, en tous cas pas dans la course du joueur. Et là, tout est foutu, plus de décalage, plus ce petit mètre d'avance ou d'espace qui permet de prendre l'intervalle ou de déborder.
Et tant qu'à avoir des joueurs maintenant bien plus rapides, y compris devant, pourquoi ne pas remettre au goût du jour le coup de pied de recentrage, notamment dans les 10 mètres devant la ligne; mais comme il n'y a plus de profondeur dans le jeu offensif, les défenses montent couper de suite les extérieurs, et la balle n'arrive que plus rarement à l'aile de manière classique... et quand c'est le cas, la plupart du temps il n'y a plus de quoi déborder, donc on repique au centre, on fait un petit tas et on repart sur une charge de gros au près.
Ce n'est pas la technique qui s'est appauvrie, c'est le jeu. Même si pratiqué au meilleur niveau, cette recherche offensive persiste.
André Boniface n'avait que faire d'un jeu qui rassure; il ne voyait que la qualité technique et de placement qui permettait l'efficacité de l'attaque (et pas la seule beauté du jeu); aussi intransigeant que Jean Prat qui venait mettre une gifle à Maurice en plein match parce qu'il avait raté une passe. Si on faisait ça maintenant, les matchs seraient des festivals de claques...
Suivant toutes les rencontres (Top 14, Coupe des Champions, Tournoi, tournée et Coupe du monde) depuis maintenant quarante ans, les meilleurs joueurs - comme l'était André Boniface - sont ceux qui disposent de la meilleure technique individuelle et de la meilleure condition physique. Ils n'ont pas toujours autour d'eux des partenaires à la hauteur et sur la même longueur d'onde. Mais on peut voir de belles combinaisons de jeu, innovantes et tranchantes. Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme, disait le savant.
SupprimerDans la perspective de la conservation du ballon, la percussion axiale dans le premier temps n'est pas systématique et les essais en première main existe encore. Quant aux passes, elles sont plus longues qu'avant, mais pas pour autant mieux assurés. Et quand elles le sont, cela permet aux actions d'être bonifiées.
En cela, rien n'a fondamentalement changé. Les transformations sont superficielles, cosmétiques. Si ce n'est en mêlée et en touche, pour lancer le jeu avec plus de fluidité. Ce qui n'est pas une mauvaise chose.
La percussion (axiale ou pas) et le petit tas qui va avec fait quand même partie des basiques de toute équipe, et encore plus de celles qui ont moins d'ambitions offensives, pour faire dans la litote.
SupprimerEt les essais en première main, y'en a quand même pas tant que ça (les vrais, hein, ceux après touche ou mêlée sans temps de jeu préalable).
Maintenant, 'tention: j'ai pas dit "c'était mieux avant"; juste que dans ce qui se faisait avant, y'avait de belles choses à conserver ou retrouver, notamment un souci de la passe qui se retrouve moins. Mais les touches ou les mêlées ouvertes bordéliques à souhait, le jeu dur vicieux, le rugby a considérablement gagné à les perdre.
Ça dépend à quel niveau on met le verbe changer.
RépondreSupprimerLe champ d'action n'est quand même plus le même. La passe, élément essentiel est maintenant vissée, made off load, chistera.
Les gabarits sont plus les mêmes, la muscu fait partie de la vie de tous les jours du rugue by man. C'est pas rien.
Plus de chaussures montantes pour les avants, ni à bout carré pour les buteurs. Plus beaucoup de drop, non plus.
Plus de maillots coton pesant 2 t. avec la pluie et la boue. Maintenant, c'est polyester et près du corps. Et des ballons plus en cuir mais en synthétique. Même le gazon a changé.
Bon, pour l'instant il y en a toujours qui ont les fils pas reliés à la terre et qui apportent ce pep's qui électrocute et un sens du jeu sans filet qui peut électrocuter aussi.
Bref le goût du jour a changé et le plat du jour aussi.
Effectivement si rien ne se perd tout se transforme. En bien, en mal, chacun appréciera... L'important étant de ne pas perdre la face, hein Boni ? De
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RépondreSupprimerPar les temps qui courent, il ne fait pas bon avoir une idée divergente, ou de louper la transformation de la gagne.
RépondreSupprimerJe rappelle ici que Maxime Lucu qui a encore fait un grand match samedi a dû fermer depuis son compte twitter.
