La défense prend des allures d'essuie-glace. A en croire les experts autoproclamés, il faudrait faire barrage, donc, et bloquer les débordements sur l'aile gauche, alors qu'on nous expliquait il y a peu qu'il fallait tout faire pour éviter d'être enfoncé côté droit... Reste que le week-end dernier, les tentatives ont été fructueuses: huit essais à Ernest-Wallon, six à Chaban-Delmas, comme autant de réussites. D'ordinaire, la phase finale du Top 14 est terminale : verrouillée, frileuse, défensive et bien peu spectaculaire. Cette fois-ci, avec le retour - sonore - du public dans les tribunes, il faut croire que l'ambiance festive a porté les joueurs. Pour notre plus grand plaisir.
Prime à l'hôte, donc. L'apport des supporteurs n'y est pas étranger. Projetons-nous maintenant aux demi-finales, very nice. Prime au repos, à la récupération ? Et donc petit avantage fraîcheur aux Castrais et aux Montpelliérains ? Sans doute, en toute logique. La phase finale est une intense saga sans temps morts. Son équité a pour source le classement, d'où l'intérêt - du moins est-ce ainsi présenté - de terminer dans les deux premiers pour reposer les troupes après neuf mois de route.
Cruelle, écrivions-nous la semaine dernière. Oui, la phase finale l'est, et ce n'est pas Christophe Urios qui nous contredira, lui qui a misé sur une révolte afin d'aider son équipe à décrocher, enfin, le Bouclier de Brennus. Mais un soulèvement du vestiaire peut-il être efficace trois semaines de rang ? Les Girondins n'ont-ils pas tout puisé, et donc épuisé d'un seul coup leurs ressources face au Racing 92, dimanche dernier ? Si focaliser sur une seule personne l'ire d'une équipe en mal de vigueur permet à l'UBB de terrasser Montpellier, dimanche, alors Christophe Urios méritera d'être sacré manager le plus coruscant - clin d'oeil à Jacques Verdier - de la saison.
Brillant, Phil Bennett l'était lui aussi. Imaginez débuter dans le XV de Galles après l'immense Barry John... Le crocheteur de Llanelli n'a pourtant jamais été dans l'ombre de son ainé et a pris immédiatement sa part de lumière. Là où Mozart en crampons s'infiltrait en finesse, masquant sa pointe de vitesse par une aisance de sylphide, Phil Bennett a hissé, tel un danseur sur la pointe des pieds, la feinte de corps au rang de performance artistique. Il s'est éteint le 12 juin, à l'âge de 73 ans, mais sa mémoire nous éclairera encore longtemps.
Il y a une quinzaine d'années, en reportage à Llanelli avec mon copain photographe Fred Mons pour L'Equipe Magazine, Phil Bennett, véritable ambassadeur du club et de la ville, m'avait ouvert toutes les portes comme il perçait les défenses : souriant, affable, disert, disponible. Il s'était présenté à nous en costume trois pièces, élégant de la tête aux pieds, la pochette assortie. Avec lui, sans attendre, nous avions pu récolter dans la ville, au sein du club et alentour histoires et anecdotes, angles et sujets. Avant de terminer notre visite par un Land of my Fathers d'anthologie, au terme d'une concert privé, je veux dire juste pour nous, du Llanelli Male Voice Choir, dont la discographie n'est plus à vanter.
Comme d'autres joueurs de sa génération rouge - JPR Williams, Gerald Davies, Ray Gravell, Gareth Edwards, Merwyn Davies - Phil Bennett était un leader. Un porteur de jeu. Benny, pour les intimes. Et s'il y a une évidence que nous enseigne la phase finale, c'est l'importance des leaders. Leaders de vie et de vestiaire durant la saison, certes, mais au moment des matches couperets, ce sont surtout les leaders de jeu qui font la différence. Le Racing 92, à l'exception de Gaël Fickou, en manque, et sa défaite en barrage est d'abord stratégique : trois essais encaissés en onze minutes, sans réaction de l'équipe.
De son côté, La Rochelle disposait de perforateurs - Skelton, Alldritt, Liebenberg, Botia, Danty - mais pas de chef d'orchestre capable d'inverser la partition, de comprendre en quelques minutes comment s'articulait le piège toulousain (double défense : vive au ras et inversé au large) et d'adapter une nouvelle façon de prendre la ligne d'avantage. Les barrages désormais rompus, ces demi-finales seront celles des maîtres du jeu, opposant les voisins ennemis vendredi soir et puis, le lendemain, des ambitieux affamés. En n'oubliant jamais que "la plus grande des victoires est celle au cours de laquelle nous avons eu la ferme conviction et le sentiment net d'avoir offert et donné toutes les opportunités à notre adversaire pour en sortir grandi."
Profitons bien de ces derniers matchs pour prendre du plaisir, parce que l'été (d'après les scenarii de Paris-Nice, de Tirreno-Adriatico, du Ronde, du Giro et du Dauphiné) s'annonce d'abord soporifique puis grotesque de part les performances de fin d'étapes...
RépondreSupprimerSinon de même qu'une arrivée à Nice est envisagée pour l'année des JO, peut-on penser à une délocalisation de la finale du top 14 à Twickenham (ou autre) par exemple? Barcelone en 2016 a été un succès il me semble...
Le rassurant dans ces rencontres de 1/4 c'est que ce sont les équipes joueuses qui ont gagné, et surtout qu'elles ont su adapter/s'adapter au jeu proposé et à l'adversaire, voire pour l'UBB changer de paradigme en cours d'exercice (pour le ST, comme LR n'a rien trouvé de mieux à lui opposer que sa leçon bêtement apprise et idiotement répétée alors qu'elle ne correspondait en rien à la situation terrain, il a déroulé son jeu sans douter, glop pour l'un ballot pour l'autre).
RépondreSupprimerAlors les demis qui arrivent, j'en espère du jeu et des vainqueurs à la hauteur des enjeux, tiens je vais vous dire, si le CO touché par la grâce trouvait la recette des passes et de l'extérieur et qu'il terrasse le ST en jouant un jeu de mains plutôt que leur jeu de vilains habituel, je n'y rajouterai pas ma sempiternelle gourme, mais bon, hein, j'y crois pas mais pas du tout, chevaux de labour ne deviennent pas étalons de courses, même à l'ombre des labos !!!!!!!!!!!!!!!
Bel hommage à Phil Bennett, les grands joueurs sont de grands hommes.
Heu, la finale de notre top.14 à tripatouille-les-bains voire St-Pierre et Miquelon, tiens, pourquoi pas, Nouméa aussi joli port de pèche, et puis z'aiment ça les voyages nos pros, tant que ça rapporte, une idée farfelue et plus encore a toutes les chances un jour de se concrétiser, si la monnaie est là !!!!!!!!!!!!!
D'accord avec toi. Ne pas oublier que Barcelone a été choisi parce que le SdF n'était pas disponible.
SupprimerAh ben là Thibault je savais que tu allais te faire des potes !
RépondreSupprimerBon, on rigole mais le principe d'une finale tournante dans nos riante provinces est tout sauf illégitime.
Tiens, pourquoi pas récompenser le comité qui aurait le plus de nouveaux licenciés l'année d'avant ?
Mais il est vrai aussi que pour les supporters la traditionnelle " montée à Paris" est plutôt sympa.
Allez Chevreuse
Même s'il n'y a pas de bon bec qu'à Paris, c'est le seul stade de 80 000 places, et là ça fait rentrer des sous dans les caisses de la Ligue. Normal.