Voir ici
Même Mourad s'en plaint voir ici à compter de 2min20s
Il en profite pour rappeler que les Harlequins auraient pu gagner même si Lucu avait réussi la transformation.
Heureusement, ça ne peut pas arriver ici encore pour plusieurs raisons dont l'obsession salutaire et à contre courant du boss de refuser les pseudos.
Si l'usage des pseudos sur internet était assorti de l'obligation de pouvoir le relier à une personne physique clairement identifiée, avec la possibilité qu'une personne qui s'estime insultée puisse effectuer une "réclamation" à une autorité spécialisée pour ce genre de comportement, ça dégonflerait ce sentiment d'impunité qui favorise des débordements de plus en plus graves.
Je vous conseille la série "La fièvre" sur canal+
"Les deux femmes "spin doctors" vont se livrer un combat sans merci ni répit pour orienter une opinion publique défigurée par la puissance des réseaux sociaux et leur culture du clash"
Alors voilà, pour commencer doucement et par le plus récent, je vais vous avouer être le seul supporter de l'UBB particulièrement enchanté par le match de samedi et aussi par son issue défavorable.
Je pense d'abord que ce match aurait plu à Boni, en particulier la passe de son homonyme.
Dans
cet article
on peut lire
"Comme dans un hommage à son glorieux homonyme disparu plus tôt dans la semaine, Boniface s'est aussi inscrit avec à-propos dans la ligne offensive de l'UBB, façon pivot. D'une sublime passe dans la chute, il a d'ailleurs lancé Nicolas Depoortere à l'essai (43e)."
Je pense que comme moi Boni préférait voir un beau match, dans ces circonstances particulières, même perdu par son équipe favorite, que de voir son équipe favorite gagner "moche".
Cette vidéo
prend tout son sens. Elle nous montre André Boniface dans son franc parler. Il nous parle d'un jeune centre (1mn20) qui a fait le bonheur de l'UBB jusqu'à son dernier match durant les doublons coupe de monde.
Lire en retour
l'hommage de Jean Baptiste Dubié à André Boniface
Notons comme un clin d'œil du destin, que celui qui intervewieve André Boniface est le père de celui qui nous a gratifié de belles passes ce dimanche après midi, telles que le définit André Boniface dans cet extrait vidéo
Mais je dis aussitôt que le "beau" est discutable, probablement selon son poste de prédilection et ses prédispositions. N'est-ce pas Jean-Claude Escot?😉
RépondreSupprimerEnsuite je pense qu'une victoire de l'UBB aurait empêché de se poser les bonnes questions sur ses limites encore, pour combler le fossé avec un Stade Toulousain dont je reste admiratif en tous points (son adn, son organisation, etc.).
Question qui fâche.
Quel intérêt y avait-il pour l'UBB d'aller défier Toulouse sur ses terres en demi-finale de Coupe d'Europe le 5 mai alors qu'elle n'est pas assurée de pouvoir le rencontrer à nouveau en top 14 au pire au Matmut à Bordeaux ou au mieux en finale le 28 juin à Marseille?
L'UBB plutôt que d'aller viser un hypothétique exploit en demie à Toulouse a mieux à faire, de mon point de vue, pour assurer sa place dans les 6, voire espérer jouer un barrage à domicile.
L'exploit à accomplir, plus à sa mesure, serait d'aller le 27 avril battre Bayonne à Jean Dauger, ça c'est pour viser mieux que la place de 6eme qui lui est promise.
Jouer une demie le 5 mai, et pourquoi pas la gagner après avoir "lâché" à Bayonne pour se préserver et recevoir le 11 mai La Rochelle revanchard concentré désormais sur un barrage à domicile, c'était le pire des scénarios pour sortir des 6 à la fin de la phase régulière.
Comme je l'ai écrit par ailleurs, ce n'est vraiment pas de chance, mais pour que Bordeaux puisse jouer pour la première fois sa demie "à domicile" il va falloir faire preuve de plus d'efficacité et de pragmatisme, quitte à décevoir Boni.
Pour espérer gagner un barrage à l'extérieur ou à domicile dans le meilleur des cas contre Toulon, Racing ou La Rochelle il faudra améliorer beaucoup de choses encore.
J'en suis même parfois à me demander si l'UBB a intérêt à gagner ce titre tant espéré (et ils ne sont pas les seuls à le vouloir ce titre) ou s'ils ne doivent pas "accepter" le "plafond de verre" et viser plutôt encore la régularité pour assurer la première réussite déterminante: attirer toujours autant de spectateurs au stade, avec les conséquences économiques et sportives qui en découlent sur le moyen et long terme.
Je n'envie pas le parcours d'un Montpellier pourtant champion en 2022, avec une fréquentation "ordinaire".
Cf :
Les affluences en top 14
Même si c'est probablement en cette année 2022 que l'UBB aurait pu gagner "plus facilement" le titre.
Aujourd'hui, être supporter de Pau, c'est assurément plus confortable. On ne vise pas le titre, on ne craint plus la relégation, donc on vit match par match en appréciant la grande qualité du jeu proposé.
Tu t'arranges un peu comme tu veux avec ta conscience...🤔 😉
SupprimerComme quand le Floyd chante Comfortably numb...
Mais l'UBB c'est ton bébé...
Allez maintenant va falloir rentrer dans les 6 et faudra tout.
C'est leur défense derrière qui n'est pas bonne. Passez agressive, trop attentiste.
Le seul à avoir montré l'exemple pour mettre l'équipe sur les rails est Lucu, et Buros à un degré moindre
Mais l'UBB c'est son bébé
SupprimerDar la dir la da da
Allez chanter du Sergio dans le fond du car !
Hello les Boni Lucu Boys !
RépondreSupprimerJ'ai pris beaucoup de retard, vents contraires, et trop d'embuscades mais quel bonheur ! Bon, 2e du tournoi, une chance de cocu qui ne reflète pas le niveau de l'EDF actuel et qui ne fait pas honneur au rugby prôné par "Dédé". Tout le monde y met son grain de sel, le seul qui puisse dire c'est "le Mola" à la vue du jeu proposé. Rien de mieux actuellement en plus du Leinster côté Nord, côté Sud forcément les garçons c'est autre chose pour l'instant ! Toujours la même soupe à lire, va falloir jouer debout les gars ! Le Barde et le Conteur, payez leurs un stage de communication ou envoyez les chez Allan ou le Jan Loup des mers du Sud ! Après quelques tisanes et quelques infusions fruitées de l'ile, ils seront moins bavards ! Bon l'UBB, faut changer le Président, un routier rien de plus. Ici, tout baigne, nous continuons à pisser dru et à se désaltérer à la santé de l'Ovalesque. Allez, de la brise en vue, nous allons cabotiner. Salut les Boys !
Sergio, tu y vas fort avec ma conscience😄
RépondreSupprimerCe n'est qu'un jeu et on peut préférer un style de jeu à un autre.
Je ne suis en aucune manière un supporter cœur fidèle d'un club à tout prix.
Évidemment que je rentre dans le jeu comme les autres et je ressens des émotions intenses quand un match est intense et peut basculer d'un côté ou de l'autre. Et avec l'UBB cette saison de top 14, on est servi par certains dénouements de matchs favorables ou défavorables.
Mais cette défaite est une très bonne chose. Elle clôture un parcours remarquable en coupe d'Europe où effectivement les résultats et la manière ont été au rendez-vous. Il y a forcément des raisons qui expliquent que cette compétition permet à l'UBB d'avoir un rendement optimal...qui ne suffit pas.
En top 14 c'est vraiment différent et seul ce classement très resserré peut donner l'illusion d'être un jour sur le podium et la semaine suivante relégué du top 6.
Dix équipes qui se tiennent en 10 points à 6 matchs de la fin, c'est du jamais vu. 7 équipes peuvent encore espérer accrocher la 6ème place.
Toulouse de son côté a enfin la possibilité de vivre une coupe d'Europe avec les trois derniers matchs contre des clubs "étrangers".
Seul le club de La Rochelle a réussi un doublé contre un même club étranger.
Depuis 1996 (Cardiff, la première) Toulouse n'a jamais rencontré un club "étranger" en finale.
Une finale 100% française n'a pas la même saveur qu'une finale mixte.
Au moins un club français a participé à 21 finales sur 28.
Espérons que Toulouse nous permettra de vivre le France-Irlande des clubs, très proche du France-Irlande.
Ps: J'apprécie d'être "connecté" à Philippe Pierre.