Supprimerhttps://www.linkedin.com/posts/denis-reynaud_rugby-valeurs-management-ugcPost-6942427797877350400-d4jo?utm_source=linkedin_share&utm_medium=android_app
RépondreSupprimerUrios, le "Raimu" du rugby français, avec sa gouaille, son franc parler, son engagement, ses vérités, un vrai patron, décalé des caciques enbourgeoisés et sirupeux. Il faut ça pour gérer une armada de majorettes tatouées, volubiles et improductives. Tellement plus simple d'avoir Dupont pour essayer de le faire jouer à tous les postes (dixit Mola en conférence de presse). Toujours est il que je l'adore et qu'il a mon respecter mon affection. Audiard se régalerait avec lui. Quand on jouit de privilèges, la moindre des choses c'est de respecter ses engagements et de ne pas avoir la braguette ouverte, le slip sur les chaussettes et de croire qu'on est Rocco Siffredi.
profitez zt allez voir le chateau Pepusque pour en premier les amateurs de vins; C'est dans le Minervois juste sous la Montagne Noire, le Minervois est à mes yeux le meilleur site (climatologie et géologie) pour produire un des meilleurs vins de France et d'ailleurs
SupprimerD'accord avec toi Tautor. Urios est un manager né. On le sait depuis Oyonnax. Là, il a bien enfumé les joueurs, les obligeant à se dépouiller. Il n'y a que Woki et Jalibert qui n'ont rien compris au film. Il faut dire qu'on n'égratigne pas l'image de ces messieurs, c'est leur gagne pain, l'image.
SupprimerC'est bien le problème de l'image...
Supprimer"bloquer les débordements sur l'aile gauche, éviter d'être enfoncé côté droit", d'accord, mais la progression dans l'axe profond, on peut encore ?
RépondreSupprimerSinon, comme Nini nous aimerions du jeu, bien sur, le ST, l'UBB doivent y penser, les deux autres déjà moins, sans qu'on puisse leur en vouloir un instant.
Allez, une demi ça se joue pas, ça se gagne, je sais plus qui disait ça, Laporte ou Kronembourg, un des deux !
Progresser dans l'axe profond, ah oui bien sûr. Mais pour cela il faut reter droit. je veux dire, debout...
SupprimerOui tu voulais dire droit... dans ses bottes...
SupprimerUn demi, ça se renverse pas, ça se boit, brèves de zinc prononcées gravement par les anciens madrés envers les p'tits d'jeuns tout boutonneux qui connaissent pas encore le vrai goût de la mousse, et qui salissent leurs godasses de leurs mains tremblotantes, tellement ils ont pétoché dans ce premier match avec les grands !!!!!!!!!!!!!!!!!!
RépondreSupprimerSans ça, l'équipe du labo, là, je vois bien leur entraineur gersois prendre bientôt la poudre d'escampette (et la sacoche de pépettes) pour la cité rose, je plaisante souvent et de mauvaise foi parfois sur le CO et son rugby à l'étouffé, plat sans sauce et beaucoup trop épicé (aillé), mais le fils du sorcier je pense promis à un avenir que je lui souhaite le meilleur, et tiens, dans la foulée et à hauteur je vous souhaite aussi le meilleur dans cette soirée qui s'annonce chaude, chaude !!!!!!!!!!!!!!
RépondreSupprimerSont bien à Castres avec Darricarère. Ça leur correspond mieux...
SupprimerIci comme dans les autres médias, on oublie que notre chère équipe de France, avec notre grand Antoine Dupont, grandchlemarde, a gagné ses deux derniers matchs uniquement par sa défense. Le héros célébré tout au long de ce Tournoi a été Shaun Edwards. Pas de grandes offensives des trois-quarts pendant ces 160'. Et tout le pays se satisferait de telles prestations si cela lui donnait son premier titre de champion du monde l'année prochaine. Mais si vendredi Castres bat Toulouse comme la France a battu le Pays-de-Galle et l'Angleterre, chacun fera la moue, parlera toujours d'une équipe au rabais. Il est facile de se complaire dans la mauvaise foi.
RépondreSupprimerOlivier,
SupprimerLa mauvaise foi est un label français pour souvent cacher effectivement la misère, les non dits, les faux semblants, .... Et si l'an prochain Dupont est absent, la structure du XV n'aura plus la même image. Cette année, après la fin du tournoi, du mou au ST avec la paire de demis absente en particulier Dupont. Toute l'équipe bafouillait. Samedi, devant LR, il était partout, en défense effectivement, en attaque, une vision hors-classe comme tous les gauchers, toute la gamme du demi sortie de nulle part ailleurs. Il y a quelques années, je médicalisais à Castres et, dès son entrée, il a effacé Kockott ni plus ni moins. Et en 1/4 de finale à Argelès Gazost, contre le comité Armagnac Bigorre, Midi Pyrénées avec NTK, nous avons pris la grêle avec en face Dupont, Jelonch et Aldritt et un entraîneur de Lanemezan au charisme à la Urios. Max Barrau fut le guide beaumontoise avec une équipe hors norme. Pour conclure, un phare, un guide, comme le fût Tabarly, vous incite inconsciemment à toujours regarder vers lui même s"il y a du brouillard.
Pour relancer sur la délocalisation de la finale du Top 14, je n'ai pas d'avis tranché sur la question, mais pour avoir été au Nou Camp en 2016, je peux témoigner que la France du rugby était descendue à Barcelone et que l'ambiance y avait été formidable (la ville, le stade et la météo y étaient aussi pour beaucoup). Et pour autant, quand la délocalisation du match avait été annoncée, j'avais été le premier à gueuler contre le principe; mais il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis, et il est d'ores et déjà prévu avec mes potes vétérans de traverser vers San Sebastian l'an prochain pour les demi-finales du Top 14; Pays Basque, autre stade, autre province, autre ville à la baie mythique, autre sens de la fête... et terre de rugby, comme Barcelone l'est aussi dans sa banlieue (Sant Boi), où nous fûmes jouer naguère.
RépondreSupprimernous allames ou allates
SupprimerOui Georges, allames.
SupprimerLe passé, c'est pas toujours simple...
Bonjour à vous, seules les heures tendres du petit matin étant agréables en ces jours, lever tôt pour respirer et inspirer sur vos commentaires. Come dirait Gariguette "pas trop long, Nini, STP", alors pas vous embrouiler trop, mais ... :
RépondreSupprimer- Délocalisation: l'opération consiste juste à trouver les plus grand stades partout où ils existent pour plus de public plus d'audience plus de pognon, épicétou. Le principe donc très pro mais pas glop, préfèrerais une visite sur tous les stades de France, au fur et à mesure des saisons, pour aller vers les amateurs du jeu, point besoin de trop d'artifices ppour la fête, bon 30000 pékins au lieu de 80000, et alors ????
- Défense, et comment que l'EDF a construit une jolie ligne Maginot qui, au contraire de l'historique, tient, résiste, souffre souvent mais se compose et se recompose sans faiblir, et dans le rugby de "en-bas" jusque tout "en-haut", la défense quand-même le premier fondamental que n'importe quel entraineur asseoit comme primo. Comparaison entre EDF et CO et mesure des indices de satisfaction, pas d'accord, autant l'une effectivement a mis en place des structures de défense permettant de résister pour inverser la pression et soit porte le fer (le ballon) lors de turn-over gagnants soit mettre en échecs répétés les initiatives adverses et récupérer le dit-ballon pour mêlée principalement, et tout ça sans faire de fautes. L'autre dans la destruction de l'initiative adverse comme objectif primaire, derrière pas de secondaire on défend on stoppe on contre certes pas de vrai projet de se défendre d'abord pour attaquer (la meilleure défense c'est l'attaque, me souviens plus qui Churchill ou Deleplace ??) mais on tamponne, on concasse, on chamaille, on tiraille, on pimente et empoisonne à loisir, alors je dis pas que c'est contre-productif (voire leurs résultats) je dis juste, et c'est très perso) que je n'ai pas de plaisir à les voir évoluer, trop urticant et le rugby c'est pas fait pour se gratter mais pour joueur et le plaisir des uns et des autres.