Un texte hyper long et bavard de ma part est "l'effet papillon" du blog qui provoque une poussée d'azerty de P.P trop longtemps sur les flots, à des milliers de kilomètres de là. Ce "hasard" est réglé comme du papier à musique 😉
Dans certains milieux autorisés, on appelle ça plus précisément "l'effet pruneaux"🤣
On commence à connaitre l'effet Pif Paf Plouf d'alias "Poche et Pif", la jouant Ovale masqué pour mettre les pieds dans le plat, et nous faire croire que c'est la faute du vent, tout ça, cabotinant soit-disant on ne sait où à se prendre pour la route du rhum. Entre 2 rasades, une pointe de lucidité parfois...
RépondreSupprimerSi le top 14 est resserré c'est que la plupart des clubs se trouvent à gérer des hauts et des bas, pas réglés comme du papier à musique, les laissant dans l'incertitude finale. Seul Toulouse Airbus devient stratosphérique. On verra quand même jusqu'où pousse l'objectif final. Et si Toulouse assure et rassure le rugby français en errance cette année, La Rochelle passant en pente descendante et c'est même pas fort de café...
La faute à trop de matchs, çà parait certain. Allez, je descends à la cave chercher ce qui me reste de conscience.
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RépondreSupprimerMonsieur Boniface et tous ceux qui ont fait la légende de notre sport seraient a n'en pas douter toujours les meilleurs aujourd'hui, pour peu qu'ils pratiquent avec les méthodes en cours.
RépondreSupprimerParce que le cadeau des bonnes fées penchées sur leurs berceaux fera toujours la différence.
Mais joueraient ils encore de la même façon voilà la question?
Parce que le niveau du vulgum pecus,du moins bien né, du besogneux à grimpé fort.
Vous avez creusé le trou de la sécu de manière indécente, enrhumant des générations de flankers , de centres qui trouvaient le temps de s'entraîner deux ou trois fois la semaine, c'est plus compliqué maintenant que le mec en face il fait ça toute la sainte journée .
Alors bien sur que le jeu a changé, inévitablement ,parce que les joueurs ont changé et c'est quand-même eux qui le font, le jeu.
Est il plus beau pour autant,a chacun sa réponse , moi je sais pas trop ce que ça veut dire.
Mais qu'il soit plus riche dans le contenu, dans les postures, les courses et les actions de tous les participants j'en suis convaincu.
Que cette athlétisation a marche forcée nous rapproche toujours plus des jeux du cirque ça fout un peu les jetons, revers de la médaille, mais c'est un autre sujet.
Allez Chevreuse
Marée rochelaise pas suffisamment solaire et ne déborde pas à Castres qui reste sur les planches
RépondreSupprimerEt Toulouse tomba avec les zones heurts...
RépondreSupprimerOù on voit maintenant des engagements joker pas que pour suppléer des blessures et plutôt... JIFF.
RépondreSupprimerMontpellier qui doit sauver sa peau et rentrer aussi dans les clous, Clermont, Toulon entre autres aussi.
Les quotas c'est pas forcément un concept très sympa, ça rappelle un peu le fameux " plombier polonais ", mais il faut bien reconnaître que les JIFF ça a donné de bons résultats.
SupprimerNos présidents de clubs avides de gloire et de trophées avaient peut-être besoin d'une bonne GIFF dans la tronche après tout !
Allez, je connais un pays où on dit "discrimination positive ", c'est plus doux .
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RépondreSupprimerComme je ne sais pas si le midol est lu à l'autre bout de la planète, je partage un édito au sujet de l'une de mes préoccupations "bavarde" et sans intérêt du moment😉
RépondreSupprimerAu titre évocateur :
Qu'ils viennent le lui dire en face
Quand à notre grand navigateur, qu'il nous fasse partager en images son périple.
Ou qu'il vienne mouiller au "port de la lune" en juin, pour casser la croûte au bistrot des quinconces pour venir rencontrer en vrai le boss et quelques autres.
Remember 2015:
restez en quinconce
Tout est dit entre pseudos chaleureux et cartes d'identité froides.
SupprimerHello tutti
SupprimerJe vois que tu tiens notre histoire à jour, Lethiophe...
Constatons que notre blog évolue.
Et l'affaire Lucu montre que le pseudo est une tare. Surtout quand on déverse du fiel.
Fort heureusement nous en sommes ici préservés.
Sergio un peu de sérieux dans tes comparaisons, svp.😉
RépondreSupprimerC'est comme si tu comparais mon style à Jean Paul Dubois
Lire ici
Non Ovale Masqué, c'est moi qui lui ressemble question longueur, mais question humour, non faut pas pousser, personne ici ne lui arrive à la cheville en format court ou long.
Labrador bionique VS divinité gersoise
Mais je déteste pas sa vision du rugby. Ça reste un passionné.
RépondreSupprimerLa comparaison, c'était juste un clin d'œil à Pink Floyd, et ça restait avec sérieux... et un peu de mal lisse.
L'UBB n'a pas eu le rendement optimal dont ils avaient les moyens. Dommage car ils auraient pu déborder leur adversaire en quart coupe d'Europe. Et surtout faire de une 1re mt moins catastrophique. Ça s'explique et se corrige. Donc le parcours n'est pas foncièrement remarquable car ils pouvaient jouer les demies. Demande à Bru ce qu'il en pense. Ils ont été bien plus optimaux hier soir contre Clermont plutôt catastrophique, du coup.
Ils sont encore dans la difficulté à gérer certaines périodes compliquées. Comme d'autres.
Après tu approches pratiquement la perfection et seule Toulouse la titille, avec aussi un effectif pléthore, de qualité et un jeu bien géré et assimilé par tous qui leur permet de faire tous les faire tourner sans perdre trop de densité pour la gagne. Même s'ils ont perdu contre à Perpi qui a fait un match remarquable d'engagement et suffisamment précis pour les passer d'un point.
Allez, Ovale démasqué...
Continuons à bavarder, et en particulier sur des sujets connexes.
RépondreSupprimerClermont, une catastrophe industrielle? La fin du "système Urios"? Lui qui annonçait qu'avant sa venue, l'ubb ne savait pas finir dans les 6?
Ça risque d'être pire que 2022 (10ème)
Et que 2018 (9ème), pourtant 2ème en 2017 et champions.
Pour l'ubb, j'aimerais qu'ils soient en demies à Bordeaux... mais j'ai peur que ce soit très difficile.
Ils n'y arrivent pas.
Et ce depuis cette fameuse année 2015...
En 2015 Richard Escot râlait déjà contre le public des demies finales à Bordeaux....
En mai 2015
Dans cette chronique
Il était question de Bru, admiratif d'Urios, et hélas déjà question de dérives qui ne semblent pas prêtes de s'arrêter.
Et manifestement il y a trop d'enjeux économiques pour que les choses changent. Il n'y a qu'à voir déjà ici les difficultés pour (faire) accepter une règle vécue comme contraignante, et pourtant répétée sans cesse. ..
Les géants de la tech ont réussi leur coup.
Faire croire que l'anonymat est le respect des libertés individuelles, tout en se faisant sans cesse "réprimander" sur l'absence de régulation et de contrôle de protection de la vie privée.
On emmerde (ou titille) Richard Escot avec ses "exigences" "ringardes" ou "autoritaires" sans se rendre compte que par ailleurs on ne se protège plus de grand chose.
"Seul bémol, apprendre ce midi que le président de Bayonne a été menacé de mort par des supporteurs (sic) bayonnais à cause de son projet de fusion. Pire, à l’école, son petit-fils de sept ans menacé lui aussi. Manu Mérin démissionnera sans aucun doute à l’issue du dernier match de la saison. Je le comprends. Comme j’avais compris Frédéric Michalak fermant son compte Twitter après avoir reçu un flot d’insultes pour une raison oubliée. Les hystériques, les obtus, les fatigués qui pensent qu’aimer est un excès font davantage de mal au rugby que de bien. Merci de laisser vos commentaires accompagnés de vos noms et prénoms. Nous ne sommes pas sur Twitter."
Richard,
RépondreSupprimerJe souhaiterais savoir si tu sais si André Boniface prenait plaisir à regarder des matchs en vidéo. Ce qu'il pensait de l'apport des techniques audiovisuelles qui permettent de revoir une action, de la disséquer au ralenti, pour mieux apprécier par exemple la dextérité de tel joueur faisant sa passe.
Que pensait-il de l'influence de la vidéo sur le sort d'un match à travers l'arbitrage vidéo?
Ci-dessous, ma réaction-réflexion-interrogation au sujet de la polémique née de l'absence de recours formel au diffuseur pour trouver des images permettant de visionner à nouveau, dans de meilleures conditions, la phase de jeu qui provoque une contestation du capitaine de l'Aviron Bayonnais auprès de l'arbitre de champ.