- Dupont, attention de ne pas confondre le joueur et l'équipe, pas de grande équipe sans grands joueurs -et vice-versa- mais de Danos à Edwards puis les suivants le meilleur 9 du monde l'a toujours été parce qu'il était en bonne compagnie et entouré de joueurs de classe. La dépendance supposée de notre EDF ou du ST à notre Antoine est sujette à discussion, pour l'EDF Luccu est cette saison monté dans le wagon des grands (jeu au pied, défense, vision, activités et cornac avisé) et d'autres poussent derrière, donc rien n'est acquis pour Dupont, à cette heure c'est la plénitude et pas de photo, mais pas s'inquiéter je pense pour ses équipes s'il venait à y manquer, même si, comme le dit si bien Tautor, naviguer en eaux tumultueuses près des récifs et ne plus voir la petite lanterne du phare là-bas c'est plus périlleux pour le bâtiment et son équipage.
Je rajoute une piécette sur UBB, ça fera plaisir à d'aucuns je sais.
Ici, le rugby a disparu, on s'active beaucoup entre clubs et villages pour les opérations débauchage et démarchage, les maquignons sont en plein boulot, les entraineurs monnayent, les joueurs monnayent, les trésoriers moulinent, les terrains sont exsangues et les ballons remisés, les gamins ont disparu des activités de plein air, heureusement les terrains de football sont encore garnis de loupiots et plus grands qui tapant dans un ballon bêtement rond semblent y trouver et entretenir un plaisir disparu de l'ovale.
Bonne bonne journée
Sauf que ne pas apprécier l'essai de Dumora - non acheté au CO à prix d'or par le ST comme Dupont et Jelonch parce que sous-estimé - en finale de 2018 - (jeu des avants - comme La Rochelle face au Leinster - puis prise d'intervalle lumineuse par le N°15 - ah le même essai marqué par Dupont !!!) et se limiter à ce que le vulgaire des réseaux sociaux répète à longueur de journées de Top 14 - si Castres gagne ce sera sûrement grâce à l'arbitre acheté par Revol - montre que l'on n'a pas dû souvent galoper en culotte courte sur un terrain de rugby.
SupprimerOlivier,
SupprimerLà, nous sommes dans les commentaires souvent entendus au pesage, longtemps mon coin prédictif ou je prenais la t° locale, celle des staffs et parfois de spécialistes avisés. Si le CO gagne, ce ne sera pas le fait de Pierre Yves que je connais depuis plus de 20 ans, ni du comité arbitral jadis perfectible aux ordres des pardessus. Les réseaux sociaux ont remplacé à tort les péages et les commentaires manquent de Houilles et d'esprit. Donc la vérité sur le terrain avant tout, bien que parfois, la vidéo perde l'esprit du jeu.
Si les Castrais sont "mal-aimés", ce n'est pas parce qu'ils ne savent pas jouer au rugby: on ne gagne pas 2 finales de Top 14 par hasard. Et ça fait longtemps que les Palis, Dumora, Urdapilleta ou Botica ont montré qu'ils savaient attaquer la ligne (et la liste de leurs prédécesseurs est longue).
SupprimerNon, s'ils sont mal-aimés, c'est qu'ils sont pénibles sur un terrain; pénibles dans le jeu comme un huit de devant irlandais mais avec la tchatche et la chicane des argentins (quoique je connaisse un 9 sud-af bien aimé des arbitres qui s'est particulièrement bien adapté à ce style de "je"). Pénibles à jouer parce que ne lâchant pas le morceau, jamais avares d'une défense de filous et toujours solidaires. Pas étonnant qu'ils aient souvent eu des entraîneurs à l'ancienne qui fonctionnaient beaucoup à l'affectif.
Oui, en gros c'est ça...
SupprimerComment faire court, au plus court ???? M'en vais demander à Dupont !!!!!!!!!!!!!
RépondreSupprimerles heures tendres du petit matin étant agréables en ces jour, ah mais môssieu poétise, c'est bien.
SupprimerSinon, feinte de passe et tu t'ouvres le champ, ça évite parfois de faire des passes et des passes, de faire du rentre dedans pour t'imposer. Après faut juste avoir les cannes, les appuis pour aller finaliser ta thèse et t'es prêt pour le bac philo...
Pour faire court, tout est question d'angle. Mais faire long ça peut être bon aussi.
RépondreSupprimerEt puis quand on aime, on ne compte pas.
SupprimerC'est pas la taille qui compte, c'est l'angle
SupprimerTautor, Cardiff, Jan Lou, Pipiou, Georges, Olivier : à l'attaque dès l'entame. Si les demies sont aussi offensives que vous, on va se régaler...
RépondreSupprimerRitchie,
SupprimerJadis, tu étais plus offensif dans les commentaires permettant de savoureuses relances comme Dumora. Pour la fête des Pères, il faudrait en cadeau un taille ongles ou un taille crayon 🙈😂😉
J'ai connu un Richard disant "Fais court"
SupprimerEt oui ou "Fais pas" c'est mieux
SupprimerCoucou, pour Olivier, reprenons une mousse épicétou, on est là sur le zinc de Ritchie, le match n'est jamais terminé, les commentaires inépuisables, mais polémiquer ou se fâcher me semble pas l'objet de la dernière tournée générale, je préfère m'isoler là-bas au bord du fond du bar du club-house et laisser au fond du godet ce qui divise pour plutôt porter un toast à ce qui rassemble.
RépondreSupprimerPor info, les fameux réseaux-socios fréquente pas, et je souhaite à personne de devoir laver repasser ranger la colonie de culottes courtes que j'ai mis un enthousiasme certain, sur tous les terrains de rugby d'ici et d'ailleurs, à salir, déchirer, tirebouchonner, martyriser, découdre épitouça.
Amicalement, sportivement, et allez le jeu et les joueurs, qu'importe la couleur des chaussettes, seule compte la biscouette et le bonheur de la course, du vent, de l'intervalle, et vraiment je souhaite aux 1/2 finalistes le meilleur pourvu qu'ils n'insultent pas le jeu et les spectateurs.
Qu'ils n'insultent pas le jeu, oui, qu'ils se respectent en tant qu'équipe encore plus,mais les spectateurs, franchement, c'est un autre débat non ?
SupprimerQue le CO gagne en pénible si ça suffit, il aurait tord de s' en priver , et si ça suffit pas à lui de trouver des solutions, c'est la vérité du Rugby.
Et si la défense des Bleus, comme d'autres,est efficace c'est nécessaire, mais pas suffisant.
Le gros progrès, le thème de la saison et assurément l'accélérateur de performance c'est à mon sens la qualité de la réactivité défense /attaque.
Le travail d' Edwards pour cette saison, missionné par Galtier qui semble savoir ou il va,c'est surtout ça.
Allez Chevreuse
"Menés 23-10 à l’approche de l’heure de jeu, les hommes en rouge ont tout renversé sur leur passage pour faire basculer la finale du bon côté et terrasser des Toulousains tenants du titre. "Nous étions la petite équipe face au plus grand club du monde. On n’a rien inventé, le rugby, ça commence toujours devant. L’entrée en jeu de notre banc a fait la différence en fin de match. On a ensuite passé quelques minutes hors du temps…". Extrait du Capitaine Cambon, en finale Espoirs. Ça fait du bien de lire de tels propos de la part des jeunes pousses qui n'oublie pas leur public. Et pourtant, ils vont bientôt basculer dans le monde néo professionnel pour de nouvelles aventures. Malgré les vents contraires et le brouillard, la victoire n'est jamais le fait d'une illusion.