Polémique autour de l'appel à la vidéo
Et il y a un an c'était exactement le contraire 😱
SupprimerTop 14. Quesada charge l'arbitre de Bayonne-Stade Français : "C'est presque scandaleux !" https://actu.fr/societe/top-14-quesada-charge-l-arbitre-de-bayonne-stade-francais-c-est-presque-scandaleux_57494780.html
Eh oui tu vois Letiophe, comme disait l'Autre alias le Ritchie, rien ne se perd, rien ne se crée.
SupprimerLe rugby (et l'arbitrage du rugby) est un éternel recommencement.
Oublions les arbitres.
Oui tu as raison. Oublions les arbitres et laissons le jeu se dérouler sans eux chiche, pour que chacun (joueur, président, entraîneur, spectateur) se rende compte du problème.
SupprimerIl paraîtrait que Alexandre Ruiz devenu entraîneur ne soit pas devenu l'entraîneur le plus respectueux vis à vis de l'arbitrage, loin de là.
Je propose que l'arbitre soit payé selon une péréquation savante de la masse salariale présente sur le terrain, staff compris... puisque très vite lorsqu'on l'aura supprimé (cf ma première proposition radicale) on le réclamera à nouveau.
Et ma foi on pourrait aussi imaginer qu'il veuille en "croquer" autant que ceux qu'il arbitre, vu qu'il devient irremplaçable.
Alors puisque nous sommes dans une économie réelle et capitaliste, il se vendra, discrètement au plus offrant ; le meilleur arbitre devenant celui qui est capable de faire un arbitrage orienté sans que ça soit contestable.
J'exagère ?
A peine...Regardez la fuite des arbitres vers des postes plus rémunérateurs où c'est mieux payé de râler contre un arbitre que d'être arbitre...
Certes la garantie de l'emploi y est plus aléatoire.
Mais la pénurie d'arbitres français au niveau international est déjà là.
Va au fond de ton analyse, il me semble que tu oublies l'influence de l'âge et l'obligation actuelle qu'ils ont d'arreter notamment pour être arbitre central
SupprimerEt du coup à Boniface, on perd la face en ne bonifiant pas les temps forts, laissant la victoire de l'autre landais d'en face qui vient te narguer sur ton territoire. Une histoire de pots de vaches...landaises.
RépondreSupprimerEt l'entraîneur montois d'accuser l'arbitrage (coup de tête, en-avant sur 1er essai dacquois non visionnés...) bien qu'il ne nie pas que Dax ait mérité sa victoire.
Pendant ce temps, Biarritz qui va gagner d'un fil de pruneau à Agen. Et la reprise du BO, sacrée inconnue, style biterroise qui n'avait finalement rien donnée, à part le décès de Christophe Dominici.
J'ai rien contre les repreneurs et leur tentative avec la mairie au milieu pour trouver un investisseur. Mais même pas peur d'un tel guêpier aldigéen ?
Aldigé qui n'aurait pas abandonné le projet de reprise d'Agen... plutôt dans le style feinte de pass ou cadrage des bords, mais rien à voir avec les spécialistes de ces gestuelles.
Allez sinon crunch féminin. C'est clair que même avec l'arbitrage, c'est pas fait face aux bouillantes de Kub de boeuf.
Ces histoires autour de l'arbitrage commencent à prendre une place démesurée et inquiétante pour le devenir du sport. Que le foot ait cédé devant les intérêts financiers en jeu, peu m'importe pourvu que le rugby trouve les garde-fous empêchant cette dérive. La nature de son jeu y aide déjà; dans sa dimension d'affrontement physique et mental, il y a souvent une équipe qui prend le pas sur une autre par rapport au foot où la dimension tactique a pris beaucoup d'importance. En rugby, il est impossible qu'un club de fédérale vienne battre un club de Top14 alors qu'en foot ça arrive assez souvent en Coupe de France.
RépondreSupprimerMais on pourrait penser à d'autres mesures, y compris de sanction financière, quand un président, dirigeant ou entraîneur se laisse aller devant le micro tendu à expliquer la défaite de son équipe autrement que par sa propre défaillance (la sienne et celle de l'équipe).
Hier soir en fin de match les Montois ont campé dans les 30 mètres dacquois pendant 10 mn et pour marquer l'essai gagnant se sont obstinés à venir cogner au près sans varier le jeu, le déplacer et chercher à ouvrir la brèche dans la ligne dacquoise autrement qu'à grands coups d'épaule et de petits tas. La défense de Dax n'a pas cédé, et Mont de Marsan a perdu. CQFD.