RépondreSupprimerhttps://vm.tiktok.com/ZMNFBQ56e/?k=1
RépondreSupprimerBennett, Edwards, quand juste avant il y eut Barry John, mon idole de jeunesse et encore et toujours. Je ne ratais jamais le tournoi, ni mon père, même une salle d'attente pleine. L'ivresse assurée de voir l'extraordinaire alors même que le score ne reflétait point la domination. Nous étions là à guetter la passe, l'accélération, le trou de souris ou le lancement de jeu pour s'extasier et rêver de tous les dimanches boueux où il ne se passait pas grand chose. L'âge d'or du rugby Gallois, même si aujourd'hui, ils sont encore et toujours là. Quand je pense à cette demi finale gagnée avec le carton rouge de Whamburton où nous étions mangés dans tous les compartiments, c'est le Pays de Galles qui aurait dû jouer cette finale. Merci Phill pour le fil conducteur de tant d'exploits.
Dans le genre, il me semble que Jean Gachassin -à l'ouverture, je veux dire- était réellement, lui aussi, extraordinaire.
SupprimerEcrasés par la chaleur nos Quinconces, allez une pause "water" et ça repart ????
RépondreSupprimerAlors voilà ST et CO pour un premier rendez-vous des demis, ça promet d'être chaud-bouillant à tous les sens des mots, à voir.
Sans ça, World Rugby va modifier le protocole vidéo, regardant ce qu'ils envisagent j'ai bien peur que ça rajoute du temps au temps, compte tenu des indigences des juges de touche et des délais de rembobinage et rediffusion, on va vers des essais, transfos, et pi juste eu moment du cou de pied de renvoi, hop hop hop ....... Une seconde, là, je crois que !!!!!!!!!!!! Bon pas jouer l'opposition systématique, hein, mais sceptique quand-même, j'attends de connaitre surtout l'accord des diffuseurs et sponsors compte-tenu de leurs intérêts pas toujours les mêmes que ceux des équipes sur le pré.
Allez, les demi-finalistes, pour le meilleur hommage à Phil, ce serait bien qu'il vous inspire un rugby à lui faire plaisir, et à nous aussi du coup !!!!!!!!!
Jan Lou, les spectateurs, les amateurs de ce jeu donc, c'est quand-même aussi dans le débat non ? Bien sûr qu'avec le diffuseur et les partenaires/Sponsors ça leur suffirait au monde pro, juste un produit bien composé bien vendu bien bénéfices, mais encore du rugby le truc ????
Que le CO gagne en pénible et bien oui bien sûr qu'il aurait tort de s' en priver, le but c'est quand-même bien de gagner.
Et la défense des Bleus ou des autres, super efficiente c'est nécessaire et fondamental, mais certes pas suffisant, je plussoie et comment à "la qualité de la réactivité défense /attaque", je croyais l'avoir écrit -en d'autres termes- plus haut.
Allez les T (z'avez le choix Toulousains ou Tarnais, selon affinités !!!!!!!!!!!!)
AH AH !!!!!!!!!! Tautor, voilà t'y pas que se mélangent termes de pesage et péage, lapsus d'ailleurs assez révélateur, hein !!!! Le fait que Barry John berce depuis toujours l'amour que tu portes à ce jeu, ceci très révélateur des vertus que l'on attend et adoube de ce rugby et de ses serviteurs, alors je te pardonne ce lapsus, et te suis gré des commentaires que je savoure à la fraîche, en compagnie d'un Tariquet des Grives 2018 assez taquin.
RépondreSupprimerSans doute ce soir ton coeur battant un peu plus fort en rouge et noir, gaffe hein, d'abord va faire chaud, ensuite les voleurs de poule du labo vont foutre le bordel dans la basse-cour, et puis quand-même, rester raisonnable. Bon si tu peux pas, passion trop violente, fais toi une ordonnance, un bon pain aillé et une goutte de madiran et basta.
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
SupprimerNini,
Supprimerlapsus de Google mais Merci de ta remarque ! Attention de ton côté, "je te suis gré" qui doit être une étourderie de ta part voulant me dire "je te sais gré". Sinon, ce soir, aucun doute dans ma tête, le ST va passer malgré la grinta castraise et ce rugby des champs moins académique que la flamboyance toulousaine. En fait, 2 écoles de rugby via les staffs s'opposent. Celle du ST qui propose du jeu à la main, synonyme de jeu de toulousain et le CO, un rugby graniteux, aigre doux parfois, mais aussi un rugby à la Dumora pour ne pas froisser Olivier ! Au Stade, les anciens sont recyclés dans les écoles de rugby près des jeunes pour se former au haut niveau c'est une règle. J'ai côtoyé jadis N Tamack et Lacroix entraineurs des Espoirs et Champion de France. Le CO, par cycles, fait appel aux anciens du club, le dernier fut Mauricio pas très heureux hélas. Réponse sur le pré, la chaleur sera déterminante.
Plaidoyer sur le harcèlement dans le monde du travail
RépondreSupprimerCes derniers temps, Urios défraie la chronique avec ses commentaires à chaud vis à vis de certains joueurs et ses prises de position en conférences publiques. Le harcèlement moral se manifeste par des agissements répétés pouvant entraîner, pour la personne qui les subit, une dégradation de ses conditions de travail pouvant aboutir à une atteinte à ses droits et à sa dignité, ou à une altération de sa santé physique ou mentale, ou à une menace pour son évolution professionnelle. Les prudhommes sont habilités à régler ce genre de problème, pire cela peut relever du pénal avec emprisonnement de un à dix ans (si tentative de suicide) et des amendes conséquentes au prorata de la cause initiale. En conséquence, les Présidents de clubs, voir Mr Bouscatel (ancien Batonnier à Toulouse) devraient inciter les uns et les autres à plus de modérations dans les propos, car les avocats fumeux sont toujours là ou ça sent la poudre. L'image du club en sera donc écornée et le monde du rugby basculera dans le monde de l'entreprise avec ces vicissitudes ce qui est déjà le cas. Donc la question, en tant que "Patron, Boss", un entraineur peut-il se permettre de tout dire ? Nous avons tous connus les remontées de bretelles, les conflits, les inimitiés féroces, les sarcasmes, les évictions, les humiliations publiques, pour autant cela restait un jeu d'hommes. Aujourd'hui, la fragilité de l'être humain, les difficultés à maintenir son niveau professionnel et l'argent modifient considérablement l'esprit rugby. Quand je pense à Jalibert qui a critiqué ouvertement le médecin du club, à tort ou à raison, pour avoir fait en moins de 6 mois 4 déchirures du fémoral G et 2 sur le fémoral D tout en poursuivant un protocole de réhabilitation. A mon avis, les torts sont probablement partagés. Chacun sait que les joueurs, très influençables, courent les avis médicaux sans en parler au staff médical afin de pouvoir récupérer au plus vite. Je ne connais pas les chicaneries opposant Urios à son vestiaire mais le Président Marty devrait mettre son grain de sel. Et, vous, bloggers confirmé(e)s qu'en pensez vous ?
Généralement, avant....., pour bien faire marcher une entreprise, cad faire des bénéfs, le plus important était l'ingénieur et en deuxième le comptable/gestion, en avançant dans le temps c'est le comptable qui a pris la première place, maintenant c'est le maitre de la COM qui est souvent le patron de l'ensemble
SupprimerTout-à-fait.
Supprimerles regards echanges l autre jour entre JALIBERT et le druide URIOS ne sont pas porteurs d un avenir radieux et serein bien au contraire la rupture me semble consommee apres un eclair si flagrant le coup de tonnerre est imminent
RépondreSupprimeril est vrai que certaines declarations ne peuvent se faire que dans l intimite mais cette vorace sangsue de canal plus proche de ici paris ou detective a activer le foyer et gros nounours de URIOS a jeter les buches
a par cela la folle reussite toulousaine va t elle mater ces coquins de CASTRAIS
DUMORRA ET RAMOS sacre duel
soit une large victoire des tenants soit un laborieux succes des laborantains
J'en pense que les médias amplifient ce qui doit arriver tous les jours dans les vestiaires ou aux entraînements de tous les clubs. Ce faisant ils font leur boulot, mais d'une certaine façon qui finit par devenir malsaine; il suffit de voir comment, après l'altercation Urios-O'Gara en bord de touche, C+ a cadré au match suivant les attitudes de ce même O'Gara et de Mola pour voir qu'ils n'attendaient que le renouvellement de l'algarade et du croustillant à montrer et faire entendre. On peut aussi concevoir la réalisation d'un match autrement, question de choix.
RépondreSupprimerSur le fond, pas mieux que Ritchie: Urios s'est servi des médias pour faire passer un message, lequel est passé même si ça chatouille l'amour-propre des intéressés. Qui n'en sont pas morts, juste vexés. Demain soir on verra sur le terrain si ce sont de grands garçons capables de maintenir l'exigence demandée par Urios et qu'ils ont retrouvée contre le Racing.
Le rugby a toujours été un sport d'affects, d'amitiés indéfectibles comme de brouilles définitives, d'engueulades homériques et de fêtes monumentales, bref, d'excès; tant qu'il y aura des Urios, l'essentiel sera sauf (à part, mais je me répète, son choix très discutable de bésicles...).
Ouais ouais le carton rouge de Wharburton, pour revenir à lui Tautor, beaucoup de cartons rouges depuis, souvenez-vous, beaucoup ! Mais les gallois auraient malgré tout pu gagner ce match si: Mike Williams avait poussé un petit peu plus sa course vers les poteaux... pour aplatir, au lieu de plonger dans l'en-but en tirant la langue au dernier défenseur français, pour la photo!
RépondreSupprimerVilain troll, vilain vilain troll!
Stephen Jones aurait transformé sans trembler et hop, en finale pour se faire tordre par Joubert.
Pourtant, les gallois avaient encore un sacré lutin dans leur équipe... un sacré lutin plein de crochets et de pirouettes, un de ceux qui vous font frissonner à chaque fois qu'il touche le ballon. Shane Williams, digne descendant de Bennett. Plus de lutins chez les rouges, plus du tout, que des gros et grands et trop costauds Trolls. Vilains Trolls.
J'explique à mes enfants que les lutins vivent dans les trous d'arbres, et ils sortent la nuit... pleins de facéties.
Laminak au Pays Basque on dit.
Peut-être plus assez d'arbres au Pays de Galles, je sais pas... je connais pas là bas... on dirait que c'est les anglais qui ont tout tronçonné !!!
Au grand dam de Phil Bennett, gentil et coquin lutin!
Mike Philips, pas Williams...
RépondreSupprimerMais si le Co termine premier de la poule il le doit surtout aux mauvais effets des "doublons" qui, vu notre organisation du Championnat/ match internationaux, perturbe fortement les résultats et notamment pour Toulouse qui à un tchouia près aurait pu faire 7éme...., ce qui aurait dévalorisé le Titre final(déjà dit il y a qq mois).
RépondreSupprimerRien que pour ça, j'espère que le Stade va gagner avec tranquillité et facilité
Tout le monde est perturbé par ces doublons qui affectent pareil même les premiers et les derniers; Se taper une grosse écurie avec plein d'absents mais plein de morts de faim, morts de jeu et qui piaffent sur le banc une majeure partie de la saison pas forcément un cadeau.
RépondreSupprimerAprès, les effectifs sont en conséquence des objectifs, le calendrier est établi presqu'une année avant, les clubs savent ce qui les attend, pas venir pleurer dès lors que ça se passe un peu/beaucoup moins bien, que des équipes moyennes en profitent à la marge pour faire un résultat contre un plus gros et bien c'est le sport, un match épivoilà.
Pour le ST, j'ai bien entendu Molla s'exprimant sur le sujet, et je retiens surtout qu'au gré des mauvais résultats, il avait surtout un discours très dur envers ses joueurs, leur reprochant de se voir beaucoup plus beaux qu'en réalité simplement pour avoir le maillot rouge et noir sur les épaules, et les exhortant à revenir à plus de modestie, plus d'engagement, au rugby quoi !!!!!
Tranquillité et facilité, huuuummmmm !!!!! Même moi, vilain pourfendeur attitré des laborantins je vois pas ça comme ça .
Reste à savoir si les agissements d'Urios sont répétés ou réservés aux phases finales. Pour l'instant seul le vestiaire de l'UBB le sait.
RépondreSupprimerOutre la question du harcèlement moral, qui se pose quoiqu'on en dise, avec une justice de plus en plus à l'américaine , et des joueurs "stars"
Se pose alors la question de la gestion de ses stars. Là dessus j'ai lu un article où Lacroix disait avec un peu d'ambiguïté, les stars ça remplit les stades, et c'est bon économiquement parlant, mais il va falloir apprendre à les gérer. Enfin je voudrais pas trop déformer ses propos
Ce soir, nous serons si P H Broncan est un bon, lui qui est passé par l'école toulousaine. En a t-il retenu un contenu ? Sûrement. De là à le transformer en victoire est une autre histoire mais pourquoi pas ? Une 2e ligne australienne, clé de voûte des 2 équipes, Faumina de retour, des détails qui vont compter. À surveiller Elstadt, toujours au top. Reste l'arbitre et la vidéo j'espère au top. Bon match.
RépondreSupprimerPrémonitoire ! Bien vu !
SupprimerGrosse entame des Toulousains et puis plus rien. Et l'arbitrage pas forcément à l'avantage des Castrais pour l'instant. Essai refusé et là tu te demandes à quoi sert le juge de touche. A l'heure où l'on parle d'un arbitrage rétroactif vidéo....
RépondreSupprimerL'arbitrage, 2 jaunes dont un très discutable sur Marchand, même celui d'Arnold méritait au mieux une pénalité. Le vidéo arbitre, pas le meilleur que j'ai connu. Bon le CO est là, de plus en plus en confiance avec 20 mn contre 14 en face . La vitesse est là, côté Stade, faudra appuyer là où ça fait mal. Quant au 3e ligne du CO, comportement très évocateur de prise de cocaïne. Je demanderai à qui de droit.
RépondreSupprimerLe vidéo arbitre on dirait qu'il veut à tout prix sanctionné le Stade mais heureusement pour l'instant l'arbitre garde son juge arbitre si je puis dire
RépondreSupprimerPas que pénible les Castrais, joueurs aussi. Bravo aux Castrais. Victoire méritée
RépondreSupprimerExactement. Castres vient confirmer qu'ils ne sont pas que des renards. Et avec un essai refusé douteux. Bon, les cartons jaunes toulousains y étaient. Bravo aux entraîneurs castrais qui méritent reconnaissance des joueurs et de leurs pairs. Même si ça n'est pas encore fini ils ont rempli leur contrat.Toulouse mode loose, pas sur son 31 cette année et fait comme Leinster en Irlande. On va voir si Mola peste contre l'arbitre...
RépondreSupprimerLa qualité castraise c'est très souvent de saisir leur chance à ce niveau qui en fait maintenant une équipe redoutée. Et en finalité, le barrage était il en fait castrais ou toulousain au départ du match ? Sinon, a voir le visage de PH Broncan, était il à la coke aussi ?🤔😉
Bravo au Co sans être lunaire a su gagner avec des vieilles recettes comptant sur les vieux briscards. Respect total.