Georges, tu as raison, j'ai été un peu excessif sur mes conclusions.
RépondreSupprimerJe reviendrai donc là dessus car comme le dit Jacques "Ces histoires autour de l'arbitrage commencent à prendre une place démesurée et inquiétante pour le devenir du sport."
Raison de plus pour en parler.
Je viens de voir juste le début de Toulouse Racing et justement l'essai refusé car des images sont visionnées à l'inverse de ST Français Bayonne...
Finalement je redeviens pour la vidéo car on sent bien que sur ces phases de jeu il y a de "la triche", parfois invisible à vitesse réelle y compris pour téléspectateur, commentateur et arbitre vidéo non vigilant ou pas très pointilleux...
Mais là comme par hasard Eric Briquet-Campin veut être exemplaire...malgré son âge...62 ans (limite 65 pour la vidéo)
Un professeur des écoles :
https://www.linkedin.com/in/eric-briquet-campin-14398942
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SupprimerEt en fin de match, "même presque moi" je vois la faute de Chavancy... ces "à peu près" (il n'y a pas de grand enjeu dans ce cas précis , un point de bonus en moins) sont aussi une manière pour les arbitres de se "tirer une balle dans le pied".
RépondreSupprimerHormis le fait que c'est assez incroyable que les arbitres de champ ne voient pas cette position de Chavancy, cette manière de faire appel ou pas à la vidéo, manque singulièrement de cohérence.
"Se tirer une balle dans le pied"
"Donner le bâton pour se faire battre"
Franchement sur une action comme ça, je mets Ramos et Chavancy devant un écran à la sortie du match, je fais dire au second que bien évidemment il ne respecte pas la règle et c'est encore l'arbitrage qui en prend un coup. Même les commentateurs et diffuseurs ne savent plus sur quel pied danser pour ne pas allumer "trop de feux"...
Être intransigeants sur les joueurs qui discutent hormis le capitaine, ça c'est très très important.
Mais en retour il faut juste faire preuve d'un peu d'intelligence.
Vérifier le non essai de Flament sous toutes les caméras possibles, ça frise le ridicule!
Ne pas demander le ralenti sur la course en leurre de Chavancy, c'est une erreur🤔
Même Richard Escot "marche sur des œufs" sur ce sujet, alors même qu'on connaît sa capacité à avoir des avis tranchés, sur le système de jeu prôné par l'EDF par exemple.
Pas étonnant alors, qu'il soit invité dernièrement à 100% rugby UBB et pas à 100% rugby Pays Basque 🤣🤣
Sinon le rouge des françaises, un peu sévère quand-même...
SupprimerPas facile de passer à travers le troupeau anglais. Trop de points lachés en 1re mt et manque de maîtrise du jeu en 2e malgré des mouvements intéressants où à un moment donné il y a une erreur de jugement, un retard dans le déblayage... et autant de ballons perdus. Assez bonne tenue en mêlée où si elles ont été pénalisées, face aux beefs qui avaient peut-être un peu plus de marge pour manoeuvrer limite...
Pourtant certainement le match référence du tournoi pour les françaises (surtout en 2e mt en grande partie à 14) face à une arrogance anglaise plus que limite méritant de se faire corriger, mais c'est pas encore d'actualité...
Assez incomprehensible ce dernier essai du R92, du fait que le VAR n'intervient pas comme il aurait du le faire, il dort le gars ou quoi?
SupprimerDepuis quelques semaines je veux évoquer la qualité"rugby" de Niniashvili, à mon sentiment c'est, à quelque chose près, le meilleur rugbyman du TOP 14. malgré son gabarit, il est impecable en défense ,a une passe laser, longue quand il faut, supérieure à celle D'Irribaren, et j'en passe pour d'autres aspects de ses prestations.
RépondreSupprimerun Irribarenshvili, en somme. De là à posséder la même passe laser qu'Irribaren, je n'y vais pas. Quand même 1,85 m, et de gros appuis, une plus grande pointe de vitesse qui rie... des crochets parfois déroutants, il faut éviter de lui laisser du champ. Quant au meilleur joueur T14 du moment🤫
Supprimeret tu as vu le match contre Pau? Des fois les enfants ne se trompent pas, à la fin du match c'était lui le plus entouré par les gamins...