RépondreSupprimerPH Broncan connaît finalement bien le ST avec comme consignes d'éteindre Dupont, contrat rempli (8)et jeu au pied le plus loin possible avant tout. Maîtrise totale devant sans imagination mais d'une efficacité remarquable. Le ST n'a pas cru à la vitesse jouant trop sur Akhi. Et Ramos un jour sans laissant au moins 5 points en route et un drop râté NTK par impréparation. Je mettrais à l'index l'arbitrage avec une 1e mi-temps contestable. Des pénibles, graniteux, obstinés, 1er du top 14 sans que ce soit une surprise. Le ST devra comprendre que tout ne repose pas sur un joueur. La preuve, ils n'ont pas compris que la vitesse était leur atout principal. Heureux pour Pierre Yves, Patrick et Cédric.
AH, je vois le résultat ce matin, bon et bien bravo les Castrais et rendez-vous en finale. Sur les différents commentaires de match, il semble que le match du CO a été conforme à ce que l'on pouvait attendre d'eux en terme de production de jeu et de mise en place de tous les ingrédients propres à faire déjouer les autres. Côté ST si j'en croie les rendus, à la peine, et visiblement les joueurs sont à l'agonie, pour les internationaux c'est pas fini, on marche un peu sur les têtes et les corps là.
RépondreSupprimerC'est quoi vos histoires de coke, sérieux, non même si laborantins, mais quand-même, croyez qu'ils entendent shooting quand PH gueule footing ????
Allez, place aux 2 autres, encore une rencontre codée brouillée sur les écrans que pour ceux qui payent, on en recause demain.
Je viens de regarder des images du match d'hier soir, une seule observation valable pour les 2 protagonistes comme sans doute pour l'ensemble des équipes rugby pro: on se dirige doucettement mais sûrement vers un ersatz de foot-rugby USA, développement des joueurs physiquement hors norme, cadences infernales et maintien permanent de l'intensité (avec quels apports ??), blessures et lésions guéries dans des délais record et transformation de l'engagement physique en violence, certes pour l'instant contenue, mais qui génère par l'exemple dans le rugby amateur des dangers déjà présents
Bonne journée
Miracle des phases finales ? On dirait bien que la malédiction du PC semble disparaître ... Pas pu me connecter précédemment mais je vous lisais . Toulouse Castres c'était très bien j'avoue être surprise du résultat tant ces Castrais me semblaient à la portée du Stade . La glorieuse incertitude du sport quoi ! Bluffée par le coaching de Broncan, ses troupes en rangs serrés prêtes à suivre ce chef - car c'est un chef ! - jusqu'au bout . Marchand dépité et moi avec, car ce gars est la rectitude même ... bref la victoire sourit aux audacieux . Dupont fracassé ça faisait mal à voir . Rien n'a marché comme prévu du côté toulousain . Tautor misait sur la vitesse il a raison car les Castrais bien vaillants n'auraient sans doute pas résisté à une accélération ... bon c'est joué on ne va pas refaire l'Histoire ... ce soir la suite . UBB pour moi mais va savoir ...
RépondreSupprimerPlus que la vitesse, c'est du rythme qu'il aurait fallu, et pendant plus qu'un quart d'heure.
RépondreSupprimerLe ST a fait un peu le même match que le Racing la semaine dernière, une grosse entame, puis le physique n'a pas tenu, les adversaires sont restés au contact et ont ensuite fait le score sur les fautes et cartons adverses.
L'arbitrage de Mr Cayre a peut-être manqué de maîtrise, mais n'a pas orienté le match, les Castrais ayant autant de raisons de râler contre l'essai refusé que les toulousains contre la sévérité du carton jaune contre Marchand.
Cette question de la fraîcheur physique pourrait jouer son rôle ce soir, Montpellier ayant eu une fin de championnat tranquille pendant que l'UBB bataillait à Perpignan puis contre le Racing.
Et c'est la première fois que je regardais un match au frais dans une piscine; par les temps qui courent, avec la bière fraîche qui va avec, c'est particulièrement appréciable !
(ce matin la finale de l'hémisphère sud et la victoire des Crusaders; je suis toujours frappé, dans ce rugby néo-zélandais, que l'engagement physique total n'empêche pas la discipline. et d'un point de vue technique individuelle, avec des conditions difficiles, et même avec les inévitables fautes de main, c'était un régal)
Ah oui ce matin c'était un régal et quel niveau très élevé, Munga a pris une longueur d'avance, actuellement , sur Barret. Enfin eux ils ne rendent pas le ballon au pied facile pour l'adversaire. Oui suivez mon regard vers le Stade hier soir...
SupprimerGeorges
SupprimerTu es atteint d'hémianopsie probablement
Hé oui bien sur, le rythme, le fameux Pace des non moins fameux trois P, qui inscrit la vitesse dans la répétition , dans la durée.
SupprimerOn ne dit pas d'un match qu'il était vite, mais qu'il était rythmé .
Et l'équipe qui subit place ses demis dans le dur, Georges, fûssent ils les meilleurs du monde.
Je n'ai vu que le match a l'Eden Park mais cru comprendre qu'il n'y avait pas photo dans ce domaine.
Ah si, l'essai refusé au CO sur Twitter, pas compris !
Allez Chevreuse
Une simple constatation Kolbe n'est plus là....
RépondreSupprimerQuel plaisir de voir que Gariguette est de retour.
RépondreSupprimerMerci André
SupprimerOui André, comme toi, ravi de vous lire🙏
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerDans CRC, un bilan sur le match d'hier soir, Toulouse ce n'est pas un ou deux joueurs mais un collectif. Le message est passé pour Mola. Quant à Urios, un de mes confrères et ami m'a confirmé aujourd'hui que c'était un pénible, un maladif, obsessionnel raison pour laquelle il a quitté le CO, pas identitaire de ce qu'attend PYR.
RépondreSupprimerLe néo toulousain, maritime de souche conteste l'arbitrage. On peut dire que depuis hier, le niveau n'est pas au rendez vous des demi-finales. En mêlée fermée, effondrement de la 1e ligne, pas une remontrance. Des placages limites par ci par là. 2 drops enfin qui font mal aux jambes.
RépondreSupprimerCe jeu au pied 50/22, style XIII de gagne terrain, est épuisant dans l'attente de la faute de l'adversaire n'apporte rien foncièrement à l'esprit du jeu à XV sauf de l'ennui.
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerBon finale logique entre le 1er et le second du top 14. Une demi finale de lutteur (géorgien) où le pied a été maître du terrain. Jalibert a bien résumé la rencontre et les différents avec Urios qui ne sont que des mots et non pas les maux attendus par la presse. Finale entre la pharmacopée et un échafaudage en béton. Une fin de carrière en apothéose ou pas pour certains, pour d'autres un premier bouclier ou plus. A la vue des demis, une finale plutôt fermée mais qui sait peut être un feu d'artifice pour faire oublier Saint Denis et montrer que le rugby est un esprit de jeu et de vie. Un clin d'oeil, 2 néo toulousains sur la touche, Elissalde et Broncan, 2 stratégies bien différentes et 2 joueurs aux carrières asymétriques. L'ovale devrait être gagnant.
RépondreSupprimerNon ce n'est pas logique! 1er et 2éme du principalement à ce championnat avec ses doublons et eventuellement qq matchs reportés à cause du covid
SupprimerUBB émoussée elle-aussi, Montpellier a haussé la barre de l'engagement physique bien haut, avec son jeu habituel sans flamboyance mais pragmatique avant tout. Les cadres de l'UBB n'ont pas réussi à tirer vers le haut leur équipe, semblant sans solutions en 2ème mi-temps.
RépondreSupprimerVu le niveau et donc les fatigues du Top 14, plus les périodes de matchs internationaux, il devient de plus en plus compliqué de jouer sur les 2 tableaux Championnat/Coupe d'Europe.
le repas d apres match sera servi aux chandelles
RépondreSupprimerpas un terrain de rugby mais cap canaveral
une bouillie bordelaise servie d entree
Montpellier merite sa victoire plus entreprenant que ces girondins peu revolutionnaires
le bedouin peut continuer ses chateaux de sable
mais Castres est redoutable
il ne faut pas vendre labo de castres avant de l avoir terrasse
https://vm.tiktok.com/ZMNY5dPdb/?k=1
RépondreSupprimerDes larmes utiles pour construire son avenir et pour comprendre qu'on ne gagne pas toujours.
Hello,
RépondreSupprimerCO/MHR, qui l'eut-pronostiqué ?? Oui les 2 premiers du chpt une certaine logique.
En tout cas bravo à eux, pac'que on peut -comme moi- ergoter et faire la moue, hmmmm, bien ils sont là et ils ont gagné sur le terrain ce qui n'entraine pas plus de développements, le rugby un sport un affrontement un vainqueur et son vaincu, pas refaire le match ça fatigue et ça ne sert à rien, pour les battus du tour de demis peut-être et bien entendu des leçons à tirer de tout ça et à mon sens elles sont nombreuses, bon sont assez grands pour pas me consulter non plus.
Une remarque concernant les battus des demis, on l'a d'ailleurs tous ci évoqué ou pointé: l'impossibilité pour les joueurs ST et UBB de mettre de la vitesse, sensation d'être près de percer terrasser et .......... Manque de petits riens qui font que tu restes près mais t'y es pas, des athlètes bridés par un épuisement généralisé des ressource des corps, les calendriers qui s'annoncent n'augurent rien de meilleur en la matière, bientôt obligés vu la multiplication des compét' de jouer à cadences rapprochées avec tous les aléas que l'on devine,
Bon, pas mégoter le bravo aux gagnants, espère juste que l'un ou l'autre en finale acceptera de "jouer" sans ça on risque quand même de s'ennuyer grave.
Pour revenir sur ST et UBB, ils vont avoir besoin, très bientôt à mon sens, pour retrouver de l'allant et inévitablement d'un changement de staff, les cycles trop longs s'épuisent à durer et perdent doucement de leur intensité, de leur imagination, de leur fraîcheur, de leur envie commune (joueurs/Encadrants) et c'est très humain.
Avant que Tautor (genre ST) et d'autres me donnent des exemples de qui durent et réussissent, oui mais ça reste très exceptionnel, il faut pour durer une osmose réussie, équilibrisme pas aisé, entre les encadrants les joueurs, les ambitions des uns et des autres, l'acceptation pour les autres de se fondre dans la vision des uns, surtout des victoires et des titres qui sont autant d'étapes que t'es dans le vrai et que tu consens à y rester dès lors que ça te rapporte, rugbystiquement, humainement et accessoirement trésorerie aussi.
RépondreSupprimerDifficile pour des encadrants de se renouveler à la vitesse des compétitions, les investisseurs derrière pressés d'encaisser les bénéfices et les retours sur investissements conséquents, ça va tellement vite et on est aujourd'hui tellement pressés de gagner, de titrer, d'empocher.
Nini
SupprimerAu MHRC, pas de souci, le renard des sables est propriétaire de tout, se servant de ce tremplin pour illusionner l'EDF et les Blacks en qualité de sponsor sans partage. Sauf que le PNF est passé par là et que les vendanges vont être précoces voires fructueuses cette année. Si c'est comme le blé, les céréaliers espèrent une nouvelle canicule dès le mois de mai l'an prochain. La longévité d'un staff ne peut conduire qu'à une fin chaotique. L'hégémonie de Novès a eu ses heures de gloire et ses détresses y compris en EDF. Il faut savoir partir au bon moment et pour cela je citerais Hansen, entraîneurs des All Blacks, parti en pleine gloire en haut de la pyramide de bons nombres de records. L'hégémonie est à mon sens un marqueur négatif, équivalent de prédateurs, qui un jour trouve plus fort qu'eux. Des exceptions comme PY Revol, V Merling, R Bouscatel finalement, devenus des Sages au service de leur club. Côté entraîneurs, seul Novès a eu une carrière exceptionnelle pour finir en queue de poisson laissant amertumes ou regrets selon. Pour être aujourd'hui en haut de l'affiche, il faut être avant gardiste, savoir s'entourer des meilleurs dans les staffs, anticiper les recrutements bien avant tout le monde, donner les moyens de réussir et donc investir et trouver de nouvelles ressources financières. Fini le temps figé de Raoul Barrière qui régna en maître pendant 10 ans avec les mêmes recettes. Le plus bel exemple est celui des Blacks toujours en avance sur le temps et les idées. De voir Scott Robertson danser après la finale est inouï montrant la palette de l'entraîneur qu'il est.
Alors, aujourd'hui, deux néo toulousains en finale, Elissalde et Broncan, qui peaufinent leurs expériences en attendant le ou les Graals.
Je l'avoue : pas pu aller au bout de cette 2e demie ... j'ai lâché au début de la 2e période fatiguée par ce jeu (?) stérile et aussi par la chaleur . Au point de penser qu'il faudra un jour changer les dates des phases finales si les canicules commencent dès juin ; les organismes au ralenti ne peuvent supporter ces températures .
RépondreSupprimerBref ... Je suis allée regarder "The last duel" qui comme son titre ne l'indique pas se déroule en France, dirigé par Ridley Scott avec Matt Damon, Ben Affleck, Adam Sanders ... C'est magnifique et terrifiant, le fameux duel est d'une violence rare . Et dire qu'il s'agit d'une histoire vraie !
Bon les siècles ont passé . Ces chocs d'armure ces coups d'épée , ces lances, ces poignards ont disparu . Reste le rugby et ses chocs de béliers en mêlée ... ses placages brutaux mais aussi la camaraderie des combattants . Fascinant ce mélange d'âpreté et de douceur ... Au fond l'homme n'a pas beaucoup changé au cours des siècles . Ah si ... à la fin du duel, le perdant est pendu à un gibet exposé à la vindicte populaire ( le jugement de Dieu avait parlé !) . Nous sommes devenus plus magnanimes . Si ! Si !
Gariguette
SupprimerEffectivement, nous subissons l'effet du XIII et de l'EDF, Shaun Edwards, avec des défenses hermétiques à souhaits qui vont obliger les entraîneurs à modéliser de nouveaux schémas d'attaque car le jeu au pied 50/22 devient une purge et un non sens rugbystique, synonyme de tombe et de perte de lucidité. Ce jeu latéral du surnombre en bout de ligne avec des panzers style Nakosi, devient la signature de l'obsolescence intellectuelle du jeu. Et hier soir, nous avons eu le gratin a tel point qu'Elissalde avouait sur interview en 2e mi temps que ça se jouerait sur un coup de dé ou de pied. Pour dire l'ambition. On attend finalement que la pièce tombe du bon côté. Résignation au coup du sort et au destin impropre à l'étoffe d'un entraîneur. L'essentiel, c'est de gagner pour faire la fête telle Rome "panem et circenses".
Un match Carmaux/ Le Creusot, en 1964, çà n'était pas forcément terrible non plus. Mais c'était quelque chose dans lequel tous les pékins moyens pouvaient se retrouver voire s'y reconnaître. Mon principal rejet instinctif sur le monde professionnel d'aujourd'hui, c'est qu'il s'est coupé absolument de l'ensemble des pratiquants. Mais c'est aussi valable pour l'athlétisme etc. C'est une grande question sociale à mon avis.
SupprimerAndré,
SupprimerQuestion sociale ou sociétale ou les deux. Quand tu vois que les stades, du moins en top 14, sont quasi pleins ou culturellement comme à l'AB, que vendredi prochain , la France profonde sera à Saint Denis, la scissure est trompeuse. D'un côté, les racines sont encore bien présentes, de l'autre le monde pro vit de plus en plus en vase clos. Tiens des appels d'offres pour trouver des médecins a temps plein en top 14 car certains, chevronnés et compétents, jettent l'éponge !