Supprimerlors du match de Clermont face aux parisiens j ai constaste que Don URios avait reussi a dompter Kramer et Lavanini auparavant reputes pour detruire et pourrir les actions et de ce fait abonnes aux cartons dorenavent ils sont appliques et plus utiles ce qui n est pas le cas de Pesanti toujours mechant sur ses interventions coutumier de mauvais gestes mais beneficiant de la bienveillance des arbitres intolerable tout ca
RépondreSupprimerquant a Toulouse nul ne semble de taille a lui ravir son trophee
SF semble un peu aussi en dents de scie et surfait à cette 1re place pour espérer le Brennus. Il y a effectivement Toulouse et les autres, à preuve du contraire.
SupprimerMontpellier reste bien placé pour les barrages de la descente.
Jamais vu ça. Toulon fait tout pour repartir sans la gagne ni le bonus. 3 cartons jaunes et beaucoup trop de pénalités évitables, prennent pas 3 pts de pénalités en fin de match, 2 essais à 14.
RépondreSupprimerLa Rochelle joue petitement sans convaincre depuis quelques temps et propose que de l'affrontement sans liant avants-3/4. C'est quand même inquiétant pour une équipe qui prétend encore être en haut du panier, et logiquement ça ne devrait pas suffire pour aller loin. On l'a déjà vu en coupe d'Europe.
Ils auraient dû rester 6e à l'issue de cette journée. Pour Toulon, c'était pas encore jour de muguet, et donc pas de porte-bonheur.
Ouaip, pas payé!
SupprimerMais Mignoni fait tourner, la dynamique est bonne, et Toulon pourrait bien être l'équipe en forme des phases finales, non ?
Allez Montpellier ( en D2! )
ASM très bon aux essais mais la gomme a failli dans la dernière ligne droite dommage
RépondreSupprimerPas vu mais uneu court et indiscipline. Dommage car il y avait de la place pour aller au bout... de la coupe et gommer la mauvaise saison.
SupprimerEt l'arbitrage...😄
L'arbitrage a surtout sanctionné 7 ou 8 fautes (!) évitables pour la seule 1ère mi-temps; à l'arrivée, 15 ou 18 points offerts aux Sharks, qui plombent l'ASM. Ergoter ensuite sur un essai de pénalité refusé en fin de partie, c'est manquer de lucidité sur le match entier.
SupprimerC'était juste un clin d'œil. Manque de maîtrise. Tu trempes trop les doigts dans le pot à confiture et il te glisse des mains
SupprimerTardivement je découvre l'article. Je lis aussi les commentaires. Désolé mais le dernier fils spirituel de Boniface c'est Denis Charvet. Si nous avions eu des sélectionneurs moins limités, il aurait été sélectionné bien plus. Cet artiste de l'attaque formait avec l'immense Sella, la plus somptueuse paire de centres des années 90/2000.
RépondreSupprimerC'est ton droit, et sur ce blog même pas la peine d'être désolé !
SupprimerAllez pas belle la vie ....
Pas faux pour Charvet, mais le vrai fils spirituel, c'est d'abord Patrick Nadal; un signe qui ne trompe pas: il n'a pas eu la chance d'avoir la moindre cape en EDF...
SupprimerAh, Nadal !
SupprimerUn sacré beau match de Rugby hier, non ?
RépondreSupprimerLes cadres noirs ( et rouge)ne patinaient pas dans la Saumure, leurs équipiers non plus, heureusement parce qu'en face pas des Colombine,les mecs.
Du jeu,du rythme, peu ou pas de faiblesses, un petit Marcus toujours juste, dangereux, une belle opposition.
Ah si quand même un beau polichinelle, mon ami Marler...
Allez Jo,la retraite arrive, good new.
Sinon paraît que Codor doit annoncer sa candidature en opposition à Grill. J'en avais
RépondreSupprimerparlé précédemment. Je le voyais pas trop, comme ça, s'acoquiner avec Bernie qui pourrait réapparaître par la porte des WC. Encore faudra attendre aussi l'issue de l'appel de son procès, avec Altrad.
Je sais pas ce qu'en pense Richard... Allo ?
Nous devrions en savoir davantage en fin de semaine prochaine
SupprimerTrès pris ces temps derniers par toutes sortes d'activités, et surtout éditoriales, je reviens vers le club-house avec une nouvelle chronique à paraître ce soir.
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