Il y aurait de quoi dire, certainement. Mais sans doute un peu trop long ici...Et puis, il faudrait beaucoup de finesse dans l'expression et, donc, de gros efforts de style afin de ne pas tomber dans des discussions contradictoires, binaires, répétitives,... comme je les déteste et comme j'en vois ou en entend quasiment en permanence de nos jours. Et puis, j'ai toujours pensé que les bonnes discussions étaient celles ou l'on était d'accord. Comme un bon et beau match de rugby où l'on prend plaisir à aller et que l'on apprécie de jouer contre et avec un adversaire ou un partenaire que l'on respecte.
SupprimerAndré
Supprimer"Ne nous fachons pas" c'est toujours mieux et plus hypocrite à mon sens 😉
Il n'est en aucun cas question de se fâcher ici il me semble. Je pense juste que vouloir systématiquement et absolument dire le contraire pour le simple plaisir d'une discussion ne me passionne pas vraiment. Ce n'est pas moi qui te rappellerais ce que pense Socrate des Sophistes: tu le sais mieux qu'aucun d'entre nous.
SupprimerAndré c'est le titre d'un film de Michel Audiard
SupprimerTout-à-fait. Avec Jean Lefebvre, Mireille Darc etc. En l'occurrence, "ils" -Ventura en particulier- se fâchent!
Supprimeravec 1 kilo de patates on peut preparer de nombreuses recettes alors qu avec 15 joueurs on a droit qu a 1 recette de jeu monotone et sterile
RépondreSupprimertous ces chefs entraineurs adoptent la meme procedure aucun n ose creer imaginer une autre voie
quidelivrera le jeu de passe avec pour but la conquete de l espace aller vite a l aile
les 9 aujourd hui jouent plus au pied que jamais
redonnez moi de belles trasmissions
le jeu de defense est a la portee de tous mais effectuer un beau geste offensif n est l apanage que de petits genies
le rugby a besoin d un MESSIE(pas celui des qataris)
je prefere de loin l enthousiasme castrais aux soporifiques saint andristes
Allan,
SupprimerLe rugby allèle, une génétique en voie de disparition. Quand on pense à Villepreux, arrière intercalé, et que, depuis on a rien inventé. Si le latéral, la profondeur à la recherche du surnombre avec des buffles sans cerveau, capables bien souvent d'un effort sur 15 m et de n'avoir aucune intelligence situationnelle trop préoccupés à réciter le tableau noir. Alors, oui, comme en corrida, faut se contenter de quelques naturelles dans un tercio bien trop souvent plat pour se dire que l'illusion fût belle. Jadis, on parlait de bourrins, finalement, l'espèce n'a guère évoluée génétiquement depuis. Et pourtant nos entraîneurs sont diplômés mais pas de l'ENA ni de Sciences Po 🙈😂.
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
SupprimerAllan,
SupprimerAvec 1kg de patates, les recettes sont quasi inépuisables. Par contre, avec 15 kg de muscles type A ou B, on a droit à de la daube plus ou moins épicée.
Quand même, avec 15 joueurs identiques et 2 entraîneurs différents du style Barrière à ma gauche et Villepreux à ma droite, je suis certain qu'ils seraient capable de créer deux styles de jeu caractéristiques. Mais je devrais parler au passé car il est vrai que l'haltérophilie a beaucoup réduit les différences naturelles. Quand je pense au merveilleux Thomas Castaignède dans sa première partie et puis, après sa transformation physique, pratiquement plus le même joueur! Une grande tristesse et un vrai scandale (comme dirait feu Georges Marchais).
SupprimerFroome aussi un vrai scandale 🙈
SupprimerJe pense que les deux scandales ne sont pas du même ordre.
RépondreSupprimerIdentiques, le dopage.
RépondreSupprimerOui, peut-être, mais entraînant une régression pour Castaignède et une amélioration pour Froome. Pourquoi vouloir rendre un joueur de rugby génial tel qu'il était, en un joueur musculeux et gêné aux entournures, au dépend de ses qualités d'origine largement suffisantes?
RépondreSupprimerFroome et son genou enfumé tout le monde pour un salaire exhorbitant à us de 35 ans.
RépondreSupprimerJuste pour mention : ici, tous les avis sont recevables.Surtout quand ils sont courtois. Chacun voit le rugby pro selon sa focale. Et ses informations. Les philosophes et les penseurs parlaient de "dispute" au sens classique. Elles faisaient progresser les idées. Rien ne doit rester figé. Ce qui est bon ici sur ce blog c'est de partager nos connaissances, et parfois nos informations.
RépondreSupprimerPerso, je n'ai pas beaucoup apprécier la deuxième demie finale et nous sommes nombreux dans ce cas. Match de destruction, frontal. Trop à mon goût. Mais il n'y a pas de note artistique durant les phases finales et nous avons assez d'expérience, tous et toutes, pour savoir que nous attendons beaucoup de la phase finale et que nous sommes rarement comblés. Les joueurs, eux, le sont, du moins les gagnants. Il y a beaucoup d'engagement physique et peu d'échappées belles. J'ai aussi vu la finale du championnat d'Angleterre entre les Saracens et Leicester et ça ressemblait parfois à de la Soule, ballons portés en grosses tortues informes. Remportée sur un drop-goal à la Wilko.
RépondreSupprimerJe crains que notre finale du Top 14 entre deux équipes solides, fortes défensivement, solidaires, sans trop de génie ni de facteurs X débouche un combat dantesque qui penchera sur une voire deux actions lumineuses. Mais guère plus. C'est un peu la loi de genre et les exceptions confirment cette règle, il suffit de reprendre l'historique des finales pour s'en convaincre.
Par ailleurs et comme souvent, il faut écouter les joueurs revenir en retro pédalage sur la semaine passée. Jalibert assurant que le groupe bordelais vivait bien en pleine polémique WokiJalibert vs Urios ne parvient même plus à me faire rire.C'est donc bien de la faute des médias si la tension était à son comble. Les journalistes n'ont pas bien interprêtés les propos de ce Matthieu-là. Ah là là... Les médias, c'est toujours un bon ressort pour motiver les troupes. De bonne guerre. Certes, mais de guerre lasse...
RépondreSupprimerEt maintenant, que chroniquer pour lancer cette finale crochets-uppercut ?
RépondreSupprimerDe la finale Dax/Mont-de-Marsan, on attendait monts et merveilles...On connait l'histoire.
RépondreSupprimerDe Béziers/Clermont-Ferrand, qu'attendait-on? Une des plus belles finales que j'ai vue!
Oui Ritchie, de la daube même pas aillée. La gangrène cérébrale gagne du terrain délaissant toute forme expressive d'intelligence situationnelle. Pas si sûr que Galthié soit le bon cheval, Edwards va devoir revoir sa copie sous peine de prendre cher devant des attaquants pour la coupe du Monde. Comme chronique, "rugby tranché".
RépondreSupprimerQue de lecture !
RépondreSupprimerQuelques propos qui m'interpellent:
Gariguette ne trouvant pas son compte au spectacle proposé file vers une vraie fiction;a méditer non ?
André regrette l'aliénation du sports avec l'arrivée du monde pro,ben oui, on fabrique du consommateur de sport, plus du sportif, c'est entendu et nous ramène a d'anciens échanges ici.
Deux réflexions a l'opposé, mais cohérentes dans le contexte, complémentaires.
Et pour le reste, les deux finalistes ont démontré toute l'année que leur approche du jeu était suffisante pour un Top14 pas encore guéri de tous ses maux, et ils ont bien eu raison, parce que le vainqueur a toujours raison.
Un Top 14 qui nous fournit quand même maintenant des pépites par paquets de douze , qu'un staf inspiré fait briller au plus haut niveau.
Allez Chevreuse